L’album de tous les succès de Kylie Minogue, « Step Back In Time » The Definitive Collection sortira le 28 juin 2019 via BMG – Warner. Il contient 41 titres, dont l’inédit « New York City ».

« Step Back In Time » est le témoignage de la carrière très impressionante de Kylie Minogue, parsemée de Hits mondiaux, à commencer par « I Should Be So Lucky » en 1987 jusqu’à son plus récent album, « Golden », sorti l’année dernière et également très bien accueilli dans les charts .

L’ensemble de ses singles Hits totalisent 300 semaines dans le Top 40. Elle a vendu plus de 80 millions d’albums et son catalogue compte désormais plus d’un demi milliard de flux dans le monde sur Spotify. Kylie a reçu de nombreux prix et distinctions, notamment 3 BRIT Awards, 2 MTV Music Awards et un Grammy.

L’année 2000 marque un tournant dans la carrière de l artiste et un retour désormais emblématique avec le hit « Spinning Around » suivi des singles « On A Night Like This » et son duo époustouflant avec Robbie Williams, « Kids ». L’année suivante, elle sort « Fever », cinq fois disque de platine, dans lequel figurent les singles « Impossible de te sortir de ma tête », « Dans tes yeux », « Love At First Sight » et « Come Into My Monde » que l’on les retrouve dans « Step Back In Time ».

En 2007 sort « X » avec le single « In My Arms », produit par Calvin Harris, « 2 Hearts » et « Wow ». Parmi les autres points culminants de sa carrière figurent « Confide In Me », extrait de son cinquième album studio en 1994 et son duo avec Nick Cave & The Bad Seeds, le single de 1995 « Where The Wild Roses Grow ».

« Step Back In Time » sera disponible sous forme de double CD standard et de version numérique, ainsi que le CD deluxe avec un livre relié de 32 pages, 2 disques vinyles LP Picture Edition, 2 disques vinyles en édition limitée Vert Mint, 2 disques LP Standard Black Vinyle et cassette double disponibles en 5 couleurs d’édition limitée.

Après de nombreuses années de spéculation, Kylie Minogue se produira enfin au Festival de Glastonbury le 30 Juin prochain où elle présentera son spectacle très attendu sur la scène emblématique de la pyramide, dimanche après-midi et le single Inédit , « New York City ».

Découvrez le titre inédit « New York City » en vidéo :

Phil Campbell and the Bastard Sons, composé de Phil Campbell (guitare) et ex Motörhead, mais aussi de ses trois fils, Todd Campbell (guitare), Dane Campbell (batterie) et Tyla Campbell (basse), mais aussi du chanteur Neil Starr, revient en tournée en France en septembre 2019.

En novembre 2016, les musiciens sortent leur premier EP et se produisent dans toute l’Europe en première partie de Saxon (novembre/décembre 2016) et des Guns N’ Roses (juin 2017). Ils envahissent les scènes des plus gros festivals européens : Hellfest, Sweden Rock, ou encore Download. Depuis, ils n’arrêtent plus !

Leur premier album « The Age Of Absurdity » sort en janvier 2018. Un disque qu’ils jouent sur scène avec les meilleurs titres de Motörhead, écrits par Phil Campbell lui-même. Attendez-vous à un set résolument rock’n Roll. Comment pouvait-il en être autrement quand on sait que ce guitar hero a officié dans la bande de Lemmy pendant 32 ans ! Sur scène, la justesse du chant de Neil Starr est remarquable et la ferveur s’empare rapidement du public lorsque les titres de Motörhead sont envoyés tout en puissance. Les riffs toujours aussi frénétiques de Phil Campbell sont révélés par ses fils talentueux: c’est une véritable explosion musicale sur scène.

Ne manquez pas le retour du groupe en septembre 2019 !

– 15 septembre 2019 : RaismesFest – Raismes
– 18 septembre 2019 : Espace du Crouzy – Boisseul
– 22 septembre 2019 : La Maison Bleue – Strasbourg
– 24 septembre 2019 : Le Ferrailleur – Nantes
– 26 septembre 2019 : La Luciole – Alençon
– 27 septembre 2019 : Café de la Danse – Paris
– 28 septembre 2019 : Magic Mirrors – Le Havre

Interview Nashville Pussy 19/06/19 – Paris « Gibson Store » Réalisée par Alicia FIorucci

Juste avant d’entamer la tournée marathon, qui verra Nashville Pussy sillonner l’Europe pendant 1 mois et demi, avec 12 dates françaises, Alicia Fiorucci a rencontré Blaine Cartwright et Ruyter Suys dès leur arrivée sur le sol français.

