Le Fréquence Metal Fest aura lieu Samedi 14 décembre 2024 à la mythique Poudrerie d’Esquerdes (62)

Le Fréquence Metal Fest s’apprête à faire exploser les décibels à la mythique Poudrerie d’Esquerdes, un lieu chargé d’histoire qui résonnera cette fois sous les coups de boutoir de guitares et de percussions. Le 14 décembre, préparez-vous à une véritable détonation sonore, où l’énergie brute sur scène des 6 groupes à l’affiche fera vibrer chaque recoin de cette ancienne fabrique.

Dans cette salle empreinte de puissance, l’atmosphère sera électrique, comme une poudrière prête à exploser au rythme des performances musicales. Venez assister à un festival où chaque note mettra le feu aux poudres, pour une soirée que vous ne serez pas près d’oublier.

Avec à l’affiche : Bloody Rosie tribute plays AC/DCSpiritUntil DeadVectorHyldr Deviant Ritual

Les billets sont disponibles ICI

10€ en prévente, 12€ le jour du concert

Restauration et buvette sur place

Y&T est désormais habitué à faire une halte à Vauréal lors de ses tournées européennes,

Et le « 50-Year Anniversary » ne fait pas exception à la règle. Pour la première de Yesterday and Today (nom lors de sa création en 1972 ndr) dans cette belle structure du nouveau Forum, c’est une jauge quasiment sold out, à quelques unités près, qui va vibrer au son des titres fédérateurs du combo américain. Dave Meniketti ne manquera pas de saluer la réussite de ce complexe, en mettant l’accent sur les conditions techniques et d’accueil, professionnelles et conviviales.

Le groupe n’ayant pas souhaité de première partie, nous rentrons tout de suite sans le vif su sujet avec « Hurricane », extrait de l’album culte « Earthshaker » sorti en 1981. Il faut dire que le quatuor ne s’économise pas, délivrant un temps de jeu plus que conséquent dépassant les 2 heures !

Le son est idéal, remarquable de puissance et de clarté pour apprécier à sa juste valeur les hymnes Hard Rock tels que « Meanstreak » ou « Black Tiger ». Les années ne semblent pas avoir de prise sur la voix de Dave Meniketti, dont le timbre et les intonations restent si caractéristiques et tellement proches de l’original.

Mais Y&T reste un groupe basé sur la complémentarité des 2 guitaristes, et à ce petit jeu, les harmonies de John Nymann se coordonnent parfaitement avec les solos de Dave, formant un duo en parfaite osmose.

Le tout emmené par une rythmique percutante, dont les sonorités puissantes de la batterie propulsent chaque titre à un niveau rarement atteint.

Les classiques tant attendus par près de 800 personnes se succèdent, avec « Dirty Girl », et surtout un « I Believe In You » tout en nuances, dont le feeling transmis au public sera perçu comme un sommet de ce concert.

Le fédérateur « Recue Me » enfonce le clou lors d’un final survolté, dont l’intensité est montée crescendo pour atteindre ce brin de folie qui nous fait tant vibrer ! Il n’y a que le live qui permet de vivre ces instants précieux et uniques, surtout quand des groupes de ce calibre se donnent à 100% !

Comme lors de ce premier rappel, le rapide « Hang’Em High », extrait de l’incontournable ‘ »Mean Streak » datant de 1983, Y&T démontre toute sa richesse mélodique, en mettant notamment l’accent sur des chœurs hyper travaillés du plus bel effet.

Fidèle à la tradition en clôture de show, c’est le très attendu « Forever » qui viendra, s’il en était encore besoin, embraser une salle entièrement conquise par cette prestation de très haut niveau, donnée par 4 musiciens heureux de partager ces classiques des 80’s.

Bravo à toute l’équipe du Forum pour avoir programmé cette date unique en France, d’Y&T, qui a su rassembler une audience conquise, dont les sourires à la sortie en disaient long sur la satisfaction d’avoir vécu ce grand moment.

Un grand merci à Aurélie, Angèle, Seb et toute l’équipe du Forum pour l’accréditation leur accueil au top.

Report & photos © 2016 Alain BOUCLY

Galerie Photos Y&T

Après une Victoire du Jazz pour son album « Tissé » et la sortie du single « Oizel », la songwriter du jazz francophone n’en finit plus de prendre le large et les tangentes poétiques.

