« Le Pouvoir de la Puissance », le 4ème opus d’Ultra Vomit, en seulement 25 ans d’existence, sortira le 27 septembre 2024. il contient 16 tubes et 1 bouse, d’un metal aussi puissant que peinard.

Ultra Vomit est un groupe de metal hors du commun qui ressemble à tous les autres, mais en différent.

Parfaite alliance entre la puissance du metal et le pouvoir de l’humour, ils ont aussi su associer la puissance comique au pouvoir des musiques extrêmes, et vice et versa.

Depuis 1999, les quatre nantais ont su élever l’amateurisme à un niveau professionnel, en témoignent leurs nombreux passages au Hellfest, leur Olympia ou le Disque d’Or de leur précédent opus.

Ils ont aujourd’hui honte d’être fier de vous présenter leur 4ème album : “Le Pouvoir de la Puissance”, qu’ils défenderont sur la route face à leurs fidèles clients, dans un spectacle aussi régressif qu’agressif.

D’énormes riffs et un son massif (signé Fred Duquesne) seront à prévoir sur l’ensemble des 17 titres… Mais rassurez-vous, cette véritable bombe métallique sera aussitôt désamorcée par des “textes” d’une profonde affligeance, qui apporteront un peu de joie à cette existence en pleine crise existentielle.

Alors chers clients, pour votre bien, n’attendez plus ! Poncez cet opus et foncez nous rejoindre lors de nos galas, où nous pourrons enfin partager avec vous la Puissance du Pouvoir… de la Puissance !

« La Puissance du Pouvoir », premier extrait de l’album est un authentique hymne métallique digne des plus grandes musiques de péplums.

Il fut écrit et composé en l’An 2023, en hommage à tous les fanatiques du groupuscule Ultra Vomit, que l’on surnomme désormais “Les Clients”.

Merci à vous, fidèles clients, car c’est grâce à votre pogn… passion, pardon, que nous gardons toujours ce même désir de parcourir l’univers pour aller à votre rencontre et vous exploser les tympans. Merci, pour tout l’arg… l’amour, bien sûr, que vous nous transmettez.

Vous nous donnez le pouvoir d’être puissant… Que dis-je… La puissance d’être pouvant.

Cœurdialement,

Emmanuel, Fabien, Matthieu & Nicolas

Tracklisting :

1. Kings of Poop

2. Dead Robot Zombie Cop from Outer Space 2

3. Le Coq

4. Doigts de Metal

5. Toxoplasma Gondii (Felinus Sanctus)

6. Ricard Peinard

7. Mortal Konkass

8. The Gruge

9. Tikawahukwa

10. Patatas Bravas (Feat. Crisix)

11. Mouss 2 Mass (Feat. Mouss de Mass)

12. Auto-Thunes

13. Ültrus Crew

14. GPT (À l’instant)

15. Mollo sur le Caca

16. La Puissance du Pouvoir

La 13ème édition de l’Arthur’s Day Festival aura lieu les vendredi 20 et samedi 21 septembre 2024 à la salle des fêtes de Grandvilliers (60)

La billetterie est disponible ICI

Découvrez les horaires des 2 journées :

Vendredi 20 septembre

19.00 ouverture du site

La session irlandaise Suilìneach, assurera les intermèdes à 19h30, 21h00 et 22h30

20.15 Tempo Giusto EMION

21.45 Sons Of O’Flaherty

23.15  DJ VIF Argent

1.30 Fermeture du site

Samedi 21 septembre

14.30 Ouverture du site

La session irlandaise Suilìneach, assurera les intermèdes à 15h00, 16h00, 18h15, 20h30 et 22h15

15.45 Odeon EMION

16.45  L’Araignée du Plafond

19.00  Lazy – Tribute to Noir Desir

21.15 Dynamite Shakers

23.00 Laura Cox

0.30  DJ VIF Argent

3.00 Fermeture du site

High Fade sera en concert à Cléon « La Traverse » dimanche 8 décembre 2024 à 15h30. En 1ère partie se déroulera le 22ème trempin, avec des groupes originaires de Normandie ou de Picardie.

La billetterie est disponible ICI

Sur une croisade à trois pour enflammer les pistes de danse avec leur marque inimitable de Blues/funk tranchant, High Fade peut déjà compter Jack Black, Cypress Hill, Glenn Hughes de Deep Purple, et Brad Wilk de Rage Against The Machine parmi leurs fans. Affinant leur son dans les rues de leur ville natale, Édimbourg, le groupe est à son meilleur lorsqu’il est proche et personnel avec le public ; avec plus de mille concerts à leur actif, leur performance live raffinée et contagieuse est devenue une partie intégrante de l’ADN du groupe, leur permettant de donner un spectacle qui dépasse tout ce que leurs fans ont vécu auparavant.

