Madcool 2024 époustouflant line-up

Publié : 15 juin 2024 par Abderrahim B. dans News

Madcool tape fort pour cette édition tant attendue. Encore une fois la programmation qui répond à tous les goûts sans parler des têtes d’affiche confirme qu’il s’agit d’un festival majeur en Europe. Pearl Jam, Dua Lippa, The Smashing Pumpkins, Sum 41, Julieta, Motxila 21 ou Tom Morello le guitariste fétiche de Rage Against The Machine et The Prophets of Rage pour ne citer qu’eux.

L’ex guitariste de Motörhead Phil Campbell, sera sur la scène du Festival Rétro C Trop au Château de Tilloloy (80) samedi 19 juin 2024.

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Originaire du Pays de Galles, Phil Campbell est un guitariste de renom, dont la notoriété est liée au mythique trio de heavy metal Motörhead. Il a officié dans ce groupe en tant que guitariste principal pendant plus de trois décennies aux côtés de Lemmy Kilmister et Mikkey Dee (batteur actuel de Scorpions), de 1984 jusqu’à la fin du groupe en 2015, suite au décès du légendaire bassiste.  Son style de jeu caractéristique, combinant puissance, précision alliée à une attitude rebelle, a contribué à forger leur identité sonore distinctive.

Phil Campbell a également travaillé sur des projets musicaux en solo et a collaboré avec d’autres artistes renommés. Son influence dans le monde du heavy metal est indéniable, et son jeu de guitare continue d’inspirer de nombreux musiciens à travers le globe.

Il joue désormais sous le nom de Phil Campbell and the Bastard Sons : avec leur énergie inépuisable, le groupe séduira le public de Rétro avec un set 100% Motörhead ce samedi 29 juin !

The Damned sont de retour avec un album live intitulé « AD 2022 Live In Manchester », qui sortira le 13 septembre 2024.

Vous retrouverez ce groupe légendaire sur la scène de l’Elysée Montmartre à Paris le 1er décembre 2024.

Formé à Londres en 1976, The Damned est devenu l’un des groupes les révolutionnaires et influents de la scène punk rock britannique des années 70. Leur premier single « New Rose » (1976) est considéré comme le premier single punk à être sorti au Royaume-Uni.

Tout au long de leur impressionnante carrière de plus de 45 ans (et ce n’est pas fini), The Damned a expérimenté différents styles musicaux, incorporant des éléments de rock gothique, de psychédélisme et de new wave dans leur son.

Et même après presque un demi-siècle (et de nombreux changement de line-up gardant Dave Vanian comme l’unique membre constant), onze albums studios et plusieurs albums dans les charts britanniques, The Damned n’a pas l’intention d’arrêter ses activités. Il continue d’enregistrer et de gagner une base de fans de plus en plus large, alimentée par des concerts légendaires.

En octobre 2020, plus de 40 ans après la séparation des membres fondateurs, The Damned a annoncé une série de concerts de retrouvailles avec la formation originelle composée de Dave Vanian (chant), Brian James (guitare), Captain Sensible (basse) et Rat Scabies (batterie). Cependant, en raison de la pandémie, ils ont été contraints de reporter les concerts jusqu’en 2022.

Le 3 novembre 2022, le groupe s’est produit à l’O2 Apollo de Manchester, au Royaume-Uni, dans une salle complète. Ce concert regroupait 21 chansons tirées des deux premiers albums, « Damned Damned Damned » et « Music for Pleasure », sortis en 1977, les seuls albums sur lesquels figuraient les quatre membres fondateurs.

Cette représentation légendaire sera disponible dès le 13 septembre pour la toute première fois à travers le monde. « AD 2022 – Live In Manchester » sera disponible en téléchargement et en streaming, dans tous les magasins traditionnels en double vinyle noir de 180g, emballé dans une pochette gatefold de première qualité, ainsi qu’en édition limitée Double-CD+DVD Deluxe, comprenant la vidéo du concert complet de Manchester sur le DVD et le concert de retrouvailles à Birmingham en tant que bonus audio exclusif sur le CD 2.