Elle invite ici la flûtiste Naïssam Jalal à une ballade d’une douceur infinie, toute faite de souffle et d’espoir mais les pieds sur Terre, en hommage aux femmes poétesse et révoltées  d’hier et de demain (Colette Magny, Rosa Luxembourg, Louise Michel…)

Marion Rampal est depuis Mai dernier en résidence longue au festival Jazz sous les Pommiers , à Coutances.

Elle sera en concert à l’Athénée de Paris le 10 Janvier 2025 pour un concert avec son quartet de cœur , auprès de Matthis Pascaud, Simon Tailleu et Raphaël Chassin.

«Oizel», son nouveau recueil suggère une prise d’altitude. Comme un déploiement d’ailes qui, pareil à celui d’un oiseau marin, lui fait s’élever dans l’azur pour mieux plonger en elle-même, dans ces eaux profondes de l’identité, de la mémoire fondatrice où gît le trésor de ses souvenirs d’enfance. Si la figure de l’oiseau est devenue essentielle, c’est qu’elle couvait déjà sous sa plume. Son précédent recueil, «Tissé», s’achevait par un blues féministe, «Still a bird», où s’esquissait une affinité que «Oizel» prolonge et achève en convoquant la mobilité spatiale du migrateur, la nécessité vitale du nid,le chant réparateur.

«L’oiseau, sa symbolique à laquelle se rattache l’idée de liberté, m’a accompagné tout au long de la gestation de cet album dont l’enjeu était de s’emparer de la langue française plus que je ne l’avais fait précédemment.»

Si Marion a longtemps concilié le format chanson avec la liberté du jazz, elle s’est soumise cette fois au strict respect d’une construction plus classique couplet-refrain collant mieux aux histoires qu’elle souhaitait raconter, aux émotions qu’elle voulait partager, aux portraits qu’elle entendait dresser.

Fred Chapellier, Pat O’May et Patrick Rondat s’associent pour le Guitar Night Project ! A l’instar du G3, 3 guitaristes de folie vont se produire partout en France à partir du 13 novembre.

Après avoir sillonné les scènes du monde entier dans leurs projets respectifs: Les Vieilles canailles, Dutronc et fils, Johnny Hallyday, Jean Michel Jarre, Excalibur, Anne de Bretagne, Jethro Tull, leurs projets solo ou encore leurs collaborations innombrables, Fred Chapellier, Patrick Rondat et Pat O’May souhaitent, au travers de ce concert exceptionnel, partager leur amour de la guitare en rendant un hommage vibrant aux guitaristes qui leur ont donné l’envie de consacrer leur vie à la musique par le biais de cet instrument.

Pendant plus de 2 heures, ils vont vous emporter dans un univers magique et unique. Un voyage aux racines de la musique avec toujours cet amour du partage aussi bien entre eux qu’avec le public.

On est pas à l’abri de voir se rajouter un invité surprise certains soirs…

Du blues, du rock, de l’émotion, de la sueur, des anecdotes, de l’humour, c’est tout eux, c’est Guitar Night Project !

En tournée :

13/11 La Penne-sur-Huveaune

15/11 Royat

17/11 Savigny-le-Temple

18/11 Tourcoing

29/11 Pagney-derrière-Barine

15/02/25 Lyon

Shades : Sortie du nouvel album le 22 novembre 2024

Publié : 27 octobre 2024 par Alain B. dans Musique, News
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Le nouvel album de Shades, intitulé « Witchcraft », sortira le 22 Novembre 2024 via inoui distribution.

Shades, c’est un ensemble de voix au service d’une légende, celle des comédies musicales de Broadway des années 40 et 50 mais aussi celle des chansons qui ont consacré l’art vocal de Sinatra, Nat King Cole ou encore Ella Fitzgerald.

Deuxième album du groupe de jazz vocal Shades, « Witchcraft » (sorcellerie en Français) rend hommage à l’un des grands standards de jazz chanté par Frank Sinatra ou Ella Fitzgerald (pour ne citer qu’eux). Et c’est de jazz et de standards dont il est question avec Shades.

Après leur premier album «Blues Skies» et plus de 70 concerts dans toute la France, il était temps que le sextet retourne en studio pour nous livrer ses plus beaux arrangements des grandes chansons Américaines.