Salut Ruyter et Blaine, je suis ravie de vous revoir, j’étais en Belgique en octobre dernier, je vous ai vu trois fois, comment allez-vous ?

Blaine : Bien mais fatigué, vraiment fatigué mais ça va.

Ruyter : On est debout depuis 10h30 ce matin, le décalage horaire sera pour demain, mais on est toujours réveillés. On a dormi durant le trajet.

Pouvez vous me faire une petite présentation du groupe pour ceux qui ne vous connaissent pas. Je sais que ça ne sera pas simple de résumer depuis 1996 mais juste en quelques lignes.

B : Allez, vas-y.
R : On est Nashville Pussy, on joue du dirty rock n roll.

B : On a 7 albums, fait plus de 2000 concerts depuis 1996, on a tourné dans plein de pays et partagé la scène avec Motörhead, Lynyrd Skynyrd, ZZ Top, Marilyn Manson, Slayer. On joue dans des clubs ou des grands festivals. Par contre, on a perdu le grammy. C’est Metallica qui l’a raflé. (rires)

Je sais que vous avez tourné avec deux de vos groupes favoris, Motörhead et Lynyrd Skynyrd, qu’avez-vous ressenti à ce moment ?

R : Oh mon dieu, c’était vraiment cool.
B : Avec Motörhead on vraiment joué avec eux dans des petits clubs, ils étaient populaires c’était des concerts de fou. Motörhead ne mangeait pas, ils buvaient. C’était des concerts de dingue. Avec eux c’était speed et whisky. Mais avec Lynyrd Skynyrd, il y avait de la bonne nourriture
R : Avec Lynyrd Skynyrd c’était énorme. La setlist de Lynyrd Skynyrd était vraiment très longue et collée sur le sol. Quand tu vois que ton top 10 des chansons va être joué, c’était wow.
B : Quand tu ouvres pour des groupes pour des pointures, comme avec ZZ Top, on était très content de voir qu’ils allaient jouer « Tush ». On était vraiment excités.

R : La première fois qu’on a tourné avec Motörhead c’était fou et on est devenu amis pour toujours. On allait à des fêtes, c’était rock n roll avec son lot de bonnes et mauvaises habitudes.

Le fait d’avoir deux femmes dans le groupes, était-ce un choix ?

R : Oui

B : Oui en quelque sorte, même si au départ c’était un peu un accident. Mais on a trouvé que c’est une bonne chose d’avoir deux femmes dans le groupe. C’était totalement cru.

Comment voyez-vous la place des femmes dans le monde du rock et seriez vous plutôt pour la défense de ces dernières dans ce milieu ou vous vous en foutez ?

R : Je ne sais, j’avais l’habitude de prétendre que le genre n’était pas un problème. Mais les hommes sont devenus lourds. Dans un sens on pourrait être des sortes de pionniers dans un sens du style pour la composition du groupe. Par contre, Certains viennent à nos concerts et ne savent pas qu’il y a deux femmes dedans.

B : Je viens juste visionner le documentaire sur Joan Jett des Runaways, et même si je ne suis pas un grand fan la chose dont les magazines comme Rolling Stones parlaient, c’était leur manière d’être sexy etc.  Je me souviens que Cream magazine avait dit à propos des Runaways « These bitches suck ! ». C’était vraiment incroyable. Elles avaient tourné avec Rush etc. et elles n’avaient que 15 ans.

D’où vient votre énergie ? (prestation live et sur les albums)

R : ça vient juste naturellement, on est des machines d’entraînement sur scène , des machines de guerre. On est des super monkeys ! (rires)

Ruyter, pourquoi as-tu choisi la Gibson SG pour tes guitares ?

R : Je ne l’ai pas choisie, c’est elle qui m’a choisie. Je jouais sur Fender Telecaster et un jour j’ai testé la Les Paul et ça a tout de suite matché. Puis un technicien en amplis vendait son SG et je l’ai essayée un moment. Elle convenait à mon corps. Au départ on voulait aussi faire un groupe de surf comme Dick Dale.
B : Oui et comme Link Wray.

