Little Bob la légende vivante du Rock’n’Roll made in France, vient de sortir son nouvel album intitulé « New Day Coming » !
Il est composé de 12 bombes Blues jouées avec l’énergie sauvage du Rock, mélange de compositions originales et de reprises de Woody Guthrie, John Trudell et Motörhead.

« New Day Coming » est disponible depuis le 1er juin en Digipack CD & Vinyle via Verycords.

Le Download Festival, festival Metal organisé par Live Nation, organisait cette année trois « Download Project » (deux  au 91 et un au 77). Ces événements consistaient à organiser trois concerts gratuits dans trois salles de la région parisienne où les têtes d’affiches de chaque soirée joueraient en Mainstage 2 lors du festival. Et c’est le troisième et dernier à L’Empreinte à Savigny le Temple qui nous intéresse aujourd’hui. Le premier juin se tenait donc cet événement exceptionnel où se tenait U-Bilam, groupe de Urbancore (mélange de musiques urbaines (rap et electro) et de musiques extrêmes), Nakht, Prog Metal / Deathcore et Wild Mighty Freaks, Fusion. Une soirée qui était plus que locale puisque ce fut même La Meule, association accompagnant les personnes faisant vivre musicalement la Seine-et-Marne, qui filma toute la soirée.

 

Cette dernière débuta donc tranquillement avec le premier groupe U-Bilam, qui avait embauché un nouveau bassiste depuis quelques mois. C’est donc sur leur intro de leur EP que le groupe monta sur scène mais c’est bel et bien Stephen, le chanteur, qui se démarqua dans sa tenue du clip Expression avec une combinaison et un imposant masque à gaz. Équipement qu’il abandonna très vite à cause de la chaleur. Ce ne fut donc pas sans émotion que le groupe joua son EP Evolutions of Mind ainsi que quelques inédits comme le tout premier titre écrit par le groupe (morceau non présent dans leur disque) car cela faisait en effet longtemps que le quatuor n’avait pas foulé les scènes locales. Malgré un mélange accrocheur et énergique la salle était relativement intimidée par le devant de scène, comme par magie un trou s’était formé au milieu de la fosse (lieu traditionnel des pogos) où quelques personnes assoiffées d’émotions purent mosher en toute sérénité. On put même voir l’apparition de quelques pogos timides et même un Wall of Death quelque peu balbutiant. La foule n’étant pas encore totalement échauffée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Suite à la fin d’un set très honnête, presque deux fois plus long que leur EP, il était temps de découvrir les premiers gagnants de la tombola. En effet entre chaque set, un tirage au sort était organisé pour gagner des places et des goodies pour le Download Festival. Ce fut donc à chaque fois le chanteur des groupes qui, de leurs mains innocentes (quoi que certains exprimèrent des doutes sur le dernier mot), tirèrent au sort deux vainqueurs. Chose amusante ce fut le plus motivé par le concert qui gagna le premier lot; comme quoi le karma existe bel et bien !

 

Après une courte pause, qui donna la chance à certains d’arriver ou de reprendre des forces, survint l’entrée fracassante de Nakht. Tout comme le précédent groupe, ce quintet parisien n’avait pas foulé les planches locales depuis un bon moment et on peut dire que leurs fans étaient au rendez-vous; chose amusante eux aussi accueillait pour la première fois ici un nouveau membre Pierre le second guitariste. Ce dernier faisait même preuve d’une certaine aisance au niveau scénique (voir photo).

