Après le succès de son premier single, « Mother Mary », aux côtés de Slash et Erik Grönwall, le légendaire guitariste Michael Schenker annonce « Rock Bottom », le deuxième single de son très attendu nouvel album « My Years with UFO », qui sortira le 20 septembre 2024.
Composé de Kai Hansen (Gamma Ray, Helloween) au chant, de Derek Sherinian au clavier, de Brian Tichy à la batterie et de Barry Sparks à la basse, ce morceau de 11 minutes met en avant chaque membre exceptionnel de ce featuring. « Rock Bottom » ouvre la voie à ce qui promet d’être l’un des albums rock les plus excitants de 2024.
Produit par Michael Schenker et Michael Voss, ce nouvel album marque le 50e anniversaire de l’ère Schenker avec UFO, qui s’étend de 1972 à 1978. Alors qu’il n’avait que 17 ans, le « German Wunderkind » a été invité à rejoindre UFO. En tournée dans le monde entier dès son adolescence, Schenker est devenu la force motrice de certains des morceaux les plus appréciés d’UFO, tels que « Doctor Doctor », « Rock Bottom » et « Only You Can Rock Me ».
Dans cet album, Michael Schenker présente 11 des plus grands succès d’UFO de cette époque magique, avec un roster d’invités prestigieux comprenant Axl Rose, Slash, Kai Hansen, Roger Glover, Joey Tempest, Biff Byford, Jeff Scott Soto, John Norum, Dee Snider, Joel Hoekstra, Joe Lynn Turner, Carmine Appice, Adrian Vandenberg, Michael Voss, Stephen Pearcy et Erik Grönwall.
L’album « My Years With UFO » annonce une trilogie, puisque Michael Schenker a signé un contrat exclusif de trois albums avec earMUSIC, qui arriveront en 2025 et 2026.
« My Years with UFO » sortira le 20 septembre 2024, et est dès à présent disponible en pré-commande.
Tracklisting
1. Natural Thing feat. Dee Snider & Joel Hoekstra
2. Only You Can Rock Me feat. Joey Tempest & Roger Glover
3. Doctor Doctor feat. Joe Lynn Turner & Carmine Appice
4. Mother Mary feat. Slash & Erik Grönwall
5. This Kids feat. Biff Byford
6. Love to Love feat. Axl Rose
7. Lights Out feat. Jeff Scott Soto & John Norum
8. Rock Bottom feat. Kai Hansen
9. Too Hot Too Handle feat. Joe Lynn Turner, Adrian Vandenberg & Carmine Appice
Le nouvel album de Chocho Cannelle sortira le 27 septembre 2024 via CVE prod / Modulor music
Le quatuor de jazz – world atypique et résolument moderne, Chocho Cannelle composé de Camille Heim : harpe électro-llanera & compositions – Léo Danais : batterie & compositions – Arthur Guyard : piano,claviers & compositions, Thimote Renard : clarinette ,clarinette basse & compositions concilie instruments électriques et acoustiques, écriture et improvisation, jazz actuel et sonorités latines.
Valse à Jeanne est écrit par la harpiste , Camille Heim pour sa petite sœur.
Ce titre est un hommage à l’enfance, une danse obscure et malicieuse aux couleurs d’un film de Tim Burton.
L’introduction batterie/clarinette basse pose une douceur suave, puis le toy piano les rejoint, rappelant une boite à musique.
Les instruments s’entremêlent crescendo en contrepoint, pour arriver à un final intense et rebelle.
La pièce se clôture avec une évocation du thème principal à la harpe, comme une réminiscence d’un souvenir d’enfance.
« Le Pouvoir de la Puissance », le 4ème opus d’Ultra Vomit, en seulement 25 ans d’existence, sortira le 27 septembre 2024. il contient 16 tubes et 1 bouse, d’un metal aussi puissant que peinard.
Ultra Vomit est un groupe de metal hors du commun qui ressemble à tous les autres, mais en différent.
Parfaite alliance entre la puissance du metal et le pouvoir de l’humour, ils ont aussi su associer la puissance comique au pouvoir des musiques extrêmes, et vice et versa.
