Avatar continue sa conquête de la France ! Le groupe suédois emmené par le chanteur Johannes Michael Gustaf Eckerström sera en en concert avec Slipknot aux arènes de Nîmes le 1er juillet 2019.

Réservations ICI

Le prochain album, enregistré en public sera disponible le 17 mai prochain.

Avatar s’est fondé sur une base qui combine le meilleur du passé, du présent et du futur du Rock’n’Roll, du Hard Rock et du Heavy Metal dans une présentation artistique qui est stimulante et tout à fait électrisante. Avec le spectacle grandiose du catch professionnel américain, les talents de vendeur d’huile de serpent des troubadours vaudevilliens du début du 20ème siècle et la puissance cinétique et héroïque de  Kiss, Avatar dévaste les mortels avec facilité. Si quelqu’un passe un bon moment en écoutant Satyricon ou System Of A Down, là, ils trouveront quelque chose de dérangé.

Alors que la plupart des groupes de Metal européens qui ont osé à tel niveau de musicalité, de divertissement et d’attention au détail semble se contenter de travailler dans un studio et de s’enfermer loin de la foule, Avatar a réussi au-delà de ses pairs en se concentrant constamment sur la route. Voyageant à travers le monde à bord de tour bus ou d’avion telle une troupe de cirque, Johannes Echerström et ses compagnons, les guitaristes Jonas Jarlsby et Tim Öhrström, le bassiste Henrik Sandelin et le batteur John Alfredsson, ont forgé le type de lien musical qui ne peut être atteint qu’à travers de longues périodes passés ensemble sur scène, dans les chambres d’hôtel, dans les aéroports et au bar des salles de concert.

Longue vie au roi !!!
“The King Live In Paris”
Nouvel album enregistré en public, au Download Paris, disponible le 17 mai !
Uniquement en digital & vinyle
Pré-commandes ICI

Découvrez le premier extrait avec « Bloody Angel » :

Le festival du Blues Autour du Zinc a pris la bonne habitude de mettre à l’honneur les artistes féminines, en organisant une soirée qui leur est entièrement dédiée. C’est donc dans le cadre du « Blues au Féminin » que ce lieu prestigieux de La Maladrerie va accueillir 2 valeurs montantes de la scène Blues Rock hexagonale, avec Gaëlle Buswel et Laura Cox.

La fosse est déjà bien remplie lorsque Gaëlle Buswel prend possession de la scène, et l’on se rend compte, dès les premières notes, du plaisir pris par le groupe et la souriante front woman à partager son univers. Distillant des compositions aux accents Rock, mélangés au Blues avec quelques parties acoustiques bien dosées, Gaëlle démontre une véritable énergie, et une joie de jouer communicative.

Bien épaulée par le guitariste Michaal Benjelloun, qui nous gratifie de solos aussi précis qu’incisifs, la chanteuse multiplie les échanges avec une audience de plus en plus réceptive. Très à l’aise pour communiquer, elle dédie « Selfish Game », « à une personne qui lui est chère, partie trop tôt ». La présentation de la reprise des Beatles « Help », sera l’occasion de rappeler la réalisation d’un rêve, en jouant en première partie de Ringo Starr en juin 2018, dans a salle mythique de l’Olympia.

Le set prend une tournure bien Rock’n Roll, quand, après avoir invité les spectateurs à taper dans les mains, elle accueille son amie Laura Cox pour un moment bien sympathique. « So Blue » va permettre à Gaëlle et Laura d’alterner les lignes de chant, mais c’est surtout la performance des 3 guitares, qui vont envoyer une succession de riffs et solos bien sentis pour terminer en apothéose.

Voilà une prestation bien sympathique, dont les compositions variées et de qualité ont permis d’apprécier cette artiste généreuse, pour qui l’avenir s’annonce des plus radieux.

La fréquence des concerts de Laura Cox Band monte en puissance depuis plus de 2 ans, et cela se ressens dès l’entame de « Hard Blues Shot ». Le titre du premier album, sorti il y a tout joute un an, fait preuve d’une efficacité redoutable, dans un registre Hard Rock, j’allais dire « classique Old School ». La set list comprend naturellement une majorité de morceaux contenus dans cet opus, mais aussi des nouveautés qui seront sur le prochain enregistrement, dont la sortie est prévue en septembre.