La salle étant quasi complète, les pogos se furent tout de suite plus nombreux et les slams ne tardèrent pas à emmener quelques téméraires sur scène . Il faut dire aussi que cela fit plaisir à Danny, le chanteur du groupe, qui ne manqua pas de rappeler que c’était le public « le sixième membre [de leur] groupe » ! Un membre qui ne se fit d’ailleurs pas prier pour débuter quelques circle pits pendant le show. Le groupe se permit même de jouer en exclusivité leur tout nouveau titre Abyss et de finir leur concert par un gros Wall of Death. Malgré un set un peu plus court que celui d’U-Bilam et un rappel, le public n’eut pas le droit au retour de la bande sur scène. Il nous fallait alors patienter encore un peu si on voulait réentendre de la musique… Et c’est donc sans surprise que l’on revit Danny tirer les deux gagnants de la nouvelle tombola quelques minutes plus tard.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais c’est bel et bien après quelques dizaines de minutes de silence qu’un étrange bruit se faisait entendre depuis la salle de concert qui ne manqua pas de ramener les curieux : Wild Mighty Freaks diffusait en avant première leur nouveau clip (et morceau) Okay (comme annoncé sur les réseaux) ! C’est alors que Yaboy, samples et backing vocals, arriva titubant et crachant du sang avant de rejoindre son piano. Il est vrai que j’avais l’habitude d’un peu de mise en scène de la part du quatuor mais de ce niveau jamais ! Le groupe nous prévint d’ailleurs d’entrée : Il nous a prévu plusieurs surprises. Et c’est donc sans trop de suspense que s’ensuivit un inédit: By Telephone, un titre plus survolté encore que ceux de leur précédent EP ou que leur dernier single The Green Freestyle c’est donc en toute logique que les premiers pogos fusèrent à la grande surprise des fans du groupe moins attirés par le Metal. Car elle est là la force du groupe, de part ses influences Hip Hop, il n’a pas de mal à réunir tout type de public, fait s’illustrant parfaitement par les danses effectuées par la fosse. On pu aussi découvrir très rapidement un autre inédit intitulé Stay, Crazy Joe, le chanteur, nous rassura donc en nous disant une arrivée très prochaine de leur premier album (d’après certaines sources il arriverait vers la fin d’année). Malheureusement la fin approchant, il était temps de conclure… La bande décida donc de conclure leur show par ce qui l’avait commencé: Okay. Mais heureusement on eut le droit à du rab avec un titre rappelant aisément Jump Around de House of Pain où les deux chanteurs ne purent résister à l’envie de descendre dans la fosse pour sauter avec ses fans. La soirée se finit donc quelques minutes plus tard lors de la dernière tombola.

 

 

 

 

 

 

 

Pour conclure, un jeu beaucoup plus dynamique et plus énervé que leur version studio et même lors de ma dernière visite en décembre. Les saligauds avaient même améliorés leur jeu de scène. Serait-il l’effet Download ? En tout cas Wild Mighty Freaks me semble préparé à 100% à en découdre le 16 juin aux côtés de Marilyn Manson, The Offspring, Turbonegro, Meshuggah et bien d’autres. On ne peut donc que leur souhaiter de mettre le feu autant au Dowload Festival que lors de cette édition du Download Project !

  

Réalisation Report & Photos: © 2018 Gauvain GAGGINI

Tarja annonce son prochain album live qui fait suite au grand succès de « Act I » classé dans le top 10 des vidéos live ! Le nouveau « Act II » sera disponible le 27 juillet prochain sur earMusic.

Après le succès de l’album live « Act I » de Tarja classé dans le top 10 des vidéos lives, earMusic est heureux d’annoncer la sortie du très attendu « Act II » cet été. L’album live a été filmé pendant sa tournée mondiale « The Shadow Show » dans laquelle la chanteuse de metal symphonique a fait au moins 7 fois le tour du monde, traversé 300 000 kms et s’est produit dans 200 concerts dans 40 pays différents et devant plus d’un million de personnes, rien que ça. L’album live « Act II » a été filmé et enregistré lors de son concert au Metropolis Studio à Londres (Royaume-Uni) ainsi que dans un de ses concerts mémorables à Milan (Italie). On retrouve également dans « Act II » quelques interviews exclusives et des photos.

« Act II » mélange deux incroyables concerts bien que légèrement différents: Le premier chapitre « Metropolis Alive » a été filmé 2 mois avant la sortie de l’album « The Shadow Self » en 2016 qui a été un véritable succès. Vingt chanceux à travers l’Europe ont eu l’opportunité d’assister au très intime concert de 75 minutes au Metropolis Studio à Londres où la chanteuse de metal a interprété des morceaux exclusifs de son album , pour la première fois devant son public.
Le second chapitre de « Act II » a été enregistré le 29 Novembre 2016 au magnifique Teatro Della Luna à Milan et inclut des titres extraits des 4 albums de Tarja tels que « Innocence », « Die Alive » ou encore « Until My Last Breath » ainsi que l’incroyable cover du célèbre titre « Supremacy » de Muse.

