L’évènement de l’été aura lieu à Socx, avec la neuvième édition du Woodsocx Festival, les vendredi 26 et samedi 27 juillet 2024.

Pour cet événement, Hidden Socx s’est associé à C Comme ça afin de présenter un plateau comme les amateurs de Rock les aiment.

Cette année encore, vous pourrez assister à un grand moment musical, avec bien sûr comme fil rouge, le Rock !

Vendredi 26 juillet, l’association C comme ça vous propose un show très rock à partir de 20 heures avec : Little Odetta, Knuckle Head et Back:N:Black.

Fondé en 2020, Little Odetta est un ouragan Rock. Que ce soit dans un Zenith ou dans un club bondé, les cinq membres du groupe injectent de la soul, du blues, du groove dans leur rock, joué avec passion et brio. Il a trouvé le remède universel contre la morosité ! Little Odetta réussit le tour de force de faire l’unanimité dans la presse spécialisée… et le public.

A la fois rock, blues, stoner et country le duo Knuckle Head porté par Jack et Jock assume ses influences «made in USA»… Leur jeu de scène est à l’image de leur musique : d’une énergie inépuisable qu’ils offrent avec passion à leur public, à tel point que l’on a du mal à croire qu’ils ne sont que deux sur scène. Du grand art…

Cette formation est connue dans le monde entier comme « le » groupe féminin d’hommage à AC/DC et fait vibrer aussi bien les grandes scènes que les clubs plus intimes. Depuis 2010, elles ont joué dans toute l’Europe, emmenant le public dans un grand voyage à travers le Rock cinquantenaire d’AC/DC. Ce qui leur a valu la reconnaissance du groupe AC/DC himself. Ce sera un grand moment de Rock à Socx !

Samedi 27 juillet à partir de 16 heures, nous vous proposons une autre explosion de Rock, avec des groupes qui font l’actualité en 2024.

Komodrag & The Mounodor est  la révélation rock de l’année 2023 et star de la radio Oui FM. Né de la fusion de deux groupes, il propose un rock digne des meilleures formations des années 1970. Guitares sur-vitaminées, deux batteries sur scène, un orgue Hammond, et nous voilà partis dans un voyage à la fois Classic Rock, Hard Rock et Rock progressif. Un show étonnant et détonant. Une musique à mettre dans toutes les oreilles !

Derrière le patronyme Jimmy Montreuil se dévoile une passion pour Johnny Cash. On l’a compris, les concerts de Johnny Montreuil, collectif de musiciens créé par et autour de Benoit Dantec respirent l’énergie, l’authenticité, la liberté. Ses chansons sont des tranches de vie racontées avec gouaille. Pas de doute, Johnny Montreuil, c’est cash…

Une approche du Rock de The Red Goes Black est à la fois généreuse, sans concession et parfois frondeuse. C’est de cette école que sont issus les musiciens de The Red Goes Black. Créé en 2011, le groupe ambitionne de marier la flamboyance des racines Rock 60’s et 70’s avec des dégradés Blues et des nuances Soul. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il réussit.

Toute la musique qu’on aime (ou presque). Chico’s Family reprend les titres des groupes des années 70 (et même un peu plus). Une voix qui peut monter très haut, un guitariste hors pair, vous voilà partis avec le groupe dans cette fabuleuse période musicale. Led Zeppelin, Aerosmith, The Who (et… tous les autres !) comme s’ils étaient devant vous, dans le parc de Socx.