Avec une instrumentation inchangée et toujours très originale (guitare acoustique et clarinette basse pour la rythmique), Shades réussi le pari de moderniser de vieilles chansons telles que «Sweet Georgia Brown» ou encore « Saint James Infirmary Blues », que l’on pourrait classer, sans s’y tromper au patrimoine national des grandes chansons populaires Américaines.

Mais Shades ce n’est pas seulement une section rythmique atypique, c’est aussi (et surtout) l’harmonie parfaite des quatre chanteurs et chanteuses que composent le groupe. Casting des chanteurs proche de la perfection quand on entend la diversité des timbres de chaque voix, ainsi que de la précision et du soin apportés à l’interprétation de chaque chanson dans ce nouvel album.

À travers les neuf titres de leur album «Witchcraft», Shades prouve une fois de plus que le jazz, et encore plus le jazz vocal, n’a rien de démodé quand il est arrangé et interprété avec une telle énergie !

Six artistes très actifs de la scène jazz nationale donnent un nouvel élan à un répertoire vieux de près d’un siècle ! Shades, c’est la voix collective d’un jazz band à quatre tessitures : celle de Pablo Campos, d’Ellinoa, d’Elora Antolin et de Marion Chrétien portées subtilement par la guitare d’Antoine Laudière et la clarinette basse d’Etienne Quézel.

Cette traversée des grandes avenues musicales New-Yorkaises n’empêche pas les musiciens de Shades de se perdre, en toute conscience, dans les voluptueux méandres de l’improvisation vocale. C’est un peu comme si ces rues transversales conduisaient tout droit dans un club de jazz du Harlem des années 30, là où le meilleur du swing s’y créait, se défaisait parfois mais se réinventait inlassablement.

Cette intense créativité musicale n’était rendue possible que par une formidable envie de jouer ensemble et par une volonté de s’approprier un style tout en renouvelant son genre. Cette imagination et cette virtuosité imprègnent toujours le talent du groupe Shades.

C’est un Zénith de Paris quasiment sold out qui va accueillir cette belle affiche « old school », avec Alice Cooper et Doro, pour un retour dans les années 80, période dorée où les formations renommées se produisaient régulièrement en première partie de groupes ayant une stature internationale.

Toujours aussi heureuse de jouer devant ses fans français, la dernière prestation de la  » Metal Queen » remontant au Hellfest 2022, Doro envoie d’entrée de jeu « I Rule The Ruins », extrait de l’album de Warlock sorti en 1987, « Triumph And Agony ».

Le ton est donné, car sur les 9 morceaux joués ce soir, il y aura 7 brûlots incandescents issus de la discographie du premier groupe de Doro Pesch.

Accompagnée par ses fidèles musiciens toujours aussi énergiques, la puissance dégagée par le combo ne faiblira pas un seul instant, excepté sur « Fur Immer », au cours duquel Doro fera étalage de ses capacités vocales toujours impressionnantes.

L’hymne « All We Are », repris en cœur par un Zénith chauffé à blanc, viendra conclure un set mené tambour battant, qui a semblé beaucoup trop court. Il est vrai que les 45 minutes allouées à la souriante allemande nous ont laissé sur notre faim .

Difficile de faire l’impasse sur cette opportunité de revoir Alice Cooper un peu plus de 3 mois après le show grandiose du Heavy Week End à Nancy. (détails et interview UI N°99)

Et une nouvelle fois, le maître du « Shock Rock » nous a gratifié d’un spectacle de haute volée, comprenant tous les ingrédients qui ont fait sa réputation.

En très grand forme malgré ses 76 printemps, Alice Cooper reste un redoutable frontman, capable de multiplier les effets, aussi bien lors des nombreux changements de tenues qu’avec la panoplie théâtrale adaptée à la thématique de chaque morceau. Mais l’univers d’Alice va plus loin que cet aspect visuel, aussi abouti soit-il ! Bien sûr, la guillotine reste un grand moment, tout comme la camisole de force, le boa (de retour depuis Nancy)  ou la tribune politique lors d’un « Elected » plus que jamais d’actualité avec les élections présidentielles américaines. C’est avant tout le niveau exceptionnel de la performance musicale qu’il convient de saluer.

Grâce au choix des titres d’une part, car la succession de hits tels que « No More Mr Nice Guy », « Hey Stoopid », « Under My Wheels » ou encore « Billion Dollar babies », est simplement ce qu’il se fait de mieux en la matière.