La set list de ce concert a également enchanté les fans de la chanteuse à la voix soprano avec notamment un medley composé de morceaux de son ancien groupe Nightwish tels que « Ever Dream », « Slaying the Dreamer » et « The Riddler ». Pour combler le tout, Tarja a offert un set acoustique de qualité où elle a interprété ses plus grands classiques revisité avec beaucoup de fraîcheur.
Bien que les concerts de Tarja diffèrent en général au niveau du son , de l’adrénaline et de l’approche à la musique, ils ont tout de même quelque chose en commun : que ce soit du premier morceau au tout dernier, nous retrouvons la très belle énergie de la chanteuse qui nous charme par sa présence et sa grâce : « les vidéos live sont devenues des moyens de documentation où l’on peut regarder les performances du groupe grâce à une télécommande à distance. Les lumières du spectacle et les LED accompagnent les performances du groupe mais n’ont pas réellement de significations en soi. Avec « Act II » en revanche, c’est très différent. Ici tout a une signification , chaque détail est important car ce n’est pas seulement une vidéo live mais plutôt un « documentaire live».

Dans la vidéo, chaque morceau a été travaillé de manière à transmettre les sentiments que je voulais exprimer sur scène. Je voulais être le plus proche possible de mon public pour leur faire ressentir toutes mes émotions pendant ce concert. On a rajouté plus de séquences, d’extraits, de photos et plus de graphisme. On a également beaucoup travaillé sur les lumières, les cadrages, les reflets, les couleurs et on a inséré de nouvelles diapositives. On a également choisi de laisser certaines images pures et naturelles car elles représentaient bien ce qu’on voulait transmettre.
« Act II » garde l’énergie et l’esthétique de son prédécesseur mais on ajoute un nouveau chapitre a la saga de manière innovante. Éteignez les lumières, augmentez le volume et plonger au cœur du spectacle » Tarja.
« Act II » n’est pas une vidéo-live c’est une vidéo d’art et vous êtes libres de juger et d’en débattre, c’est d’ailleurs exactement ce que l’on cherche.

« Act II » sera disponible le 27 juillet sur earMUSIC en 2CD Digipak, 3LP, DVD, Blu-ray, MediaBook 2CD + 2BD (version limitée incluant deux concerts filmés au Woodstock Festival en Pologne ainsi qu’au Hellfest en France).

Coverslave Tribute Iron Maiden vient de dévoiler sa photo officielle, et vous offre un petit message de chacun des musiciens:

« C’est avec un énorme plaisir que nous publions la première photo officielle de Coverslave qui marque le retour sur scène du groupe et l’arrivée de deux nouveaux membres : Jeff Monaco (bass) et Cyril Saulnier (guitar). Nous vous attendons pour célébrer les meilleurs titres d’Iron Maiden lors de nos prochains concerts ! Chacun d’entre nous a tenu à vous écrire un message pour l’occasion » :

Stéphane Graziani (Vocals) : « Nous avons tellement de choses à partager qu’il va falloir des tonnes de concerts pour tout vous raconter, ce nouveau line-up me donne des ailes ! A bientôt les amis ! »

Cédrick Saulnier (Guitar) : « Fier d’accueillir au sein du groupe Cyril et Jeff, grands fans de la vierge de fer !!! Up the irons !!! »

Cyril Saulnier (Guitar) : « Heureux de rejoindre la troop ! Je suis impatient de monter sur scène et le meilleur reste à venir ! »

Jeff Monaco (Bass) : « Une seule chose à dire, on se voit dans les salles pour en prendre plein les oreilles et ça risque d’être plutôt bon ! »

Eric Martins-Guerra (Drums) : « Le nouveau Coverslave est déjà à 200% ! Alors, imaginez sur scène ! Il faudra que vous chantiez encore plus fort lors de nos prochains concerts ! »

Ne manquez pas la 1ère édition du Monsters Of Tribute Rock se déroulera à Woincourt (80), salle Vim’Arts. Iron Maiden, AC/DC et Kiss réunis sur scène avec Coverslave, Bloody Rosie et Dynasty. Un show exceptionnel avec les meilleurs morceaux de ces groupes légendaires. En invités : le groupe Gang qui écume les scènes françaises et européennes depuis plus de 25 ans et DnD, tribute Little Caesar, vainqueur du tremplin Vim’Arts. Pour compléter cette somptueuse affiche, un Metal Market vous attends avec de nombreux stands, vinyles, cd, vêtements et bien plus encore. Sans oublier une expo photos retraçant 40 années de prise de vues live, ou seront à l’honneur les groupes légendaires tels que Scorpions, Metallica, ZZ Top ou encore Deep Purple.

