Retrouvez Papa Roach pour un concert exclusif au Zénith Paris – La Villette le 5 février 2025.
Papa Roach est un groupe de rock alternatif et hard rock, nominé deux fois aux Grammy’s et aux multiples disques de platine. En 2020, ils ont célébré le 20e anniversaire de leur album iconique « Infest ». Papa Roach n’est pas étranger à la sensibilisation sur la santé mentale, et ils le font depuis le début avec la sortie emblématique de « Last Resort ». Depuis lors, le groupe a sorti 10 albums studio, dont le plus récent, « Ego Trip », publié sur leur propre label New Noize Records via ADA/Warner Music. « Ego Trip » a accumulé plus de 360 millions de streams dans le monde et a produit quatre singles numéro 1, y compris leur single actuel « Leave A Light On (Talk Away the Dark) », qui est le plus grand succès du groupe depuis une décennie. Ce hit international porte le total du groupe à 26 hits dans le Top-10 de leur carrière et 12 numéros 1. 24 ans après le début de leur carrière, le groupe continue de marquer la scène mondiale.
Le groupe légendaire Ten Years After sera en concert à « La Traverse » de Cléon (76) samedi 12 octobre 2024 à 2030. Gogo Juice assurera la 1ère partie.
Ten Years After est une des formations majeures du British Blues Boom des 60’s. En 1969, leur performance mémorable, immortalisée dans le film du festival de Woodstock, les a rendus mondialement célèbres. Voir un concert de Ten Years After en 2024 est une expérience à vivre 100 à l’heure, un must visuellement avec un show truffé des succès qui ont forgé la légende : « Love Like A Man », « I’m goin’ Home », « Good Morning Little Schoolgirl », « The Hobbit », « One Of These Days », « Choo Choo Mama » sans oublier les favoris des connaisseurs tels que « Gonna Run », « Nowhere To Run », « I Say Yeah », « Hear Me Calling » ou encore « I’d Love To Change The World ». Le tout est agrémenté de surprises et de titres du dernier album studio « A sting In The Tale ».
Gogo Juice détourne la musique Pop en synthétisant ses éléments les plus excitants, depuis la frénésie hypnotique de la Techno. Résultat, un Dance Rock moderne aux mélodies minimalistes et agressives, affranchis de la structure d’un post punk traditionnel. Parrainés cette année par le 106, leur 1er EP « Defenses » a propulsé le groupe sur les routes entre la Normandie, Rennes et Paris où leurs concerts ont marqué le public et les journalistes spécialisés.
Avant Mötley Crüe, avant Ratt, avant même Metallica, Y&T s’acharnait dans les clubs de rock en sueur à travers l’Amérique. Lorsque le groupe s’est formé au début des années 1970, ils étaient loin de se douter qu’ils établiraient la norme pour les groupes de hard rock qui suivraient. La plupart des plus grands groupes des années 80 sont devenus populaires en réalisant les premières parties de Y&T et ont fait leurs armes avec le groupe (Metallica, Mötley Crüe…).
Fondé à Oakland, en Californie, Y&T est un pionnier du hard rock de la région de la baie de San Francisco. Qu’il s’agisse d’un festival de cinquante mille personnes ou d’une boîte de nuit, les sets énergiques et les performances passionnées de Y&T captivent toujours des légions de fans à travers le monde, prouvant que leur musique est intemporelle.
Formé à l’origine sous le nom de Yesterday and Today, le quatuor initial – avec Dave Meniketti (guitare et chant), Phil Kennemore (basse), Leonard Haze (batterie) et Joey Alves (guitare rythmique) – a traversé les années 70 et 80 laissant leur marque dans le monde du hard rock. Après deux albums dans les années 70 sur London Records, ils ont raccourci leur nom en Y&T et ont sorti huit albums sur A&M dans les années 80. Deux autres albums avec Geffen Records ont marqué une ère de changement avec Jimmy DeGrasso (Alice Cooper, Suicidal Tendencies, Megadeth) à la batterie et Stef Burns (Alice Cooper, Berlin, Huey Lewis) à la guitare.
Avec une discographie de 18 albums, Y&T a vendu plus de quatre millions d’albums depuis sa création en 1974. Le plus récent single du groupe, « I’m Coming Home », comptabilise 1,5 million de vues sur YouTube. Y&T a reçu une large diffusion avec des succès tels que « Forever », « Rescue Me », « Mean Streak », « Don’t Stop Runnin’ » et « Summertime Girls ». Les chansons de Y&T ont été présentées dans une multitude de films et d’émissions de télévision, notamment Real Genius, Out of Bounds, Baywatch et Hunter.