R : Et quand on a commencé à faire les premières notes avec ce son et du coup on a changé d’optique.

Combien de temps consacres-tu à la pratique de l’instrument chez toi ?

R : Je ne joue plus à la maison par contre, j’ai beaucoup pratiqué quand j’étais adolescente. Surtout durant la période où tu ne veux pas trop parler à tes parents. C’est un bon moyen.  Y avait même pas besoin de porte à ma chambre, ça faisait comme un mur du son. (rire) Mon père jouait aussi de la guitare. Par contre, des fois j’entendais « tu peux pas baisser le volume, j’arrive » etc.

Comment gères-tu ton jeu de guitare avec ton incroyable prestation scénique sans faire de fausses notes ?

R : Il y a des fausses notes (rire).

Votre dernier album «  Pleased to Eat You » sorti fin 2018, comment composez-vous ? d’abord les paroles puis la musique et qui les écrits?

B : J’écris toutes les paroles et je fais la partie punk rock niveau musical à la Ramones etc . R : J’apporte la touche finale avec des embellissements à la ZZ Top et ce genre de choses.

Notre batteur vient d’horizons musicaux très divers. Il est vraiment merveilleux. Il peut jouer du funk, du rock, du rock sudiste et bien d’autres styles, il apporte vraiment sa patte sur ce dernier opus. Il voit d’autres possibilités pour élaborer notre musique.

J’ai vu votre reprise « Cocaine Cannot Kill My Pain » de Steve Earle, je sais que vous êtes fans de country, quels sont vos artistes favoris ?

B/R : Il y en a tellement, c’est un peu nos héros mais les principaux, Georges Jones, Hank Williams les 3 de la famille, Waylon Jennings, Johnny Cash (on a toujours aimé Johnny Cash), Bob Wills. Elvis Presley était au top.

B : J’ai vu David Allan Coe in 1980, j’étais au lycée. On adore les 3 Hank Williams.

Ca fait quelques années que Daniel Rey produit vos albums, comment vous êtes-vous rencontrés ?

B : Il était sur la liste pour le premier album il voulait déjà le produire mais on avait déjà quelqu’un. Un jour notre manager est venu pour nous dire qu’il serait bien de le prendre en nous disant « fais moi confiance ».
R : Il a changé nos chansons positivement, il les ré-arrange et c’est une bonne chose.

B : Il n’a jamais tort dans la manière de voir les choses. Y a des personnes qui disent des conneries mais lui est toujours concentré sur ce qu’il fait.

La tournée d’été européenne est dans les starting blocks, êtes-vous excités ? Comment vous sentez-vous juste avant de démarrer ?

R : oui on est vraiment ravis, on a hâte.

Est-ce toujours la même émotion qu’à vos débuts ?

R : Non, je me sens plus détendue car le premier concert qu’on a fait j’ai presque failli avoir un arrêt cardiaque et le 2e concert je suis tombée dans le public. (rire)

Vous tournez beaucoup en Europe, aimez-vous tourner ici ? Si il y a des différences entre le public européen et celui américain, dites moi lesquelles ?

R : Il y a plus de personnes à nos concerts en Europe. (rires)

B : Oui, on préfère tourner en Europe car aux USA les gens écoutent beaucoup de hip-hop, alors qu’en Europe ils sont plus tournés vers le rock. Et ils sont plus à même d’apprécier ce que l’on fait.

Préférez-vous jouer dans des gros stades ou dans les clubs ?

R : Tous, en fait on s’en fout, ça ne fait pas de différences pour nous, que ce soit des grosses salles ou pas. On joue partout.

B : L’avantage des gros festivals, c’est de jouer devant des milliers personnes. Ça fait me sentir bien.

Un mot à ajouter pour les lecteurs de Ride the Sky ?

B : Tu connais la chanson « Ride The Sky » de Lucifer’s Friend ?

Oui bien sûr

R : la chanson reprend un peu l’ambiance d’« Immigrant Song » de Led Zeppelin. (Ruyter chante l’air)

Merci beaucoup et qu’est-ce que je peux dire ? keep on fuckin’ !

