Ride The Sky vous propose de gagner deux places (2 x 1) pour le concert en co-headliner de Bloody Rosie Tribute AC/DC et Danny Fisher, plus 44 en ouverture. Cet évènement exceptionnel aura lieu au le samedi 15 avril 2017 au Big Band Café d’Hérouville Saint Clair (Caen – 14).

Pour cela, il suffit de répondre à ces 2 questions:
  1. Quels sont les noms de tous les chanteurs d’AC/DC, depuis sa création à aujourd’hui ?
  2. Quel est le titre qui sera joué en ouverture du set de Bloody Rosie le 15 avril au BBC ?

Les réponses devront être envoyées par email signé de votre vrai nom à l’adresse suivante: bloodyrosie@live.fr

Vous pouvez participer jusqu’au vendredi 14 avril 2017 12:59:59 (heure de Paris).
Les gagnants seront contactés par email après vérification et tirage au sort en cas d’égalité.

Réservations:

           

Partenaires officiels:
       
Partenaires médias:
  
Prestation scénique:

L’édition 2017 du Rock ‘N Festival va une nouvelle fois démontrer que cet évènement fait partie des rendez vous majeurs organisés en France. Difficile en effet de faire mieux que cette affiche résolument Rock / Hard Rock, avec le batteur actuel d’AC/DC Chris Slade, la diva punk des années 80 Nina Hagen, le groupe en pleine ascension Blues Pills et le rock hexagonal représenté par Mante.

Le public ne s’y est d’ailleurs pas trompé, puisqu’il n’y avait plus aucun billet en vente depuis plusieurs semaines !

C’est Mante qui aura l’honneur d’inaugurer la soirée, en proposant un mix de rock electro aux intonations pop. Le trio, emmené par la chanteuse guitariste Isïa Marie, va distiller ses compositions tout en contraste, oscillant entre les mélodies résolument énergiques et celles plus acidulées mais néanmoins décalées.
Malgré la jeunesse du groupe, l’expérience de la scène est déjà conséquente avec plusieurs dates parisiennes au Café de la Dance ou l’Alhambra, mais aussi une tournée en ouverture de Wishbone Ash.

L’originalité est de mise au niveau du visuel, ou les éclairages vont mettre en valeur la sensualité d’Isïa, et ses 2 complices placés de chaque côté de la scène. La salle est quasiment comble lorsque Mante terminera son set, qui a n’en pas douter, aura été une belle entrée en matière, prouvant ainsi un potentiel intéressant à confirmer sur leur futur album.

Le changement de registre est radical avec l’arrivée de Blues Pills, qui nous emmène dans un univers au style résolument vintage, dans la lignée d’un Jefferson Airplane par exemple.

Le mélange d’influences se retrouve également au niveau des nationalités, avec le guitariste français Dorian Sorriaux, l’americano/suédois Zach Anderson à la basse, André Kvamström aux baguettes et la frontwoman Elin Larrson qui nous viennent de suède.

L’homogénéité de la set list va régaler une audience très réceptive à la voix d’Elin, dont la présence scénique va impressionner durant tout le show. L’énergie est de mise sur tout la largeur de la scène, et, toujours en mouvement, Elin va délivrer une performance vocale hors du commun. Que ce soit sur les titres plus rock du premier album comme « Black Smoke » ou « High Class Woman », ou ceux du dernier opus  à consonance plus soul tels que « Lady In Gold » enchainé avec « Little Boy Preacher », la voix gorgée de puissance et de feeling aura conquis une audience sous le charme.
Digne héritière de Janis Joplin ou Grace Slick, la reprise de « Somebody to Love » va d’ailleurs rendre hommage à cette dernière de la plus belle des façons.

Les très rythmés « Little Sun » et « Devil Man » sortis en 2014 vont clôturer un show très abouti et convainquant, pour ce groupe que rien n’arrêtera pour atteindre les sommets.

Mais l’artiste tant attendue par les spectateurs venus de la France entière se nomme Nina Hagen ! Et quelle sacrée réussite pour l’organisation d’avoir su décrocher cette date unique afin de permettre à cette légende des années 70 / 80 de se produire à Chauny !