Les places sont désormais disponibles aux endroits suivants :

Les Indépendants, 8 quai des Américains à Dunkerque

Chez Hélène, Couleurs Faubourg, 99 faubourg de Cassel à Quaedypre

L’Univers, 4 place de la République à Bergues,

Galerie Paragone, 20 rue nationale à Bergues

Moto passion 59, ZA de la croix rouge à Socx

Dans le réseau Ticketmaster : Au rayon billetterie de tous les hypermachés Auchan, Carrefour, Cora, E.Leclerc, magasins Cultura

Pass 1 jour

Vendredi 26 juillet à 20h : 16 euros

Samedi 27 juillet à 16h : 16 euros

Pass 2 jours

Vendredi 26 juillet et samedi 27 juillet : 27 euros

Festival WOODSOCX, les 26 et 27 juillet 2024 Parc de Socx, route de Saint Omer, 59380 Socx

On se donne rendez-vous le vendredi 24 mai à 20h30 pour un co-plateau reggae de choix au Forum de Vauréal (95), avec Mo’kalamity et Johnny Osbourne.

La billetterie est disponible ICI

Mo’Kalamity d’origine cap-verdienne, est une figure éminente du reggae, imprégnée des rythmes caribéens et afro-américains. Sa voix suave et mélodieuse transmet un message de prise de conscience à travers des paroles spirituelles et des morceaux engagés. Ses voyages à Kingston et à New York l’ont mis en contact avec les grands noms du reggae, enrichissant son parcours musical et son authenticité. Son dernier album, « Shine », reflète cette quête de vérité et incarne une vision musicale inspirante Mo’Kalamity, d’origine cap-verdienne, est une figure éminente du reggae, imprégnée des rythmes caribéens et afro-américains. Sa voix suave et mélodieuse transmet un message de prise de conscience à travers des paroles spirituelles et des morceaux engagés. Ses voyages à Kingston et à New York l’ont mis en contact avec les grands noms du reggae, enrichissant son parcours musical et son authenticité. Son dernier album, « Shine », reflète cette quête de vérité et incarne une vision musicale inspirante.

Johnny Osbourne légendaire figure du reggae, annonce son retour pour 2023 après plus d’un demi-siècle de carrière. De ses débuts dans les années 60 avec des hits comme « Truth and Rights », il a traversé les évolutions du reggae jusqu’au Digital. Après une période plus discrète dans les années 90, il a fait un retour remarqué en 2012 lors d’une tournée de festivals, démontrant toujours sa présence scénique légendaire. En 2023, il revient avec un nouvel album en collaboration avec le musicien Stepper, produit par Baco Records. Ce projet, composé de morceaux originaux et de classiques revisités, promet une énergie positive et ensoleillée portée par la voix inimitable de Johnny Osbourne.

Le Festival Rock In Sissy se déroulera les 7 et 8 juin 2024 à Sissy (02). La programmation est désormais complète, avec en tête d’affiche le vendredi 7, AC/DC performed by Bloody Rosie, précédé de Damien Covers et Garage Monkeys. Le lendemain, ce sont Scarletter, Atlas Karma, Secret Garden and the Dusty Man qui se succéderont sur scène, avant de clôturer la soirée avec Lazy – Tribute to Noir Desir qui fêtera ses 10 ans !

Terrain Bernard Hubart 02240 Sissy

Tarif : 5 euros la journée

Bloody Rosie fait désormais partie du paysage incontournable des covers bands, reconnu comme étant l’un des meilleurs tributes d’AC/DC présents sur la scène Française.

Depuis 2013, Bloody Rosie propose un show construit autour des titres d’AC/DC les plus fédérateurs, toutes périodes confondues.

 Dès les premières prestations la magie opère, car Bloody Rosie n’est pas un groupe comme les autres. Le public ne s’y trompe pas et le succès est au rendez-vous. La fidélité musicale aux boys et l’énergie scénique permet au groupe de participer aux plus grands évènements et festivals renommés de la scène nationale. Tête d’affiche de chaque édition des Monsters Of Tribute Rock, Bloody Rosie démontre lors de chaque concert sa capacité à tenir le haut de l’affiche sur les plus grosses scènes, comme à Saint-Quentin en 2021, devant plus de 4000 personnes !

L’efficacité du groupe est la résultante d’une symbiose entre chacun de ses membres, tous musiciens aguerris, afin de rendre le plus bel hommage au groupe mythique groupe Australo-Britannique. 