Depuis 1999, les quatre nantais ont su élever l’amateurisme à un niveau professionnel, en témoignent leurs nombreux passages au Hellfest, leur Olympia ou le Disque d’Or de leur précédent opus.
Ils ont aujourd’hui honte d’être fier de vous présenter leur 4ème album : “Le Pouvoir de la Puissance”, qu’ils défenderont sur la route face à leurs fidèles clients, dans un spectacle aussi régressif qu’agressif.
D’énormes riffs et un son massif (signé Fred Duquesne) seront à prévoir sur l’ensemble des 17 titres… Mais rassurez-vous, cette véritable bombe métallique sera aussitôt désamorcée par des “textes” d’une profonde affligeance, qui apporteront un peu de joie à cette existence en pleine crise existentielle.
Alors chers clients, pour votre bien, n’attendez plus ! Poncez cet opus et foncez nous rejoindre lors de nos galas, où nous pourrons enfin partager avec vous la Puissance du Pouvoir… de la Puissance !
« La Puissance du Pouvoir », premier extrait de l’album est un authentique hymne métallique digne des plus grandes musiques de péplums.
Il fut écrit et composé en l’An 2023, en hommage à tous les fanatiques du groupuscule Ultra Vomit, que l’on surnomme désormais “Les Clients”.
Merci à vous, fidèles clients, car c’est grâce à votre pogn… passion, pardon, que nous gardons toujours ce même désir de parcourir l’univers pour aller à votre rencontre et vous exploser les tympans. Merci, pour tout l’arg… l’amour, bien sûr, que vous nous transmettez.
Vous nous donnez le pouvoir d’être puissant… Que dis-je… La puissance d’être pouvant.
High Fade sera en concert à Cléon « La Traverse » dimanche 8 décembre 2024 à 15h30. En 1ère partie se déroulera le 22ème trempin, avec des groupes originaires de Normandie ou de Picardie.
Sur une croisade à trois pour enflammer les pistes de danse avec leur marque inimitable de Blues/funk tranchant, High Fade peut déjà compter Jack Black, Cypress Hill, Glenn Hughes de Deep Purple, et Brad Wilk de Rage Against The Machine parmi leurs fans. Affinant leur son dans les rues de leur ville natale, Édimbourg, le groupe est à son meilleur lorsqu’il est proche et personnel avec le public ; avec plus de mille concerts à leur actif, leur performance live raffinée et contagieuse est devenue une partie intégrante de l’ADN du groupe, leur permettant de donner un spectacle qui dépasse tout ce que leurs fans ont vécu auparavant.
La Traverse organise en 1ère partie son 22e Tremplin des découvertes du Festival “Blues de Traverse”. Trois à quatre groupes, issus de Normandie et Picardie auront été sélectionnés (informations et inscription à cette adresse : (http://www.latraverse.org/Tremplin). Le Lauréat sera choisi par un jury de professionnels : organisateurs, musiciens, journalistes, animateurs de radio… Une voix parmis celles du jury reviendra au public, qui pourra soutenir son groupe favori et gagner des places aux concerts du printemps.
L’ affiche de cette nouvelle édition du Retro C Trop promet beaucoup, avec une programmation du samedi bien dans l’esprit de ce festival, composée de groupes légendaires qui ont marqué l’histoire du Rock. En effet, il est rare de retrouver sur une même scène les précurseurs du glam Rock avec Slade, les pionniers du Hard Rock avec Deep Purple et les inventeurs du Space Rock avec Hawkwind, sur la route depuis 1969 ! Les anglais se faisant rares sur notre territoire, nombreux étaient ceux qui avaient fait le déplacement à Tilloloy pour vivre ce moment avec la bande à Dave Brock. Malheureusement, il n’en fût rien, car à peine arrivé sur le site, une information circule au sujet de l’annulation du concert, suite à la panne de leur tour bus. Celle-ci se trouve d’ailleurs confirmée peu de temps après par l’organisation.
