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Le concert du « Mitch Lucker memorial Show » sortira en DVD, CD et Bluray le 18 février prochain, les bénéfices iront dans le fond d’éducation pour Kennadee Lucker (la fille de Mitch). Ci dessous la tracklist d’ Ending Is The Beginning avec les chanteurs venus sur scène:

1:  « Destruction of a Statue » by Jonny Davy from Job For A Cowboy

2: « Distorted Thought Of Addiction » by Greg Wilburn from The Devastated

3: « Ending Is The Beginning » by Brook Reeves from Impending Doom

4: « Bludgeoned To Death » by Ricky Hoover from Suffokate

5: « Unanswered » by Phil Bozeman from Whitechapel

6: « Girl Of Glass » by Myke Terry from Bury Your Dead

7: « The Price Of Beauty » by Danny Worsnop from Asking Alexandria

8: « No Pity For A Coward » by Johnny Plague from Winds Of Plague

9: « Disengage » by Cameron (Big Chocolate) Argon

10: « No Time To Bleed » by Burke Van Raalte from With Dead Hands Rising

11: « Smoke » by Anthony Notarmaso from After The Burial

12: « Wake Up » by Tim Lambesis from As I Lay Dying

13: « Slaves To Substance » by Eddie Hermida from All Shall Perish

14: « O.C.D. » by Austin Carlile from Of Mice & Men

15: « Fuck Everything » by Chad Gray from HELLYEAH/Mudvayne

16: « Die Young » Black Sabbath cover by Robb Flynn from Machine Head

17: « Roots Bloody Roots » Sepultura cover by Max Cavalera from Sepultra and Soulfly

18: « Engine No. 9 » Deftones cover with Mitch’s vocals playing through the speakers

19: « You Only Live Once » by Randy Blythe from Lamb of God


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La célèbre lignée des Punk Goes vient de sortir son dernier opus pour Noel. Si vous n’êtes pas familier de ces compilations, ce sont tout simplement des albums d’environs 15 pistes rassemblant autant de groupes peu ou récemment devenus connus (du moins sur le papier) venant de la scène punk, metal, alternative, un peu de tous les horizons ! Le principe est simple: reprendre une chanson selon un thème (en l’occurrence Noel pour celui ci), ce qui a donné plusieurs versions de célèbre titres.

Après les Punk Goes Pop, Metal, 80’s, 90’s, Acoustique, Crunk, voici la playlist de Noel:

1. Nothing for Christmas par New Found Glory

2. Fool’s Holiday par All Time Low

3. I Had a Heart par Real Friends

4. Father Christmas par Man Overboard

5. This Christmas par The Summer Set

6. There Will Be No Christmas par Crown the Empire

7. Christmas Lights par Yellowcard

8. Merry Christmas, Happy Holidays par Issues

9. All I Can Give You par Jason Lancaster

10. I Don’t Wanna Spend Another Christmas Without You par The Ready Set

11. This Christmas (I’ll Burn It to the Ground) par Set It Off

12. Do You Hear What I Hear? par William Beckett

 

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J’avoue que j’ai beaucoup appréhendé avant d’écouter cet album. Je m’explique : j’ai beaucoup entendu parler d’eux depuis quelque temps, présenté comme un des plus gros de la scène malgré seulement 2 albums. Je n’ai jamais écouté le premier album, donc ne venez pas me contredire sur toute la ligne en parlant de changement de son etc, je sais que les fans de la première heure on plus ou moins mal prit ce deuxième album qui a apparemment vu une évolution dans le son de MIW.