Pour une grande partie du public, c’est l’occasion rêvée de voir l’icône pour la première fois. Un grand moment d’émotion s’empare de la foule au moment ou elle arrive sur scène, pour entamer un set loin de la flamboyance des débuts. Sa voix unique et si caractéristique est toujours bien présente, comme en témoigne l’interprétation de « Je ne regrette Rien » dans une version très décalée.
La reprise d’« Alabama Song » des Doors fait son petit effet, et il faudra attendre la seconde partie du show pour voir Nina debout, laissant sa guitare acoustique de côté, pour envoyer un titre plus rock avec « I’m The Six O’Clock News ».

Les cordes vocales sont mises à rude épreuve, mais peu importe, ce sera près d’une trentaine de morceaux qui vont ravir une foule conquise, même si la folie dont elle était coutumière semble avoir été moins présente.

Mais personne n’oubliera la chance d’avoir pu vivre un tel moment avec cet interprète totalement hors normes !

Ce soir va être une première pour Chris Slade, car c’est la date inaugurale du projet « Chris Slade Timeline » dans notre pays. On ne présente plus le batteur actuel d’AC/DC, qui a remplacé Phil Rudd lors de la dernière tournée mondiale des kangourous intitulée « Rock Or Bust World Tour ». Mais il ne faut pas oublier la carrière longue comme le bras du cogneur qui avait déjà officié chez les australiens entre 1989 et 1994 et enregistré les albums « The Razors Edge », le « Live » en 1992 et le single « Big Gun » l’année suivante.

Il a également collaboré avec Tom Jones, Uriah Heep, Manfred Mann, Asia, David Gilmour, Gary Moore, The Firm, lors d’enregistrements studio ou en tournée.

Et la setlist va être le résumé de toute cette carrière hors normes, dont la succession des titres fera monter l’ambiance pour atteindre les sommets lors de l’hymne « Highway To Hell ».
Quel plaisir de vibrer aux sons de « Dirty Deeds Done Dirt Cheap », suivi de « High Voltage », d’un petit Uriah Heep avec « July Morning » et « You Shook Me All Night Long » enchainé !
Le solo tant attendu précède « Riff Raff » en version survoltée, puis « Delilah » de Tom Jones avant le bouquet final « Back In Black » / « Thunderstruck ».

Le groupe assure à tous les niveaux, pour envoyer ces classiques de l’histoire du Rock à la face d’un public très réactif. Et quoi de mieux que de rependre « Highway To Hell » en chœur, pour terminer de la plus belle des manière cet évènement qui restera longtemps gravé dans les mémoires.

Je tiens particulièrement à féliciter Jean Michel pour cette organisation sans faille et pour avoir su mettre sur pied une affiche aussi prestigieuse. Les 900 personnes présentes ne s’y sont pas trompées, car en plus des groupes renommés, l’accueil optimal, ainsi que la qualité du son et des éclairages ont contribué à ce succès amplement mérité.
Nous remercions les décideurs, tourneurs, artistes, et l’équipe organisatrice pour nous avoir offert ces conditions idéales, qui ont permis de réaliser les images, reportages, interviews de manière à immortaliser et partager ces moments de pur plaisir.

Report & Photos : © 2017 Marie-France & Alain BOUCLY

Ensiferum viens de rentrer en studio à Lappeenranta, Finlande, pour commencer à travailler sur leur prochain album qui sera produit par Anssi Kippo (Children Of Bodom, Impaled Nazarene, Entwine…).
Sa sortie est prévue en septembre 2017 via Metal Blade Records.
Ensiferum sera présent cet été dans plusieurs festivals:
Ensiferum tour dates:
Apr. 7 – Metal Franconia Festival – Dettelbach, Germany
Apr. 8 – Durbuy Rock Festival – Durbuy, Belgium
June 3 – Metal Open Air Plzen – Plzen, Czech Republic
June 24 – Montebello festival – Montebello, Canada
June 30 – Rockfest Barcelona – Barcelona, Spain
July 1 – Hoernerfest – Brande-Hoernerkirchen, Germany
July 2 – Battlefield festival – Milan, Italy
July 13 – Dong Open Air – Neukirchen – Vlyn, Germany
Aug. 17 – Summerbreeze festival – Dinkelsbuehl, Germany
Zeal & Ardor « Devil is Fine »
Regardez la version live de « Devil is Fine » ICI 
Regardez la version live de « Don’t You Dare » ICI 
Regardez le clip « Devil is Fine » ICI
Interview sur Duke TV ICI
Arte / Tracks : Black Black Metal ICI 
n°6 du Top Metal, Punk, Rock 2016 des rédacteurs deMetalorgie.com ICI 
Ne ratez pas Zeal & Ardor en concert :
Mardi 18 avril 2017 – Canal + / L’Album de la Semaine

