Nous sommes heureux de partager avec vous le running order de la seconde édition du Festival Winter Days of Metal.

Les billets sont disponibles au prix très attractif de 79€ (+ commission) pour le festival dans son intégralité sur notre site MH Shop: https://www.mhshop-online.com/c372/wdom-2018

Pour nos amis qui ne souhaiteraient pas participer à l’intégralité du Festival, des billets pour chaque jour sont également disponibles au prix de 29 euros.

Pour vous rendre les choses plus simples, nous vous avons concocté des « formules » avec hébergement (billet pour le festival inclus) qui devraient pleinement répondre à vos besoins. Jetez y un coup d’oeil et réservez dès à présent ici :
http://www.bohinj-info.com/en/package/2/winter_days_of_metal_ang.html
Nous pouvons d’ores et déjà vous assurer qu’un séjour de folie et de fun vous attend, une semaine de rêve que vous ne serez pas prêts d’oublier ! Le magnifique domaine skiable du Vogel et la splendide nature de la vallée de Bohinj auront raison des plus sceptiques. Et pour ceux qui souhaiteront séjourner bien au chaud, confortablement installés au centre de bien-être et parc aquatique de Bohinj, nous avons également pensé à vous !
Nos formules ont été taillées sur mesure pour répondre à tous vos besoins. La plus agréable de toutes est la formule « tout compris », avec l’option « SKI & FUN » ou l’option « BIEN-ETRE » qui comprennent :

4 nuits en chambre privative, appartement, auberge de jeunesse ou hôtel du 31 janvier au 04 Février 2018, le billet pour 3 jours de festival, la navette qui vous permet de vous rendre de Bohinjska bistrica à la salle de concert et au pied des pistes de ski du Vogel, 3 jours de remontées mécaniques du Ski Vogel Resort, Bohinj (Formule « Ski & Fun ») (valable du 1er Février au 03 Février inclus) ou 3 jours d’accès libre au Bohinj Aquapark, avec piscine et sauna inclus (Formule « Bien-Etre ») (valable  du 1er Février au 03 Février inclus).

Si vous souhaitez simplement réserver une formule incluant le billet pour le festival et l’hébergement, c’est également possible, avec une grande variété d’hébergements (auberge de jeunesse, hôtels, chambre privée, camping…). La formule qui vous conviendra le mieux vous attend également.

Et si vous pensez avoir besoin de quoi que ce soit d’autre, n’hésitez pas à contacter notre partenaire, l’Office du Tourisme de Bohinj, qui se fera un plaisir de vous répondre en écrivant à info@bohinj-info.com !

Nous vous attendons tous avec beaucoup d’impatience dans moins d’un mois maintenant.

Et pour finir, nous vous offrons cette vidéo qui vous donnera un aperçu de ce qui vous attend dans quelques jours !

La salle de « La Traverse » à Cléon vient de dévoile sa programmation pour les premiers mois de cette nouvelle année. Les artistes accueillis dans cette belle salle de Seine Maritime, sont une nouvelle fois de grande qualité et de styles très diversifiés, pour le bonheur d’un public de plus en plus nombreux au fil des années. Ne tardez pas à réservez vos places ou les pass permettant d’assister à plusierus concerts à moindre coût.

Ange : Samedi 24 février 2018 – 20h30

A l’approche de son 50e anniversaire, Ange, le plus intemporel des groupes français sort un nouvel opus enregistré en public le 2 mars 2018. Infatigable, il reprend la route histoire de fêter dignement 50 années d’un parcours solaire hors des sentiers battus. La “Machine à rêver” est à nouveau lancée pour un périple délirant à travers l’Hexagone et l’Europe. Pionnier intarissable sur le terrain de jeux du rock progressif, cette légende vivante séduit, provoque, étonne un public fidèle, toutes générations confondues, par sa générosité et son lyrisme atypique… Quant à l’album, il s’annonce lumineux, positif et généreux. Beauté, amour, humour, chaleur et passion en seront les principaux ingrédients. Son titre : Heureux.

Albert Lee & His Electric Band : mercredi 7 mars 2018 – 20h30

Détenteur de deux Grammy Awards, Albert Lee est de retour en France, accompagné de son immense Electric Band. Sans aucun doute l’un des meilleurs guitaristes de tous les temps, Albert Lee est également un pianiste accompli et doté d’une voix incomparable. Co-auteur du célèbre Country Boy et de nombreux autres titres mythiques, il est régulièrement invité à jouer par les plus grands noms de la country et du blues anglo-saxon tels Eric Clapton, Joe Cocker, Willie Nelson ou encore les Everly Brothers. Muni d’un jeu subtil et incomparable tout en toucher et fingerpicking, Albert Lee honore ses cinq consécrations de “Meilleur Guitariste Country” par le magazine Guitar Player. Retrouvez Albert Lee et sa fidèle Telecaster à La Traverse pour une plongée dans l’histoire de la country américaine.

Michel Gaudray vous propose un survol de l’histoire de la guitare. Son évolution dans le temps, ses grands fabriquants et… ses “Guitar Heros”. Conférence en accès libre et gratuit pour les détenteurs d’un billet pour le concert du soir.

