Un concert de Deep Purple est toujours un événement en soi. C’est dans une ambiance feutrée – de pourpre – que l’on découvre la scène ce soir-là (Dôme, Marseille, 2 novembre dernier). Une salle archicomble pour assister à un groupe qui nous fait vibrer depuis plus de quarante ans. C’est le groupe anglais originaire de Milton Keynes Raven Eye qui ouvre le bal sur son Rock ‘N’Roll et en disant à la fin de sa set : « Are you ready for the Iconic Deep Purple ? » Il n’y a pas mieux comme adjectif qu’Iconique pour désigner les légendaires Britanniques.

DEEP PURPLE

C’est toujours un plaisir de retrouver Ian Gillan au micro, Roger Glover à la basse et le métronome Ian Paice à la batterie -les trois rescapés de Mark II, la 2 célèbre formation du groupe de 1969 à 1973- et l’excellent Don Airey aux claviers et l’aviateur Steve Morse à la gratte. Les musiciens jouent  pour un public complètement  acquis à leur cause un set bel et bien maîtrisé et transcendant la grande et tumultueuse carrière de Deep Purple.

IAN Gillan

Un concert mythique comme ils l’ont toujours fait pour un groupe dont les membres dépassent la soixantaine – Steve Morse, le plus jeune, 61 ans et Ian Gillan, le plus vieux 70 ans -. Un immense bonheur de les voir et surtout de faire une prestation plus que correcte comme le groupe sait en proposer depuis des années avec ou sans Ritchie Blackmore. C’est vrai que le son Deep Purple n’est plus le même sans le Fender de Ritchie et surtout depuis la disparition du regretté John Lord; mais la qualité sonore du groupe demeure intacte. Une bonne dose de Rock unique dont voici la setlist :

  1. Mars, the Bringer of War
    (Gustav Holst song)
  2. Après Vous
  3. Demon’s Eye
  4. Hard Lovin’ Man
  5. Strange Kind of Woman
  6. Vincent Price
  7. Contact Lost
  8. Uncommon Man
  9. The Well-Dressed Guitar
  10. The Mule
  11. Got My Hip Boots On
  12. Mary Long
  13. Wring That Neck
  14. Hell to Pay
  15. Keyboard Solo
  16. Perfect Strangers
  17. Space Truckin’
  18. Smoke on the Water

    Encore:

  19. Hush
  20. Bass Solo
  21. Black Night

Mon top 10 des albums de Metal de l’année 2015

Publié : 24 novembre 2015 par Quentin V. dans Chroniques, Musique, Top
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Comme chaque année, le metal s’est montré généreux… Ce qui rend chaque top différent et intéressant, j’espère donc que le mien vous fera découvrir et apprécier quelques albums que j’ai trouvé particulièrement réussis.

10/ Gloryhammer – Space 1992: Rise Of The Chaos Wizards

10

Celui-ci qui entame le top est une de mes bonnes surprises de l’année (puisque Gloryhammer est un groupe que je connaissais pas étant formé dans les alentours des années 2010) et un très bon album de power metal. La quasi-totalité des titres sont accrocheurs et l’univers « épique spatial » instauré dans ses dernières notamment au niveau des paroles, apporte une touche d’originalité.

9/ Bullet For My Valentine – Venom

09

Bien qu’il ne s’éloigne pas tant qu’on ne pourrait le croire de son prédécesseur
« Temper Temper », cet album satisfera probablement les fans qui n’ont pas apprécié ce dernier. « Venom » s’arme d’un son intense et de sujets sombres pour la plupart. Mais ses points forts selon moi, seront ses nouveautés à savoir le jouissif « Broken » et l’hymne de bataille « You Want A Battle ? (Here’s A War).

8/ Bring Me The Horizon – That’s A Spirit

08

Habituellement, je ne suis pas du tout fan de metalcore… Mais « Bring Me The Horizon » depuis « Sempiternal », parvient à m’y rendre sensible en se l’appropriant et en le mélangeant avec des genres surprenants sans en perdre l’essence ou la puissance. C’est bel et bien le cas dans « That’s A Spirit » qui confirme un nouvel intérêt pour le screaming.

