Cotton Belly’s sera en concert le 26 septembre 2019 à Paris « Petit Bain » à l’occasion de la sortie de son album « Missi »

Au carrefour du blues, du rock et de la folk, ce quartet francilien nous offre une musique directe et généreuse, vibrante du passé comme de l’avenir.
Les « ventres de coton » c’est pour les champs ou le blues est né dans la douleur et pour les tripes dont il s’échappe parfois. Le groupe présentera son nouvel album « Missi ».

« Missi » détonne son « Blues » et nous embarque pour une virée ou les notes fiévreuses glissées sur des guitares à résonateur répondent aux plaintes aigues d’un harmonica pas si désespéré. Le retour aux sources est inévitable et rappelle à certains moments les origines africaines de cette musique enchanteresse.

« Missi » respire aussi la folk avec ses teintes de banjo, ses rythmiques acoustiques et ses balades légères. Certains titres s’imprègnent parfois de Rock  autour d’une batterie puissante, lourde de ferrailles et autres percussions composant avec basse et contrebasse qui groovent joyeusement.

Les guitares électriques dansent et font danser, vous emmènent parfois dans des brumes insoupçonnées. Enfin, la voix chaude et envoutante du chanteur termine ce mélange de saveurs avec des teintes soul et pop.

Les mélodies sont agréables, les thèmes enchanteurs et la générosité des quatre « Ventres de coton » n’est plus à démontrer.

L’album « Missi » est disponible depuis le 29 mars 2019.

Renseignements : Music For Ever Production :
www.music-for-ever.fr / 03 89 64 21 36 & Points de vente habituels

Découvrez le titre Roadside en vidéo :

Le nouvel album de Sinner intitulé « Santa Muerte » sortira le 13 septembre 2019 via AFM Records

Des artistes tels que Mat Sinner, qui a gardé son groupe sur la cible pendant plus de 35 ans, en publiant plus d’une douzaine d’albums de studio (ainsi que de nombreux enregistrements live et compilations), doivent faire beaucoup de choses bien. Le succès du groupe allemand de heavy metal repose, enfin et surtout, sur le talent de son patron pour rester inébranlable dans le cap choisi sans pour autant perdre sa passion pour de nouveaux défis. Sinner est heureux d’accepter le fait que de tels exploits exigent souvent un peu de pari, après tout : « L’évolution implique un certain élément de risque et, sans évolution, nous atteindrions bientôt un point où nous manquerions à la hauteur de nos attentes ».

Sinner a certainement réussi à respecter les normes de son nouvel album, Santa Muerte, dont la sortie sur AFM / Soulfood est prévue pour le 13 septembre 2019. Et sans aucun doute pour ceux de leurs fans. Mais commençons par l’innovation la plus évidente : « Santa Muerte » dispose pour la première fois d’une deuxième voix permanente, aux côtés du chanteur Mat. Cette voix est une femme, originaire de Venise et répond au nom de Giorgia Colleluori. Mat : « J’avais d’abord remarqué Georgia dans son propre groupe, Eternal Idol, c’est pourquoi nous l’avons recrutée comme chanteuse de fond pour « Rock meets Classic ». Au cours de cette tournée, il est apparu que Georgia s’intégrerait parfaitement à Sinner. Nous lui avons donc demandé de nous rejoindre sur scène pour trois classiques lors de nombreux spectacles en Australie, au Japon et en Allemagne. Les réactions du public ont été formidables. Nous avons donc décidé de lui demander de rejoindre le groupe de manière permanente. « La gamme vocale de Colleluori a donné une toute nouvelle dimension aux chansons actuelles de Sinner, en particulier – selon Mat – » une dimension que je ne voudrais pas. ont pu réaliser par moi-même.  »
Seconde innovation : dans Ricky Warwick (Thin Lizzy, Black Star Riders) et Ronnie Romero (Rainbow de Ritchie Blackmore), Santa Muerte met en vedette deux des chanteurs les plus charismatiques de la scène rock internationale. « J’ai aussi rencontré Ricky lors de la rencontre entre Rock et Classic », explique Mat. « Nous nous sommes souvent assis ensemble dans le bus de tournée, avons parlé pendant des heures et sommes devenus de vrais amis. Ricky est très similaire à moi, terre-à-terre, honnête, un peu approximatif. »  

