La Rumeur sera en concert samedi 25 octobre 2025 à « La Traverse » de Cléon (76)
La Rumeur, collectif engagé né en 1995, mêle rap et poésie urbaine avec une ferveur sans compromis. Depuis les Yvelines et Perpignan, ses voix dénoncent le racisme, la violence et les blessures de l’Histoire. Refusant les projecteurs faciles, ils préfèrent l’indépendance et l’authenticité, tissant leur art entre musique, écrits et cinéma. Une force de vérité qui bouscule et fait résonner les silences.
En première partie, c’est le 5ème Rap Game de la Traverse qui propose à 4 artistes normands de préparer en résidence un show commun pour découvrir les jeunes rappeurs du territoire !
Le nouvel album de Mike Andersen, intitulé « All Out Love », sortira le 19 septembre 2025 via Custom records – Baco Music.
Après près de trois décennies sur scène, Mike Andersen revient avec son 10e album studio. Identifié entre autres pour sa participation au dernier album de Jean Jacques Milteau, ce sonwriter et guitariste émérite danois est connu pour sa quête d’un son qui lui est propre plutôt que de recycler les standards du genre. Sur « All Out Of Love », sa palette de références musicales est plus large que jamais, donnant naissance à une œuvre à la fois surprenante et très personnelle. Les chansons parcourent le paysage émotionnel qui suit un divorce avec ses hauts et ses bas. Il s’agit de retrouver ses repères malgré la nostalgie et les doutes liés aux changements tout en regardant vers le futur. Sans filtre, Mike invite les auditeurs à découvrir un chapitre de sa vie qui l’a profondément marqué, tant sur le plan personnel qu’artistique. Poussée par l’inspiration et l’instinct, la musique a pris forme naturellement.
Composé de 10 chansons originales, ce nouvel album met l’accent sur la diversité comme en témoigne les 2 premiers singles «Only For You» et «Don’t Waste Your Time». Parfois dépouillé et acoustique tantôt percutant et électrique, ces deux titres dessinent les contours d’un album où les contrastes coexistent. La collaboration avec le producteur Christian Ki avec lequel l’énergie et l’inspiration étaient là dès la première rencontre a donné naissance à un album à la fois audacieux et curieux, où le brut et le raffiné se côtoient. Ensemble, ils ont créé un son frais et libre, tout en conservant la signature distinctive de Mike Andersen.
À l’occasion de la sortie de l’album, Mike Andersen entamera une grande tournée, où lui et son groupe présenteront leurs nouveaux morceaux en live.
Le nouvel album de Solomon Cole, intitulé « Ain’t Got Time to Die », sortira le 10 octobre 2025 via Dixiefrog – Rock & Hall.
Originaire de l’île de Waiheke en Nouvelle-Zélande, Solomon Cole est un artiste de blues qui défie les genres grâce à son mélange unique de blues brut du Delta et d’un rock ‘n’ roll au groove imparable. En tant que leader du Solomon Cole Band, il a assuré les premières parties de groupes internationaux tels que The Animals (Royaume-Uni), The Supersuckers (États-Unis) et Martha Davis & The Motels (États-Unis) et Marcus King Band (États-Unis) en Australie et en Nouvelle-Zélande.
Avec « Ain’t Got Time to Die »enregistré live entre autres lieux dans une installation datant de la seconde guerre mondiale sur l’île de Waiheke, le résultat est une collection de morceaux intenses et atmosphérique allant du blues brut à l’Americana qui témoignent de l’engagement de Cole pour une musique authentique et énergique. Évoquant le folk blues de Tom Waits mais aussi Son House, R. L. Burnside avec des échos à la Howlin’ Wolf, ce nouvel album est marqué par une assurance certaine et un enthousiasme contagieux.
Connu pour son chant rocailleux, ses grooves hypnotiques et son jeu de guitare survolté, Solomon nous offre un nouvel album à la fois impétueux et audacieux. Produit et enregistré par Eddie Rayner, le claviériste légendaire de Split Enz et Crowded House, apporte une profondeur sonore qui allie l’authenticité du blues vintage à une mise en son d’une précision irréprochable. La touche de Rayner sublime les rythmes entraînants, les riffs slides marécageux et l’énergie explosive des morceaux créant un paysage sonore à la fois intemporel et implacable.
Avec une approche bâtie sur la narration imprégnée de soul pulsé par un blues primal, Solomon Cole, trace sa route sans complexe.