La Traverse organise en 1ère partie son 22e Tremplin des découvertes du Festival “Blues de Traverse”. Trois à quatre groupes, issus de Normandie et Picardie auront été sélectionnés (informations et inscription à cette adresse : (http://www.latraverse.org/Tremplin). Le Lauréat sera choisi par un jury de professionnels : organisateurs, musiciens, journalistes, animateurs de radio… Une voix parmis celles du jury reviendra au public, qui pourra soutenir son groupe favori et gagner des places aux concerts du printemps.

Par Alain Boucly

L’ affiche de cette nouvelle édition du Retro C Trop promet beaucoup, avec une programmation du samedi bien dans l’esprit de ce festival, composée de groupes légendaires qui ont marqué l’histoire du Rock. En effet, il est rare de retrouver sur une même scène les précurseurs du glam Rock avec Slade, les pionniers du Hard Rock avec Deep Purple et les inventeurs du Space Rock avec Hawkwind, sur la route depuis 1969 ! Les anglais se faisant rares sur notre territoire, nombreux étaient ceux qui avaient fait le déplacement à Tilloloy pour vivre ce moment avec la bande à Dave Brock. Malheureusement, il n’en fût rien, car à peine arrivé sur le site, une information circule au sujet de l’annulation du concert, suite à la panne de leur tour bus.  Celle-ci se trouve d’ailleurs confirmée peu de temps après par l’organisation.

De plus une météo capricieuse viendra perturber le début d’après midi, les premières gouttes se faisant ressentir lors de la prestation de Slade. Mais cela n’empêche pas la formation, emmenée par le chanteur / guitariste Dave Hill, seul rescapé du quatuor original, d’enchaîner les hits qui ont contribué à leur renommée internationale. Comment ne pas vibrer au sons des ces titres fédérateurs tels que « Coz I Luv You » ou « Gudbuy T’Jane »,  ou encore l’incontournable « Mama Weer All Crazee Now », connu pour avoir été repris par une multitude de groupes à travers le monde (The Runaways, Gary Glitter, Quiet Riot, Mama’s Boys, Doogie White…) Mais le mythe en a encore sous le pied pour envoyer « My Oh My » et « Cum On Feel The Noize » en conclusion d’un set qui a tenu toutes ses promesses.

Phil Campbell a également un passé glorieux, car il fut le guitariste de Motörhead de 1984 jusqu’à la fin du groupe en 2015, consécutive au décès de Lemmy. Mais Phil a décidé de faire vivre cet héritage en poursuivant l’aventure avec ses fils, en créant le combo Phil Campbell And The Bastard Sons. Et il n’y a rien de plus efficace que les riffs du guitariste gallois pour incarner cet esprit Rock n’Roll, en partageant les brûlots incandescents du trio qui a marqué les 4 dernières décennies. Vous l’avez compris, c’est un show complet en hommage à Motörhead, auquel le public massé en nombre devant la scène aura la chance d’assister, les compositions du groupe ayant été occultées. Le puissance d’« Iron Fist » d’entrée de jeu met tout le monde d’accord, tout comme les classiques « Ace Of Spaces » et « Killed By Death » ! Les reprises bien senties de « God Save The Queen » des Sex Pistols et « Heroes » de David Bowie seront les seules exceptions du set, mais je retiendrais surtout ce joyau qu’est « Silver Machine ». En l’absence d’Hawkwind ce soir, ce fut une excellente idée d’interpréter cet hymne créé en 1972, lorsque Lemmy était membre de cette institution britannique du Space Rock entre 1971 et 1975. En guise de bouquet final, le très convaincant « Overkill » envoi du lourd, comme l’ensemble d’une prestation qui restera gravée dans la mémoire des fans.

