Winfield et Dirty Dogz sont au programme de la grande soirée hard-rock pour tous les amateurs du genre, et les autres ! Ne manquez pas cet évènement exceptionnel samedi 30 mars 2019 à Cauville (14770) / Soubock.

Dirty Dogz c’est le bon vieux Hard Rock Australien, du groove et des vieux Marshall poussés à bloc qui chauffent comme un V8 sur l’autoroute de l’enfer. Après des années à autopsier et décortiquer chaque organe du bon vieux Hard Rock Australien, Dirty Dogz en a extrait son ADN. Une base rythmique (Basse / Batterie) solide et qui ne faiblit jamais, une voix puissante et éraillée, des riffs et gimmicks bluesy d’une efficacité redoutable. Bilan de l’opération, des titres fédérateurs, un son chaud et vintage et surtout une énergie scénique tout en puissance. Un E.P 4 titres est déjà disponible depuis mars 2018. C’est en live que Dirty Dogz prend toute sa dimension. A découvrir d’urgence !

Winfield c’est du hard rock. Un hard rock fort, gras, énergique et provoquant! Fondé en 2009, le groupe pose directement les marques de son style avec un premier EP sortit en 2011 : « Dirty Rock’n’roll ». En 2012, avec la sortie de leur premier album auto-produit, « Rednecks Blood », les quatre normands imposent réellement ce qu’ils sont : une machine huilée comme un vieux hot rod, faite d’énergie pure, de bourbon et de prestations endiablées, et multiplient les dates dans l’ouest, à grande dose de leur dirty rock’n’roll, véritable cocktail explosif de rock’n’roll et de grivoiseries. Depuis mars 2015, avec la sortie de leur EP « BBQ Sausage Party », et un nouveau line up, ils multiplient les dates en France, font les premières parties de groupes tel que Nashville Pussy, headcharger, Mass Hysteria, Aqme, participent à divers festivals comme le Cubi de Rosé, le Pepper Rock festival et jouent dans des SMAC régionales comme le BBC ou le Normandy. Aujourd’hui, avec la sortie de son nouvel album « Rock’n’Roll Ist Krieg », début 2017, le groupe annonce un album ambitieux et mature, repoussant les limites du genre et de ce qu’il a proposé précédemment, mais qui conserve la ligne directrice du groupe : rock’n’roll, énergie et efficacité !

http://soubock-evenements.com/
Co-voiturage : https://www.facebook.com/groups/1655940604670409

6 groupes seront à l’affiche de la 8ème édition du Rock’N Festival qui se déroulera le samedi 11 mai 2019 à Chauny (02).

Sweet Scarlett
Aaron Buchanan & The Cult Classics
Ko Ko Mo
No One Is Innocent
Triggerfinger
Slade

Une nouvelle fois la diversité des styles et la qualité des formations promet une soirée inoubliable !

Réservations sur les réseaux habituels (Weezevent, France Billet, Tickenet) 30 euros, 25 euros pour les – de 25 ans.

Noddy Holder (chant, guitare), Jim Lea (basse, chant), Dave Hill (guitare, chant) et Don Powell (batterie) se rencontrent dans la régions de Wolverhampton (West Midlands). Ils nomment d’abord leur groupe N’Betweens en 1966, avant de devenir Ambrose Slade puis Slade sous l’inspiration de leur manager/producteur Chas Chandler, ancien de The Animals et ex-manager de Jimi Hendrix.

Slade se bâtit d’abord une solide réputation scénique, avec un rock brut et mélodique qui sacrifie à peine à la tendance psychédélique de l’époque. Slade affiche d’abord un look skinhead avant de se laisser pousser les cheveux et de se composer une garde robe glam non dépourvue d’humour. Marqué par la voix nasillarde (et les rouflaquettes) de Noddy Holder, Slade sort en 1970 Play It Loudqui ne connaît qu’un succès relatif. La machine est vraiment lancée en 1972 avec « Slade Alive! », qui entre n° 2 du top en mars et témoigne de l’incroyable communion de Slade avec son public, ainsi que des facéties scéniques du groupe.