Et d’autre part, nous avons droit à un enchainement de ces classiques dans un esprit bien rock’n’roll, direct et efficace, interprété par un groupe de furieux qui vont droit au but, tout en s’amusant ! Ryan Roxie et Tommy Eriksen s’en donnent à cœur joie, alternant les riffs et chorus ravageurs, mais c’est surtout Nita Strauss qui attire l’attention par ses déplacements incessants et sa présence sur le devant de la scène. Elle se permet même le luxe de nous gratifier d’un long solo en introduction de « Poison », démontrant à quel point Alice lui fait confiance en la valorisant comme elle le mérite !

La magie opère entre ces 3 guitaristes, qui font preuve d’une remarquable cohésion, tout en restituant la fibre Rock dont ces morceaux légendaires sont tellement imprégnés.

Glen Sobel va également démontrer toute sa technique lors d’un solo de batterie d’une grande variété, mis en relief par un son à la fois clair et puissant.

Un « School’s Out » de folie viendra clôturer un show qui a tenue toutes es promesses, tant visuellement que musicalement, grâce à un Vincent Furnier au top de son art, accompagné par un groupe de musiciens d’exception.

Après Nancy en Juin et Paris en octobre, comment de pas avoir envie de prolonger cette série, et le plaisir de vivre de tels moments de plaisir aussi intenses ! Pourquoi pas en 2025, car aux dires de Mister Cooper et de ses acolytes, l’envie de poursuivre l’aventure est toujours aussi présente !

Report & Photos ©2024 Alain BOUCLY

Galerie photos – Doro

Galerie photos – Alice Cooper

Franck & Damien seront en concert le 14 novembre 2024 à Paris « Les Étoiles »

Quand un duo de Folk songwriters de Bordeaux renoue avec la tradition des chanteurs surfeurs.

C’est important, la famille. Se sentir bien, relax, aimé, écouté, au sein d’une communauté de proches qui épouse le même feeling, les mêmes attractions, les mêmes sensations. Celle de Franck & Damien aime et partage le son ambré de la lapsteel, celui, enivrant de la slide, la rondeur de la 6 cordes et la fraîcheur du banjo. Le blues, la country music roots et le folk-rock qui naquit dans les granges de Laurel Canyon… Les harmonies, les voix chaudes, les rencontres, la simplicité, l’humilité, le partage… Le surf, les plages désertes, la Californie, l’Australie sauvage. Les membres de cette bande, vous les connaissez certainement : Xavier Rudd, Ben Harper, Jack Johnson, Donavon Frankenreiter, John Butler Trio. Oui : la famille, c’est essentiel. Entre cousins ou enfants adoptés, on se comprend tellement bien ! De plus, on parle la même langue : ici l’anglais, porté par des voix mélodieuses, laid back et jamais pressées sur des chansons souvent douces, souvent punchy, toujours puissantes, toujours percutantes. Leur tribu, Franck et Damien ne la voit pas si souvent : eux à Bordeaux et surtout dans leur Médoc adoré, terre de vignes, de rubans de sable, de vagues vierges et de bonnes vibes, les autres à Hawaii, Los Angeles ou dans le bush australien.

Pour leur second album après le chaleureux « You Can Find Your Way », c’est Donovan Fankenreiter, le surfeur d’argent, qui est venu passer le bout du nez et enchanter le nerveux et captivant California, dont il est lui-même l’incarnation. Car « Juniper Road », produit par Matt Grundyn, c’est l’album de la maturité et aussi celui de la plénitude et de la sérénité. La voix de Franck est pleine et vibrante, les harmonies ciselées, l’ambiance chaleureuse à souhait. Quand ils entendent cette histoire du premier pris en auto-stop par le second (où l’inverse), une rencontre tellement fortuite qu’elle en devint évidente, leurs potes en rigolent encore. Ok, cela ne s’est pas passé sur le Pacific Coast Highway à bord d’une Cadillac mais plus certainement dans une Clio sur la route de Lacanau.