7/ Santa Cruz – Santa Cruz

07

« Santa Cruz » qui exerce pourtant dans le bon vieux « hard rock » ou « glam metal » des familles, parvient à s’imposer une vrai identité avec cet éponyme. C’est subtil mais la pâte est bel et bien là, l’album est plus mélodieux que son aîné mais à aucun moment n’oublie de conserver son énergie communicative. Une vraie réussite selon moi.

6/ Falling In Reverse – Just Like You

06

Voici un album que je n’aurai jamais cru placer ici, car je n’appréciais pas vraiment « Falling In Reverse » jusqu’à ce jour… « Just Like You » fait dans un metalcore diablement efficace car chacun de ses titres s’inspire d’un groupe de rock des années 2000, le titre éponyme par exemple s’inspire de la bonne vielle Pop Punk que j’affectionne ce qui est je trouve, une excellente idée. Le tout résulte d’un disque efficace, varié mais homogène. Qui sans perdre de vue ses origines musicales, alterne entre différentes émotions de la colère à la tristesse… à la joie.

5/ Three Days Grace – Human

05

Si je devais être totalement objectif, « Human » serait sans doute l’album auquel je pourrais lister le plus de défauts… Et pourtant il est bien placé là, tout serait donc du à mon ressenti et à la subjectivité alors ? Et bien, pas que cela… Les gaillards de « Three Days Grace » ici, rattrapent tous les défauts que je pourrais expliciter avec de grandes qualités ; tout d’abord, il possède les morceaux parmi les plus accrocheurs de ce top. Ensuite, il propose une nouveauté intéressante avec une ambiance sombre explorant des thèmes fascinants tel que l’addiction, ou le lien entre la machine et l’homme. Le groupe prouve selon moi avec « Human » que changer de chanteur, ou que changer une équipe gagnante, n’en fait pas toujours une équipe perdante.

4/ Helloween – My God Given Right

04

La première fois que j’ai écouté cet album, j’ai été déçu… J’ai alors retenter la chose quelques semaines plus tard. Au final, « My God Given Right » se bonifie avec le temps et ce avec une force incroyable, d’où sa place dans le top. Celui-ci prouve que la déception n’est pas synonyme de médiocrité, même si ce petit trésor n’est pas dénué de défauts… Il reprend du poil de la bête grâce à sa créativité d’une générosité sans pareil.

3/ Orden Ogan – Ravenhead

03

Que dire sur ce bijou ? Mis à part que « Orden Ogan » y ont affiné leur style si efficace en plus de s’aventurer dans des ambiances plus sombres comme avec le single « F.E.V.E.R ». Rien n’est à jeter, même les morceaux les plus lents ont leur place ici. Je pense sincèrement que ces braves guerriers d’Allemagne ont désormais rejoint le cercle des meilleurs groupes de metal des années 2000 avec « Kissin’ Dynamite ».

2/ Battle Beast – Unholy Savior

02

Encore une fois, ici, rien à jeter… Tous les titres se valent et il n’y en a pas un au dessus des autres. Ce qui en fait déjà selon moi, un grand album. Sur « Unholy Savior », le groupe a brillamment mélangé le style de leurs deux précédentes productions pour notre plus grand plaisir. La puissance vocale de la chanteuse « Noora » et les riffs enragés de la bête sauvage font leur grand retour en plus de nouveautés tout droit sorties du metal des années 80 qui se voient être les bienvenues, dans un monde musical parfois trop timide et standardisé.

Mentions honorables :
Voici quelques albums qui sont objectivement très bons, mais que je n’ai pas mis dans le top faute de raisons personnelles :
– Disturbed – Immortalized
– Iron Maiden – The Book Of Souls
– Trivium – Silence In The Snow

1/ Ghost – Meliora

01

« Ghost » avec Meliora, m’offre beaucoup de choses que j’attends du metal et même de la musique en général : Une œuvre inspirée peut être référencée, mais unique, quelque chose d’efficace mais de travaillé en profondeur… Un peu de fantaisie. On peut ne pas forcément adhérer à l’univers de cet album, personnellement, j’ai plongé dedans et il m’est difficile d’en ressortir. Mais si il y a bien une chose avec lequel je ne serais pas d’accord, c’est qu’on me dise que « Meliora » est un mauvais album. Car il transpire la passion et la fraîcheur, étant sans conteste mon album préféré de cette année 2015.