Avec le décès de Kennemore, Haze et Alves, c’est Meniketti (chant / guitare) qui perpétue l’héritage qu’est Y&T et continue de tourner dans le monde entier, John Nymann (guitare / chant), Aaron Leigh (basse / chant) et Mike Vanderhule (batterie / chant), jouant des chansons qui couvrent les cinq décennies de carrière du groupe et incluent tous les succès favoris des fans.
Heilung sera de passage en France en avril 2025 avec une date au Zénith de Lille le 23 et à la Halle Tony Garnier de Lyon le 25.
Depuis sa création en 2015, le collectif énigmatique de rituels Heilung pave des chemins mélodiques vers le passé avec un son unique et mystifiant. Évitant toutes les étiquettes et contraintes de genre conventionnelles, le groupe se décrit avec justesse comme une « histoire amplifiée », soulignant sa capacité à relier la société moderne aux rudiments des débuts de l’humanité à travers la musique. Heilung voyage une fois de plus dans le temps avec son nouveau chapitre, «Drif»; cependant, contrairement aux offrandes précédentes centrées autour de l’Europe du Nord préhistorique, le troisième album explorera d’autres grandes civilisations rudimentaires en dehors de l’Europe.
Le succès de Heilung a été sans précédent, atteignant des sommets en quelques années d’existence. Le collectif avait déjà suscité un rapide engouement lors de la sortie de leur premier album complet, « Ofnir », en 2015, mais leur trajectoire fulgurante a vraiment décollé à partir du moment où ils ont ébloui la scène du Castlefest en 2017 avec le légendaire début de leur rituel en direct.
« Toutes les chansons de Drif ont leurs propres histoires », ajoute Kai Uwe Faust, chanteur de Heilung et l’un des trois compositeurs du groupe. « Chacune a sa place et son sentiment d’appartenance, avec une inspiration non seulement de l’Europe du Nord, mais aussi des grandes civilisations anciennes », explique le groupe. « Des concepts importants, encore largement utilisés aujourd’hui, tels que le nombre zéro et tous les univers mathématiques qui en découlent, l’utilisation du fer et le concept général de l’enracinement, trouvent tous leur origine dans des civilisations avancées traditionnelles en dehors du Nord et changent fondamentalement le monde de nos ancêtres. »
Ne vous y trompez pas, Heilung ne représente toujours aucune idéologie politique ou religieuse moderne, mais rappelle humblement d’où nous venons. « Rappelez-vous, nous sommes tous frères. Toutes les personnes, les bêtes, les arbres et les pierres et le vent, nous descendons tous du grand être qui était toujours là, avant que les gens ne vivent et ne le nomment, avant que la première graine ne germe. »
Le 1er album d’Armellino, intitulé « Heritage Blend », sortira le 14 septembre 2024 via (May I Records – Pias)
« Heritage Blend » est le premier album du groupe Armellino, un projet réunissant Yann Armellino et Vincent Martinez, deux forcenés de la guitare, complété par Alban Armellino à la batterie et Jacques Mehard Baudot à la basse. Amoureux d’une certaine idée du rock, chacun a tracé la route de son côté. Masterclass et reconnaissance du milieu professionnel guitare pour Yann, tournées Anglaise et Allemande pour Vincent en tant que frontman de Carousel Vertigo. Les deux guitaristes, après s’être croisés de nombreuses fois, décident de travailler ensemble, sans pression. Les musiciens s’enferment en studio pour composer quelques morceaux.
Armellino redonne vie au heavy blues des années 70 et 80 depuis rebaptisé classic rock, en d’autres mots, une époque bénie où les groupes avaient l’ambition d’écrire de vraies chansons sans renier leurs styles de prédilection. Impeccables dans les joutes guitaristiques, Yann et Vincent se trouvent les yeux fermés sur leur terrain de jeu situé entre Bad Company et Whitesnake (période anglaise) sur lequel plane l’ombre de Humble Pie. Avec aisance, Vincent réussit un véritable tour de force vocal dans le respect de la tradition et se révèle être un chanteur d’une grande sensibilité. Les interventions de Fabien Saussaye au piano et à l’orgue Hammond ainsi que celles de Little Magic Sam à l’harmonica viennent agrémenter une texture musicale riche qui met en valeur leurs racines blues et soul.
