Les Galactic Cowboys font leur grand retour avec le même line up qu’il y a 20 ans. Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule,  la sortie du nouvel album « Long Way Back To The Moon » est dores et déjà programmée, 17 ans après « Let It Go ».

« Long Way Back To The Moon » sera disponible le 17 novembre via Music Theories Recordings / Mascot Label Group.

Découvrez en vidéo « Internal Masquerade », extrait de ce nouvel album.

 

Track listing

1 In The Clouds
2 Internal Masquerade
3 Blood In My Eyes
4 Next Joke
5 Zombies
6 Drama
7 Amisarewas
8 Hate Me
9 Losing Ourselves
10 Agenda
11 Long Way Back To The Moon
12 Believing The Hype (Bonus Tracks)
13 Say Goodbye To Utopia (Bonus Track)

Line Up

Monty Colvin
Alan Doss
Ben Huggins
Dane Sonnier

Le groupe suédois Sorcerer sortira son nouvel album, intitulé « The Crowning Of The Fire King », le 20 octobre 2017 via Metal Blade Records.

Découvrez la lyric vidéo du nouveau single « Ship Of Doom »

« The Crowning Of The Fire King » sera disponible dans les formats suivants:

 

–Digipak-CD (with bonus tracks)
–180 g black vinyl

Clear Turquoise Blue Vinyl (EU exclusive – limited to 400 copies)
–Golden Sand Marbled Vinyl (EU exclusive – limited to 300 copies)
–Cool Grey Orange Marbled Vinyl (EU exclusive – limited to 200 copies)
–Dark Sky Blue/Gray Marbled Vinyl (USA exclusive – limited to 300 copies)
–Clear/Black Marbled Vinyl (USA exclusive – limited to 200 copies)

 

« The Crowning Of The Fire King » track-listing:
1. Sirens
2. Ship Of Doom
3. Abandoned By The Gods
4. The Devils Incubus
5. Nattvaka
6. Crimson Cross
7. The Crowning Of The Fire King
8. Unbearable Sorrow

Sorcerer line-up:
Anders Engberg – vocals

Kristian Niemann – guitars
Peter Hallgren – guitars
Johnny Hagel – bass
Richard Evensand – drums

Nashville Pussy de retour en France !

Le combo mixte américain aime la France, et revient pour la 3ème fois cette année lors d’une tournée automnale.

9 dates sont prévues sur notre territoire au cours d’un périple européen qui s’étalera sur 2 mois:

 

18/10/2017 Clermont Ferrand, La Cooperative De Mai

19/10/2017: Nantes,  Le Ferraileur

20/10/2017: St Brieuc, Festival Carnavalorock

21/10/2017: Bretigny Sur Orge,  Le Rack’am

22/10/2017: Montbeliard,  Atelier Des Moles

24/10/2017: Paris, Le Glazart

10/11/2017: Bourg En Bresse,La Tannerie

11/11/2017: Seyssinet-Pariset, L’ilyade

14/11/2017: Nancy, 915 Kafe

 

 

 

Nashville Pussy enregistre actuellement son septième album où figurera une reprise du titre de Nazareth « Woke Up This Morning ».

Ce nouvel album est produit par Daniel Rey (Ramones, The Misfits), et enregistré au studio David Barrick dans le Kentucky avec une sortie prévue en avril 2018.

C’est devant une parterre clairsemé que les lillois d’Ev’Sane vont inaugurer cette 19ème édition du RaismesFest. La météo y est certainement pour quelque chose, ajouté à cela un horaire avancé auquel nous n’étions plus habitué lors d’un premier jour. Retour donc à deux journées complètes de musique, mais concentrée sur une scène unique.

Mais revenons à Ev’Sane,  dont l’album « Autopsy Of My Soul » aux accents Trash Metal aura l’honneur de la set list. Quelque peu statiques, les musiciens démontrent toutefois un potentiel intéressant, mais c’est surtout le chanteur qui tient le devant de la scène.  Mison accomplie pour Ev’Sane qui se rappellera longtemps de cette belle expérience sur la grande scène du RaismesFest.

