Ensiferum [Acoustic Live] + Trio de Facto – Mardi 11 Décembre à La Machine [Paris]

Après des années de concerts et tournées, Ensiferum nous propose une nouvelle formule cette année, à travers ce show acoustique !

En acceptant ce défi, le groupe a souhaité apporter un aspect totalement nouveau à ses performances.

Morceaux en exclu ou revisités, l’énergie du groupe n’en sera pas perdue pour autant !

A découvrir le Mardi 11 Décembre prochain sur la scène de la Machine du Moulin Rouge avec en première partie Trio de Facto !

Préventes disponibles ICI et dans les points de vente habituels

The Dead Daisies donnera 2 concerts en France, à Lyon / CCO vendredi 30 novembre et à Marseille / Le Moulin, vendredi 07 décembre 2018.

Inspiré par le rock des 70’s et 80’s, le son de The Dead Daisies est expressif et accessible. A mi-chemin entre Aerosmith, Bad Company et Foreigner, on y retrouve tous les codes qui ont façonné les plus grands groupes de l’histoire : une voix puissante, des riffs bluesy et acérés, des refrains terriblement efficaces et des mélodies musclées.

Grâce à des performances époustouflantes, les fans à travers le monde ont découvert un groupe qui ramène enfin le Rock’n’Roll à la vie. Après avoir vu défiler des musiciens de renom, The Dead Daisies compte désormais sur un line-up à faire pâlir les plus gros big band du rock : John Corabi (Mötley Crüe, The Scream) au chant, le bassiste Marco Mendoza (Thin Lizzy, Whitesnake), le monstrueux Deen Castronovo (Journey, Bad English, Hardline) à la batterie, le légendaire Doug Aldrich (Whitesnake, Dio) à la guitare lead et enfin David Lowy (Red Phoenix, Mink) à la guitare rythmique.

Depuis qu’ils se sont révélés au grand jour en 2012, l’ouragan Dead Daisies a sorti 4 albums et tourné avec les plus grands groupes comme ZZ Top, Aerosmith, Lynyrd Skynyrd, Judas Priest

Le dernier en date, « Burn It Down », sorti en avril 2018 n’est ni plus ni moins que la meilleure sortie des Americano-Australiens à ce jour. 2018 sera définitivement l’année Dead Daisies : le rock est vivant et il se porte à merveille !

Dirty Dogz, le plus australien des groupes français, vient de mettre en ligne la vidéo live d’un nouveau titre, enregistré le 13 octobre 2018, lors du concert @ Notre Dame de Gravenchon / L’A.R.C.A.D.E – Live report ICI

Découvrez l’énergie et la puissance de « New Bitch » :

Après des années à autopsier et décortiquer chaque organe du bon vieux Hard Rock Australien, Dirty Dogz en a extrait son ADN.
Une base rythmique (Basse / Batterie) solide et qui ne faibli jamais, une voix puissante et éraillée, des riffs et gimmicks bluesy d’une efficacité redoutable.
Bilan de l’opération, des titres fédérateurs, un son chaud et vintage et surtout une énergie scénique tout en puissance.
Un E.P 4 titres est déjà disponible depuis mars 2018.
C’est en live que Dirty Dogz prend toute sa dimension… A découvrir d’urgence !
 

Ginger annonce que la quatrième édition du festival Retro C TROP aura lieu le samedi 29 juin et le dimanche 30 juin 2019 au Château de Tilloloy (lieu classé monument historique) près de Roye (Somme, Picardie, Hauts-de-France, France) !

Samedi 29 juin 2019 :
– Stray Cats : 22h30
– Midnight Oil : 20h15
– Les Négresses Vertes : 18h15
– The Zombies : 16h30
– The Shiels (ex Sons of the Desert) : 15h
– The Spunyboys : 00h00 (scène 2)

Dimanche 30 juin 2019 :
– Tears for Fears : 23h
– UB40 (featuring Ali et Astro) : 20h45
– The Dire Straits Experience : 18h45
– Les Innocents : 16h45
– Popa Chubby : 15h

Cette année a lieu l’arrivée pour la première fois d’un tremplin « Heroes », il suffit d’envoyer vos démos du 5 au 24 mars 2019, inscription sur le site du festival.

Les auditions ont lieu le 13 avril à l’Espace Saint André d’Abbeville et le 19 avril au Théâtre de l’Avre de Roye.