imagine dragons live 2

Je suis allé voir « Imagine Dragons » à Lyon le 26 octobre précédé d’un groupe d’entrée qui se faisait appeler « Sunset Sons », et je je me suis dit que c’est une bonne occasion de parler un peu de performances scéniques plutôt que de studio. D’autant plus que les deux groupes cités jouissent d’une notoriété toute particulière :

« Sunset Sons » qui ouvrait le bal, était un groupe de pop rock portant effectivement bien son nom ; la quasi totalité des morceaux qu’ils nous ont présenté ce soir là étaient des hymnes de surfeur Hawaïennes à l’efficacité redoutable ; aussi bien grâce à la puissance vocale du chanteur qu’à la dextérité du guitariste soliste qui apportait sa touche rock and roll avec beaucoup de passion. Les paroles et les thématiques quand à elles, étaient typiques de la plus pur tradition pop rock soit assez simples et déjà vu mais ayant le mérite d’imager parfaitement chacunes de leurs compositions. Il fut également diablement intéressant de comparer leur performance en live au rendu du studio qui n’a absolument rien à voir… La scène à permis à ces musiciens de faire exploser toute l’intensité de leur son et donc de leurs mélodies bien ficelées là ou les versions studio forcent fatalement au condensement. Quoiqu’il en soit, « Sunset Sons » est un groupe à suivre car fut une excellente surprise pour les adeptes tel que moi du rock entraînant et sans prise de tête.

Vînt ensuite les déjà très célèbres gaillards d’Imagine Dragons qui nous ont délecté d’une courte mais savoureuse prestation. Si le groupe peut diviser et faire parler certaines critiques de « vide musical » (à tord selon moi), il met tout le monde d’accord en live et offre même son grand moment de rock pur avec le titre « I’m So Sorry » débordant d’énergie avec son riff sorti tout droit des années 70. Voir un groupe en concert et particulièrement un avec autant de notoriété, permet aussi de mieux comprendre le sens de leur musique ; avec Imagine Dragons, on ressent clairement la sensibilité du chanteur mais aussi des autres musiciens qui parviennent à communiquer un fort message de tolérance. Il me semble donc important parfois de ressortir du monde du studio et d’aller redécouvrir l’essence même du groupe que l’on chérit depuis des années. Avant de terminer ce petit report, je voudrais saluer une toute autre performance… Celle des techniciens que l’on acclame que rarement pendant un concert, mais qui font la plupart du temps et surtout avec les groupes de pop rock, un travail fantastique ; trouvant un équilibre dans le son de chaque instrument pour que le chant soit parfaitement audible mais sans perdre la puissance des guitares ou le vrombissement onctueux de la basse.

Dans le monde de la musique et dans le monde du rock, les CD ne se vendent plus autant qu’avant. C’est un fait indéniable, alors si il y a bien un moyen de soutenir un groupe qui vous fascine ou vous captive, c’est bien d’aller le voir en concert… Peu importe la taille de la salle et la qualité du son, vous passerez sans doute un vrai moment de partage qui précédera les précieux moments de bonheur ou vous ferait tourner leur nouvel album dans le lecteur de votre voiture.

C’est fait! Le Hellfest a dévoilé vendredi dernier la majeure partie de la programmation de sa onzième édition.  Les légendaires Black Sabbath, les sympathiques Slayer et la machine allemande bien huilée Rammstein sont de la partie.

HellFest 2016 666

Le plus grand festival Metal de France tient toujours sa promesse et propose une programmation variée. Il y a de tout. On aura l’occasion de voir Joe Satriani, Megadeth, Ghost, Testament, Gojira et bien d’autres.

Impressionnant!!! C’est ce qu’on peut dire sur Children Of Bodom. Si quelques albums partagent les fans restés bloqués sur les deux premiers Something Wild 97 et Hatebreeder 99 ( comme moi ;) ) , le combo n’a jamais déçu sur scène. Et ce soir là à Marseille, presque à la veille de Halloween, l’énergie et la bonne humeur du frontman et guitariste charismatique ont bien fait chauffer la salle. Entouré de ces compères, Jaska Raatikainen à la batterie, Henkka Blacksmith à la bass, Janne Warman au Keybords et  Antti Wirman le guitariste pour les live,  Alexi Laiho  se donne à fond propsant une setlist traversant toutes leur discographie. Tous les hit étant au rendez-vous, ponctués avec des solos et mélodies guitare et clavier. et surtout, une présentation avec beaucoup d’humour et beaucoup de gros mots. Je vous la refile comme une patate chaude : « Lets get back to Old School, when you were young and beautiful.. ». Faisant référence  au début de la carrière du groupe. Perso, je retiens que les trois premiers albums de COBHC, ça veut dire jusqu’à Follow the Reaper 2000.