La cohésion du groupe fait plaisir à voir, bien emmené par la chanteuse / guitariste dont il faut saluer la voix, qui a nettement progressé. L’évolution est palpable depuis l’édition 2017 du Festival « Plein Air » à Béthancourt en Vaux, date du dernier concert ou j’avais eu l’occasion de voir Laura Cox. L’expérience du live acquise depuis un an et demi se ressent, avec un show beaucoup plus abouti, carré et efficace. Même si une certaine frange du public a déserté les lieux, certainement surpris par le style « Hard » auquel il n’est pas habitué, les fans de Rock australien ou texan y ont trouvé leur compte !

C’est au tour de Laura de rendre la politesse à Gaëlle, en l’invitant à partager « Good Ol’ Days », toujours extrait de l’album, dont les derniers exemplaires de la série limitée du vinyle restent disponibles au merchandising. Ce titre magnifique, mélange d’influences sudistes et Country, démontre toute la qualité de cette composition, liée à une remarquable précision d’interprétation.

Les rappels « Barefoot In The Countryside » et « If You Wanna Get Loud (Come To The Show) » vont conclure la soirée de la plus belle des manières, devant un parterre sous le charme, heureux d’avoir contribué à la réussite de cette affiche 100% féminine.

Bravo à l’organisation, et merci à Sophie Louvet, à Kriss de Muzivox pour nous avoir facilité les choses afin de réaliser le report et les images.
Alain et Marie-France Boucly

Photos ©2019 Alain Boucly

 

Boney Fields passera par  Cléon (76) « La Traverse » ce soir, « L’Empreinte » de Savigny Le Temple (77) vendredi 22 mars et  « L’Atelier Des Moles » de Montbéliard (25) samedi 23.

Le 20 Mars @ Cléon (76) « La Traverse »
Le 22 Mars @ Savigny Le Temple (77) « L’Empreinte »
Le 23 Mars @ Montbéliard (25) « L’Atelier Des Moles »
 

« Bump City » est plus Rock ! Le nouveau répertoire du virtuose de Chicago reflète l’atmosphère électrique du moment. Boney sait mieux que personne sentir l’humeur du moment. Et pour se faire, le maestro s’est entouré de musiciens enjoués, capables d’imprimer cette tonalité positive dont la planète a besoin. Pas étonnant de déceler un écho néo-orléannais furieusement cuivre dans cette célébration du swing. Comme un clin d’œil à celui qui alluma la flamme du jeune Boney Fields au tournant des années 70… Un certain Louis Amstrong.

Mister Fields se fait un devoir d’honorer toutes les étoiles qui, autrefois, lui transmirent cette envie irrépressible d’insuffler de la joie de vivre dans un monde parfois terne et apathique. Révérer les anciens n’est jamais le signe de la nostalgie, c’est faire preuve de reconnaissance et de respect pour ceux qui montrent la voie. C’est ainsi que Boney Fields rend un hommage appuyé à son compagnon de route et mentor, le regretté James Cotton, sur le titre « Ying Yang », magnifié par la grâce d’un invité de marque, le chanteur et harmoniciste, Charles Pasi.

Live Report réalisé par Alicia FIORUCCI

C’est dans un forum Vauréal plein comme un œuf que Doro nous a donné rendez-vous le 10 mars dernier. En effet, quelques semaines avant le show, c’était sold out, c’est dire l’impatience et l’engouement des fans qui l’attendaient depuis de nombreuses années. De plus, cette date était unique en Île-de-France alors autant battre le fer quand il est chaud et ne pas laisser passer cette occasion.