Remplacer Hawkwind s’avère compliqué, d’autant que trouver un groupe ayant le même statut dans un délai aussi court relève de la mission impossible. Du coup, autant faire monter sur la scène principale Laid Back Country Picker déjà sur place, car initialement prévus pour jouer sur la petite structure. Laid Back Country Picker se compose d’un couple au look particulier, avec une batteuse qui se fait remarquer par sa tenue rose et ses bigoudis ! Son mari, chanteur et guitariste, monopolise l’attention autant par son style que par son humour décapant. La formation américaine, originaire de West Virginia, délivre ses compositions originales, dans un registre country blues, idéales pour passer un bon moment. Il faut reconnaître la qualité musicale de l’interprétation, remplie de nuances, au style accessible et apprécié par le plus grand nombre. Ce fut un moment intense pour Laid Back Country Picker de se retrouver ainsi propulsé sur cette mainstage devant une foule aussi compacte ! Et cerise sur le gâteau le soleil est de retour !

Les circonstances ayant quelque peu perturbé le running order, le passage de Uuhai est décalé de presque 2 heures.  Il faut dire que le groupe originaire de Mongolie arrivait directement du Hellfest, après avoir foulé la scène de la Temple à 12h15 ! C’est donc à 20h30 précises que Saruul, Zorigoo, Shinetsog-Geni, Battuvshin, Batbayar, Dailaitseren et Otgonbaatar investissent la superbe scène du Retro C Trop. Et là, la magie opère ! Ce mélange de sonorités folk, metal et Rock prend aux tripes, grâce au relief des compositions qui alterne entre les ambiances plombées et celles plus aérées. La spécificité de la culture musicale mongole est liée à l’emploi d’instruments traditionnels tels que le Tovshuur (guitare mongole), le Morin Khuur (vièle à tête de cheval), et le Tumur Khuur (harpe à mâchoires).  Ajouté à cela de gros riffs et une rythmique de folie emmenée par un batteur déchainé et un percussionniste qui martèle ses futs comme si sa vie en dépendait, et vous obtenez une dynamique qui vous transporte littéralement. La Preuve avec « Kar Khulz », morceau fédérateur s’il en est, qui démontre toute sa qualité mélodique liée à une énergie sans faille. L’audience est véritablement conquise par Uuhai, devant un  show aussi spectaculaire et abouti d’un groupe qui a su partager son univers musical et culturel.

Après Scorpions, ZZ Top, Alice Cooper ou encore Status Quo, c’est au tour d’un autre dinosaure du Rock de se produire en tête d’affiche sur le site de Tilloloy. Deep Purple est accueilli par une fosse quasiment blindée, captivée dès les premières notes de « Highway Star ». Comment ne pas être aux anges devant les membres fondateurs d’un des plus grands groupes de tous les temps ! C’est un vrai plaisir de voir le souriant et efficace bassiste Roger Glover, d’apprécier la finesse de la frappe de Ian Paice, le seul ayant participé à tous les albums et tournées depuis la création du pourpre profond (1968) et de se délecter du timbre vocal si unique de Ian Gillan. Même si les capacités de ce dernier sont un peu plus limitées, notamment dans les intonations les plus aigües, il faut bien reconnaitre qu’il a su adapter la set list à son registre vocal actuel, tout en gardant les titres incontournables qui ont contribué à la légende du groupe. Les classiques « Lazy » et « Space Truckin » passent à merveille, remarquablement servis par un son d’une rare pureté. Mais Deep Purple, loin de réciter en « pilotage automatique » les mêmes morceaux à chaque tournée, a su innover en intégrant quelques pépites comme « Anya », « Hard Loving Man » ou « Into The Fire ». Ajouté à cela le retour aux sources matérialisé par les nouveaux titres « Portable Door », « Bleeding Obvious » extraits de leur dernier opus « =1 », et vous obtenez une alchimie toujours aussi remarquable. Même Don Airey se fait moins discret qu’à l’accoutumée, triturant son orgue Hammond jusqu’à en sortir les notes les plus alambiquées, se rapprochant ainsi du maitre Jon Lord. Mais la pièce maitresse de Deep Purple reste la guitare, dont de nombreux accords ont marqué des générations. Et de ce côté, il faut bien avouer que l’arrivée de Simon McBride il y a tout juste 2 ans en remplacement de Steve Morse, a redonné un nouvel élan au groupe. Son jeu à la fois fin et précis, valorisé par un feeling remarquable, n’est pas sans rappeler celui de Ritchie Blackmore, rien que ça ! L’intro de l’incontournable et très attendu « Smoke On The Water », résonne dans le parc du château, et c’est parti pour le dernier titre du show, au cours duquel la foule donnera de la voix en reprenant le refrain en chœur, pour un dernier frisson… Mais c’était sans compter sur les 2 rappels, « Hush » et « Black Night », envoyés par une formation sur laquelle le temps n’a pas de prise, et dont les émotions transmises resterons inoubliables.