Alicia FIORUCCI
Photos © Alain BOUCLY

Un grand Merci à Sabrina de Verygroup et à Toma de Rage Tour pour avoir rendu possible cet entretien.

Les dates françaises de la tournée « Summer 2019 » :
27/06/2019 Rouen Le 106
28/06/2019 St Prouant Festival Les Feux de l’Eté
29/06/2019 Valloire Punta Bagna Valloire
30/06/2019 Marseille Le Molotov / Sarl afam
05/07/2019 Paris Gibus Live
06/07/2019 Bailleul En Nord Beat Festival
09/07/2019 Selestat Bar Le Tigre
10/07/2019 Dijon Deep Inside Klub ROCK
27/07/2019 Sénaillac-Latronquière Rock Tattoo festival 2019
28/07/2019 Reims (France) Le Dropkick Bar
Christina Rosmini présente « TIO, itinéraire d’une enfant de Brassens » Festival d’Avignon – Théâtre le Cabestan – du 5 au 28 Juillet 2019 – 17H15

Ce spectacle musical retrace le parcours d’une petite fille d’immigrés venus d’Espagne, d’Italie et de Corse, que Tonton (Tío) Brassens a « élevés » en leur donnant accès à une œuvre d’une portée universelle : Populaire mais exigeante, poétique, espiègle, irrévérencieuse et profondément humaine.

Entre poésie et chansons, Christina Rosmini tisse à partir de la plume de G.Brassens (mêlant poèmes, chansons, lettres et interviews de l’artiste), sa propre histoire et celle des siens sur trois générations. Avec son style méditerranéen aux touches flamencas, elle nous amène ainsi redécouvrir les œuvres majeures du poète (la Chasse aux Papillons, Embrasse-les tous, La Prière…).

Le guitariste Bruno Caviglia (Michel Legrand, Véronique Sanson, Michel Fugain) et le percussionniste Xavier Sanchez (Carla Bruni, Yvan Le Boloch, Pierre Bertrand) offrent à ce spectacle une qualité musicale remarquable.

Grand Prix d’interprétation des Amis de Georges 2018. Succès Festival Avignon OFF 2018

« Amateurs de Brassens, ou tout simplement de la vie, ne loupez pas ce spectacle habité par la chanteuse. Un bijou » Libération – Bruno Pfeiffer

« Petite-fille d’ouvriers venus d’Espagne, d’Italie et de Corse, elle est devenue la voix claire d’un univers latin éclaté. Elle se raconte aujourd’hui à travers les mots de « tonton » Brassens (chansons, lettres, interviews), figure « émancipatrice » de sa famille, sur une musique pleine d’allégresse aux accents flamencos, fadaises ou tangueros. » Télérama

« Un véritable hymne à la poésie et à la joie avec cette pointe de truculence et d’humour propre au maître. »  Vaucluse matin – Jean Do Rega

« A la fois drôle, émouvant et tendre. La réussite est entière. » Théâtre Actu

« Christina Rosmini relève le défi et invite le natif de Sète à convoler vers une Terra Incognita à mi chemin entre chanson française, climax méditerranéen et flamenco. Chantées aussi bien en français qu’en espagnol, La Visite, Gastibelza, ou encore La Prière, arpentent fièrement les terres brûlées d’Andalousie, portées par une interprétation enthousiaste et un naturel confondant. » Qué Tal Paris?

« S’attaquer à un monument du patrimoine culturel est un défi en soi. Lui donner la couleur de la Méditerranée en est un autre tout aussi osé. C’est ce qu’a fait ce duo, à la scène comme à la ville, formé par la chanteuse Christina Rosmini et le guitariste Bruno Caviglia. Georges Brassens se retrouve une nouvelle fois fêté, et pour l’occasion, relooké aux couleurs de l’Amérique Latine et du flamenco. Un beau coup de chaud qui transporte notre vieux poète national vers des rivages ensoleillés. A déguster. » Guitare Sèche – Le Mag

Spectacle musical de Christina Rosmini
Mise en scène : Marc Pistolesi (Molière 2017 du meilleur spectacle musical).
Avec : Christina Rosmini – Chant, Comédie
Bruno Caviglia – Guitares
Xavier Sanchez – Percussions

De notre envoyée spéciale Alicia FIORUCCI

Ceux et celles qui n’étaient pas au festival de l’enfer ce samedi 22 juin se sont déplacés au Forum à Vauréal pour retrouver la chaude ambiance de La Valley. En effet, ce soir, dans cette salle, dont la renommée n’est plus à faire tant elle accueille des pointures de la scène, nous avons rendez-vous avec deux groupes aux couleurs sonores estampillées doom, stoner, psyché et tous ses dérivés.