Donc, ca s’ouvre sur Black Damask , morceau plutôt bourrin bien que commençant par du piano, alliant couplets screamés sur gros riff bordélique et refrains en clair amenés par un pre-chorus assez « inquiétant » si je puis dire qui sonne goth. L’ensemble du titre ne laisse pas une seconde de répit, c’est particulier. Pas du metalcore ou posthardcore ou jesaispasquoiCORE habituel de cette scène prisé par les kids. S’en suit Devil’s Night, un riff simpliste sur la corde la plus grave lance le tout sur les claviers. Couplets criés encore et bien sûr refrains clairs. Bon solo et breakdown. Vient après America. Il n’a un peu rien à foutre là après les deux morceaux bourrins qui ont été servis. Le morceau est lent, je n’ai pas trop aimé. Refrain fédérateur évidemment, mais c’est relou à entendre franchement. Je doute même que le titre fasse son effet en live. Passons, Burned At Both Ends se révèle être plus proche d’un rock alternatif que du méga bourrin, bien que l’intro tout comme les couplets sont screamés. La machine est relancée avec brio. Divine Perfection est bien diffèrent encore, malgré un début un peu vilain je trouve le refrain qui arrive au bout de 50sec relance tout, ça sonne très numetal ou neometal (je sais plus le terme exact) fin 90’s début 2000’s, c’est ouf, j’ai pensé à un vieux Linkin Park. Oui vraiment. Puppets 2 a une autre ambiance, c’est glauque encore et ses refrains sonnent rock. Juste rock. Arrive maintenant Sinematic. LE MORCEAU LENT (ET CHIANT) DE BASE. Ils veulent tous faire des morceaux lents dans ce milieu, mais putain qu’ils sont mauvais. Ils font pas des ballades car évidemment ça ferait très bizarre au milieu de tout l’album donc ils font ces trucs calmes où ils veulent crier encore et encore sur une musique qui n’en a pas besoin ni vocation. Vite la suite. If It’s Dead We’ll Kill It. Pareil. Refrain entraînant et couplets un peu glauque. Gros breakdown. Bon j’ai trouvé moyen ce titre. Vient Synthetic Love, voix puissantes mi criées mi chantées portées par des chœurs, le clavier s’occupe des couplets, le riff de guitare bien bien cool ! Maintenant, Hatefuck. Bon celui-là est nul je trouve. Tout est misé sur le refrain, vraiment, le riff est lourd encore stylé début 2000, mais ça ne suffit pas. Underdog ressemble au reste de l’album. L’album atteint sa conclusion sur le titre éponyme, qui est un peu décevant je dois dire ! Il est mou, ok pour les refrains mais ca devient relou quand vraiment tout est misé dessus.

Conclusion, Infamous est bien bon quand même ! Pas parfait, il a ses faiblesses, les refrains sont sauveurs pour certains titres, ce qui est regrettable. Mais la créativité est là ! ils ne s’abaissent pas à « on est tel style donc on va rester comme tel », non bien metal l’album révèle des influences numetal, rock basique, alternatif tout en gardant l’esprit metalcore/posthardcore. C’est ouf le mélange, bravo pour avoir pris ce risque. Je sais pas à quoi ressemble le premier album, donc je ne peux pas comparer.
Bon album.

3.5/5

Chronique : Issues – Black Diamonds EP

Publié : 21 décembre 2013 par Julien L. dans Chroniques, Musique
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C’est quoi c’est quoi c’est quoi ? Un projet mené par plusieurs anciens membres de Woe Is Me.
Pour faire court, tout en gardant l’influence post-metal-hard-machin-truc-core le chanteur Tyler Carter qui est un bon fan de rnb se lâche. Des refrains clairs bien entrainants la plupart du temps, des « gros » riffs classiques au genre. Qu’on se le dise, cet EP n’est pas formidable, mais par contre je le trouve prometteur à force de l’écouter. L’intro, pas terrible, est suivi par King Of Amarillo qui lance le projet d’un coup. Il résume à lui seul le but du groupe, mélanger les genres, morceau qui aurait mieux fait d’être le premier single à la place de Princeton Avenue. Worst Of Them se montre être particulièrement catchy. Je regrette l’ennui provoqué par l’écoute de Love, Sex, Riot qui est le titre avec la meilleure intro possible pour rendre la foule folle mais qui devient moche à écouter avec le couplet. Fronz d’Attila en feat rattrape le tout. Les 5 titres font de cet EP un bon début pour le groupe.
Sans être non plus une version plus violente du mashup entre Linkin Park et Jay Z d’il y a quelques années, la voix de Tyler permet de rajouter une sauce rnb sur un genre qui est à mon sens en train de mourir.

2.5/5

Tracklist :

1. Black Diamonds (feat. Scout)

2. King Of Amarillo

3. The Worst Of Them

4. Princeton Ave.

5. Love. Sex. Riot. (feat. Fronz)

6. Her Monologue

Issues : Session live acoustique

Publié : 20 décembre 2013 par Julien L. dans Musique, News
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Issues a interprété son titre « Hooligans » dans une version acoustique. Issu de leur premier album, l’opus sortira prochainement, il fera suite à leur EP Black Diamonds paru l’année dernière.