On peut entendre la voix unique de Warwick dans « What Went Wrong », un numéro de rock simple avec une touche de Thin Lizzy d’inspiration irlandaise. En revanche, Ronnie Romero, dont la voix figure dans Fiesta Y Copas, a attiré l’attention de Sinner en 2015 pour la première fois lors d’un festival majeur en Italie, où Primal Fear, acteur du power metal et joué par le groupe espagnol de Romero, Lords Of Black le même stade. Les autres invités de « Santa Muerte » sont le guitariste et co-auteur suédois Magnus Karlsson (Primal Fear, Allen/Lande) sur « Death Letter » et le chanteur de base Sascha Krebs, qui a déjà contribué à de fantastiques morceaux de choeur pour (presque) toutes les chansons de la précédente version de Sinner, Tequila. .
Parlant de « Santa Muerte », qui a une signification particulière : la plupart des fans connaissent la version de ce numéro blues, qui remonte à l’origine en 1930. Elle a été composée par la célèbre icône de delta blues, Son House, qui l’a réenregistrée en 1965, mais ne l’a pas enregistrée. Il est sorti jusqu’en 1985. Sinner donne à la chanson traditionnelle une touche très contemporaine et Georgia Colleluori ajoute une fraîcheur pétillante.

Vous l’avez déjà deviné : Sinner a livré un autre album exceptionnel, enregistré par un line-up composé d’excellents artistes, tels que le guitariste / co-compositeur Tom Naumann et Alex Scholpp, ainsi que le batteur et nouvel ajout Markus Kullmann (ex-Voodoo Circle). « Santa Muerte » a été produit par Mat Sinner et coproduit par Dennis Ward (Pink Cream 69, Unisonic, Gus G.), qui a également enregistré et mixé le nouvel album. Après le premier single « Fiesta Y Copas » (y compris la vidéo), Sinner devrait sortir deux autres singles et des clips vidéo: « Last Exit Hell » sortira le 16 août, suivi de « Death Letter » le 6 septembre.

Tracklinsting :
1 – Shine On
2 – Fiesta Y Copas
3 – Santa Muerte
4 – Last Exit Hell
5 – What Went Wrong
6 – Lucky 13
7 – Death Letter
8 – Craving
9 – The Wolf
10 – Misty Mountain
11 – The Ballad Of Jack
12 – Stormy Night

Interview de Bertrand Couloume – Juillet 2019

Entretien avec le bassiste de Little Bob Blues Bastards
2 jours avant le concert de Little Bob au Festival Moz’aïque du Havre, le fidèle bassiste du rocker havrais s’est livré en exclusivité à Ride The Sky.

Bonjour Bertrand et merci d’accorder cet entretien pour Ride The Sky.

– Peux tu résumer les grandes lignes de ton parcours musical depuis tes débuts d’instrumentiste?

Mon premier instrument est le piano classique de 7 à 14 ans, c’est par là que j’ai découvert les rudiments du boogie, le ragtime… puis une basse électrique m’est tombée dans les bras à 15 ans, et je m’éclate avec les trois accords du blues, guidé par Willie Dixon. 6 mois après j’intègre ma première formation de jazz traditionnel qui jouait dans ma région et passe à la contrebasse dans la foulée, c’était en 1976. Et puis ça a été ma période big band avec M Devilliers (tp), Christian Garros (drms), Laurent Dehors (sax), sans doute là que j’ai pris goût à une certaine énergie qu’on pouvait donner à la musique, et que j’ai naturellement retrouvée en 1991 lorsque j’ai rejoint Little Bob.

– Comment t’es venue cette passion pour la musique ?

