Suite à la sortie de leur dernier album, « Machine Nation », Manigance sera en concert à Paris en compagnie de Myrath, le mercredi 08 mars 2018 à Paris / Trabendo.

Découvrez  la vidéo de « Machination », titre extrait de l’album « Machine Nation » disponible depuis le 02 février 2018:

Le nouvel album de Myrath est en cours de finalisation, plus mélodique que jamais, avec la participation exceptionnelle de l’Orchestre Philarmonique de Tunisie.

Préparez-vous à vivre une expérience sensationnelle et magique.
Stay metal!

Billetterie disponible ICI

A l’occasion de la sortie de son album « I Died Of Boredom & Came Back As Me » (via Socadisc), Barton Hartshorn vous convie à la Release Party au Zèbre de Belleville le mercredi 5 avril 2018.

Ouverture des portes 19h30 – Tarif : 6€ en prévente, 8€ sur place.

Découvrez « Something This Bright Should Explode » en vidéo:

Barton Hartshorn, c’est d’abord une très belle voix, une voix ciselée par l’émotion, qui nous transporte
dans l’univers de ses chansons.
Un univers pop – folk, inspiré par la musique de la côte ouest américaine des années 70 mais retranscrite par un artiste anglais, et c’est bien ce qui fait toute la valeur et l’originalité.
Imaginez Lloyd Cole accompagné par Steely Dan, Mc Cartney leader des Eagles.
Pour parfaire ce brassage culturel, « I Died Of Boredom And Came Back As Me » a été écrit au cours d’une année passée en Australie puis enregistrée dans un ancien moulin à eau quelque part dans la
campagne française.
Duncan Roberts (AKA Barton Hartshorn) a été le leader du groupe Dictafone, dont le dernier album, « Home », a été mixé à Los Angeles par Ken Scott (Bowie, The Beatles, Lou Reed, Supertramp).

 

Cylew & Holispark seront en concert à Lille / Le Biplan, vendredi 9 mars 2018.
Le Biplan – 19 rue Colbert, Lille.
uverture des portes 21h
Tarif : 5€ – Réservations ICI

Cylew est un groupe parisien de rock mélodique et puissant aux inspirations californiennes. Rien d’étonnant quand on sait que sa chanteuse, Lady Cylew, a longtemps vécu à Los Angeles et reste profondément marquée par la culture de ce lieu. Musicalement, le groupe évolue entre rock US et cold wave à l’anglaise aux sonorités teintées d’électro, le tout posé sur de grosses guitares. Leur nouvel album « MOT3L » est le fruit de la collaboration entre Lady Cylew (auteure- compositrice franco-américaine), le producteur parisien Arnaud Bascuñana (qui a enregistré et produit Les Wampas, Deportivo, No One is Innocent, etc) et le batteur Kriss Kilong (ex Madjik). Leur nouvel album, le troisième après « Not so Sleeping », not so beauty sorti en 2008 et « Black Lace Prophecy » sorti fin 2012, a été enregistré live au Studio 180 à Paris. Il marque un retour aux sources, à un rock mélodique et une énergie brute sans artifices.

Holispark c’est une étincelle brûlante, du rock chaud et puissant embrasé par le « Feu Sacré » qui unit Manon, Kévin, Roch, Nico et Max.
Après The Harvesttour, la tournée qui l’a propulsé à travers les plus grands événements musicaux des Hauts-De-France jusqu’à la Corse, le quintet est désormais déterminé à prendre d’assaut les festivals pour porter son message toujours plus fort et toujours plus loin.
Holispark a repris la route en ce début d’année, afin de défendre son premier album « Sonic Bloom », disponible depuis le 2 février 2018.

DeWOlff est un « nouveau » groupe originaire des Pays Bas, quasiment inconnu chez nous, a déjà 5 albums à son actif.
La formation qui a déjà joué au Rock’N Festival de Chauny en 2015, vient de signer sur chez Mascot Label Group.
Découvrez « Deceit & Woo » en vidéo:

Cependant ceux qui fréquentent le disquaire Gibert Joseph, ont surement déjà entendu parlé de ce trio explosif.