En novembre, « Slayed » est n° 1 dans la foulée des tubes « Coz I Love You » et « Look Wot You Dun »Slade fait de l’écriture phonétique de ses titres une marque de fabrique, Noddy Holder excellant à surjouer un accent populaire qui rapproche le groupe de ses fans. Slade c’est un groupe de copains qui déconnent, loin de l’image sophistiquée des autres groupes du mouvement glam. Même leurs tenues frisent la dérision, Slade se moquant volontiers de lui-même. Là où le groupe est sérieux, c’est dans l’écriture de titres efficaces et à la mélodie souvent plus travaillée qu’il n’y paraît.

Tour à tour, « Take Me Bak Home »« Mama Weer All Crazee Now »« Gudbuy T’ Jane »« Cum On Feel the Noize »« Skeeze Me, Pleeze Me »« My Friend Stan », et « Merry Xmas Everybody » affolent les charts et des cohortes d’adolescentes qui s’arrachent les cheveux en hurlant. Slade atteint son apogée avec « Slade in Flame » en 1974, album qui sert de support à un film à la gloire du groupe. Malgré « Far Far Away » qui se classe n° 2, l’album ne dépasse pas la sixième place des ventes, le public de Slade ne se reconnaissant pas dans des titres beaucoup plus pop qu’à l’accoutumée.

N’ayant jamais connu le succès aux Etats-Unis, Slade est dépendant de son succès anglais et dans une moindre mesure européen. « Nobody’s Fool » en 1976 est le pire album du groupe, dans une tentative désespérée de séduire le public américain avec une pop soul bien loin du glam. D’autant que le punk commence à frapper à la porte et vient ringardiser les groupes glam en mal de reconversion. « Whatever Happened to Slade » en 1977 marque un retour au rock, mais un éloignement des charts.

« We’ll Bring the House Down » (1981) et « The Amazing Kamikaze Syndrome » en 1983 sont le chant du cygne des rois du glam. Leur dernier tube, « My Oh My » est curieusement leur plus grand succès outre-Atlantique (n° 20 au Billboard). Slade perd son dernier éclat en 1991 avec le départ de Noddy Holder, qui réussit ensuite une brillante reconversion de présentateur à la télévision, aidé par sa gouaille et son franc-parler. Jim Lea cesse lui aussi d’être actif et Slade se rebaptise Slade II autour de Dave Hill et Don Powell.

Hormis une succession de tubes qui n’a d’égale que celle de The Beatles dans les années soixante, Slade laisse une empreinte réelle chez de nombreux groupes de Quiet Riot à Oasis, en passant par Kiss. Le plus incroyable c’est de voir « Merry Xmas Everybody » devenir au fil des ans une sorte de « Petit Papa Noël » anglais. Le titre se classe en effet chaque années dans les ventes anglaises en fin d’année, les rois du glam passent au final à la postérité avec une ballade à reprendre en choeur la nuit de Noël. Un clin d’oeil du destin qui n’est certainement pas pour déplaire à l’humour naturel de ce groupe plus dépourvu de prétention que d’intelligence.

Le trio belge d’Anvers Triggerfinger s’est bâti une solide réputation à travers l’Europe, les États-Unis et le Canada grâce à leur puissance et leur esthétique aiguisée. Depuis leurs débuts et cet album éponyme en 2004, suivi de « What Grabs Ya? » (2008), « All This Dancin’ Around » (disque de platine en Belgique et aux Pays-Bas 2010) et « By Absence Of The Sun » (disque d’or en Belgique et aux Pays-Bas, 2014), ils sont devenus l’une des figures de proue de la scène rock. Leur reprise impromptue de « I Follow Rivers » devient un hit majeur en Europe en 2012, si bien qu’ils sont invités à ouvrir pour les Rolling Stones en 2013 et 2014. Le 25 août dernier est sorti leur album « Colossus », qui a été composé au cours d’une tournée de 40 concerts à travers 15 pays européens pour asseoir une bonne fois pour toutes leur statut de groupe incontournable.

« On a tracé notre route, on s’est jeté dans l’arène. Creusé le même sillon pour exploser les scènes, de la sueur sur les planches et rien calculer en concert, comme si on jouait sa vie, comme si c’était la dernière » ce morceau de texte tiré du titre « 20 ans », résume parfaitement la carrière de No One Is Innocent, une carrière marquée par des succès, des tempêtes, des coups de gueules, et des combats jamais perdus d’avance.
En 2015, le groupe entame un nouveau tournant avec la sortie de « Propaganda ». Un album retour aux sources ancré plus que jamais dans l’actualité et les sonorités chères au groupe : riffs, groove, hymnes incarné et qui remet en première ligne Kemar, Shanka, Thunder B, Gaël et Popy en défendant corps et âmes leurs idéaux, et leur combat rock.