Les groupes séléctionnés sont :
– Espace Saint André d’Abbeville : Dépassés, Last Night We Killed Pineapple, Loris & The Buskers, The Swinging Dice
– Théâtre de l’Avre de Roye : For The Hakers, François Long, Pleasure, Verso

Billetterie ci-dessous (GINGER.FR ou 03 22 89 2000) :
Le samedi :
54 euros (tarif debout)
77 euros (tarif assis)
5 euros : Enfant – 12 ans (tarif debout)
25 euros : Enfant – 12 ans (tarif assis)

Le dimanche :
54 euros (tarif debout)
77 euros (tarif assis)
5 euros euros : Enfant – 12 ans (tarif debout)
25 euros : Enfant – 12 ans (tarif assis)

Les 2 jours :
93 euros (tarif debout)
139 euros (tarif assis)
10 euros : Enfant – 12 ans (tarif debout)
45 euros : Enfant – 12 ans (tarif assis)

Pass Camping :
5 euros/jour (samedi ou/et dimanche)

Également disponible dans le réseau FNAC / AUCHAN / CARREFOUR / LECLERC / GEANT.

Vente des places depuis le 7 décembre 2018 10h.

Un peu d’historique du festival :
première édition
seconde édition
troisième édition

Note : L’article sera mis à jour régulièrement.
03/12/2018 15h : Ajout des deux premiers groupes présents : Midnight Oil (29 juin), et Tears for Fears (30 juin) + ouverture de la billetterie le 7 décembre.
13/12/2018 10h30 : Ajout de Stray Cats (29 juin).
27/01/2019 12h : Ajout de Popa Chubby (30 juin).
15/02/2019 20h : Ajout de The Shiels, ex Sons of the Desert (29 juin).
18/02/2019 20h : Ajout des Négresses Vertes (29 juin).
04/03/2019 22h : Annonce de l’ouverture du tremplin « Heroes » et de l’arrivée d’une seconde scène.
05/03/2019 09h : Ajout d’UB40 (30 juin).
19/03/2019 17h : Réorganisation de l’ordre des noms de groupes
25/03/2019 20h : Ajout de 2 dates d’auditions gratuites, la première à l’Espace Saint André d’Abbeville (13 avril) et la seconde au Théâtre de l’Avre de Roye (19 avril).
30/03/2019 18h : Ajout des groupes auditionnés à l’Espace Saint André d’Abbeville : Dépassés, Last Night We Killed Pineapple, Loris & The Buskers, The Swinging Dice et Théâtre de l’Avre de Roye : For The Hakers, François Long, Pleasure, Verso
03/04/2019 21h30 : Ajout de The Zombies (29 juin), Les Innocents (30 juin), The Spunyboys (29 juin), The Dire Straits Experience (30 juin).
05/04/2019 22h25 : Ajout de l’affiche sans le résultat du Tremplin Heroes
13/04/2019 18h15 : Ajout des affiches du tremplins Heroes d’Abbeville et de Roye
15/06/2019 17h30 : Ajout des horaires

Pour plus d’informations :

Nashville Pussy enchaine les tournée en Europe et particulièrement en France, comme le prouve cette nouvelle série de 8 dates sur notre territoire. A peine le temps de repartir aux States, après plusieurs concerts au cours du mois d’août, dont un passage remarqué au Motocultor Festival, et voilà déjà le groupe de retour pour défendre son dernier album « Pleased To Eat You », fraichement sorti.

C’est dans la sympathique salle des « Cuizines » à Chelles que le quatuor mixe va déployer toute son énergie pour animer cette fin de journée dominicale. La soirée débute avec Johnny Mafia, groupe originaire de Sens, qui délivre un rock dans la lignée des Ramones, mais avec ne mise en place pour le moins brouillonne. La jeunesse du groupe explique certainement ce manque de maturité, même si leur bonne volonté est évidente pour mettre un maximum d’intensité dans leurs compositions. ça bouge bien, mais la marge de progression est telle qu’il va falloir encore du travail pour présenter un set plus abouti. Cela n’empêche que l’opportunité d’ouvrir pour Nashville Pussy ne se refuse pas, et cela restera certainement un grand souvenir pour cette jeune formation.