Le nom du groupe s’inspire directement de Winston Wolfe, le personnage incarné par Harvey Keitel dans Pulp Fiction, et l’on dit que leur musique ressemble à une « luscious and expansive neo-psychedelia ».

Le nouvel album de DeWOlff, intitulé « Thrust », sortira le 4 mai 2018.

Line up:
Pablo Van de Poel – chant/guitare
Luka Van de Poel – batterie
Robin Piso – orgue Hammond
Beyond The Styx vient de révéler les dates de sa tournée française dont vous trouverez tous les détails  ci-dessous:

02 mars 2018 – Forvil bar @ Saint-Brieuc, Bretagne, France
03 mars 2018 – T’es Rock Coco, caf’-Concert d’Angers @ Angers
09 mars 2018 – Le Darius Club @ Lons-le-Saunier
10 mars 2018 – Deep Inside Klub Rock @ Dijon
16 mars 2018 – Le Zinc, bar à Poitiers @ Poitiers
17 mars 2018 – Bordeaux / La Rochelle ?
07 avril 2018 – Le Biplan @ Lille
28 avril 2018 – Mondo Bizarro @ Rennes
03 mai 2018 – Rock n Eat official(by céd & mike) @ Lyon
04 mai 2018 – Blacksheep @ Montpellier
05 mai 2018 – Monster’S Art – WMC @ Fréjus
11 mai 2018 – The Outbreak Festival @ Blois
12 mai 2018 – El Camino @ Caen
01 juin 2018 – L’AppArt Café @ Reims
08 juin 2018 – sous réserve de dispo Adrien
02 juillet 2018 – Horizon Fest @ Auxerre

Rappelons que « STIIGMA », nouvel album de Beyond The Styx est disponible depuis le le 23 février via Klonosphere / Diorama records.

Yann Arminello & El Butcho viennent de s’ajouter à la programmation de la seconde édition du LA Events Fest à Chalons En Champagne, qui se déroulera le 31 mars 2018 avec Diamond Head en tête d’affiche

Billetterie disponible ICI
Diamond Head est un groupe de heavy metal britannique connu notamment pour avoir inspiré Megadeth ou encore Metallica à leurs débuts, notamment avec les morceaux « Am I Evil » ou encore « The Prince ». En effet, quelques reprises du groupe se trouvent même sur l’album « Lightning To The Nations » que Metallica a sorti en 1980.

Orginaire de Marseille, Blazing War Machine (BWM) propose un metal industriel et symphonique. Formé par Franky Costanza & Izakar (ex Dagoba) le groupe s’est notamment fait remarqué par le talent de la chanteuse russe Irina . Avec pas loin de 200 000 vues sur Youtube, un line up de 6 personnes et un show ultra millimétré, BWM compte bien faire le tour des salles de concerts de France avec pour seul arme : leur musique.

Entre 2000 et 2014, Yann Armellino se forge une place dans la guitare instrumentale. Il sort 5 albums ainsi que 5 DVD vendus à plus de 70 000 copies. Pendant ce temps, El Butcho sillonne la France puis l’Europe ainsi que le Canada entre 1994 et 2008. Avec plus de 2000 concerts au compteur au sein de son groupe Watcha, et de nombreux projets avec différents groupes, Yann Armellino et El Butcho se rencontrent lors de l’évènement du Paris Metal France Festival. En 2016,, ils enregistrent ensemble « Better Way », un album de 13 titres qu’ils défendent sur scène pour leur grand retour.

En 2014, Cylon Thrasher et M.C.Mosh s’associent sous le nom de Thrash Gangster et sortent leur premier EP « Terror » en 2015. En 2016, le line-up du groupe se complète avec Bart et Löbbi pour finalement trouver un son imparable à découvrir absolument.

Les filles de Foxy Ladies se moquent pas mal des clichés qui font du rock un pur produit de testostérones. Quatre renardes survoltées proposent un cocktail explosif entre punk et hard rock. En 4 ans, elles ont fait plus d’une centaine de concerts et sont fières de vous présenter leur nouvel opus « Backbone ». 

Death Decline est un groupe de Thrash/ Death originaire de Dijon. Après un enregistrement 6 titres « BloodStained Redemption », ils sortent leur premier album « Built For Sin » en juin 2015. C’est ce qui leur permettra  de jouer avec de nombreux groupes jusqu’à la sortie de leur second opus en 2017.

