Trois ans après « Night Goes On For Days », Koritni revient avec « Rolling », son cinquième album studio !
Mixé comme son prédécesseur par le talentueux Kevin Shirley (Iron Maiden, Joe Bonamassa, Aerosmith…), et masterisé par Ryan Smith (AC/DC,Guns N’ Roses, Greta Van Fleet…), « Rolling » est composé de 11 bombes Classic Rock qui présentent le groupe australien au top de sa forme.
On retrouve sur l’album des guests de prestige tels que : Pat McManus,John Coghlan, Vivi Brusco & Farid Medjane.
Rythmiques de plomb, riffs acérés, solos inspirés, et performance vocale de haut vol du charismatique Lex Koritni sont au programme de « Rolling », qui confirme une fois de plus que Koritni est sans conteste l’un des plus talentueux groupes de (Hard) Rock australien de sa génération.
Après avoir foulé la scène principale du Motocultor 2017, celle du Hellfest Cult 2016 et après avoir réalisé plus d’une cinquantaine de concerts en France et même au Japon, AcoD s’est fait une place importante dans le monde du Metal Français.
Fondée en 2006 à Marseille, la formation offre une musique puissante et puise dans le meilleur de chacun des styles références de la musique extrême.
Possédant une expérience certaine en studio avec trois albums et deux EP, AcoD s’est aussi créé une renommée en jouant aux côtés de groupes tels que Dagoba, Benighted, Trepalium, Anaal Nathrak.
Le nouvel album d’AcoD intitulé « The Divine Triumph », sortira le 24 août 2018.
Découvrez le clip du nouveau single « Broken Eyes » :
The Living End sera en concert à Paris / Backstage By The Mill samedi 18 août 2018.
« Wunderbar », leur huitième album sortira le 28 septembre prochain.
Découvrez un extrait de cet opus avec « Don’t Loose It » en vidéo:
Après avoir fait une belle tournée en 2017 avec notamment plusieurs dates dans leur pays natal, le trio de Punk Rock australien est de retour sur scène de l’autre côté de la planète pour une date parisienne qui s’annonce très prometteuse !
The Living End a un beau parcours depuis sa formation au lycée à Melbourne en 1994.
Le groupe enchaîne depuis les récompenses : n°1 des charts, 4 disques de platines, 6 awards aux APRA (Australian Song of The Year) et se produit dans tous les festivals et sur tous les continents !
Leur septième album « Shift » sorti en 2016 a été écrit et composé avec beaucoup de sincérité. C’est un album authentique qui parle à la fois d’amitiés de longues dates, de nouveaux ennemis, de triomphes et de défaites, de regrets et de fiertés.
Une chose est sûre, Chris Cheney, Scott Owen et Andy Strachan n’ont jamais eu peur de sortir l’artillerie pour s’exprimer dans leurs chansons.
Sur scène comme dans la vie, le groupe est à la fois révolutionnaire et résistant et ça se ressent dès les premiers riffs de guitare !
Bare Teeth semblent se plaire en Asie : après une tournée d’une douzaine de date au Japon et en Chine en avril dernier, le combo punk/rock lillois lance le concept du week-end tour dans l’Empire du Milieu, rien que ça.
Bare Teeth jouera en tête d’affiche du festival de Nanyang le 17 Août, ainsi qu’à Jiaxing le 18 Août (Messenger Live House). Court, rapide et intense, à l’image de leur musique. Pan!
Lors de leur tournée japonaise en Avril dernier, Bare Teeth a pu réitérer le featuring qu’ils ont fait avec Steve Rawles, le chanteur de Belvedere (Canada), sur leur dernier disque « First the town, then the world ». Le groupe a exécuté « These Towns Need Guns » en live avec la légende du skatepunk canadien, à la plus grande surprise des fans japonais, lors du tour final de la tournée Punk Rules Okay 2018 à Tokyo, réunissant Belvedere, Darko, Almeida, Waterweed et Bare Teeth.
« Shades », le nouvel album de Doyle Bramhall II– Sortie le 05 octobre 2018. Il sera disponible dans les versions suivantes: CD digisleeve, double vinyle + MP3 & digital.