De plus une météo capricieuse viendra perturber le début d’après midi, les premières gouttes se faisant ressentir lors de la prestation de Slade. Mais cela n’empêche pas la formation, emmenée par le chanteur / guitariste Dave Hill, seul rescapé du quatuor original, d’enchaîner les hits qui ont contribué à leur renommée internationale. Comment ne pas vibrer au sons des ces titres fédérateurs tels que « Coz I Luv You » ou « Gudbuy T’Jane », ou encore l’incontournable « Mama Weer All Crazee Now », connu pour avoir été repris par une multitude de groupes à travers le monde (The Runaways, Gary Glitter, Quiet Riot, Mama’s Boys, Doogie White…) Mais le mythe en a encore sous le pied pour envoyer « My Oh My » et « Cum On Feel The Noize » en conclusion d’un set qui a tenu toutes ses promesses.
Phil Campbell a également un passé glorieux, car il fut le guitariste de Motörhead de 1984 jusqu’à la fin du groupe en 2015, consécutive au décès de Lemmy. Mais Phil a décidé de faire vivre cet héritage en poursuivant l’aventure avec ses fils, en créant le combo Phil Campbell And The Bastard Sons. Et il n’y a rien de plus efficace que les riffs du guitariste gallois pour incarner cet esprit Rock n’Roll, en partageant les brûlots incandescents du trio qui a marqué les 4 dernières décennies. Vous l’avez compris, c’est un show complet en hommage à Motörhead, auquel le public massé en nombre devant la scène aura la chance d’assister, les compositions du groupe ayant été occultées. Le puissance d’« Iron Fist » d’entrée de jeu met tout le monde d’accord, tout comme les classiques « Ace Of Spaces » et « Killed By Death » ! Les reprises bien senties de « God Save The Queen » des Sex Pistols et « Heroes » de David Bowie seront les seules exceptions du set, mais je retiendrais surtout ce joyau qu’est « Silver Machine ». En l’absence d’Hawkwind ce soir, ce fut une excellente idée d’interpréter cet hymne créé en 1972, lorsque Lemmy était membre de cette institution britannique du Space Rock entre 1971 et 1975. En guise de bouquet final, le très convaincant « Overkill » envoi du lourd, comme l’ensemble d’une prestation qui restera gravée dans la mémoire des fans.
Remplacer Hawkwind s’avère compliqué, d’autant que trouver un groupe ayant le même statut dans un délai aussi court relève de la mission impossible. Du coup, autant faire monter sur la scène principale Laid Back Country Picker déjà sur place, car initialement prévus pour jouer sur la petite structure. Laid Back Country Picker se compose d’un couple au look particulier, avec une batteuse qui se fait remarquer par sa tenue rose et ses bigoudis ! Son mari, chanteur et guitariste, monopolise l’attention autant par son style que par son humour décapant. La formation américaine, originaire de West Virginia, délivre ses compositions originales, dans un registre country blues, idéales pour passer un bon moment. Il faut reconnaître la qualité musicale de l’interprétation, remplie de nuances, au style accessible et apprécié par le plus grand nombre. Ce fut un moment intense pour Laid Back Country Picker de se retrouver ainsi propulsé sur cette mainstage devant une foule aussi compacte ! Et cerise sur le gâteau le soleil est de retour !
Les circonstances ayant quelque peu perturbé le running order, le passage de Uuhai est décalé de presque 2 heures. Il faut dire que le groupe originaire de Mongolie arrivait directement du Hellfest, après avoir foulé la scène de la Temple à 12h15 ! C’est donc à 20h30 précises que Saruul, Zorigoo, Shinetsog-Geni, Battuvshin, Batbayar, Dailaitseren et Otgonbaatar investissent la superbe scène du Retro C Trop. Et là, la magie opère ! Ce mélange de sonorités folk, metal et Rock prend aux tripes, grâce au relief des compositions qui alterne entre les ambiances plombées et celles plus aérées. La spécificité de la culture musicale mongole est liée à l’emploi d’instruments traditionnels tels que le Tovshuur (guitare mongole), le Morin Khuur (vièle à tête de cheval), et le Tumur Khuur (harpe à mâchoires). Ajouté à cela de gros riffs et une rythmique de folie emmenée par un batteur déchainé et un percussionniste qui martèle ses futs comme si sa vie en dépendait, et vous obtenez une dynamique qui vous transporte littéralement. La Preuve avec « Kar Khulz », morceau fédérateur s’il en est, qui démontre toute sa qualité mélodique liée à une énergie sans faille. L’audience est véritablement conquise par Uuhai, devant un show aussi spectaculaire et abouti d’un groupe qui a su partager son univers musical et culturel.