Bloody Rosie c’est avant tout une équipe de passionnés. Un groupe 100% rock, dont l’énergie brute, la précision et la prestance scénique rassemblent toutes les générations autour des hymnes d’AC/DC.

L’objectif de Bloody Rosie est simple : Faire que le public ferme les yeux et entende l’original.

Close your eyes and you’re on the highway to hell !!!

LET THERE BE ROCK

Retrouvez Hawkwind sur la scène du Festival Rétro C Trop à Tilloloy (80) samedi 29 juin 2024.

La Billetterie est disponible  ICI

Hawkwind, formation emblématique du space rock britannique, a émergé dans les années 1970 avec une fusion cosmique de rock psychédélique et de sons futuristes. Guidé par le visionnaire Dave Brock, et avec le passage de nombreux musiciens légendaires dont Lemmy Kilmster (Motörhead), le groupe a sculpté un son distinctif, marqué par des synthétiseurs enveloppants, et des performances live hypnotiques.

En 1971, Lemmy Kilmister intègre Hawkwind en tant que bassiste et chanteur. Il n’a encore aucune expérience avec une guitare basse, mais développe rapidement un style de jeu distinctif et unique, fortement influencé par son passé de guitariste rythmique.

Son jeu de basse fut une contribution fondamentale au son distillé par le groupe à cette époque, se manifestant dans toute sa splendeur sur « Space Ritual ». Il prêta également sa voix sur de nombreuses chansons, incluant le plus grand succès du groupe au classement UK chart single, « Silver Machine », qui se hissa à la troisième place en 1972.

Alors que la plupart des musiciens de Hawkwind sont sous LSD et autres psychédéliques, Lemmy préfère le speed et les amphétamines : le groupe développe un son à la fois hypnotique et primaire, avec des riffs appuyés mais sophistiqués par l’utilisation de synthétiseurs.

Leur album emblématique « Space Ritual » (1973) demeure une référence du rock progressif, cimentant leur statut de pionniers. Avec une carrière marquée par l’expérimentation et l’exploration sonore, Hawkwind demeure une force avant-gardiste qui continue d’influencer le paysage musical.

En 1975, pendant leur tournée aux USA, il est renvoyé du groupe car son rythme de vie rend les répétitions difficiles. Quelques mois plus tard, Lemmy forme Motörhead.

Fear Factory sera en concert au « Forum » de Vauréal (95) mercredi 12 juin 2024. Bad Situation assurera la première partie.

La billetterie est disponible ICI

On ne peut pas sous-estimer la taille de l’empreinte de la botte Fear Factory sur le cou du heavy metal. Avec des albums influents aux hymnes dévastateurs depuis plus de 30 ans, Fear Factory est largement reconnu comme étant à la fois crucial et innovant dans les cercles de metal extrême. Fear Factory a perfectionné un mélange explosif de riffs staccato, de batterie teintée industrielle, de fioritures électroniques et d’une dichotomie crier/chanter, qui sont tous devenus des incontournables de la musique heavy, depuis que le groupe a fait son apparition à Los Angeles.

L’œuvre de Fear Factory a une portée cinématographique ; des paysages sonores, faisant écho aux futurs post-apocalyptiques dystopiques trouvés dans la littérature et les films classiques de science-fiction, de Ray Bradbury à Blade Runner. «Agression Continuum» sorti en 2021, dixième album studio du groupe, est le point culminant de trois décennies de chansons, de performances et de concepts de narration avant-gardistes inoubliables, tout en relançant simultanément Fear Factory sur une nouvelle voie brillante et imprévisible.

Des chansons comme «Recode», «Distruptor» et «Purity» offrent des riffs et des concepts forts. Fear Factory reste la bande-son des temps incertains à venir.

Bad Situation c’est du courant brut amplifié dans un mur de son.