 

Le changement de registre est radical avec l’arrivée de Night, un quatuor bien dans l’esprit « Classic Rock ». Nous avons affaire à des compositions particulièrement abouties, servies par un duo de guitaristes remarquables de cohésion. Il y a des intonations à la Wishbone Ash, précurseurs des « twin guitars », aux mélodies bien huilées. Même si le timbre de voix un peu léger  semble en décalage par rapport à la force des morceaux, l’ensemble est tout de même bien ficelé. Avec déjà 3 albums à leur actif, dont le tout récent « Raft Of The Word », Night démontre que le Hard Rock suédois possède une pépinière de groupes à l’avenir prometteur ! Leur première scène en France s’avère être une totale réussite, avec en prime le retour du soleil. L’initiative de l’organisation de programmer le quatuor en remplacement d’Headblaster mérite d’être saluée, permettant ainsi de faire cette belle découverte.

 

L’absence de la scène découverte occasionne un break d’une demi heure entre chaque prestation, le temps du changement de plateau. L’occasion de visiter les stands de Metal Market, tout en se désaltérant avant d’accueillir Black River Sons. D’entrée de jeu, les influences « Rock sudiste »  de Lynyrd Skynyrd ou Allman Brothers Band sont évidentes, mais que l’on se s’y trompe pas, la qualité des compositions est au rendez-vous. Il y a pire comme références, d’autant que les morceaux distillés sont  teintés de cette couleur si caractéristique du Southern Rock. Les guitares sont à l’honneur lors de chorus mémorables gorgés de feeling. Même si on retrouve pas toujours sur les morceaux le côté fédérateur des précurseurs du genre, il faut bien reconnaitre que les frenchies ont su capter l’essence même de leurs structures. L’ensemble est en place, tout comme la voix que l’on dirait sortie des ranchs texans. Souhaitons bonne route à Black River Sons dont la prestation s’est révélée tout à fait convaincante.

 

Jester Smokebreak envoie une énergie communicative bien venue pour réveiller un public dont le nombre augmente en même temps que les rayons du soleil. Est-ce le Glam des californiens qui fait monter la température du parc de la princesse d’Arenberg ? Il est certain que les bretons ne sont pas avares de gimmicks pour   mettre l’ambiance. Le chanteur passera même l’intégralité d’un titre dans la foule. Difficile de trouver la moindre originalité dans le registre de Jester Smokebreak, peut être est-ce lié à un manque de maturité scénique… Reconnaissons que les jeunes Rennais mettent du cœur à l’ouvrage, avec un frontman qui se dépense sans compter. Malgré toute cette bonne volonté, cette prestation ne laissera pas un souvenir impérissable !

 

Aymeric Silvert est qualifié de « Guitar Hero », et cette définition lui convient tout à fait. Difficile de mettre une étiquette sur le style pratiqué, (c’est toujours la solution de facilité de classer les genres!) son jeu si particulier ne rentrant pas vraiment dans les « standards » stéréotypés. Pour faire simple, les variations musicales du guitariste oscillent entre le heavy, le rock et le progressif, avec un sens mélodique développé. Evoluant sous la forme d’un trio, Aymeric assure également le chant, mais il est nettement plus à l’aise avec une 6 cordes. L’efficacité du duo basse/batterie propulse les compositions construites autour de longs passages instrumentaux. Sans toutefois tourner à la démonstration, on se laisse aller à évoquer Joe Satriani sur quelques notes. 45 minutes de temps de jeu auront suffi pour apprécier le talent d’Aymeric Silvert, même si quelques passages ont pu sembler un peu longs à certains !

 

Les scènes du RaismesFes ont toujours eu pour habitude d’accueillir des tributes bands. L’édition 2017 ne déroge pas à la règle, avec un vibrant hommage à Jimi Hendrix, interprété par un guitariste hors pair en la personne d’Hassan Hajdi. Egalement connu pour tenir la 6 cordes au sein de Ange depuis 1995, Hassan va démontrer toute sa technique et son toucher exceptionnel pour reprendre les classiques d’Hendrix. Et le pari est gagné ! Car non seulement Hassan Hadji a su conserver l’esprit original, mais il y ajoute sa touche personnelle, lorgnant vers un Hard Rock pour le moins plaisant. Bien épaulé, par Jean Christophe Bauer à la basse et Benoit Cazzulini derrière les fûts, le trio se fait plaisir tout en faisant preuve d’une belle cohésion. Un « Purple Haze » finement interprété viendra clôturer un set rondement mené et maitrisé de bout en bout.

