Chronique : Danko Jones – Fire Music

Publié : 26 février 2015 par Quentin V. dans Chroniques, Musique
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Danko Jones est un trio de rock canadien formé en 1996 par Danko Jones lui-même.

Fire Music

La pâte musicale de ce cette bande déchaînée en tout cas sur « Fire Music » ne fait, et ne fera peut être pas l’unanimité. Que ce soit le son gras de sa guitare ou le chant rustique de sa voix raillée. Mais s’il y a quelque chose qu’on ne peut pas lui reprocher, en plus d’en avoir une… C’est d’être généreux dans sa musique. J’ai clairement ressenti le plaisir que prenait le groupe à écrire des rifts aux airs de tubes, en témoigne le hit « Do You Wanna Rock ».

Donc pour conclure, je dirais que même si il ne figurera pas dans mes coups de cœur de 2015, l’album « Fire Music » de Danko Jones sera une expérience musicale enrichissante, ramenant aux pures sensations de rock and roll grâce à l’aspect cru et dur que dégage chacune de ces compositions.

La liste des pistes :
01. Wild Woman
02. The Twisting Knife
03. Gonna Be A Fight Tonight
04. Body Bags
05. Live Forever
06. Do You Wanna Rock
07. Getting Into Drugs
08. Watch You Slide
09. I Will Break Your Heart
10. Piranha
11. She Ain’t Coming Home

Smoke + Mirrors

Il est évident que depuis la sortie de « Night Visions » en 2013, Imagine Dragons est devenu l’un des groupes les plus populaires si ce n’est, le plus populaire de cette dernière génération. Alors l’album que je vais chroniquer aujourd’hui fut attendu au triple tournant. Quel est donc le verdict ? Pour ma part, « Smoke + Mirrors » est une merveille. Je le préfère même de loin à son héritier qui je pense, sera encore le meilleur pour les fans et les critiques. Pourtant, plusieurs raisons font que j’adulerai cet album :

« Smoke + Mirrors » est vraiment varié, et chaque chanson est aboutie. Orienté vers un rock aux airs atmosphériques (pour mon plus grand plaisir), il propose une palette de sons étranges accompagnant une performance vocale incroyable. Ajouté à cela un univers graphique magnifique et une illustration consacrée à chaque piste, l’immersion se veut parfaite. Et chaque réécoute devient un plaisir. Si je devais trouver un défaut à cette production, ce serait sa promotion. Tout simplement car pour moi, le premier single « I Bet My Life » ne représente pas l’album dans son ensemble. Il est l’un des seuls morceaux à puiser ses ressources sur un refrain joyeux alors que les autres sont plutôt sombres. « Gold » aurait fait un parfait premier single.

Le dernier album de Imagine Dragons « Smoke + Mirrors » vaut vraiment le détour et ce groupe ne démérite pas de son succès tant il a fourni un travail considérable sur tous les points possibles. Que ce soit sur les mélodies, l’ambiance, les messages, ou même le visuel.

Le Top 5 des chansons de l’album :
Shots
It Comes Back To You
I Bet My Life
I’m So Sorry
Gold

La liste des pistes
01. Shots
02. Gold
03. Smoke + Mirrors
04. I’m So Sorry
05. I Bet My Life
06. Polaroid
07. Friction
08. It Comes Back To You
09. Dream
10. Trouble
11. Summer
12. Hopeless Opus
13. The Fall

Chronique : Papa Roach – F.E.A.R

Publié : 4 février 2015 par Quentin V. dans Chroniques, Musique
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F.E.A.R

Papa Roach est un groupe de Métal formé en 1993, que vous connaissez sans doute déjà tant ils sont populaires.

Leur dernière production « The Connection » a remporté une sacré victoire sans Grammy Award ou autre récompense prestigieuse, car il a autant contribué au plaisir des fans que celui des autres malgré l’évolution musicale qu’ils ont entrepris : du Métal « Papa Roach » mélangé à des sonorités électroniques et synthétiques.

F.E.A.R étant dans la continuité de son héritier, va t-il renouveler le miracle ?