Ted Nugent en guise d’intro annonce l’arrivée des Pussies, qui envoie le puissant « Kicked In The Teeth » en entame de set. Un petit « Piece Of Ass » des familles pour booster l’ambiance, et l’on s’aperçoit le la bande à Blaine est en forme olympique ! Nashville Pussy est le groupe live par excellence, qui délivre une énergie et une puissance sans faiblir une seule seconde ! Du pour Hard Rock n’ Roll comme on l’aime, et les titres du nouvel opus sont dans la même veine, toujours très efficaces.

L’ensemble de ces ingrédients se retrouvent sur les extraits de « Pleased To Eat You », dont l’irrésistible « We Want War » et le dévastateur « Go Home And Die » démontrent une envie d’en découdre à chaque instant. La pile électrique Ruyter captive les regards, toujours aussi survoltée, envoyant les riffs et solos hyper tranchants.

Blaine va également prouver qu’il est un véritable showman, le pied de micro s’en souvient encore ! Et que dire de sa manière bien à lui de se désaltérer, avec une bière versée dans son chapeau…

La set list ne comporte aucun temps mort, comme avec l’enchainement imparable des 4 tueries que sont « Go To Hell », « I’m So High », « I’m The Man » et « Why Why Why » ! Ces titres devenus incontournables résument à eux seuls la qualité des compositions, qui associent le côté entrainant des mélodies avec l’agressivité d’une rythmique en béton. ça envoie vraiment du lourd du côté des lignes de basse de Bonnie, surplombées par la dynamique frappe de Ben.

Un petit « Go Motherfucker Go » sur-vitaminé viendra achever un set mené tambour battant, envoyant à la face d’un public conquis, ce qui ce fait de mieux en matière de Heavy Hard Rock n’Roll ! On ne s’en lasse pas !

Vivement la prochaine tournée pour vivre de nouveaux moments aussi intenses… Quelque chose me dit qu’un retour en 2019 en Europe est possible, affaire à suivre !

Un grand merci à Toma et Rage Tour de nous avoir facilité les choses pour les accréditations et photos.

Report & photos © 2018 Marie-France & Alain BOUCLY

L’album d’Eric Bibb « Global Riot » – featuring Habib Koité et Solo Cissoko – est disponible depuis le 26 octobre 2018 via Dixiefrog/pias.

Retrouvez Eric Bibb en concert:
– Le 11 janvier 2019- Paris / Théâtre Traversière (en solo)
– Le 09 mars 2019 – Le Thor / Auditorium (quintet avec Solo Cissoko)
– Le 12 mars 2019 – Nantes / La Bouche d’Air (quintet avec Solo Cissoko)
– Le 15 mars 2019 – Massy / Paul B (quintet avec Solo Cissoko)
– Le 16 mars 2019 Bourges / Maison de la Culture (quintet avec Solo Cissoko)

Et si Eric Bibb avait enfin trouvé la formule idéale, fusion d’un blues groovy innovateur et contemporain puisant aux racines de l’Afrique aussi bien que dans le reggae et le gospel ? Une bonne quinzaine de musiciens de haut-vol, américains, européens, jamaïcains et deux stars africaines, le malien Habib Boité et le sénégalais Solo Cissokho ont participé à l’étonnante aventure de « Global Riot ».

Un pur régal !

Au cours d’une carrière qui couvre déjà près de cinq décennies, Eric Bibb ne s’est jamais reposé surses lauriers. Toujours en mouvement il a plus d’une chanson à sortir de sa besace et il nous en ressort vingt-quatre d’un coup issues de nombreux horizons pour ce « Global Riot » bien nommé puisque enregistré en France, en Suède, en Jamaïque, au Ghana, au Canada, au Royaume Uni et aux USA !

Si l’expression trop galvaudée « musiques du monde » n’était pas si problématique, nul doute qu’elle conviendrait pour définir l’approche d’Eric Bibb. Cependant qu’on ne s’y trompe pas. Il est d’abord et avant tout, un « blues brother », un bluesman de la vieille école qui cherche à élargir ses horizons. Au cours de ses pérégrinations autour du globe, il a eu le bonheur de côtoyer toutes sortes d’extraordinaires musiciens dont certains sont devenus des « âmes soeurs ». On en retrouve certaines rassemblées pour ce disque : notamment le guitariste suédois Steffan Astner ; la légende du reggae jamaïcain Ken Boothe ; quatre pointures des scènes nord-américaines à savoir Big Daddy Wilson, Harrison Kennedy, Michael Jerome Brown et Linda « Big Mama » Tillery, fondatrice du Cultural Heritage Choir, et surtout deux remarquables musiciens originaires d’Afrique de l’Ouest, le griot malien Habib Koité qui contribua largement au succès de l’album « Brothers in Bamako » et le Sénégalais Solo Cissokho dont la kora inspirée contribue à la réussite de plusieurs plages ; sans oublier enfin les harmonies célestes d’Ulrika, l’épouse d’Eric.

