Le nouvel album de Ramon Pipin intitulé « Qu’est Ce Que C’est Beau » sortira le 11 janvier 2019. Retrouvez Ramon Pipin en à Paris / Café de la Danse le 16 et 17 février 2019.

Au Bonheur des Dames, Odeurs, une vingtaine d’albums au compteur en tant qu’auteur, musicien, arrangeur ou réalisateur — pour Renaud entre autres —, des collaborations illustres, des amitiés de même (Coluche, Desproges…) des centaines de concerts, des dizaines de BO, de films ou de théâtre avec Dupontel, Baffie, de Caunes, Leconte entre autres, de séries animées, de pubs etc.

Des fléchettes lancées sur le web : Le Journal at homique, les Excellents et leurs 500 000 vues…

Ramon Pipin, artiste singulier et protéiforme, a toujours su concilier exigence musicale, (im)pertinence des textes et pratique à haute dose du politiquement déviant.  Ce nouvel album réunit les chansons écrites et peaufinées ces derniers mois pour décrire un monde merveilleusement angoissant…

C’est dans une période de turmoil — mot anglais intraduisible — personnel intense que les chansons réunies ici ont été créées durant l’été 2017. Saturé d’infos bluesogènes, de défèque news et d’une météo erratique, le titre de l’album s’est imposé comme une évidence : « Qu’est-ce que c’est beau ».

Qui peut se targuer d’aborder des sujets tels que le destin des mariniers, le folklore albanais, le goût râpeux du Viandox ou la suffisance des think-tanks ?

La gestation eut lieu dans les anciens studios Vogue à Villetaneuse. Entouré de la fidèle équipe du Ramon Pipin Band, à coups de knout et de décharges de gégéne, les différentes parties assignées aux musiciens naquirent sans encombre. Après quoi ils partirent au studio ICP à Bruxelles pour mixer là encore dans des conditions optimum où console Neve vintage et Binson Echorec furent largement mises à contribution.

Cet album emprunte à son parcours musical et les exégètes puiseront ça et là des influences revendiquées. Mais c’est également un album où il se retrouve, à l’écoute du bruissement du monde d’aujourd’hui bien que ciselé à l’ancienne

Underground Investigation présente : La 4ème édition du Hard Rock Legend  à Fismes « La Spirale » le 4 mai 2019.

Cette année le Hard Rock Irlandais sera à l’honneur avec deux de ses meilleurs représentants encore en activité : Brian Downey’s Alive & Dangerous et Pat McManus Band.

Pour la petite histoire, Brian Downey est le batteur et co-fondateur avec Phil Lynott du célèbre groupe Thin Lizzy dans lequel joua également Gary Moore.
Si ce nouveau projet du cogneur irlandais porte le titre du grandiose double album sorti en 1978, c’est pour la bonne est simple raison qu’il propose un show complet avec les meilleurs titres de Thin Lizzy. Accompagné de talentueux jeunes musiciens dont l’apparence rappelle celle de leurs aînés, Brian Downey rendra un vibrant hommage à son ami Phil Lynott disparu en 1986.

Quant à Pat McManus dit « The Professor », c’est le génial guitariste du groupe Mama’s Boys qui écuma les scènes Européennes durant les années 80. A l’origine, trio formé autour de trois des frères McManus, le groupe se sépara suite au décès du plus jeune d’entre eux. Cependant les fans n’ont jamais oublié les standards et hymnes que Mama’s Boys distillé avec puissance et passion ( « Power & Passion » ). De nouveau en trio, le Pat McManus Band interprétera une partie des standards de Mama’s Boys mais également ses compositions plus bluesy sans oublier quelques hommage à Gary Moore et Slade, entre autres.

En ouverture de cette soirée, les locaux de Gang auront à cœur de chauffer la salle avec un heavy metal que ne renieraient pas Judas Priest et Iron Maiden

Prévente : 20 € / sur place : 25 €
Infos et réservations : sylvcott@orange.fr
Billeterie : www.undergroundinvestigation.kingeshop.com

Le Spirit & Friends Metal Fest’ est un festival dédié au Heavy Metal organisé par les associations Rockcity production et l’amicale de Calonne Ricouart en collaboration avec la municipalité de Calonne Ricouart(62).

L’édition 2019 se déroulera samedi 16 février, avec une affiche composée de 5 groupes. C’est donc une programmation mettant à l’honneur le Heavy Metal qui vous attend à la Salle Gagarine, avec Hopkins, Spirit, Thorgen, Tyson Dog et Oblivion.