La musique de Furies brasse une flopée d’influences allant de Black Sabbath à Annihilator en passant par la NWOBHM comme Judas Priest ou encore Iron Maiden. Leurs compositions réssusitent une certaine idée du Metal façon Old School tout en y apportant quelque chose de frais.

1990-2000, GanG se forge sa réputation dans l’hexagone autour de nombreux concerts, démos et albums (« 1993 », « Unknown but Surely Evil »). Musicalement, le groupe se cherche encore et favorise une approche plus thrash.
2000-2010 : malgré un line-up instable et faute de batteur permanent, GanG reste néanmoins actif et réalise les albums « Piece of War », « Dead or Alive » et « V », marquant progressivement un retour aux sources du Heavy metal.
2010-2017 marque définitivement le retour aux affaires du groupe Fismois. GanG renoue avec la scène à grands renforts de Heavy Metal old school. Les albums s’enchaînent : « V » en 2010, « HM-666% » en 2012, « Heavy Metal Road 666 (Live) » en 2012, « Inject the Venom » en 2014, et « Heavy Metal Samouraï » l’année suivante.  L’album « Live is All » sera même enregistré en public, à Manchester au Royaume-Uni.
2018 voit la sortie de « All For One », le nouvel album studio du groupe. Totalement décomplexé, GanG confirme la tendance amorcée autour d’« Inject The Venom ». Sa recette à base de Heavy Metal old school proche de la NWOBHM prend désormais toute sa saveur autour des 9 brûlots que constitue l’album.
« All for One » montre un nouveau visage de GanG tout en restant dans la continuité
des précédents efforts. L’album laisse la part belle aux influences majeures du groupe que sont
Judas Priest, Iron Maiden, Tokyo Blade, Black Sabbath ou encore ADX.

Rien de tel qu’une bonne soirée teintée « Heavy Metal 80’s » pour se réchauffer au cœur d’un hiver qui semble interminable ! Car l’affiche proposée par Base Productions a de quoi faire saliver, avec Trance et Anvil, 2 groupes issus de cette génération, qui reviennent sous les feux de l’actualité.

C’est dans un Trabendo bien garni que les allemands de Trance vont ouvrir la soirée, en proposant un Hard Rock des plus classique. Le groupe, formé en 1977, a eu ses heures de gloire durant une bonne décennie avant de traverser une période plus délicate durant les années 90.

De retour avec leur dernier album « The Loser Strikes Back », l’occasion nous est donnée de découvrir (ou de redécouvrir) l’une des toutes première formations de Hard Rok germanique.
Emmené par l’énergique Nick Holleman, jeune chanteur de 26 ans, Trance va délivrer un set de pur Heavy, j’allais dire « à l’ancienne ».
Les expérimentés Eddie St. James et Markus Berger vont s’employer à envoyer les riffs et solos toujours efficaces, sur les titres fédérateurs que sont « Sensation » et « We Are The Revolution ».

Seul « Loser » sera issu de « The Loser Strikes Back », la priorité ayant été donné aux les titres les plus emblématiques du Groupe. L’excellent « Victory », extrait de l’album éponyme sorti en 1985, viendra conclure une prestation qui a ravi les fans de la première heure.

Place au trio canadien, qui a bien décidé d’enfoncer le clou lors d’un set sans concessions, placé sous le signe de l’efficacité maximale.

Le ton est donné d’entrée de jeu avec « March Of The Crabs », dont les premiers accords seront délivrés par Lips au milieu du public, suivi par « 666 », tous deux sortis du classique « Metal On Metal ». Le chanteur guitariste est en grande forme, fidèle à lui même lorsqu’il nous gratifie de ses bavardages entre les morceaux. Anvil enchaine avec le percutant « Doing What I Want », extrait du dernier opus « Pounding The Pavement », au cours duquel la puissante rythmique emmène tout sur son passage.

Lips va rendre un bel hommage à Lemmy lors de la présentation de « Fire As A Wind », joué avec une fougue de débutant ! Les 3 lascars ont la foi, et n’éprouvent aucune lassitude malgré leurs 40 ans de carrière qu’il fêtent cette année !