Après Scorpions, ZZ Top, Alice Cooper ou encore Status Quo, c’est au tour d’un autre dinosaure du Rock de se produire en tête d’affiche sur le site de Tilloloy. Deep Purple est accueilli par une fosse quasiment blindée, captivée dès les premières notes de « Highway Star ». Comment ne pas être aux anges devant les membres fondateurs d’un des plus grands groupes de tous les temps ! C’est un vrai plaisir de voir le souriant et efficace bassiste Roger Glover, d’apprécier la finesse de la frappe de Ian Paice, le seul ayant participé à tous les albums et tournées depuis la création du pourpre profond (1968) et de se délecter du timbre vocal si unique de Ian Gillan. Même si les capacités de ce dernier sont un peu plus limitées, notamment dans les intonations les plus aigües, il faut bien reconnaitre qu’il a su adapter la set list à son registre vocal actuel, tout en gardant les titres incontournables qui ont contribué à la légende du groupe. Les classiques « Lazy » et « Space Truckin » passent à merveille, remarquablement servis par un son d’une rare pureté. Mais Deep Purple, loin de réciter en « pilotage automatique » les mêmes morceaux à chaque tournée, a su innover en intégrant quelques pépites comme « Anya », « Hard Loving Man » ou « Into The Fire ». Ajouté à cela le retour aux sources matérialisé par les nouveaux titres « Portable Door », « Bleeding Obvious » extraits de leur dernier opus « =1 », et vous obtenez une alchimie toujours aussi remarquable. Même Don Airey se fait moins discret qu’à l’accoutumée, triturant son orgue Hammond jusqu’à en sortir les notes les plus alambiquées, se rapprochant ainsi du maitre Jon Lord. Mais la pièce maitresse de Deep Purple reste la guitare, dont de nombreux accords ont marqué des générations. Et de ce côté, il faut bien avouer que l’arrivée de Simon McBride il y a tout juste 2 ans en remplacement de Steve Morse, a redonné un nouvel élan au groupe. Son jeu à la fois fin et précis, valorisé par un feeling remarquable, n’est pas sans rappeler celui de Ritchie Blackmore, rien que ça ! L’intro de l’incontournable et très attendu « Smoke On The Water », résonne dans le parc du château, et c’est parti pour le dernier titre du show, au cours duquel la foule donnera de la voix en reprenant le refrain en chœur, pour un dernier frisson… Mais c’était sans compter sur les 2 rappels, « Hush » et « Black Night », envoyés par une formation sur laquelle le temps n’a pas de prise, et dont les émotions transmises resterons inoubliables.
Malgré la pluie en début d’après-midi, et les aléas de dernière minute, le Retro C Trop reste une référence en matière de festival à taille humaine. Mention spéciale pour le choix de ces artistes de renom ayant marqué leur époque, ce qui représente un sacré challenge, relevé avec brio par l’organisateur. Sans oublier l’accueil de toute l’équipe dans ce cadre exceptionnel, permettant de vivre une belle expérience que l’on prendra plaisir à renouveler en 2025 !
Merci à Ginger Prod, Philippe et Anne pour l’accréditation
Le groupe slovène Laibach sera en concert le 17 octobre au Forum de Vauréal !
L’album emblématique de Laibach, «Opus Dei» (comprenant des titres comme «Life is Life», «Leben heißt Leben» et «Einer Nation»), sorti en 1987 sur le label Mute, est enfin, après 26 ans, remasterisé et réédité sur vinyle et CD depuis mai 2024. Pour fêter ça, Laibach lance un «Opus Dei Tour» conceptuel, reprenant certains des morceaux de l’album pour la première fois depuis de nombreuses années.