Dès aujourd’hui, sort le titre live extrait de la performance enivrante à l’O2 Apollo de Manchester. « New Rose » sera disponible en téléchargement, en streaming et en gratification instantanée pour toute précommande de l’album « AD 2022 – Live In Manchester ». La sortie du single s’accompagne du lancement du clip vidéo sur la chaîne YouTube earMUSIC.

Betty sortira son nouvel album intitulé « Isha », le 7 novembre 2024 – « Sarah Lanka », le 1er single extrait de cet album, est disponible depuis le 07 juin 2024 via Caramba records / Virgin distribution.

Des compositions autour de mon histoire, mes racines. Un album sur le thème du déracinement et de l’exil, le silence familial, la guérison par la transmission. Chanter cette douleur intergénérationnelle, se reconnecter à cette mémoire collective. L’histoire de ma famille, juive algérienne : une partie du Mzab, (les Mozabites, d’une région isolée du Sahara) et l’autre partie juive espagnole.

Betty c’est le prénom de ma grand-mère maternelle. Elle aimait chanter et elle chantait souvent. Jeune, elle voulait en faire son métier mais elle n’a pas eu même le droit de rêver cette vie. Alors elle chantait ces chansons espagnoles dont elle adorait les rythmes. Ces rythmes, qui lui rappelaient sa mère et ses origines, son enfance. Ces notes qui étaient le seul moyen de s’échapper et lui redonner le sourire. Chanter, vibrer, danser.

Betty, raconte le silence de l’exil. Celui de ma famille. Ce titre évoque l’ambigüité de l’éducation et raconte le pouvoir de libération. Cette passation, cet héritage, qui m’a manqué pour grandir que je cherche encore. Que j’ai trouvé au travers de la musique avec vertus de guérison. Parfois rapatrier des petites parties de l’histoire.

Betty sera en concert au « Café de la Danse » à Paris le 5 décembre 2024

Retrouvez FFF en concert exceptionnel au Forum de Vauréal le jeudi 10 octobre 2024 !

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C’est un fait, malgré les très longues vingt-trois années qui ont passé depuis la sortie de « Vierge », leur dernier album en date, les quatre membres de FFF n’ont jamais pensé un seul instant à se séparer. Entre eux, Marco Prince, Nicolas Baby, Yarol Poupaud et Krichou Monthieux ont toujours partagé quelque chose d’un pacte de coeur imperméable aux aléas des saisons et des vies, comme s’ils étaient secrètement convaincus que leur aventure pouvait se relancer à tout instant à partir d’un éclair. “Il fallait juste que les planètes s’alignent”, aiment-ils à dire en choeur aujourd’hui alors que, ces dernières années, chacun s’est occupé de tracer son propre sillon, qu’il s’agisse du chanteur Marco Prince au cinéma, du guitariste Yarol Poupaud aux côtés de Johnny Hallyday, et de Nicolas Baby et Krishoo Monthieux dans le domaine de la musique à l’image.

Il faut croire qu’il s’agissait donc tout simplement du bon moment lorsqu’au bout d’une idée lancée comme un rêve, le label Verycords a proposé aux quatre complices de produire un cinquième disque. Sans hésiter une seule seconde, prêts à relever un défi qui serait une sacrée surprise, les FFF se sont alors retrouvés pour jammer en diable avec tous ces instruments qui ne les avaient jamais quittés. Dans un vieux mas perdu au beau milieu de la campagne niortaise, ils ont laissé libre cours à leurs instincts créatifs, portés par l’enthousiasme d’une jeunesse soudainement ressuscitée. “C’était une atmosphère extraordinaire, raconte Marco Prince. Il y avait une fraîcheur très étrange. Il n’y avait que le plaisir de jouer et de chanter qui comptait, sans rien cérébraliser.”

De ce cocon secret sont nées une ribambelle de couleurs et de formules qui, en fin de compte, ont fait une trentaine de morceaux au bas mot. Dix d’entre eux composent aujourd’hui le cinquième album de FFF. Les quatre amis l’ont baptisé « I Scream » pour le jaillissement des tripes qu’il représente. Une œuvre sur un fil, à la frontière savoureuse de l’histoire et du risque. Avec le morceau en anglais “Allright”, on trouve ainsi ce qui a toujours fait du groupe un génial ovni, quand ce trio constitué par la basse, la guitare et la batterie fait soudainement naître une fusion de rock et de funk parée pour faire balloter les corps dans un tourbillon charnel. Dans un genre tout à fait différent, “Les Magazines”, qui est le premier single de l’album, donne à imaginer une sorte de western survitaminé, tanguant entre les mélopées de Ennio Morricone et les saillies à la Serge Gainsbourg, à la fois totalement inclassable dans le répertoire de FFF et celui des tendances.

