« Hard Blues Shot » le nouvel album de Laura Cox Band sortira le 10 mars 2017 chez Verycords/Warner.

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Ne manquez pas Laura Cox Band en 2017:
27/01/17 Les Cuizines – Chelles
03/03/17 Marnaz Metal Fest – Marnaz
04/03/17 Le Brin de Zinc – Barberaz
10/03/17 La Cave Dimière – Argenteuil
11/03/17 Sale Polyvalente – Houville la Branche
18/03/17 Billy Bob’s Disney – Chessy
24/03/17 Le Sonograf’ – Le Thor
25/03/17 Festival Lax’n’Blues – Baraque De Fraysse
26/03/17 Hall Blues Club – Pélussin
31/03/17 Salle des Ardoisières – Redon
08/04/17 Rassemblement Road & Rock – La Barben
21/04/17 Le Gueulard plus – Nilvange
29/04/17 Centre Culturel l’Ellipse – Moëlan sur Mer
23/06/17 Masterclass – Palézieux (CH)
24/06/17 Rockobattoir – Palézieux (CH)
07/07/17 Dax Motors n’ Blues Fest – Dax
08/07/17 Plane ‘R Fest – Colombier Saugnieu
22/07/17 Festival Bredenne (B)
23/07/17 Music & Tattoo Festival – Puymeras
29/07/17 Macadam Motor – Couches
25/08/17 Festiverbant – Genève (CH)

D’autres dates sont à venir !

Découvrez la vidéo  » Hard Blues Shot » ICI

L’interview de Laura Cox est ICI

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starset-cdLe 27 janvier 2017 sortira «Vessels», le nouvel album de Starset en CD & Digital.

Ecoutez «Monster (You made me)» ICI

Si en 2014 «Transmissions», le 1er album de Starset, avait créé l’événement en atteignant des scores massifs pour un premier effort (95 000 albums vendus en physique et plus de 200 000 en digital !), gageons que grâce à la richesse et la qualité de ses compos ce «Vessels» va conquérir un public encore plus large.

Produit par Rob Graves (Halestorm, Red, All That Remains) et mixé par Ben Grosse (Depeche Mode, Marilyn Manson, Filter) «Vessels»  est une sorte de chaînon manquant entre Linkin’ Park, Radiohead, Trent Reznor et Hans Zimmer. L’ambiance atmosphérique d’un titre comme «Back To The Earth» transporte l’auditeur vers les refrains entêtants de singles tels que l’obsédant «Monster (You made me)», le majestueux «Last to Fall» ou du quasi progressif «Frequency».

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Ce n’est par hasard Starset cumule déjà plus de 500 millions de vues sur YouTube, puisque la musique du groupe s’écoute presque comme l’on regarde un film… Les fortes influences SF rendent chaque chanson encore plus passionnante, et transforment le combo en une sorte de vaisseau spatiale voyageant quelque part entre la Terre et la planète Prox… 

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Le second évènement annuel organisé par l’association C Comme ça est placé sous le signe des légendes du Rock. Fidèle à sa programmation basée sur les artistes les plus mythiques, avec le passage de pointures telles que Blue Oyster Cult, Slade, John Mayall, Blackfoot, Procol Harum, Wishbone Ash, Michael Schenker ou encore Barclay James Harvest la veille, la salle de la Poudrière accueille cette fois UFO accompagné de Sam Willcox Blues Band qui fait office de régional de l’étape.

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Le trio nordiste formé au début des années 80 aura l’honneur d’ouvrir la soirée, devant une un foule compacte qui n’est pas loin de remplir complètement ce lieu devenu incontournable dans le monde du rock. Fort d’un grande expérience scénique, Sam Willcox, seul rescapé du groupe d’origine, va mettre le feu en balançant les brûlots à la sauce blues rock sur vitaminés. Les intonations sudistes dignes d’un ZZ Top font mouche, tout comme les riffs tranchants de JP Chiche, au jeu de guitare à la fois précis et gorgé de feeling.

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Le son est idéal pour restituer le relief d’une rythmique d’enfer, et propulser une énergie maximale tout au long d’un set sans concessions. Sam Willcox Band se fait plaisir et le public le lui rend bien, en participant activement par la voix ou les gestes des fans devant la scène. Les demoiselles du premier rang peuvent en témoigner ! Voilà une entrée en matière réussie sur tous les points, avec un groupe qui s’est donné à 100% et qui continue de monter en puissance après plusieurs concerts donnés ces derniers mois, dont une prestation remarquée au Raismesfest.