Pour ma part, j’ai doit admettre avoir été légèrement déçu. Non pas parce que l’album est mauvais musicalement, d’ailleurs, le groupe a eu l’intelligence de donner de la personnalité à sa nouvelle création : Si « F.E.A.R » suit les pas de « The Connection », il met en avant la lourdeur et la puissance des rifts au détriment de l’atmosphère électronique. Pourtant, mis à part celui de « Falling Appart » intéressant, est celui de la chanson éponyme, les rifts ne m’ont pas plus percuté que ça. Les refrains se ressemblent un peu tous, seul « Gravity » sème véritablement la surprise.

Je ne qualifie pas « F.E.A.R » de foncièrement mauvais comme on pourrait le penser en lisant mon ressenti. Mais si une moitié de l’album m’est plutôt sympa, l’autre me paraît oubliable car rabâchée de bien d’autres manières.

Le Top 5 des chansons de l’album
Falling Appart
Broken As Me
Gravity
Skeletons
F.E.A.R

La liste des pistes
01. F.E.A.R
02. Skeletons
03. Broken As Me
04. Falling Appart
05. Love Me Till It Hurts
06. Never Have To Say Goodbye
07. Gravity
08. War Over Me
09. Devil
10. Warriors

raised

Raised Fist – From The North
Epitaph Records / Pias / H.I.M Media

Seconde sortie HxC du label, Raised Fist n’est pas en reste côté bombes qui déménagent sec !

Quelque part entre le old school rageur (cette voix limite criarde à la Tagada Jones !) et le gros son metal des guitares qui font bloc, l’ensemble fait de From The North un album qu’on prend plaisir à réécouter à la suite sans perdre le plaisir et la surprise de la découverte ! L’émotion est aussi au rendez-vous de cette sixième missive avec des titres comme « Man & Earth » ou « We Will Live Forever » et de futurs standards tel « Sanctions », « Depression »,« In Circles » (qui, pour ma part, aurait fait un fabuleux single avec son refrain entêtant) ou encore « Ready To Defy »aux accents typiques Swedish Metal, sans oublier les regains d’énergie brute(« Gates »), jusqu’au final « Unsinkable »qui regroupe toutes les variantes du combo de Luleå !

La cuvée Epitaph 2015 en dit long sur la vaillance de ce label qui fêtera ses 30 printemps !

DJ Neurotic (Guillaume Cantaloup)

Changer ou se répéter ?

Publié : 28 janvier 2015 par Quentin V. dans Musique
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Il m’arrive parfois de me poser cette question, car beaucoup de fans se plaignent de l’évolution de leur groupe quoiqu’il en advienne. Est-il préférable qu’un artiste se répète ? évitant de trahir son spectateur d’origine au risque de devenir lassant ?. Ou est-il préférable que cet artiste explore de nouveaux horizons ? Histoire de s’amuser et d’étonner, au risque justement de trahir son spectateur de base ?

Je me suis trouvé une réponse qui pourrait contourner le dilemme… Mais avant de la révéler, je préfère être honnête et choisir franchement un parti, afin d’expliquer mon ressenti personnel.

Je préfères quand un groupe change ou évolue pour deux raisons…
– La première, c’est que j’aime être surpris. Un artiste qui choisi une direction différente pour sa prochaine production, n’est pas sûr de plaire… Mais c’est justement ça qui est si excitant !. Tout devient possible, qui plus est, les musiciens peuvent très bien expérimenter sans perdre leur pâte personnelle. Les exemples sont légions.
– La seconde est la suivante : je considère que si un groupe veut changer, c’est qu’il n’avait plus à offrir avec le style précédent. D’ailleurs, rien n’empêche les fans d’une bande de réécouter ses premiers albums si leur évolution actuelle les déplaît.

Mais il ne s’agit là que de mon avis purement intimiste, j’aime malgré tout nombre de groupes qui se répètent sans que je m’en lasse vraiment. « On ne change pas une équipe qui gagne » n’est-ce pas ? Et bien c’est d’autant plus vrai pour certains qui ont toujours plus à prouver… Même si dans le monde de la musique, c’est compliqué.

Si je devais apporter une réponse plus vague à cette question qui divise, je dirais qu’un artiste doit faire… ce qu’il veut faire !. Car peu importe si il changera ou si il se répétera, il aimera ce qu’il fera, et sera pleinement investi dans son travail. Je préfères qu’un artiste prenne plaisir à me peaufiner une œuvre qui vient de son cœur, plutôt qu’il donne à ses fans ce qu’ils réclament. Comme un supermarché vendrait dans ses rayons, un produit de consommation tendance.