The James Hunter Six + Oshlo : Samedi 10 mars 2018 – 20h30

Précurseur de la vague néo soul anglaise et compagnon de route d’Aretha Franklin, Etta James ou Willie Nelson, James Hunter s’est d’abord fait connaître sous le sobriquet de “Howlin’ Wilf” où il s’évertuait à reproduire l’esprit des géants du Rhythm’n’Blues, avant d’être repéré par Van Morrison, qu’il accompagna plusieurs années au début des années 1990. Après l’excellent Minute by Minute en 2013, un pur hymne Rhythm’n’Blues délicieusement vintage, The James Hunter Six préparent Whatever it takes, leur quatrième album, toujours sur le label Daptone Records. Ce nouvel opus reste fidèle aux productions léchées et aux orchestrations luxueuses du sextet. Rumbas, boléros, bossanovas et même soft-rock viennent enrichir un groove et un swing tout simplement imparables.

Venu sur notre scène en 2015 en 1re partie de Paul Personne sous le nom de Fränk, c’est sous le nom d’Oslho qu’il revient cette fois pour assurer la première partie de James Hunter, qu’il a déjà accompagné en 2013. Lauréat su SFR Jeunes Talents, et du prix des musiciens du Métro, il a déjà joué sur les plus grandes scènes de France. Un parcours déjà riche pour ce jeune trentenaire, chanteur à part sur l’échiquier local et qui pourrait bien faire parler de lui au-delà des frontières de l’hexagone.

Murray Head  : Vendredi 16 mars 2018 – 20h30

Tout le monde connait les tubes « One night in Bangkok » et « Say it ain’t so Joe » de Murray Head.
Le chanteur, signé à 17 ans chez EMI, explose en 1975 avec le hit S »ay it ain’t so, Joe ». Les albums qui suivent confirment son talent : « Between us » (1979), « Voices » (1981), « Shade » (1983) ou « Sooner or Later » (1987). Son deuxième tube « One night in Bangkok » est extrait de la comédie musicale « Chess » en 1985, dans laquelle il interprète le rôle principal. Parallèlement à sa carrière d’acteur, Murray Head a continué à publier des albums dont le dernier « My Back Pages » est sorti en novembre dernier.
Éternel incompris, ce « clochard céleste », libre et insaisissable, a choisi, à l’âge de la maturité, de continuer à clamer sa vérité sur les routes de France.

Big Daddy Wilson / Sari Schorr : Dimanche 18 mars 2018 : 18h00

Son univers folk-blues et ses influences gospel en ont fait vibrer plus d’un lors de ses premières tournées en France. Mais considérer Big Daddy Wilson comme un simple Bluesman n’est pas suffisant. Grâce à son style vocal unique dont il se dégage une chaleur communicative à laquelle il est impossible de résister, et sa capacité à raconter des histoires, il se détache du lot comme un messager, un véritable chanteur et compositeur. Le voici de retour en 2017 chez Ruf Records avec « Neckbone Stew ». Un opus qui aborde une grande variété de styles, et où figurent de nombreux et prestigieux invités, dont Ruthie Foster, Staffan Astner et Eric Bibb.

Choriste de longue date pour Joe Louis Walker ou encore Popa Chubby, la carrière de Sari Schorr s’est envolée il y a quelques mois après une performance à Memphis qui a laissé son auditoire béat. Propulsée au New-York Blues Hall of Fame, elle se voit offrir un album solo par Mike Vernon himself. Le label Manhaton Records emboîte le pas du producteur, et c’est le début d’une belle success story pour cette chanteuse énergique et charismatique qui prend enfin la place qu’elle mérite sur la scène Blues Internationale.

Gilles Servat + Spaarkles : Vendredi 23 mars 2018 – 20h30

Gilles Servat est un ardent défenseur de la culture bretonne armoricaine. C’est aussi un poète, dont le début de carrière au début de années 70 a été marqué par la chanson La Blanche Hermine qui est devenue un symbole dans la Bretagne armoricaine. Depuis, plus de 40 ans sur les routes, près de 21 albums, des milliers de concerts, des rencontres artistiques incroyables… et depuis 2016 un nouveau spectacle et une nouvelle tournée 70 ans… à l’Ouest ! qui retrace les grandes influences de cette carrière hors normes, est une promenade du rire à la poésie et de l’engagement à l’insouciance. Une occasion d’être ensemble… à l’Ouest !

Spaarkles produit une musique essentiellement acoustique et d’obédience “Folk”, teintée d’influences celtiques. L’atmosphère qui s’en dégage est empreinte de mélancolie.

Sarah McCoy : Jeudi 29 mars 2018 – 20h30
Attention, ce concert aura lieu à l’Espace Culturel Philippe Torreton à Saint-Pierre-Lès-Elbeuf.
Espace culturel Philippe Torreton, 163 avenue de l’Europe, 76320 Saint-Pierre-lès-Elbeuf / 02 32 96 95 78

Il y a du Bessie Smith en elle, et une pincée d’Amy Winehouse. Un soupçon de Janis Joplin et un zest de Tom Waits. Quelque chose de Fiona Apple, aussi. Et son univers n’aurait pas déplu à Kurt Weill. Voilà pour ceux qui ne la connaissent pas. Les autres savent qu’elle ne ressemble à personne, que sa voix et son charisme s’imposent dès les premières mesures. À 28 ans, Sarah McCoy a vécu plusieurs vies. Elle a traversé les Etats-Unis de New York à Charleston, en Caroline du Sud, de Santa Cruz à Monterey, en Californie. Avant de poser ses valises dans la ville la plus mélodieuse du pays : la Nouvelle-Orléans. Pianiste-chanteuse-compositrice, Sarah McCoy utilise à la fois sa formation musicale et théâtrale pour construire un environnement riche. Elle traverse tous les genres et plus encore : ragtime-cabaret, piano-rock, blues, jazz manouche, valses endiablées et berceuses mortelles. Un phénomène sur scène, un souvenir indélébile.