 

Tous les ingrédients nécessaires pour élaborer un Hard Rock efficace font partie de la recette composée par Dead Lord. Et attention au surdosage, car les suédois,(encore la Suède!) loin de se contenter du minimum syndical en la matière, vont en rajouter dans tous les domaines. Ce retour aux sources brut de décoffrage va envoyer du lourd pendant une heure, lors d’un set à l’énergie sans faille. Dead Lord ne se pose pas de questions, se donne à fond et fait bouger le public. certaines compositions pourraient être sorties d’un album de Thin Lizzy, tant la ressemblance est frappante. Le phrasé et les intonations d’ Hakim Krim sont bluffantes de similitude avec un certain Phil Lynott, tout comme l’accroche mélodique d’un titre comme « When History Repeats Itself ». Voilà un groupe de scène efficace, qui a tenu toutes ses promesses lors d’un show sans temps morts.

 

C’est au tour de Vanden Plas de prendre possession de la scène, proposant leur metal progressif à une audience désormais plus compacte dans la fosse, composée de fans adeptes de ces longs chapitres mélodiques. Les Allemands ont réussi à nous faire rentrer dans leur univers en  alternant les passages « heavy » et les climats plus nuancés, chaque musicien démontrant une qualité d’interprétation irréprochable. Derrière le micro, Andy fait preuve d’une grande amplitude vocale. Malgré la fatigue liée au  retour des Etats Unis la veille, sa voix est bien en place et le restera durant l’ensemble du concert La set list fait la part belle à « Chronicles of the Immortals: Netherworld », sans oublier les précédents opus dont les nombreux extraits auront permis de faire une tour d’horizon de leur riche carrière.

Au final, même si le style peut paraitre en décalage avec le reste de la programmation, Vanden Plas a su convaincre en proposant des compositions originales qui donnent envie d’approfondir la discographie d’un groupe affichant déjà plus de 30 années de service au compteur.

 

D-A-D va mettre une claque dès l’entame de son set, en envoyant un hard n’ roll entrainant, sans prise de tête. L’état d’esprit joueur est une marque de fabrique des Danois, la preuve avec Jesper Binzer qui passera l’intégralité du second titre à chanter au contact des premiers rangs.

Mais ce n’est rien à côté du phénomène Stig Pedersen, dont le look ne passe pas inaperçu. Il s’amuse à enchainer les poses les plus variées d’un côté à l’autre de la scène, allant même jusqu’à grimper sur la batterie ou les amplis. Habitués à voir défiler son impressionnante collection de basses 2 cordes, nous sommes restés sur notre faim, avec l’utilisation de « seulement » 2 instruments différents.

Côté musique, l’énergie rock est communicative sur l’ensemble des titres, parfaitement exécutés devant un public très réceptif.

Le tube « Sleeping My Day Away » viendra clôturer en apothéose une prestation rondement menée, que l’on aurait aimé voir se prolonger le temps d’un ou 2 morceaux supplémentaires.

 

Malgré la fraicheur et la pluie qui s’est invitée au cours de l’après midi, le public a répondu présent au cours de cette première journée « nouvelle formule ».

Même si ce fût délicat pour certains groupes de trouver leurs marques sur la grande scène, l’expérience vécue restera certainement pour eux un excellent souvenir. Rendez-vous demain pour une nouvelle journée de bon Heavy Rock comme on l’aime !

Report & Photos: © 2017 Alain BOUCLY

Silvertrain entame sa tournée d’automne 2017 le 30 septembre 2017 à Nantes / La Scène Michelet. Sadhayena et Existance sont également présents lors de cette affiche nantaise.