No One fait du bien en assumant pleinement un message et un discours humaniste, enragé, qui résonnera autant par un succès discographique que par des concerts d’anthologie sur la grande scène du Hellfest, en ouverture d’AC/DC et des Insus au Stade De France, en double affiche avec Tagada Jones pendant les présidentielles. Et bien sûr, après les attentats du Bataclan, à La Cigale, un moment de grâce live qui exorcise l’horreur en accueillant sur scène des survivants de l’attaque de Charlie Hebdo…

Fort d’une tournée marathon, c’est un groupe soudé et exalté qui reprend le chemin de la composition d’un nouvel album, baptisé Frankenstein.

Encore une fois, fidèle à ses engagements, à sa rage, No One is Innocent, reprend le chemin des barricades, humble mais fort, artiste avant tout, les riffs contre l’obscurantisme, instruments au poing comme Shanka guitare levée sur la scène de la Cigale. « Voici ma guitare. Il y a plein de guitares, mais celle-ci c’est la mienne. Ma guitare est ma meilleure amie. Elle est ma vie… Avec elle, je peux faire plus de bruit qu’un tank, qu’une mitrailleuse, qu’une grenade. Avec elle, je peux donner du bonheur, de l’espoir, de l’amour. »

No One Is Innocent est là, de retour avec un disque coup de poing et racé, telle une créature de l’aube. Frankenstein, lui, s’empare de la nuit avec ses mauvais rêves et ses espoirs. « On est chargé d’électricité. Aux portes de l’enfer on respire bien la liberté. Nous sommes la nuit ».

L’histoire de Sweet Scarlett est celle d’une aventure familiale : le père transmet sa passion de la musique à ses deux fils, l’un d’eux la partage avec sa compagne. Ensemble ils créent un projet dont les maîtres-mots sont complicité, joie, énergie.
C’est au détour d’un festival de Blues à Chedigny en 2011, que la famille décide d’orienter son travail musical vers le Rhythm’and Blues.
Ainsi prend forme le projet Sweet Scarlett et c’est en 2015, après avoir pris le temps de rechercher les sonorités correspondant à la démarche esthétique du groupe que la formation commence à se produire sur scène.

Le groupe Sweet Scarlett s’est révélé au grand jour grâce à son premier album de reprises de standards de Rhythm’and Blues. C’est avec un nouveau projet qu’ils reviennent fouler la scène pour cette fois-ci partager leurs compositions empreintes de funk et de blues avec une petite pointe d’énergie rock’n’roll. Sweet Scarlett, c’est toute une famille au service de la musique, celle qui se partage, qui rassemble, qui fait vibrer, celle qui diffuse l’enthousiasme « dans tout l’espace du corps ». Nouvel album sorti en octobre 2018.

Hydre à 2 têtes qui crache une musique puissante et folle, le duo KO KO MO donne une véritable joute guitare-voix/batterie résolument énergique et heureuse. Entre le jeu de batterie de K20, la guitare brute et la voix de Warren (sur laquelle plane le souvenir de Robert Plant), le son des années 70s connaît ici une mutation bien plus moderne. L’issue du duel ne sera pas la mort, mais une résurrection, celle d’un son, d’une musique. Et la vôtre, s’il en faut !

billets en vente :

Sur Internet :
www.fnac.com
www.carrefour.fr
www.francebillet.com
www.ticketnet.fr
www.corabilletterie.fr

Dans les magasins :
Fnac
Intermarché
E.leclerc
Cultura
Auchan
Cora

– chez Yves Gamba, coiffure, 13 place du marché couvert 02300 Chauny

– au bar le 421 rue de la république 02300 Chauny
– au café de la poste 13 rue victor hugo 02700 Tergnier
– et sur place au forum

Le festival Blues autour du Zinc se déroulera du 15 au 23 mars 2019 à Beauvais (60). Une nouvelle fois, la programmation couvre tous les styles, de quoi satisfaire un public toujours plus nombreux. Pensez à réserver dans les réseaux habituels (fnac, ticketmaster, Auchan, Leclerc…) pour les concerts de Yarol, Deva Mahal, Laura CoxLe Secret Gig et Minuit.

