Les 11 titres de « Sonic Bloom »2 – White Flag
3 – Target
4 – Bitter Boy
5 – Sunset
6 – Failed Escape
7 – Good Wave
8 – Hope
9 – Trapped
10 – The Shadow
11 – Call Me When It’s Over
Les 11 titres de « Sonic Bloom »
Les incroyables Scorpions n’ont pas fini de vous faire sauter dans tous les sens. Les tonalités hard rock préparées et les instruments affûtés, le « Crazy World Tour 2018 » sillonnera par la France pour 10 concerts d’anthologie. Presque un retour à l’époque des 80’s, ou les tournées comportaient un nombre incalculable de dates !
Ils font partie intégrante des grands noms de la musique et continuent d’éblouir toutes les ondes. De ses morceaux cultes et de ses notes singulières, Scorpions est de ceux à combattre le temps qui passe par l’amour de la musique. Accompagnés de leurs guitares saillantes et de leurs instruments puissants, les Allemands parviennent à toucher, charmer, ensorceler un public toujours plus nombreux.
Multipliant les succès, les trophées et les performances toujours plus incroyables depuis 1965, les hard rockeurs ne semblent pas pour autant rassasiés de tant d’euphorie.
Pour fêter ses nombreuses années sur les routes et pour remercier son large public, Scorpions vous réserve le meilleur à venir. Les bagages sur le dos, les morceaux dans la tête, le groupe s’offrira une série de 10 dates sur le territoire français à ne manquer sous aucun prétexte.
En plus de 40 ans de carrière, le plus célèbre des groupes de hard rock allemand a sorti pas loin d’une vingtaine d’albums et en a vendu plus de 100 millions à travers le monde. Véritables bêtes de scène, Scorpions enchaînent pendant plus de deux heures les titres qui ont fait leur succès.
Dates françaises du « Crazy World Tour 2018 »
Ce coffret collector digipack 3 disques comprendra:
– 1 CD de titres studio et inédits
– 1 CD live
– 1 DVD « Rockin’ Class Hero », documentaire retraçant la carrière de Little Bob :
Découvrez le teaser réalisé par Laury:
HIGH TIMES 76 – 88 : Le meilleur de Little Bob Story (Teaser)
Publié par Little Bob sur vendredi 16 février 2018
Little Bob se confie lors de l’interview réalisée par Marie-France Boucly à La Traverse de Cléon. A lire ICI

Tout a commencé autour du grand port du nord de la France.
Un trou grisâtre, balayé par le vent, appelé Le Havre.
Tant visuellement qu’au niveau de l’esprit qui y règne, Le Havre est en France ce qui se rapproche le plus de Liverpool, Détroit ou Newark (New Jersey) avec son lot de pétroliers, de raffineries, d’usines chimiques ou automobiles, d’entrepôts, de dockers etc …
C’est de là que vient Little Bob, et pour ceux pour qui ces choses là ont de l’importance, sachez que l’histoire de Little Bob est parsemée de tous les bons ingrédients du Rock ‘N’Roll.
Bob en connaît plus que quiconque en matière de rues et bas fonds.
Cela fait un moment qu’il est sur le créneau, jouant dans les endroits les plus retirés, traçant la voie à mesure qu’il sillonnait le pays, tournant inlassablement comme si sa vie en dépendait.
Partout en Europe et surtout en Grande Bretagne (plus de 300 concerts), attirant à ses prestations les plus intraitables des rocks critiques qui se fendirent d’articles dithyrambiques sur le « hurleur d’un mètre soixante pas plus » et son « Heavy R’n’B » blanc. Ou peut-être s’agissait-il de « Hard Core Garage Pub Rock » ? Les hebdomadaires brittons, « New Musical Express », « Sound » et « Melody Maker » allèrent jusqu’à le surnommer le « MC5 » ou « Dr Feelgood » français.
Little Bob est un des pionniers du Rock français, à ne pas confondre évidemment avec le Rock EN français. En effet, à ce jour, Bob chante toujours en anglais, et ce depuis l’époque où le simple fait de s’exprimer aussi était au minimum un gage de qualité, distinction et swing par rapport à la variété française. Non pas que Bob n’aime pas la langue de Voltaire, mais il estime, en esthète de la musique qu’il aime, que c’est mieux ainsi !
Little Bob voue un véritable culte à la façon de chanter des « vocalistes » du Rock et du Blues, de Little Richard à Howling Wolf ou Eric Burdon, qu’il a aujourd’hui rejoint dans le cercle des grands et, pour lui, brailler en anglais représente toujours un parti pris, un pacte délibéré, une révolte profonde contre les lois du « Show Biz » et les « quotas » des médias audiovisuels . Il sait évidemment que cela l’empêche de toucher et d’être suivi par un public plus important.
Avec sa voix qui hurle aux étoiles il chante le Rock et le Blues qui nous soulèvent la peau et tourmentent nos sens.
L’essentiel est là : une des plus belles voix du Rock qui balance comme personne des ballades poignantes et émouvantes, des Blues lancinants et des Rocks torrides.
Avec le temps son Rock a évolué vers une musique plus profonde, plus basique, plus près des racines, certainement moins speed et moins « bruyante », mais toujours aussi puissante et envoûtante.