Mercredi 19 avril 2017 – Paris / Glazart

Imaginez la situation suivante : un type ayant la même dégaine que le Django de Tarantino sacrifie une chèvre sur scène tout en rugissant des chants d’esclaves sur fond de riffs de guitares hurlantes… Soudain le cliquetis des chaînes lancent une rythmique ressemblant à une sorte d’invocation satanique dont les mélodies rappellent étrangement celles d’un groupe de black metal norvégien. Le responsable de ce mélange des genres se nomme : Zeal & Ardor

Son prochain album, « Devil is Fine » – disponible depuis le 24 février dernier sur NVKA/CarolineZeal & Ardoraborde les thèmes les plus typiques du black metal – rituels, sacrifices humains, feu et le sang – mais a décidé de pousser ces propos blasphématoires encore un peu plus loin en les conjuguant à des paroles directement inspirées des chants spirituels repris par des esclaves lorsqu’ils travaillaient enchainés dans les plantations… Du Black Metal tirant son inspiration des champs de coton des états du sud… Qui aurait pu imaginer ça un jour ?

Zeal & Ardor c’est un musicien americano/suisse nommé Manuel Gagneux, qui tire son inspiration d’une approche alternative de l’histoire, résultant directement de l’association entre deux pensées : 

1) la religion chrétienne a été imposée aux esclaves américains (tout comme cela avait déjà été fait en Norvège des siècles auparavant)

2) dans les années 90, le black métal s’est répandu partout dans le monde en rébellion face au monothéisme. 

Dés lors que ce serait-il passé si les esclaves américains s’étaient rebellés de la même façon ? Quel aurait été le son de ces chants spirituels s’ils avaient été sataniques ?

Avec « Devil is Fine », Zeal & Ardor apporte les premiers éléments de réponse…

« Devil is Fine n’a pas été créé avec l’idée que peu de gens pourraient l’entendre… Il n’y a donc aucun compromis stylistique,  je n’ai pas eu à me plier face à certaines demandes… Il s’agit seulement de choses que j’aime personnellement… » ne manque pas de souligner Manuel Gagneux.

C’est sans aucun doute cette liberté totale qui lui a permis de créer une oeuvre avant-gardiste dont on a pas fini d’entendre parler…

Facebook.com/zealandardor

« Hallowed Ground » le nouveau single de Night Demon est déjà disponible !
Ce titre est extrait de l’album « Darkness Remains » qui sortira le 21 avril 2017
La vidéo de « Hallowed Ground »
La sortie européenne de « Darkness Remains » aura lieu le 21 avril 2017 via SPV/steamhammer est sera disponible dans les versions suivantes:
– CD digipack
– LP Version in dark green vinyl
– Download (with bonus tracks) and Stream

Tracklisting:
1-Welcome To The Night 3:51
2-Hallowed Ground 3:53
3-Maiden Hell 2:43
4-Stranger In The Storm 4:09
5-Life On The Run 3:34
6-Dawn Rider 3:22
7-Black Widow 3:26
8-On Your Own 3:27
9-Flight Of The Manticore (Instrumental) 4:06
10-Darkness Remains 5:31
11-We Will Rock You (Queen cover version) 2:58 – digital bonus track
12-Turn Up The Night (Black Sabbath cover version) 3:24 – digital bonus track

Le nouvel album de God Dethroned « The World Ablaze » sortira le 5 mai 2017  via Metal Blade Records!

Il sera disponible dans les formats suivants:

– CD/DVD Digipak
– Jewelcase CD
– 180g black vinyl
– pale violet vinyl (limited to 400 copies – EU exclusive)
– gray-marbled vinyl (limited to 300 copies – EU exclusive)
– clear-pastel rose vinyl (limited to 200 copies – EMP exclusive)
– deep violet-marbled vinyl (limited to 200 copies – USA exclusive)
– clear/black-marbled vinyl (limited to 100 copies – Hells Headbangers exclusive)

 

 Track-listing:
1. A Call to Arms
2. Annihilation Crusade
3. The World Ablaze
4. On the Wrong Side of the Wire
5. Close to Victory
6. Konigsberg
7. Escape Across the Ice (The White Army)
8. Breathing Through Blood
9. Messina Ridge
10. The 11th Hour

 Allez sur metalblade.com/goddethroned pour écouter le premier single « On the Wrong Side of the Wire »

God Dethroned line-up:
Henri Sattler – vocals/guitars
Mike Ferguson – guitars
Jeroen Pomper – bass
Michiel van der Plicht – drums

Interview de Richy, guitariste de Drakkar, par Alain Boucly

Merci d’avoir accepté cet entretien et de répondre aux questions pour Ride The Sky.

