Le nouvel album de Indra Rios-Moore intitulé « Freedom Road », sortira le 18 Mars via Bendra records / l’autre distribution

« Freedom Road » est un concentré de joie. Ce thème lui va décidément très bien.. Indra Rios-Moore nous propose ici un voyage vers la lumière. Je me suis retrouvée un matin à chanter Oscar Brown Jr. autour de ma maison… « Long as You’re Living » est d’une poésie intense … une liste de ce qu’il faut faire dans la vie, lui donner du sens.
« Freedom road », le titre de l’album, est aussi le titre d’une des chansons (et le choix du 1er extrait) : une reprise de Josh White, que lui-même avait composé pour accompagner un poème de Langston Hughes. Initialement cette chanson servait à inspirer les afro- américains à s’enrôler dans le service militaire pendant la seconde guerre mondiale … Indra a changé quelques mots clés pour l’adapter à son temps : au lieu d’une arme à feu, le protagoniste reçoit un bulletin de vote ; toujours très portée sur la défense des droits civiques, Indra reprend également l’Hymne « Eyes on the Prize »

Avec deux chansons originales, « Gimme Some Of That Joy » et « Oh Love », « Freedom Road » est un album qui lui ressemble : toujours éclectique, très positif et empreint d’amour.

Line up :
Indra Rios Moore, vocal
Benjamin Traerup sax
Søren Bigum, guitar
Thomas Sejthen, bass
Anders Vestergaard, drums

Le premier Clélya Abraham, intitulé « La Source » est disponible depuis le 4 février 2022 via Violon d’Ingres/ inouï distribution)

Clélya Abraham sera en concert le 15 mars 2022 à Paris « Studio L’ermitage« 

Line up :
Clelya – piano, voix
Antonin Fresson – guitare électrique
Samuel F’hima – contrebasse

Tilo Bertholo – batterie

Pour ce 1er album sous son nom, la pianiste Clélya Abraham nous invite à boire à la source. Là où les émotions naissent, là où l’amour se partage, là où jaillit sa musique. Pianiste inventive et toujours surprenante, elle nous ouvre les portes d’un univers accueillant où les paysages sont naturels et les émotions sincères. Elle nous dévoile son coeur, son identité plurielle et rend hommage aux musiques qu’elle admire .

Benjamin Minimum est sous le charme : « la source est spirituelle, vivifiante et surprenante, elle affirme la prodigieuse aisance d’une pianiste et d’une compositrice inspirée. Clélya Abraham maitrise les qualités nécessaires aux univers qui ont construits son parcours. A la rigueur du monde classique, à la virtuosité de l improvisation jazz et à la sincérité des traditions créoles elle ajoute une inventivité naturelle et inédite ».

Revue de presse :
En Playlist sur TSF Jazz : « Un son d’une fraicheur incroyable : cette pianiste et chanteuse née dans la musique nous présente un premier album à l’écriture colorée, et irrésistible !  » D. Koperhant.
« L’univers de Clélya Abraham s’apparente ici à ceux de ses contemporains Rodolphe Lauretta et Xavier Belin (dont elle partage le même batteur). Un premier album éminemment prometteur. » Paris Move
« Elle revendique les influences de Vijey Lyer & Tygran Hamasyan et franchement l’auditeur s’y retrouve… Jouant des dynamiques et des émotions avec une belle maîtrise.. » Jazznews

Le Monsters Of Tribute Rock est de retour à Compiègne avec une affiche inédite !

Après l’édition 2019 au a battu tous les records d’affluence au Ziquodrome, ne manquez pas cette date du samedi 26 février 2022, qui promet de grands moments avec près de 4 heures de musique live !

 Organisée par Powerlive Events et les Notes Bleues, l’affiche de cette 4ème édition propose 3 groupes légendaires, avec le meilleur de Queen, Kiss et Status Quo, interprété par Rock You, Dynasty et Vincent & Quo.

Cette soirée s’annonce comme l’évènement à ne pas manquer en ce début d’année.

Ouverture des portes : 19h00

Tarifs : 22.00 euros en prévente – 27 euros sur place

La billetterie est déjà disponible dans le réseau ticketmaster , dans les billetteries des magasins Cora,  Cultura, Leclerc, Auchan… et en ligne sur ces mêmes enseignes
Ne tardez pas pour réserver !