Pour la 24e année consécutive, Beauvais vibrera au rythme du blues et du rock pendant 9 jours, avec de nombreux artistes français et internationaux. Même s’il est né à l’ombre d’un zinc dans un bar beauvaisien, le festival a pris depuis longtemps son envol pour s’installer dans les salles de la ville, à l’Ouvre Boîte, au théâtre, à la Maladrerie Saint-Lazare, ou à l’Hôtel du département, pour l’ouverture du festival le 14 mars.

Le 2 mars 2019, Yarol a donné un concert exceptionnel à « La Traverse » de Cléon (76) pendant plus de 2 heures ! Nous avons eu droit à un set énergique et sans temps morts, au cours duquel la communion avec le public a été totale. Ne manquez pas cet évènement Rock le 15 mars à l’Ouvre Boite !
Yarol – Cléon 02 mars 2019 © Alain Boucly
14 Mars : 19.00 : ouverture : Calum Ingram + Collectif BAZ // Hotel du département
15 Mars : 21.00 Yarol – 1ère partie : Vurro // l’Ouvre boite
16 Mars : 21.00 Deva Mahal – 1ère partie : Rainbreakers // Théatre de Beauvaisis
17 Mars :  20.00 Secret GIG // Auditorium Rostropovitch
18 Mars :  14.00 Masslo // Centre pénitentiaire de Beauvais
19 Mars :
                 14.00 Masslo // Centre pénitentiaire de Liancourt
                 20.30 Blues au feminin : Gaelle Buswell & Laura Cox // la Maladrerie
20 Mars : 19.00 Mister & Mister // L’Arche (Entrée libre)
21 Mars :
                 20.30 Secret GIG // Mudo – Musée de l’Oise
                 20.30 Masslo  // Auditorium de l’Empreinte
22 Mars :
                 15.00 Philipe Kerouault // La Petite Maison (gratuit)
                 18.30 Reggae Workers of the world // l’ouvre boite (entrée libre)
                 20.30 John Mary go round // la Bohemia (entrée libre)
                 20.30 Baton Bleu // Les Vents d’Anges (entrée libre)
                 20.30 Mister & Mister // Le Victor (entrée libre)
                 21.00 Lisa Melissa & the Mess // La Part des Anges (entrée libre)
                 21.00 Calum Ingram // l’alternative- (entrée libre)
                 21.00 Bella Collins & Gareth Evans // Le Touco (entrée libre)
                 21.00 Philippe Keruault // Café du marché (entrée libre)
                 22.15 Eagle 4 // cafe du marché (entrée libre)
                 22.45 Alexis Evans // La Bohemia (entrée libre)
                 22.45 Mojo-Jojos // Le Victor (entrée libre)
                 22.45 Sparky In the Clouds // Les Vents d’Anges (entrée libre)
                 23.15 Principle of Joy // L’Alternative (entrée libre)
                 23.15 Sweet Scarlett // Le Touco (entrée libre)
                 23.15 Massto // La Part des Anges (entrée libre)
23 Mars :
                 11.00 John Mary Go round // En face de la Brasserie des Halles (gratuit)
                 15.00 Philippe Kerouault // En face de la Brasserie des Halles (gratuit)
                 15.00 Eagle 4 // Adapei Les Rigallois (entrée libre)
                 19.00 Les Demons du blues : docu de Greg Vasseur . diff à l’angle de La Petite Maison en exterieur .
                 20.30 Principle of joy // Les Vents d’Anges (entrée libre)
                 20.30 Sparky in the Clouds // La Bohemia (entrée libre)
                 20.30 Bella Collins & Gareth Evans // Le Touco (entrée libre)
                 21.00 Calum Ingram // café du marché (entrée libre)
                 21.00 Alexis Evans // La Part des Anges (entrée libre)
                 21.00 Baton Bleu // Le Touco (entrée libre)
                 21.00 Philippe Keruault // L’Alternative (entrée libre)
                 22.00 Kimberose – 1ere partie : Minuit // la maladrerie st Lazare
                 22.15 Lisa Melissa & the Mess // Le Victor (entrée libre)
                 22.45 Masslo // La Bohemia (entrée libre)
                 22.45 Sweet Scarlett // Les Vents d’Anges (entrée libre)
                 23.15 Eagle 4 // café du marché (entrée libre)
                 23.15 Spit fires // L’Alternative (entrée libre)
                 23.15 Kenny Neal ( Neal Family) // La Part des Anges (entrée libre)
                 23.15 Mojo-Jojos // Le Touco (entrée libre)

Découvrez la vidéo de présentation :

Le nouvel album de Dirty Shirt, « Letchology » sortira le 8 mars 2019.

