China Moses donnera un concert exceptionnel jeudi 14 novembre 2024 à Paris « Jazz Club Etoile »
China Moses a une présence scénique intense et lumineuse. Sa voix alto laisse entendre une densité naturelle, un caractère résolu, une coloration marquante.
Sans compter, chez cette enfant du Jazz mais auteure-compositrice de Soul, une profondeur personnelle, du punch et ce sourire qui éclaire si souvent son visage.
Loin de « juste chanter » elle emmène le public dans son univers. Ses prestations scéniques deviennent plus une expérience immersive dans un monde où toute catégorisation de genre est caduque et/ou le spectateur est encouragé à être soi-même. En 2019, lors d’un changement dans sa vie personnelle, China Moses a ressenti le besoin de quitter Paris et de partir pour Londres afin de s’immerger dans son énergie musicale, si particulière, cette créativité hybride, décomplexée, « électrifiante »… C’est donc dans son nouveau foyer Londonien, que China se reconstruit et commence à composer les mélodies et les textes de son futur et 7ème album. Elle approfondit son identité sonore qui transparaissait déjà dans son précèdent album «Nightintales» sortie en 2017 (Madeinchina Prod/MPS-Edel) , lui-même crée à Paris en 5 jours et enregistré à Londres en 6 avec Antony Marshall (Craig David, Nelly Furtado).
Ina Forsman sera en concert à « La traverse de Cléon (76) vendredi 15 novembre 2024.
Ina Forsman représente tout ce qui a fait la grande musique d’une autre époque : brute, sincère, passionnée. Des titres écrits avec le cœur, chantés avec les tripes… Elle a une voix subtile, chantante, délicieusement enfumée et puissante, qui ne lâche rien jusqu’à la dernière note de la dernière chanson. Une voix empreinte de Soul et de Blues, aux accents de Nina Simone et d’Aretha Franklin. Ina Forsman sur scène : ça bouge, ça swingue pour de bon, avec le côté rétro d’une Soul cuivrée à l’ancienne, et la classe ultime de l’ambiance Jazz, relevée par la “modern attitude” d’une artiste de la nouvelle génération, qui porte avec grâce et élégance un héritage fort. De l’énergie et de la spontanéité à revendre, un sens inné du spectacle, une aisance déconcertante avec le public et un charisme digne des plus grandes chanteuses. Décidément, Ina Forsman est celle qu’on attendait.
Le guitariste légendaire Michael Schenker est de retour au Forum de Vauréal (95) pour fêter le cinquantième anniversaire de son passage dans le groupe UFO. Rendez-vous le jeudi 24 avril 2025
Le légendaire guitariste Michael Schenker célèbre le 50ème anniversaire de sa carrière avec UFO en tournée.
Lorsqu’il rejoint UFO à la fin de l’année 1973, Michael Schenker, alors âgé de 18 ans, contribue de manière significative au succès international du groupe de rock britannique et passe du statut de « l’enfant prodige allemand » à l’un des guitaristes les plus renommés de l’époque. Son jeu de guitare continue d’influencer des générations entières de musiciens à travers le monde, aujourd’hui encore.
Avec UFO « sous l’ère Schenker » de 1974 à 1978, il sort cinq albums studio tels que «Lights Out» (1977) et «Phenomenon» (1974) et l’album live «Strangers In The Night» (live in Chicago 1978), considéré encore aujourd’hui comme révolutionnaire et co-responsable de succès mondiaux tels que « Doctor Doctor », « Rock Bottom » et « Only You Can Rock Me ».
Le 1er album de Daed Chic, intitulé «Serenades & Damnation» est disponible ce jour en CD, vinyle et Digital.
Pour son premier album «Serenades & Damnation», Dead Chic continue d’explorer les marqueurs qui ont fait l’identité du groupe jusqu’alors. Dès les premières notes, pas de doute, c’est du Dead Chic : les envolées cinématographiques, les grands espaces, la moiteur, la hargne et la classe : c’est sombre et c’est chic.