La 3ème édition de l’Australian Rock Night fait étape à Compiègne pour le 1er concert de l’année au Ziquodrome, samedi 29 janvier 2022.

Les Notes Bleues proposent une soirée spéciale Rock Australien avec Overdrivers et Dirty Dogz, 2 groupes aux compositions dignes des plus grandes légendes qui ont fait l’histoire !

Fermez les yeux, et vous voilà au cœur du pays des kangourous, avec les sons aux couleurs d’AC/DC, Rose Tattoo, Angel City ou encore Airbourne !

Découvrez l’énergie et la puissance d’Overdirvers et Dirty Dogz, avec ce package unique pour la 3ème édition de l’Australian Rock Night au Ziquodrome de Compiègne !

CONCERT GRATUIT

Ouverture des portes : 19h30

Plus de 900 000 vues sur you tube pour la vidéo d’Overdrivers avec « High Mountain » :

Le nouvel album de Ghost, intitulé « Impera » sortira le 11 mars 2022 via Loma Vista Recordings.

L’automne dernier, Tobias Forge, le cerveau du groupe, a décrit cet album comme étant inspiré par “l’ascension et finalement les échecs et chutes inéluctables des empires”.

Le deuxième single de ce nouvel opus, « Call Me Little Sunshine », vient d’être mis en ligne. Il arrive en même temps qu’un clip vidéo officiel tourné par le réalisateur Matt Mahurin. L’actrice/musicienne Ruby Modine (Happy Death Day, Satanic Panic) y tient le rôle principal.

« Impera » annonce l’arrivée imminente du nouveau personnage de Forge, Papa Emeritus IV, qui a fait sa première apparition sur scène à la fin de la dernière tournée du groupe.

Le premier single de l’album, « Hunter’s Moon », qui est sorti en septembre, figure également dans le dernier blockbuster de la célèbre franchise cinématographique Halloween Kills.

Produit par Klas Åhlund et mixé par Andy Wallace, « Hunter’s Moon » de Ghost est diffusé au moment du générique de fin de Halloween Kills et sortira demain (21 janvier) sous la forme d’un single sept pouces à collectionner chez Loma Vista Recordings.

Tracklisting :

01. Imperium
02. Kaisarion
03. Spillways
04. Call Me Little Sunshine
05. Hunter’s Moon
06. Watcher In The Sky
07. Dominion
08. Twenties
09. Darkness At The Heart Of My Love
10. Griftwood
11. Bite Of Passage
12. Respite On The Spital Fields

Découvrez la vidéo du single « Call Me Little Sunshine » :

Meat Loaf est parti rejoindre son tandem emblématique Jim Steinman au ciel. C’est la triste nouvelle de ce vendredi matin. L’icône du Classic Rock américain des années 70s s’est éteint chez lui, jeudi soir à l’âge de 74, selon sa famille sur son compte Facebook.  » C’est le cœur brisé que nous annonçons que l’incomparable Meat Loaf est parti ce soir, sa femme Déborah à ses côtés. Ses filles Pearl et Amanda et des amis proches l’ont accompagné tout au long des dernières 24 heures « .  Son célèbre pour son opus « Bat Out of Hell », écrit, composé et produit avec l’autre légende Jim Steinman « Jimmy» est l’un des albums les plus vendus de tous les temps. Il s’est écoulé à plus de 43 millions d’exemplaires vendus.

Son célèbre pour son opus « Bat Out of Hell », écrit, composé et produit avec l’autre légende Jim Steinman « Jimmy »  est l’un des albums les plus vendus de tous les temps. Il s’est écoulé à plus de 43 millions d’exemplaires.

Né au Texas, l’artiste, de son vrai nom Marvin Lee Aday, qui s’est appelé Meat Loaf vu son physique imposant et le lot d’insulte qu’il a eu durant son enfance et son adolescence « Pain de viande » a déjà joué certains rôles au cinéma. On se souvient tous de Robert Paulson et notamment la scène culte de Fight Club, sorti en 1999 de David Fincher, où il serrait longuement fort Edward Norton dans ses bras. Il a joué dans d’autres films comme « Black Dog » avec Patrick Swayze  de Kevin Hooks.