Otis Taylor + Jahen Oarsman : Mercredi 4 avril 2018 – 20h30

Arrivé de nulle part, ou plutôt du fin fond du Colorado, avec des albums dont les titres intriguent (« When Negroes Walked The Earth », « White African », « Respect The Dead », « My World Is Gone »…), Otis Taylor cultive sa différence. Après avoir délaissé son banjo en 1977, il est revenu en 1995 pour emprunter les chemins d’un blues actuel, minimaliste mais intense. Il marche désormais dans les pas de ceux qui cultivent la tradition du songwriting social Américain, tels JB Lenoir, John Lee Hooker et RL Burnside. Le son est obsédant, inclassable et intemporel et tout en rythmiques hypnotiques. Le chantre du “Transe blues” évoque le passé mais son propos est bien actuel. C’est ça aussi le blues.

Comparé à Sting ou Ben Harper, Jahen Oarsman est un auteur compositeur interprète dont la musique folk est à la croisée des chemins. Il n’hésite pas à transgresser les codes habituels du genre, tantôt en épiçant ses mélodies de guitares rebelles et de percussions métissées, tantôt en ajoutant des voix dont les langues inconnues nous montrent son appétit pour le monde.

Raggasonic + Scars : Samedi 7 avril 2018 – 20h30

Raggasonic, formé au début des années 90 autour de Big Red, Daddy Mory et Frenchie, a ouvert les portes du ragga en France. C’est en 1995, après des collaborations avec Mc Solaar et NTM, qu’est sorti leur premier album éponyme qui comprendra les énormes tubes « J’entends parler », « Bleu Blanc Rouge » et « Aiguisé comme une lame » (avec NTM). Suivra en 1997 leur second album « Raggasonic 2″, avant la séparation du groupe en 1998. En 2010, le groupe fait son come-back sur scène et se remet à écrire 14 nouveaux titres pour sortir « Raggasonic 3″ en 2012. Aujourd’hui, Raggasonic reprend la route en trio, au plus proche de sa formule originale, pour continuer à faire vibrer son public.

Le nom de Scars circule depuis quelques années dans le milieu Reggae/Dancehall français. Depuis 4 ans, ce sont plus de 300 concerts, et des participations aux tournées de Dub Inc, Naâman et Taïro, qui forgent sa réputation. Des shows explosifs pendant lesquels la musique de Scars prend tout son sens. Pour son 2e album, « Je suis comme ça », sorti en 2017, il s’est entouré des grands noms du Reggae/Dancehall français comme Neg’Marrons, Taïro, Krys, Manudigital… A n’en pas douter, Scars est à suivre de près !

Charles Pasi + Awek : Samedi 14 avril 2018 – 20h30

Chanteur, guitariste et harmoniciste, Charles Pasi se passionne pour le blues, le jazz, le rock et les musiques du monde. Après des études à la Saint Louis Jazz School à Rome puis à l’école de jazz CIM et à l’école Atla à Paris, il enregistre son premier EP « Mainly Blue », puis sont premier album « Uncaged » sur lequel le saxophoniste Archie Shepp l’accompagne sur deux titres. Charles Pasi possède cette chose rare en cette époque troublée : un regard sans jugement. Une poésie à l’équilibre fragile, qui raconte ce monde à la fois beau et effrayant, immense et minuscule, passé et futur, adorable et à brûler. Voilà son 4e album « Bricks », signé chez Blue Note (il est d’ailleurs l’unique Français à pouvoir en dire autant). “Les briques, c’est ce qu’il y a au départ d’une construction. Et aussi à l’arrivée. Quand il ne reste plus rien, il reste encore les briques. Tu regardes une ruine, tu vois des briques. La brique, c’est autant le projectile que le refuge. La brique, c’est le foyer, le symbole de la protection.”

Awek, ce sont 20 années sur la route, à user le monde, à user l’asphalte pour écumer les clubs et les festivals, sur des scènes petites ou grandes, sans jamais faillir ni défaillir. 20 années de passion pour ce Blues envoûtant voire enivrant, tel un dévouement. 9 albums et plus de 1500 concerts prouvent que le groupe s’est totalement investi dans cette aventure. Awek n’a jamais cessé d’évoluer en gardant l’âme originelle, par respect, sincérité et simplicité.

Spring Break Blues #5 : Vendredi 27 avril 2018 – 20h30

Pour la 5e édition de son Spring Break Blues, La Traverse continue de mettre à l’honneur les artistes issus du territoire normand ou qui y sont attachés. Reconnu comme l’un des meilleurs bluesmen de l’hexagone, Cisco Herzhaft avec plus de 30 années de carrière n’en finit pas de surprendre, cette fois en proposant une collaboration avec l’un des pères du hip-hop français, Rockin’Squat, leader charismatique du groupe Assassin, avec au compteur autant d’expérience pour une création exceptionnelle, le Jungle Blues Tour alliant ces deux musiques aux destins croisés.

