La 10ème édition du British Steel Saturday Night se déroulera samedi 7 octobre 2023 à la salle des fêtes de Fismes (51)

Organisé par Underground Investigation, l’affiche fait la part belle aux groupes issus de la vague New Wave Of British Heavy Metal (NWOBH) des 80’s, dont les prestations sur notre territoire se font rares.

Pour cette 10ème édition de ce festival 100% Heavy Metal, l’association Underground Investigation propose une affiche internationale avec 8 groupes et 7 nations représentées.

Avec au programme :
Riot Act (U.S.A.) show spécial « Fire Down Under » (feat. Rick Ventura)
Thunderstick (U.K.) feat. Thunderstick (ex-Samson, ex-Iron Maiden)
Warhead (Belgique)
Iron Fate (Allemagne)
Esclavitud (Espagne)
Iron Kingdom (Canada)
Bastet (Italie)
Troyen (U.K.)

GanG (France)

Ouverture des portes à 13h30 (premier concert à 14h)
Metal market, session photos et séquences dédicaces
Buvette et restauration rapide sur place
Prévente : 25 € / Sur place : 30 €
La billetterie est disponible ICI
Informations : sylvcott@orange.fr

La chanteuse guitariste croate Vanja Sky donnera un concert exceptionnel samedi 18 novembre 2023 à La Rotonde de Fauville-en-Caux (76). Andy Balcon assurera la première partie de cette soirée placée sous le signe du Blues et du Rock.

Vanja Sky est la réponse croate à Sheryl Crow et Norah Jones. On a rarement vu une carrière artistique se développer aussi rapidement que la sienne ! Cinq ans après avoir appris à jouer de la guitare, Vanja enregistrait son premier album avec des artistes renommés de la scène blues internationale. Entre sa tournée mondiale au sein de la « Blues Caravan » de Ruf records avec Bernard Allison et Mike Zito, ses tournées solo et des ouvertures pour les légendaires U.F.O ou Canned Heat, Vanja est devenue capable de véritables prouesses en live. Elle rassemble régulièrement des milliers de spectateurs devant les scènes d’importants festivals internationaux.

Vanja nous promet un show incroyable pour un blues de novembre que vous ne pouvez pas manquer !

Andy Balcon, c’est l’homme qui a formé le premier groupe autoproclamé de «Beatbox blues» au monde avec Dave Crowe, lors de l’un de ses concerts en Nouvelle-Zélande. Guitariste précurseur au sein du duo «Heymoonshaker», il poursuit aujourd’hui une carrière solo. Sa voix rugueuse et ses talents de guitariste lui donnent des prédispositions à jouer le blues! Lors de son ascension sur la scène blues internationale, il a pu cotoyer les plus grands tels Neil Young, Gary Clark Jr, Bjork, Queens of the Stone Age, ou encore The Rolling Stones … En France, il a foulé des scènes mythiques comme celles de l’Olympia, La Cigale et le Bataclan à Paris, et cette année, nous avons la chance de l’avoir à la Rotonde.

Vous l’aurez compris, on attend avec un impatience sa performance sur la scène de la Rotonde !

Plein Tarif : 20 €
Réduit, Pass et -18 ans : 15 €

12 ans gratuit

Robin McKelle sera en concert au New Morning de Paris mardi 07 novembre 2023.

Son nouvel album, intitulé « Impressions of Ella », est disponible depuis le 2 juin 2023 via Naïve.

La plus française des américaines fait une fois de plus l’unanimité avec cet album hommage à Ella Fitzgérald.