La révélation de la scène rock belge Mustii, sortira son nouvel album, intitulé « It’s Happening Now »,  le 21 Janvier 2022 via Warner.

Mustii sera n concert le 19 Avril à Paris / La Boule Noire

« It’s Happening Now » s’ouvre… Voluptueux, canonique, impétueux, puissant, orchestral.
Un fleuve de claviers promet des paradis perdus.
Et puis là .. sur un piano en mineur, la voix de Thomas Mustin ( Mustii ) , une prière, se déploie en chœur serti en triomphe électronique.
Sensations fortes. La première chanson du nouvel album de Mustii, plonge dans le contexte particulier, intime, familial, du chanteur-acteur belge.

La maladie mentale dont souffrait son oncle adoré est au coeur du sujet .. Cette maladie invisible , cachée , à la fois dévastatrice , dévorante mais aussi ciment et créatrice d’un imaginaire souvent très débordant . Mustii rend hommage à cet homme,  évoque cette maladie qui a tant marqué son l’histoire, a imprégné sa chair et son être , et qui en fait la personnalité si riche et multiple qu’il est aujourd’hui .

Avec cet album, je tenais à rendre hommage à mon oncle, à sa vie hors-norme, à cette personne extra-ordinaire atteinte de schizophrénie et qui a mis fin à ses jours il y a une dizaine d’années maintenant. Il est mon fil rouge. En essayant de lui donner une voix, j’ai moi-même entamé un voyage introspectif, intime, revigorant et inattendu.
Quand je pense à Michel, je pense au Donnie Darko de Richard Kelly, au Bruno de Werner Herzog, au « Mike » Michael Waters de Gus Van sant (My Own Private Idaho), je pense aux figures et âmes solitaires des quartiers résidentiels du peintre Edward Hopper et du photographe Gregory Crewdson, au Fred Madison de David Lynch (Lost Highway), il est tout ça à la fois et unique en même temps et je suis heureux de pouvoir le rencontrer une nouvelle fois à travers le processus de création de cet album.
L’album évoque donc la maladie mentale mais insiste surtout sur l’aspect « extra » ordinaire de son protagoniste. J’ai collecté mes souvenirs d’enfant et d’adolescent, des discussions avec mon père également mais je laisse une large place à l’imaginaire, je me permets de rentrer dans la tête de mon oncle pour fantasmer sa réalité, je « vole » sa parole en quelques sortes pour traverser des thèmes qui m’intéressent comme la solitude, l’envie ou le besoin de trouver sa place lorsque l’on a un pied en dehors du monde.
Son trajet a été sensible, violent, beau et imparfait, pleinement humain.

Le nouvel album du groupe de Black Metal norvégien Abbath sortira le 25 mars 2022.

L’objectif pour ce nouvel était de mettre sur pied une production qui se situe au carrefour des héros d’Abbath, à savoir Kiss, Motörhead, Manowar et Bathory. Le line-up est actuellement composé d’Abbath (guitare, basse, chant), Ukri Suvilehto (batterie), Ole André Farstad (guitares) et Frode Kilvik (basse).

L’album a été produit par Endre Kirkesola, Dag Erik Nygaard et Abbath lui-même au Dub Studio de Kristiansand et au Bergen Lydstudio. L’album a été masterisé par Maor Appelbaum (Faith No More, Rob Halford) au Maor Appelbaum Mastering de Los Angeles. La photo de l’artwork a été prise par Francisco Munoz et le design et la mise en page ont été réalisés par Bjørn Stian Bjoarvik et Agata Kasprowicz.

Tracklist:
01 – Acid Haze (04:51)
02 – Scarred Core (03:29)
03 – Dream Cull (04:15)
04 – Myrmidon (04:33)
05 – The Deep Unbound (04:05)
06 – Septentrion (04:30)
07 – Trapped Under Ice (03:59)
08 – The Book of Breath (04:35)
09 – Dread Reaver (04:43)

10 – Make my day (04:16)

Recording line-up:
Abbath – Guitar, bass & vocals
Ukri Suvilehto – Drums
Ole André Farstad – Lead & acoustic guitars

Mia Wallace – Bass on Acid Haze, Scarred Core, The Deep Unbound & Dread Reaver

Découvrez la vidéo du 1er titre extrait de cet album avec « Dream Cull »