Depuis 2010, Jennifer Lil’ Milligan, américaine originaire de l’Ohio, et Pascal Fouquet, l’un des guitaristes les plus fins de la scène blues française, jouent un blues sérieux et puissant, sous le nom Lil’ Red & the Rooster Combo. Leur musique, incluant compositions originales et standards, est blues, jump, boogie, rhythm & blues et teintée de jazz traditionnel. Elle est pleine de joie et d’espoir, et vous donnera envie de vous lever et de danser…

Depuis plus de 5 ans maintenant, les quatre rouennais dans le vent de Popping Hole délivrent une pop racée aux saveurs éminemment anglaises. On y retrouve l’énergie et le sens harmonique des Kinks, des Beatles de la première heure, mais aussi de leurs frères ennemis californiens des Beach Boys. C’est ainsi que défile sous leurs accords toute une mythologie des 60’s qui swinguent !

Ninho : Samedi 5 mai 2018 – 20h30

Considéré depuis ses premiers pas au micro comme un talent hors-normes, Ninho, jeune rappeur originaire du 91, a tout d’un prédestiné. Certifié disque d’or dès sa première mixtape commercialisée MILS (vendue à plus de 80.000 exemplaires), Ninho a su démontrer lors des premières années de sa carrière une capacité inouïe à kicker, mais également une grande polyvalence, qualité vitale dans le rap actuel. Ninho est parfaitement à l’aise lorsqu’il évolue à la croisée des chemins entre un rap au fond dur et des sonorités plus ouvertes. Porté par des gros titres et des grosses collaborations, son album « Comme Prévu » sorti en septembre est un des plus gros succès rap de la rentrée. Ninho sera en tournée dans toute la France en 2018.

Pour la deuxième fois, La Traverse invite des rappeurs normands à participer à son Rap Game, en leur proposant de confronter leurs univers artistiques lors d’un show commun, unique et inédit.

Tarifs des Abonnements “Blues from mars 2018” :

2 concerts : Plein 36€ / Réduit 31€ / Reg’Arts 31€
3 concerts : Plein 48€ / Réduit 41€ / Reg’Arts 41€
4 concerts : Plein 60€ / Réduit 50€ / Reg’Arts 50€
5 concerts : Plein 68€ / Réduit 58€ / Reg’Arts 58€
6 concerts : Plein 75€ / Réduit 65€ / Reg’Arts 65€
7 concerts : Plein 82€ / Réduit 72€ / Reg’Arts 72€
PASS : Plein 88€ / Réduit 80€ / Reg’Arts 80€

Pour tout achat d’un abonnement “Blues From Mars 2018” (concerts marquées du logo “Blues From Mars” sur la page d’accueil du site internet), le concert Spring Break Blues #5 (vendredi 27 avril 2018) est offert (dans la limite des places disponibles, réservation obligatoire).
Pour tout achat d’un abonnement “Blues From Mars 2018”, le concert de Murray Head (vendredi 16 mars 2018) est accessible au tarif inférieur.

Chaque année, je finis par trouver mes meilleurs albums Rock/Hard Rock. Et ce n’est guère une tâche facile. Jugez vous même, rien que par le nombre des places « ex aequo et bono ». Un véritable casse-tête et le préambule annonce déjà la couleur. Des albums qui méritent bien leur rang dans ce classement, mais j’ai eu beaucoup de mal à les placer. Leur sonorités ayant occasionnées des vibrations exceptionnelles, m’ont poussé à les mentionner sans les mettre en avant. Leurs caractères exceptionnels ont eu le dernier mot, comme le dernier IN FLAMMES et son Down, Wicked and No Good et sa brochette de reprises de JOHNNY CASH, CHRIS ISAAK , ALICE in CHAINS et DEPECHE MODE. Le grand retour des citrouilles « Helloween : Pumpkins United » .Et ce génie ROBERT PLANT qui continue à faire de la bonne music comme il a toujours fait. Son opus Carry Fire ne démérite pas à l’instar du dernier DANZING Black Laden Crown et la compilation de Ballades V du maître AXEL RUDI PELL dont la magnifique reprise de NEIL YOUNG  « Hey hey my my » et celle des légendaires DEEP  PURPLE « Mistreated »,  reprise par DAVID COVERDAL qui assurait le chant sur l’opus « Burn ». Et enfin, deux mentions spéciales pour KROKUS et ROGER WATERS pour son « génissime »  Is This the Life We Really Want? Que l’on présente pas et qui s’inscrit dans la morosité de notre monde. Sa sortie est dèjà un événement en soi car c’est son premier album studio en vingt-cinq ans, le dernier depuis Amused To Death sorti en 1992. Ce disque mérite à lui seul, une chronique. l’ancien leader de PINK FLOYD développe ses réflexions sur la PALESTINE, en lui rendant un bel hommage et un autre à son poète MAHMOUD DARWISH et pointe du doigt la dystopie normalisée et dénonce les sorties du répugnant de Donald Trump.  Je m’arrête là et désolé pour ce long préambule.

10-PROPHETS OF RAGE 

Ce super groupe ne laisse personne indifférent.  Que des noms populaires réunis dans un seul projet. Des leaders de la scène du rap américain DJ-Lord de Public Enemy et Chuck-D de Cypress Hill autour des musiciens du Rage Against The Machine. Que demande le peuple?