Considéré comme le duo rock le plus explosif de ces 20 dernières années, c’est en première partie de groupes comme Skid Row, Carpenter Brut, Mass Hysteria ou encore Skip The Use que Bad Situation s’est construit une réputation de groupe incontournable en live. Crée par le Youtubeur aux millions de vues Aziz Bentot (Chanteur/Guitariste) plus connu sous le nom de Dealer 2 Metal  et Lucas Pelletier (Batterie), Bad Situation prouve très rapidement sa capacité a fédérer. Avec des riffs de guitares efficaces, un sens de la mélodie maitrisé à la perfection et son énergie débordante de passion, Bad Situation est en train de devenir la nouvelle reference de la scène Rock au sens large du terme.

The Silencers annoncent une tournée française en 2024, avec 8 dates entre mai et novembre. 3 d’entre elles se dérouleront en mai, avec le premier concert du « Silent Highway Tour 2024 » le 16 mai à Istres « L’Usine », puis le 17 à Montpellier et le 18 à Perpignan. The Silencers se produiront au Trianon de Paris le 12 novembre 2024.

« Silent Highway Tour 2024 » :

16 Mai : L’Usine @ Istres (13)

17 Mai : Le Rockstore @ Montpellier (34)

18 Mai : El Mediator @ Perpignan (66)

06 Juillet : festival La Pamparina @ Thiers (63)

12 Novembre : Le Trianon @ Paris

13 Novembre : Le Zephyr @ Lille (59)

14 Novembre : L’Etage @ Rennes (35)

16 Novembre : Le Vauban @ Brest (29)

Au début des années 80, quatre jeunes de Glasgow s’exilent à Londres pour monter ce qu’ils appelleraient à l’époque un ‘vrai’ groupe. Un groupe qui composerait des chansons personnelles, empreintes d’émotion, dans le but de toucher les gens. The Silencers était né et les voici aujourd’hui de retour avec un dixième album : « Silent Highway ».

La recette reste inchangée. Des morceaux méticuleusement fabriqués de manière artisanale, des mélodies exaltantes et des textes sensibles. Les douze titres qui composent « Silent Highway » vous marqueront et feront corps avec vous – un groove hypnotique qui vous fera taper du pied ou danser sur des paroles aussi bien authentiques, sincères ou irréelles que politiques, ironiques ou amusantes.

« Silent Highway » a été crée pendant le confinement de 2020 entre Nantes, Rennes et Glasgow, et co-produit par Jimme et Baptiste Brondy, batteur du groupe Delgrès. Jimme O’Neill souhaitait revenir aux sources de ce qui a forgé le son des Silencers à savoir leur tout premier album « A Letter from St. Paul », celui par lequel tout à commencé. Même si les trois premiers albums de The Silencers ont été disques d’or en France et que le groupe jouit toujours d’une très solide communauté de fans ici et dans le monde, le souhait profond de Jimme était, avec ce nouvel album, d’être à la hauteur et de ne surtout pas les décevoir. Ce confinement signifiait donc que le groupe allait devoir trouver une nouvelle manière de travailler et d’enregistrer ce dixième disque – il leur fallait compter sur la technologie pour échanger leurs idées. Et finalement, après que chaque membre eut fait sa part dans son coin, le résultat était là avec le souvenir du premier album bien présent et un « Silent Highway » comme une synthèse quasi- parfaite de tout ce qu’ils avaient accompli et réalisé depuis leurs débuts.

Christophe Dal Sasso Big Band présente l’album « Chick Corea’s «Three Quartets» Revisited », qui sortira le 17 mai 2024, via Jazz & People – Pias Intégral.

Dal Sasso a encore frappé !

Fort de ses relectures King Size de classiques de John Coltrane, «A Love Supreme» et «Africa/Brass», Christophe Dal Sasso s’attaque aux «Three Quartets» de Chick Corea

Sous la conduite experte de l’arrangeur, son big band (groupe de l’année aux Victoires du Jazz en 2020) revisite cet album mythique, avec en première ligne, dans le rôle de Michael Brecker, trois saxophonistes exceptionnels : David El-Malek, Stéphane Guillaume et Rick Margitza. Un hommage vivant et spectaculaire au pianiste disparu en 2021.