 

 

 

 

Voilà le casse-tête que je n’ai pas osé faire depuis deux ans. Cette année des ami-e-s m’ont motivé pour le faire. Ouf, cela m’a pris une bonne matinée et deux heures de ce premier jour de l’année 2021 et bien sûr une vingtaine de minutes de recherche d’image cette semaine. C’est subjectif et « Not for Debate » mais on peut en discuter et prolonger les échanges. Je sais que nombreux parmi vous ne vont pas lire, tant mieux je n’ai pas fait de relecture, mais j’ai commencé par le 10 rang comme ça vous allez au moins parcourir les « nommés ». Bonne lecture et j’attends vos réactions à l’égard de ses choix, surtout les trois premiers. J’aimerai bien y revenir car j’ai réalisé un Live-Report et une Interview avec Fernando Ribeiro en mois de septembre mais je n’ai pas eu le temps de transcrire nos échanges. Abderrahim Bourkia « Steel Heart Voice »

10-UNLEASHED                                No Sign of Life

 


C’est le 14e album des vétérans suédois. Ce nouveau LP est produit avec un son très clair, mention spécial au batteur et au soliste.
le légendaire quatuor est en forme. Unleashed me rappelle les années du lycée et le groupe casablancais « In The Nightmare » qui jouait des morceaux de l’album Victory. C’est du Death Metal classique avec une touche « thrashisant ». C’est speed bien sûr, et le parfait mélange de vitesse et de lourdeur est là.

 

9-CARCASS                                     Torn Arteries

 

Carcass est un standard de l’univers Metal. On peut pas passer à côté d’un nouvel album de Carcass. Torn Arteries qui succède à Surgical Steel est un excellent mixture de guitares rapides et lourdes mélangées à des riffs plus lents, bien mélodiques et bien variées. Heavy et brutal. Du Carcass quoi? . Ce titre « Torn Arteries » fait référence au premier batteur du groupe Ken Ownback dans les années 80.  La pochette change un peu des registres de ce style musical et se démarque même des précédentes « art work » du groupe. Sympa de voir  des photos d’organes humains reproduits avec des légumes. C’est l’oeuvre de  l’artiste Zbigniew Bielak.

8-ACCEPT                           To Mean To Die

 

 

 

C’est du Accept pur et dur. Rien à ajouter. Comme on l’aime. Un vieux groupe de Heavy Metal qui tient et depuis longtemps. Malgrès le départ des membres fondateurs Wolf Hoffman écrit et compose comme il a toujours fait un des meilleurs albums y compris ceux de UDO. C’est vrai que ses qualités vocal sont inimitables mais Tornillo  assure depuis Blood of the Nations et joue parfois avec des vocalises à la Udo mais c’est juste un clin d’oeil aux fans que la preuve d’un manque de style. Zombie Apocalypse d’entrée de jeu attaque fort avec son riff du début très  thrash à la Metallica/Testament et nous rappelle  les morceaux les plus puissants du répertoire d’ACCEPT.

 

6-KK Priest                                The Sermon of the Priest 

 

   

Pour les fans inconditionnels de Judas Priest voici l’information : KK Dowing de Judas Priest engage et associe un ancien vocaliste de Judas Priest Tim Owens pour faire un album qui ressemble à du Judas Priest. La réponse est toute simple en attendant un nouvel album de Judas Priest, on peut éventuellement écouter ce premier très bon album d’un membre fondateur de Judas Priest. Résultat : du pur heavy metal à la sauce Judas Priest. Riffs accrocheurs, guitares fabuleuses et chant « endiablé » sur des octaves, de différentes hauteurs et de bonnes qualités par Tim Owens. Solos bien inspirés et une battrie à la Dave Holland. A écouter en boucle avant de répondre à cette question énigmatique : Alors Judas Priest ou KK Priest? C’est du Judas Priest en plus frais.