Dirty Shirt est l’un des groupes de rock/metal roumain les plus appréciés. Il a remporté la deuxième place à la finale internationale du Wacken Metal Battle 2014 et a été récompensé par le prix du « Meilleur groupe de musique roumain » au Maximum Rock Awards 2014 et du ‘Meilleur ambassadeur de rock roumain’. Metalhead Awards 2014.

Dirty Shirt mélange l’ ambiance festive de la musique traditionnelle de l’Europe de l’Est, et fusionne les musiques du monde (country, reggae, rythmes tribaux), l’électro, la musique industrielle, la frénésie hardcore et le groove du funk.

Découvrez les dates de la tournée française :
Le 26 Mars – Lyon / Ninkasi Kao
Le 27 mars – Les 2 Alpes / Snow Fest
Le 28 mars – Grenoble / La Bifurk
Le 29 mars – Paris / Petit Bain
Le 30 Mars – Lille / Le Midland

Regardez la vidéo du titre « Killing Spree », extrait de l’album « Letchology » :

Diamond Head annonce la sortie son nouvel album, intitulé « The Coffin Train », le 24 mai 2019 via Silver Lining Music.

La légende de la NWOBHM sera en concert au Hellfest le 21 juin 2019.

Line up :

Brian Tatler – Lead & Rhythm guitars
Rasmus Bom Andersen – Vocals
Karl Wilcox – Drums
Andy « Abbz » Abberley – Rhythm & Lead guitars
Dean Ashton – Bass, Backing vocals

 

« Deep In My Soul », le nouvel album de Big Daddy Wilson sortira le 18 avril 2019 via Ruf records / socadisc.

Il sera en concert le 14 mars à Ermont (95), le 15 à Paris (théâtre 13) et le 16 à Digne les Bains (06).

« Sans conteste l’une des plus belles voix du blues actuel »
« Deep in soul » le grand retour aux sources du blues

Le sud américain jette un puissant sort à ses fils et ses filles : quoi qu’ils fassent de leur vie, ils reviennent toujours à la maison Le Sud est en eux – et un jour, ce sud les rappelle. » « Deep In My Soul », le nouvel album de Big Daddy Wilson, en est le témoignage. Un puissant come back. « un retour à la maison», dit-il.  » un retour à mes racines.

Evidemment, Wilson a changé depuis qu ‘il a quitté son pays il y a un quart de siècle. Né et élevé à Edenton, en Caroline du Nord, le bluesman se souvient de ses premières années à la campagne. Sa famille l’a obligé de chanter à l’église pour éviter les tentations de la drogue et des gangs.

En 1979, il s’enrôle dans l’armée américaine, se rend en Allemagne et découvre le pouvoir du blues et de la musique dans les clubs locaux. «C’est ici, dit-il, que j’ai trouvé la partie de moi même, qui me manquait depuis si longtemps.»

La voix exceptionnelle de Wilson se fait très rapidement remarquée et adoptée dans le circuit blues européen : cette voix inoubliable de miel accompagnant une écriture originale sur une musique blues, funk, soul et reggae… Et toujours le Sud.

« Dès que vous entendez la voix de Big Daddy Wilson« , explique Eric Bibb, fan de la 1ère heure ,  « vous entendez ses racines. »

Ce nouvel opus à paraître sur Ruf Records , a été concocté suite à un voyage à Memphis , Tennessee, pour une pré-production, aux côtés de la guitariste Laura Chavez et du bassiste Dave Smith. En décembre dernier, le groupe remet rencontre le célèbre producteur Jim Gaines, (Santana et Stevie Ray Vaughan) dans son studio de luxe Bessie Blue Studios à Stantonville. «Travailler avec un producteur légendaire tel que Jim est une expérience extrêmement enrichissante », explique Wilson, « tous vos sens sont en éveil ». L’album fût finalisé dans l’emblématique FAME Studios à Muscle Shoals, en Alabama. Wilson était conscient qu’il marchait dans les traces des grands : de Etta James à Duane Allman. Mais il peut rivaliser ! Ses nouvelles chansons sont à la hauteur. On passe de l’âme cuivrée du Mississippi au funk, au du reggae, au funky, sur des paroles ou tout est une question d’amour. La vie n’est qu’une question d’amour. «

