Barton Hartshorn sera en concert à Paris / Zèbre de Belleville le mercredi 5 avril 2018, pour la Release Party de son album « I Died Of Boredom & Came Back As Me » sorti le 16 février 2018 via Socadisc.
Ouverture des portes 19h30 – Tarif : 6€ en prévente, 8€ sur place.
Barton Hartshorn, c’est d’abord une très belle voix, une voix ciselée par l’émotion, qui nous transporte dans l’univers de ses chansons.
Un univers pop – folk, inspiré par la musique de la côte ouest américaine des années 70 mais retranscrite par un artiste anglais, et c’est bien ce qui fait toute la valeur et l’originalité.
Imaginez Lloyd Cole accompagné par Steely Dan, Mc Cartney leader des Eagles.
Pour parfaire ce brassage culturel, « I Died Of Boredom And Came Back As Me » a été écrit au cours d’une année passée en Australie puis enregistrée dans un ancien moulin à eau quelque part dans la campagne française.
Duncan Roberts (AKA Barton Hartshorn) a été le leader dugroupe Dictafone, dont le dernier album, « Home » a été mixé à Los Angeles par Ken Scott (Bowie, The Beatles, Lou Reed, Supertramp).
Sepultura « Machine Messiah Tour 2018 » + Obscura + Goatwhore + Fit For An Autopsy
Les légendes du metal brésilien reviennent en France pour une date unique mardi 20 mars 2018 à l’Elysée Montmartre de Paris.
En plus de 30 ans de carrière et pas moins de 14 albums studios au compteur, Sepultura s’est imposé comme une référence incontestable du metal, ouvrant la voie à de nombreuses formations issues d’Amérique du Sud.
La sortie de « Machine Messiah » début 2017 confirme une nouvelle fois que Sepultura ne se repose pas sur ses acquis.
Avec au chant un Derrick Green, plus en forme que jamais et un Andreas Kisser survolté, envoyant des tornades de riffs plus incisifs les uns que les autres, Sepultura revient pour frapper fort. Très fort !
Après plus d’un an en studio, les brésiliens de Angra nous feront l’honneur de nous présenter leur tout nouvel album « ØMNI », qui est annoncé comme une production majeure dans la carrière du groupe.
Line Up:
Deux groupes supplémentaires sont également programmés, avec les américains de Halcyon Way et les Italiens de Ravenscry dont ce sera la seule date en France.
Retrouvez Malemort en concert samedi 17 mars 2018 au « Covent Garden » d’Eragny (95).
3 festivals sont également confirmés, avec le Hellfest, le Kave Fest et le MetalDays.
Hiver 2013 : quatre musiciens obscurs viennent de sortir un disque qui n’a aucune chance de rentrer en résonnance avec les canons de l’époque.
Visez plutôt : Refus de choisir entre thrash, rock, heavy ou punk, chant en français. Comme un défi en forme de chant du cygne. Metal libre, qu’ils disent! C’est pourtant ce « French Romances » franc-tireur qui va recueillir tous les suffrages et aligner les critiques chaleureuses. Jusqu’à obtenir le soutien du plus gros mag national (« album du mois » Rockhard) ou faire causer de lui dans le prestigieux Metal Hammer allemand.
Prestation dans le show tv « Une Dose 2 Metal » et diffusions radio (y compris Oui FM !) font monter la rumeur.
A cet instant commence le vrai voyage : quatre années de confrontation aux lacérations et aux luminescences de la route, quatre années de coups d’éclat et de coups du sort. Malemort vit, se blesse, s’affute, se singularise encore. Date après date, c’est la preuve par le live. Comme de bonnes étoiles sur le chemin, les premières parties de Death Angel, UFO, Diamond Head, ADX, les affiches communes avec No One Is Innocent, Pro Pain, Bukowski, Headcharger.
Et puis enfin ce nouvel album, dont une bonne partie des titres a déjà voyagé. « Ball-Trap », donc, a été mis en son au Conkrete Studio par Mobo (Gorod, Loudblast, Otargos, Mercyless…). Malemort s’y dévoile sans fard: une musique hybride et indépendante, des prises de son authentiques, charnelles, et enfin, une histoire. « Bball-trapalbumall-Trap », ou le parcours initiatique d’un jeune homme dans le chaos artistique avant-gardiste des années 20, les fameuses « années folles ». Et comme la sortie d’un disque se doit d’être une aventure artistique complète, l’image est confiée au talentueux dessinateur Nicolas Dubuisson.