La soirée commence avec les suédois de No Sleep For Lucy groupe pop rock à l’univers bien calibré radio et au visuel travaillé à grands renforts de tatouages et de biscoteaux.  Le power trio délivrent des compositions originales issus de leurs différents albums. Un show s’étalant sur trois quart d’heure avant de laisser la place à la Metal Queen. Bon, je ne vais pas vous mentir mais No Sleep For Lucy je les aurais plus vus ouvrir pour Maroon 5 que pour miss Pesch mais qu’importe, on est une bande de headbanguers et on va en avoir pour notre grade.

D’emblée, Doro entame l’hymne « Raise Your Fist In The Air » mais le traduit en français, on scande du coup, « Lève Ton Poing Dans le Ciel ». Quelle bonne idée d’avoir adapté le refrain dans la langue de Molière ce qui, davantage, fédère ! Puis c’est parti pour un florilège des meilleurs titres, tel un best of sur les planches. Doro pioche dans le répertoire de Warlock, son groupe légendaire des années 80. En effet, elle nous gratifie des hymnes « I Rule The Ruins », « Hellbound », « Burning The Witches » et autres « Für Immer » ou encore l’immanquable « All We Are » repris par toute l’assemblée. Elle n’en délaisse pas pour autant ses propres chansons issues de sa carrière solo comme « Fight For Rock », « Night of The Warlock » ainsi que quelques titres (« Bastardos », « Blood, Sweat And Rock ‘n’ Roll ») de son dernier double album « Forever Warriors, Forever United ». Eh oui, faut bien promotionner le nouveau bébé made in Germany sorti chez Nuclear Blast. Puis vient, sans surprise, le moment du solo de batterie assuré par Johnny Dee (qui officie avec Doro depuis 1993) démontrant toute sa technicité derrière les fûts. Il assène les coups tel un forçat du rythme le sourire aux lèvres. Toute son équipe de musiciens assure la soudure derrière ! C’est carré, franc et direct ! Doro est aussi toujours très reconnaissante des groupes qui l’ont toujours soutenue. Elle arbore un tshirt Motörhead et reprend « Breaking The Law » de la bande à Rob Halford.

Bien que le public se soit déplacé en masse, je regrette seulement qu’il était un peu statique sans se laisser à quelconques mouvements de liesse comme j’ai eu l’opportunité de voir dans son pays natal, l’Allemagne. Néanmoins, Doro est une pro de la scène et est généreuse avec ses aficionados puisqu’elle assure le spectacle durant 2h, ce qui est son timing de croisière. De plus, elle se prête avec aisance et dévotion au jeu des photos souvenir et autres signatures au pied de la scène avec les personnes venues avec leur collection de disques.  Notre reine du métal n’a pas volé son surnom.

En conclusion, we are the metalheads and proud of it !

Alicia FIORUCCI
Photos ©2019 Alain BOUCLY

Le festival du Blues Autour du Zinc a la particularité de proposer 2 soirées spéciales, sans dévoiler le moindre nom des artistes l’affiche. Le succès des « Secret Gigs » va se confirmer une nouvelle fois lors de ce premier round, qui se déroule dans l’ancienne chapelle Buzanval, devenue l’Auditorium Rostropovich.

Classé monument historique, ce lieu intimiste sera quasiment rempli au moment ou le groupe Rainbreakers fera son apparition. Ce n’état qu’une demi surprise, puisque le merchandising était bien visible dans l’entrée, et les cartes postales et autocollants promotionnels disposés sur les sièges ne laissaient aucun doute sur l’identité de la formation retenue pour ouvrir la soirée.

Déjà présent la veille au théâtre du Beauvaisis avec Deva Mahal, le quatuor anglais nominé aux British Blues Awards en 2016, va nous régaler avec son Blues teinté de Rock. Tout en nuances, les titres du premier album « Face To face », s’enchainent merveilleusement, pour nous faire découvrir 7 compositions particulièrement abouties, sur les 10 enregistrées en août 2018. L’alternance des morceaux calmes avec ceux plus en rythme, va séduire un public très réceptif à cette qualité d’interprétation, mélange de groove et de finesse.

L’heure du rappel a déjà sonné pour Rainbreakers, qui se lance à reprendre le superbe « When My Train Pulls In » de Gary Clark Jr. Le set se termine par la belle ovation d’une assemblée conquise par la seconde prestation beauvaisienne de ce jeune groupe prometteur, au potentiel indéniable.
 