Le fantôme d’Ennio Morricone plane toujours sur les titres, bousculés par les fuzz, les explosions sonores et les incantations. Pourtant, le groupe pousse le curseur encore plus loin et continue d’explorer des horizons inattendus en puisant, notamment, dans la culture latine pour créer des armées de percussions rampantes, qu’on pourrait s’imaginer entendre une nuit de procession pendant la fête des morts à Mexico.
Dead Chic se tourne également vers l’est en invitant la chanteuse stambouliote Tuğçe Şenoğul sur un titre aussi langoureux qu’épique, «Mirage».
À l’écoute des 11 morceaux, il est clair que cette mixité des influences est un leitmotiv pour le groupe qui puise dans ces sonorités pour créer sa propre mixture, ses propres codes et cherche à s’émanciper d’un héritage rock occidental bien digéré.
L’enregistrement en live au studio Black Box (véritable temple du rock), capté par Peter Deimel, permet de retranscrire la fougue du quatuor. Enregistrement magnifié par Flavien Van Landuyt qui signe des mixes puissants, soulignant les partis-pris forts du groupe.
L’auditeur se trouve alors plongé au beau milieu de la session studio avec les 4 musiciens, ponctuée par ces quelques échanges entendus ici et là entre les prises, témoignant d’un moment précis et précieux.
Dead Chic signe donc un premier album intense, riche et surprenant. Des bas-fonds aux plus hauts sommets, «Serenades & Damnation» est un voyage immersif, une épopée qui a quelque chose du sacré, dans son intensité et sa ferveur.
Dead Chic, à l’origine, c’est l’association entre Andy Balcon et Damien Félix. C’est lors de tournées avec leurs groupes respectifs (Heymoonshaker et Catfish) qu’Andy et Damien se sont rencontrés il y a quelques années, se croisant régulièrement sur la route et se retrouvant en backstage pour discuter musique, idoles et évoquer une hypothétique collaboration. Quelques années passent sans qu’ils ne se recroisent. À l’automne 2020, ils reprennent contact. Avant de parler d’influences musicales, Andy et Damien échangent des références visuelles, des illustrations, des paysages, qui seront le socle et la ligne directrice de leur collaboration. L’idée de travailler ensemble devient alors sérieuse et après quelques échanges, «Too Far Gone», leur premier titre, voit le jour en janvier 2022.
Les rejoignent ensuite Rémi Ferbus à la batterie (Kimberose, Mélissa Laveaux…), qui connaît bien Andy pour l’avoir accompagné quelques années auparavant et Mathis Akengin aux claviers, complice de Damien dans Catfish. Au fil des années, des tournées et des voyages, les musiciens se sont aguerris, ont nourri leur culture et affirmé leurs personnalités.
L’association des 4 fait immédiatement des étincelles.
Quelques jours après leurs premières répétitions, en janvier 2022, les 4 de Dead Chic enregistrent une session live à l’occasion de leur premier concert, la « Bastion Session ». Les dates s’enchaînent, le groupe étonne par ses sets intenses et explosifs.
En mars 2023, ils sortent leur EP studio «The Venus Ballroom» reçu avec enthousiasme par la critique et un public de plus en plus nombreux. Début 2024 sort la version live de ce même EP, augmenté du titre «Pain Love Joy».
En deux ans et quelques mois d’existence, Dead Chic n’a pas chômé et s’est fait remarquer à chacune de ses apparitions. Nul doute qu’il en soit de même avec ce premier album «Serenades & Damnation» qu’ils iront jouer partout en France et à l’étranger à compter de l’automne 2024.
Halestorm sera en concert lundi 23 juin 2025 à l’Aeronef de Lille
Halestorm est un groupe de rock américain originaire de Red Lion, en Pennsylvanie, formé en 1997 par les frères et sœurs Lzzy Hale et Arejay Hale. Le groupe comprend le guitariste Joe Hottinger et le bassiste Josh Smith. Leur premier album éponyme est sorti en 2009, et ils ont acquis une reconnaissance significative avec leur deuxième album, « The Strange Case Of… », qui comprenait le single primé aux Grammy Awards « Love Bites (So Do I) ». Les albums suivants, dont « Into the Wild Life » (2015) et « Vicious » (2018), ont atteint le top 10 du Billboard 200. Leur dernier album en date, « Back from the Dead », est sorti en 2022. Connu pour ses performances live électrisantes, Halestorm fait souvent de nombreuses tournées, jouant jusqu’à 250 concerts par an et se produisant en tête d’affiche dans les principales salles et festivals du monde entier.