Mais déjà, la route exige son tribut. Hérissée de riffs, toute de fureur au dehors, des clous dans la poitrine, la « mauvaise mort » arpente à nouveau les chemins de traverse.
Salut fraternel à vous, les dévoreurs de décibels, les idéalistes du son, les activistes au service de la cause. Notre musique à tous se nourrit de nos rêves et de nos luttes.
Vendredi 16 mars 2018, Wishbone Ash entamera sa tournée française au Ziquodrome de Compiègne. Ce groupe légendaire, fort de plus de 50 ans de carrière, viendra nous régaler lors de ce concert qui s’annonce comme l’évènement de ce mois de mars.
Précipitez vous sur les billets pour cette seule date dans la région, car le concert du New Morning à Paris du 22 mars affiche déjà complet !
Wishbone Ash est un groupe résolument à part dans l’histoire du Rock. Trop délicat pour être considéré comme un groupe de hard rock, pas assez alambiqué pour être catalogué Rock Progressif, Wishbone Ash avec sa classe « So British » est unique.
Formé en 1969, Wishbone Ash connait un succès immédiat avec son album éponyme en 1970. Puis ce sont « Pilgrimage » (1971) et surtout « Argus » (1972) qui les portent au sommet. Avec des millions d´albums vendus, des concerts dans le monde entier, ce groupe aura marqué les années 70.
Leurs parties de guitares harmonisées, véritable signature sonique du groupe, influenceront plusieurs combos majeurs, notamment Thin Lizzy et Iron Maiden.
Toujours emmené par l’homme à la Flying V, Andy Powell, (voir l’interview ICI) Wishbone Ash a sorti plus de 30 albums depuis ses débuts et son dernier DVD « Live in Paris 2015 » montre que les musiciens de ce groupe hors catégorie restent des bêtes de scène. Un concert à ne manquer sous aucun prétexte.
Release Party vendredi 23 mars @ Paris / La Boule Noire Red Mourning + Pitbulls In THe Nursery + M.F. Crew
Prévente : 10 € (Fnac, Digitick)
Red Mourning est né en 2008 pour forger un métal unique, teinté de feeling blues et de violence hardcore. Un groove original et sincère, où se côtoient harmonica, slide-guitar et harmonies gospel.
Aujourd’hui, le groupe revient avec « Under Punishment’s Tree », un 4e album plus organique que jamais, produit par Francis Caste.
Une évasion sonore inexorable entre folie moite et lumineuse souffrance.
Originaire de Rambouillet dans les Yvelines, Pitbulls In The Nursery assène depuis 2001 un métal à la recherche permanente de l’alchimie mêlant puissance, technique, ambiance et groove.
Avec plus de 100 concerts à son actif, P.I.T.N a eu le plaisir de partager la scène avec de grands noms tels que Cynic, Gojira, Vile, Monstrosity, Trepalium, Loudblast, Aborted, Benighted, Dagoba, Ultravomit.
Le groupe rentre en février 2018 en studio afin d’enregistrer son projet de métal-musique indienne mélangeant la brutalité du métal avec la douceur du Sitar indien.
Prenez quatre mecs passionnés, une aversion pour le top 50, arrosez le tout avec du jack, et vous obtenez M.F. Crew. De base un groupe de pote qui reprend du Pantera, Metallica, Black Label Society ou encore de mystérieux groupes de stoner. Très vite les reprises leur donnent l’envie de composer, à mi-chemin entre Stoner, southern metal, groove metal, le M.F. Crew est avant tout synonyme de bonne ambiance. Après un premier EP mixé maison du nom de “Last Beer” le crew sort son 1er album « First Ride » mixé au studio « We Tailor Sounds ». Ils gagnent en expérience de scène en jouant aussi bien devant des bikers en plein air, que dans des salles face à des amateurs de métal.