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Le retour d’UFO à Leffrinckoucke 10 après leur précédente venue ne va pas passer inaperçu. Car nous allons avoir droit à une set list mémorable, parfaitement équilibrée entre le percutant « Run Boy Run » extrait du dernieralbum en date « A Conspiracy Of Stars » sorti l’an dernier, et l’enchainement du classique « Lights Out » toujours aussi magique. Phil Mogg est bien en voix, avec ce timbre si reconnaissable devenue la marque d’UFO. Il est dommage que son mixage un peu en retrait n’ait pas permis d’en apprécier toutes les finesses, mais le bougre assure l’essentiel.

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La montée en régime de l’ovni va s’intensifier dès l’intro au claviers de « Love to Love » enchainé avec riff dévastateur de Vinnie Moore et la batterie plombée d’Andy Parker. Le sens de la mélodie d’UFO est réellement ce qui se fait de mieux dans la sphère hard rock, grâce à cette succession de contrastes et de reliefs, entre calme et tempête.

Les hymnes incontournables que sont « Too Hot To Handle » et « Rock Bottom » vont enflammer le public qui se fait entendre. Vinnie enchaine les solos à la vitesse de la lumière, tel un guitar hero au toucher remarquable de précision. Le successeur de Michael Schenker et de Paul Chapman fait maintenant partie intégrante du groupe, après déjà 13 années passées à envoyer les accords de « Doctor Doctor ». Ce titre tant apprécié par Steve Harris qui sert d’introduction aux concerts d’Iron Maiden sera joué en 1er rappel, suivi par un « Shoot Shoot » toujours aussi fédérateur.

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UFO a une nouvelle fois démontré que les années n’altèrent pas la qualité d’une prestation aboutie sur tous les points, aussi bien musicalement que par l’envie démontrée par Phil, Vinnie, Andy, Paul et Rob. Les blagues à 2 balles de Phil Mogg entre les morceaux ajoutent cette touche d’humour un peu décalée, mais bien sympathique !

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Le succès de cette soirée à « La Poudrière » prouve que les évènements organisés à Leffrinckoucke fédèrent un public de passionnés de plus en plus conséquent, qui apprécient cette ambiance chaleureuse et la proximité avec les artistes. L’équipe de l’association C Comme ça mérite d’être remerciée pour son travail et son dévouement, sans oublier son président Jean François Michel et la ville de Leffrinckoucke.

Report & photos © 2016 Alain BOUCLY

L’interview de Sam Willcox est ICI

Live Art Factory by Caramba Spectacles (Lic 2-1068201 et 3-1068202) présente:

Marillion en Concert le samedi 7 octobre 2017 au Zénith de Paris – La Villette.

Ouverture de la billetterie : Vendredi 9 décembre 2016 à 10h00 ici

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Après la sortie remarquée de leur 18ème album «F E A R» qui leur a offert une place de choix dans tous les charts européens et 3 dates en France dont un Elysée Montmartre à Paris sold out, Marillion jouera en 2017 au Royal Albert Hall à Londres pour la première fois de sa carrière (sold out en quelques minutes).

Réputés pour être le secret le mieux gardé de la scène musicale anglaise, il se peut très bien que vous n’ayez jamais entendu parler de Marillion, et pourtant, il est probable que vous ayez été marqués par leur influence sur l’industrie musicale d’une façon ou d’une autre.

Toujours incroyablement créatif après plus de 35 ans de carrière, ce n’est pas avec «F E A R» que Marillion décevra son énorme communauté de fans !

Avec un rock, certes un peu expérimental, mais qui laisse toujours la part belle aux mélodies et aux émotions, et des paroles parfois engagées, le groupe s’est construit une fan base incroyablement solide, et qui n’a de cesse de grandir, fidélisant au passage une génération entière de nouveaux fans qui découvrent tout juste leur immense catalogue.

Marillion est devenu au fil du temps une pierre angulaire du rock (prog, mais pas que) international. Qu’ils soient pour vous, une vieille connaissance, ou une histoire d’amour sur le point de naître…

En France, c’est le samedi 7 octobre que nous les retrouverons au Zénith de Paris pour un concert exceptionnel !