Jazz Magazine : CHOC JAZZ MAGAZINE – 6 Femmes qui comptent « Pour son huitième album personnel, Robin McKelle revient avec un superbe hommage à Ella Fitzgerald en compagnie d’un trio d’exception emmené par le pianiste Kenny Barron. Rencontre avec une chanteuse de jazz non dénuée de soul. »

TSF Disque du jour – « Robin McKelle promène sa voix exceptionnelle sur les standards de son idole Ella Fitzgerald, avec le grand Kenny Barron au piano ! « 

France Musique Open Jazz – La Une !  » « Pour les pianistes, un album en piano solo est l’épreuve de vérité. Pour une chanteuse de jazz, un hommage à Ella Fitzgerald réclame la même maturité. Robin McKelle a attendu d’être prête et elle s’entoure d’un trio de haut vol. »

Le dixième album de The Silencers, intitulé « Silent Highway », sortira le 13 octobre 2023 via Music Box Publishing – Wagram.

Le 1er single intitulé « Whistleblower » vient d’être dévoilé, découvrez le ici :

Ce titre se construit comme un hymne Blues-Rock à la Robert Johnston, à la fois massif et percutant. Il soutient ces lanceurs d’alerte qui, dévorés par leurs découvertes et leur impact négatif, n’ont plus qu’un seul choix : celui de faire exploser aux yeux du monde cette vérité abjecte qui les ronge et ce, pour le bien de tous.

Ce nouvel opus est co-produit par Jimme des Silencers et Baptiste Brondy, batteur des Delgrès.

On se délecte à l’écoute de ces 12 titres, dont le son rappelle celui des 1ers albums.

Au début des années 80, quatre jeunes de Glasgow s’exilent à Londres pour monter ce qu’ils appelleraient à l’époque un ‘vrai’ groupe. Un groupe qui composerait des chansons personnelles, empreintes d’émotion, dans le but de toucher les gens. The Silencers était né et les voici aujourd’hui de retour avec un dixième album : « Silent Highway ».
La recette reste inchangée. Des morceaux méticuleusement fabriqués de manière artisanale, des mélodies exaltantes et des textes sensibles. Les douze titres qui composent « Silent Highway » vous marqueront et feront corps avec vous – un groove hypnotique qui vous fera taper du pied ou danser sur des paroles aussi bien authentiques, sincères ou irréelles que politiques, ironiques ou amusantes.
« Silent Highway » a été crée pendant le confinement de 2020 entre Nantes, Rennes et Glasgow, et co-produit par Jimme et Baptiste Brondy, batteur du groupe Delgrès. Jimme O’Neill souhaitait revenir aux sources de ce qui a forgé le son des Silencers à savoir leur tout premier album « A Letter from St. Paul », celui par lequel tout à commencé.
Même si les trois premiers albums de The Silencers ont été disques d’or en France et que le groupe jouit toujours d’une très solide communauté de fans ici et dans le monde, le souhait profond de Jimme était, avec ce nouvel album, d’être à la hauteur et de ne surtout pas les décevoir.
Ce confinement signifiait donc que le groupe allait devoir trouver une nouvelle manière de travailler et d’enregistrer ce dixième disque – il leur fallait compter sur la technologie pour échanger leurs idées.
Et finalement, après que chaque membre eut fait sa part dans son coin, le résultat était là avec le souvenir du premier album bien présent et un « Silent Highway » comme une synthèse quasi- parfaite de tout ce qu’ils avaient accompli et réalisé depuis leurs débuts.

Grant Haua sera en concert samedi 23 septembre 2023 au Jazz Club Etoile de Paris, pour la release party de son nouvel album « Mana Blues », disponible depuis le 8 septembre.

« Mana Blues » est le nouvel album de Grant Haua, le bluesman Maori originaire de Tauranga en Nouvelle-Zélande. Un disque résolument électrique qui confirme sans coup férir que le talent du kiwi est toujours aussi bluffant. La qualité mélodique est imparable, sa voix toujours aussi envoûtante et sa technique de guitare sans faille.

Bref, la marque des plus grands que la présence remarquée et remarquable des Inspector Cluzo sur le titre d’ouverture de l’album ne fait que mettre encore plus en valeur. Assurément un des grands moments musicaux de cette rentrée de septembre 2023.