Ne tardez pas à vous procurer les billets collector en édition limitée, disponibles au tarif exceptionnel de 11€ ICI ou au 06 38 25 96 77. Nouveau : Ils sont aussi en vente chez notre partenaire officiel LP Vinyle à Abbeville (80). Les réservations sont également possibles via la FNAC, Carrefour…

   
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Peut-on juger une œuvre selon le contexte dans lequel elle a été conçue ? Faut-il souffrir, traverser des épreuves pour créer quelque chose d’unique ?

On est en droit de se poser la question en écoutant le cinquième album de Hangman’s Chair, le groupe avait failli raccrocher les gants après la sortie du précédent opus This Is Not Supposed To Be Positive, lassé du music business et du manque de reconnaissance publique. Mais les choses ont commencé à changer avec ce disque qui marquait un début d’évolution dans la musique des Franciliens, passant d’un sludge/doom malsain à quelque chose de plus mélodique et mélancolique, tout en gardant une base très lourde.

Et puis le destin s’est encore acharné : entre les problèmes de drogue (« 04 09 16 » qui évoque la journée en enfer passée par un des membres du groupe victime d’une overdose), la maladie enlevant les proches (« Negative Male Child » qui semble évoquer une rédemption face à une mère mourante), les insomnies à répétition (« Sleep Juice ») et les situations qui se répètent encore et encore (« Naive »). Tout était réuni pour que Hangman’s Chair disparaisse. Ou ponde un album… superbe.

Car autant le dire : sous une pochette, une iconographie et un titre, évoquant pour certains le Renaud des années quatre-vingt mais qui rappelle aussi l’ambiance noire du Tchao Pantin de Claude Berri, Banlieue Triste ne comporte aucun déchet.

Le groupe a sur ce nouvel album mis plus en avant sa facette mélodique et a réussi à créer un mélange juste plus que parfait de lourdeur sludge/doom et d’ambiances tristes marquées par des influences gothiques, post-punk ou grunge.

Surtout Hangman’s Chair, en plus d’être composé de musiciens et compositeurs aguerris, possède en son sein un chanteur d’exception : Cédric Toufouti. Celui-ci fait des merveilles sur la plupart des morceaux de Banlieue Triste (nous retiendrons particulièrement sa prestation pleine de feeling sur « Negative Male Child »), sa façon de poser sa voix et sa sensibilité évoquent presque Nina/Keith Caputo de Life Of Agony.

© William Lacalmontie 2018 toute reproduction interdite sans l’autorisation du photographe

Après une intro ambiante et très sombre, « Banlieue Triste », rappelant la bande originale d’un polar, Hangman’s Chair décline sur dix titres une mixture où nous croyons entendre le meilleur de Crowbar (les riffs de « 04.09.16 » et de « Full Ashtray » par exemple) mêlé à du Alice In Chains ou du Life Of Agony (« Naïve » et son refrain très prenant).

Tout est alternance entre lumière et obscurité dans la musique des Parisiens, cette dualité est d’ailleurs très bien exprimée par les passages en arpèges de guitare succédant à des riffs lourds (ou l’inverse). Parfois des effets d’écho sur la voix renforcent l’impression de mal-être aussi (« Naïve » et « 04.09.16 »).

L’atmosphère de Banlieue Triste est souvent nocturne comme sur « Sleep Juice », « Touch the Razor » et « Full Ahstray », surtout le groupe a osé, avec grande réussite, innover.