C’est avec le trio Red Sun Atacama que la soirée commence. A la vue du logo, deux mains encerclant un soleil laissant apparaître le nom du groupe dans une écriture délicatement psyché, on sait d’avance l’atmosphère qu’il va régner tout au long de ce set.

Cette formation voit le jour en région parisienne en 2015 et a dans son escarcelle 1EP (sorti en août 2015) et un CD qui a vu le jour en 2018. Ce power trio nous emmène visiter l’aridité du désert d’Atacama aux sons extrêmement travaillés à grands renforts de fuzz, de pédales wah-wah, de distorsion etc… On ne reste pas insensible à la lourdeur des rythmes maîtrisés par Robin qui cogne tel un forçat sans desservir la musique, bien au contraire puisque Clem assure lui les lignes de basses à la manière d’un guitariste en technicien virtuose de la 4 cordes tout en apposant les vocaux et Vincent ajoute la touche psyché à la guitare.

On assiste à 40 minutes d’un show d’une énergie et d’une puissance sans faille. En tout cas, retenez bien ce nom car ces 3 gaillards sont très prometteurs et on risque fortement de les recroiser au détour d’un cactus !

Puis place aux anglais d’Uncle Acid And The Deadbeats. Originaires de Cambridge ils se forment en 2009. Forts de 3 singles et 5 albums, le dernier en date « Wasteland » de 2018,  le groupe a acquit une notoriété qui n’est plus à démontrer dans le monde du rock psyché. Les quatre musiciens, à la longueur capillaire non négligeable, débarquent sur les planches tout de noir vêtus. Derrière la batterie en guise de backdrop, un écran qui sera comme le 5e membre du groupe tant ce qu’il apporte au show est de bon aloi. Je vous en causerai plus tard.

Alors quid de ces anglais lysergiques ? On a affaire à un groupe de haute volée qui rend hommage à nos idoles, Black Sabbath, Alice Cooper mais aussi Pentagram etc. le tout saupoudré d’innovations pour nous emmener dans leur vortex bien à eux. En effet, être à un concert d’Uncle Acid relèverait presque de l’expérience tellement on se laisse emporter dans ce tourbillon psychédélique. Ils nous captivent, nous transcendent, nous envoûtent pendant 1h30 tout comme les images projetées tout au long du set, issues de cinéma de genre, au cocktail salvateur mélange de sorcellerie, d’horreur, de mysticisme.

On retrouve des titres tels que « Waiting for Blood », « Death’s Door », « Dead Eyes London » et bien d’autres puis « No Return » sonnera le glas de la fin du concert. Tous ces éléments nous prennent aux tripes et renforcent une prestation de qualité.

La performance d’Uncle Acid and The Deadbeats est telle une catharsis d’où l’on ressort purifié.

Il me faudra un moment avant de revenir parmi mes congénères terriens et de ne pas rester scotchée au firmament de mes émotions.

Alicia FIORUCCI

Photos ©2019 Alain BOUCLY

Uncle Acid & The Deadbeats – Photos © Alain BOUCLY

Red Sun Atacama – Photos © Alain BOUCLY

Rose Tattoo, le groupe de Hard Rock australien formé en 1976, sera de passage en France en 2020 !

Ne manquez pas Angry Anderson et sa bande le 21 mars 2020 à Strasbourg « La Laiterie », le 24 mars à Paris « La Cigale » et le 25 mars à Lyon « Ninkasi Kao »

Parmi ses succès, on compte des titres comme « We Can not Beat », « Scarred For Life » et « Bad Boy For Love ».