C’est très tôt devenu un besoin. Dernier d’une fratrie de quatre, j’ai toujours baigné dans la musique que mes frère et sœurs travaillaient et ça m’a naturellement influencé comme on apprend une langue maternelle. Je jouais souvent « avec » le piano comme un enfant s’invente des histoires. En parallèle de mes courtes études musicales, j’ai toujours eu une activité spontanée vers la musique rythmée et improvisée. Un plaisir brut qui t’extrait des soucis de chaque époque de ta vie et encore aujourd’hui avec une force salvatrice. Je pense que la musique est une nécessité pour mon équilibre.

– Ton orientation Jazz a permis d’intégrer des plus grandes formations du genre. Quelles sont pour toi les références en la matière et tes influences majeures ?

Paradoxalement, je ne suis pas centré sur mon instrument et dans mes premières influences il y a eu un « Bandanna Babies » 1928 par Duke Ellington, ou encore le « Milestones » (1958) de Miles Davis, et tout de même le contrebassiste Ray Brown dans  le trio de Peterson, le son ! le time ! Et puis dans un autre registre il y a la voix et l’univers d’un Tom Waits qui m’ont naturellement connectés à Little Bob.

– Dans quelles formations joues-tu en ce moment ?

Principalement : Big band Christian Garros, Little Bob blues Bastards, Thom and The Tone Masters.

– Tu es le contrebassiste de Little Bob Blues Bastards depuis1991. Comment s’est présentée cette opportunité ?

Dans la fin des années 80, Bob tourne en duo « Ballads and Blues » avec le pianiste Joël Drouin (avec qui je jouais à cette époque). Je les accompagne en tant que preneur de son sur plusieurs tournées. C’est une période de changements pour Bob, fin de la story, tournée avec les musiciens américains, il rencontre sa Mimie… et il décide de remonter une formation plus acoustique et plus légère, au moins au début, afin d’explorer le coté blues de son rock. Il veut une contrebasse, et il s’est tourné vers moi à ce moment là. Malgré ou plutôt grâce à mes racines jazz je pense que Bob à voulu se donner la chance d’une expérience originale et personnelle. Et moi je me suis engouffré dans son univers, conscient du monstre de musicalité brute qu’il est !

– Comment expliques tu la longévité de Little Bob, et la fidélité de son public ?

Sa voix!!! je suis fan.

Et puis simplement, il a toujours joué la musique qui le fait vibrer. C’est pas forcément facile à vendre au quotidien, mais sur la durée, c’est ta vie que tu construis, et bien sûr ça n’a pas de prix… et le public le ressent.

– Passer du Jazz au Blues Rock du jour au lendemain te pose t’il un problème d’adaptation en terme de jeu et de technique ?

Franchement je ne cloisonne pas à ce point le blues rock le jazz. Bien sûr, ils ont des évolutions et des esthétiques distinctes, mais puisent dans pas mal de ressources communes métissées du continent nord américain. Et puis je revendique cette dichotomie très relative. Pour moi le plus important est de groover et swinguer, c’est d’être « dedans » là, maintenant !

– Quel est ton plus grand souvenir de musicien ?

Le futur ! Ha ha !

– Qu’est-ce que tu écoutes en ce moment ?

En vrac quelques unes de mes dernières écoutes spotify sans filtre lol :
« L’afrobeat improbable » Charlier/Sourisse, Stéphane Guillaume, Multiquarium
« Vertige de l’amour » Alain Bashung
« Fuck Me Freddy » Bad Tripes
« Spam-Boo-Limbo » Esbjörn Svensson Trio
« We’ve Gotta Get Out of This Place » The Animals
« Got You » Amyl and The Sniffers
« Get Happy » Brad Mehldau Trio
« Cantabile – Live » Michel Petrucciani, Steve Gadd, Anthony Jackson

 

– Tu seras à « La Traverse » de Cléon le 17 novembre avec Thom and The Tone Masters et An Diaz. Peux-tu nous en dire un peu plus sur ce groupe, son style et l’atmosphère qu’il dégage ?