  • Grant Haua : Chant & Guitare
  • Neal Black : Guitare
  • Abder Benachour : Basse
  • Denis Palatin : Batterie
En tournée :
22/09 : Le Puy en Velay : « La Distillerie » (w/Neal Black & band)
23/09 : Paris : « Jazz Club Etoile » (w/Neal Black & band)
25/09 : Solothurn – Suisse (guest Neal Black)
29/09 : Blue in Athena – St Saulve (w/Neal Black & band)
01/10 : Le Groovy – Freyming Merleback (solo – 1ère partie Cutting Crew)
04/10 : Theolonious Café – Bordeaux (solo)
06/10 : Zygo Bar – Nantes (solo)
13/10 : La Maroquinerie – Paris (solo – 1ère partie The Silencers)
14/10 : Le Grillen – Colmar (solo – 1ère partie The Silencers)
15/10 : Chez Paulette – Pagney Derrière Barine (solo – 1ère partie The Silencers)
26/10 : Dampierre en Yvelines en Yvelines : « les 17 » (solo)

Boney Fields : Sortie du nouvel album le 13 octobre 2023

Publié : 14 septembre 2023 par Alain B. dans Musique, News
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Le nouvel album de Boney Fields, intitulé «Just Give Me Some Mo’», sortira le 13octobre 2023

Boney Fields sera en concert le 24 Janvier 2024 à Paris / New Morning

Tandis que la crise sanitaire internationale imposait au monde de s’interroger sur le sens des priorités dans le silence pesant d’un confinement généralisé, Boney Fields réfléchissait déjà à l’étape suivante. Que vaut un artiste s’il ne monte pas sur scène ? Plutôt que se contenter d’apparitions furtives sur les réseaux sociaux, il préféra composer intensément dans la quiétude de cette parenthèse planétaire historique. «Just Give Me Some Mo’» est le vœu sincère d’un artiste impatient de ressentir à nouveau la texture musicale de ce nouveau disque qui ressuscite le scintillement des grandes formations d’antan quand les cuivres soutenaient majestueusement les solos de guitare et les prouesses vocales des artisans du blues.

«Cross My Heart», en hommage à l’harmoniciste et chanteur James Cotton, l’un des héros et compagnon de route de Boney Fields, est certainement le titre le plus représentatif de cette humeur groove trépidante que les musiciens de blues authentiques savent instiller. Boney Fields a en lui cette tonalité presque funk suffisamment mûrie pour titiller nos oreilles et nous faire taper du pied. En revitalisant, par exemple, «The Thrill Is Gone», dans l’esprit de son auteur originel (Roy Hawkins), Boney Fields perpétue la tradition des orchestres fougueux d’autrefois sans altérer la modernité de son irrésistible tempo. Beaucoup plus personnel que tous ses précédents albums, « Just Give Me Some Mo’ » est aussi l’expression d’une introspection, celle d’un homme qui se souvient sans se noyer dans une sombre nostalgie.

En faisant appel à Sebastian Danchin pour la réalisation de cet album, Boney Fields s’adresse à un historien de la culture afro-américaine dont l’oreille affûtée a déjà conquis Little Milton, Mighty Mo Rodgers, Toni Green ou Jean-Jacques Milteau, entre autres. S’entourer des bonnes personnes est un sacré challenge. Boney était convaincu que le guitariste sénégalais Hervé Samb serait, lui aussi, un bon directeur musical. Ils auront donné du corps et du tanin à ce disque trépidant qui, gageons-le, fera date. « Just Give Me Some Mo’ » sera désormaisrmais un leitmotiv partagé, celui d’un insatiable chef d’orchestre et celui d’admirateurs éclairés.

Le nouvel album de New Model Army, intitulé « Sinfonia », sortira le 15 septembre 2023

À travers sa longue carrière, New Model Army n’a jamais fait de choix simples ou sûrs, devenant l’un de ces groupes qui fuit la célébrité tout en poussant ses limites de créativité après chaque album à succès ; devenant ainsi un groupe qui continue à s’épanouir à travers les années dans leur genre singulier.