 

9-BODY COUNT Bloodylust

Plus virulent que jamais, plus engagé ou fâcheux davantage. On ne manque pas d’adjectifs pour qualifier le dernier opus de Body Count.  Un album plus Metal que les précédents qui fait écho du grand malaise américain,  et mondial bien sûr, « racisme et fascisme ». Cerise sur le gâteau, la reprise de Slayer Raining Blood/Postmortem. Ice-T et ses compères montrent qu’ils sont fidèles et ne baissent jamais les armes.

8-Pink Cream 69  Headstrong 

A l’occasion des 30 ans du groupe, sort leur douzième album intitulé Headstrong.  Selon Dennis Ward, l’album Headstrong est « une occasion pour le groupe de revenir au son de ses débuts, en incorporant à l’écriture des chansons des riffs de guitares puissants et des mélodies vocales planantes, en réduisant la quantité des claviers et en gardant la production à un minimum de couches acoustiques dans le but d’être fidèle à notre son — celui des guitares lourdes et crissantes». Un pari bien réussi à l’ancien groupe de chanteur Andi Deris et du manager Kosta Zafiriou.

7-KREATOR Gods of Violence

Monstrueux, titres accrocheurs reflétant la réalité du monde dans lequel on vit. Mile Petroza s’inspire toujours de ce qui se passe autour de nous pour écrire les textes. Encore plus mélodiques et audacieux Gods of Violence reflète un trait de caractère labellisé Kreator. Ce qui fait d’eux les maîtres incontestés de la scène thrash européenne.

6-Moonspell 1755

J’avoue que j’avais du mal au début quand j’ai appris que Moonspell allait faire un album en leur langue natale. Et j’ai trouvé ça très courageux et ambitieux. Dés les premières écoutes, je suis tombé sous le charme  des compositions  riches en orchestrations, un merveilleux chant  et un concept album qui gravite autour d’un sinistre tremblement de terre de Lisbonne survenu en 1755 et la destruction quasi-totale de la ville.

 

5-Blaze Bayley Endure and Survive

Voilà, le second volet de la trilogie Infinite Entanglement , qui évoque la persévérance nécessaire à sa propre conservation, telle qu’elle est dite explicitement dans le trite éponyme, Endure And Survive.  Un opus qui s’inscrit dans la continuité de son prédécesseur, c’est à dire un heavy metal pur, simple mais dur.

 4-THUNDER  Rip It Up

On ne peut pas passer à côté d’un nouvel opus de Thunder.  Le combo britannique prouve qu’il sait bien faire de la bonne musique. Toujours efficace, mélodies et riffs accrocheurs. Bref, de la bonne dose qu’il faut pour être apprécier et se faire écouter en boucle. Bravo. Rip It Up peut se présenter comme le successeur du précédent Wonder Days.

 

3-Alice Cooper Paranormal 

Il n’y a pas que les fans de Alice Cooper qui ont entendu parler de Paranormal car plusieurs musiciens célèbres ont participé à l’album, dont le batteur Larry Mullen Junior du groupe U2, le guitariste Billy Gibbons du groupe ZZ Top ou encore le bassiste Roger Glover de Deep Purple.

2-Deep Purple Infinite 

C’est triste de voir les légendaires Deep Purple quitter la scène Rock. Mais ils ont une carrière longue de cinq décennies que le seul heureux rescapé du combo original « Mark 1 » Mr Ian Paice aura accompagnée de A à Z. « Pourpre Profond » est incontestablement le meilleur groupe Hard Rock.

1-BONFIRE Byte the Bullet

Le combo allemand reste un géant incontesté de la scène Heavy Metal. Je cherche à convaincre personne par cette affirmation. Qui n’est d’ailleurs pas l’information du siècle et qui reste subjective bien sûr. Byte the Bullet est un opus qui confirme que Bonfire a encore des choses à donner. Des guitares bien saturées, des riffs plus Heavy , et bien sûr, des textes et des solis qui vont avec. Bref, tous les ingrédients sont là pour faire un album digne des routiers de ce genre musical.

 

    1-ICED EARTH Incoruptible

 

On peut interpréter de mille façon le titre de cet opus : les problèmes avec sa maison de disque, l’actualité morne à l’image des guignols comme Trump en tête de file qui mènent les Etats-Unis et le monde à sa perte; ou la dérive et le manque d’engagement des musiciens à l’égard de ce qui se passe autour d’eux. La qualité musicale des standards du Heavy Metal est là pour donner un très bon album. Un chant bien travaillé, des lignes vocales « high-pitch » inspirées et audacieuses, fort en émotions et des riffs efficaces, mélodiques et bien aérés qui reflètent l’image de marque du groupe.  J’ai hâte de les voir frôler la scène au HellFest.

 

Le 1er Festival Jazz d’Hiver se déroulera les 26, 27 et 28 janvier  2018 à « La Traverse » de Cléon (76)

Vendredi 26 janvier 2018 / 20h30 – Philippe Crestée Big Band & André Manoukian – Plein 25€ / Réduit & Reg’Arts 21€
C’est avec une rencontre musicale, celle du Big Band de Philippe Crestée et du pianiste André Manoukian, que s’ouvrira le 1er festival Jazz d’Hiver.