De l’introduction fracassante de «Almost Scored Me», à la pulsion boogie qui anime «I Am Only Me», aux envoûtants «Slice Of My Pie» et «Bad Enough» gorgés de soul sans oublier les refrains salvateurs de «Come Sing» ou «These Bones», au riff assassin de «Got Yourself A Loser», tous les titres de cet album transpirent la générosité et une vraie spontanéité. En 11 titres dont deux reprises, le légendaire «Fire» de Etta James sur lequel Jessie Lee Houllier (Jessie Lee & The Alchemists) fait monter la température, et une version acoustique du fameux «Dancing In The Moonlight» de Thin Lizzy. Armellino remet au goût du jour une musique qui fait la part belle aux passes d’armes guitaristiques avec une qualité d’écriture évidente.
Yann Armellino : « Avec Vincent, que j’ai suivi dans ses différents projets, tout a été d’une grande évidence. Niveau guitares et compos, c’est un peu comme si nous avions toujours travaillé ensemble avec comme fil conducteur : l’envie et le plaisir de partager un genre musical qui perdure malgré les modes ».
Vincent Martinez : « J’ai toujours beaucoup apprécié la musique et le jeu de guitare de Yann qui m’a toujours soutenu dans mes différents projets. On aurait pu faire cet album avant, je suis content qu’on puisse le faire maintenant ».
Au-delà de la complicité entre Yann et Vincent, Armellino trouve le parfait équilibre entre sonorités vintage et modernes dans un écrin classieux tissé de main de maître par le producteur Didier Théry (Shaka Ponk, Gaëlle Buswell). Avec « Heritage Blend » dont la pochette est un clin d’œil au 1er album du Fleetwood Mac de Peter Green , le groupe remet le classic rock en pôle position et tient la dragée haute aux meilleures formations anglo-saxonnes actuelles.
Line up :
Vincent Martinez (Carousel Vertigo) : chant/guitare
L’album live de Kaz Hawkins, intitulé « Live In Brezoi » sortira le 20 septembre 2024 viia Dixiefrog – Rock & Hall.
S’il est un lieu où le talent de Kaz Hawkins s’exprime parfaitement c’est bien la scène. Cet album enregistré au Summer Camp Festival de Brezoi en Roumanie en est la preuve irréfutable. Devenu l’un des festivals de blues qui compte le plus en Europe, Brezoi a depuis longtemps couronné Kaz Hawkins comme l’une de ses reines, la nord-irlandaise étant chaque année l’une des têtes d’affiche de l’événement. Cet enregistrement en public de 12 titres est une nouvelle pierre à l’édifice musical de Kaz Hawkins qui prend de jour en jour de la hauteur pour tutoyer dorénavant les sommets du genre. Un pur régal.
Découvrez le 1er extrait de l’album « Live In Brezoi » avec la vidéo live « Because You Love Me » :
La 7ème édition du Festival Zick au Parvis, organisé par l’association Musikoblokos, se déroulera à Bayeux (14) les samedi 13, 20 et 27 juillet, ainsi que le 3 août 2024 pour la soirée de clôture. Découvrez les 12 groupes programmés qui font honneur au Rock régional dans toute sa diversité ! Et c’est gratuit !
Samedi 13 juillet 2024
The Misty Heads (Rock indépendant)
Sultan Mashine (Rock)
Dust Unit (Quartet Folk Western)
Samedi 20 juillet 2024
Nãka (Reggae Soul)
The Rollin’ Zeppelin (Rock n’Roll Anglais 60’s psychedelic)
Entretien avec Jack Bon, chanteur, guitariste et membre fondateur de Ganafoul, réalisé par Marie-France Boucly lors du Raismesfest 2023
Formé en 1974, Ganafoul, connut plusieurs vies et plusieurs formations avant d’enregistrer des albums et de connaître un vrai succès populaire en parcourant sans relâche les routes de l’hexagone. Leur blues rock, très inspiré de Johnny Winter, Lynyrd Skynyrd et des Stones, enflammait les scènes. Pourtant, malgré un vrai retour du public, Ganafoul fut assez ignoré des médias parisiens.
Jack Bon était le leader, le guitariste et le chanteur du groupe. Il a accepté de se livrer au sujet de sa carrière avec Ganafoul jusqu’au retour avec ce nouveau line up. Aujourd’hui Ganafoul s’est reformé, et se retrouve sur la scène du Raismesfest !
Bonjour Jack et merci d’accorder un peu de ton temps pour répondre aux questions d’Underground Investigation.