Cette année New Model Army revient avec un nouvel album Live intitulé « Sinfonia », enregistré au Tempodrom de Berlin le 15 juillet 2022 en compagnie du Sinfonia Leipzig Orchestra et dirigé par Cornelius During. Pour certains, cet album est une évolution classique pour New Model Army mais en réalité le groupe est allé au-delà de l’exercice, dépassant les barrières du style et défiant toutes nos attentes. Tous les morceaux ont été réarrangés pour l’orchestre et ce concert se présente réellement comme un voyage à travers l’espace et le temps avec ce groupe qui a toujours su créer une musique vitale et viscérale.  New Model Army et l’orchestre ont réussi à créer une symbiose et élèvent les morceaux avec puissance et sensibilité, leur donnant de nouvelles et modernes interprétations tout en gardant l’essence et l’identité du groupe.

« Sinfonia » est disponible aux formats Double CD Mediabook et Triple Vinyle Gatefold

Orange Metalic Festival returns for its second edition. Four awesome bands were on the stage to please the awesome crowd. Trivium opens the  Metal Ball with their last ( 2021) opus In the Court of the Dragon. Their specific Heavy Metal is described as Metalcore, Trash, Prog, and Melodic Death.  The eponym In the Court of the Dragon was the right song to hit the audience.

Then Matt Heafy and his mates mix « soaring » and « crushing ». And that’s exactly what the public and fans want to hear. A clear and straight-to-go set. Trivium drops off after the opening: Down from the Sky, Becoming the Dragon, Strife, and Feast of Fire. Another go and we hear Amongst the Shadows & the Stones. Both Matt again sings along with a screaming & guttural voice. Then comes the time to play one of the acclaimed tracks from The Sin & The Sentence,  The Heart From Your Hate. We return to the past with A Gunshot to the Head of Trepidation from Ascendancy 2005.  Awesome moments with the public.  Even if we are not fans, Trivium is one of the bands you can not avoid at a Festival. The Music, the Energy, the Lyrics & the Heart is here. The amazing sound of Capsizing the Sea leads us to the final act of the set In the Waves. What an awesome ending to a various set. It was like a voyage from the Past to the future. Trivium is one of the New Wave of American Heavy Metal references. They are one of the « Big Four » of the movement, along with Lamb of God, Avenged Sevenfold, and Slipknot.

Mennecy Metal Festival est de retour. Pour sa onzième édition et comme à l’accoutumée de belles têtes d’affiches sont au rendez-vous. L’un des pionniers de la scène suédoise du Gothenburg en Death Metal At The Gates et les Anglais que l’on ne présente pas Paradise Lost.  Sans oublier les Athéniens de Rotting Christ est le gros poisson de la dernière journée.

D’autres artistes prendront part à la grande « Messe Métalique » les Français comme Black Bomb A, Sortilège et Les Ramoneurs de Menhirs,  Satan Jokers, Tribute to Thrash et Akiavel, Electric Mary qui de l’Australie, les Américains Master et The Mercury Riots  et les Ukrainiens de Karpathian Relict entre autres.

Ne manquez pas le Mennecy Metal Fest (avec Paradise Lost, At The Gates et Rotting Christ) les 8, 9 et 10 septembre

La route vous rendra plus fort ou vous brisera. Pour y survivre vous devez être aussi puissant que l’asphalte et vous déplacer le plus rapidement possible, pour que vos concurrents mangent la poussière. Alice Cooper a parcouru les routes de plusieurs continents pendant plus de cinq décennies, donnant des milliers de concerts et parcourant plus d’un million de kilomètres, l’artiste multi-primé aux Grammy® Awards et intronisé au Rock and Roll Hall of Fame® reprend du poil de la bête sur son 22e album solo, « Road » [Verycords/earMUSIC].