Clelya Abraham sera en concert le 31 Juillet au festival de La Roque d’Anthéron (13640)
Les notes du piano de Clélya Abraham percent le voile de la voûte céleste et créent un chemin entre l’intime et l’universel, entraînant avec elles un tourbillon de rythmes, de mélodies et d’harmonies. Dans « Atacama », son second album, on croise des étoiles, les terres de ses ancêtres et des récits musicaux nourries de sources africaines, jazz, samba, gwoka, maloya, séga, nu soul. Il s’y précise aussi son talent grandissant de compositrice, musicienne et chanteuse et son aspiration à se relier à l’immensité du cosmos afin de prendre du recul. Désirs d’infini, d’amour et de joies musicales, Clélya met tout en œuvre pour les partager afin qu’ils allègent les épreuves et unissent les âmes.
En tournée :
31 juillet – Festival La Roque d’Anthéron
23 août – Deva Jazz festival – Roumanie
28 septembre – Aprem’ jazz – Quimper
12 octobre – Jazz in Noyon
15 novembre – St martin (Antilles)
23 novembre – Auditorium du conservatoire de Colombes
Le nouvel album de The Freaky Buds, intitulé « Western Smoke », sortira le 17 octobre 2025 via Freak Land Records – Inouie distribution.
Avec « Western Smoke », The Freaky Buds livrent un album de blues intensément vivant, forgé dans l’authenticité et la fougue. Enregistré et produit par Kid Andersen au mythique Greaseland Studio, ce disque puise son inspiration dans les racines du genre – de R.L. Burnside à The Red Devils – tout en affirmant une identité résolument contemporaine.
Avant d’entrer en studio, le groupe a traversé la Californie lors d’un road trip fondateur. Entre longues routes, chaleur des paysages et rencontres inspirantes, cette immersion a nourri l’album d’un esprit de cohésion et d’une liberté brute qui traversent chaque morceau. Kid Andersen apporte à l’album son sens du son profondément roots, nourri par des années passées aux côtés des plus grands du blues. Sa culture musicale et sa carrière internationale confèrent aux morceaux une modernité organique sans rien sacrifier à leur sincérité.
Les chansons racontent des histoires à la fois intimes et universelles. « Strugglin’ & Shufflin’ » fait entendre la voix d’un homme injustement emprisonné, rêvant de liberté et d’un monde plus lumineux. Dès les premières mesures de “The Freeloader”, on entre dans un quotidien bousculé, où l’intrusion d’un inconnu devient le reflet d’une époque saturée de bruit et d’angoisse. On croise les ombres de l’addiction et de la solitude dans “Devil’s Night”, qui célèbre la fuite dans l’ivresse comme ultime refuge, tandis que “I’ve Lost My Crown” évoque la persistance des fantômes d’un amour disparu. Sur “Guilty”, un titre à l’esprit hill country blues teinté de funk, Kid Andersen signe un solo de guitare incandescent qui nflamme littéralement le morceau.
La production précise de Kid Andersen révèle des atmosphères contrastées : crépusculaires, brûlantes, parfois presque apaisées, toujours marquées par ce grain chaleureux qui fait la signature du Greaseland Studio. « Western Smoke »e s’ouvre sur « Strugglin’ and Shufflin’ », un morceau qui pose d’emblée le ton d’un blues à la fois profond et fédérateur, et se referme sur 19 Years Old, hommage vibrant à Muddy Waters enregistré avec Alabama Mike. Entre les deux, les onze titres tracent un itinéraire sincère et sans artifice, du blues rugueux à la confession lumineuse.
Avec ce 2ème album, The Freaky Buds confirment leur capacité à transformer la vulnérabilité en force et à faire résonner un blues intemporel, nourri par l’énergie d’un voyage collectif et la conviction de faire sonner cette musique avec une intensité nouvelle.
Bush sort aujourd’hui « I Beat Loneliness », leur dixième album studio. Un opus intense, brut et profondément introspectif, né du chagrin, de l’isolement et d’un profond travail sur soi. Produit par Erik Ron (Panic! At The Disco), cet album puissant incarne plus que jamais l’honnêteté émotionnelle et la force cathartique qui caractérisent l’œuvre de Gavin Rossdale.
Lancé par le premier single « The Land of Milk and Honey », un hymne à la fois rugueux et euphorique, suivi de « 60 Ways to Forget People », une ballade lente et poignante sur la mémoire et la perte, l’album plonge dans des territoires émotionnels à fleur de peau.
Composé de 12 titres à la fois percutants et vulnérables, « I Beat Loneliness » ouvre une conversation franche sur la santé mentale, et notamment sur le silence qui entoure souvent la souffrance masculine. Sur « Scars », le titre phare, Bush fait face à ce silence sans détour. Ce morceau brut et bouleversant transforme les cicatrices en symboles de survie. Entre refrains rock explosifs et confessions dépouillées, l’album invite à ressentir pleinement, appelant que la guérison commence là où le silence s’arrête.