 

La véritable surprise aura lieu avec l’arrivée sur scène de 3 musiciens tirés 4 épingles, suivi de la tornade Michelle David. Cette chanteuse américaine possède une voie d’une puissance inouïe, qui va mettre une sacrée ambiance dans ce lieu idéal pour valoriser ce chant inspiré du Gospel. « Un son qui nourrit le cœur et qui apaise l’âme », voilà comment Michelle Davis décrit sa musique. Composée de sons venus des tréfonds de la musique collective noire, l’intensité et la profondeur vocale de Michelle est impressionnante.

Le Groove est dévastateur, la générosité est de mise tout au long d’un show très rythmé. Le public ne se fait pas prier lorsqu’il est invité à danser, ou à exécuter une gestuelle ne parfaite synchronisation avec la maitresse de cérémonie. Cet enthousiasme communicatif ne faiblira pas, tout comme la voix, très à l’aise dans tous les registres, de la Soul au Rhythm & Blues. Les titres se succèdent sans temps morts, comme le dynamique « Give It To Him », extrait de l’album « The Godspel Sessions Vol.3 ».

L’ambiance est brûlante, et ne faibli pas un seul instant, notamment lors des rappels ou le groupe reviendra à 2 reprises avec toujours autant d’énergie !

Le sourire au lèvres, Michelle, visiblement émue par un tel accueil, remerciera chaleureusement le public avec lequel elle aura instauré une complicité de tous les instants.

Voilà un concert qui restera dans les mémoires, et qui donne un vrai sens à ce que doit être la musique vivante, un échange permanent et complice entre un artiste et son public. Cerise sur le gâteau, Laurent Macimba a annoncé la présence de Michelle David accompagnée par une section de cuivres, pour le 25ème anniversaire du festival en 2020 ! A ne pas manquer !

Bravo à l’organisation et merci à Sophie Louvet pour nous avoir facilité les choses afin de réaliser le report et les images.
Alain et Marie-France BOUCLY
 
 Photos ©2019 Alain BOUCLY

Le nouvel album de Danko Jones, intitulé « A Rock Supreme », sortira le 26 avril 2019.

Track Listing:
  1. I’m In A Band
  2. I Love Love
  3. We’re Crazy
  4. Dance Dance Dance
  5. Lipstick City
  6. Fists Up High
  7. Party
  8. You Got Today
  9. That Girl
  10. Burn In Hell
  11. You Can’t Keep Us Down

Découvrez le titre Le titre « I’m In A Band » en écoute :

La soirée d’ouverture du Blues Autour du Zinc a tenu toutes ses promesses et même bien au delà, avec une affiche qui a su fédérer un large public dans cette belle salle de l’Ouvre Boite qui a quasiment fait le plein.

L’originalité est de mise guise d’apéritif, avec le one man show de Vurro, un espagnol bien illuminé qui va surprendre avec un show imprévisible. D’entrée de jeu, l’artiste espagnol, recouvert d’un masque, traverse la foule aux sons de rythmes tribaux,  avant de rejoindre ses instruments au centre de la scène.

Si ce mélange musical a de quoi surprendre au premier abord, la qualité est au rendez vous avec des influences aussi variées que le Blues, le Rock n roll, ou le Boogie Woggie, distillées de façon très énergique. Les cormes du monstre frappent les cymbales de gauche à droite, pendant que les sons de claviers nous entrainent dans les mélodies les plus envoutantes, accompagnées par un rythme basique mais toujours efficace.

C’est brut, vintage et l’audience se prend au jeu, dans une ambiance de plus en plus chaude. Voilà une découverte bien sympathique et très originale, qui a séduit en sortant des standards habituels.

Yarol Poupaud a choisi d’utiliser son prénom pour monter son nouveau projet musical et il faut bien reconnaitre que l’évolution de celui qui a fait partie du groupe fusion F.F.F (Fédération Française de Fonck) et de l’ancien guitariste de Johnny Hallyday a de quoi faire saliver.