Chronique : SOE – Soe EP

Publié : 20 décembre 2013 par Julien L. dans Chroniques, Musique
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5 français qui jouent dans ce groupe de pop-punk, formation classique du deux guitares, une basse et une batterie, complétée par un clavier. La page existe depuis septembre 2012, donc je suppose que le groupe ne soit pas bien plus vieux, c’est donc un premier opus qui sort !

SOE commence donc en tant qu’intro. Ce morceau démarre par des bruits qui ressemble à un mec ouvre une boite de cd pour le mettre dans le lecteur, et puis bim bam boum les guitares sont lancées. 1min 20 qui est amplement suffisante pour nous mettre dans l’ambiance. J’ai immédiatement pensé à un vieux Green Day ou Offspring, et la surprise que j’ai eu est en effet le breakdown orchestré par les claviers, aucun moyen de le voir venir. « Poison In Me » se révèle être accrocheuse, avec une rythmique qui se charge de la mélodie, les refrains ne se discernent pas (en termes de musique) réellement des couplets. C’est rapide, ça sent l’été, ça me rappelle les bons vieux groupes punks que j’écoutais il y a encore quelques années. « Recycled Dreams » commence avec un bon rythme un peu aérien, chose que j’apprécie beaucoup chez Angels&Airwaves ou Deaf Havana, j’ai trouvé le chant un peu faible pour ce début, l’ensemble voix du groupe sans musique avant de lancer la rythme plus punk est pas terrible non plus je trouve. Un bon solo rattrape tout ça. S’en suit de « Wake Up », morceau acoustique, ballade de l’EP. Il a une belle partie mélodique par-dessus les accords, le chant par-dessus la guitare est bien, je me demandais justement si le chanteur tenait la route une fois les guitares débranchées. Cependant… Les rebrancher pour conclure le morceau, je n’ai franchement pas aimé ce coup. Enfin bon, le dernier morceau de cet EP est « Here 4 U », un bon riff qui m’a vaguement fait penser à du All Time Low (va falloir que j’en réécoute là), le breakdown de ce morceau fallait oser le sortir, du moins jusqu’à que le solo le complète. Conclusion que j’ai pas apprécié par contre, l’effet multi-voix, hmmm.

En conclusion, cet EP est franchement cool. J’ai vraiment apprécié les breakdowns assez osés qui passent extrêmement bien. Les solos sont impeccables également. Petite remarque sur le chant par contre ; je suis plutôt méfiant en général parce que des groupes de pop/punk français qui chantent en anglais (ouais ça fait plus classe tavu) on en a toute une flopée et j’ai presque jamais apprécié le chant, il se trouve qu’ici pour les SOE ça ne m’a pas vraiment dérangé. A part la ballade que je trouve gâchée et « Recycled Dreams » que j’ai trouvé un peu faible, je recommande l’écoute de cet EP à n’importe quel fan de punk, de pop/punk, d’All Time Low, de Green Day, de The Offspring, de Fall Out Boy (vieux Fall Out Boy, attention..) et j’en passe.