Si l’on excepte quatre morceaux traditionnels et deux reprises, les dix-huit titres originaux sont tous cosignées avec des musiciens participant à l’album ce qui fait de ce « Global Riot » l’oeuvre la plus collective jamais réalisée par Eric.

Les deux reprises ponctuent et indiquent la voie choisie par l’artiste, deux chansons de combat enregistrées dans les années 50. « Last Night I Had the Strangest Dream » de Ed Mc Curry a été l’hymne du mouvement de la Paix, chanté par des enfants lors de la destruction du mur de Berlin et repris notamment par Simon & Garfunkel et Johnny Cash. « Black, Brown and White » est sans doute le morceau le plus revendicatif écrit par le bluesman Big Bill Broonzy à l’époque de la ségrégation aux USA et dont on découvre, hélas, que le sujet reste d’actualité.

Enfin, dans sa nouvelle composition « Hoist Up the Banner » Eric nous dit qu’il ne se voit pas particulièrement en porte-étendard ou en partisan mais qu’il lui faut bien clamer la cause de l’humanité et de l’amour face aux vents mauvais qui gagnent du terrain ici comme ailleurs. Plus que jamais voilà un artiste qui démontre qu’il est en parfaite résonance avec son temps et attentif à ce qui se passe à travers la planète.

Bad Fat & Napoleon Maddox seront sur la scène du New Morning à Paris le 22 novembre 2018

Au milieu des années 90, MC Solaar affirmait haut et fort :
« Si le rap excelle, le jazz en est l’étincelle ».
20 ans plus tard, il faut reconnaître que la réciproque est vraie.
Toute une génération de musiciens biberonnée au hip hop a redonné un sang neuf à une musique centenaire. Ainsi Bad Fat connait ses fondamentaux et pioche autant chez Don Cherry que Public Enemy pour faire le lien entre tradition et modernité.

Dans la foulée des fanfares contemporaines, Bad Fat revendique s amarque de fabrique et fait l’unanimité sur scène avec Napoleon Mabdox dont la verve endiablée irradie cette musique aux forts accents funky.

Line Up:
Napoléon Maddox (USA) : MC
Jay Ree P : MC
Erik Sevret : Saxophone
Franck Bougier : Trombone
Alexandre Leguillon : Trompette
Paul Gélébart : Sousaphone
Ludo Bozec : Batterie
Remi Savin : Batterie

Bonjour et bienvenue pour une nouvelle chronique concert ! Aujourd’hui on va s’intéresser à la venue exceptionnelle de Shinedown en Europe et de leur date à Paris le 9 novembre 2018. Et quoi de mieux pour fêter ça que deux premières parties ?!

 

La soirée débuta donc avec Press To Meco ; un trio anglais officiant dans l’Alternative Rock. On découvrit alors un premier set plus orienté Emo Rock et Alternative Rock avant d’être surpris par des chansons plus orientées Metalcore ou Groove ; mais toujours avec cette teinte Rock ; du moins dans la voix. Une setlist que j’ai trouvé pour le coup mal équilibrée pour des non-initiés au groupe. Ainsi je ne fus pas trop charmé par leur performance Live. Mais c’est à relativiser car dur de montrer en 30 minutes l’étendue de notre discographie.

S’ensuivit ensuite Starset ; la raison de la venue de plusieurs personnes dans la fosse visiblement quand l’on s’attardait un court instant sur les tshirts qu’elles arboraient. Le groupe a de suite imposé une toute autre ambiance avec ses costumes, orientés futuristes et cosmonautes, et des écrans latéraux. Le septuor jouait en effet la carte du spectacle à fond pour illustrer leur Cinematic Rock. La foule s’anima dès lors que les écrans s’allumèrent et que les premiers membres arrivèrent ; elle ne se calma que lors des dernières notes jouées (au bout de 45 minutes). Malgré deux violoncelles et un violon, le groupe est quand même très typé FM avec ses samples et son clavier notamment. Mais la musique sut faire mouche et délier les membres de certains ; et après tout cela nous a permis de bien nous échauffer avant Shinedown.