Toutes les dates sont présentées ici:

Silvertrain est fondé en 1976 par Phil York (Vocal) et Chris Lane (Guitar).
Avec Martin Fox (Bass) et Chris Badger (Drums), ils multiplient les concerts. Les premières parties de toutes les dates françaises et allemandes de la tournée « Bomber Tour » de Motörhead,de la tournée Rose Tatoo et des scènes partagées avec Nazareth, Foreigner, permettent à la formation d’acquérir une notoriété nationale et internationale
Les albums « Which Platform Please » et « Keep The Flame » sont un réel succès.
Après une longue maladie, Chris Lane décède.
Phil Yborra (York) reforme Silvertrain en sortant l’album « Memories » et signe chez Brennus Music. Les Albums « Silvertrain » et « Walls Of Insanity » sont écris dans la foulée et les concerts reprennent.
Le nouvel album « No Illusion » est en préparation autour de Florian Mérindol (guitar), Alex Dumas (drums), Romain De Luca (bass), Phil Yborra (vocals) pour une sortie en janvier 2018.
« No Illusion », c’est montrer du doigt, l’apparence , la superficialité, la trahison, la haine, le sang, et parfois l’amour.
Sadhayena, c’est un groupe de Hard Rock / Metal qui emprunte ses influences aux groupes des 80’s (Guns N’ Roses, Extreme …) en ajoutant sa touche de modernité afin de donner de nouvelles sonorités et une énergie supplémentaire à des compositions qui transpirent le Metal.
Formé en Septembre 2014 par Shenzi (guitare) et Raven (basse), le groupe a progressé en sortant quelques morceaux et en se produisant dans diverses salles, et c’est en octobre 2016 que Sadhayena a enfin trouvé son frontman, Amir, avec son chant Heavy et ses prestations scéniques qui ne laisse pas le public indifférent !
En 2017, Sadhayena a produit son 1er album « Emergency » au Studio Vamacara à Clisson, et commence à s’imposer dans la Scène Métal française. Le quatuor joue dans de nombreux lieux (dont le Hellfest dernièrement) et avec de très bons groupes (Rakel Traxx, Dirty Action, …) pour une aventure qui ne fait que commencer !

Existance a vu le jour fin 2008, par Julian Izard (chant/guitare) avec l’idée de perpétuer une musique qui lui est chère le Heavy Metal 80’s.
En 2010, Existance sort une première démo 4 titres et démarche ses premiers concerts (France, Belgique).
En Janvier 2011, ils sortent une démo 8 titres dans l’espoir de signer avec un label.
En parallèle, les concerts se multiplient, en France, comme Lille, Bordeaux, Paris… Ils font la première partie du groupe californien Rhino Bucket en Juin 2011.
Existance se produit aussi en Belgique à plusieurs reprises, en Hollande avec le groupe américain des 80’s Bitch.

En février 2012, Existance signe chez le label allemand High Roller Records. La démo 8 titres sort officiellement en avril sur ce meme label en format CD et en vinyl (LP) avec 3 pressages différents (vinyl noir, rouge, gris).
La même année des changements de line-up interviennent, Julian rencontre Antoine Poiret à la guitare.
Septembre 2013, Existance rentre en studio chez Boss Hog Studio pour réaliser leur premier album « Steel Alive », masterisé à Los Angeles (USA) par Maor Appelbaum (Halford, Dokken, Yngwie Malmsteen…)

Début 2014, Existance signe chez Mausoleum Records. Quelques mois plus tard « Steel Alive » sort et recoit une bonne critique à travers le monde.

Depuis Avril 2014, Existance a entamé le « Steel Alive Tour » avec notamment un passage au PPM Fest à Mons Belgique en compagnie de Saxon, le Dokkem’ Open Air en Hollande (Gammaray, Metal Church…) mais aussi des premières parties comme pour le légendaire guitariste Adrian Vandenberg et son groupe Vandenberg’s Moonkings.
S’en suivent des passages remarqués en Allemagne lors du Metal Invasion fest à Cologne, en Belgique pour l’ouverture de Joe Lynn Turner à Genk et avec Skull Fist et Evil Invaders lors des dates françaises.