– Après l’arrêt de Ganafoul en 1982, et plusieurs reformations ponctuelles, vous revoilà sur la scène du Raismesfest en 2023. Qu’est-ce qui a motivé ce retour ?
En 2020, Christophe Simplex a décidé de monter le label Simplex Records afin de sortir des enregistrements inédits de groupes lyonnais. Il se trouve que notre sonorisateur de l’époque avait des bandes datant de 1975, bien avant que l’on enregistre « Saturday Night ». Et miraculeusement, les bandes étaient encore exploitables plus de 40 ans après ! Nous avons trouvé sympa de pouvoir ainsi replonger dans cette période, avant même les débuts du groupe. Puis on nous a proposé de jouer, d’autant que nous étions toujours restés amis avec Yves Rotacher. L’occasion était trop belle et on a foncé !
– Quel est le line up actuel, et reste t’il des membres fondateurs ?
Il y a Yves Rotacher, moi et Doudou (Edouard Gonzales), qui était déjà là avant même que l’on soit en trio, dans une formation à 5
– Vous avez sorti 5 albums entre 1977 et 1981. Quel est celui qui t’a le plus marqué et pourquoi ?
Rires ! Je pourrais te parler de celui que je n’aime pas du tout !! Mais celui qui nous a le plus marqué est l’album « Full Speed Ahead ». Le premier, c’est un machin qui a été fait en 9 jours, mixage compris, sans aucune expérience. ça s’est bien passé car le groupe avait le feeling ! Pour le second, nous étions davantage rodés en ayant déjà pas mal tourné, et puis beaucoup de gens l’aiment ! On va dire celui là, mais en fait, chaque album représente une époque, une tranche de vie.
– Comment définirais-tu le style de Ganafoul ?
Au début, on disait que Ganafoul était un groupe de Hard Rock, mais nous étions plutôt dans la tendance de ce que faisait Johnny Winter par exemple. C’est du Blues, mais hyper speedé ! Les groupes anglais font partie de nos influences, mais pour nous, le groupe français de référence reste les Variations. Nous voulions être les Variations !
– Y a t’il des rééditions de prévues, avec la sortie de titres inédits et dans quels formats ?
En 2022, Le label Bad Reputation a réédité en cd une édition remasterisée du deuxième album « Full Speed Ahead », avec plusieurs inédits live. Il est également prévu la réédition du premier album « Saturday Night », et de « Route 77 » ainsi que deux autres live. Il y a également l’album « Roll On », sur lequel nous avons réinterprétés nos titres, avec l’ajout d’un second guitariste, ce qui enrichi les compositions.
– Quelles sont tes principales influences musicales ?
A la base, j’ai surtout été intéressé par le Blues, je j’ai découvert grâce aux disques des Rolling Stones, Muddy Waters, Chuck Berry. Après c’est aussi la musique de la fin des années 60, début des 70’s, avec l’interprétation du Blues dont sont issues les bases du Hard Rock, avec d’excellents guitaristes comme Rory Gallagher.
– Ganafoul est avant tout un groupe de scène. As-tu 1 ou 2 concerts qui resteront à jamais gravés dans ta mémoire ?
Il y a ce concert mémorable en 1978, au Théâtre de Fourvières à Lyon qui s’intitulait « New Wave French Connection ». Il y avait Téléphone, Bijou, Little Bob, Ganafoul, les anglais Dave Edmunds et Nick Lowe… J’ai kiffé ces groupes là ! Ces mecs étaient le dictionnaire du Rock n’Roll ! ça a été un grand moment, car on avait bien cartonné.
J’ai aussi un bon souvenir d’un concert au théâtre antique d’Orange, où l’on jouait sur la même affiche que Dr Feelgood et Elvis Costello. Il y a dans ce lieu historique un gradin très abrupt, et quand tu arrives sur scène, tu es face à un mur de 4 000 personnes ! Il s’y dégage une énergie incroyable et des vibrations dingues ! Je pense que l’on avait bien joué aussi ce jour là !
– Roberto Piazza va être très important pour la carrière de Ganafoul, peux-tu nous parler de cette rencontre et de ce qu’il a apporté au groupe ?