Au-delà des rythmes, « I Scream » est aussi un album solidement arrimé à l’époque : de manière tout à fait naturelle, le quatuor a ainsi couché sur le papier des textes qui saisissent avec subtilité l’énergie des combats pour la cause des femmes et la protection de l’environnement, de la même manière qu’il martelait son dégoût du racisme dans le célèbre “Ac2n” de son tout premier album, en 1991. “On écoute, on lit, on regarde. On est obligé d’être concerné par les choses. S’il y avait un message à retenir au fil de ces nouvelles chansons, c’est que l’on veut redonner le goût de l’empathie”, dit Marco Prince. 


Dès le printemps prochain, la voix de FFF pourra s’atteler à cette mission devant le monde. La fougue, la chair et la sueur : le groupe renouera alors avec la scène, son tout premier amour, le long d’une tournée partout en France. “Les concerts, c’est notre espace de jeu, l’absence d’interdit absolu. On sait quand on part mais jamais quand on revient. On a toujours aimé ça plus que tout”, note encore Marco Prince. Le soir du premier live, lorsqu’ils seront prêts à dégoupiller, il y a fort à parier que les garçons de FFF seront tous les quatre saisis par le même sentiment grisant : la certitude d’être là où ils devaient être. Ce retour que l’on n’attendait plus devait forcément finir par arriver.

earMUSIC sortira le premier album studio de MC5, le légendaire pionnier du punk rock de Detroit, après 53 ans d’absence, le 18 octobre 2024. Intitulé « Heavy Lifting », le successeur de « High Time » sorti en1971 sera disponible un jour avant l’intronisation du groupe au Rock & Roll Hall of Fame 2024, où il recevra le prix de excellence musicale.

« MC5 représente une sorte de vision intransigeante de l’avenir et c’est éternel… la flamme continue de brûler ». – Wayne Kramer

Dirigé par Wayne Kramer et enregistré par l’iconique Bob Erzin (Lou Reed, Alice Cooper, Kiss), cet album fait intervenir sur deux titres le batteur original de MC5, Dennis « Machine Gun » Thompson, et voit également des invités spéciaux tels que Slash, Tom Morello, William DuVall (Alice in Chains), Vernon Reid (Living Colour), Don Was et Tim McIlrath (Rise Against).

Venant tout droit des rues crasseuses de Detroit pendant les années 60, MC5 a révolutionné le rock’n’roll avec leur puissante fusion de garage rock, blues, soul, free jazz et proto-punk. Célèbre pour leur pyrotechnique et leur militantisme de gauche, leur statut de pionniers du punk et du rock contestataire a inspiré de nombreux musiciens comme The Ramones, The Clash, Rage Against The Machine, The White Stripes, Slash et bien d’autres encore, continuant de façonner le son punk / rock alternatif des générations à venir.

« Heavy Lifting » contient la guitare et les voix du fondateur de MC5 Wayne Kramer, qui a co-écrit 12 des 13 chansons de l’album avec le compositeur/chanteur d’Oakland Brad Brooks. Prolifique pendant cinq décennies, Kramer était le dernier membre actif du groupe MC5. Il est décédé subitement en février, suivi par le décès du batteur Dennis « Machine Gun » Thompson en mai. Il s’agit du dernier enregistrement studio de Thompson.