Line up :

Stéphane Guillaume, tenor and soprano saxophone, flute

Rick Margitza, tenor saxophone

Thomas Savy, clarinet and bass clarinet

Nicolas Folmer, trumpet and flugelhorn

Christian Martinez, trumpet

Denis Leloup, trombone

Jerry Edwards, trombone

Pierre de Bethmann, piano

Manuel Marchès, double bass

Karl Jannuska, drums

Quartet No. 2, Part 1 and Part 2 are dedicated to Duke Ellington and John Coltrane respectively.

Concerts:

18/06 : Paris, Sunside

22/06 : Maisons-Laffitte Jazz Festival

27/06 : Jazz à Ramatuelle

Les Tambours du Bronx seront en concert vendredi 4 octobre 2024 à Vauréal (95) « Le Forum ».

Storm Orchestra assurera la première paretie

La billetterie est disponible ICI

Les Tambours du Bronx, c’est un spectacle à voir absolument. Leur musique s’incarne et nous transcende jusqu’à ce que l’on exulte avec eux. Le groupe donne un sens à l’expression « art vivant » : l’énergie, le flux, la vie même émergent du son de ce groupe à 16 têtes qui, loin de laisser indifférent, fascine et bouleverse. Leur musique mélange des sons synthétiques et des échantillons et mêle le rock, l’indus, la techno et l’afrobeat. La musique est une production collective de gestes et de fièvre, une chorégraphie où la force s’intensifie, le tempo s’électrise, les voix se transforment en cris, le tout dans une cohésion violemment esthétique.

Outre leurs collaborations fructueuses avec Jaz Coleman et Les Frères Morvan, les Tambours du Bronx se sont également fait un nom dans le monde du heavy metal. Leurs prestations électrisantes à Rock in Rio aux côtés de Sepultura ont été particulièrement remarquées. Leur mélange unique d’instruments de percussion traditionnels et de heavy metal moderne est présenté dans leur premier album de metal industriel, « Weapons of Mass Percussion », qui a été acclamé par la critique et a fait l’objet de nombreuses tournées.

Leur deuxième album de metal, « Evilution », est sorti en 2023. L’album marque une rupture significative avec leurs travaux précédents, en incorporant des batteries et des guitares pour créer un son puissant et dynamique. Avec cet album, Les Tambours du Bronx continuent de repousser les limites de l’expérimentation musicale et de la créativité.

Cradle Of Filth donnera un concert exceptionnel au « Forum » de Vauréal (95) samedi 30 novembre 2024 ! Butcher Babies et Mental Cruelty assureront la première partie.

Production : Le Forum

Le Forum, Grande Salle. Placement libre – Assis-Debout

Ouverture des portes : 18:30

Début du concert : 19:00

Prévente le mardi 30 avril à 13h pour les abonnés de la Carte FOFO. (Carte FOFO disponible à l’achat ICI)

Mise en vente générale le jeudi 2 mai à 11h.

Éructé des profondeurs de l’enfer sur le béton souillé de pisse de Suffolk, il y a trente longues années, Cradle Of Filth est un géant incontesté du monde du heavy metal. Impérieux pourvoyeurs d’une variété toujours unique de métal sombre, ignoble et volontairement extrême, avec des racines profondes dans les mondes de l’horreur gothique et de la curiosité occulte, le groupe mené par Dani Filth a traversé trois décennies de tumultes et d’épreuves, se forgeant une formidable réputation à la fois comme force créatrice singulière et comme l’un des groupes live les plus émeutiers que le monde du métal ait jamais produit.