Fantastic Negrito sera en concert à Paris « La Cigale » vendredi 15 novembre 2024.
Son nouvel album, intitulé « Son Of A Broken Man » est disponible depuis le 18 octobre 2024
Fantastic Negrito est un artiste qui revendique avec fierté ses origines. Chaque morceau retrace l’histoire de ce musicien d’Oakland qui a connu des hauts, comme lors de la signature d’un contrat à un million de dollars, mais aussi des bas, avec cet accident de voiture où il a frôlé la mort. Alors qu’on le croyait perdu, ce multi-instrumentiste surdoué ressurgit du néant avec un slogan parfait pour décrire sa musique : « du blues avec une attitude punk ».
Après plusieurs albums encensés par la critique, mélanges subtils de blues acidulé et de funk explosif, saupoudré d’une touche punk, Fantastic Negrito a traversé trois décennies d’épreuves et a même vu la mort en face. Comme il aime à le dire « un artiste se révèle par les moments les plus noirs qu’il a pu traverser ». Comme beaucoup, Fantastic Negrito a mal à son Amérique. Fervent défenseur de la cause des afro-américains, il n’a jamais douté de son rôle : « J’entends ici où là que les artistes n’ont plus d’impact sur ce que pense le public alors que c’est exactement le contraire ». Pas de doute, à plus de 50 ans, il a trouvé sa voix.
Bloquez vos agendas pour le 6, 7 et 8 juin 2025, car le festival s’installe de nouveau au Nancy Open Air pour trois jours de riffs furieux, de shows enflammés et de décibels sans limites !
Et ça commence fort avec l’annonce de la première tête d’affiche de cette édition 2025. Le mastodonte de la scène Metal, Slipknot sera sur la scène du Heavy Week-End le dimanche 8 juin !
Ce n’est que le premier nom sur d’un programmation qui rassemblera 12 groupes. Préparez-vous à découvrir un line-up dantesque !
Le Fréquence Metal Fest aura lieu Samedi 14 décembre 2024 à la mythique Poudrerie d’Esquerdes (62)
Le Fréquence Metal Fest s’apprête à faire exploser les décibels à la mythique Poudrerie d’Esquerdes, un lieu chargé d’histoire qui résonnera cette fois sous les coups de boutoir de guitares et de percussions. Le 14 décembre, préparez-vous à une véritable détonation sonore, où l’énergie brute sur scène des 6 groupes à l’affiche fera vibrer chaque recoin de cette ancienne fabrique.
Dans cette salle empreinte de puissance, l’atmosphère sera électrique, comme une poudrière prête à exploser au rythme des performances musicales. Venez assister à un festival où chaque note mettra le feu aux poudres, pour une soirée que vous ne serez pas près d’oublier.
Avec à l’affiche : Bloody Rosie tribute plays AC/DC – Spirit – Until Dead – Vector – Hyldr – Deviant Ritual
Y&T est désormais habitué à faire une halte à Vauréal lors de ses tournées européennes,
Et le « 50-Year Anniversary » ne fait pas exception à la règle. Pour la première de Yesterday and Today (nom lors de sa création en 1972 ndr) dans cette belle structure du nouveau Forum, c’est une jauge quasiment sold out, à quelques unités près, qui va vibrer au son des titres fédérateurs du combo américain. Dave Meniketti ne manquera pas de saluer la réussite de ce complexe, en mettant l’accent sur les conditions techniques et d’accueil, professionnelles et conviviales.
Le groupe n’ayant pas souhaité de première partie, nous rentrons tout de suite sans le vif su sujet avec « Hurricane », extrait de l’album culte « Earthshaker » sorti en 1981. Il faut dire que le quatuor ne s’économise pas, délivrant un temps de jeu plus que conséquent dépassant les 2 heures !