Regardez la Lyric video de « Everything You Need » (feat. Eric Clapton) :
Fils du célèbre batteur Doyle Bramhall (bien connu pour avoir accompagné feu Stevie Ray Vaughan), Doyle s’est fait son propre nom en tant que guitariste, chanteur, producteur et auteur/compositeur grâce à 4 albums solo et ses collaborations avec des artistes tels que Roger Waters, Elton John, Gregg Allman, Allen Toussaint, T-Bone Burnett, for Sheryl Crow and The Tedeschi Trucks Band… pour n’en citer que quelques’uns.
On retiendra aussi sa participation au sein de Arc Angels, un « super group » monté avec Charlie Sexton (Bob Dylan) et la section rythmique de Double Trouble (Chris Layton à la batterie et Tommy Shannon à la basse), ainsi qu’un passage éphémère au sein des Fabulous Thunderbirds de Jimmy Vaughan.
Il a bien sûr également passé plus de 10 ans auprès d’Eric Clapton en studio et sur scène.
Bref, de Doyle Bramhall II est une pointure, une sommité, de la scène blues rock américaine.
Pour ce disque il s’est entouré de musiciens avec qui il collabore depuis des années : le bassiste Chris Bruce, le multi-instrumentiste Adam Minkoff, ainsi que les batteurs Carla Azar et Abe Rounds. Mais aussi des amis tel qu’Eric Clapton, Norah Jones, The Tedeshi Trucks Band ou Austin Buds The Greyhounds.
9 août, 2018 – Avant-hier High On Fire avait décidé de révéler – en exclusivité sur NPR – un premier extrait de son futur nouvel album, une chanson qui donne son titre à ce disque, « Electric Messiah », qui sortira le 5 octobre prochain via Entertainment One (eOne).
“Une nuit j’ai rêvé de Lemmy, » confit Matt Pike, pour expliquer d’où il a tiré l’inspiration de cette chanson » “De son vivant l’on m’a souvent comparé à lui,” continue le guitariste à la voix grave, “et dans ce rêve ça lui mettait les boules » « Il voulait m’enmerder et me bizuter. Il n’était pas contre l’idée mais je n’étais rien de plus que son son bizut. Donc cette chanson est ma manière de dire à tous ceux qui ont fait cette comparaison que je ne pourrais jamais être à la hauteur de Lemmy. Je voulais lui rendre hommage dans ce sens. Et il s’est avéré être un bon titre que les gars ont dit que nous devrions même appeler l’album ainsi : « Electric Messiah ».
« Electric Messiah » fait suite à « Luminiferous » sorti en 2015, dont les qualités avaient été largement soulignées par la critique.
« Depuis 17 ans High On Fire exsude sa musique avec la même vigueur et réaffirme ici sa maîtrise de la chose » – NPR
« Ces chansons comptent parmi les plus enthousiastes et les plus stimulantes de la carrière du groupe de metal d’Oakland. » – Pitchfork
« Un souffle féroce de guitares, un véritable dynamitage, les rugissements rauques et inimitables de Pike permettent de classer ce disque parmi les 20 meilleurs albums en métal de 2015 » – Rolling Stone
« Electric Messiah » est produit, pour la 3ème fois par Kurt Ballou (Converge, Torche, Kvelertak). Pour Matt Pike « Kurt a juste un truc qui nous correspond vraiment. C’est le pied de travailler avec lui. Et ce même si nous avons parfois des différences sur la façon dont nous voulons enregistrer quelque chose. Il travaille avec nous et comprend ce que nous faisons. Nous avons décidé de continuer rester avec lui parce que nous n’avons tout simplement pas fait un mauvais disque sous sa direction »
Il semble absurde de penser qu’à un moment aussi avancé de sa carrière High on Fire commence à bénéficier d’un très sérieux regain d’intérêt.
Mais pourtant ce qui est en train de se passer tellement lr trio fonctionne à plein régime. Mais toute la magie sonore orchestrée par Kurt Ballou de cet « Electric Messiah » est avant tout le résultat l’évolution commune à Pike, Matz, et Kensel. Impossible de leur refuser une place parmi les sommités de la scène rock américaine.