C’est par le biais de la scène blues parisienne qu’ils fréquentent assidûment que deux passionnés de musique, Jessie Lee Houllier (chant, guitare) et Alexis Didier alias Mr Al (guitare), se rencontrent en 2011. Dès l’année suivante, ils forment ensemble un premier groupe de reprises blues-rock, mais rapidement
des compositions voient le jour, et le besoin grandissant de créer les décide à monter une formation originale qui rassemblerait toutes leurs influences musicales.
C’est ainsi qu’en 2014 le duo devient quartet, avec l’arrivée d’une rythmique solide aux grooves imparables : Laurent Cokelaere (basse) et Julien Audigier (batterie) soutiennent la voix puissante de Jessie Lee et les riffs et solos de guitare incisifs d’Alexis, rejoints peu de temps après par le claviériste Laurian Daire qui vient habiller le tout avec subtilité et compléter l’alchimie du groupe désormais quintet.
C’est au cœur des musiques anglo-saxonnes avec lesquelles ils ont grandi et auxquelles ils rendent hommage à leur façon que les cinq camarades de jeu, personnalités musicales et artistiques fortes regroupant trois générations, puisent leur inspiration et leur énergie.
Au service de compositions originales, ils mêlent leurs expériences et concoctent un savant mélange de blues, de soul, de rock et de jazz, ces diverses traditions musicales servant de solides fondations à une musique moderne et originale dans laquelle la nostalgie n’a sa place que comme moteur de la créativité.
Après trois ans d’existence jalonnés de nombreux concerts l’enregistrement d’un premier album devient une urgence.
Ce dernier intitulé « Jessie Lee & The Alchemists » sortira en avril 2018.
Hannah Williams est un peu un trésor trop longtemps caché de la Soul anglaise. Vite repérée par les amateurs à la sortie de son premier album en 2012 (dont une certaine Sharon Jones), elle se constituera un public fidèle à travers le monde.
Il faudra pourtant attendre 2016, et un second album intitulé « late nights & heartbreak » pour que cette reconnaissance prenne d’autres proportions. Le disque est encore meilleur, les critiques sont excellentes, mais survient en plus de tout ça l’improbable coup de pouce du destin. L’été dernier, un certain Jay-Z sample un titre de l’album. Rien que ça.
Hannah et son groupe forment un ensemble redoutable, teintant leur Soul / Funk de couleurs Jazz, Blues, psychédéliques avec un raffinement intemporel, et une évidente élégance.
Regardez la vidéo de « Late Nights & Heartbreak » :
The Excitements s’articule autour de la charismatique chanteuse Koko-Jean Davis. Les musiciens Catalans assènent un Rhythm’n’Blues ultra efficace, très référencé fifties/sixties, ne se retournant que pour glisser quelques ballades Soul aussi suaves qu’envoûtantes.
A chaque prestation, c’est un nouveau déchaînement musical, une débauche d’énergie positive, de groove lumineux, un moment feel-good garanti. Puissant, généreux et contagieux.
Vérifiez par vous-mêmes ICI, que ce soit aux USA ou en Europe, tous les concerts de Greta Van Fleet (hors festivals) affichent comple t! Un tournée triomphale qui verra le quatuor passer 3 soirs de suite au légendaire Fillmore Theatre de Détroit !C’est clair le phénomène est en marche et la France n’est pas en reste ! Rock & Folk, MyRock, Rolling Stone, Rock Hard et bien d’autres parlent déjà d’eux, alors que OUI FM commence a très sérieusement programmer « Highway Tune » (plus de 10 millions de vues sur YouTube)
Leur disque, « From the Fires » , est enfin disponible en France depuis quelques jours, alors que la semaine dernière ces gamins du Michigan étaient les invités par Sir Elton John lors du 26th Annual Elton John AIDS Foundation Academy Awards Viewing Party. Regardez les jammer avec la star sur le classic “Saturday Night’s Alright for Fighting” ICI
Une performance durant laquelle Elton a déclaré (en V.O.) : « They’re going to be one of the biggest new bands of the year. They have an amazing future ahead of them, and I’m so thrilled — I’m so thankful to have them come onstage and play for you ».