Le Big Band de Philippe Crestée, avec ses 22 musiciens, perpétue depuis 22 ans la tradition des grands orchestres de jazz, à travers les répertoires de Count Basie, Buddy Rich, Ray Charles, Franck Sinatra, etc.

Le Big Band apprécie particulièrement les échanges puisqu’il a, par le passé, collaboré avec des invités tels que Didier Lockwood, Bireli Lagrene, André Ceccarelli ou, plus récemment, China Moses.
Pianiste, compositeur, chroniqueur musical, André Manoukian est un musicien aussi talentueux qu’érudit. Il nous propose de partager sa connaissance des standards du jazz en grand orchestre, mais aussi de nous faire découvrir son riche univers personnel, autour d’un personnage central : le piano. Sa musique porte en elle l’empreinte de ses origines arméniennes, celle d’un peuple jadis chassé d’Orient.
Nul doute que cette soirée, placée sous le signe de l’échange et de la rencontre, saura rassembler public et musiciens, autour de l’esprit du jazz, dans toute sa diversité.

Samedi 27 Janvier 2018 – Charlier/Sourisse : Multiquarium Big Band – Tarifs : Plein 20€ / Réduit & Reg’Arts 18€
Au fil des années, à travers les multiples concerts, rencontres musicales, et Masterclass, le projet de créer un Big Band Charlier/Sourisse est apparu aux deux musiciens comme une évidence : Leur musique, “comme un jeu de leego entretoisé multipliant les lignes de fuites, les superpositions, les à-pics vertigineux” se prête à merveille à une écriture pour grand ensemble.

Ils ont ainsi confié 13 compositions originales extraites de leurs différents albums à trois arrangeurs parmi les plus reconnus de la scène européenne : Pierre Drevet, Carine Bonnefoy et Stan Sulzmann qui ont réalisé des arrangements et orchestrations pour dix-huit musiciens.

Dimanche 28 janvier 2018 / 15h30 – Hot Sugar Band & Brother Swing – Tarifs: Plein 18€ / Réduit & Reg’Arts 15€
Fondé en 2010, le Hot Sugar Band est rapidement devenu l’un des groupes phares du monde du Lindy-Hop et des danses swing en général !!
Basé à Paris et constitué de quelques-uns des meilleurs musiciens de la scène swing et jazz française, le groupe se produit dans les plus importants événements de swing à travers le monde – Suède, Hongrie, Lituanie, Canada, Espagne, Corée du Sud, Chine, Italie, Pays- Bas… et bien d’autres destinations encore !!! Le son unique et hautement identifiable de cet orchestre, qui tire ses influences du sextet de John Kirby, des années Big Band de Django Reinhardt et des classiques de Count Basie, ainsi que l’énergie inépuisable de ses musiciens, font du Hot Sugar Band l’un des groupes les plus demandés dans le monde du swing.
Le Hot Sugar Band va vous faire swinguer !!!
Pass 2 jours : Plein 40€ / Réduit & Reg’Arts 36€
Pass 3 jours : Plein 55€ / Réduit & Reg’Arts 46€
Les légendaires « Twin Guitars » sont de retour au Ziquodrome de Compiègne le 16 mars 2018 !
Découvrez l’interview d’Andy Powel ICI

Wishbone Ash est un groupe de rock britannique formé à l’automne 1969 à Torquay dans le Devon. L’originalité du groupe est la remarquable entente de ses deux guitaristes et leur jeu varié. Par sa technique de duels de guitares, Wishbone Ash a influencé des groupes de hard rock tels que Thin Lizzy ou Iron Maiden.

Wishbone Ash se forme à Torquay (Devon) en octobre 1969 sous l’impulsion du bassiste Martin Turner et du batteur Steve Upton. Managé par un certain Miles Copeland – futur manager de The Police et frère de Stewart Copeland – le groupe cherche ensuite un guitariste et en trouve deux en la personne d’Andy Powell et Ted Turner. Devant la qualité des deux hommes, il est décidé d’utiliser un format inhabituel avec deux guitaristes solistes, inventant le concept « twin guitars » repris par la majorité des groupes de Hard Rock des 80’s.

Wishbone Ash sort son premier album en 1970, tout simplement intitulé « Wishbone Ash ». Il connaît un succès immédiat en Grande-Bretagne où il se classe numéro vingt-neuf. L’originalité de Wishbone Ash vient du fait que le groupe est finalement inclassable. Il évolue entre un hard rock très mélodique et un rock progressif débarrassé de constructions trop lourdes et alambiquées, le tout avec des influences de musique ancienne et de folk.

« Argus » (1972), c’est la réponse que l’on vous claque au bec quand il s’agit de citer un disque de Wishbone Ash. Il est le plus connu et pour cause, il est meilleur album de l’année 1973 et vaut aux anglais d’enlever le titre de meilleur espoir de cette même année. « Argus » marque l’apogée artistique de Wishbone Ash, son summum commercial aussi. En point d’orgue de ce monument, le monstrueux « The King Will Come ».
« « Argus » est une belle réussite. Il nous a établis définitivement comme un vrai groupe. Wishbone Ash n’a jamais été aussi uni sur un LP. « Argus » a été un vrai travail de groupe. Chacun avait un rôle clairement défini, mais toutes les parties se chevauchaient. Les contributions respectives ont abouti à une vraie vie de groupe, à une grande ouverture, une créativité accrue, une conscience collective, à un respect mutuel. A la fin, il sonnait comme nous le voulions. Il a répondu à nos attentes et à celles du public puisqu’il s’est écoulé à des millions d’exemplaires. » (Andy Powell)
 
Wishbone Ash est une merveille d’énergie, d’inventivité avec ses changements de rythmes, ses lignes de guitare exceptionnelles et sa rythmique diabolique.
C’est certainement le groupe qui a le mieux réussi à faire la synthèse entre le rock et le progressif. Andy Powell continue de faire vivre la légende, avec d’incessants concerts à travers le monde, dont une date exceptionnelle au Ziquodrome de Compiègne le vendredi 16 mars 2018.
Music For Ever présente:
The New Roses et Audrey Horne en concert samedi 20 Janvier 2018 à Paris / Petit Bain.