Dans une interview pour « Uncut » en novembre 2023, Kramer a discuté de l’album en disant : « Vivre longtemps et rester créatif. Telle est mon attitude. Cet album s’inscrit dans la continuité de « High Time ». Je pense qu’il est de la responsabilité d’un artiste de refléter l’époque qu’il traverse. Et je pense que nous avons fait un album qui est en phase avec notre situation actuelle et les défis auxquels nous sommes confrontés, et qui véhicule un message positif. »

« Heavy Lifting » a été enregistré par l’iconique producteur Bob Erzin (Lou Reed, Alice Cooper, Kiss) et contient un line-up des plus incroyable, composé de collègues et d’amis de Wayne. On y trouve Slash, Tom Morello, William DuVall (Alice in Chains), Vernon Reid (Living Colour), Don Was et Tim McIlrath (Rise Against), des collaborations comblant le fossé générationnel des musiciens, inspirés par l’approche intrépide de MC5 en matière de musique et d’activisme. L’ampleur de l’impact de MC5 peut être entendue dans tous les musiciens, y compris Vicki Randle (Aretha Franklin), Stevie Salas (Parliament Funkadelic, Rod Stewart), Abe Laboriel Jr. (Paul McCartney), Winston Watson Jr. (Bob Dylan), et Joe Berry (M83). Bien plus qu’un voyage dans le passé, « Heavy Lifting » est une affirmation retentissante de la pérennité de l’esprit punk.

« C’est du lourd » Nous dit Erzin à propos d’« Heavy Lifting ». « Il contient un message révolutionnaire, mais aussi un bon sens de l’humour. Il y a un peu de heavy metal. Il y a aussi pas mal de funk. Mais c’est un disque lourd, et c’est un disque de guitares à gauche, à droite et au centre. La plupart du temps, c’est un mur de guitares, et c’est surtout Wayne et son éthique qui sont à l’origine de ce disque. C’est un instantané d’un guitariste au sommet de son art. Nous nous sentons tous responsables de faire en sorte que son travail soit entendu et qu’il soit célébré. Nous avons mis tout notre cœur dans ce projet. »

Découvrez la vidéo du premier single  » Boys Who Play With Matches » disponible dès maintenant :

En plus de cet album de 13 titres, un double CD/double Vinyle sortira, incluant des enregistrements live inédits de leur tournée de 2018, célébrant les 50 ans du premier album du groupe, « Kick Out The Jams », sorti en 1969 (il contient d’ailleurs les légendaires titres « Kick Out The Jams » et « Ramblin Rose »).

En plus de Kramer, le live de MC5 est accompagné de Kim Thayil le guitariste de Soundgarden, Brendan Canty le batteur de Fugazi, Billy Gould le bassiste de Faith No More, Marcus Durant le frontman de Zen guerilla et d’autres invités spéciaux tels que Mark Arm de Mudhoney (Tracklisting plus bas).

Précommandez « Heavy Lifting » en CD, vinyle et téléchargement numérique, ainsi que les bonus 2CD et 2LP.

Plus d’information sur la boutique en ligne ICI.

MC5« Heavy Lifting » CD/Vinyl Track List

1. Heavy Lifting (feat. Tom Morello)

2. Barbarians At The Gate

3. Change, No Change

4. The Edge Of The Switchblade (feat. William Duvall & Slash)

5. Black Boots (feat. Tim McIIrath)

6. I Am The Fun (The Phoney)

7. Twenty-Five Miles

8. Because Of Your Car

9. Boys Who Play With Matches

10. Blind Eye (feat. Dennis Thompson)

11. Can’t Be Found (feat. Vernon Reid & Dennis Thompson)

12. Blessed Release

13. Hit It Hard (feat. Joe Berry)

MC5« Heavy Lifting » Bonus CD/Vinyl Track List

1. Ramblin’ Rose

2. Kick Out The Jams

3. Come Together

4. Motor City Is Burning

5. Borderline

6. Gotta Keep Movin’

7. Future/Now

8. Poison

9. Shakin’ Street

10. Sister Anne

Sortie le 26 juillet 2024 Talking Heads annonce la réédition de leur légendaire concert des 40 ans en versions « Deluxe ». Ce coffret 2CD+Blu-ray, double vinyle noir et double vinyle translucide + livret, sortira le 26 juillet 2024 via Rhino – Warner.

Afin de célébrer les 40 ans du célèbre film-concert des Talking Heads, « Stop Making Sense », réalisé par Jonathan Demme, de nouvelles rééditions seront disponibles cet été en versions double vinyle et en coffret 2CD+Blu-ray.