Entretien avec le chanteur / bassiste Sam Willcox réalisé par Alain BOUCLY pour Ride The Sky, le 5 novembre 2016 à Leffrinckoucke – « La Poudrière »

– Qu’est-ce qui t’as motivé à reformer Willcox après une longue période d’inactivité ?

Après avoir frôlé la mort il y a 2 ans, je me suis dit qu’il fallait que je remonte sur scène pour refaire du rock’n’ roll et envoyer les décibels !

J’ai appelé mon producteur, pour lui dire que j’arrêtais toutes les collaborations avec d’autres artistes pour reformer Willcox. C’est aussi simple que cela !

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 – Peux-tu nous présenter le line up actuel ?

Il y a Camille Greneron à la batterie et JP Chiche, un guitariste parisien très efficace.

 – Ta musique est un mélange de Hard Rock et de Blues. Quelles sont tes influences majeures ?

Jimi Hendrix !

 – Parles nous un peu de ce concert de Jimi Hendrix à Londres en 1968…

C’était au Marquee club, et je me souviens avoir vu Eric Clapton monter sur les épaules de Pete Townsend des Who. Mon père était directeur du cimetière Britannique de Melville, et je me suis retrouvé à Londres pour apprendre ce métier. Un soir, je trainais au Marquee, et Jimi s’y produisait ! C’est là qu’a eu lieu le déclic et ma décision était prise. Je savais ce que je voulais faire !

– Quelles sot les grandes lignes de ta carrière, les éléments les plus marquants?

J’ai eu beaucoup de chance, car tout a été très vite. Je me suis retrouvé à faire des plateaux télé, travailler et accompagner en tournée les artistes les plus variés comme Patricia Kass, Garou, Joe Cocker, tout en écrivant pour d’autres.

Mais les meilleurs moments ont lieu tous les soirs, lorsque je suis sur scène, mais aussi les rencontres et le public. Je vais te dire, ce sont les étoiles que je vois dans les yeux des gens quand je joue, mais aussi après. Le bonheur que tu transmet au public est le plus important, voilà ce qui me marque le plus.

Bien sur, lors de tournées à travers le monde, il y a de nombreuses anecdotes, comme par exemple cette cuite avec le producteur des Beatles George Martin !

– Et avec le recul, si tu devais changer quelque chose, ce serait quoi ?

Rien !

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– Quels souvenirs gardes-tu des concerts avec Rory Gallagher ?

J’ai du partager la scène 2 ou 3 fois avec Rory. La première fois, alors que j’étais entrain de jouer, je me retourne et je vois un mec qui sautait comme un pantin derrière ! C’était lui ! Ce que j’en retiens, c’est son sourire, car c’est un gars qui souriait tout le temps, sans parler de son extraordinaire jeu de guitare.

– Et plus généralement, quel est le moment le plus intense vécu dans toute ta carrière ?

Comme je le disais précédemment, c’est toujours très intense à chaque fois que je monte sur scène. Et c’est encore plus fort maintenant par rapport à la période ou j’avais 20 ou 30 ans.

– Comment vois-tu l’avenir de Willcox ?

L’avenir, c’est de jouer le plus possible. J’espère mourir sur scène en tout cas !

– Quels sont vos projets, concerts en prévision, enregistrements ?

C’est aujourd’hui la dernière date de la tournée commencée à la fin du mois d’avril.

Il y a le tournage du nouveau clip qui se déroulera dans le midi à partir de la  semaine prochaine. En plus de l’album, il est nécessaire de mettre l’accent sur le visuel pour faciliter la promotion.

Durant les prochains mois, je vais travailler dans mon studio d’enregistrement avec d’autres groupes avant de reprendre la route avec Willcox.

– Qu’attend tu du show de ce soir ?

Beaucoup de fun, et que tout le monde prenne son pied. Envoyer la sueur et les décibels ! Hot & Sweaty !

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– Je te laisse le mot de la fin pour les fans et les lecteurs de Ride The Sky:

Long Live Rock’n’Roll !

Un grand merci à l’association C Comme ça et à son président Jean François Michel pour la remarquable organisation des concerts à « La Poudrière »

Réalisation & Photos: ©2016 Alain BOUCLY

C’est un Trabendo quasiment sold out qui accueille ce soir une affiche 100% hard rock, j’allais dire à « l’ancienne », avec The Answer et The Dead Daisies.