« Entre carnet de voyage et album accrocheur, Juniper Road ne manquera pas de vous envouter » – Rolling Stone

« J’ai eu un coup de foudre » – George Lang / RTL

« Franck & Damien nous emmènent sur les routes californiennes ensoleillées » – France Bleu Gironde

Paul Di’Anno, chanteur historique d’Iron Maiden, est décédé ce 21 octobre 2024 à l’âge de 66 ans alors qu’il se trouvait chez lui à Salisbury. Paul Di’Anno, né Paul Andrews, souffrait depuis longtemps de graves problèmes de santé liés aux conditions dans lesquelles se trouvaient ses membres inférieurs. Ayant subi de nombreuses interventions chirurgicales, il a longtemps été contraint de voyager et de se produire en fauteuil roulant. Paul Di’Anno a joué sur les deux premiers albums d’Iron Maiden, « Iron Maiden » en 1980 et « Killers » en 1981.

Paul Di’Anno a effectué de nombreuses tournées françaises, en 2010, 2011 et 2013, accompagné par le tribute d’Iron Maiden Coverslave.

Après avoir pris la décision d’arrêter le groupe en 2016, Crucified Barbara annoncent leur reformation ! Déjà programmées au Sweden Rock festival du 4 au 7 juin 2025 pur une première date à domicile, les 4 suédoises se préparent à participer à d’autres événements cet été. Espérons qu’une tournée française pourra voir le jour !

Le communiqué officiel de Crucified Barbara :

« Chers tous,

Ça fait un moment, c’est le moins qu’on puisse dire ! Notre dernier concert remonte à presque dix ans. La pause a été nécessaire pour nous tous, mais… Notre amour pour notre musique, pour l’une pour l’autre et pour notre public ne s’est jamais effacé au cours de ces années. L’année prochaine, c’est le vingtième anniversaire de la sortie de « In Distortion We Trust » et nous voulons le célébrer avec vous !

Nous allons le faire en jouant les meilleures chansons de nos quatre albums en live l’été prochain ! Nos retrouvailles débuteront au Sweden Rock Festival qui aura lieu du 4 au 7 juin 2025 !

Nous avons déjà vécu des moments magiques en répétition et sommes étonnés de voir comment notre musique vit encore en nous, désirant être jouée. Nous sommes impatientes de nous produire à nouveau en live pour vous tous !

Mia, Klara, Ida, Nicki »

Winter Blues Band à découvrir en showcase le 14 Novembre 2024 à Courbevoie, Cabaret Jazz Club (95 Blvd de Verdun)

Winter Blues Band, originaire de Charente-Maritime, incarne une alliance musicale au cordeau avec Quentin Winter à la guitare et au chant, Cyril Babin à la basse et Sébastien Jonckheere à la batterie. Ensemble, ils interprètent un Rock/Blues carré et solide qui démarre au quart de tour.

Ce power trio vibrant d’énergie, fusionne les teintes envoûtantes du Blues aux pulsations énergiques du Rock. Avec ce 1er album, ils explorent et poussent leur style plus loin en flirtant avec les traditions musicales Françaises et Irlandaises, le Métal ou encore la World Music. Musiciens généreux et talentueux, le groupe distille un univers atypique et organique qui plonge le spectateur dans les entrailles d’un monde à la fois introspectif et exutoire.

Quentin Winter se livre à propos de l’album :

 » « Tale of a Lone Lil’ Boy » est notre premier album composé de 15 créations originales. Après avoir joué ces morceaux pendant deux ans sur scène, nous avons décidé de les enregistrer avec des invités et amis musiciens. Il a été capté en Seine-et-Marne et mixé en Picardie par Michel Taitinger. À 17 ans, j’ai découvert par hasard un morceau de Rich Walikis, puis un autre de Stevie Ray Vaughan, qui m’ont profondément marqué. Je me suis alors passionné pour le Blues Rock, remontant ainsi aux racines de ce style musical…en d’autres mots ça a clairement bouleversé ma vie. J’utilise plusieurs guitares pour explorer différents univers musicaux. Ma première guitare est accordée en accordage standard pour jouer dans le style de Stevie Ray Vaughan. Je joue aussi sur une guitare à 12 cordes accordée en Dadgad, un accordage utilisé dans la musique celtique, inspiré de mes années à jouer de la musique irlandaise. Enfin, j’utilise aussi deux autres guitares, accordées en open D et open G pour jouer en slide au bottleneck, une technique influencée par mon admiration pour Johnny Winter « .

Découvrez un extrait de l’album avec la vidéo de « See The Life On The Bright Side » :