Cette date unique en Europe en co-tête d’affiche, vous  permettra de passer une soirée très chaude en plein cœur de l’hiver.  La salle ayant une capacité limité, il est conseillé de réserver sa prévente ICI sans tarder.

Audrey Horne est un groupe norvégien de hard rock fondé en 2002 par des musiciens appartenant déjà à des formations renommées de la scène metal de Bergen. Il emprunte son nom à un personnage de la série Twin Peaks.

Découvrez « Audrevolution », extrait de « Blackout », le prochain album d’Audrey Horne qui sortira le 12 janvier 2018:

The New Roses vient de sortir son nouvel album « One More For The Road » chez Napalm Record.
Ils ont également participé à de nombreux festivals  dont le Hellfest en 2017.

Découvrez The New Roses avec « What If It Was You », extrait de l’album « One More For The Road »:

The New Roses – Norman Bites

 

The New Roses – Timmy Rough

Le Rock’N Festival, qui se déroulera à Chauny (02) le 7 avril 2018, vient de dévoiler le premier nom de l’affiche 2018. Cette 7ème édition accueillera le bassiste / chanteur Glenn Hughes, surnommé « The Voice of Rock » et membre de Deep Purple sur les albums « Burn », « Stormbringer » et « Come Taste The Band ». Les titres du groupe légendaire seront donc à l’honneur lors de cette tournée intitulée « Glenn Hughes performs Deep Purple ».

Après la venue de batteur d’AC/DC, Chris Slade en 2017 et celle du guitariste de Motörhead, Phil Campbell en 2016, c’est une autre légende du Rock qui va se produire sur la scène du « Forum » de Chauny ».

L’organisation a une nouvelle fois prouvé toute son efficacité, en assurant la présence d’artistes aussi renommés, et nous rend impatients de connaitre la suite de la programmation, qui sera annoncée  prochainement.

Glenn Hughes, bassiste et chanteur britannique, est né le 21 août 1952 . Il se fait tout d’abord connaître au sein du groupe Trapeze puis surtout comme membre de Deep Purple qu’il rejoint en septembre 1973, succédant à Roger Glover à la basse, qui reprend finalement la place lors de la tournée de reformation de 1984.

Hughes est ensuite brièvement chanteur de Black Sabbath, succédant à Ian Gillan, puis participe en 1985 comme bassiste à l’album « Run For Cover » de Gary Moore en alternance avec Phil Lynott.

Sa carrière solo ne se poursuit que 15 ans plus tard au début des années 2000, avec notamment des albums réalisés avec Tony Iommi, le guitariste de Black Sabbath.
En 2010, Glenn Hughes crée un supergroupe nommé Black Country Communion, en compagnie de Joe Bonamassa (guitare), Derek Sherinian (claviers) et Jason Bonham (batterie) fils de John, le batteur de Led Zeppelin.

Il publie son autobiographie en 2011, titrée «Glenn Hughes – From Deep Purple to Black Country Communion», dans laquelle il raconte en détail comment il est devenu cocaïnomane dans les années 70 et a connu la rémission près de vingt ans plus tard, après avoir frôlé la mort fin 1991.

Fin 2013 il forme le nouveau groupe California Breed, avec Jason Bonham et le jeune guitariste Andrew Watt.

Sa carrière solo se poursuit, avec la sortie de l’album « Resonate » en 2016 et enchaine de nombreux concerts, dont une prestation remarquée au Hellfest 2016.

DarkTunes est très fier de vous présenter le nouveau single « In Game » (English Version) de Smash Hit Combo !!!

Découvrez la vidéo du single « In Game » (English Version):

La version française de cette chanson se trouve sur l’album « Playmore » de 2015, mais en raison de l’énorme succès international du nouveau double album « L33T » (en français et en anglais), nous avons décidé de re-enregistrer ce hit en anglais.

Alors qu’on pensait le genre épuisé depuis longtemps, Smash Hit Combo persiste et signe depuis presque 10 ans dans un rap métal qui doit beaucoup à la scène US des années 90. Si Limp Bizkit et autres Incubus règnent en maitre dans les influences du groupe, ce n’est que pour mieux en tirer un groove imparable et une efficacité redoutable dans l’écriture de textes en français.

Textes engagés et ancrés dans la culture des jeux-vidéos, de la surconsommation d’images, et de tout ce qui fait le 21ème siècle. Smash Hit Combo dénonce les travers de sa propre génération, mais crie aussi ses rêves et ses envies en portant fièrement l’étendard des « hardcore gamers ». Si sa musique évolue avec le temps et ses membres, elle n’en reste pas moins énergique, puissante et relève fièrement et avec réussite un pari artistique et osé,celui de réaliser ses rêves.