Malgré la pluie en début d’après-midi, et les aléas de dernière minute, le Retro C Trop reste une référence en matière de festival à taille humaine. Mention spéciale pour le choix de ces artistes de renom ayant marqué leur époque, ce qui représente un sacré challenge, relevé avec brio par l’organisateur. Sans oublier l’accueil de toute l’équipe dans ce cadre exceptionnel, permettant de vivre une belle expérience que l’on prendra plaisir à renouveler en 2025 !

Merci à Ginger Prod, Philippe et Anne pour l’accréditation

                                                                                                                         Report : Alain Boucly

Galerie photos par Alain Boucly

Slade :

Phil Campbell & The Bastard Sons :

Laid Back Country Picker :

Uuhai :

Deep Purple :

Deep Purple – Festival Retro C Trop Tilloloy 29 juin 2024
Deep Purple – Roger Glover & Simon McBride – Festival Retro C Trop Tilloloy 29 juin 2024
Deep Purple – Simon McBride – Festival Retro C Trop Tilloloy 29 juin 2024
Deep Purple – Roger Glover – Festival Retro C Trop Tilloloy 29 juin 2024
Deep Purple – Ian Gillan – Festival Retro C Trop Tilloloy 29 juin 2024
Deep Purple – Ian Paice – Festival Retro C Trop Tilloloy 29 juin 2024
Deep Purple – Simon McBride – Festival Retro C Trop Tilloloy 29 juin 2024

Le groupe slovène Laibach sera en concert le 17 octobre au Forum de Vauréal !

L’album emblématique de Laibach, «Opus Dei» (comprenant des titres comme «Life is Life», «Leben heißt Leben» et «Einer Nation»), sorti en 1987 sur le label Mute, est enfin, après 26 ans, remasterisé et réédité sur vinyle et CD depuis mai 2024. Pour fêter ça, Laibach lance un «Opus Dei Tour» conceptuel, reprenant certains des morceaux de l’album pour la première fois depuis de nombreuses années.

En plus de ces titres, le groupe interprétera quelques-unes de ses chansons phares, avec quelques nouvelles surprises. Comme toujours avec Laibach, attendez-vous à l’inattendu.

La billetterie est disponible ICI

Ina Forsman sera en concert à « La traverse de Cléon (76) vendredi 15 novembre 2024.

Ina Forsman représente tout ce qui a fait la grande musique d’une autre époque : brute, sincère, passionnée. Des titres écrits avec le cœur, chantés avec les tripes… Elle a une voix subtile, chantante, délicieusement enfumée et puissante, qui ne lâche rien jusqu’à la dernière note de la dernière chanson. Une voix empreinte de Soul et de Blues, aux accents de Nina Simone et d’Aretha Franklin. Ina Forsman sur scène : ça bouge, ça swingue pour de bon, avec le côté rétro d’une Soul cuivrée à l’ancienne, et la classe ultime de l’ambiance Jazz, relevée par la “modern attitude” d’une artiste de la nouvelle génération, qui porte avec grâce et élégance un héritage fort. De l’énergie et de la spontanéité à revendre, un sens inné du spectacle, une aisance déconcertante avec le public et un charisme digne des plus grandes chanteuses. Décidément, Ina Forsman est celle qu’on attendait.

La billetterie est disponible ICI

Le second  album de Little Odetta, intitulé « Little Bit Of Soul » sortira vendredi 20 septembre 2024.

« La formation blues rock française fait toujours aussi bien parler les riffs et pondre des lignes de chant accrocheuses. » Rolling Stone – février 2024

Little Odetta puise ses racines aussi bien du côté des géants du rock des années 60/70 que des figures du rhythm & blues afro-américain.

Le combo joue un rock pêchu où l’assise rythmique est mise en avant sans pour autant délaisser l’aspect mélodique, en intégrant des passages plus ambiants où nappes d’orgues et guitares réverbérées s’entrecroisent pour faire la part belle au chant.

Retrouvez Little Odetta en concert le 21 septembre 2024 à Paris « la Maroquinerie » à l’occasion de leur release party parisienne ainsi que sur bon nombre d’autres scènes jusqu’à la fin de l’année !

Dead Chic annonce ce jour la sortie officielle du 1er single inédit « Paris », extrait de leur 1er album à paraître cet automne.