Là, finit les écrans, bienvenue sur une scène plus brute et simple : le groupe seul suffira ! On eut donc le droit à une avalanche de hits dès les premiers morceaux avec Devil, Diamond Eyes (Boom-Lay Boom-Lay Boom), Cut The Cord… Bref la machine était lancée et il fut très dur de l’arrêter en si bon chemin ; les pogos et slams n’eurent donc pas beaucoup de mal à éclater. Le groupe maria les titres Rock’N Roll et les balades tout au long du show, tels les morceaux acoustiques The Crow & The Butterfly ou Simple Man, qui fut pour l’occasion dédié à un de leur roadie ayant perdu son père ; un moment très chargé en émotion.

  

Brent Smith, le chanteur fut comme au Hellfest une pure bête de scène sachant jouer avec son public, lui apporter à boire, ou encore de le prier de s’écarter de quelques pas pour éviter d’écraser d’avantage les premiers rangs. Ce qui nous donna une belle ambiance de communion et qui ne put empêcher les fans de partir avec le sourire. Certes avec plus d’une heure trente on aurait pu finir sur notre faim ; mais le concert était tellement intense que le groupe avait trouvé la balance parfaite pour nous garder captivé tout du long.

Bref, un concert excellent qui était pour moi mon premier Shinedown en salle et qui se révéla être beaucoup plus impressionnant qu’au Hellfest ! Donc aucun regret et je ne raterais pour rien au monde un autre de leur concert !

 

Réalisation Report & Photos: © 2018 Gauvain GAGGINI

« Weird And Wonderful Tales », le 1er albun duo Rennais Bâton Bleu est disponible depuis le 9 novembre 2018 via Dixie Frog/Pias.

Pour ceux qui aiment : Captain Beefheart, Tom Waits, Nick Cave, Karen Dalton, Leadbelly, Blind Willie Johnson.

Après plus de 120 concerts à travers l’Europe, le duo rennais sort enfin son premier album, « Weird And Wonderful Tales » ! et quelle réussite !

Ce duo acoustique nourri au blues primitif, joue une folk venue d’ailleurs. Avec ses instruments traditionnels surprenants (luth mongol, kalimbas…) Bâton Bleu crée une musique qui relie les États-Unis à l’Asie Centrale, l’Afrique et la Méditerranée. Gautier et sa voix rocailleuse, Maria et sa voix céleste, nous racontent des histoires “bizarres et merveilleuses” qui pourraient être les nôtres.

Ce duo acoustique nourri au blues primitif, joue une folk venue d’ailleurs. Avec ses instruments traditionnels surprenants (luth mongol, kalimbas…) Bâton Bleu crée une musique qui relie les États-Unis à l’Asie Centrale, l’Afrique et la Méditerranée. Gautier et sa voix rocailleuse, Maria et sa voix céleste, nous racontent des histoires “bizarres et merveilleuses” qui pourraient être les nôtres.

Découvrez la vidéo du titre « Yourgo » extrait de l’album « Weird And Wonderful Tales » :

Maria Laurent est chanteuse dans les groupes de musique du monde Meïkhâneh (Buda Musique) et Amou Daria. Elle a forgé sa technique vocale en explorant des timbres et des textures vocales très variées.

Les chants longs des steppes mongoles, les invocations du griot, le Fado des bars de Lisbonne mais également l’émotion de Billie Holiday ou la malice groovy de Sister Rosetta Tharpe sont autant d’influences qui inspirent son chant émouvant.

Nourrie dès son plus jeune âge au blues, son appropriation singulière d’instruments tels le banjo ou le luth mongol (tovshuur) amène sang neuf et énergie dans des pratiques séculaires.

Chanteur à l’énergie volcanique, Gautier Degandt commence sa carrière dans la scène underground en tant que chanteur et fondateur d’un groupe post punk tribal chanté en grec ancien, Heraclite.

Son amour des chants bruts et puissants l’amène à travailler sa texture vocale dans des registres allant de la profondeur de Leadbelly au rocailleux Blind Willie Johnson, en passant par la force solennelle de Nick Cave ou encore l’urgence sensuelle et sauvage de James Brown.