Ces derniers, pourtant prévues en tête d’affiche, vont ouvrir cette soirée dédiée au « classic rock ».Ce que l’on pourrait définir comme une super réunion de musiciens renommés a pourtant l’étoffe d’une véritable groupe, ou chacun semble y prendre beaucoup de plaisir.

Car ce line up d’un très haut niveau est composé de John Corabi au micro (Motley Crüe, The Scream), Brian Tichy derrière les futs (Ozzy Osbourne, Foreigner, Billy Idol), David Lowy à la guitare rythmique (Mink, Red Phoenix), Marco Mendoza (Whitesnake, Thin Lizzy, Black Star Riders) à la basse, et le guitariste Doug Aldrich (Dio, Whitesnake, Glenn Hughes).

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L’intro au son de Black Sabbath ne tarde pas à résonner dans les entrailles du « Trabendo »  avec un « War Pigs » des familles qui voit nos lascars débarquer un à un pour en découdre en lançant « Long Way To Go ». Ce morceau extrait du dernier album « Make Some Noise » donne le ton d’entrée de jeu, grâce à une puissance de feu imparable. Pas moins de 7 titres de cet excellent opus auront l’honneur de figurer sur la set list, dont le très heavy « Make Sone Noise » sur lequel John Corabi nous gratifie de prouesses vocales. Le show va monter en puissance au fur et à mesure des enchainements, avec notamment quelques reprises bien senties, dont celles de Creedence Clearwater Revival avec « Fortunate Son », et « Join Together » des Who. Le public répond comme un seul homme au sollicitations de John, mais aussi à celles de ses compères qui arpentent la scène de long en large. La bonne humeur est de mise, renforcée par une proximité idéale entre le groupe et une audience conquise par ces musiciens d’exception qui se donnent à fond.

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L’arrivée de Doug Aldrich au sein de The Dead Daisies a apporté un supplément technique indéniable. Ce guitariste au cv impressionnant va simplement mettre tout le monde d’accord, tant sa richesse de styles se met au service de chaque morceau pour le bonifier. Son jeu, à la fois sobre et précis, enchaine les solos d’une rare efficacité, prouvant ainsi qu’il est digne des meilleurs guitar héros. Mais Doug va à l’essentiel, sans jamais en faire de trop ce qui est la marque des plus grands. Et que dire de sa prestance, c’est la classe tout simplement !

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L’occasion sera donnée à Brian Tichy de démontrer toute sa fougue, lors d’un one man show spectaculaire derrière sa batterie. Toute l’agressivité du cogneur ressort à chaque frappe, avec en prime un record de lancer de baguettes !

La seconde partie du set tout aussi musclée, se conclue par un « Helter Skelter » des Beatles passé à la moulinette heavy rock.

La cover de Grand Funk Railroad, « American Band » va enfoncer le clou, dégageant une énergie sans faille qui a d’ailleurs été palpable tout au long de ce show mémorable. Quel plaisir de voir un tel groupe, qui est à des années lumières d’une simple réunion de stars. Au contraire, The Dead Daisies a démontré une cohésion parfaite, et le plaisir d’envoyer ses brûlots à la face d’une audience sous le charme ne fait aucun doute sur la sincérité de leur démarche.

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Ne les ratez lors les 2 prochaines dates en France, à Toulon le 13 et à Lyon le 14 décembre 2016 !

Il est difficile pour The Answer de tenir la comparaison après une telle prestation, mais la quatuor emmené par Cormac Neeson va s’investir à fond pour distiller son hard rock bluesy influencé par les années 70 / 80.

Venus défendre leur dernier album « Solas » sortil il y a à peine 2 mois, le quatuor irlandais a su varier les ambiances en alternant les titres bien pêchus avec les mélodies plus calmes mais tout aussi efficaces en live. La preuve avec « In This Land », sur lequel la mandoline de Cormac nous offre des accords aériens du plus bel effet. A 2 titres près, la totalité de l’album « Solas » sera interprétée, à commencer par le tempo envoutant du morceau éponyme, sur lequel la voix rauque du frontman s’exprime pleinement. Le côté irlandais n’est pas en reste sur « Untrue Colour » qui n’est pas sans rappeler un certain Thin Lizzy. On se refait pas !

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Le désormais classique « Come Follow Me » dynamise la seconde partie du set, grâce à son tempo rapide et le chorus incisif de Paul Mahon qui assure remarquablement.