Le ton est donné dès les premiers morceaux, dont l’énergique « Boogie With You » flirte avec le bon Hard Rock des seventies. C’est un set délibérément Rock qui va être envoyé à la face d’une foule chauffée à blanc. Yarol est un communiquant hors pair, qui va chercher le public en l’incitant à tonner de la voix lors de « What Am I Supposed To Do », et à participer de manière à vivre chaque titre de la manière la plus intense qui soit.

Les solos de guitare s’enchainent, gorgés de feeling comme sur « Caroline », tout en assurant le show  au cœur de la foule ou grimpé sur les retours de scène. La petite ballade « Scorpionnesque » « The End Of The World » permet de souffler un peu avant de mieux repartir pour un déluge final proche du Heavy Metal. L’enchainement « Voodo Love » / « Fils de Personne » inspiré du « Fortunate Son » de Creedence Clearwater Revival va mettre tout le monde d’accord, suivi d’un « Go To Hell » tout aussi énergique.  Et la présence de Philippe Manoeuvre aux choeurs, renforce le côté unique de ce concert, qui semble ne jamais vouloir s’arrêter, tant la communion entre Yarol et son public est parfaite .

Le temps d’une nouvelle escapade dans la fosse jusqu’à l’espace technique, afin de saluer ses ingés son et lights, le medley final verra Yarol se jeter dans le public !

Voilà u concert comme on les aime, ou il se passe toujours quelque chose, avec une part d’improvisation loin des stéréotypes trop encadrés. Nous avons assisté à un véritable évènement pendant plus de 2 heures d’un show à l’énergie communicative, prouvant qu’en France il y a de véritables artistes, et ce formidable frontman qu’est Yarol en est la preuve. On ne pouvait pas rêver mieux pour inaugurer cette 24ème édition du Blues Autour Du Zinc ! Bravo à l’organisation et merci à Sophie Louvet pour nous avoir facilité les choses afin de réaliser le report et les images.
Alain et Marie-France BOUCLY
 
 Photos © 2019 Alain BOUCLY

La guitariste et chanteuse Ana Popovic annonce la sortie de son 9ème album studio. Intitulé « Like It On Top », il est disponible via Socadisc.

Retrouvez la reine du Blues Rock en tournée française:
27/03/19 – Guyancourt 78) @ La Batterie (+ Dana Fuchs)
28/03/19 – Pagney (54) @ Chez Paulette
29/03/19 – Epinal (88) @ La Souris Verte

30/03/19 – Mainvilliers (28) @ Jazz En Mars
02/04/19 – Paris (75) @ New Morning

03/04/19 – Le Thor (84) @ Le Sonograf
04/04/19 – Marseille (13) @ Espace Julien
05/04/19 – Saint-Etienne (42) @ Le Clapier

Enregistré à Nashville et produit par le multi-Grammy Winner Keb’ Mo’, cet album propose de multiples facettes du blues.

Plusieurs invités de choix interviennent dont Kenny Wayne Shepherd, Robben Ford et Keb’ Mo’.

L’histoire de cet album est une histoire de femme : A la fois celle d’Ana ou comment une femme accomplie peut elle briser la glace et arriver au sommet. « Like It On Top » célèbre celles qui prennent des initiatives, inspirent et motivent. Cet album célèbre aussi les hommes motivés afin de soutenir ces femmes dans leur quête , et devenir la meilleure version d’elles mêmes. Le 1er single évoque d’ailleurs ces hommes qui soutiennent ces femmes et ont compris l’importance d’avoir des femmes au sommet de la société.Le dernier titre quant à lui parle de ces hommes qui abandonnent leur carrière pour consacrer leur temps à leur famille et ainsi soutenir leur femmes dans leur développement de vie.

«  La plupart des femmes ont besoin de travailler 2 fois plus pour s’accomplir,  pour réussir .au bureau , à la maison. Elles subissent une pression constante et n’ont souvent pas droit à l’erreur. Je souhaite que cet album leur donne un petit souffle d’énergie supplémentaire  et soutienne les homme dans leur éveil. »

Cet album a été écrit pour les leaders de demain, dans les bureaux, en politique et dans la guitare électrique !!!