Retrouvez l’interview d’Oblivion réalisée au Raismesfest 2018 ICI

Ouverture des portes à 18h30 – Début des concerts à 19h00
Tarif: 5 Euros
Bar, petite restauration, metal market

La tournée « Sacrament Of Sin Tour 2019 » des allemands de Powerwolf fera une halte au 106 de Rouen jeudi 17 janvier 2019. Kissin’ Dynamite et Amaranthe complèteront l’affiche de cet évènement à ne pas manquer.  Plusieurs dates de la tournée sont déjà sold out !

Powerwolf est un groupe de power metal allemand, originaire de Sarrebruck. Le groupe, formé en 2003 par Charles et Matthew Greywolf, officie d’abord sous le label Metal Blade Records, puis sous le label Napalm Records à partir de 2012 avec l’album « Preachers of the Night ».

Utilisant abondamment chœurs et orgues, les membres s’inspirent également, pour de nombreuses chansons, de chants religieux comportant parfois des parties en latin.

Amaranthe est un groupe de power metal suédois, originaire de Göteborg qui mêle des riffs de death metal mélodique à des refrains pop. Formé en 2008, il se démarque par le fait qu’il comporte deux chanteurs et une chanteuse aux timbres de voix bien différenciés.

Une petite année après la sortie de « Generation Goodbye », les dynamiques Kissin’ Dynamite sont de retour pour vous jouer un mauvais tour ! Enfin pas si mauvais que ça…

Découvrez l’évènement ICI

Réservations ICI et dans les réseaux et points de vente habituels

 
Powerwolf  @Alcatraz Festival 2015
Interview d’Oblivion réalisée par Marie-France Boucly le 15 septembre 2018 lors du RaismesFest.
Entretien avec le chanteur Jo Amore et le bassiste Markus Fortunato

Bonjour à tous les 2, et merci de nous accorder cet entretien pour Ride The Sky !

– Peux-tu nous faire un petit historique du groupe depuis sa naissance ?

Markus Fortunato: Le groupe s’est formé en 2015, avec Jo et David qui venaient de quitter Nightmare. Ils ont voulu refaire un nouveau projet sans trop tarder, et m’ont contacté aussitôt !

Jo Amore: Il a été le premier recruté ! Nous avons tout de suite pensé à Marcus pour la qualité de son jeu de basse.

Markus: 2 guitaristes sont arrivés ensuite, sans convaincre pour autant, car ils étaient issus du milieu prog. Stef Rabilloud (Urgent, Hey Stoopids, Eye On Maiden, ex Nightmare) est arrivé pour assurer la date du Satan fest, puis nous avons trouvé Florian Lagoutte (ex Despairhate, ex Fenrir, Forsaken World). Tout s’est super bien passé ensemble, ce qui a permis d’enchainer sur les compositions de l’album. Et de fil en aiguille, nous en sommes arrivés là aujourd’hui !

– Comment vous est venue l’idée de ce projet, en rassemblant autant de musiciens d’expérience ?

Jo: Notre départ de Nightmare a été l’élément déclencheur pour David et moi. Ensuite l’idée était de rassembler des musiciens avec lesquels ils serait facile de bien s’entendre. Cela a permis de créer une dynamique et de créer des compositions intéressantes.

Markus: Ce qui est bien, c’est que nous sommes tous libres dans Oblivion.

– D’ou vient ce nom « Oblivion » ?

Jo: Ce nom a été choisi, car on a trouvé qu’il sonnait bien ! Oblivion signifie l’oubli, et c’est ce que redoute chaque artiste ! L’image que ça véhicule est plutôt sympa, mais c’est la sonorité qui a été l’argument principal.

– Votre premier album « Resilience » est sorti depuis peu. Peux-tu nous le présenter et nous dire ce qu’il représente pour le groupe ?

Jo: Un premier album représente beaucoup, car soit ça marche, soit la sauce ne prend pas ! Nous sommes convaincus qu’au sein du groupe, ça a marché. Nous avons trouvé une façon de travailler qui nous convient à tous, ce qui n’était pas évident, à cause de l’éloignement géographique qui nous sépare.