Ainsi nous trouvons deux longs titres sur ce cinquième album, le très dépressif « Touch the Razor » déjà, construit sur un crescendo alternant tensions et explosions colériques qui donne l’impression d’assister à l’hésitation d’un désespéré à sauter dans le vide. Ce morceau, à la noirceur abismale évoquant The Swans aussi, malgré ses 11 minutes 37 happe complètement. En long format signalons de même « Full Ahshtray », parfait mélange entre lourdeur sludge/doom oppressante, ambiances « seattleniennes » et break planant, qui s’achève par ce qui semble être un discours de George Bataille* qui conclue brillamment le disque.

Hangman’s Chair a aussi voulu mettre en avant ses influences gothiques avec « Tara », un intermède instrumental traversé d’effets electro qui rappelle le Sisters Of Mercy de Floodland.

Plutôt dans le même registre il y a aussi le très bon « Tired Eyes » qui voit la participation de James Kent de Perturbator, truffant ce titre doom gothique de passages électroniques, dignes de Josh Silver, qui le font se rapprocher du Type O Negative de World Coming Down plutôt que d’un titre de metal indus lambda. Autre intervenant extérieur, Marc DeBecker de Mongolito/Wolvennest fait pleurer sa guitare sur l’instrumental « Sidi Bel Abbes » dédié à l’ancien six-cordistes de Hangman’s Chair Sid Ahmed décédé en 2010.

Attardons-nous enfin sur le très mélodique et mélancolique « Negative Male Child » qui est une vraie réussite, ce titre triste est un vrai bonheur à écouter avec cet arpège rêveur couplé à la magnifique voix de Julien.

Une chose est évidente : Hangman’s Chair vient de sortir un album qui non seulement se positionne en tête des meilleures parutions de cette année 2018 et qui peut déjà être considéré comme un classique.

Cette banlieue est certes triste mais la traverser est un vrai plaisir pour nos sens auditifs.

*Remerciements à Philippe Lageat de Rock Hard pour cet éclaircissement

Liste des titres :

  1. « Banlieue triste »
  2. « Naive »
  3. « Sleep Juice »
  4. « Touch the Razor »
  5. « Tara »
  6. « 04 09 16 »
  7. « Tired Eyes »
  8. « Negative Male Child »
  9. « Sidi Bel Abbes »
  10. « Full Ashtray »

Disponible depuis le 9 mars 2018 sur Musicfearsatan et à priori limité à 2000 copies

 

 

 

 

 

Five Finger Death Punch, Top 5 dans 8 pays ! Le groupe réalise sa meilleure entrée au Top Album en France !

Le nouvel album de Five Finger Death Punch  « And Justice For None », est produit par Kevin Churko (Ozzy Osbourne, Disturbed, Papa Roach)

N°31 dans le Top Album !
Meilleure entrée jamais atteinte par le groupe en France !
N°1 en Allemagne, Autriche, Suisse, n°2 en Finlande, n°3 en Norvège, n°4 aux Etats-Unis, Australie, Suède, n°7 en Grande-Bretagne.

« Un disque contrasté et parfaitement réussi, qui laisse entrevoir un futur à la « Black Album » pour ce très grand groupe de metal » – MyRock (17,5/20)

Dispo en pré-commande ICI
Laissez-vous envoûter par la lyric video de « When The Seasons Change » ICI

Ecoutez « Sham Pain » ICI plus 1,7 millions d’écoutes sur YouTube

Ecoutez « Fake » ICI  plus 2,4 millions d’écoutes rien que sur YouTube

« And Justice for None », le 7ème album de Five Finger Death Punch sortira le 18 mai prochain sous les formats suivants :

– CD (13 titres, visuel de gauche ci-dessous)
– CD Deluxe (13 titres + 3 bonus et un design diffèrent visuel de droite ci-dessous )
– Vinyle (13 titres + 3 bonus, pochette double)
Digital (stream & téléchargement)

Le groupe propose également différents « bundles » (album + merchandising et goodies) à ses fans ICI

Si « Fake », le premier titre extrait du nouvel album de ce groupe californien, mainte fois couronné de disques d’or et de platine, avait clairement établi que Five Finger Death Punch n’avait peur de personne en terme de « metal coup de poing », avec le second, « Sham Pain », il proposait de découvrir une autre facette de ses talents à travers une irrésistible progression martiale toujours très puissante.

Avec « When The Seasons Change » , le quintette dévoile une formidable « power ballad » dotée d’une mélodie contagieuse comme seuls les groupes de « hard » savent nous en offrir. Un morceau mis en valeur par de superbes guitares bien sûr, mais aussi par le chant poignant d’Yvan Moody.