Thom and the Tone Masters est un combo original puisant son inspiration dans la musique afro américaine instrumentale des années 50, mais ce sont aussi des compositions uniques mélangeant le blues et le jazz qui apportent aux sessions live une atmosphère pleine d émotion et de swing. Pour le festival de « La Traverse », nous avons choisi de présenter une formule avec comme invitée la chanteuse AN Diaz, de Buenos aires, à la voix pleine de soul et de blues.

– Quelles sont les prochaines échéances avec Little Bob et pour tes autres projets ?

On a un CD avec Little Bob Blues Bastards sur le grill !  Et un autre avec Thom and The Tone Masters.

Et bien sûr des concerts cet été, comme le 17 juillet prochain au Havre, « à la maison », au « Festival Moz’aïque« 

– Un dernier mot pour le public et les lecteurs de Ride The Sky?

On s’retrouve dans un concert ?

Je te remercie pour ta patience et d’avoir pris le temps de participer à cet entretien.

Marie-France BOUCLY
Photos © 2017 Alain BOUCLY
Danceperados of Ireland présentent « Whiskey You Are The Devil », Irish music,dances & songs.
Au Casino de Paris le 06 novembre 2019 et en tournée en France.

Les Danceperados offrent un spectacle de haut niveau , libre et authentique. Ils font le tour du monde avec leurs deux premiers spectacles depuis une décennie.

Les Danceperados présentent aujourd’hui l’Histoire de l’Irlande à travers le charme de la danse irlandaise, des chants,de la musique et un peu d’histoire.

Les Danceperados of Ireland s’attachent à présenter un spectacle de qualité, sincère et vivant, fidèle à l’esprit et à la sensibilité artistique si particulière des Irlandais, en privilégiant l’authenticité , qui fait la beauté de la danse et de la musique traditionnelle irlandaise.

La direction musicale du spectacle est assurée par Eimhin Liddy et la chorégraphie a été confiée à  Michael Donnellan, deux fois champion du Monde de danse et danseur principal des compagnies Riverdance et Lord of the Dance. Avec les Danceperados of Ireland, il a relevé le défi de créer un spectacle parfait sur le plan de la technique chorégraphique et adapter l’histoire , écrite par le Directeur artistique Petr Pandula.

En tournée :
31.10.2019 : Saint-Brieuc (22) – L’Hermione
01.11.2019 : Le Mans (72) – Palais des Congrès
02.11.2019 : Angers (49) – Centre des Congrès
03.11.2019 : Poitiers (86) – Le Futuroscope
04.11.2019 : Bordeaux (33) – Théâtre Fémina
06.11.2019 : Paris (75) – Casino de Paris
07.11.2019 : Chalon-sur-Saône (71) – Salle Marcel Sembat
08.11.2019 : Saint-Étienne (42) – Salle Jeanne d’Arc
09.11.2019 : Béziers (34) – Zinga Zanga
10.11.2019 : Toulouse (31) – Casino Barrière
12.11.2019 : Lyon (69) – La Bourse du Travail
13.11.2019 : Besançon (25) – Le Kursaal
14.11.2019 : Colmar (68) – Parc des Expositions
16.11.2019 : Albert (80) – Théâtre du Jeu de Paume
17.11.2019 : Abbeville (80) – Théâtre municipal
17.12.2019 : Guipavas (29) – L’Alizé
18.12.2019 : Saint-Coulomb (35) – Le Phare
19.12.2019 : Bourges (18) – Palais d’Auron
20.12.2019 : Chécy (45) – Espace Georges Sand
21.12.2019 : Le Plessis-Robinson (92) – Théâtre de l’Allegria
22.12.2019 : Argentré (53) – L’Escapade

Le nouvel album de Wage War intitulé « Pressure », sortira le 30 août 2019 via Fearless Records.