Leurs quatre premiers albums studio ont été produits par Harry Vanda et George Young, connus pour s’être également occupés des albums d’AC/DC, dont le premier du groupe, « High Voltage ». Rose Tattoo a contribué à instaurer un son et un style qui influencera toute une génération de groupes de hard rock comme Airbourne et Guns N’ Roses.
Après 3 concerts données en France l’an dernier, avec un passage au Hellfest, une date à Strasbourg et une prestation remarquée au Raismesfest, Rose Tattoo sera de retour à Strasbourg, Paris et Lyon, en mars 2020 !

Voici le communiqué officiel du Hellfest annonçant l’annulation du groupe Manowar :

« Malgré une présence sur site en ce jeudi 20 juin, les équipes et les membres du groupe Manowar ont décidé de quitter le site.
Le concert de l’artiste Manowar prévu ce vendredi 21 juin ne pourra donc avoir lieu pour des raisons indépendantes de notre volonté.
Nous sommes sincèrement désolés pour l’ensemble des fans de cet artiste et plus largement pour l’ensemble des fans du Hellfest. »

« Despite an on-site presence on Thursday 20 June, the teams and members of the Manowar band decided to leave the festival site.

The concert of the artist Manowar scheduled this Friday, June 21 will not be possible for reasons beyond our control.
We are sincerely sorry for all the fans of this artist and more broadly for all the fans of Hellfest. »

« Rise », le second album du super groupe Hollywood Vampires sort le 21 avril 2019 via earMUSIC

Hollywood Vampires reviennent avec leur deuxième album explosif, «Rise». La légende du Rock Joe Perry, la superstar hollywoodienne Johnny Depp et la célèbre icône du rock Alice Cooper unissent leurs forces à nouveau pour l’album de rock incontournable de 2019. Quelques secondes après le morceau d’ouverture «I Want My Now», il est clair que ce super-groupe a créé quelque chose de spécial : l’alchimie entre les membres est indéniable quand ils se retrouvent sur scène ou en studio d’enregistrement. Oubliez leurs réputations, «Rise» est l’un des albums rock les plus purs, et les plus agréables de l’année, créé par des maîtres en la matière. À la différence de leur premier disque en 2015, le nouvel album «Rise» consiste principalement à des morceaux originaux, écrits par le groupe. Il y a cependant trois reprises de chansons écrites et enregistrées par des confrères rockers décédés beaucoup trop jeunes : une version intime et intense de «Heroes» de David Bowie, magnifiquement interprétée par Johnny Depp; «People Who Died», de The Jim Carroll Band, et «You Can’t Put Your Arms around A Memory», de Johnny Thunder, chanté par Joe Perry. Les retentissants hymnes de rock comme «The Boogieman Surprise» et «Who’s Laughing Now» (le premier single du nouvel album) capturent le naturel, le brut, l’attitude jubilatoire que les Hollywood Vampires affichent lors de leurs performances live dans le monde entier.

Mais l’album met également en avant leur registre avec des titres tels que «We Gotta Rise» – une chanson politique dans la lignée d’«Elected» d’Alice Cooper – jusqu’à l’épopée gothique psychédélique de «Mr. Spider»

«« Rise » n’est pas seulement un animal totalement différent du premier album de Hollywood Vampires, c’est la chose la plus unique à laquelle j’ai pu participer. J’ai abordé les choses d’une manière très différente par rapport à la façon dont je procède généralement quand je travaille sur un album. Chacun d’entre nous ; Joe, Johnny, Tommy et moi-même avons écrit des chansons sur cet album. Ce qui est différent, c’est que je n’ai pas essayé de changer les chansons pour qu’elles ressemblent davantage à celles d’Alice. Le son de cet album est très cool parce que chacun de nous a des influences différentes. Je pense qu’avec cet album, nous établissons ce que le son d’Hollywood Vampires est réellement, alors qu’avec le premier album, nous rendions d’avantage hommage à nos frères décédés du rock’n’roll. » – Alice Cooper

«« Rise » est issu d’une énergie créative pure, qui revient à jouer en live avec les Hollywood Vampires. Le disque montre que tout le monde fait ce qu’il sait faire de mieux sans que personne ne surveille. Il n’y avait ni pression ni délai, ce qui nous permettait d’écrire et d’enregistrer un album qui est l’un des disques les plus libres et les plus honnêtes auquel j’ai participé. Je suis impatient d’interpréter certains de ces morceaux en concert pour nos fans.» – Joe Perry

EarMUSIC, le label rock indépendant mondial d’Edel Germany GmbH, est fier d’annoncer la signature mondiale de Hollywood Vampires. Après la sortie de l’album studio 2017 d’Alice Cooper, « Paranormal », sur earMUSIC, son meilleur disque depuis dix ans, le label est fier d’accueillir le groupe dans sa famille.