Hier soir,  Five Finger Death Punch a terminé sa tournée américaine en compagnie de Shinedown. Mi-juillet le groupe repartira sur la route avec Breaking Benjamin, Nothing More et Bad Wolves et assurera, en juin, la tête d’affiche de trois grands festivals américains.

On se souvient qu’en décembre dernier Five Finger Death Punch avait donné un concert archi complet à l’Olympia de Paris. Quelques mois avant, le groupe avait enchaîné deux impressionnantes prestations au Download Paris puis au Hellfest à Clisson, confirmant ainsi sa réputation croissante dans l’Hexagone. Le groupe est d’ailleurs en couverture du nouveau numéro du magazine MyRock !

Five Finger Death Punch est incontestablement l’un des principaux leaders de la scène “metal” du 21ème siècle. Depuis son émergence 2007, ses six albums ont tous été certifiés disques d’or et trois ont été consacrés disques de platine. Au total le groupe comptabilise plus de 2 millions de streams ! Et l’histoire n’est pas prête de s’arrêter.
 
Cliquez sur l’image pour écouter le podcast

« Prequelle » Le 4ème psaume sacré de Ghost est disponible aujourd’hui

Déjà n°1 des ventes sur Amazon
n°4 sur iTunes tous styles confondus !
« Ghost défonce ici complètement les carcans et les étiquettes… Diablement bien joué. Un disque rare et précieux. Un futur classique. » – Rock Hard (Album du Mois 9,5/10)
« Capable de fédérer les fans de tous les horizons. » – Metallian (Album du Mois 6/6)
Un très grand album, une réussite. L’ascension artistique est significativement fulgurante. – HardForce (chronique complète ICI)
« Chapeau. » – La Grosse Radio (9/10, chronique complète ICI)
« Un excellent album de bout en bout… d’une qualité saisissante. » – Rock Ur Life (4,5/5, chronique complète ICI)
« Si Prequelle initie une nouvelle ère pour Ghost, il ne remet pas en question les fondements du groupe : accessibilité et théâtralité. » – Radio Metal  (chronique complète ICI)
« On ne peut que se prosterner devant ce « Prequelle » – Music Waves (4/5, chronique complète ICI)

Ecoutez le titre en compagnie de Kirk Hammett (Metallica), Philip Anselmo (Down), Shadows (Avenged Sevenfold), Chino Moreno (Deftones), Charlie Benante (Anthrax) et bien d’autres fans du groupe.

Regardez le montage des vidéos qu’ils tous ont postées sur Instagram  ICI

Découvrez l’album ce soir à partir de 21H00 sur Heavy1 avec une interview de Tobias Forge

C’est 12 avril dernier que le groupe suédois Ghost, vainqueur d’un Grammy® Award en 2016, avait annoncé la sortie de son 4ème album !

Intitulé « Prequelle »  (prononcez prē-KWELL) il est enfin  disponible sur Spinefarm/Loma Vista Recordings (distribution française Caroline Int’l).

Le clip de « Rats » a déjà largement dépassé les 7 millions vues sur YouTube.

Mercredi 6 juin 2018,le Cardinal Copiaen personne rencontrera les fans du groupe à l’occasion d’une séance de dédicaces exceptionnelle. (la 1ère en France !) qui se déroulera à partir de 18h00 à la Fnac Bercy, 49-53 Cour Saint-Emilion, 75012 Paris

​ Ce mois-ci, vous pouvez retrouver Ghost & le Cardinal Copia en couverture des magazines Rock Hard et Metallian.

L’album est dispo sous trois formats principaux :

CD « Mintpak », vinyle & digital.
De plus, une version CD « cristal » limitée, avec un livret doté d’une couverture 3D lenticulaire, avec 2 titres bonus.
Une version « vinyle doré Deluxe » sous pochette épaisse avec les 2 titres bonus sur un 45 tours + un poster.
Enfin trois éditions limitées « vinyle clair marbré » dispo en version rouge, noir ou argent.

commandes ICI

Les fans ont attendu longtemps, certains ne sachant même pas qui se cachait sous les masques de ce groupe a priori anonyme… Finalement c’est Tobias Forge lui-même qui a récemment révélé qu’il était l’homme derrière Ghost. Il n’a échappé à personne que chacune des réalisations du groupe avait de nombreux points communs avec le lancement d’un film. En effet, tel un metteur en scène, Forge a toujours tout supervisé : de l’attribution des rôles de chaque personnage, à l’écriture du scénario, en passant par la conception des vidéos, des costumes, jusqu’à, bien entendu, la composition et l’interprétation de la bande son originale.