 

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Voilà la setlist :

I Hurt/Are You Dead Yet/ Bodom After Midnight/ Morrigan/ Halo of Blood/ Everytime I Die/ Bodom Beach Terror/ Hate Me!/ Lake Bodom/ I Worship Chaos/ Angels Don’t Kill/ Sixpounder/ Blooddrunk/ Hate Crew Deathroll/ Downfall/ In Your face

Children Of Bodom est l’un des groupes que l’on aime bien voir et revoir sur scène. Ambiance garantie !!!

 

La première édition édition du Download Festival France aura lieu les vendredi 10, samedi 11 et dimanche 12 juin 2016 à l’Hippodrome de Longchamp (Paris, Île-de-France, France) !

Les groupes annoncés sont :
Vendrdi 10 juin :
Main Stage
– Iron Maiden
– Deftones
– Gojira
– We Came As Romans

Stage 2
– Ghost
– Anthrax
– Avatar
– Beartooth

Stage 3
– Tremonti
– Blackrain
– The Raven Age
– The Wild Lies

Samedi 11 juin :
Main Stage
– Korn
– Biffy Clyro
– Baby Metal
– Saxon
– Apocalyptica

Stage 2
– Jane’s Addiction
– Amon Amarth
– One Ok Rock
– Mass Hysteria

Stage 3
– Twin Atlantic
– The Struts
– The Inspector Cluzo
– Arcane Roots
– Shinedown

Dimanche 12 juin :
Main Stage
– Rammstein
– Volbeat
– Sabaton
– Trivium
– Skillet

Stage 2
– Megadeth
– Rival Sons
– Children of Bodom
– Lofofora

Stage 3
– Skindred
– Last Train
– New Year’s Day
– Stange Bones
– The Shrine

Tarif :
Pass 3 Jours 148.50 €
Vendredi 10 juin 66 €
Samedi 11 juin 49 €
Dimanche 12 juin 66 €

Note : L’article sera mis à jour régulièrement.

Pour plus d’informations :

Walk The Plank

Zebrahead est un groupe de punk rock formé en 1996 en Californie. Avec une carrière pourtant déjà bien entamée, ils sortent cette année en collaboration avec « Man With The Mission » un EP titré « Out Of Control » suivi du sujet de notre chronique, « Walk The Plank ». Alors, résultat d’une inspiration débordante où bâclage décevant ? C’est la question que je me suis posé avant de me lancer à l’eau…

L’album navigue entre deux directions, la première étant celle du combo habituel punk rock/couplets rappés sur de bons gros rifts Heavy, et la seconde celle de la nouveauté. Bien que cette dernière s’avère clairement être moins efficace, elle apporte quand même de la fraîcheur et donc de l’identité à son disque qui parvient à installer un univers malgré le léger manque d’homogénéité. On a alors droit à quelques compositions plus « Poppy » comme un « Keep It To Myself » joyeux où le fameux titre éponyme (qui livre au passage un superbe clin d’œil à « Sum 41 » avec les paroles « over my head, better of dead »). Des morceaux qui semblent puiser leur inspiration dans le dernier album de « All Time Low », ce qui est une bonne chose. Je vous avouerai cependant avoir été plus agréablement surpris par « So What » bon compromis entre l’innovation et le familier, ainsi que par « Battle Hymn » qui porte bien son nom.

Au final, même si je préférerai écouter un « Running With Wolves » saucé à l’ancienne qu’un « Keep It To Myself » plus édulcoré, je pense qu’on ne peut qu’applaudir le fait que « Zebrahead » s’est enfin lancé dans quelque chose de vraiment nouveau.

Ma note : 7,5/10

Mon Top 5 des chansons de l’album :
01 Running With Wolves
02 Save Your Breath
03 Worse Than This
04 So What
05 Battle Hymn

La liste des pistes :
01. Who Brings A Knife To A Gunfight ?
02. Worse Than This
03. Headrush
04. Keep It Myself
05. Running With Wolves
06. So What
07. Save Your Breath
08. Walk The Plank
09 . Under The Deep Blue See
10. Wasted Generation
11. Battle Hymn
12. King Of The Here And Now
13. Freak Show

Emarosa

 

 

Emarosa nous a offert, plus tôt cet été, un court EP de quatre titres issus de leur dernier album (et premier avec Bradley Walden) Versus de l’année dernière.