– Peux tu nous parler du prochain album, est-il dans la continuité du précédent, ou marque t’il une évolution pour le groupe ?

Notre nouvel album n’est pas encore sorti à ce jour, nous venons tout simplement de le terminer. Il sera disponible dans les bacs probablement en septembre 2017. Nous avons d’ailleurs hâte ayant pris de longs mois de retard suite au décès de notre ami et guitariste Thierry Delcane.

– Pourquoi ce titre, « Diabolical Empathy »

Disons que nous avons centralisé dans cet album « tout le mal que l’humain peut produire avec une empathie extrême ».. Tueurs en séries…. Et puis notre chanteur Leny a une imagination débordante avec la réalité des choses.

– Le groupe s’est reformé en 2012 après une longue pause. Qu’est-ce qui vous a motivé à reprendre du service et avec quel line up ?

Je suis à la base de la reformation, j’avais envie de remonter sur scène avec des potes, rejouer certains morceaux de notre premier album « Xrated ».

Thierry Delcane (RIP) a accepté tout de suite. Au début il y a eu aussi Guy le bassiste d’origine. Le batteur n’étant plus disponible, c’est Jonas Sanders (Pro Pain) avec qui j’ai joué pendant 3 ans dans Resistance qui nous a rejoint et j’ai demandé à Pat de devenir notre troisième grateux. Quant au chanteur, lors de  la reformation ce fut Silver (Hell Patrol). Après quelques dates c’est Leny, le chanteur d’origine qui nous a rejoint.– Justement, au niveau des composantes de Drakkar, ou en êtes-vous aujourd’hui ?

Le nouvel album est terminé ainsi que le clip accompagnant la sortie de celui-ci. Nous sommes impatient de pouvoir le présenter à nos fans.

– Comment se répartissent les rôles au niveau des compositions ?

Tout le monde y participe de près ou de loin. Les paroles et mélodies de chants sont exclusivement composées par Leny. Pour la composition des morceaux en eux-mêmes, Pat et moi apportons les carcasses, puis nous finissons avec la batterie et Adrien.

– As-tu une explication sur le fait que Drakkar soit le groupe originaire de Belgique qui joue le plus en France, même lors des les évènements spécifiques tels que le Paris Metal France Festival ?

Tout d’abord, c’est toujours un grand plaisir de jouer en France, nous y avons un public fans du groupe. En second nous avons pas mal de potes musicos en France, comme Gang, ADX, Vulcain, Spirit, Rozz, Hürlement, Loudblast, les excellents Octane…et plein d’autres… avec qui c’est toujours un plaisir de se produire.

– Quels sont vos projets pour 2017 et pour le futur ?

Beaucoup de concerts. Et de rencontres avec les fans de métal en Europe et surtout en France.

– Cites nous 2 arguments pour convaincre le public d’écouter Drakkar ?

Le premier est de venir nous voir sur la scène « Voir notre Leny en action, tu as déjà pu t’en rendre compte mdr » et en deuxième, je pense que nous communiquons notre passion de la musique métal dans nos compos et prestations.

– La musique de Drakkar est le mélange de diverses influences. Comment la définirais-tu ?

Honnêtement Drakkar reste un groupe de Heavy Metal avec beaucoup d’influences, mais basées sur les groupes que nous écoutons. Cela va du Hard Rock .. au Death Metal.. en passant par le speed… mais nous faisons en sorte que Drakkar sonne DRAKKAR.

– Un dernier mot pour Ride The Sky et le public français ?

On vous aime et vous nous le rendez bien… nous arrivons bientôt chez vous …….haha haha

Je te remercie pour la disponibilité et la bonne humeur dont tu as fait preuve, et souhaite à Drakkar le meilleur pour la suite !