Parue l’an dernier, l’édition Deluxe aujourd’hui épuisée de cette bande originale sera de retour partout en version double vinyle noir, et aussi en double vinyle translucide uniquement chez les détaillants. Ces deux éditions seront accompagnées d’un livret de 12 pages rédigé par les quatre membres du groupe –Tina Weymouth, David Byrne, Chris Frantz et Jerry Harrison—et illustrés par des photos de la formation.

L’édition 2CD+Blu-ray contiendra l’intégralité du livret de 28 pages inclus dans l’édition Deluxe parue l’an dernier, ainsi qu’un mix Dolby Atmos de la totalité du concert, réalisé par Jerry Harrison et E.T. Thorngren, qui avait également mixé l’album original. Ces deux éditions seront disponibles le 26 juillet prochain.

La 24ème édition du Raismesfest se déroulera les 7 et 8 septembre 2024 au parc du château de la princesse d’Arenberg à Raismes.

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Après leurs concerts mémorables de 2014 et 2017, les danois de D.A.D sera une des 2 têtes d’affiche de cette édition 2024. Qui ne se souvient pas des « Raismes mon amour! » déclamés sur scène par Jesper Binzer ! Ils viendront fêter leurs 40 ans de carrière sur les planches du Raismes Fest. Une expo leur est même consacrée pendant 6 mois au Musée National du Danemark à Copenhague! Ils clôtureront donc en beauté cette 24éme édition.

Les Suédois de Liv Sin seront au Raismesfest pour date unique en France le samedi 7 septembre. Liv Jagrell auparavant chanteuse de Sister Sin (5 albums au compteur) viendra avec son groupe défendre le Heavy Metal de ses 3 albums dont le dernier « Kaliyuga » est sorti en 2023.

Kim Melville est une chanteuse, guitariste, compositrice et auteur-compositeur aux multiples influences, de Jack White à The 1975 en passant par David Bowie, Kiss, ou plus récemment Yungblud. Familiarisée depuis son plus jeune âge avec les séances de studio, les musiques de films, les comédies musicales, les albums…) mais aussi avec les concerts, elle décide de se lancer dans un projet solo. Elle enflamme ses notes de rock, de glam, de pop, et même d’influences métalliques.

Dätcha Mandala c’est la recherche sans fin de l’équilibre entre le Matériel et le Spirituel, une sorte d’expérience ultra-sensorielle influencée par l’effervescence musicale des Seventies à nos jours. C’est un voyage entre un rock heavy et puissant, une folk traditionnelle et quelques incursions tribales venues d’Orient ou encore d’Afrique du Nord. Depuis 2009, plus de 550 concerts donnés dans 12 pays d’Europe et outre Atlantique (New York, Montreal). Les Insus (Ex-Téléphone) ne s’y tromperont pas. Témoins de la performance du groupe à La Nuit de L’Erdre 2017, ils invitent Dätcha Mandala deux mois plus tard à faire leur première partie au Stade de France devant plus de 35 000 personnes ! Le 10 novembre de la même année encore, sort le premier album du groupe, “Rokh” enregistré entièrement en analogique avec Clive Martin (Queen, Tom yorke, The Cure, Midnight Oil…) sur le label MRS Red Sound. Après une centaine de dates en France, en Europe, et en Amérique du Nord, est enregistré le deuxième album du groupe avec une sortie attendue courant 2020. Ce nouvel album verra s’affirmer la contribution du groupe à l’éveil de la conscience écologique, sujet éminemment contemporain, actuel et humain.

Audrey Horne est un groupe de Hard Rock mélodique originaire de Bergen, en Norvège. Le groupe s’est formé en 2002, tirant son nom du personnage de Sherilyn Fenn dans la série télévisée culte de David Lynch « Twin Peaks ». Bien que certains membres du groupe jouent ou aient joué dans des groupes de black metal comme Enslaved et Gorgoroth, la musique d’Audrey Horne est très éloignée du black metal et peut être décrite comme du hard /heavy rock mélodique, avec des influences telles que Iron Maiden, Deep Purple ou Led Zeppelin. Le groupe a sorti sept albums au total, dont le dernier, « Devil’s Bell », a été publié en 2022.