Line Up:
Paul Vuillequez: chant
Maxime Keller : chant
Josh Frohling : chant
Hincker Brice : batterie
Matthieu Willer : basse
Baptiste Ory: guitare
Anthony Chognard : guitare
Base productions Présente:
This Is Soul ! Avec The Excitements et Hannah Williams & The Affirmations le 6 février 2018 à Paris / New Morning

Véritable phénomène de la scène Soul/R&B actuelle, les barcelonais de The Excitements se sont forgés une solide réputation à travers l’Europe à grands renforts de live, alliant classe et énergie on ne peut plus communicative (près de 400 concerts en 3 ans).

Ils reviennent aujourd’hui avec un 3eme album : « Breaking the Rule »
Groupe Rhythm & Soul de Barcelone, terriblement attaché au son afro-américain des années 60 (Tina Turner, Etta James, James Brown…).

Un groupe authentique qui ne se contente pas de mimer le R’n’B mais le transpire à grosse gouttes sur scène et sur albums. Le son gras du Blues et les larmes de la Soul, cocktail «Old school» de ce combo, qui attire dans son tourbillon de plus en plus de fans en extase.
Des musiciens de Barcelone qui se frottent à leurs ainés Wilson Pickett, Etta James et Ike & Tina Turner. Le public sera-t-il à la hauteur des salles de Detroit ou de Memphis ? Cela va sans dire!

Aussi à l’aise dans les gros festivals que dans les bars surchauffés, les horloges des Excitements se sont toutes arrêtées à l’heure des sweet sixties, décennie bénie qui vit l’émergence de la soul Music. Diamant brut et princesse Noire, La sculpturale KoKo Jeans-Davis chante et se contorsionne aux rythmes vaudou qu’imprime le groupe.

Le résultat est à la hauteur, encore une fois, « Breaking The Rule », leur troisième album, apporte la preuve s’il en était besoin, d’un groupe au répertoire trempé mais nuancé, passant d’un registre doux comme une caresse de printemps aux titres les plus percutants faisant le «coup de poing» musical.
L’on y retrouve à la croisée de leurs influences, la Soul soyeuse et le Rhytm n’Blues torride qui forgea leur style, mais aussi l’énergie « old school » des vieux rock’n Roll. Ne craignez pas de vous écorcher les oreilles aux sons de ces cocktails explosifs, aux harmonies policées, la musique est maitrisée et la production, aux mains de l’habile Mike Mariconda. Rejoignez The Excitements et la horde de leurs fans déchainés et procurez-vous au plus vite ce dernier tome de leurs aventures…

La tornade britannique Hannah Williams confirme son statut de grande voix du panorama soul actuel, un concentré explosif d’émotions brutes: amour, désir, passion, rage et toutes les zones grises qui vont avec. Son album « Late Nights & Heartbreak » est backé par son nouveau groupe « The Affirmations » originaire de Bristol, enregistré dans le Studio Quatermass, QG du groupe culte The Heliocentrics, et produit par le batteur anglais légendaire Malcom Catto, célèbre également pour ses collaborations avec, entre autres, Mulatu Astatke, Orlando Julius, Floating Points, Quantic, Dj Shadow, et Madlib.

Acclamée par Sharon Jones, Hannah Williams a explosé sur la scène soul avec son premier album « A Hill Of Feathers » en 2012. Le premier titre « Work it Out » a été un succès planétaire sur les ondes radiophoniques, la vidéo officielle a totalisé plus d’un million de visualisations sur YouTube.

L’histoire d’Hannah semble avoir été écrite dès sa naissance. Son père, un pasteur passionné de musique et sa mère lui ont permis d’intégrer la chorale de l’église à l’âge de 6 ans. Elle a su lire la musique avant les mots. Et maintenant, plus rien ne pourra arrêter la puissance irrésistible de son talent unique.

La billetterie est disponible ICI

Belem & The Mekanics est le projet fou et ambitieux né de la rencontre du duo Belem (Didier Laloy & Kathy Adam) avec l’ensemble orchestral de 15 instruments mécanisés du compositeur Walter Hus.

« La musique fait référence au cirque, à Fellini, au folklore, au cinéma. Elle est enlevée, tendre, joyeuse, parfois nostalgique comme les clowns, parfois caracolant comme une parade de chevaux. On s’y attache comme à des souvenirs d’enfance. Le résultat est à la mesure de leur rêve. Enorme ! Et spectaculaire. » LE SOIR
« Un surréalisme instrumental bien belge. » RTBF – Radio Télévision Belge
« L’accordéoniste Didier Laloy et la violoncelliste Kathy Adam dialoguent avec un limonaire, monstre musical d’un spectacle intégral. Magnifiquement dingue. » LE VIF/L’EXPRESS

« La musique est théâtrale, passionnante, parfois alarmante et très européenne ! » SONGLINES, TOP OF THE WORLD ALBUM janv-fév 2018

3 concerts exceptionnels de Belem & The Mekanics auront lieu @ Centre Wallonie-Bruxelles, 127 rue Saint Martin, 75004 PARIS // 20h

L’album de Belem & The Mekanics sortira le 02 février 2018 via Igloo Records – Zig Zag World // L’Autre Distribution