Présente:
Soen & Madder Mortem en concert à Paris / O’Sullivans Backstage by the mill le samedi 15 avril 2017 à 19h00

Pour ceux qui ont suivi la carrière de Soen jusqu’à présent, les concepts de voyage et d’exploration ne sont pas nouveaux. “Cognitive” en 2016 a tracé un long chemin progressif et métallique. En 2014 “Tellurian”, avec son esprit explorateur et sa puissance, a permis à Soen de s’exprimer plus librement et d’apporter sa vision unique. Leur troisième album, “Lykaia”, est un voyage dans des endroits plus terreux. C’est leur quête créative la plus cohérente.

Dans “Lykaia”, Soen reste fasciné par les ombres et les bords plus sombres de notre monde, avec un accent particulier sur les différentes pensées et les concepts derrière la religion et le comportement ritualiste, basé sur la croyance dans la société.

Soen revient à Paris le 15 avril, un rendez-vous à ne manquer sous aucun prétexte.

Billets disponibles ICI
Pour Laura Cox, un bon gros riff vaut mieux qu’un refrain pop. La simplicité n’est pas forcément signe de facilité, et c’est dans cet esprit qu’ils mettent leur technique au service de leur musique, pour apporter ce qui se fait de plus rare en France : un style vintage et épuré.

Pour son premier album, le Laura Cox Band a réuni 10 compositions efficaces et percutantes, permettant une immersion totale dans son style atypique. Avec ce disque, le groupe affirme plus que jamais son identité rock, teinté de blues, de country et relevé par de gros riffs de guitares.

Les chansons originales du Laura Cox Band ont pour but de transporter l’auditeur dans des époques passées. « Barefoot in the Countryside » nous fait redécouvrir tout autant le vieux bluegrass américain, sans oublier le hard blues australien mis en avant avec « Hard Blues Shot », « The Australian Way » ou encore « Going Down ». Mais impossible de passer à côtés des influences majeures de Laura avec ce bon vieux rock sudiste texan, représenté par les tranchants « Too Nice for Rock ‘n’ Roll », « Morning Road »et « Good Ol’ Days ». L’album se finit cependant sur une touche acoustique et mélancolique avec la chanson « 13″.

Les thèmes abordés sont inscrits dans la pure lignée des vieilles chansons blues, entre la recherche de la liberté et du dépaysement avec « Barefoot in the Countryside » ou le voyage et les virées sur l’autoroute, comme « Morning Road », dont les images pourraient figurer dans un film de James Dean.

Les paroles traitent également de sujets plus lourds, tels que le sentiment de solitude face à un amour passé et lointain sur « Good Ol’ Days », où l’impression de ne pas trouver sa place avec « Too Nice for Rock ‘n’ Roll ».

La chanson la plus poignante et ayant la plus grande signification est le titre acoustique « 13″, un véritable cri du cœur en hommage aux victimes du Bataclan.

Cela dit, le Laura Cox Band ne serait pas pleinement un groupe de rock & roll s’il n’abordait pas les thèmes récurrents et incontournables du genre.  La fête et ses excès sont à l’honneur sur les incontournables « If You Wanna Get Loud (Come to the Show) », « Hard Blues Shot », et « Going Down ».

Bien conscient d’être à contre-courant de la scène française actuelle, le Laura Cox Band veut faire de sa différence une force, en continuant à jouer la musique qu’il aime : du rock old school dans sa forme la plus simple.

Les 10 morceaux de cet album sont particulièrement aboutis, mis en valeur par une production idéale pour apprécier ces brûlots dans le plus pur esprit du Hard Rock seventies !

Veryshow présente:
Thunder en concert à Paris / La Maroquinerie, mardi 25 avril 2017

368 jours après leur dernière apparition en France, Thunder se produira le 25 avril 2017 à la Maroquinerie (Paris).

Thunder est un des groupes de Classic Rock britannique les plus populaires de ces 25 dernières années, avec 20 singles classés dans les charts anglais et des albums certifiés disques d’or et de platine un peu partout dans le Monde.

Avec son Hard-Rock inspiré des plus grands – Led Zeppelin, The Who, Deep Purple – et son songwriting tout en finesse, qui n’est pas sans rappeler les Kinks, les Beatles ou les Faces, la musique du groupe est un mélange hors du temps de mélodies inoubliables et de pure énergie Rock.

Un événement à ne pas rater, Thunder est maintenant plus populaire que jamais.

Billets disponibles ICI