Les nuances de « Spectacular », extrait de « New Horizon » sorti en 2013, vont une nouvelle fois mettre en avant la performance vocale de Cormac Neeson, toujours aussi aboutie.

Même si cela n’était pas gagné d’avance, The Answer a réussi à convaincre grâce à une capacité hors du commun à tenir une scène, et à communiquer avec son public.

Bravo à eux d’avoir pour avoir pris le risque de jouer autant de nouveaux titres, qui passent fort bien le cap de la scène.

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La réussite de cette soirée prouve que le Hard Rock continue à rassembler et à fédérer un nombreux public. La claque prise avec The Dead Daisies restera longtemps dans les mémoires ! Ils seront à l’affiche du Hellfest 2017, mais aussi à Toulon et à Lyon les 13 et 14 décembre 2016.

Merci à Olivier Garnier pour l’accréditation.

Report & photos © 2016 Alain BOUCLY

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whiskey-myers-cd« Mud » leur 4ème album studio !

Produit par Dave Cobb (Chris Stapleton, Rival Sons…)

Des guitares boueuses qui fleurent bon le Texas et le Sud des Etats-Unis. On pense alors à ZZ Top, The Allman Brothers, The Georgia Satellites

Un groupe qui perpétue la tradition du rock made in Texas, mais pas que…

Inclus 2 titres co-signés avec Rich Robinson (guitariste des Black Crowes)

« En quatre albums, Whiskey Myers vient de s’imposer comme une figure incontournable du southern rock, capable de marier la tradition à une identité affirmée. L’authenticité est le maître mot de cette formation qui préfère la puissance des émotions à des démonstrations techniques stériles… » – 4/5, Music Waves (chronique complète ICI)

« Superbe de bout en bout.. Gov’t Mule, Derek Trucks, Blackberry Smoke… aujourd’hui Whiskey Myers peut apparaitre sans gêne à côté de ces noms déjà prestigieux… » – Bands of Dixie

« Trop rares sont les groupes qui perpétuent la tradition du rock sudiste, ce blues rock chaleureux… »– 4/5, Voici

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En concert pour la 1ère fois en France le 31 mai 2017!

Locations ICI

Regardez le Making of ICI 

Ecoutez « Lightning Bugs and Rain » via le site de Rolling Stone US ICI

Ecoutez « The Stone » via le site de The Boots ICI

Ecoutez « Some of Your Love » via le site Texas Monthly ICI

Découvrez toutes les vidéos de Whiskey Myers sur la chaine YouTube du groupe

 

www.whiskeymyers.com

Saxon est de retour au « Splendid » de Lille !

saxon-lille-21_12_162 ans après avoir rempli le « Splendid » en compagnie de Skid Row, Saxon reviens en terre lilloise le 21 décembre 2016. Le légendaire groupe britannique sera accompagné des mythiques Girlschool et de Last In Line qui rappelle la première formation de Dio, composée de musiciens renommés. Une date à ne manquer sous aucun prétexte pour terminer l’année en beauté !

Saxon est une véritable légende de la New Wave Of British Heavy Metal.  Le groupe écuma les bars anglais avant d’obtenir quelques premières parties de grandes pointures, comme celle de Ian Gillan. Saxon est une véritable et indomptable machine à riffs qui possède un don particulier pour créer de véritables hymnes métalliques tel «Wheel of Steel» ou «747».

Après plus de trente ans de carrière et une vingtaine d’albums, Saxon est revenu sur le devant de la scène en octobre 2015 avec un nouvel album intitulé «Battering Ram». Une fois de plus le quintet nous offre un bombardement en règle, un déluge d’acier trempé qui n’est cependant pas dénué de mélodies. Bref, du grand, du bon Heavy Metal made in England.

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Le jour de « St. Valentine’s Day Massacre », Girlschool et Motörhead avaient donc convolé en justes noces vinyliques à l’orée d’années 80 marquées d’autrement noire manière. La noce était électrique et célébrée à la vitesse du son. Ce fait d’armes installa Girlschool en de mâles repères qui restent d’actualité pour cet historique girls group voué au métal et à la distorsion, devenue à présent une figure incontournable du Hard Rock féminin.