Pour boucler la boucle, il canalise l’esprit du Alice ‘à l’ancienne’, plein d’ardeur et avec ce grain immédiatement reconnaissable. C’est tout ce que l’on pourrait espérer d’Alice Cooper et plus encore. Et cette fois-ci, ses compagnons de longue date sont de la partie : Ryan Roxie, Tommy Henrikson et Nita Strauss à la guitare, Chuck Garric à la basse et Glen Sobel à la batterie.

« Dans le passé, le show était plus important que la musique », dit Alice en riant. « Nous avons eu des albums qui se sont classés numéro un, mais c’est toujours ce que nous avons fait sur scène qui a fait parler de nous. Pour « Road », je voulais que le groupe soit impliqué dans la création de toutes les chansons. Je ne les vois que lorsque nous sommes sur la route. Je voulais donc qu’ils soient aussi soudés qu’ils le sont pour le concert, mais sur de nouveaux morceaux. C’est ce que nous avons fait pour cet album. Quand vous avez un groupe aussi bon, je crois qu’il faut le montrer, et c’est ma façon de le faire ».

Habitué à faire les choses à sa manière, Alice a marqué la musique rock de son empreinte grâce à un show grandiose inégalé et des hymnes intemporels tels que « School’s Out »« No More Mr. Nice Guy » ou encore « Poison ». Avec plus de 50 millions d’albums vendus à travers le monde, il a obtenu une étoile sur le Hollywood Walk of Fame® en 2003, et le Rock and Roll Hall of Fame® l’a intronisé en 2011. Fort d’un des catalogues les plus influents de l’histoire, Rolling Stone a cité « Love It To Death » (certifié platine en 1971) parmi les « 500 plus grands albums de tous les temps ». Ce n’est pourtant pas son seul album à succès et parmi ceux certifiés disques de platine, on peut ainsi citer « Killer » (1971), « School’s Out » (1972), « Billion Dollar Babies » (1973), numéro 1 du Billboard 200) « Welcome to My Nightmare » (1975) et « Trash » (1989). Ce dernier a même été classé par Rolling Stone parmi les « 50 plus grands albums de Hair Metal de tous les temps », tellement ancré dans la culture populaire de générations entières qu’il a non seulement fait un caméo culte dans « Wayne’s World » en 1992, mais également joué aux côtés de John Legend et de Sara Bareilles dans la production 2018 de « Jesus Christ Superstar Live in Concert » d’Andrew Lloyd Weber (NBC). Et qui d’autre que lui est apparu dans les séries « The Muppets et That 70s Show » dans les années 70 et 80 ?

Au-delà de centaines de synchronisations, de nombreux artistes ont repris ses morceaux, d’Etta James aux Smashing Pumpkins en passant par Megadeth ou The Flaming Lips. Beaucoup d’autres l’ont samplé, des Beastie Boys à Disturbed. Il a également collaboré avec d’innombrables grands noms tels que le regretté Vincent PriceAerosmithGuns N’ Roses et Jon Bon Jovi, pour n’en citer que quelques-uns. En outre, il a cofondé Hollywood Vampires aux côtés de Joe Perry d’Aerosmith et de Johnny Depp.

Plus récemment, « Detroit Stories », sorti en 2021, a été largement salué par la critique, Classic Rock le qualifiant même comme «son album de heavy rock le plus travaillé et le plus précis depuis 50 ans ». L’album s’est hissé à la première place du Billboard Album Sales Chart, a atteint la première place en Allemagne et a fait 9 entrées dans le Top 10 à travers le monde.

Tout au long de l’année 2022, il a collaboré étroitement avec les membres de son groupe et son producteur de longue date, Bob Ezrin, pour mettre au point ce qui allait devenir « Road ».