Thomas Franck Hopper, c’est des guitares slide sur un ampli à tubes. Des mélodies de rock blues sur des rythmes puissants. Un stoemp belge traditionnel trempé dans une sauce épicée et juteuse.

La tête d’affiche du samedi 7 septembre sera assurée par le groupe folk-metal finlandais Korpiklaani. Déjà présent en 2018, ils avaient mis une ambiance du feu de Dieu dans le public. La journée du samedi se terminera donc dans une ambiance des plus festives.

Nemesis H.P est un groupe hard rock/heavy originaire de Lille. Formé en 2020, ils ont récemment donné une excellente prestation en première partie de Wings Of Steel au Splendid de Lille.

On pourrait croire qu’ils sont voisins des Italiens de Small Jackets puisqu’ils viennent de Rome, oui, mais Rome en Géorgie, état américain où l’on trouve aussi Athens et Macon et même Abbeville… Pourquoi pas Raismes tant qu’on y est !

The Georgia Thunderbolts est un groupe américain qui délivre un southern rock pur jus . Leur 3ème album « Rise above it all » sortira juste 2 semaines avant le Raismesfest. On leur souhaite le même accueil que pour Robert Jon & The Wreck l’an dernier.

Ce sont les Anglais de Massive Wagons qui investiront la scène du Raismesfest le dimanche 8 septembre. Fondé en 2009. ce groupe connaît un gros succès de l’autre côté de la Manche et a déjà 6 albums à son actif, le plus récent étant « Triggered » sorti fin 2022. Ils sont connus pour leurs excellentes prestations live. Avec leur hard rock agrémenté de touches de punk, aucun doute, ils vont mettre le feu!

Dix ans après leur premier passage au Raismes Fest, les  Suisses de Sideburn fouleront à nouveau les planches du Raismesfest, sur la grande scène cette fois. En 2014, ils avaient joué le vendredi soir et seule la petite scène était utilisée ce jour-là. Ils avaient d’ailleurs donné un concert mémorable de plus de 2 heures.

Les Suisses de Gotus avec. Formé en 2019 par d’anciens musiciens de Gotthard et Krokus dont le guitariste Mandy Meyer (Krokus, Gotthard, Asia, Cobra, Katmandü, Unisonic etc). Le groupe a sorti en janvier dernier un album encensé par la critique. On ne présente plus l’incroyable Ronnie Romero au chant, avec son impressionnante carrière au cours de laquelle il a exercé ses talents dans Rainbow, Michael Schenker, Lords Of Black, Vandenberg

Pour la première fois de sa longue histoire, le Raismesfest accueillera un groupe croate, et pas n’importe lequel puisqu’il s’agit de Jelusick. En effet, le groupe de Dino Jelusick qui porte son nom a dans ses rangs le talentueux guitariste Ivan Keller qu’on a pu voir avec Marco Mendoza au Bully on Rocks en 2022.

Dino Jelusick, super-star en Croatie a déjà une carrière impressionnante  puisque ces dernières années il a tourné avec son groupe Animal Drive (1 album en 2018 déjà avec Ivan Keller), il a chanté sur le très bon album de Dirty Shirley en 2020 avec George Lynch à la gratte (Dokken) , chanté dans le Trans Siberain Orchestra en 2022, sorti un album sous le nom de Jelusick en septembre 2023 et formé un super-groupe de metal-prog avec Derek Sherinian et Ron Thal,  Whom Gogs Destroy dont l’album est sorti le 15 mars.

De la pure bombe en live, les 4 Nantais de Cachemire dérouleront leur rock brut, puissant, mélodique et chanté en français en piochant dans les 3 albums déjà sortis. Ce sera  le dimanche 8 septembre vu que la veille ils jouent à 900 kms. Evidemment leur nom fait penser à Led Zeppelin, le clin d’oeil est à voir à la fin de leur concert.

Deluxe Renegades et Goodgrief sont les gagnants du tremplin ChtiRock Festival qui auront le plaisir de fouler la scène du Raismes Fest le 7 et 8 septembre 2024

Retrouvez Nits sur la scène du Festival Rétro C Trop au Château de Tilloloy (80) dimanche 30 juin 2024.