Le groupe originaire de Floride vient également d’annoncer une date à Paris, le 21 janvier 2020 / « Backstage »

Découvrez un extrait de l’album « Pressure », avec la vidéo de « Who I Am » :

« Abbath, affûté par le procès et la terreur, présente fièrement « Outstrider », notre dernière catharsis tirée des entrailles de la noirceur. Forgé dans la fournaise ardente de l’adversité, martelé sur une enclume de rage, cet album est conçu de conflagration toussant du chaos, se levant comme un phénix de la fosse, pour infecter notre Spitegeist de reflets chamaniaques enveloppés dans des compositions métalliques, accrochés et fendus par des coups de fil de rasoir empalant des lignes de basse palpitant sur des battements de tambour drédiés d’un abîme tonitruant. Esprit marié à une émission entière: Aller hardiment là où aucun groupe n’est allé avant et un pas plus loin!  » Abbath

Quand Abbath a annoncé qu’il avait quitté Immortal, cela a envoyé d’énormes ondes de choc sur la scène métal. Le chanteur emblématique était depuis longtemps devenu le « visage » de la scène noire norvégienne, son image étant synonyme de genre. Lors de la sortie de son premier album avec son nouveau groupe éponyme, Abbath, en 2016, les fans ont été rassasiés d’une dose de fureur glacée et noircie.

Maintenant, le géant norvégien est de retour pour le deuxième tour, armé d’une composition raffinée et prêt à frapper avec un effort supplémentaire qui ne manquera pas de dépasser les attentes de la part des fans fidèles d’Abbath« Oustrider » voit une maturation du son, offrant une offre plus serrée et complète du groupe alors qu’ils entrent dans leur propre identité.

Bien qu’il y ait des moments qui canalisent certainement les marques givrées d’ImmortalAbbath ne risque pas de répéter cette formule. Abbath s’inspire de NWOBM et d’influences mélodiques, ajoutant une nouvelle saveur au son que le fondateur du groupe a défini.

« Oustrider » se compose de huit chansons écrasantes et se termine par une reprise enflammée de Bathory. L’album promet un assaut sonore complet du début à la fin avec un riffage glacial et une poche robuste doublée de la voix d’une des voix les plus identifiables du black metal. Si vous pensiez qu’Abbath avait été chaud avec leur dernier disque, à absolument écouter !

Track listing :
2. Bridge of Spasms (03:49)
3. The Artifex (04:09)
4. Harvest Pyre (04:12)
5. Land of Khem (04:08)
6. Outstrider (05:39)
7. Scythewinder (04:17)
8. Hecate (04:25)
9. Pace till Death (Bathory cover) (03:41)
Total: 38:52
Line-up : 
Abbath : chant – guitare
Ole Andre Farstad : guitare
Ukri Suviletho : batterie
Mia Wallace : basse

« Heavy Metal Rules », le nouvel album de Steel Panther sera disponible le 27 septembre 2019 sur The Orchard / Sony

Lundi dernier, le groupe en a présenté le premier extrait « All I Wanna Do Is Fuck (Myself Tonight) », à découvrir ici :

 » Quand le Blues sonne dans la langue de Molière « 

Le nouvel album de Rod Barthet intitulé « Ascendant Johnny Cash », sortira le 27 septembre 22019 via Festivest / Socadisc

Rod Barthet se démarque totalement de la scène blues française. Avec « Ascendant Johnny Cash », il parvient, une fois de plus, à faire sonner la langue de Molière sur l’idiome de John Lee Hooker comme personne avant lui.

Afin d’obtenir un tel résultat, depuis plus de 20 ans, le chanteur guitariste prodige s’adjoint les services du parolier Boris Bergman.

Avec ce dernier, le temps de 5 chansons, il créé ici une alchimie rare dont il est le seul dépositaire. Cette dernière lève le voile sur un univers où semblent se côtoyer Bo Diddley, Christophe, Chuck Berry, Tommy Castro ou Alain Bashung. Le tout, au beau milieu d’une succession de tableaux sonores propres à l’imagination fertile des deux complices.