A ce stade de la saga Ghost, il est intéressant de noter que le Cardinal Copia a été nommé pour prendre les fonctions de chanteur sur ce nouvel opus. Faites sa connaissance à travers les trois premiers chapitres de cette nouvelle histoire…

épisode 1 : New Blood
épisode 2  : The Cardinal
épisode 3 : Back On The Road

C’est donc Copia qui aura la charge d’interpréter les textes de ces nouvelles chansons (voir la liste ci-dessous) qui, tour à tour, traitent de la peste, de l’Apocalypse ou de certaines périodes funestes de notre histoire. L’ensemble de ce disque ressemble à une sorte d’instantané du monde dans lequel nous vivons au quotidien, avec des morceaux qui se veulent être autant émotionnels qu’éclairants.

Regardez l’interview de Tobias Forge sur CNN ICI

« Prequelle » fait suite à « Meliora », et son EP « Popestar », deux disques qui ont permis à Ghost d’entrer au Panthéon des groupes rock et de gagner un Grammy®. Si aux États-Unis, « Meliora » a connu un succès phénoménal (Top 10 dans les charts du Billboard et plus de 250 000 albums vendus), la France n’est pas en reste. Chez nous, le groupe s’est produit dans l’émission de Canal + l’Album de la Semaine et a réalisé une Deezer Session de toute beauté. On a retrouvé Ghost en couverture de nombreux magazines, alors que le titre « He is » a été n°1 sur Oui FM, ce qui a d’ailleurs permis au groupe de remporter un Rock Award attribué par les auditeurs de la station. Ici « Meliora » approche des 40 000 exemplaires vendus. De plus, tous les concerts des Suédois dans notre pays ont affiché complet en un temps record. Le point d’orgue de cette tournée étant sans aucun doute le passage de Ghost parmi les têtes d’affiche du Hellfest 2016, ainsi qu’un fabuleux concert final, archi « sold out », à l’Olympia de Paris en avril 2017.

Après le premier chapitre d’une longue tournée américaine, le Cardinal Copia et ses goules seront d’ailleurs bientôt de retour en France pour deux festivals : le 15 juin au Download Paris à Brétigny sur Orge (B.A. 217), puis le 5 août à la « Hard Rock Session » de La Foire aux Vins de Colmar.

« Prequelle » liste des titres:

1- Ashes
2- Rats
3- Faith
4- See the Light
5- Miasma
6- Dance Macabre
7- Pro Memoria
8- Witch Image
9- Helvetesfonster
10- Life Eternal
11- It’s A sin (bonus, reprise de Pet Shop Boys)
12- Avalanche (bonus, reprise de Leonard Cohen)

Le premier album solo du guitariste de Symphony X, Michael Romeo, a pour titre « War Of The Worlds / Pt. 1 » sortira le 27 juillet 2018. Il sera disponible en CD, double LP et en édition vinyle limitée en 2 coloris.

Découvrez un extrait de cet album avec la lyric vidéo de « Black » :

Michael Romeo, né le 6 mars 1968, est le guitariste et leader fondateur du groupe de metal progressif Symphony X. Son jeu de guitare inspiré d’Yngwie Malmsteen est très virtuose et néoclassique dans les sonorités. Il a auparavant enregistré un album solo « The Dark Chapter ».

Son premier déclic fut Al Di Meola, puis par la suite le guitariste suédois Yngwie Malmsteen, auquel il voue une grande admiration. Il a participé à tous les albums de Symphony X (dont il est le principal compositeur) en compagnie du claviériste Michael Pinnella avec qui il se livre à des duels de solos. Il a auparavant fait partie du groupe Phantom’s Opera qu’il a quitté après le premier album pour divergences musicales mais a été invité à jouer sur deux morceaux du second.