“C’est l’album le plus personnel que j’aie jamais créé. Il est là pour que les gens se sentent moins seuls. La vie est belle, mais pas facile. « Scars » est le morceau d’ouverture parfait : il pose le décor. Il accepte notre part de folie et nous rassemble – profitez-en” – Gavin Rossdale
« I Beat Loneliness » est disponible dès maintenant en CD Digipak, double vinyle noir en édition Gatefold, et en version digitale.
La presse est unanime : Metal Talk (Royaume-Uni) parle d’un “triomphe”, Metal Hammer (Royaume-Uni) célèbre une œuvre “profondément personnelle qui ravira les fans”, tandis que Powerplay (Royaume-Uni) qualifie Gavin Rossdale de “conteur hors pair”.
Cet album marque un tournant audacieux dans la carrière de Bush. Une œuvre transgénérationnelle qui touche droit au cœur.
Tournée mondiale en approche :
Bush entamera une tournée internationale dès le 21 avril à Victoria (Canada), traversant l’Amérique du Nord du 19 juillet au 30 août, avant de rejoindre Volbeat pour une série de concerts à travers l’Europe et le Royaume-Uni. Il sera au Zénith de Paris – La Villette le 2 novembre 2025.
Auteure-compositrice-interprète, sensation rock venue de France, Laura Cox revient en force avec un nouveau single intime, «Trouble Coming», disponible dès aujourd’hui chez earMUSIC / Verycords.
Entre arrangements épurés, nuances bluesy et chant habité, le morceau plonge dans une veine introspective tout en conservant les codes rock chers à ses fans.
Accompagné d’un clip sorti le même jour, «Trouble Coming» est un titre sincère, où Laura Cox plonge au cœur des racines du rock tout en affirmant avec panache sa touche moderne, explorant une certaine intensité sensible.
Audacieux et résolument mélodique, ce nouveau titre marque une étape charnière pour l’artiste : une nouvelle ère créative qui s’annonce plus marquante que jamais.
De guitariste virale à icône des plus grands festivals, Laura Cox a su tracer sa propre route dans le paysage rock européen. Révélée par YouTube, où elle cumule plus de 510 000 abonnés et 105 millions de vues, pour un cumul de 903 000 abonnés tous réseaux confondus (@lauracoxofficial sur YouTube, Instagram et Facebook), Laura Cox s’est imposée sur les plus grandes scènes internationales : Hellfest, Rockpalast, Pol’and’Rock, et bien d’autres.
En 2023, son album « Head Above Water » a été salué par la critique pour son habile fusion entre rock vintage et sonorités modernes.
« Un titre planant, hypnotisant, inspiré par un voyage en Écosse rythmé par la brume. « Trouble Coming » évoque les menaces omniprésentes autour de nous, souvent imperceptibles lorsque l’on reste en surface. » – Laura Cox
Révélée sur YouTube comme guitariste prodige, Laura Cox s’est imposée comme l’un des plus puissants exports rock de l’Hexagone. Fusionnant influences classiques et modernité assumée, sa musique est un hommage vibrant au rock brut et sans filtre, tournée résolument vers l’avenir.
Prochaines dates :
09 août – Festival International de Guitares de Montauroux 2025
12 septembre – Léman Blues Festival 2025 – Annemasse, France
27 septembre – Mirorock 2025 – Gérone, Espagne
21 novembre – L’usine – Scènes et Cinés – Istres, France
Groupe culte de la scène metal britannique, Sweet Savage signe un retour fracassant avec « Bang », un nouvel album à paraître le 12 septembre 2025. En avant-goût, le groupe dévoile un single, accompagné d’un clip qui capture l’énergie live féroce du trio nord-irlandais.
Formé en 1979 à Belfast par le bassiste et chanteur Ray Haller et le guitariste Vivian Campbell (futur membre de Dio et Def Leppard), Sweet Savage et l’un des piliers majeurs de la New Wave of British Heavy Metal.
Pourtant, contrairement à bon nombre de leurs contemporains, le groupe ne sortira pas d’album complet durant sa première période d’activité. Le groupe est devenu une légende underground, notamment après que Metallica a repris leur titre « Killing Time » qui deviendra la face B du single multi-platine « The Unforgiven ». Une amitié durable lie encore aujourd’hui les deux groupes.
Avec « Bang », Sweet Savage revient en pleine forme, bien décidé à ne pas simplement surfer sur la nostalgie. L’album puise dans leurs racines heavy, tout en y injectant une modernité assumée : riffs agressifs, rythmiques rapides, textures industrielles et l’énergie brute du punk rock. De l’ouverture explosive avec le single « Bang » au tempo plus lourd et émotionnel de « Live and Die », en passant par l’hymne fédérateur « The Chosen One », l’album frappe fort, change de registre, mais reste constamment incisif.