Découvrez le clip aux effluves de « western spaghetti » associé :

Depuis la sortie très remarquée de leur tout 1er single/clip « Too Far Gone » en janvier 2022 et tout en enchaînant les dates (en France comme à l’étranger), les 4 « chics types » de Dead Chic n’ont de cesse de nous toucher en plein cœur avec leurs compositions à la fois sombres et élégantes : l’EP live « Bastion Session » (août 2022), l’EP studio « The Venus Ballroom » (mars 2023) ou encore la version live de ce 2nd EP, agrémentée du single inédit « Pain Love Joy » (février 2024).

Les voici de retour avec un tout nouveau single sobrement baptisé « Paris », qui s’avère également être le 1er extrait de leur 1er album studio (non, vous ne rêvez pas) dont la sortie est prévue en novembre 2024 !

« Paris » est une cavalcade épique dans un territoire sauvage, aride, immense.

D’abord un grondement excitant, une guitare lointaine, le chant qui couve… puis, le coup de feu part ! La horde surgit, les fuzz et les chœurs s’emballent jusqu’à atteindre leur paroxysme.

Tourné dans le désert de Tabernas (sud de l’Espagne), ce clip s’offre les décors qui ont fait l’identité des westerns spaghetti.

Dans une quête spirituelle, les personnages cherchent leur voie, affrontant leurs propres limites et celles de leur environnement jusqu’à se réunir pour le climax final.

Et pour illustrer cette bande son westernienne, le groupe s’est entouré de la réalisatrice Anastasja Black, accompagnée du producteur Rowan Biddiscombe auquel on doit les précédents clips du groupe.

Dead Chic sera sur les routes tout l’été avant de présenter son album en exclusivité le 15 octobre sur la scène du Hasard Ludique (Paris), à l’occasion du Warm Up pour la sortie du 1er album « Upton Park ».

La 15ème édition du  Festival « Plein‘Air » aura lieu samedi 31 août 2024 à Béthancourt-en-Vaux (02300)

Découvrez les détails de ce festival Rock devenu incontournable, qui fédère un public de plus en plus nombreux ! L’événement monte en puissance au fil des années, avec des groupes de renom qui font de ce rendez-vous annuel un succès amplement mérité.

Une AXonaise et 4 AXonais se réunissent après la dissolution de leur ancien groupe. La voix (« Phônê » en grec) étant indissociable de la musique qu’ils aiment, tout naturellement, un nom de groupe s’impose au cinq amis : AxfonyiA qui évoque donc leur département d’origine et le chant.

La musique d’Axfonya reste orientée vers le métal teinté de folk, avec toujours des textes en français.

Le violon de Mélodie reste omniprésent dans les compositions du groupe qui joue aussi quelques titres de son ancien répertoire.

Spill de Beans est une expression anglaise signifiant « cracher le morceau ». Les 5 amis du groupe explorent à travers leurs compositions un blues rock progressif teinté des années 70. Riffs acérés et rythmiques solides accompagnent des harmonies vocales chaleureuses pour livrer sur scène une musique rageuse et fédératrice.

Cela fait maintenant plus d’une décade qu’Abbygail entretient avec passion et foi inébranlable la flamme du Hard-Rock, le vrai, le pur, tel que le concevaient les frères Young ou encore Michael Schenker.

Après 2 albums, le confinement leur permet de préparer leur 3ème album, ‘‘Still Burning… ‘‘. Clin d’œil quelque peu ironique, ce titre signifie que les AbbyBoys sont toujours ‘Alive’ et prêts à en découdre. Fans d’AC/ DC, UFO, Rainbow, MSG, vous savez ce qu’il vous reste à faire..

Influencés par des groupes comme Motörhead, Black Sabbath ou encore Metallica, The Soundroots propose depuis 2015 une musique basée sur l’énergie.

Une énergie distribuée un peu partout en France sur quatre CD ainsi que quelques dates à l’étranger comme en Belgique, Allemagne, USA (Whisky a Go Go, Los Angeles), et Canada (une tournée de cinq dates au Québec en avril 2023) et en support de têtes d’affiches comme Chris Slade Time Line, Soulfly, Sidilarsen, Girlschool, Crucified Barbara etc..

The Dirty Denims jouent Happy Hard Rock : du Hard Rock qui fait du bien en un clin d’œil.

Combiné avec du rock’n roll, du powerpop et une tranche de Punk Rock, cela sonne comme AC/DC, Kiss, Joan Jett, The Ramones et The Donnas.

Lorsque The Dirty Denims jouent en live, il est dans son meilleur élément ; le spectacle énergique d’un groupe qui respire le plaisir, aime la participation du public et ne se prend pas trop au sérieux.