5-Todd La Torre             Rejoice in the Suffering

 

L’une des meilleurs sorties de l’année 2021. Todd a su bien mettre son talent en tant que vocaliste doublé de batteur dans son propre travail. Cela veut dire un album solo composé et co-écrit avec son ami Craig Blackwell. Rejoice in the Suffering cultive un son variée allant du métal de style testament au métal mélodique Queensryche.  Si vous aimez les sonorités des groupes comme Judas Priest, Iron Maiden et Fight ou Halford en solo, avec des notes de la voix de Queensryche Todd era , et même un peu de riff  thrashy, Rejoice in the Suffering est parfait pour vous.  Todd a bien sauvé Queensryche  après le départ de Geoff Tate. Le dernier album The Verdict en témoigne. Toujours productif en matière musicale, Todd a déjà confirmé au magazine Brave Words qu’il est sur son deuxième album solo. Rien à dire de plus.


4-THUNDER                          All the Right Noises

 

Thunder est de retour avec son hard blues rock de grande classe. Il nous ramène aux années 90. Un très bon retour nostalgique. Bravo. Un autre très bon album de Thunder. On ne peut pas passer à côté d’un nouvel opus de Thunder.  Comme à l’accoutumée, le groupe prouve qu’il sait bien faire de la très bonne musique. Toujours efficace, mélodies et riffs accrocheurs. Bref, de la bonne dose qu’il faut pour être apprécier et se faire écouter en boucle.  Vous ne serez pas déçus de l’album, c’est  sûr, et la version vinyle est d’une très bonne qualité de l’enregistrement et la beauté des deux albums vinyle orange et bleu.

3- SAXON                           Inspirations   

 

 

Excellent et brillant. C’est ce qu’on peut dire sur l’album de reprises des légendes britanniques de la New Wave du Brithish Heavy Metal Saxon. Ces derniers ont nommé à juste titre l’opus Inspirations. Onze nouveaux morceaux proposant de superbes classiques du rock qui ont influencé Biff Byford et ses acolytes. Des Beatles à Jimi Hendrix Stone Free, Saxon montre son amour et son appréciation et rend ses hommages, à d’autres poids lourd de l’univers Rock/Hard Rock. Certains morceaux sont bruts mais toujours fidèles à la chanson originale. Quand les vieux de la vieille école nous livre un époustouflant Bomber de Motörhead (avec le sifflet ajouté)  ou Problem Child d’AC / DC, Evil Woman de Black Sabbath et un majestueux Speed ​​King de Deep Purple – tout a été enregistré avec une chaleur rafraîchissante, non filtrée et avec une reproduction sonore vintage, cela nous laisse « stonné ».  Immigrant Song de Led Zeppline est joué « à la sauce » Saxon, donc, pas de débat sur la voix de Plant et celle de Biff, ce n’est pas la peine. Ce groupe mérite mieux et est une référence tout comme  Iron Maiden. De très bon musiciens qui font de la bonne musique et reprennent d’autres bons groupes. Voilà. C’est tout.  Saxon nous fait voyager dans les années 60 et années 70Et il y a la reprise « Hold the Line » de Toto, une surprise? Non. Un bon travail. Un florilège de sons de qualité en attendant l’album Carpe Diem en 2022.

 

 

2-Helloween                                                     Helloween 

 

Cet opus est le fruit de la tournée Pumpkins United. L’idée a fait son chemin petit à petit. Et même la tournée au départ était juste un échange décontracté entre membres et manager. Andi Deris rigole en répondant à la question : » Qui on peut amener sur scène ? » a dit « Michael Kiske» !!! Et puis un silence long et lourd. Kai Hansen a l’habitude d’y être en tournée Gamma Ray et Helloween. Souvent il partage la scène pour un ou deux morceau « Futur World » et « I Want Out« . Mais amener Kiske, c’était un rêve devenu réalité pour les fans. Bref, revenons à l’album. Out of the Glory donne le ton et la suite montre que le groupe est en super forme. Fear of the Fallen aven son intro, ses riffs, son enchainement des passages vocaux et son texte. De quoi rester scotcher. Pour les Musicos, une vraie leçon de Heavy Metal que l’on soit fan ou pas. Ici les fondateurs du Power ne livre pas une rétrospective de leur discographie. Non loin de là. C’est vrai qu’il y a des moments Keeper of the Seven Keys et aussi les différents styles des autres albums. Mais C’est du Helloween comme on l’aime. D’ailleurs, le groupe est un apport majeur gr à la planète « Metal » tout comme Iron Maiden avec qui ils ont partagé des tournées en tant que « Support » et « Special Guests ». « On jouait avec scène avec Iron Maiden. On avait le même espace qu’eux et les gars de Maiden sont supers. Mais fallait vraiment prendre notre propre chemin sinon on aurait pu être que l’ombre Iron Maiden« , m’a dit Markus dans une interview qui n’a jamais vu le jour. » Car souvent on compare Maiden et Helloween, ce sont deux vieux routiers mais ce se sont totalement différent.  Helloween revient en force l’opus est speed sans répit du début à la fin. Pas de concession. Des solis, des solis et encore des solis à la pelle, des passages rythmiques qui coupe le souffle. La grande claque instrumentale plan instrumental et performants Robot kingFear of the fallen, et Masspollution. Impeccable riffs. Kiske est monstrueux. Son retour a donné un nouveau souffle à ce vieux groupe qui tient très bien avec un très bon management composé de bons musiciens et amis comme le batteur et manager en chef de fil Kosta Zafiriou.  La chute de l’album, sans parler des deux magnifiques Bonus , est bien parlante « Skyfall« . Oui c’est bien évident. On est des « Ovnis » sur cette terre. Toi, toi et moi qui sont fans des « Citrouilles« . Helloween me donne toujours la pêche.