HellFest vient de confirmer les derniers noms de l’affiche 2015.  On aura l’occasion de rencontrer le groupe L7, du grunge des années 90. On note la présence des, Cavalera Conspiracy, Hawk Eyes, Montionless In White et We Are Harlot complètent le programme.

Hellfest 2

 

ghost

The Ghost Inside – Dear Youth
Epitaph Records / Pias / H.I.M Media

Le légendaire label punk californien Epitaph nous offre deux pépites en cette fin d’année 2014, deux galettes à consommer sans modération,tant ça fourmille de hits en puissance en conservant l’esprit hardcore cher à leurs pères !

Commençons par The Ghost Inside, rejetons d’une scène HxC us qui se relève petit à petit d’un trop plein de combos estampillés metal, ici ça tabasse bien comme il faut avec force lourdeur qui écrase (« Out Of Control », « My Endnote ») ou accélérations bienvenues (« Avalanche »), tout en mettant en avant ce qui fait tout l’attrait de Dear Youth : un quatrième album ultra mélodique, voir un brin mélancolique (ique !). Les morceaux de bravoures s’enchainent sans défaillir: « Move Me », « With The Wolves », « The Other Half »,le duo avec le frontman de Letlive sur « Wide Eyed », en passant par le single « Dear Youth (Day 52) ». Côté instrumental, le chant se veut un compromis entre le old school revanchard et un guttural qui ne lasse jamais (« Mercy »), accompagné d’une rythmique mastoc (traduisez basse en avant et blasts rouleaux compresseurs !) et de guitares se voulant le miroir du chanteur (le sublime « Phoenix Flame »).
The Ghost Inside réussit là où bon nombre de tough guys se sont plantés en tombant de plein pied dans une marmite metal qui ne leur allait vraiment pas !

DJ Neurotic (Guillaume Cantaloup)

Unholy Savior

Battle Beast est un groupe de power metal et de heavy metal formé en 2008. Il symbolise pour moi, le talent dont est capable la musique actuelle. Ce pourquoi, j’attendais avec impatience leur troisième bébé « Unholy Savior ». Le lionceau saura t-il donc rugir tout comme savait le faire ses deux frères ? Pour le savoir, analysons ensemble chaque titre en profondeur…

Lionheart : étrangement, l’album démarre par un morceau particulièrement mélodieux, là ou le précédent nous offrait en guise d’introduction le sauvage « Let It Roar ». Je pense que ce choix d’entrée en scène, a justement était décidé pour éviter le sentiment de répétition. Et si « Lionheart » ne m’inspire une entrée en fanfare, il est en lui même, un morceau de choix qui s’apprécie avec le temps.

Unholy Savior : La claque de « Unholy Savior » est selon moi le titre éponyme. Son épique théâtral est mené par une construction et une écriture remarquable.

I Want The World… And Everything In It! : Aussi charnu que laisse présager le titre, cette chanson allie couplets dansants avec rugissements puissants… La marque de Battle Beast est parfaitement perceptible à travers les lignes de cette composition efficace.

Madness : « Madness » est le premier morceau qui me laisse de marbre. Non pas qu’il soit de mauvaise qualité, mais son aspect « cru » me déroute tout comme ses couplets mal exploités. Dommage également que le refrain ne m’interpelle pas plus que ça, il me semble pourtant intelligemment pensé.

Sea Of Dreams : La première pause de l’album, et quelle pause !. Les limites de la niaiserie sont dépassées après la disparition des instruments à vent. Mais le tout se rattrape de justesse grâce à une douceur surréaliste totalement assumée.

Speed And Danger : Celle-ci est juste d’excellente facture, avec pour atouts un rythme hachoir et un chant précis. N’oublions pas de passer par la case « Solo de guitare grandiose ».

Touch In The Night : la chanson la plus intéressante de l’album à mes yeux. Je ne suis pas d’accord avec les puristes qui affirment qu’elle est commerciale. Bien au contraire ! le groupe nous offre tout simplement quelque-chose de différent. Je ne vais pas vous rabâcher le Speech de la prise de risque ou de l’évolution musicale, je veux tout simplement vous dire que j’adhère à cette nouveauté. L’idée est celle d’un Métal des années 80, vous savez ? Avec ce synthétiseur à discothèque. Je n’aurais pas craché sur d’autres trouvailles comme celle-ci, heureusement que j’ai acheté la version bonus avec « Push It To The Limit ».