Romeo propose des soli techniques, agrémentés de tapping et de sweeping, sa botte secrète étant ses vagues d’arpèges jouées en tapping avec sauts de cordes. Il peut atteindre des vitesses impressionnantes, tout en restant très propre. De même son jeu rythmique est original, basé sur des rythmes saccadés et cadencés. Sa musique fait preuve d’une grande connaissance harmonique avec des compositions modulantes et élaborées ainsi que des orchestrations classiques voire symphoniques. Notons également sa science des accords qu’il exploite en arpèges. Romeo utilise quantités d’échelles musicales avec une nette prédilection pour les gammes mineures et diminuées.

La difficulté des soli de Michael Romeo réside aussi dans l’utilisation parfaite de l’economy picking et d’un doigté « parfait » (utilisation de tous les doigts, et également des démanchés impressionnants). En plus de son jeu très rapide et technique, Michael déborde de musicalité et est considéré comme l’un des meilleurs guitaristes de sa catégorie, doublé d’un grand riffeur et d’un grand compositeur/arrangeur.

Il est également l’auteur d’une vidéo pédagogique « The guitar chapter ».
Michael Romeo a joué dans les deux albums solo de Timo Kotipelto (Stratovarius): « Waiting for the Dawn » et « Coldness ».

Découvrez « Road To Nowhere », le nouveau single du groupe de Death Metal Français AcoD

Après avoir foulé la scène principale du Motocultor 2017, celle du Hellfest Cult 2016 et après avoir réalisé plus d’une cinquantaine de concerts en France et même au Japon, AcoD s’est fait une place importante dans le monde du Metal Français.
Fondée en 2006 à Marseille, la formation offre une musique puissante et puise dans le meilleur de chacun des styles références de la musique extrême.
Possédant une expérience certaine en studio avec trois albums et deux EP, AcoD s’est aussi créé une renommée en jouant aux côtés de groupes tels que Dagoba, Benighted, Trepalium.
AcoD prépare son quatrième album intitulé « The Divine Triumph », qui verra le jour chez Sony Jive Epic France lors de la rentrée 2018.

La 37ème édition du Cahors Blues Festival se déroulera du 14 au 18 juillet 2018. Avec au programme cette année: Sanseverino, Steve Strongman, Manu Lanvin, Bette Smith, Eric Gales…

Crée en 1982, le Cahors Blues Festival est l’un des festivals de blues français les plus anciens mais aussi les plus reconnus .

En 2014, l’état du Mississipi a décerné un « Mississippi Blues Trail Marker » afin d’honorer le festival pour son investissement dans la promotion et le développement du blues en France et en Europe. En 2016 , c’est la Memphis Blues Foundation qui lui décerne un « Keeping the Blues Alive Award » (Seuls 9 autres festivals, hors Etats-unis ont reçu cette distinction.)

Le Cahors Blues Festival fait bien sûr parti du patrimoine incontournable de la ville de cahors.

Le Cahors Blues Festival met en avant toutes la palette du blues de ses origines du Delta du Mississippi aux blues-rock en passant par la soul music. Qu’ils soient débutants ou confirmés, les meilleurs représentants seront une fois encore là , pour le plaisir d’un public toujours plus nombreux .

Toujours soucieux de satisfaire le plus grand nombre, le festival se développe sur la scène IN (payante) mais aussi très largement sur le Off (gratuit). Ainsi tous les jours au Village du Blues à partir de 16h : Concerts gratuits, Animations, Exposition, Dégustation Restauration, avec une Nouveauté, les déjeuners musicaux à 12h, ambiance unique !

A noter : le 16 juillet à 14h demi finale de l’International Mississippi blues Trail Challenge avec 8 concerts, et à partir de 19h, concerts de Blues dans la ville.

L’édition 2018 est dédiée à Léo Bud Welch, magnifique et authentique bluesman décédé en 2017 que le Cahors blues festival a contribué a faire découvrir au grand public .

Une édition d’anthologie qui s’inscrira en lettres majuscule dans l’histoire du festival.

Infos pratiques :

Réservations ICI
Pass 4 jours : 110 euros ( env) – Pass 1 jour : 37,5 euros  Gratuit pour les enfants -12 ans .