A l’heure où le rock n’est, paraît-il, pas (plus) « à la mode », malgré des groupes qui remplissent les salles et les festivals, tout en continuant de vendre des « vrais » disques, il est important de souligner que de jeunes formations, comme Greta Van Fleet, éveillent l’attention du public.
Le CD est disponible depuis le 2 mars 2018, et vous trouverez le double EP en digital ICI
Dans l’univers de la musique le terme « phénomène » est parfois utilisé à tort et à travers… mais vu la vitesse à laquelle le nom de ce groupe « inconnu » s’est propagé en quelques mois seulement, force est de constater qu’il faut bien parler de « phénomène Greta Van Fleet »
Rien qu’en France, territoire peu réputé pour son « profil rock », le 28 mars prochain, le premier concert du groupe à Paris, aux Etoiles, affiche « complet ».
Eduqués par leur père au son du blues, R&B et de la soul music à travers les albums de Wilson Pickett, Joe Cocker, Cream, des Yardbirds ou des Who, les frangins Kiszka – Josh (chant), Jake (guitare), Sam (basse) –, dont l’aîné n’a pas 15 ans à l’époque, forment Greta Van Fleet en 2012. Rapidement rejoints par le batteur Danny Wagner, ils font leurs premières armes dans les clubs de leur Michigan natal tout en sortant quelques EP indépendants désormais introuvables.
Finalement signés début 2017 par Lava Records, le puissant label de Jason Flom distribué par Universal Republic Group, Greta Van Fleet voit alors son titre « Highway Tune» se hisser au Top des Charts Rock US en quelques semaines seulement… Dès lors, Outre Atlantique, la presse s’enflamme, les radios s’emballent et le jeune quatuor est désormais comparé aux plus grands. L’incroyable voix de Josh (21 ans) n’est bien entendu pas étrangère à un tel enthousiasme, tant elle renvoie l’auditeur vers celle de… allez, on vous laisse deviner qui…
Mais réduire Greta Van Fleet à cette simple comparaison serait une grave erreur, tant les compos du combo offrent d’autres trésors. Grâce à leur fraîcheur, leur spontanéité et leur énergie bouillonnante ces gamins sont même capable de transcender des classiques tels que « Meet on the Ledge » l’hymne qui clôture chaque concert de Fairport Convention.
Disponible depuis le mois de novembre en digital, l’album « From the Fires» (qui est en fait une compilation du EP « Black Smoke Rising» agrémenté de 4 nouvelles chansons dont 2 reprises), sortira enfin en France le 2 mars prochain, quelques jours avant ce premier concert parisien très probablement « sold out » et donc forcément historique.
Heureusement, quelques semaines plus tard, Greta Van Fleet sera de retour en France à l’occasion du Download Festival où ils joueront le lundi 18 juin en ouverture de Guns N’Roses.
L’histoire est en marche… ne soyez pas en retard !
Liste des titres :
1) Safari Song – 3:55
2) Edge of Darkness – 4:28
3) Flower Power – 5:13
4) A Change Is Gonna Come – 3:17 (reprise de Sam Cooke)
5) Highway Tune – 3:01
6) Meet on the Ledge – 3:50 (reprise de Fairport Convention)
Depuis quelques temps, la reprise de « Zombie » par le groupe de « metal » américain Bad Wolves commence à « cartonner » à travers l’Europe et même en France !
Grande-Bretagne : n°1 depuis 5 semaines en Metal et maintenant n°1 en Rock
Allemagne : n°1 depuis 2 semaines en Metal et n°6 en Rock
Autriche : n°1 en Metal et n°2 en Rock
Belgique : n°1 en Metal et n°19 en Musique
France : n°1 en Metal et n°138 en Rock
Irlande : n°1 en Metal et en Rock
Italie : n°1 en Metal depuis 2 semaines et n°5 en Rock
Suisse : n°1 en Metal depuis 2 semaines et n°14 en Rock
Les résultats sur les différentes plateformes de streaming sont également impressionnants.
Par exemple, la semaine passée, le titre était n°11 des écoutes « globales » sur Spotify.
Comme vous le savez, le groupe devait enregistrer cette reprise avec Dolores O’Riordan, juste avant la disparition de la chanteuse.
Tout est expliqué en intro du clip qui illustre cette chanson.