J’ai dit à tout le monde : « C’est votre album, alors je veux que vous y apportiez tous des chansons », se souvient-il. « Entendre Ryan ou Tommy donne beaucoup de personnalité à l’album. La colonne vertébrale, c’est le groupe. Une fois qu’ils ont partagé leurs idées, Bob et moi nous sommes assis là et avons relié les chansons. C’était comme mettre en scène une pièce de théâtre. Nous sommes de la vieille école ; nous écrivons toujours des albums thématiques. »

L’album s’ouvre sur « I’m Alice ». Un battement de tambour poussiéreux donne le ton, tandis que la guitare gémit au loin. La voix rauque d’Alice, immédiatement reconnaissable, s’installe : « Je sais que vous cherchez à passer un bon moment. Alors, laissez-moi vous présenter un de mes amis. Je m’appelle Alice. Je suis le Maître de la Folie, le Sultan de la Surprise… alors n’ayez pas peur, regardez-moi dans les yeux. »

Ryan a apporté « I’m Alice » et nous nous sommes dit : « Il FAUT que ça ouvre l’album », poursuit-il. « On ne se bat pas. On la laisse être ce qu’elle est. Elle pose les bases pour le reste de l’album ».

Ailleurs, « White Line Frankenstein » s’articule autour d’un riff qui fait hocher la tête et se dirige vers un refrain chantant, « They call me ‘White Line Frankenstein' », avant un solo de Tom Morello, assez chaud pour brûler du caoutchouc.

« Si vous êtes un chauffeur de camion qui est là depuis longtemps, vous dominez la route », ajoute-t-il. « Dans la chanson, ce dur à cuire surréaliste conduit sur des lignes blanches pendant toute sa vie, et il est probablement en train de FAIRE des lignes blanches. Donc, ‘White Line Frankenstein’ serait sa bande originale. C’est monstrueux et définitivement une chanson faite pour la scène ».

Un piano ragtime et une ligne de basse funk traversent la distorsion sur « Big Boots », alors que les paroles décrivent une interaction dans un restaurant avec beaucoup de double sens. « C’est la chanson la plus drôle », dit-il en souriant. « La serveuse dit « Take me on tour » et le type répond « Well, she’s got big boots ». C’est ça la blague ».

Kane Roberts (un collaborateur d’Alice en tournée et en enregistrement dans le passé, qui a brièvement rejoint Cooper sur la route en 2022) fait une apparition spéciale, contribuant à la rauque et déchirante « Dead Don’t Dance ». Parmi les autres contributeurs à l’album, on trouve Tom Morello de Rage Against The Machine qui a coécrit, joué et chanté sur « White Line Frankenstein », ainsi que Keith Nelson de Buckcherry et Wayne Kramer de MC5, qui ont également coécrit de nouvelles chansons avec Alice.

Cette équipe de démolisseurs soniques a repris « Road Rats » de l’album « Lace and Whiskey » de 1977 sous le nom de « Road Rats Forever » en « hommage aux roadies ». À l’autre bout du spectre, « 100 Miles to Go » capture le désir de rentrer chez soi à la fin d’une tournée. Le groupe a terminé son voyage par une reprise de « Magic Bus » des Who. Alice sourit : « Nous aimons l’originale, alors nous l’avons rendue plus hard rock. »

En fin de compte, la route est plus ouverte que jamais pour Alice Cooper.

« Il n’y a pas de temps mort pour moi », conclut-il. « J’ai cet album, cette tournée, Hollywood Vampires et bien d’autres choses encore. La plupart des gens de mon âge veulent se reposer et se détendre. Je ne me suis jamais senti aussi bien. Physiquement, je n’ai jamais été aussi en forme. Je ne cherche pas à me retirer. Je ne vais pas prendre ma retraite et je ne veux pas que l’on pense que c’est le cas. Je suis au sommet de mon art en ce moment ». – Rick Florino, mai 2023

« Road » sera disponible dans les versions suivantes :
– Double Vinyle LP Noir, CD, Blu-ray ou DVD
– Coffret collector en Double Vinyle LP + CD + la vidéo Blu-ray du concert Live Hellfest + goodies
– Edition limitée en Double Vinyle LP coloré marbré rouge + le DVD Live Hellfest
– Edition limitée en Double Vinyle LP coloré marbré Orange