Voilà qui est dit.

Découvrez le clip « Lasting Kind Of Love » feat. Keb’ Mo’

Line Up :
Ana Popovic (Guitare,Voix)
Michele Papadia (Orgue Hammond,Piano,Voix)
Cedric Goodman (Basse,Voix)
Buthel Burns (Batterie,Voix)
Claudio Giovagnoli (Saxophone)
Davide Ghidoni (Trompette)

« Watch Me Fly », le nouvel album de Shayna Steele sortira le 26 avril 2019 via Membran / Modulor

Voici incontestablement , l’une des grandes sensations vocales du moment.

Connue pour chanter avec Snarky Puppy, Moby et bien d’autres stars, Shayna Steele propose un 3ème album et prend véritablement son envol avec ce dernier.

Un pur joyau du genre : composé de 6 morceaux originaux et 4 reprises , voici une parfaite conjugaison de blues , gospel , soul et jazz ,  mettant en avant sa voix et son énergie incomparables.

Shayna Steele est née en Californie , a grandi dans le Mississipi et mais c’est sur la scène newyorkaise qu’elle fait ses vraies premières armes . Son charisme indiscutable et sa voix ne son pas passés inaperçus auprès de multiples stars , auprès desquelles elle a exercé en tant que choriste . C’est derrière Rihanna, Kelly Clarckson, Bette Midler, Steely Dan que Shayna affute sa technique .

Ce n’est qu’assez récemment qu‘elle décide de passer au devant de la scène .

« Watch Me Fly » est produit par David Cook et Shayna en a co-écrit les titres . Ces 10 titres sont de la pure dynamite , du très soul « Be » , au très sensuel « Treat Me Goodé » , au gospel « Wash Me Over », à la reprise « Life Goes On » de Big Mamma.

« Thorton », la reprise de Michael Jackson « Baby Be Mine » et « Secret Love » de Doris Day , le titre « Home » étant la cerise sur le gâteau, une pépite autobiographique. « Je voyage depuis très jeune. Je ne me suis jamais vraiment senti chez moi, dans le Mississipi, en raison des problèmes raciaux assez  présents la bas Puis lorsque je suis retournée voir ma famille, bi raciale, ils m’ont accueilli avec tant de chaleur et de fierté que oui, à ce moment là  je me suis sentie chez moi « Home » ».

C’est son grand père qui l’initie au Jazz , son père qui sera son guide musical et son Michael Mc Elroy lui donnera son éducation Gospel . Elle comprend très vite que son destin est la musique et le chant. Elle va très vite développer son propre « son », s’inspirant de ses stars telles que Ledisi, Rachelle Farrell, sans parler des icones telles que Stevie Wonder, Aretha Franklin, Chaka Khan, The Temptations.

J’aimerai avec mon album , offrir au public le même frisson que j’ai eu en écoutant « Purple Rain », « Thriller » ou encore les 1er albums de Whitney Houston ..

La course du 20th Anniversary de Coverslave passera par Montlhéry / L’Intervalle le dimanche 21 Avril pour un full tribute show à Iron Maiden.

Cette soirée avec Coverslave s’annonce exceptionnelle, lors d’un set 100% Iron Maiden qui risque d’en surprendre plus d’un !

De nombreuses surprises sont également au programme, avec notamment des places à gagner pour le concert de Coverslave & Dennis Stratton, Syr Daria à Paris, grâce au jeu-concours « The Answer of the Beast ».
Le Lundi 22 Avril étant férié, vous aurez tout le loisir de profiter de vos cadeaux gagnés !

Rejoignez l’évènement ICI

À partir de 20h Coverslave, qui célèbre ses 20ans de carrière, vous interprètera les plus grands classics d’Iron Maiden.
Précurseur en matière de tribute d’Iron Maiden en France, Coverslave vous invite déjà à préparer vos voix pour chanter les plus grandes « classics songs »de votre groupe favori !

Naturellement, Ride The Sky, partenaire de Coverslave sera de la partie !