Markus: Effectivement, c’est compliqué ! Flo habite en Moselle, Jo à Cannes, David à Villeurbanne, Stéphane à Grenoble et je réside dans les environs de Bourg En Bresse. On se voit assez peu en dehors des concerts, juste pour des week end de travail. Mais l’énorme de travail personnel réalisé en amont plait aux autres membres, car chacun peut ainsi juger celui de l’autre qui, en général, va dans le même sens. C’est un truc qui est rare ! De par mon expérience, et Jo en a encore plus que moi, je n’ai jamais connu autant de démocratie dans un groupe.

Jo: L’objectif de faire la meilleure musique possible est identique pour tous, sans égo surdimensionné. C’est ce qui fait que ça fonctionne, que les morceaux sonnent, en choisissant les meilleures idées démocratiquement.

Markus: Du fait de l’éloignement, il y a des votes sur tableaux Excel !

– En quoi est il différent des autres productions de Power Metal ?

Jo: Ben c’est mieux, tout simplement ! (rires)

Markus: Notre musique est ce qu’elle est et nous n’avons pas non plus réinventé le style ! Par contre, l’amalgame lié au fait de venir d’horizons différents, avec une expérience diversifiée, permet à chacun d’apporter une créativité qui convient à tous.

Le truc qui est rigolo, c’est qu’aucun d’entre nous ne vient à 100% du Power Metal. Flo est un peu « extrême », Stef est plus Hard Rock « Eighties », moi je suis « néo classique », Jo et David ont leur expérience Nightmare qui parle, sans oublier Dio

– Il en a la voix !

Markus: Déjà il en a la voix, mais en plus il aime ça ! Et le mélange a fait que finalement, « tac », c’est du Power Metal !!! Cela aurait pu être tout autre chose, du Hard Rock plus classique, même si on sent qu’il y en a quelques petites touches, tout comme il y a un peu de Rock teinté 80’s.

Jo: Sur le prochain album, il y aura des influences Trash plus présentes, avec des choses plus « pêchues », amenées par Florian.

Markus: Je trouve que le dénominateur commun sur le premier, comme sur le futur second album, ce sont les mélodies et les refrains que l’on va avoir envie de chanter. Même pour les guitares il faut de la nuance C’est obligatoire pour le style de musique que j’aime ! Il n’y a moins d’intérêt si c’est pour enfoncer le pied au plancher tout le temps ! Nous essayons qu’il y ait un peu de délicatesse, c’est de l’art !

– Peux-tu nous donner un argument pour convaincre le public d’écouter et de se procurer l’album ?

Jo: L’argument est clair: Nous prenons un plaisir monstrueux à faire notre musique, à monter sur scène, à composer, et ça doit se ressentir quelque part. Ce que l’on joue apporte tellement de sensations qu’il est essentiel de les partager au public qui nous écoute. Le plaisir de jouer et d’être ensemble est communicatif.

Markus: Tout à l’heure, lors de la session d’autographes organisée par le festival à notre stand de merchandising, beaucoup de gens nous ont dit : « Vous prenez du plaisir et nous aussi, c’est communicatif ! Tu vois, c’est un argument pour faire adhérer à notre projet. C’est super important qu’il y ait des sentiments et un échange.

Jo: Il suffit de voir les yeux brillants dans la foule pour sentir le plaisir pris en nous écoutant ! C’est vraiment pour ça que l’on fait de la musique, nous sommes restés comme des enfants ! On a envie que tout le monde nous aime.

– Reprenez vous des titres de Nightmare en Live ?

Jo: oui, quelques uns, mais on reprendra de moins en moins, car bientôt il y aura 2 albums. C’était quand même une étape de 3 des membres du groupe, et cela a permis de faire la transition. Je pense qu’aujourd’hui, nous avons des compositions qui sont autrement plus intéressantes, même si il y a des morceaux que l’on adore.

Markus: Au début, il n’y avait uniquement des titres de Nightmare, puis nos propres compositions se sont imposées au fur et à mesure. Mais je pense que l’on gardera toujours un morceau, certainement « Lord Of Of The Sky », que l’on a joué tout à l’heure. Il y aura toujours un petit clin d’œil.

– Peux-tu nous parler de tes deux autres groupes, Now Or Never et Temple Of Dio, et des musiciens qui en font partie?