Comme son nom l’indique, les titres ont ici été ré-imaginés, tous réenregistrés dans de nouvelles versions plus calmes. L’émotion est au rendez vous sur l’ensemble des titres, prouvant de plus belle la qualité vocale irréprochable de leur nouveau chanteur. Ce n’est pas un EP contenant des versions acoustiques banales, mais des titres frôlant de véritables interludes. Parfait pour conclure cet été le temps d’une soirée autour d’un verre de rouge.

Vous trouviez Versus splendide ? Vous ne l’aimerez que plus avec ces nouvelles versions de Say Hello to the Bad Guy, Mad, Gold Dust et surtout I’ll Just Wait.

 

5/5

Bring_Me_The_Horizon_umbrella

Que dire de cet album.

That’s The Spirit résonné tout mon weekend tant il m’a tenu. Près de la moitié de l’album avait déjà été dévoilé avant sa sortie avec Drown, Throne, True Friends, Happy Song… et si vous n’aviez pas aimé autant vous prévenir de suite: vous risquer de ne pas apprécier ce nouvel album. Si Sempiternal avait déjà pris tout le monde de court, celui ci est un pas de plus vers de nouveaux horizons. Bring Me The Horizon a définitivement quitté le monde du xzgbg-core.

Au programme, terminé les screams, bienvenue le chant. La partie électronique domine cet album renforcé par un peu de guitare. Doomed est prenant, Follow You est de loin ma préférée et la piste la plus surprenante (quand on écoute l’album pour la première fois). Le trio Avalanche, What You Need et Run sont de véritables tubes jusqu’à une conclusion sur Oh, No dont j’ai presque honte d’en avoir envie de danser à son écoute. Si si. Ecoutez cet album, vous comprendrez.

Je n’arrive pas à avoir de véritable avis là dessus.

BMTH a mené ma jeunesse depuis Suicide Season (avant le deuxième album je ne peux pas écouter, je trouve ca insupportable) et m’a surpris à chaque album.

Les gars de Sheffled ont bien grandis, ont j’adhère à 100% à leur nouvelle direction.

Faites vous votre propre avis, cet album est pour moi absolument parfait à tel point que je ne peux pas rester objectif.

Le meilleur album de 2015 ?

Certainement.

BringMeTheHorizon_Flippen

 

Une sortie mondiale d’un double album qui signe un retour légendaire. Iron Maiden repousse les frontières. Un peu vintage et en osmose avec son époque. Tout est là. Des morceaux qui s’étirent, qualité musicale irréprochable, forme vocale parfaite et Dickinson sur le piano.  Maiden revient à la charge avec des titres accrocheurs. Le lancement a été reporté à la suite du cancer détecté chez Bruce Dickinson en début d’année. Depuis les nouvelles de sa santé sont bien meilleures. « Ce nouvel album a été enregistré aux studios Guillaume Tell à Paris »,  a dit Dickinson. « Nous y avions déjà enregistré Brave New World en 2000, ce studio a quelque chose de spécial pour nous. La même vibration que nous avions ressentie à l’époque est encore là aujourd’hui ». Je reviens sur Book of Souls prochainement. Il y a beaucoup de choses dire. Déjà les critiques fusent de partout. A suivre.

 

 

Tracklist :

Disc 1
1. If Eternity Should Fail (Dickinson) 8:28
2. Speed Of Light (Smith/ Dickinson) 5:01
3. The Great Unknown (Smith/ Harris) 6:37
4. The Red And The Black (Harris) 13:33
5. When The River Runs Deep (Smith/ Harris) 5:52
6. The Book Of Souls (Gers/ Harris) 10:27

Disc 2
7. Death Or Glory (Smith/ Dickinson) 5:13
8. Shadows Of The Valley (Gers/ Harris) 7:32
9. Tears Of A Clown (Smith/ Harris) 4:59
10. The Man Of Sorrows (Murray/ Harris) 6:28
11. Empire Of The Clouds (Dickinson) 18:01