The Black Swordman : Si « The Black Swordman » nous livre une honnête performance de chant et de guitare elle n’en reste pas moins à mon sens, qu’une interlude faisant office de transition inutile pour la prochaine piste. Ils auraient pu arrondir « Unholy Savior » à dix chansons en plus du bonus.

Hero’s Quest : Une composition instrumentale qui porte bien son nom, ce n’est sans doute pas la plus palpitante de l’album. Cependant, elle m’est sympathique et demeure une bonne surprise. Je l’utiliserais sans problème pour un montage.

Far Far Away : Dans le style générique d’Heroic Fantasy ou d’hymne heavy, « Far Far Away » joue parfaitement son rôle. Les instruments s’expriment avec simplicité mais les chœurs font un très bon travail.

Angel Cry : là ou je suis partagé pour « Sea Of Dreams », pas de doute pour « Angel Cry » c’est une ballade que j’apprécie grandement. Notamment grâce à sa structure étonnante ainsi que la voix de Noora Louhimo qui atteint des hauteurs vertigineuses. Ne dépassant en aucun cas, cette fois, la borne du mielleux.

Verdict :
L’année 2015 commence fort avec un très bon album qui prouve que le jeune Métal sait se montrer respectueux de ses aînés. Pour ma part j’ai trouvé la performance musicale magistrale, mais j’ai un certain regret pour les idées « Old-School » comme « Touch In The Night » qui ce font rares.

Le Top 5 des chansons de l’album :
Angel Cry
Speed And Danger
I Want The World… And Everything In It!
Touch In The Night
Unholy Savior

La liste des pistes :
01. Lionheart
02. Unholy savior
03. I Want The World…And Everything In It
04. Madness
05. Sea Of Dreams
06. Speed And Danger
07. Touch In The Night
08. The Black Swordsman
09. Hero’s Quest
10. Far Far Away
11. Angel Cry
12. Push It To The Limit

Avant d’entamer la nouvelle année, je vous propose un bilan des albums que j’ai préféré en 2014. Peut être sera-t-il autant enrichissant pour vous que pour moi ? Quoiqu’il en soit, n’oubliez pas qu’un « Top » reste purement personnel. Il est donc normal que vous ne retrouviez pas forcément l’un de vos coups de cœur. Il s’agit de mon ressenti, de mes critères mais aussi et même surtout, des disques que j’ai pu écouter. Car tout écouter en une année et savoir apprécier chacun des genres s’avère être un exploit.

Les modalités étant faites, nous pouvons commencer !

10. Skip The Use – Little Armageddon

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J’ai longuement hésité entre bon nombre d’albums pour la dixième place. Si la balance a penché en faveur de Skip The Use, c’est parce que ces derniers se sont aventurés dans plusieurs styles différents. Chaque piste de « Little Armageddon » est unique, et aucune ne vient perturber l’homogénéité de l’ensemble. Un travail créatif et abouti.

9. Rise Against – The Black Market

Rise Against - 15 Juin 2014

Une de mes chroniques lui est dédiée. Peu transcendant, et je le pense toujours. Cependant il se bonifie avec le temps et s’avère être un digne fils de Rise Against. Notamment grâce aux morceaux rafraîchissants qui rythment le tout, comme « Tragedy + Time » ou « People Live Here ».

8. The Pretty Reckless – Going To Hell

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« The Pretty Reckless » avec « Going To Hell » promet un bel avenir pour le Rock de la nouvelle génération. Les compositions sont pêchues, et les rifts aiguës vont de paire avec le chant plus mélodieux. Et quand cela est parsemé d’une attitude ou d’une symbolique provocatrice à l’image de la couverture, j’ai effectivement envie d’aller danser en enfer !

7. Against Me ! – Transgender Dysphoria Blues

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Les bandes qui nous proposent un Punk Rock aussi pêchu qu’engagé, tout en s’encrant dans l’ère moderne, car aidés par une production efficace, sont rares de nos jours… ( même si vous en retrouverez trois dans le classement ). Against Me ! en font parti aux côtés de Rise Against par exemple. La chanteuse confie dans ses courtes compositions comme le veut la tradition, de véritables récits de sa vie et de ses problèmes passés. Peu communs et chargés d’une mémoire émotionnelle forte, ils apportent une véritable sincérité à l’originalité.