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Last in Line est groupe formé par d’anciens musiciens de Dio, à l’origine de la création du groupe avec la sortie des albums indispensables que sont « Holy Diver », « The Last In Line » et « Sacred Heart ». Vivian Campbell (Whitesnake, Def Leppard), Vinny Appice (Black Sabbath, Heaven and Hell), Phil Soussan(Billy Idol, Ozzy Osbourne, Vince Neil) et le chanteur Andrew Freeman (ex-Lynch Mob), viendront présenter l’album «Heavy Crown», sorti en février 2016 chez Frontiers Music et produit par Jeff Pilson (Dokken, Foreigner).

http://www.le-splendid.com/

http://www.veroneproductions.com/

http://www.ticketmaster.fr/fr/manifestation/saxon-billet/idmanif/374352/idtier/7478460

https://www.gdp.fr/

http://www.saxon747.com/

http://www.girlschool.co.uk/mainindex.htm

http://www.lastinlineofficial.com/

Entretien avec la chanteuse / guitariste Laura Cox réalisé par Alain BOUCLY pour Ride The Sky, le 1er décembre 2016 à Guyancourt – « La Batterie »

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– Peux-tu décrire ton parcours depuis que tu as commencé la musique ?

J’ai commencé la guitare à 14 ans, et pris des cours pendant 4 ans, ce qui m’a bien aidé pour acquérir les bonnes habitudes. J’ai arrêté par la suite quand j’ai senti que je pouvais me débrouiller seule. Cela fait maintenant 8 ans que je progresse ainsi, et même si c’est un peu plus difficile, la motivation est maximale.

Les premières vidéos ont été postées sur YouTube après 2 ou 3 années de pratique. Celles ci ont fait un petit Buzz, et de fil en aiguille le groupe s’est créé en 2013. Cela fait plaisir de voir qu’aujourd’hui, nous sommes sur la bonne voie et que tout avance positivement.

– Parles nous un peu de tes influences…

Globalement, ce j’écoute une variété de styles qui va du Bluegrass au Metal, Quant aux guitaristes, Slash, Mark Knopfler et Joe Bonamassa font partie de mes principales influences. Je trouve que Joe Bonamassa est le meilleur techniquement !

Mais la musique jouée par groupe est principalement orientée vers le Country Rock et le Hard Rock.

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– Tu as commencé à te faire connaitre en postant des vidéos de reprises sur YouTube. Comment t’est venue cette idée et de quelle manière as-tu réagi quand tu as vu le nombre da vues augmenter considérablement?

Lorsque j’apprenais la guitare, l’idée m’est venue en passant beaucoup de temps à visualiser sur YouTube les vidéos de guitaristes qui interprétaient des covers. Du coup, ça me motivait pour jouer, et comme j’appréciait ces vidéos là , j’ai eu envie de faire la même chose. Après, l’augmentation du nombre de vues est arrivée progressivement d’une année sur l’autre. De voir l’ampleur que cela a pris fait vraiment plaisir, car je n’ai rien fait pour, juste posté la musique que j’aime.

– Quelles sont les covers que tu préfères jouer ?

Au départ, je préférais jouer les solos, alors que maintenant je prend également plaisir à faire les rythmiques, l’accompagnement. Mais j’ai de moins en moins l’occasion de jouer des reprises, car la priorité actuelle est avant tout de développer le groupe et ses propres compositions. Du coup, je commence à perdre ce que j’ai appris et connaissait par cœur même si je continue à en écouter. Par contre, ZZ Top reste une des seules covers que nous continuons à faire.

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– Quelle définition donnerais-tu à la musique de Laura Cox Band?

C’est du « Classic Rock », qui n’est pas un genre très à la mode en ce moment en France. C’est de la musique de « vieux »! On va dire ça: Si tu veux une définition, c’est du rock pour « vieux » ! (rires) Mais c’est ce qui nous plait, car nous avons tous des influences diverses et variées mais nous nous rejoignons sur ce point là.

– Tu assures le chant tout en jouant de la guitare. Pourquoi as-tu pris cette option ?

Au début, nous nous sommes demandés si nous n’allions pas prendre un autre chanteur. C’est peut être un peu égoïste, mais finalement, je souhaitais que ça reste mon projet car j’avais envie de garder le contrôle du groupe. Je me sens vraiment davantage guitariste que chanteuse, ce qui est encore le cas maintenant. Mais l’envie de trouver un équilibre me motive à prendre des cours de chant, afin d’avoir un niveau équivalent dans les deux domaines.

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– Peux-tu présenter les musiciens qui t’entourent ?