Jo: Aujourd’hui nous sommes en plein travail sur les compositions d’Oblivion, avec également pas mal de dates. Temple Of Dio est un peu en stand by, car je ne peux pas être partout en même temps. C’est usant de continuer à dépenser de l’énergie pour ce groupe, pourtant je l’adore. Mais pour dire la vérité, j’ai tellement de satisfaction à composer, que faire de la reprise reste secondaire. Il faut reconnaitre que ce projet là m’a donné l’occasion de faire des dates super intéressantes.

Markus: Le phénomène tribute est devenu important en France. D’autant qu’avec une voix aussi proche de l’original, la qualité est au rendez vous.

– Et le fait que Dio ne soit plus là ajoute un impact supplémentaire…

Markus: C’est vrai qu’un tribute a un peu plus de sens quand le groupe n’existe plus, que l’on a plus aucune chance de le voir ! Par exemple, un tribute des Beatles peut être intéressant, alors que celui de Metallica le serait un peu moins.

Jo: pour ma part c’est une parenthèse, quelque chose en plus et un plaisir différent aussi, je ne le cache pas. Concernant Now Or Never, nous sommes dans une période de transition, qui se traduit actuellement par une pause. Il y a quand même eu la sortie de 2 albums qui ont bien marché. Il est fort possible que ça continue, mais aujourd’hui, c’est davantage le groupe de Ricky Marx que le mien. A partir du moment ou la décision est prise à la base, je n’en ressens aucune frustration. nous faisons une pause en ce moment, avec peut être un changement d’orientation, ou un troisième album, on verra bien.

Oblivion reste ma priorité !

– Qu’écoutez-vous en ce moment ?

 Jo: Je très suis branché Symphony X, surtout au niveau du chant. Après il y a de très bons groupes, comme Eclipse qui a joué tout à l’heure. Mais l’harmonie liée à l’agressivité de la voix de Symphony X se démarque vraiment.

Markus: J’adore les ténors du Hard Rock comme Whitesnake, et suis un fan absolu d’Yngwie Malmsteen. Riot reste un de mes groupes préférés, sans oublier de nombreuses formations à découvrir. Comme ce formidable groupe grec, hyper technique avec des mélodies magnifiques qui s’appelle Wardrum.

Markus: Il y a également Masterplan, ou Candlemass dans un registre plus Doom.

Jo: On a la chance avec internet de découvrir plein de choses, parmi un nombre de groupes hallucinant !

– Quels sont les projets d’Oblivion ?

Markus: C’est l’album, dont la sortie est prévue en 2019, est déjà bien avancé à ce jour. Les compositions sont terminées, avec les lignes de chant bien travaillées. Nous allons terminer l’enregistrement d’ici à la fin de l’année, pour s’attacher à la production. Il y aura une belle surprise, puisqu’un producteur de renom vient de donner son accord. Nous avons bossé comme des dingues pour ce deuxième album !

Jo: 25 morceaux étaient terminés et il a fallu en choisir 10 ! La sélection a été difficile, un véritable crève cœur !

– Vous n’avez pas pensé à faire un double album ?

Jo: Nous voulions vraiment 10 morceaux de tueurs !

Markus: Peut-être 12, si on parvient à trouver le financement. On a tellement du faire abstraction de titres qui nous plaisent !

– Un dernier mot pour les lecteurs de Ride The Sky?

Jo: Oblivion est là, et nous comptons bien être dans l’actualité en début d’année avec la sortie de notre album. On espère que l’occasion nous sera donnée de le promouvoir en étant sur la route et en tournée.

Markus: Et pour ceux qui n’ont pas encore eu l’occasion d’écouter le premier album (« Resilence » ndr) sorti en mars 2018, ne vous gênez pas, c’est toujours d’actualité. Il est disponible sur toutes les plateformes.

Encore un grand merci Jo et Markus pour votre patience et pour avoir pris le temps de répondre aux questions de Ride The Sky !

Réalisation: Marie-France BOUCLY
Photos © 2018 Alain BOUCLY

Monster Truck revient en France pour 2 dates, les 10 et 11 mai 2019. Les canadiens se produiront vendredi 10 mai 2019 à Savigny Le Temple / « l’empreinte », et le lendemain au « Forum » de Vauréal.

« Sittin’ Heavy », leur crucial et puissant deuxième album a vraiment permis à Monster Truck de prendre son envol au niveau international. En 18 mois  le quatuor canadien  a donné plus de 150 concerts à travers le monde. Si le groupe a eu l’occasion de partager les scènes de Nickelback, Billy Talent, Deep Purple, Black Stone Cherry, Volbeat, The Temperance Movement, Jane’s Addiction, Rob Zombie ou Alter Bridge, il n’a oublié de se produire aussi en tête d’affiche.