Des premiers travaux primitifs comme « The Principle Of Evil Made Flesh » (1992) aux classiques plus expansifs et théâtraux comme « Cruelty Of The Beast et Midian », Cradle Of Filth a défié les tendances et construit son propre monde idiosyncrasique de grandeur immonde, devenant au passage l’un des groupes de metal les plus remarquables du Royaume-Uni. Depuis, ils ont parcouru le monde à d’innombrables reprises, récoltant les louanges et les éloges d’une base de fans internationale en constante expansion. Résolument prolifique, le catalogue du groupe s’est enrichi en profondeur et en stature, indépendamment des changements de line-up ou des caprices des fidèles.

Plus récemment, Cradle Of Filth a connu un regain de créativité et d’urgence. Alors qu’un nouveau line-up s’est formé autour de la création de « Hammer Of The Witches » en 2015, un nouvel élan a propulsé le groupe vers de nouveaux sommets, tandis que l’équipe revitalisée est devenue plus demandée que jamais dans le monde entier. En 2017, « Cryptoriana – The Seductiveness Of Decay » a répété l’exploit avec une flamboyance encore plus explosive. Jusqu’à ce qu’une pandémie mondiale mette un terme brutal à l’industrie musicale, Cradle Of Filth était presque en permanence sur la route et volait à toute allure. Par conséquent, personne ne sera surpris d’apprendre que le nouvel album du groupe, « Existence Is Futile », est un nouveau voyage monumental et électrisant à travers les ténèbres.

« Nous avons profité de cet élan depuis que ce line-up s’est formé », déclare Dani Filth. «  C’était un line-up que nous devions réunir pour une tournée, mais il a fonctionné tellement mieux qu’avant. L’année 2019 a été notre année la plus chargée, nous étions partout. Et nous revoilà, avec un troisième album ! Il n’y a eu qu’un seul changement pour cet album : nous nous sommes séparés de Lindsay [Schoolcraft]. Notre nouvelle claviériste fait partie du groupe depuis novembre dernier et personne ne sait encore qui elle est ! Nous devions la révéler à l’occasion de notre concert, mais cela a été reporté. Il va donc falloir attendre et voir. »

Porté par ses récents triomphes, Cradle Of Filth – complété par le batteur Martin ‘Marthus’ Škaroupka, les guitaristes Ashok et Richard Shaw, et le bassiste Daniel Firth – a enregistré « Existence Is Futile » en 2020, dans les studios Grindstone à Suffolk, avec le gourou du studio Scott Atkins (Devilment/Benediction/Vader). Bien qu’immédiatement reconnaissable comme étant l’œuvre de ces vétérans du blackheart, le treizième album de Cradle Of Filth est une bête totalement différente de ses prédécesseurs immédiats. Pervers et parfois absurdement brutal et extrême, il se tient avec une fluidité hypnotique. Il est également truffé de mélodies gigantesques et entraînantes et de moments d’invention époustouflants. Personne ne pourrait confondre les titres accrocheurs de « How Many Tears To Nurture A Rose » ou la monstrueuse ballade « Discourse Between A Man And His Soul » avec Cradle Of Filth, bien sûr, mais « Existence Is Futile » confirme que les instincts exploratoires du groupe sont toujours aussi aiguisés.

« Le dernier album était très orné et très compliqué, et il s’est égaré dans tous les sens », note Dani. « Nous avons essayé de mettre tous les ingrédients de tous les albums de Cradle sur un seul album. Une fois cette étape franchie, nous avons essayé d’expérimenter un peu cette fois-ci. Je déteste ce mot, parce que vous savez ce qui arrive quand Metallica expérimente ou Megadeth expérimente ! [Rires]. Évidemment, il y a des chansons stupidement brutales et d’autres qui le sont moins. Mais malgré les extrêmes, nous voulions quand même faire quelque chose de très accrocheur. Il y a donc aussi des refrains, Dieu nous en préserve !