 

2-Iron Maiden                                                     Senjutsu 

 

Senjutsu voilà un titre parlant. Samourai, sabre en main, feu et sang vif qui annonce d’entrée la couleur : récit et histoire à raconter. Le morceau éponyme est bien fait, accroche avec la voix de Bruce et l’énorme riff narratif. Mouaiii, sans plus, un album classique de Maiden. Mais non. Voyons voir de très près. Stratego est classique tube de Maiden avec la paire de solistes qui t’accroche. Dickinson en parfait conteur t’amène vers un autre monde d’antan dans un film historique. The Writing on the Wall, nous amène dans un long métrage sur le Chaos qui gutte notre monde, et une partie plus progressive et souvent en mid-tempo/balade. Les avis divergent sur un studio de ces légendes et pionniers du métal. Changement de production. Articles commander et « publi « rédactionnel. Pour ou contre Kevin Shirley.  Une petite tension. Certains même parle de menace de mort à l’égard de celui qui est derrière la production. Maiden est une multinationale qui brasse beaucoup d’argent. Revenons à nos moutons, l’ambiance musicale rappelle la période Blaze Bayley et notamment X Factor, surtout dans The Time Machine un des albums les plus sombre de la Vierge de Fer et qui figure parmi mes Top Five.  Ce morceau est l’oeuvre de Janick Gers qu’un nombre considérable de fan n’aiment pas. Mesdames et Monsieurs Mr Gers est un guitariste pilier de Maiden au même titre que Murray et Smith. Et le groupe du travail est fait par lui avec ce dernier. On ne va pas débattre ici pourquoi X-Factor et Gers. Ce genre de discussion reste subjectif. Et finalement, on ne peut expliquer le penchant pour tel ou tel album ou guitariste et argumenter que l’on accroche mieux celui au détriment d’un autre. C’est complétement irrationnel. Mais on peut toujours se poser la question suivante : chef d’œuvre ou ratage complet ? Pour moi, à mon avis. Senjutsu est une chef d’œuvre et largement mieux que The Book of Souls et moins élaboré musicalement comme The Final Frontier mais surtout bien réussi au même titre que Brave New World. Son ambiance X-Factorien me plait beaucoup. Je l’ai écouté pendant des semaines et des semaines avec ma fille Sarah qui est d’ailleurs fan de Eddy the Head et adore ED que ça soit en samouraï, tueur dans une rue mal éclairée, pharaon, soldat, alien ou mort-vivant. Maiden c’est Maiden, ne déçoit jamais. La ballade the Darkest Hour est signé encore Smith et Dickinson. Ce tandem fonction toujours. Cela ne veut pas dire que les autres fonctionnent mal. Le single The Writing on the Wall c’est eux aussi. Pour conclure, c’est on n’accroche pas dès les premières écoutes, accordez-vous, d’autres chances sans se presser. Si vous dites que l’album n’est pas bon. Il faut absolument changez le machin ou le matériel avec lequel vous écoutez. Ce n’est pas pareil un son Vinyle, K7 ou CD ou en mp3, lap top, sur YouTube ou autre. Et si vous persistez et signez alors là, il y a un problème, se rincer bien du cérumen et écoutez avec des oreilles neuves. Si vous détestez Maiden. On n’a rien à vous dire.