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Nits est groupe néerlandais formé en 1974 Ils ont sculpté une carrière musicale singulière, naviguant entre pop, rock et expérimentation. Menés par Henk Hofstede, le groupe est reconnu pour ses mélodies captivantes et ses paroles poétiques.

L’album emblématique «In the Dutch Mountains» (1987) illustre leur génie musical, tandis que leur diversité stylistique s’exprime à travers des albums comme «Ting» (1992). Les Nits demeurent une pépite musicale, appréciée pour son approche artistique unique et son impact durable dans la scène alternative néerlandaise.

Ils fêteront leur 50ème anniversaire sur la scène de Rétro C Trop dimanche 30 juin 2024

Le nouvel album de Octurn, intitulé « Veress Variations », est disponible depuis le 10 mai 2024 via PeeWee.

Depuis ses débuts en 1996, le groupe Octurn mené par Bo van der Werf a exploré bien des contrées musicales, passant du M-Base hier à une musique très contemporaine aujourd’hui. Chaque nouveau projet est le terrain d’explorations inédites avec une approche très singulière de la composition et de l’improvisation. Il y a quelque chose de l’ordre du sacré et de l’ésotérisme dans cette musique comme dans celle d’Olivier Messiaen dont l’influence sur le groupe a été majeure. A travers son œuvre, Bo van der Werf cherche le point d’équilibre entre idées philosophiques profondes, structures complexes et sensations directes.

« Veress Variations » est le 15ème album d’Octurn et l’occasion de s’intéresser au compositeur Sándor Veress qui fut l’élève de Bartók et de Kodály ainsi que le professeur de Kurtág et de Ligeti. Autour du Trio per archi, diamant brut du folklore hongrois, Octurn prend le parti d’une démarche émancipée en conjuguant l’improvisé au composé. Plus qu’un hommage ou une relecture, la musique imaginée est une complète autre histoire comme seuls les jazzmen peuvent en raconter. Au côté des complices de longue date Dré Pallemaerts, Fabian Fiorini et Jozef Dumoulin, Bo van der Werf convoque cette fois le formidable clarinettiste hollandais Joris Roelofs et un trio à cordes spécialement réuni pour l’occasion. Assurément promis à un brillant avenir ensemble, Laure Bardet, Esther Coorevits et Eugénie Defraigne se font entendre aussi à l’aise dans l’interprétation du très exigeant texte original de Veress, que dans les épisodes improvisés des variations de Octurn.

« Veress Variations » est un bouquet d’impressions auditives fortes, une expérience sensorielle fascinante. L’auditeur expérimente une transe où le temps s’étire et les tonalités s’entremêlent.

Des rythmes et des vitesses multiples, hors de toute mesure, contribuent puissamment à éloigner le temporel. Des modes mélodiques et harmoniques originaux nous entrainent dans une nébuleuse tonale ouvrant sur de nouveaux espaces, de nouvelles perspectives.

La musique se structure dans un inouï mélange d’éléments acoustiques et électroniques. Le nuage des formes et des couleurs se compose et se recompose pour l’étourdissement des sens par le truchement de combinaisons mystérieuses, d’interplay miraculeux. Jeux de hasard et préméditations, histoires parallèles, jaillissements de solistes lumineux et soudainement lyriques, boucle noisy constituant un corps principal, oscillations organiques de l’infra-grave, polyvitesses et chemins de traverse d’une batterie souple et coloriste… un foisonnement paradoxalement à la recherche de la vacuité. L’auditeur est absorbé par la matière.

Après plus de 25 ans de recherches et d’intenses expérimentations, la musique d’Octurn est arrivée au stade de l’évidence. D’une pensée originale complexe à une forme solaire, directe et d’une extrême douceur. « Veress Variations » s’inscrit au côté des créations contemporaines les plus aventurières, de celles qui contribuent véritablement à l’élargissement des horizons du jazz et des musiques improvisées d’aujourd’hui.

Bo van der Werf · saxophone baryton, compositions

Joris Roelofs · clarinette basse

Jozef Dumoulin · claviers, électronique

Fabian Fiorini · piano

Dré Pallemaerts · batterie

Laure Bardet · violon

Esther Coorevits · alto

Eugénie Defraigne · violoncelle