Adresse : 6 rue de Genlis (à 50 m de la place des Marronniers) 02300 Béthancourt-en-Vaux

Ouverture des portes à 18h00 – Début des festivités à 18h30

Prix du billet 18 € à l’entrée 

Prévente du billet à 13 € chez :

Cultura / zone commercial Carrefour à Compiègne – 60200

Le Code Bar / 426 rue de Paris à Ribécourt-Dreslincourt – 60170

Cultura / zone commercial Auchan à St Quentin – 02100

Bar Le 421 / 35 rue de la République à Chauny – 02300

Comité des Fêtes / 16 rue du Jardin Portaley à Béthancourt-en-Vaux – 02300

Librairie Rédic / 18 rue Raspail à St Quentin – 02100

Espaces Musiques / 16 bis avenue de Verdun à Chauny – 02300

Bistro Chai Nico / 5 place du Marché Couvert à Chauny – 02300

EJC : Espace Jeunesse et Culture / 7 rue Jean de Dormans à Soissons – 02200

Comité d’Etablissement SNCF / 11 avenue du 5ème Corps à Tergnier – 02700

Comité Social et Economique CSE Synthomer / 704 Rue Pierre et Marie Curie à Ribécourt-Dreslincourt – 60170

Gratuit pour les enfants de moins de douze ans

Si vous n’êtes pas proche d’un de ces points de préventes : La solution est d’envoyer un chèque à l’ordre du Festival Plein’ Air. 13 euros multiplié par le nombre de billets.

Joindre à ce chèque une enveloppe timbrée à votre adresse pour le retour à l’adresse suivante : Festival Plein’ Air – 16 rue du Jardin Portaley 02300 Béthancourt-en-Vaux

Restauration sur place assuré par le Comité des Fêtes.

Parking motos (gratuit) sur la Place des Marronniers (à 50 mètres du site).

Stationnement des autos sur les trottoirs (sauf Rue de Genlis), réserver aux piétons et aux véhicules de secours.

Stationnement interdit également (Rue du Thiolet), circulation en double sens, (habituellement en sens unique).

Accès au festival :

Par la D 1032 (Ex RN 32), à gauche à Marest-Dampcourt en venant de Noyon.

Par la D 1032 (Ex RN 32), à droite au rond point à Ognes en venant de St Quentin.

Par la D 128, en venant de Guiscard.

Précautions : Prévoir un vêtement chaud pour la fin de soirée. Un vestiaire gratuit est mis à votre disposition.

Attention (Prévention) : Toute sortie sera considérée comme définitive.

Le festival Cantons Chante, proposé par La communauté d’agglomération Chauny – Tergnier – la Fère fait une halte à Bethancourt-en-Vaux  (02) Vendredi 30 août 2024 (20h)  avec au programme: The Guru Guru, Athur Dart et Paname Retro – entrée libre.

Guitares crades et convulsantes. Batterie claire et rentre dedans. Basse ronde et groovy. Voix tantôt parlée tantôt hurlée. C’est post hardcore, c’est indie pop, c’est post punk, c’est math rock, c’est noise. C’est complexe, c’est sombre, c’est lumineux, c’est furieux, c’est apaisée. The Guru Gruru c’est tout cela à la fois

Aujourd’hui Athur Dart revient sous son propre nom en Power trio, plus déterminé que jamais à retourner sur les planches déversant un rock moderne et sans concession. Son jeu de guitare est à la fois emprunt du feeling blues des plus grands guitaristes américains (BB King, Stevie Ray Vaughan, Jimi Hendrix) et de virtuosité (Joe Bonamassa, Eric Johnson, Ritchie Kotzen) repoussant toujours les limites entre ces deux mondes. Sa voix aigüe et saturée tire son inspiration des plus grands chanteurs de hard rock comme Glenn Hughes, Robert Plant, Chris Cornell, David Coverdale et bien d’autres.

Paname Rétro reprend les plus belles mélodies de la chanson française, avec humour, swing et poésie! Ce tour de chant ravira les amateurs de beaux textes et de standards légendaires. Lui, le guitariste aux allures débonnaires aux élans de guitare-héro, elle, la chanteuse pétillante, ils vous emportent dans un voyage musical à travers les succès d’Edith Piaf, Claude Nougaro, Charles Aznavour, Georges Brassens, ou encore Boris Vian et Serge Gainsbourg, sublimés par une interprétation énergique et sensible.