L’été 2015 sera consacré uniquement à l’écriture de nouveaux titres en vue d’un deuxième album pour 2016.
Néanmoins le « Steel Alive Tour » se poursuit dès septembre avec plusieurs concerts en France, Allemagne et Belgique…

En mars 2016, Existance présente ses deux nouveaux frères d’armes Nicolas Martineau (Batterie) et Julien Robilliard (Basse)
En Mai 2016, le groupe entre en studio chez « Boss Hog Studio » pour l’enregistrement de leur deuxième album « Breaking the Rock » puis en août est masterisé à Los Angeles (USA) par Maor Appelbaum.
En Octobre 2016, le CD est mis en vente au public et rencontre un vif succès puisque les critiques des différentes revues de pays étrangers (Espagne, Italie, Pologne, Allemagne, Brésil, Etat-Unis, etc….) sont très favorables. Quelques titres sont même diffusés sur des radios américaines, anglaises, etc…).
En novembre 2016, Existance signe un contrat au Japon avec le Label « Spiritual Beast » pour la vente du CD à partir du 14 décembre.

Depuis, Existance repart sur les routes pour propager sa musique à travers l’Europe.

Le festival bressan dédié au Heavy Metal est de retour !

Pour cette renaissance les parisiens de Satan Jokers ( feat. Renaud Hantson ) seront en tête d’affiche. Avec aussi Existance qui défendra la sortie de son 2ème album, plus Messaline et Salhem nos deux groupes intemporels du cru !
Samedi 7 octobre 2017 à 19h00 / MJC de Bourg en Bresse (01)
Billetterie: boutique Adipocere 15 euros

Orden Ogan + Rhapsody Of Fire + Unleash The Archers seront en concert le dimanche 15 octobre 2017 @ Paris – Petit Bain


Orden Ogan (Allemagne) & Rhapsody of Fire (Italie), deux groupes incomtournables de la scène power metal mélodique, prendrons la route ensemble en octobre 2017 afin de présenter leurs nouveaux chefs d’oeuvre.

Le groupe shock rock GWAR viens de dévoiler « El Presidente », issu de leur prochain album « The Blood Of Gods ». Il sera disponible à partir du le 20 octobre 2017 via Metal Blade Records. L’album a été produit, enregistré, mixé et mastérisé par Ronan Chris « Lord God » Murphy et sortira en format CD, 2LP et  numérique.

l’album est en prévente ICI

Regardez le clip de « Fuck This place » extrait de l’album « The Blood Of Gods »

Track Listing:

01. War On GWAR
02. Viking Death Machine
03. El Presidente
04. I’ll Be Your Monster
05. Auroch
06. Swarm
07. The Sordid Soliloquy Of Sawborg Destructo
08. Death to Dickie Duncan
09. Crushed By The Cross
10. Fuck This Place
11. Phantom Limb
12. If You Want Blood (You Got It) (AC/DC cover)

 

Le groupe metal progressif américain Redemption s’est séparé de son chanteur Ray Alder (Fates Warning) et il est remplacé par Tom Englund de Evergrey.

Actuellement, Redemption termine l’enregistrement de son septième album, « Long Night’s Journey Into Day », pour une sortie au début de 2018 via Metal Blade Records. L’album a été produit par Jacob Hansen (Volbeat, Primal Fear, Amaranthe) et la participation spéciale des guitaristes Chris Poland (Megadeth) et Simone Mularoni (DGM).

Toothgrinder a annoncé son nouvel album  «Phantom Amour», le 10 novembre via Spinefarm Records. Il est le successeur de « Nocturnal Masquerade », le premier album du groupe paru en 2015 et qui a ouvert la route à Toothgrinder. C’est ce qui leur a permis au groupe de rejoindre la longue liste des élites de la scène Metal du New Jersey. Le groupe s’est associé à Metal Sucks pour lancer ce nouveau morceau «The Shadow ».

« Phantom Amour » Tracklisting:

HVY
The Shadow
Let It Ride
Phantom Amour
Red
Adenium
Jubilee
Paris
Pietà
Snow
Vagabond
Futile

Précommandes via Spinefram Records