Mathieu Albiac à la guitare, avec lequel j’ai formé le groupe. C’est avec lui que nous avons débuté l’aventure, créé les premières compositions en 2012, puis lancé le groupe un an après. Nous avons exactement les mêmes influences, on peut dire que c’est moi en garçon !

Mathieu: Laura a aussi des influences Country et sudiste, alors que de mon côté, AC/DC est bien présent. Cela a permis d’injecter ce style avec le sien et réciproquement, ce qui donne une bonne complémentarité.

Laura: Nous avons trouvé plus récemment Antonin qui officie derrière les futs. La démarche s’est faire par internet, et je dois dire que je n’affectionne pas ce type de recherche. Mais n’ayant aucune autre possibilité, ni d’autres contacts, il y a eu cette chance qui a permis d’intégrer Antonin. Et pour François, cela s’est fait naturellement, en allant voir en concert un de mes amis Julien Bitoun avec lequel il jouait. Nous avons sympathisé et il s’est montré intéressé et motivé pour venir avec nous.                           

– Ce sont eux qui ont participé à l’album ?

Nous y avons tous participé. Les compositions viennent de Mathieu et moi. Ensuite on peaufine et on gère les arrangements avec l’ensemble du groupe.

 – Parlons un peu de votre futur album, de son enregistrement et de son contenu…

L’enregistrement qui a eu lieu durant les mois d’août et septembre est terminé. Il reste le mastering des fichiers audio à finaliser, ainsi que le pressage et l’artwork de la pochette.

L’album contiendra 10 morceaux et aura pour titre « Hard Blues Shot ».

 – Quand est prévue sa sortie ?

Il sortira chez « Verycords » en février / mars 2017.

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 – Pour terminer, as-tu un message à transmettre aux lecteurs de Ride The Sky ?

Continuer à écouter de la musique de vieux ! (rires) Et n’hésitez pas à venir nous voir en concert! Nous avons déjà de nombreuses dates prévues pour 2017, grâce à Kriss (Manageur et tourneur de Laura Cox Band ndr) de chez Muzivox qui nous fait tourner. Nous serons très heureux de vous rencontrer à cette occasion.n

Merci Laura pour ta patience et ta disponibilité.

Merci à toi !

Réalisation & Photos: ©2016 Alain BOUCLY

http://www.lauracoxband.com/

http://www.muzivox.com/

http://verycords.com/

L’affiche définitive du Hellfest 2017 dévoilée !

hellfest-2017-afficheBien que la célèbre « fête de l’enfer » de Clisson affiche complet depuis la mi-octobre (54 000 places vendues en un temps record), l’annonce de l’affiche du HELLFEST reste toujours un événement, source d’excitation et de toutes les spéculations. Depuis quelques heures, le suspense a été rompu avec la révélation du line-up 2017 de l’un des leaders du spectacle vivant en France.

Jusqu’à présent Aerosmith, le géant du rock américain, était le seul groupe à avoir été annoncé dans le cadre de sa tournée d’adieux baptisée Aero-Vederci Baby!, qui passera en exclusivité par le HELLFEST !  Depuis hier soir le gang de Boston a été rejoint par 159 autres formations dont 82 n’ont jamais joué à Clisson !

Parmi eux l’on retrouve des têtes d’affiche toujours prestigieuses : Linkin Park, le phénomène né dans les années 90 qui, fort de ses 68 millions d’albums vendus dans le monde, est tout simplement irrésistible sur scène. Prophets Of Rage ou la rencontre au sommet de 3 membres de Rage Against the Machine (le guitariste Tom Morello en tête) avec Chuck D de Public Enemy et B-Real de Cypress Hill. L’équation parfaite pour remuer les foules toutes tendances confondues.

Dans le registre des autres sensations fortes, l’un des grands moments de cette 12ème édition sera sans aucun doute le show de Rob Zombie qui va enfin venir en France avec tous ses décors, ainsi que sa production visuelle et pyrotechnique, comme à la grande époque de l’album «Astro-Creep: 2000», et ce en exclusivité européenne !

Toujours dans le genre tout feu tout flamme, les guerriers suédois de Sabaton ne devraient pas être en reste avec leur heavy metal martial en totale opposition avec le glam metal déluré et délirant de Steel Panther.

Dans la lignée du classic rock d’Aerosmith, avec un ultime nouvel album dans les bacs, Deep Purple, une autre légende des années 70, fera aussi passer sa tournée d’adieux par le HELLFEST, histoire de faire résonner une dernière fois les accords de «Smoke On The Water» dans le ciel du vignoble.