Son imaginaire artistique, également nourri des cultures grecques et méditerranéennes, rend sa pratique musicale surprenante et singulière.

Sa passion pour le blues et son expression contemporaine doivent beaucoup à sa rencontre avec le bluesman Seth Augustus, lui même élève du célèbre et regretté Paul Pena.

Gautier chante également dans Visage Brûlé, un quatuor Transe Afro Rock qu’il a fondé à Rennes en 2016.

Bâton bleu crée une nouvelle musique populaire, cosmopolite. Un tissage transparent reliant l’Asie centrale, l’Afrique, les États-Unis et l’Europe en un collage magistral de nos temps modernes, avec un sens ancestral de la chanson.” (Seth Augustus, San Francisco)

“Un spectacle inspirant et captivant. Imaginez un croisement entre le blues des bayous, la musique mongole et la musique africaine, et vous commencerez à imaginer à quoi peut ressemble ce duo. Magnifique !” (Elder C. Roche, Berlin)

“Scéniquement, ils ont un côté White Stripes. Musicalement, c’est beaucoup plus nébuleux… Folk Frenchie qui invite à taper du pied, country marécageuse sortie du bayou ? Ou bien carrefour inimitable de style New Orleans bluesy aux accents méditerranéens ? Ha, je vous l’avais dit c’est bizarre! Et excitant…” (Festival I’m From Rennes 2017)

“Weird and Wonderful” Thanet Extra (UK Newspaper).

“Folk venu d’ailleurs” (Ouest France)

La tournée Française de Tommy Emmanuel commence mardi 13 novembre 2018 au Casino de Paris !

L’album de Tommy Emmanuel « Accomplice One » est disponible en CD digipak, vinyle & digital via Mascot Records et The Players Club.

« Brillant mais pas démonstratif. Un virtuose sobre, la chose est rare. » – Rock & Folk »Sa culture pop (Beatles en tête) transpire tout au long de ce bel album. » – Guitar Part
« Un nouvel album étourdissant. Son incroyable habileté éclate littéralement sur ce disque. » – l’Alsace
« Le maître de la guitare acoustique nous offre un album de haute volée et célèbre les noces du talent et du plaisir de jouer. Indispensable ! » – Music Waves 5/5, chronique complète ICI

Regardez la vidéo de  » Looking Forward To The Past » [feat. Rodney Crowell] :

Regardez la vidéo de  » Borderline » [feat. Amanda Shires] :

Regardez la vidéo de « (Sittin ‘On) The Dock Of The Bay «  [feat. J.D. Simo] :

Ecoutez-le en session et en interview sur FIP ICI

Au début de l’année Mascot Label Group a lancé lance une nouvelle « marque », The Players Club, avec la signature du guitariste australien Tommy Emmanuel et la sortie, de son nouvel album « Accomplice One ».

Sur ce disque Tommy a décidé de mêler de nouveaux morceaux à des reprises interprétées avec des invités tels que Jason Isbell, Mark Knopfler, Rodney Crowell, Jerry Douglas, Amanda Shires, Ricky Skaggs, J.D. Simo, David Grisman, Bryan Sutton, Suzy Bogguss.
Artiste mondialement reconnu par les « spécialistes », Tommy Emmanuel est un guitariste acoustique expert dans l’art du « picking ». Son style s’inscrit dans la lignée de Chet Atkins, Merle Travis ou Marcel Dadi.

Comme l’illustrent brillamment les trois vidéos ci-dessus, Tommy met sa virtuosité au service de genres allant de la pop au folk en passant par le jazz, le blues, le boogie ou le rock. Sur scène, sa maîtrise de la guitare sèche prend une dimension encore plus impressionnante. Eric Clapton a carrément dit de lui qu’il était : « the greatest guitar player I ever seen ».

Je vous laisse apprécier son talent sur cette reprise hallucinante de « Sultans of swing » :

Si après ça vous n’avez pas envie de le voir en concert !

Tournée française 201813/11, Paris @ Casino de Paris
14/11, Cléon @ La Traverse
16/11, Sausheim @ Eden
17/11, Lyon (Villeurbanne) @ Espace Tonkin – (Complet)
18/11, Marseille @ Silo
locations ICI