Soutenu par une production énorme et désarmante, « Existence Of Futile » est clairement l’album le plus sombre et le plus troublant que Cradle Of Filth ait fait depuis longtemps. Laissant de côté la narration tordue caractéristique du groupe au profit d’aperçus horrifiés du vide mortel et de ruminations sur la destruction inévitable de la vie sur Terre, il est impossible d’ignorer la pertinence de cet album face à l’ensemble des cauchemars auxquels l’humanité a été confrontée en 2021, même si Dani Filth insiste, non sans raison, sur le fait qu’il n’avait pas anticipé une pandémie mondiale lors de l’écriture des chansons d’actualité.

« L’album parle d’existentialisme, de peur existentielle et de peur de l’inconnu. Le concept n’a pas été créé par la pandémie. Nous avions tout écrit avant que cela ne commence, mais la pandémie est la cerise sur le gâteau en ce qui concerne la façon dont le monde va, vous savez ? Je suppose que le titre, « Existence Is Futile », sonne un peu morbide. Mais encore une fois, il s’agit plutôt de reconnaître cela et de dire que tout est permis parce que rien n’est vraiment réel, ce qui était la maxime d’Aleister Crowley. Nous savons tous que nous allons mourir, alors autant en profiter pendant qu’il en est encore temps. Le dernier morceau de l’album – « Us, Dark, Invincible » – met vraiment l’accent sur ce point. Nous disons « Merde, nous savons que le monde est foutu, alors profitons-en tant que nous le pouvons ». La pochette de cet album a été réalisée par Arthur Berzinsh, qui a également réalisé les deux derniers albums, et elle est également très apocalyptique.

Avec le meilleur timing possible, Cradle Of Filth devait déjà enregistrer un nouvel album pendant ces longs mois d’enfermement en 2020. Ayant saisi l’occasion à deux mains, Dani avoue que l’isolement inévitable du reste du monde était la meilleure motivation possible pour faire ce travail, tout en ajoutant une atmosphère sinistre à l’ensemble de l’expérience.

« Je passais toute la journée au studio et je ne voyais personne, puis je rentrais chez moi en voiture en traversant une ville totalement vide. J’avais l’impression d’être dans une petite chambre de sommeil. C’était une sensation formidable, mais très surréaliste. Tout cela s’est déroulé pendant l’été, lorsque le temps était fabuleux. Il n’y avait que Scott et moi, pendant trois mois ! Ce qui est bien, c’est que pendant que nous étions là, au moins trois des chansons ont été complètement remaniées. J’ai réécouté les démos et je me suis dit : «  Putain, pourquoi on n’a pas mis ça sur l’album ?  » Mais on l’a mis sur l’album, on l’a juste tellement changé que ce n’est plus la même chanson. C’était donc un bon produit dérivé de la situation d’enfermement.

D’un point de vue sonore, « Existence Is Futile » est l’album le plus puissant et le plus dramatique que Cradle Of Filth ait jamais réalisé : c’est le son de l’enviable alchimie du groupe sur scène qui se répand en studio, propulsant chaque membre du groupe à de nouveaux niveaux d’intensité. Combiné aux arrangements labyrinthiques attendus et aux moments de grandiloquence envoûtante, « Existence Is Futile » est peut-être la représentation la plus vivante de l’expérience Cradle Of Filth à ce jour.

« Nous voulions vraiment nous assurer que l’album sonnait le plus possible en direct, en particulier la batterie », explique Dani. « Nous avons également essayé de faire en sorte que tout soit aussi concis que possible. S’il y avait du désordre, nous l’avons enlevé. Nous voulions que le son soit le plus fort possible, surtout lorsque Martin joue à mille à l’heure. Avec des chansons comme « Crawling King Chaos » et « Existential Terror », c’est une bataille pour que le son soit massif, avec des chœurs et l’impression que l’apocalypse arrive, sans que cela ne devienne un désordre complet. Je pense que nous avons fait du bon travail ».