En France on retiendra un passage archi complet à la Maroquinerie, à Paris et plusieurs dates en province qui ont largement contribué à renforcer la réputation  du combo dans notre pays.

C’est donc sur la route, que ce nouvel album a pris forme, les musiciens utilisant leur temps libre pour composer un max et enregistrer des démos qu’ils envoyaient au producteur Dan Weller (SiKth, Young Guns, Enter Shikari). Puis c’est à nouveau aux Echo Mountain Studios d’Asheville, en Caroline de Nord, que l’enregistrement final s’est déroulé.

Aucun doute, « True Rockers » reflète cette spontanéité brute et surtout plaisir que ces quatre musiciens ont lorsqu’ils jouent et partagent leur musique.

C’est ce que le public français a pu encore contaster le 3 décembre dernier, à l’Elysée Montmartre, lors de l’excellente prestation de Monster Truck en première partie de Black Stone Cherry.

Bien décidé à conquérir le public de l’Hexagone, le groupe sera de retour dans notre pays au mois de mai, pour deux dates dans deux des clubs les plus rock’n’roll de banlieue parisienne ! Deux concerts qui en appelleront d’autres, très bientôt, en province.

Regardez la lyric vidéo de « Devil Don’t Care » :

Découvrez un extrait de l’album « True Rockers » avec le titre « Evolution » :

Quelques semaines après la sortie de son nouvel album, Boney Fields sera en concert à Paris / Jazz Café Montparnasse le samedi 19 janvier 2019

Boney Fields est le chaînon manquant entre Lucky Peterson, James Cotton et Trombone Shorty

« Bump City » est plus Rock ! Le nouveau répertoire du virtuose de Chicago reflète l’atmosphère électrique du moment. Boney sait mieux que personne sentir l’humeur du moment. Et pour se faire, le maestro s’est entouré de musiciens enjoués, capables d’imprimer cette tonalité positive dont la planète a besoin. Pas étonnant de déceler un écho néo-orléannais furieusement cuivre dans cette célébration du swing. Comme un clin d’œil à celui qui alluma la flamme du jeune Boney Fields au tournant des années 70… Un certain Louis Amstrong.

Mister Fields se fait un devoir d’honorer toutes les étoiles qui, autrefois, lui transmirent cette envie irrépressible d’insuffler de la joie de vivre dans un monde parfois terne et apathique. Révérer les anciens n’est jamais le signe de la nostalgie, c’est faire preuve de reconnaissance et de respect pour ceux qui montrent la voie. C’est ainsi que Boney Fields rend un hommage appuyé à son compagnon de route et mentor, le regretté James Cotton, sur le titre « Ying Yang », magnifié par la grâce d’un invité de marque, le chanteur et harmoniciste, Charles Pasi.

Comment ne voir dans « Bow Legs », « Sadie » et « You Burn Me Up », une allusion au fougueux Boney Fields qui interprétait, dans les années 90, au sein des Burning Chicago (son premier groupe en tant que co-leader), ces frétillantes compositions devenues, de fait, historiques. Et pourquoi ne pas se féliciter de découvrir une relecture de « Ride To The City », enregistré il y a 20 ans pour son tout premier album « Hard Work ».

« Bum City » est le fruit d’un savoir-faire acquis avec constanc et détermination mais c’est surtout un album vivifiant porté par la fraîcheur créative d’une formation solide, enthousiaste et très performante.

C’est un message, l’histoire d’une vie, celle d’un musicien sincère, généreux et fier de ses jeunes partenaires à qui il offre un espace d’expression conséquent. Jo Champ, le guitariste, peut d’ailleurs s’enorgueillir d’avoir signé et interprété le frissonnant « Dark Side Of A Love Affair ». Boney Fields veut à son tour guider les pas de la jeune génération, la voir s’épanouir à son contact.
Dans « Bump City », le titre phare de l’album, Boney imagine d’ailleurs une ville où l’on ferait la fête et danserait toute la nuit. Quelle belle promesse !
Et comme le laissent entendre « Ain’t Giving Up On You » et « More« , l’espoir et la félicité sont les meilleurs remèdes aux embûches et aux revers de l’existence.
Qu’il soit entendu !

L’année 2019 débute de la plus belle des manières pour Dirty Dogz, avec 2 dates consécutives, les 11 et 12 janvier.