En plus de ces titres, le groupe interprétera quelques-unes de ses chansons phares, avec quelques nouvelles surprises. Comme toujours avec Laibach, attendez-vous à l’inattendu.
Ina Forsman sera en concert à « La traverse de Cléon (76) vendredi 15 novembre 2024.
Ina Forsman représente tout ce qui a fait la grande musique d’une autre époque : brute, sincère, passionnée. Des titres écrits avec le cœur, chantés avec les tripes… Elle a une voix subtile, chantante, délicieusement enfumée et puissante, qui ne lâche rien jusqu’à la dernière note de la dernière chanson. Une voix empreinte de Soul et de Blues, aux accents de Nina Simone et d’Aretha Franklin. Ina Forsman sur scène : ça bouge, ça swingue pour de bon, avec le côté rétro d’une Soul cuivrée à l’ancienne, et la classe ultime de l’ambiance Jazz, relevée par la “modern attitude” d’une artiste de la nouvelle génération, qui porte avec grâce et élégance un héritage fort. De l’énergie et de la spontanéité à revendre, un sens inné du spectacle, une aisance déconcertante avec le public et un charisme digne des plus grandes chanteuses. Décidément, Ina Forsman est celle qu’on attendait.
Le second album de Little Odetta, intitulé « Little Bit Of Soul » sortira vendredi 20 septembre 2024.
« La formation blues rock française fait toujours aussi bien parler les riffs et pondre des lignes de chant accrocheuses. » Rolling Stone – février 2024
Little Odetta puise ses racines aussi bien du côté des géants du rock des années 60/70 que des figures du rhythm & blues afro-américain.
Le combo joue un rock pêchu où l’assise rythmique est mise en avant sans pour autant délaisser l’aspect mélodique, en intégrant des passages plus ambiants où nappes d’orgues et guitares réverbérées s’entrecroisent pour faire la part belle au chant.
Retrouvez Little Odetta en concert le 21 septembre 2024 à Paris « la Maroquinerie » à l’occasion de leur release party parisienne ainsi que sur bon nombre d’autres scènes jusqu’à la fin de l’année !
Dead Chic annonce ce jour la sortie officielle du 1er single inédit « Paris », extrait de leur 1er album à paraître cet automne.
Découvrez le clip aux effluves de « western spaghetti » associé :
Depuis la sortie très remarquée de leur tout 1er single/clip « Too Far Gone » en janvier 2022 et tout en enchaînant les dates (en France comme à l’étranger), les 4 « chics types » de Dead Chic n’ont de cesse de nous toucher en plein cœur avec leurs compositions à la fois sombres et élégantes : l’EP live « Bastion Session » (août 2022), l’EP studio « The Venus Ballroom » (mars 2023) ou encore la version live de ce 2nd EP, agrémentée du single inédit « Pain Love Joy » (février 2024).
Les voici de retour avec un tout nouveau single sobrement baptisé « Paris », qui s’avère également être le 1er extrait de leur 1er album studio (non, vous ne rêvez pas) dont la sortie est prévue en novembre 2024 !
« Paris » est une cavalcade épique dans un territoire sauvage, aride, immense.
D’abord un grondement excitant, une guitare lointaine, le chant qui couve… puis, le coup de feu part ! La horde surgit, les fuzz et les chœurs s’emballent jusqu’à atteindre leur paroxysme.
Tourné dans le désert de Tabernas (sud de l’Espagne), ce clip s’offre les décors qui ont fait l’identité des westerns spaghetti.
Dans une quête spirituelle, les personnages cherchent leur voie, affrontant leurs propres limites et celles de leur environnement jusqu’à se réunir pour le climax final.
Et pour illustrer cette bande son westernienne, le groupe s’est entouré de la réalisatrice Anastasja Black, accompagnée du producteur Rowan Biddiscombe auquel on doit les précédents clips du groupe.
Dead Chic sera sur les routes tout l’été avant de présenter son album en exclusivité le 15 octobre sur la scène du Hasard Ludique (Paris), à l’occasion du Warm Up pour la sortie du 1er album « Upton Park ».