Le son est idéal, remarquable de puissance et de clarté pour apprécier à sa juste valeur les hymnes Hard Rock tels que « Meanstreak » ou « Black Tiger ». Les années ne semblent pas avoir de prise sur la voix de Dave Meniketti, dont le timbre et les intonations restent si caractéristiques et tellement proches de l’original.
Mais Y&T reste un groupe basé sur la complémentarité des 2 guitaristes, et à ce petit jeu, les harmonies de John Nymann se coordonnent parfaitement avec les solos de Dave, formant un duo en parfaite osmose.
Le tout emmené par une rythmique percutante, dont les sonorités puissantes de la batterie propulsent chaque titre à un niveau rarement atteint.
Les classiques tant attendus par près de 800 personnes se succèdent, avec « Dirty Girl », et surtout un « I Believe In You » tout en nuances, dont le feeling transmis au public sera perçu comme un sommet de ce concert.
Le fédérateur « Recue Me » enfonce le clou lors d’un final survolté, dont l’intensité est montée crescendo pour atteindre ce brin de folie qui nous fait tant vibrer ! Il n’y a que le live qui permet de vivre ces instants précieux et uniques, surtout quand des groupes de ce calibre se donnent à 100% !
Comme lors de ce premier rappel, le rapide « Hang’Em High », extrait de l’incontournable ‘ »Mean Streak » datant de 1983, Y&T démontre toute sa richesse mélodique, en mettant notamment l’accent sur des chœurs hyper travaillés du plus bel effet.
Fidèle à la tradition en clôture de show, c’est le très attendu « Forever » qui viendra, s’il en était encore besoin, embraser une salle entièrement conquise par cette prestation de très haut niveau, donnée par 4 musiciens heureux de partager ces classiques des 80’s.
Bravo à toute l’équipe du Forum pour avoir programmé cette date unique en France, d’Y&T, qui a su rassembler une audience conquise, dont les sourires à la sortie en disaient long sur la satisfaction d’avoir vécu ce grand moment.
Un grand merci à Aurélie, Angèle, Seb et toute l’équipe du Forum pour l’accréditation leur accueil au top.
Après une Victoire du Jazz pour son album « Tissé » et la sortie du single « Oizel », la songwriter du jazz francophone n’en finit plus de prendre le large et les tangentes poétiques.
Elle invite ici la flûtiste Naïssam Jalal à une ballade d’une douceur infinie, toute faite de souffle et d’espoir mais les pieds sur Terre, en hommage aux femmes poétesse et révoltées d’hier et de demain (Colette Magny, Rosa Luxembourg, Louise Michel…)
Marion Rampal est depuis Mai dernier en résidence longue au festival Jazz sous les Pommiers , à Coutances.
Elle sera en concert à l’Athénée de Paris le 10 Janvier 2025 pour un concert avec son quartet de cœur , auprès de Matthis Pascaud, Simon Tailleu et Raphaël Chassin.
«Oizel», son nouveau recueil suggère une prise d’altitude. Comme un déploiement d’ailes qui, pareil à celui d’un oiseau marin, lui fait s’élever dans l’azur pour mieux plonger en elle-même, dans ces eaux profondes de l’identité, de la mémoire fondatrice où gît le trésor de ses souvenirs d’enfance. Si la figure de l’oiseau est devenue essentielle, c’est qu’elle couvait déjà sous sa plume. Son précédent recueil, «Tissé», s’achevait par un blues féministe, «Still a bird», où s’esquissait une affinité que «Oizel» prolonge et achève en convoquant la mobilité spatiale du migrateur, la nécessité vitale du nid,le chant réparateur.
«L’oiseau, sa symbolique à laquelle se rattache l’idée de liberté, m’a accompagné tout au long de la gestation de cet album dont l’enjeu était de s’emparer de la langue française plus que je ne l’avais fait précédemment.»
Si Marion a longtemps concilié le format chanson avec la liberté du jazz, elle s’est soumise cette fois au strict respect d’une construction plus classique couplet-refrain collant mieux aux histoires qu’elle souhaitait raconter, aux émotions qu’elle voulait partager, aux portraits qu’elle entendait dresser.