Les fans inconditionnels seront ravis d’apprendre que l’icône de l’horreur Doug ‘Pinhead’ Bradley fait un retour bienvenu dans le giron de Cradle, prêtant sa voix douce à l’épique « Suffer Our Dominion », ainsi qu’à l’un des titres bonus du nouvel album à venir, comme l’explique Dani.

« Il y a deux titres bonus, dont l’un est la troisième partie de « Her Ghost In The Fog », le point culminant de cette histoire. Nous avons décidé de ne pas l’inclure dans l’album, parce qu’elle ne résumait pas le contenu du reste de l’album, mais Doug Bradley fait une nouvelle fois son apparition. Il vit à Pittsburgh, qu’il appelle « The Pit », et nous l’avons fait par Skype. Naturellement, il l’a fait très rapidement. Il joue aussi le rôle de David Attenborough sur « Suffer Our Dominion », qui est probablement la chanson la plus politiquement correcte que nous ayons jamais faite ! Nous ne faisons pas vraiment de politique, mais c’est quelque chose qu’il fallait dire. Nous disons simplement que nous avons bousillé la planète et qu’il faut remédier à la situation… mais en langage Cradle, bien sûr !

Si nous devons tous périr dans les flammes de notre propre stupidité, autant avoir une bande-son dérangée et destructrice comme il se doit.

Plongée envoûtante et sans peur dans l’abîme, « Existence Is Futile » confirme l’efficacité féroce de Cradle Of Filth en 2021. Audacieux, courageux, follement imaginatif et lourd comme l’enfer, le dernier train en marche du groupe à travers les flammes est l’album parfait pour les temps les plus imparfaits. Comme le conclut Dani, « Soyez comme le virus ! Mutez et survivez !

Deep Purple dévoile ce jour « Portable Dorr », le 1er single extrait du nouvel album ‘=1‘  à paraître le 19 juillet 2024.

Le titre énigmatique de l’album, ‘=1‘, résume la philosophie du groupe, à savoir l’unité au milieu de la complexité, et promet un album qui résonne profondément avec leur héritage hard rock des cinq dernières décennies. Produit une fois de plus par l’emblématique Bob Ezrin, ‘=1’ capture le son classique le plus pur de Deep Purple, sans s’appuyer sur la nostalgie.

Lors d’une récente interview concernant la direction sonore de leur prochain album, le guitariste Simon McBride a fait part de ses impressions : « Le nouvel album reflétera ce que nous créons tous les cinq en répétitions. De nombreuses chansons, comme « Portable Door », ont été écrites lors des premières sessions et ont été composées en 5 ou 10 minutes. C’était si facile et si naturel.”

Le chanteur et frontman Ian Gillan souligne lui aussi la manière organique et naturelle dont le groupe a écrit les chansons : « À travers l’histoire de Deep Purple, nos meilleures chansons ont toujours été celles écrites en très peu temps. Nous jouions ce qui nous semblait bien composé des chansons comme nous l’avons toujours fait.

Pour célébrer ce nouvel album, Deep Purple donnera cette année, plus de 60 concerts dans le monde pour à l’occasion de leur tournée « =1 More Time ».

Avec trois albums numéro 1 consécutifs et une nouvelle énergie qui les fait avancer, Deep Purple est à son apogée. « Now What?! » (2013), « inFinite » (2017), and « Whoosh! » (2020), se sont vendus à des millions d’exemplaires à travers le monde, faisant de Deep Purple l’un des groupes de rock encore actif les plus couronné de succès. Le dernier album studio, « Whoosh ! », a atteint la première place des classements d’albums dans 7 pays et s’est classé dans le top 10 dans 12 autres.

Produit par l’agence berlinoise Mutter & Vater et réalisée par Leo Feimer, ce clip met en scène Deep Purple avec pour toile de fond, la pochette du nouvel album. Capturant l’essence même du groupe, qui partage mutuellement la scène.

Découvrez la vidéo du 1er single « Portable Dorr », extrait du nouvel album ‘=1‘  à paraître le 19 juillet 2024 :