Avec « Deep In My Soul », la boucle est bouclée «Je le vois comme un voyage», dit-il. « C’est le parcours d’un homme qui s’est plongé dans cette belle musique appelée le blues et qui, après 25 ans, est rentré à la maison. »

Après s’être produit le 6 octobre 2018 à Fismes lors du British Steel Saturday Night, les anglais de Chariot seront de retour en France le 6 avril 2019 au « Red Studio » de Douai.

Les précurseurs de la New Wave Of British Heavy Metal seront accompagné par les champenois de Gang qui défendront leur excellent dernier album « All For One ».

Les régionaux de Spirit, seront également de la partie, pour confirmer leur prestation particulièrement aboutie délivrée à Calonne Ricouart lors du Spirit & Friends le 16 février dernier. L’affiche sera complétée par Dirty Dogz, considéré comme le plus australien des groupes français, avec son Hard Rock énergique et sans concessions

Running Order:
Ouverture des portes: 19h30
20h00 : Dirty Dogz
20h50 : Spirit
22h00 : Gang
23h00 : Chariot

Réservations ICI

Boney Fields donnera 4 concerts en France a cours du mois de mars :

Le 16 Mars @ Paris (75) « Sunset »
Le 20 Mars @ Cléon (76) « La Traverse « 
Le 22 Mars @ Savigny Le Temple (77) « L’Empreinte »
Le 23 Mars @ Montbéliard (25) « L’Atelier Des Moles »
« Cet album est fantastique »- Rock & Folk –
« Le sens du groove omniprésent, un vrai talent d’écriture. Quelle énergie ! »- Soul Bag –
« Une belle claque »- Ouest France –
« Bravo à l’artiste pour cet album que la rédaction a classé comme indispensable » – Paris Move-

« Bump City » est plus Rock ! Le nouveau répertoire du virtuose de Chicago reflète l’atmosphère électrique du moment. Boney sait mieux que personne sentir l’humeur du moment. Et pour se faire, le maestro s’est entouré de musiciens enjoués, capables d’imprimer cette tonalité positive dont la planète a besoin. Pas étonnant de déceler un écho néo-orléannais furieusement cuivre dans cette célébration du swing. Comme un clin d’œil à celui qui alluma la flamme du jeune Boney Fields au tournant des années 70… Un certain Louis Amstrong.

Mister Fields se fait un devoir d’honorer toutes les étoiles qui, autrefois, lui transmirent cette envie irrépressible d’insuffler de la joie de vivre dans un monde parfois terne et apathique. Révérer les anciens n’est jamais le signe de la nostalgie, c’est faire preuve de reconnaissance et de respect pour ceux qui montrent la voie. C’est ainsi que Boney Fields rend un hommage appuyé à son compagnon de route et mentor, le regretté James Cotton, sur le titre « Ying Yang », magnifié par la grâce d’un invité de marque, le chanteur et harmoniciste, Charles Pasi.

Comment ne voir dans « Bow Legs », « Sadie » et « You Burn Me Up », une allusion au fougueux Boney Fields qui interprétait, dans les années 90, au sein des Burning Chicago (son premier groupe en tant que co-leader), ces frétillantes compositions devenues, de fait, historiques. Et pourquoi ne pas se féliciter de découvrir une relecture de « Ride To The City », enregistré il y a 20 ans pour son tout premier album « Hard Work ».

« Bum City » est le fruit d’un savoir-faire acquis avec constance et détermination mais c’est surtout un album vivifiant porté par la fraîcheur créative d’une formation solide, enthousiaste et très performante.

C’est un message, l’histoire d’une vie, celle d’un musicien sincère, généreux et fier de ses jeunes partenaires à qui il offre un espace d’expression conséquent. Jo Champ, le guitariste, peut d’ailleurs s’enorgueillir d’avoir signé et interprété le frissonnant « Dark Side Of A Love Affair ». Boney Fields veut à son tour guider les pas de la jeune génération, la voir s’épanouir à son contact.
Dans « Bump City », le titre phare de l’album, Boney imagine d’ailleurs une ville où l’on ferait la fête et danserait toute la nuit. Quelle belle promesse !
Et comme le laissent entendre « Ain’t Giving Up On You » et « More », l’espoir et la félicité sont les meilleurs remèdes aux embûches et aux revers de l’existence. Qu’il soit entendu !