Autre légende, mais française cette fois, Trust, qui fête ses 40 ans de carrière avec une tournée de reformation dont les premières dates ont rapidement affiché complet un peu partout en France. Gageons qu’en cette année d’élections présidentielles leur fameux «Antisocial», aura un écho bien particulier au HELLFEST. Tout aussi contestataires les punks de Rancid et The Damned seront une des attractions majeures de la Warzone.

Alors que Saxon se produira avec son aigle d’acier et de lumières, comme à l’époque où ils remplissaient le Zénith et que les Finlandais d’Apocalyptica donneront le spectacle qui les a rendus célèbres dans le monde entier : «Apocalyptica Plays Metallica By Four Cellos» (tout est dans le titre).

Révélations du HELLFEST en 2010, les Australiens d’Airbourne feront un retour fracassant à Clisson à l’occasion de leur seule apparition en festival en France et rendront par la même occasion un hommage particulier à Lemmy à travers leur nouvel hymne « It’s All for Rock N’ Roll »

Au registre des autres apparitions uniques dans l’Hexagone, on retiendra le passage des sympathiques fêlés de Primus, des fidèles d’In Flames, des ténébreux black metalleux d’Emperor, d’Opeth ou la classe à l’état pur et des norvégiens de Wadruna, connus pour leur contribution à la série télévisée « Viking ».

Five Finger Death Punch et Alter Bridge (avec Myles Kennedy, chanteur de Slash), deux grosses cylindrées de la scène US seront aussi présentes, tout comme les indéboulonnables Slayer et les briscards de Ministry, W.A.S.P. et Kreator.

Parmi le peloton des autres participants, d’un style à l’autre, l’on remarquera Ugly Kid Joe (remember leur hit «Everything about you»), Monster Magnet plus illuminés que jamais, l’ex-Motörhead Phil Campbell, Avatar valeur montante de la nouvelle scène metal, les joyeux Ramoneurs De Menhirs, The Dead Daisies (avec des membres de Mötley Crüe, Whitesnake et Thin Lizzy), le trio d’experts suisses Coroner, les vétérans de Blue Oyster Cult et d’Hawkwind, l’incroyable chanteur Jorn Lande (1er concert en France !), les maîtres du prog metal suédois Evergrey (1er passage à Clisson !), le savant fou Devin Townsend, les rockeurs de Clutch et Baroness, ou encore les infatigables Suicidal Tendencies, Metal Church, Helmet et Prong

La liste est longue, très longue… « Toujours plus haut, toujours plus fort ! », décidément cette maxime sied parfaitement au HELLFEST !

Le troisième rassemblement musical le plus important de France en termes d’affluence – mais très certainement premier au niveau design avec le look « mad-maxien » de son site et de ses immenses infrastructures « enflammées » – a tenu à saluer la passion et la fidélité inégalable de son public, en lui offrant ce qui se fait de mieux en termes de « metal ».

Devenu désormais un événement de renommée internationale, le HELLFEST doit avant tout son formidable succès à ses incroyables fans qui se reconnaissent dans la qualité et la diversité de la programmation. Restant avant tout un festival consacré aux musiques dites « extrêmes », depuis sa création le HELLFEST a toujours tenu à représenter tous les styles du genre allant du pur heavy metal au classic rock en passant par les courants death, thrash, black, sludge, doom, gothique, prog, indus et même punk ou hardcore.  Toutes ces formes / forces métalliques sont encore une fois largement représentées à l’affiche de cette édition 2017 avec de très grands noms bien sûr, mais aussi des valeurs sûres, des outsiders, des revenants et des artistes émergents voire quasi inconnus.

Tout ce beau monde se produira sur les 6 scènes du fest, dans un espace élargi notamment devant les Mainstages, et décoré avec le soin et la folie qui sont devenus la marque de fabrique du HELLFEST. Dans les six mois qui viennent, tout sera donc mis en œuvre pour faire de cette 12ème édition une nouvelle fête inoubliable qui comblera le public et les artistes qui y participeront.

D’ici là, les fans auront aussi rendez-vous avec le HELLFEST dans toute la France à l’occasion des nombreuses soirées « warm up » qui ne vont pas manquer d’être organisées localement. Un p’tit échauffement ne fera de mal à personne avant le marathon de 3 jours qui se déroulera mi-juin à Clisson.

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