Enfin, Senjustu n’est pas une synthèse de leur discographie de quarante ans. L’album est très dense, sombre et avec un côté prog. On peut à chaque passage dire que cela nous rappelle X-FactorSomewhere in TimePowerslaveBrave New World ou Dance of Death. Iron Maiden est incontestablement l’un des meilleurs groupes de tous les temps qui cultive les concepts albums. Il nous offre un voyage qui travers les temps. Cet opus est intéressant pour plusieurs raisons comme l’est The Book of Souls, moins diversifié mais valait la peine d’écouter et suivre en tournée surtout le fabuleux Eddie en Live. Ce mort-vivant transgénérationnel est encore l’œuvre ou le chef d’œuvre pour être bien précis de Mark Wilkinson
Maiden est indéniablement en grande forme. GersMurray et Smith sont des vrais maitres à la gratte. Maiden est une école, pas besoin de le répéter. Encore une fois le travail de SMith et Gers est incontestablement parfait et à mettre en avant solis et rythmiques qui tuent. Pas besoin de citer le patron Steve et le métronome et Golden Hands Nicko. Quant à Sir Dickinson, il est en forme malgré ses déboires de santé. Senjutsu ou pas Senjutsu ? Fan d’un jour, Fan pour toujours. Nous sommes toujours au-dessus de la mêlé. Up the Irons/

1-Moonspell                                                             Hermitage

 

Moonspell est groupe inspirant et bien inspiré. Ce groupe passionné fait toujours un bon travail. Comme Maiden il cultive dans le champ des concepts albums. Hermitage, c’est quoi ? Une belle surprise et une brochette de morceaux bien ficelés en textes et en musique. Tous les bons ingrédients de l’album de l’année 2021. Ce titre exceptionnel dans tout s’adresse à la population Monde. A ce qui reste en nous pour sauver notre humanité. Philosophiquement, il questionne notre mode de vie. « Nous êtres humains » hyper branchés au câbles, hyper connectés et rendus esclaves par l’envi, le désir et l’aveugle consommation. Dès l’intro de Greater Good, on comprend le sens qui se cache derrière. « Que diriez-vous d’aller à la recherche d’une nouvelle terre ? Où il n’y a ni plaisir ni douleur », « Que diriez-vous de pas de voisins et pas d’amis, pas d’hymne, pas de gouvernement, ni de dirigeants ni de nations. » et d’autres passage comme  » Nous savons que nous n’allons pas un remède au cancer ni à l’ignorance » ou le refrain « Partout dans ce monde et les sept mers, des foules de gens continuent de se rapprocher. Oh quand tenir ? Quand lâcher prise ? Le plus grand bien, pas assez bon. Pour nous tous ». The Hermit Saints avec ces cris de colère et de détresse « from the Depth » et « from the Inside » et son refrain qui nous interpelle « Rompre avec l’ordinaire, faire le nécessaire, priez, priez pour la mort, priez pour l’extase. La peau de la carapace humaine, si brisée et frêle. Verrouillez les portes derrière les saints ermites ».  Ce qui suit est un passage qui rend à ce groupe qui expérimente des univers et qui mêle très bien Gothique, Progressif, Death, Black, Industriel et Electro Pop. Moonspell se réinvente sans cesse et nous surprends à chaque album avec un florilège de tubes et de textes à méditer. Apopthegmata est une parfaite illustration. Ce morceau définit bien les Portugais. Sin/Pecado et Alpha Noir/Omega White sont là. Un passage que je ne me lasse pas de me le répéter :  » Le désert est si vaste, que tu dois trouver ta place pour se cacher de la foule. Trouvez la paix sans fin, une maison sans fenêtres, aucune lumière entrante. Une maison construite pour un seul loin du soleil ». Le talent de l’écriture et de récit de Fernando Ribeiro est toujours là, avec la composition est bien faite du talentueux guitariste Ricardo Morin et du claviériste hors pair Pedro Paixao, et le puissant groove du bassiste Don Aires Pereira et sa puissance métallique est présente dans tous les morceaux d’Hermitage.  Et enfin, cerise sur le gâteau le nouveau recru Hugo Ribeiro à la batterie qui remplace très bien Mike Gaspard, j’ai une grande admiration pour lui mais c’est toujours comme ça dans la vie on entame des chemins qui nous éloignent des uns des autres qui ne se croisent guère et nous mènent bien très loin. J’ai posé la question à Fernando sur l’après départ de Mike, s’il y a vraiment un contact : « Non. C’est difficile pour lui et pour nous » m’a dit en guise de réponse. J’y reviendrai si les temps le permettent dans une interview avec le brillant parolier. Retour à l’opus.  La suite logique des chapitres va dans ce même sens « Common Prayers » et « All or Nothing« . Sur ce choix que l’on doit faire tôt ou tard. Ce vide qui nous entoure. Cette bêtise ambiante qui nous engouffre. Ces gens qui nous poussent à être essentialistes, c’est que je ne me cesse de répéter et marquer partout où j’y vais. Ce combat au quotidien, de se remettre en question et de chercher à aller de l’avant toute en gardant son authenticité. « The Authentic Version« , oui, voilà. Nous avons déjà entamé une descente aux enfers, en délaissant les vraies valeurs et en se coupant de notre connexion avec notre intérieur essence divine ou spirituelle selon les repères de chacun de nous. Nous sommes seuls. « Solitarian » raisonne encore et encore. Pinkflodien, Hermitage ? Oui sans équivoque.  Surtout sur « All Or Nothing « , accords de guitare folk, longues plages de leads aériens qui font un clin d’œil majestueux à David GILMOUR et au mythique Pink Floyd que je n’écoute pas souvent car ça déprime trop comme j’ai dit à l’un de mes professeurs qui est d’ailleurs guitariste et chanteur. La touche Floydienne est présente dans 5 ou 6 morceaux et on peut dire que Hermitage est un vibrant et brillant hommage à la musique et aux textes bien cultivés avec beaucoup de sagesse et intelligence. Moonspell passe souvent pour un caméléon qui change sans cesse de style. Or, leurs albums sont préparés à petit feu, bien réfléchis. Je suis le groupe debout depuis ses débuts et toujours la surprise après chaque sortie. J’adore l’insolite, le solitaire et l’électron libre que l’on touche et sent chez ce groupe qui marque son temps. Hermitage : Mélancolie élégante.