Airbourne de retour en France ! les australiens seront en France en octobre prochain pour 3 concerts, le 17 à Strasbourg / La Laiterie, le 20 à PAris / La Cigale et le 28 octobre à Nimes / Paloma. La mise en vente des billets débutera le 1er mars à 10h00 sur livenation.fr , ticketmaster.fr , et les points de vente officiels.

Airbourne est possédé par l’esprit du rock’n roll. Les Australiens ont toujours été là où la bière est bonne, les filles chaudes et la musique trop forte. Il y a eu pas mal de légendes du rock’n’roll, mais Airbourne a su élever tout cela à un niveau supérieur.

Leurs débuts décousus à Warrnambool – une ville à 3 heures de Melbourne, se sont joués en 2007 avec « Runnin’ Wild », l’un des albums les plus acclamé dans l’histoire du hard Rock.

Metal Hammer leur a d’ailleurs remis un Golden Gods Award pour le ‘Meilleur premier album’, et Classic Rock les a tout simplement nommés ‘Meilleur groupe émergent’.

Airbourne a par la suite marqué les esprits avec son désormais incontournable « No Guts No Glory », qui s’est placé directement dans le Top 40 au Royaume Uni, dans le Top 20 en Australie et dans le Top 200 du Billboard.

Après une tournée en tant que headliner, passant par les prestigieux Wacken Festival et Download Uk, le groupe a sorti « Black Dog Barking », album tant acclamé par la critique que par les fans : il s’est placé dans le Top 5 en Allemagne, Top 20 à travers l’Europe, l’Australie et la Nouvelle Zélande. Mais aussi Top 30 au Canada et au Royaume-Uni. A propos de la musique d’Airbourne, Metal Hammer dit : « il vous faudra à peine quelques secondes pour la mémoriser, mais tout une vie pour vous la sortir de tête ».

La vidéo de « Runnin’ Wild » :

Le groupe californien de garage punk, Death Valley Girls sera en concert au Havre / le « Mc Daid’s » lundi 25 février 2019. La première partie sera assurée par les rouennais de Unschooling.

L’association Fake Live met à l’honneur les femmes musiciennes. Après avoir accueilli le groupe punk new-yorkais, Surfbort, mené par Dani Miller, place à Death Valley Girls. Rendez-vous au Havre lundi 25 février 2019, à 20h30, au Mc Daid’s.

Les Californiennes, protégées d’Iggy Pop, signent un nouvel album, « Darkness rains ». L’occasion pour les Havrais de retrouver le groupe de Los Angeles, après un premier passage remarqué dans la Cité océane. Si Death Valley Girls est un groupe mixte, Marius Rault, président de Fake Live et programmateur, insiste : « ce sont les femmes musiciennes qu’il veut mettre en avant ».

Après Surfbort et le phénomène Dani Miller, place à un groupe composé de trois nanas et un mec. Il y a de plus en plus de femmes qui se mettent à faire du rock et qui comptent dans la scène musicale. Fake Live reflète ce mouvement.

Toujours aussi roots, le troisième album de Death Valley Girls nous entraîne dans le désert californien, avec des morceaux de garage-rock endiablés. Adulé par Iggy Pop, le combo féminin a même convié la star du rock dans l’un de ses clips, « Disaster ». On y voit le musicien manger un hamburger, un hommage à Andy Warhol :

La première partie sera assurée par le groupe rouennais, Unschooling, composé de membres de Delancey, MNNQNS ou encore Dharma Bum.

« Le tour de force d’Unschooling, c’est que ses chansons vont toujours là où on ne les attend pas : la tonalité se balade dans tous les sens, le tempo bouge au gré des mesures étranges et parvient étonnamment à ne jamais se perdre dans le math rock », prévient Fake Live.

Le groupe de post-punk vient de sortir son premier album et réserve sa première date au Havre.

Infos pratiques :
Lundi 25 février 2019, à 20h30, au Mc Daid’s, 97 rue Paul-Doumer, au Havre.
Plus d’infos en ligne ICI
Tarifs : 6 euros en prévente, 8 euros sur place.