3.5/5

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Découverts pour la première fois avec la reprise de « Call Me Maybe » pour le Punk Goes Pop 5, c’est leur clip « A New Beginning » (avec en feat Chris Motionless) qui m’a motivé à écouter l’album.
Les Italiens nous offrent ici pour leur premier album (signé chez Fearless, quand même) un ensemble de 12 pistes très entraînantes.
Le cd s’ouvre donc sur leur single « A New Beginning » qui met direct dans l’ambiance, t’accroches ou tu dégages. Le scream est très bon, les riffs lourds montrent bien l’envie de voir des moshs dans les concerts et le chant clair permet en plus de bien avoir un refrain en tête. Il faut se faire à la voix aiguë de Matteo, accent italien qui s’entend. Les morceaux qui suivent respectent cette ligne directrice avec des guitares entraînantes complétées par les claviers. « Nothing Lasts Forever » est rapide, l’alliance entre scream et chant clean est bien coordonnée. « From Hell to the West » est certainement ma préférée de l’album, son assez bourrin, scream auquel on ne peut rien reprocher, et refrains clairs. Bien que les claviers d’Andrea soient sur tous les morceaux et que l’on n’y prête pas trop d’attention, sur « Sound of Your Breath » ils sont plutôt inattendus et arrivent à surprendre. La septième piste se termine calmement et laisse entrevoir une ballade ou un morceau bien plus calme; effectivement « All in Your Head » est là pour calmer le jeu, les guitares sont quasi absentes sur le morceau excepté pour le final, cette piste est plutôt chiante tout de même, ça laisse à désirer. ; car une piste calme ne fait pas de mal, mais le mélange entre cris et chants sur des claviers et quelques percussions est assez vilain. Heureusement la piste se termine et « Sons of Venice » vient relancer l’énergie de l’album; le morceau qui s’en suit est plus bourrin, on sent que la fin approche. « The Path » complète « Lux », morceau qui suit la logique de l’album, rien à redire là-dessus. La fin de la chanson nous laisse sur notre faim et tout ce que l’on dit à la fin c’est « putain une autre ! ». Bingo, « Vessel » démarre rapidement, le morceau entier est énergique, et c’est brutalement que les guitares s’arrêtent pour ici conclure une galette de 12 titres. 38 minutes seulement pour cet opus, c’est un peu court mais cet album laisse ici plein d’espoir au groupe et le deuxième album me tarde particulièrement.

4/5

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On les aura attendu les Babyshambles pour leur retour ! En effet, Shotter’s Nation ca date de 2007 tout de même, alors ok Doherty a sorti un album solo entre temps en 2009, couronné de succès, un retour des Libertines était au programme mais finalement annulé, le tout a pris du retard après la mort d’Amy Winehouse qui a reconduit le chanteur en desintox’, enfin bref tout ça peut se lire dans n’importe quel magazine « people ».

Sequel to The Prequel, c’est avant tout le retour d’un groupe phénomène, autant connu pour ses frasques en tout genre entre polémiques et annulations de concerts, ainsi que pour la qualité de ses textes. 12 titres, auxquels on ajoute 5 autres pistes si l’on a la chance d’avoir l’édition double cd.

Les Babyshambles conservent ici leur son garage, rock n roll, qui leur a porté chance avec des titres comme Fuck Forever ou Delivery. Les quatre premiers titres sont du Babyshambles pur et dur comme les aime, on peut même diviser l’album en trois parties. Première, ça bouge bien, limite du déjà entendu mais qu’est-ce que c’est bon ! Fireman et Nothing Comes For Nothing ont sont le meilleur exemple. La deuxième partie de veut plus calme, Fall From Grace ouvre le bal avec son rythme continu, plus pop, les guitares sont posées. Le titre éponyme se veut volontairement jazzy, ainsi que sa suite Dr No. La conclusion de cet album reprend un peu d’énergie, mettant de côté une possible ballade de fin à la Lost Art of Murder. Coté CD bonus, on a 4 titres + la demo de Dr No, ce sont à la fois de l’acoustique, du rock comme ils savent le faire, ou des morceaux plus calmes, réfléchis (Cuckoo).

Certains diront que cet album ne mérite pas 6 ans d’attente, qu’il n’est pas si bon qu’on aimerait le dire, ou encore raconter que ce groupe ne tient que par son chanteur, mais concrètement on s’en fout, car c’est pour ça qu’on les aime. Les Babyshambles prouvent ici que ce sont eux les chefs bien qu’ils ne foutent pas grand chose.

A retenir :
Fireman, Fall From Grace, Sequel to The Prequel, Dr No, Seven Shades, The Very Last Boy Alive et After Hours.

4.5/5

Chelsea Grin : Nouveau titre en écoute.

Publié : 20 décembre 2013 par Julien L. dans Musique, News
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Chelsea Grin vient de sortir un nouveau titre intitulé « Letters » .

A découvrir dans la suite :


weaksaw

Weaksaw est actuellement en enregistrement pour un nouvel album prévu pour 2014. Une vidéo studio contenant un extrait live d’un nouveau morceau est en ligne :


Le groupe sera dans Brutal Spring Tour l’année prochaine en compagnie de Nephalokia et Dawn Of Justice.