 

 


 

 

Revivez la magie d’ABBA en concert, avec tous les tubes qui ont fait leur succès, dimanche 12 décembre 2021 au Ziquodrome de Compiègne (60) avec ABBA FOR EVER en concert à 17h00 !

ABBA a mérité sa place dans l’histoire de la musique. Aujourd’hui, 45 ans après la sortie de leur premier single, la folie ABBA n’est pas prête de s’arrêter avec encore plus de 2 millions d’albums vendus chaque année.

Dans un spectacle grandiose d’une heure trente, ABBA FOR EVER reproduit les plus grand titres d’ABBA.

Un concert live qui retrace le parcours du groupe, de ses débuts avant l’Eurovision en passant par tous ses grands succès internationaux : « Waterloo », « SOS », « Mamma Mia », « Dancing Queen », « Money Money Money », « Knowing Me Knowing You », sans oublier quelques surprises du vaste répertoire d’ABBA.

ABBA FOR EVER n’est pas un énième tribute band qui ressemble vaguement à ABBA. Il se distingue nettement de ses concurrents. La clé du succès ? Deux chanteuses et deux musiciens qui ressemblent physiquement et vocalement à Agnetha, Anni-Frid, Bjorn et Benny, une reproduction fidèle des titres et des costumes – même les fans les plus critiques ne peuvent qu’applaudir leur talent.

Crée en 2008, ABBA FOR EVER connait depuis 10 ans un succès mondial extraordinaire. Avec rès de 400 concerts dans 7 pays, ABBA FOR EVER ravive l’engouement des fans pour la musique du groupe suédois. Attendez-vous à une soirée incroyable.

Ne manquez pas ABBA FOR EVER à l’occasion de leur tournée spéciale pour fêter ensemble le 45 ème anniversaire du premier single d’ABBA.

Le billetterie est disponible ICI