Les nordistes d’Overdrivers seront également de la partie pour mettre le feu aux poudres lors de ce premier concert de l’année, qui se déroulera vendredi 11 janvier 2019 « Chez Charly » à Pecq (Belgique), près de Courtrai et de la frontière. L’entrée est gratuite !

Dans la foulée, Dirty Dogz enfoncera le clou avec son Hard Rock à la sauce australienne sans concessions, idéal pour se réchauffer au cœur de l’hiver !

Voilà une soirée placée sous le signe de l’énergie, au cours de laquelle les 2 groupes vont tout mettre en oeuvre pour prouver que la relève du style est bel et bien assurée !

C’est au Havre que se déroulera la seconde manche, avec une inversion de l’ordre de passage. C’est donc le régional de l’étape Dirty Dogz,  qui ouvrira les hostilités samedi 12 janvier 201 au McDaid’s, suivi par Overdrivers.

Vous êtes prévenus ! Les compositions aux gros riffs bien saignants seront à l’honneur, et envoyés avec la puissance qui  caractérise ces 2 formations, bien décidées à en découdre lors de cette soirée immanquable. Du très très lourd en perspective pour seulement 5 Euros !

Découvrez Dirty Dogz en Live avec « New Bitch » enregistré à L’A.R.C.A.D.E – N.D. de Gravenchon:

Regardez la vidéo du titre « Rockin’ Hell », extrait du premier album d’Overdrivers :

« Free », Le nouvel album d’In Volt sortira le 22 février 2019 via MO Office / Dom

Retrouvez In Volt en concert :

– Le 19 janvier 2019 à Rambouillet / L’Usine à Chapeaux (avec Laura Cox)

– Le 17 avril 2019 à Paris / New Morning

Dans l’enfer des décibels où ils revendiquent leur placeavec un heavy blues rock de haute lutte, In Volt revient avec un nouvel album qui ne peut laisser indifférent.

Entre grosses baffes et subtilitées acoustiques, In Volt vous envoie dans les cordes et rappelle que le blues a accouché d’un gamin turbulent que l’on appelle Rock & Roll …!!!

Au delà d’un « savoir faire » très 70’s qui peut parfois rappeler AC/DC et Led Zeppelin ou les Black Crowes voir Jack White pour cette capacité a insuflé un vent nouveau au classic rock, le quatuor peut compter sur un guitariste inspiré et un vrai sens du groove qui permet au chanteur d’imposer sa personnalité.

En 2017, In Volt envoie les maquettes du futur album à Dieter Dierks, le producteur historique de Scorpions, qui les invite dans son studio personnel à Cologne. Finalement l’anglais Jon Caffery (Die Toten Hosen, Jeff Beck), son ami de longue date, prendra place derrière la console pour produire « Free » dans l’ancien studio EMI à Cologne rebaptisé le Maarwegstudio2.

Le financement de ce projet fera l’objet d’un crowdfunding.

Fort de sa réputation live, In Volt repart sur les routes gonflé à bloc avec son album le plus abouti à ce jour.

Découvrez le reportage à Cologne, de l’enregistrement de l’album « Free » :

Base Productions présente: Molly Hatchet à Paris le 18 décembre.

Le groupe sudiste américain Molly Hatchet sera en concert mardi 18 décembre 2018 à Paris / La Machine du Moulin Rouge à 19h00.

Molly Hatchet a solidement gagné sa place dans l’histoire de la musique aux cotés de groupes emblématiques de Southern Rock originaire de Jackonville en Floride tels que Lynyrd Skynyrd et les Allman Brothers à la fin des années 70, en jouant un mélange d’influences de rock anglais, de blues, de country et de gospel.

Les plus dur groupes du sud à l’époque où, en 1978, Epic sort l’album éponyme de Molly Hatchet sacré multi disque de platine. Le groupe a établi sa réputation de travailler dur, de jouer dur, en réalisant rapidement des tournées intenses.
A cet époque, ils étaient sur la route avec Aerosmith, Bob Seger, les Rolling Stones et beaucoup d’autres.

Molly Hatchet célèbre son 40ème anniversaire avec un tour du monde. Ils se préparent à annoncer un nouvel album, et plus encore.

Après 40 ans, Molly Hatchet travaille toujours dur, joue dur, vit vite, et continue de flirter avec le Disaster !!!

Locations ICI