6. Switchfoot – Fading West

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Un peu de chaleur Hawaïenne dans un monde de glace, ne peut pas faire de mal… Bien au contraire ! Le bon vieux groupe de Rock Switchfoot nous revient avec des pistes tout simplement inspirées. Donnant naissance à quelques hymnes de surfeurs et de réconforts qui ne tombent jamais dans le stéréotype, grâce à la maturité dont font preuve les musiciens.

5. Primal Fear – Delivering The Black

5

« Delivering The Black » est un album qui prouve que les Métalleux de Primal Fear ne sont pas une contre-façon de Judas Priest et qu’ils sont capables d’allier une performance spectaculaire avec un vrai talent d’écriture. Le groupe n’invente, certes, rien de nouveau, mais exerce avec brio ce qu’ils aiment faire, à savoir le Heavy.

4. Dragonforce – Maximum Overload

Maximum Overload

DragonForce qui pouvait être dans le monde de la musique ce qu’est « Transformers » au cinéma, suit une bonne direction depuis « The Power Within » en 2012. Et avec leur dernier album en date, ils confirment un choix encourageant. En plus de garder leur aspect supersonique de guitaristes toujours en manque de vitesse, les musiciens s’imposent dans la création de morceaux aussi « Catchy » que travaillés.

3. Shaka Ponk – The White Pixel Ape

3

On pourrait dire que les Shaka sont devenus commerciaux, et je crois effectivement que c’est le cas, plus qu’avant en tout cas… Et alors ? Nos amis les singes indiens n’en sont pas devenus pour autant, des produits de consommation. À l’inverse, ils semblent plus que jamais, se faire plaisir. « The White Pixel Ape » est inégal, mais paradoxalement, c’est
sans doute ce qui fait sa force : l’album serait comme un gigantesque buffet de plats variés et délicieux qu’on se serait amusé à nous concocter avec une énergie éternelle.

2. Gob – APT 13

APT 13

Je vous parlais tout à l’heure, des groupes de Punk Rock qui me faisaient rêver, mais qui se faisaient aussi rares… Cette année, Gob nous a offert un album d’envergure, le genre de musique que j’attendais, elle est inventive sans oublier d’être jouissive. Globalement inspiré par le vieux Rock, APT 13 regorge de bonnes idées et d’harmonies grandioses.

Et le numéro 1 est…

Kissin’ Dynamite – Megalomania

Megalomania

Dix perles du métal actuel regroupées dans un seul disque numérique, toutes variées et accrocheuses… En plus de faire évoluer leur musique, les durs à cuire de Kissin’ Dynamite, savent préserver l’âme du Métal que j’aime tant : un véritable art, qui peut tout aussi bien me faire pleurer que me faire hurler. Ici, la sensation procurée est celle de l’invincibilité. Chacune des pistes de l’album me donnent envie de lever le poing, et de chanter ma fierté d’être un Rockeur, me sentant brave car croyant que rien ne peut m’arrêter. Pour m’avoir fait ressentir cela à nouveau, merci d’avoir produit « Megalomania » prodiges de Kissin’ Dynamite.

Mon Top des albums, Rock Punk et Métal 2014, est maintenant complet. En espérant qu’il vous a plu ! Et que les disques qui arriveront en 2015 seront d’aussi bonne qualité. N’hésitez pas à donner vos avis et à poster les albums que VOUS avez préféré dans les commentaires.

Demain, « Extinct » de Moonspell est sur une radio portugaise

Publié : 31 décembre 2014 par Abderrahim B. dans News

C’est une très bonne nouvelle pour les fans de Moonspell. Histoire de fêter dignement le nouvel an, ce nouvel opus est écoutable dés demain sur les ondes de la Radio Antenna 3. C’est en substance ce qu’a révélé le « frontman » « Fernandmoon » hier sur le site officiel du groupe.

 

 

« Nous sommes incapables de choisir. Nous choisissons toujours le mauvais morceau, il me semble. Opium était une évidence. Mais c’est comme si vous allez envoyez un de vos fils seul sans les autres. Sans les autres chansons, c’est un véritable casse-tête de soumettre un tube au jugement public. Nos albums sont dans des albums d’esprit; mais nous sommes heureux de vous faire écouter une des chansons Extinct à la radio », a-t-il déclaré.

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