Le line-up réunit le frontman Ray Haller, le batteur fidèle Marty McCloskey et le redoutable guitariste Phil Edgar. L’album compte également la participation exceptionnelle de Simon McBride, ex-membre du groupe, aujourd’hui guitariste de Deep Purple, qui a enregistré plusieurs parties de guitare avant de se lancer dans sa carrière solo.
Sweet Savage est de retour, et « Bang » porte bien son nom : un album direct, puissant, et percutant.
Tracklisting :
1 – Bang
2 – Bad F Robot
3 – Leave Me Alone
4 – I See the Light
5 – I Don’t Know
6 – Live and Die
7 – The Meltdown
8 – Mad World
9 – The Chosen One
10 – Dirtland
11 – Time
12 – Outside
13 – Victorious
Découvrez le 1er extrait de l’album avec le titre éponyme « Bang » :
BB & The Bullets sortira son nouvel album, intitulé « High Tide » le 12 septembre 2025 via Dixiefrog – Rock & Hall.
Habitués au standing ovations, BB & The Bullets attirent les foules partout où ils se produisent en Nouvelle Zélande grace à leurs performances solides sublimées par sans aucun doute l’un des meilleurs guitaristes locaux.
« Avec BB & The Bullets, j’ai délibérément cherché à créer un son de guitare qui reflète mes influences (comme Stevie Ray Vaughan, Jeff Beck et BB King), mais avec une touche personnelle. Je pense que le son d’un guitariste vient de ses doigts, de son approche du jeu et de sa sensibilité mélodique plutôt que d’un équipement particulier. Cela dit, j’adore ma Fender Strat, une magnifique Strat de 1989 plus une réédition de la 1964 de Clapton. J’ai quelques guitares que j’apprécie particulièrement. Pour l’enregistrement de l’album BB & The Bullets, j’ai cherché à conserver intact le son live du trio. Tout réside dans la batterie, tout repose sur ce magnifique kit Sonor et la façon dont Brad le joue. Je n’ai pas ajouté trop d’overdubs de guitare et j’ai globalement évité les claviers, sauf sur le morceau-titre, « High Tide ». Sur ce morceau, mon ancien camarade Eddie Rayner (de Split Enz) joue de l’orgue Hammond. Ça semblait tout simplement parfait !
Coté influences, ça commence par George Martin, Geoff Emerick et les Beatles. Leurs innovations sont toujours inspirantes. En ce moment, j’écoute beaucoup Peter Gabriel et je suis aussi sous le charme de Bonnie Raitt. Mes sources d’inspirations vont de Sturgill Simpson à XTC, en passant par les Sex Pistols et The Clash ! Ajoutez à cela Johnny Cash et la country ! Et puis, bien sûr, le blues… une influence majeure depuis mon plus jeune âge : d’abord Django Reinhardt (bon, pas vraiment le blues, mais à 14 ans, j’ai été attiré par le blues manouche), puis BB King, Stevie Ray Vaughan, et enfin, complètement conquis par Jeff Beck. Cet apprentissage est continu ; je ne suis qu’un piètre élève du blues, l’apprentissage continue…!!! »
Brian Baker
A l’arrivée, ce power trio drivé de main de maitre par Brian Baker (chant – guitare) propose un bel album de blues rock ciselé entre Johnny Winter et Stevie Ray Vaughan.
Découvrez la vidéo du titre de l’album « High Tide » :
La 25ème édition du Festival international de Boogie Woogie se déroulera du 6 au 10 août 2025 @ La Roquebrou (Cantal)
25ème édition – 25 ans de passion – ça danse , ça swing !
Le plus grand festival de Boogie Woogie du monde se situe dans le Cantal et accueille chaque année plus de10 000 festivalier , venus du monde entier, danser, écouter les meilleurs artistes du genre, découvrir la relève…
Plus d’un quart de siècle de swing et de passion
En 2025, le Festival International de Boogie Woogie de La Roquebrou célèbre plus d’un quart de siècle d’existence ! En effet, le premier « concert » a eu lieu en 1998. Devant le succès obtenu, le tout premier « Festival » est créé en 1999, du nom de « 1er Festival de BOOGIE WOOGIE à LA ROQUEBROU ».
27 ans plus tard, nous célébrons (suite à la trève forcée des 2 années de COVID) la 25e édition de ce rendez-vous devenu incontournable pour les amateurs de boogie, blues et musiques swing. Dans un cadre patrimonial d’exception, au cœur du Cantal, le Festival International de Boogie Woogie de La Roquebrou rassemble chaque été plusieurs milliers de personnes venues de toute l’Europe.
Avec à l’affiche :
Julien Brunetaud
Nirek Mokar & The Boogie Messengers feat. Sax Gordon