Des échappées jubilatoires qui n’en font pas oublier des racines toujours aussi bien ancrées dans le terroir américain et soutenues par un groupe exemplaire. Tous rivalisent de nuances et d’imagination, dans le but de servir des thèmes souvent brûlants qui déplorent les errances humaines et l’oubli de nos fondamentaux, qu’il s’agisse de Liberté, d’Egalité, de Fraternité ou d’écologie.

De par l’éclectisme et l’intelligence de sa teneur, « Ascendant Johnny Cash » ne peut laisser insensible. Ces 11 plages nous permettent de nous poser les bonnes questions et nous poussent à une réflexion bienvenue.

Après avoir fait trembler les scènes blues internationales, en 2019, Rod Barthet s’inscrit définitivement comme un rouage essentiel de la belle chanson française. – David Baerst –

De Boris Bergman, fidèle collaborateur :
« Le Jura n’a pas inventé que de belles forêts aux pieds de belles montagnes ou l’on déguste la raclette le soir au coin du feu. Il a aussi fait naître de solides chanteurs comme H.F Thiefaine, Rod Barthet est l’un d’eux : en plus de sa maîtresse appelée Guitare, il est doté d’une voix inhabituelle et chante le blues comme nul autre.  Cocteau avait raison : « ce que les autres te reprochent, cultive -le : c’est toi même ».
Après plus de 20 années de complicité et de collaboration avec Rod,  je peux affirmer que c’est très certainement l’un de mes meilleurs albums »

Ghost, sera de retour en France à la fin de l’année  pour  « The Ultimate Tour Named Death »

Après avoir enflammé le stade de France le 12 mai 2019, et effectué 26 dates dans les stades en « Special Guest » de Metallica, puis donné 32 concerts en tête d’affiche cet automne en Amérique du Nord, Ghost poursuivra son « Ultimate Tour Named Death » en Europe à compter du 16 novembre à la Motorpoint Arena de Nottingham, en Angleterre.

Tout ce beau monde va sillonner la Grande-Bretagne et l’Europe pendant 5 semaines jusqu’au Zénith de Toulouse, le 19 décembre. La première partie sera assurée par les groupes All Them Witches et Tribulation.

Cette tournée s’inscrit dans la lignée du succès de l’album « Prequelle » (Top 10 dans 15 pays à travers le monde, n°3 en France), un disque nominé « Best Rock Album » aux Grammy Awards aux Etats-Unis, ainsi qu’en Suède. En France, le groupe s’est retrouvé en couverture de plusieurs magazines. On se souvient aussi que les titres « Dance Macabre » et « Rats » ont été n°1 sur OUI FM et que Ghost a donné 2 concerts dantesques à la Halle Tony Garnier de Lyon devant plus de 7000 fans, ainsi qu’au Zenith (complet) de Paris.

Les 3 dates françaises:
– Le 13 décembre 2019 à Strasbourg « Zenith »
– Le 18 décembre 2019 à Nantes « Zenith »
– Le 19 décembre 2019 à Toulouse « Zenith »

Les pré-ventes débuteront mercredi 10 juillet 2019 à 10h00. Un nombre limité de packages VIP sera également disponible. La mise en vente générale sera lancée le 12 juillet 2019 à 11h00

La 21ème édition du plus grand festival de Boogie Woogie du monde se déroulera du 8 au 11 août 209 à La Roquebrou (Cantal) avec plus de 70 artistes venus du monde entier et plus de 10000 festivaliers.

20 ans que le Festival International de Boogie Woogie de La Roquebrou fait swinguer musiciens, mélomanes, danseurs et curieux.

4 jours de fête au sein d’un joli village du Cantal entre concerts, fanfares, cours de danse et bals swing, masterclass piano et bien d’autres surprises.
Venez nous rejoindre pour cette édition anniversaire bien spéciale !

Retrouvez cette année :
le grand bluesman Alabama Slim
Sébastien Troendlé
un Big band de 17 Musiciens
Jack Carpenter
The Harmonica Brothers