En France il y avait ces gars du Havre de Little Bob Story, qui nous branchaient bien, surtout qu’à cet époque là, dans les années 1974/75, le Jazz Rock et la musique progressive prenait de l’ampleur, avec Pink Floyd en fer de lance, mais ça n’était pas ma tasse de thé. Lors d’une virée en Angleterre avec JeanYves Astier, le bassiste, nous sommes allés voir Little Bob Story dans un pub londonien. On s’est présentés : « Nous sommes français, on aime bien le Rock n’Roll, on joue dans un petit groupe… »
Quelques mois plus tard, nous faisions leur première partie à Lyon, salle de « La Cigale ». Le feeling est bien passé et Bob nous a branché avec le label Crypto. S’en est suivi l’enregistrement de «Saturday night» en 1977, puis une tournée d’un mois en première partie de Little Bob Story. Nous avons appris beaucoup de choses grâce à lui, en le regardant. Bob c’est notre parrain ! Je me souviens d’une discussion avec lui lors de cette tournée… Sans être prétentieux, je savais que notre groupe n’était pas mauvais, mais nous n’arrivions pas à déclencher le public. Et Bob nous dit : « Mais vous êtes tous dans votre coin, vous ne bougez pas… » Après on a compris en voyant Bob sur scène ! Eh bien le lendemain, je crois que c’était à Épinal, on a bougé, et on a eu notre premier rappel ! Voilà l’exemple d’un bon conseil !
– Si tu devais vivre sur une ile déserte, quels seraient les 3 albums que tu prendrais ?
Je prendrai un vieux disque de Blues des années 30, parce c’est là dessus que je joue souvent à la guitare acoustique. C’est une période où les mecs jouaient vraiment de manière conventionnelle. Après je dirais Mississippi John Hurt. C’est un gars qui pratiquais un style de Blues bien foutu, très cool, en arpèges. C’est la base des balades américaines. Dylan s’est servi de ce genre de truc à fond la caisse. Pour le 3ème, une compilation d’Hendrix, mais il y a plein d’autres choses !
– Je te laisse le mot de la fin pour les lecteurs d’Underground Investigation
Ben écoutez, si Ganafoul joue dans votre coin, passez nous voir !
Les Tambours du Bronx est un groupe français de percussions industrielles qui s’est formé en 1987 à Varennes-Vauzelles. Ils ont commencé en convertissant des bidons d’huile et des manches de pioche en instruments de musique. Leur tempo est inspiré des rythmes des usines et des ateliers, et leur musique est née de leur matière première, le métal. Au fil des années, Les Tambours du Bronx se sont produits dans le monde entier et ont partagé la scène avec des artistes célèbres tels que Jimmy Page et Robert Plant (Led Zeppelin), KoRn, Johnny Hallyday, Metallica, Sepultura et l’Orchestre des lauréats du Conservatoire national supérieur de musique de Paris.
Les Tambours du Bronx, c’est un spectacle à voir absolument. Leur musique s’incarne et nous transcende jusqu’à ce que l’on exulte avec eux. Le groupe donne un sens à l’expression « art vivant » : l’énergie, le flux, la vie même émergent du son de ce groupe à 16 têtes qui, loin de laisser indifférent, fascine et bouleverse. Leur musique mélange des sons synthétiques et des échantillons et mêle le rock, l’indus, la techno et l’afrobeat. La musique est une production collective de gestes et de fièvre, une chorégraphie où la force s’intensifie, le tempo s’électrise, les voix se transforment en cris, le tout dans une cohésion violemment esthétique.
Outre leurs collaborations fructueuses avec Jaz Coleman et Les Frères Morvan, les Tambours du Bronx se sont également fait un nom dans le monde du heavy metal. Leurs prestations électrisantes à Rock in Rio aux côtés de Sepultura ont été particulièrement remarquées. Leur mélange unique d’instruments de percussion traditionnels et de heavy metal moderne est présenté dans leur premier album de metal industriel, « Weapons of Mass Percussion », qui a été acclamé par la critique et a fait l’objet de nombreuses tournées.
Leur deuxième album de metal, « Evilution », est sorti en 2023. L’album marque une rupture significative avec leurs travaux précédents, en incorporant des batteries et des guitares pour créer un son puissant et dynamique. Avec cet album, Les Tambours du Bronx continuent de repousser les limites de l’expérimentation musicale et de la créativité.
La 34ème édition du festival de Vouziers se déroulera le 26 octobre 2024. Avec 7 groupes programmés, cet événement incontournable accueille le groupe anglais de Trash Metal Onslaught en tête d’affiche !
Découvrez l’affiche complète avec au programme :
Mystic Prophecy
Iron Savior
Stocks
Blackrain
Charcoal
Hevius
Pour réserver, vous pouvez envoyer un mail à cette adresse : festivaldevouziers@orange.fr