Disponible en CD digipak, vinyle & digital
Regardez sa version acoustique de « Purple Haze » le classique de Jimi Hendrix [Feat. Jerry Douglas] :
Regardez la vidéo de « Looking Forward To The Past » [feat. Rodney Crowell] ICI
Regardez la vidéo de « Borderline » [feat. Amanda Shires] ICI
Regardez la vidéo de « (Sittin ‘On) The Dock Of The Bay » [feat. J.D. Simo] ICI
Le 19 janvier dernier, Mascot Label Group a lancé un nouveau label, The Players Club, avec la sortie de « Accomplice One », le nouvel album du guitariste australien Tommy Emmanuel.
Sur ce disque Tommy a décidé de mêler de nouveaux morceaux à des reprises interprétées avec des invités tels que Jason Isbell, Mark Knopfler, Rodney Crowell, Jerry Douglas, Amanda Shires, Ricky Skaggs, J.D. Simo, David Grisman, Bryan Sutton, Suzy Bogguss…
Artiste mondialement reconnu par les « spécialistes », Tommy Emmanuel est un guitariste acoustique expert dans l’art du « picking ». Son style s’inscrit dans la lignée de Chet Atkins, Merle Travis ou Marcel Dadi.
Comme l’illustrent brillamment les trois vidéos ci-dessus, Tommy met sa virtuosité au service de genres allant de la pop au folk en passant par le jazz, le blues, le boogie ou le rock. Sur scène, sa maîtrise de la guitare sèche prend une dimension encore plus impressionnante. Eric Clapton a carrément dit de lui qu’il était : « the greatest guitar player I ever seen ».
Tournée française 2018:
13/11, Paris @ Casino de Paris
14/11, Cléon @ La Traverse
16/11, Sausheim @ Eden
17/11, Lyon (Villeurbanne) @ Espace Tonkin
18/11, Marseille @ Silolocations ICI
2018 marque le début d’une nouvelle ère dans l’histoire d’Angra. « ØMNI », le 9ème album studio du groupe de metal brésilien mené par Rafael Bittencourt, est le résultat de nombreux mois d’intense dévouement, de sueur et de sang.
Produit par Jens Bogren (déjà producteur de Secret Garden), qui a su à nouveau capter l’alchimie du groupe, « ØMNI » est un concept album, une série d’histoires courtes de science-fiction qui ont lieu à différents endroits simultanément.
La marque de fabrique d’Angra, ce heavy metal mêlé à la musique traditionnelle brésilienne et au classique, est mise en valeur par d’autres influences comme le rock progressif, le thrash metal, le djent…
« ØMNI » est très certainement une étape importante, non seulement dans l’histoire d’Angra, mais aussi pour le metal brésilien et sa reconnaissance dans le monde entier.
Le groupe de Hard-Rock Suédois Corroded, qui tutoie les sommets des charts en Suède, est finalement de retour, et cette fois les enjeux sont de taille : « le but de cet album est tout simplement d’envahir le monde ! » explique le guitariste/chanteur Jens Westin en souriant. Après avoir écrit la musique de l’émission suédoise Survivors et la BO du jeu vidéo Battlefield, Corroded sort « Defcon Zero » en avril 2017.Le son de « Defcon Zero » est puissant et incisif mais jamais au détriment des mélodies. Cinq ans se sont écoulés depuis le très apprécié « State of Disgrace », et « Defcon Zero » reprend pourtant là où Corroded nous avaient laissés… Tout en sonnant totalement nouveau ! Mais le plus important : ça sonne comme Corroded.

Band Members:
Jens Westin: Song, Guitar
Tomas Andersson: Guitar
Bjarne Elvsgård: Bass
Per Soläng: Drums
On peut entendre du Puccini sur le thrashy titre d’ouverture « None Shall Sleep », Chopin sur un passage au piano sur « Hijacked By Unicorns » et les styles de Beethoven, Mendelssohn, Boellmann ou encore Vivaldi sur d’autres titres de « The Annihilation ».
Véritable bijou du genre, le nouvel album contient des superbes riffs de guitare, des mélodies catchy mais diversifiées, le tout couplé à une musique jouée à toute vitesse.
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