« Ce groupe est en perpétuelle évolution », confirme Pike. « C’est de loin le meilleur album que j’ai jamais fait. Il porte le sceau High On Fire ! Chaque fois nous essayons juste de nous améliorer jusqu’à nous surpasser. Je ne crache pas sur nos disques passés c’est juste que nous obtenons mieux à chaque fois et ce sans nous user, comme ça arrive parfois à certains groupes. Cet album est juste fucking excellent, j’aime tout ce qu’il y a dedans, rien ne me déçoit. C’est vraiment génial de penser de son propre disque »
Ecoutez « True Rocker »ICI , en référence à et avec la participation de : Mister ‘I Wanna Rock’ himself, Dee Snider (Twisted Sister)
Cela déjà 2 ans que le puissant « Sittin’ Heavy » est sorti ! Ce crucial deuxième album a vraiment permis au quatuor canadien de prendre son envol au niveau international. En 18 mois Monster Truck a donné plus de 150 concerts à travers le monde. Si le groupe a eu l’occasion de partager les scènes de Nickelback, Billy Talent, Deep Purple, Black Stone Cherry, Volbeat, The Temperance Movement, Jane’s Addiction, Rob Zombie ou Alter Bridge, il n’a oublié de se produire aussi en tête d’affiche.
En France on retiendra un passage archi complet à la Maroquinerie, à Paris et plusieurs dates en province qui ont largement contribué à renforcer la réputation du combo dans notre pays.
C’est donc sur la route, que ce nouvel album a pris forme, les musiciens utilisant leur temps libre pour composer un max et enregistrer des démos qu’ils envoyaient au producteur Dan Weller (SiKth, Young Guns, Enter Shikari). Puis c’est à nouveau aux Echo Mountain Studios d’Asheville, en Caroline de Nord, que l’enregistrement final s’est déroulé.
Aucun doute, « True Rocker » reflète cette spontanéité brute et surtout plaisir que ces quatre musiciens ont lorsqu’ils jouent et partagent leur musique.
Nous sommes fiers d’annoncer notre événement double pointure avec deux des groupes Electro Industrial les plus légendaires qui existent depuis trois décennies maintenant ! C’est la deuxième fois seulement que les deux géants et pionniers de la musique industrielle se partagent la scène – et la première fois depuis leur tournée aux États-Unis ensemble de 1996.
Deux groupes dirigés par des duos charismatiques et sympathiques (Leeb / Fulber à Front Line Assembly, Engler / Dörper à Die Krupps) avec un héritage d’enregistrements classiques, devenus les piliers des genres qu’ils ont créés.
Ce sera l’occasion de découvrir en avant première, plusieurs morceaux du nouvel opus, intitulé « Pleased To Eat You », qui sortira le 21 septembre 2018.
L’album a été enregistré à Glasgow, Kentucky, un superbe endroit, calme, en pleine nature au milieu des fermes, ce qui évite les distractions et tentations pendant l’enregistrement !
On y retrouve plusieurs invités, dont Greg Martin de The Kentucky Headhunters, Keki Andrei, un prodige de l’orgue Hammond rencontré par hasard en Italie (qui a déjà joué avec Deep Purple et Whitesnake).
Les extraits de l’album « Pleased To Eat You », qui seront joués en live sont désormais connus, avec « She Keeps Me Coming And I Keep Going Back », « CCKMP », « Go Home And Die » et « We Want A War ».
Pour vous mettre l’eau à la bouche, découvrez la vidéo de « We Want A War ».
L’affiche est complétée par la révélation Hard Rock de l’année Dirty Dogz . Ces derniers vont nous servir un set à la sauce australienne sans concessions, dans la lignée d’un Rose Tattoo ou Airbourne !
La billetterie sera disponible sur place au tarif unique de 20 Euros.
Samedi 11 août 2018 – Ouverture des portes 19 h – début à 20 h 30
Wage War sera en France pour 3 concerts en décembre prochain.
– 2 décembre à Lyon/ Ninkasi Kao
– 6 décembre à Bordeaux/ BT 59
– 7 décembre à Paris/ La Machine du Moulin Rouge
Découvrez la version acoustique du titre « The Gravity » :