  

Red Sun Atacama assurera la première partie d’Uncle Acid & The Deadbeats samedi 22 juin 2019 au Forum de Vauréal

Sur le chemin entre le Hellfest et le Graspop Festival, Uncle Acid & The Deadbeats font escale au Forum de Vauréal samedi 22 juin 2019 pour une date unique en salle en France !

Groupe de Doom / Rock Psychédélique, Uncle Acid & The Deadbeats se sont formés en 2009 à Cambridge. Largement influencé par le heavy metal des années 70, la musique des Anglais est décrite comme du « Alice Cooper mélangé à du Black Sabbath ». Ils utilisent d’ailleurs des instruments vintages pour reproduire les sons produits à cette époque. Après un premier album sorti en 2010, K.R Starrs (aka Tonton Acid) et ses comparses sortent « Blood Lust » deux ans plus tard, leur permettant de se faire connaître en plus d’être salué par la critique.

le nouvel album d’Uncle Acid & The Deadbeats intitulé « Wasteland », est disponible depuis le 12 octobre 2018 via Rise Above Records.

L’album a été enregistré par Geoff Neal (Nine Inch Nail, Mötorhead). Le guitariste chanteur Kevin Starrs a déclaré : « Il n ‘y a pas assez de mélodie ou d’harmonie dans la nouvelle musique à mon goût. Je veux aller encore plus loin avec tout ceci cette fois, et prendre les gens à la gorge ! C’est important pour moi que quelqu’un continue de le faire, surtout dans la musique heavy. J’écris toujours en fonction de mes goûts, donc tant que ça me parle, je n’y pense pas réellement. Je peux dire que tout a été une progression instinctive. »

Tracklist:
01 – I See Through You
02 – Shockwave City
03 – No Return
04 – Blood Runner
05 – Strange Night
06 – Wastelad
07 – Bedouin
08 – Exodus

D’après Uncle Acid : « On a hâte de revenir dévaster nos villes préférées. Vous allez adorer les concerts, expérimenter le top de la technologie en écran PsychoVision avec des tonnes d’amplificateurs à tubes poussés au maximum pour vous éclater les oreilles et vous liquéfier l‘esprit. Le cauchemar reprend ! »

Tarif sur place : 17€
Tarif en prévente : 15€
Tarif abonné : 12€
Pass Campus : 5€

Le Forum
Boulevard de l’Oise – 95490 Vauréal
www.leforum-vaureal.fr
01 34 41 93 20
A15 sortie 12, direction Vauréal.
Transports en commun : RER A, arrêt Cergy Le Haut. Bus 34, arrêt La Croix Lieu.

La Traverse et Powerlive Events présentent :
Coverslave 20th Anniversary + Dennis Stratton ex-guitariste d’Iron Maiden – The Maiden Years Tour – Chapter 1 + Special Guest : Syr Daria

Jeudi 17 octobre 2019 à 20h30 – Cléon (76) « La Traverse »

Ne manquez pas cet évènement exceptionnel pour la célébration des 20 ans de Coverslave.
Un show complet des meilleurs morceaux d’Iron Maiden !
Dennis Stratton, guitariste sur le premier album légendaire d’Iron Maiden rejoindra Coverslave pour une série de concerts du 17 au 20 Octobre 2019.

L’emblématique technicien des lights d’Iron Maiden Dave Lights sera aux manettes pour illuminer le show, afin de vous offrir un spectacle digne des plus grandes heures de la vierge de fer. Après avoir œuvré sur les tournées « Beast on The Road Tour 82 », « World Piece Tour 83 » et « World Slavery Tour 84-85 », la présence de Dave renforce le caractère unique et inédit de cet évènement !

1ère date à Cléon – « La Traverse »
Jeudi 17 octobre 2019  : Meet & Greet à 17h00 / Concert à 20H30
guest : Syr Daria
Réservations ICI

Renseignements sur le site officiel de « La Traverse »