Le public répond au quart de tour à chaque sollicitation, et ce n’est pas le solo de Reiner, monstrueux derrière ses fûts, qui va calmer les ardeurs. Surtout que l’ambiance va encore monter de plusieurs crans dès l’intro de « Metal On Metal », le titre emblématique des Canadiens, repris par une audience conquise. L’utilisation d’un sex toy comme accessoire pour exécuter le solo est toujours très attendu, et fait toujours son petit effet !

 Le puissant « Running » va inaugurer les rappels, suivi par l’imparable hymne « Born To Be Wild » de Steppenwolf qui va achever un concert percutant de bout en bout.

Mission accomplie pour Anvil, qui prouve qui a encore son mot à dire sur scène, pour la plus grande satisfaction d’un public, convaincu par un set direct et efficace en tous points.

Merci à Roger, Replica / Base Prod, pour l’accréditation

Report & photos © 2018 Alain BOUCLY

Après avoir accueilli, entre autres, Hogjaw et Rhino Bucket, Le Blue Devils, situé à Orléans, dévoile son programme pour le mois de mars 2018.

 

Mardi 10 mars – The Furies + Desillusion
Mardi 15 mars – The Courettes
Jeudi 22 mars – Sari Shorr
Samedi 24 mars – Leif De Leeuw Band
Dimanche 25 mars – Pat McManus
Mardi 27 mars – Them Dirty Roses
Mercredi 28 mars – Omar Coleman & Tom Holland
Jeudi 29 mars – Thee Hypnotics
As It Is sera en concert Lundi 5 mars 2018 à Paris / Backstage By The Mill. Wstr et Courage My Love assureront les premières parties.

Tout semble sourire aux membres de As It Is. Repérés sur leur première tournée en 2014 par le mythique label américain Fearless Records (Pierce The Veil, Motionless In White, August Burns Red), les 4 garçons originaires de Brighton en Angleterre ont depuis sorti 2 albums dont le dernier en date « Okay ».

Les médias ont déjà érigé le groupe au rang de digne héritier du pop/punk, aux côtés de Neck Deep avec lesquels ils tournent actuellement en Europe.

Délivrant un son irrésistiblement pop et moderne, mené par un frontman enjoué et charismatique, As It Is donnera Lundi 05 mars 2018, un concert à Paris en tête d’affiche, qui à en croire les statistiques, devrait afficher complet rapidement !

Billetterie disponible ICI et dans les points de vente habituels

Les californiennes de L7 seront en concert le mercredi 13 juin 2018 à Paris / La Cigale, juste avant de monter sur la Mainstage 2 du Hellfest la semaine suivante.

Billets en vente dès maintenant ICI

Le mélange de punk, de métal, de noise et de pop heavy et accrocheur caractéristique de la musique de L7 a marqué l’entrée dans l’ère du Grunge. Depuis ses débuts en 1987, le groupe a sorti six albums studios, trois albums live, un album de reprises et un best of sur des labels tels que Epitaph, Sub Pop, Slash, ou encore Warner Brothers.

Formé à Los Angeles en 1985 par Donita Sparks (guitare et chant) et Suzi Gardner (guitare et chant), le groupe est également composé de Dee Plakas à la batterie et à différents moments de Jennifer Finch, Gail Greenwood et Janis Tanaka à la basse.

Le groupe est particulièrement réputé pour ses concerts tapageurs inoubliables, mais aussi pour ses hits tels que « Shove », « Pretend We’re Dead », « Shit List », « Andres », et « Fuel My Fire ».

En 1991 avec la Feminist Majority Foundation, L7 a fondé Rock for Choice, une organisation en faveur du droit à l’avortement, et a produit des concerts caritatifs avec les plus grands groupes de l’époque dont Joan Jett et Nirvana.

En 2001, le groupe a annoncé qu’il se mettait en pause pour une durée indéterminée. Après 15 ans et devant l’insistance de leurs fans sur les réseaux sociaux, L7 s’est réuni en 2015 et a fait plusieurs concerts à guichets fermés dans le monde qui ont reçu les critiques dithyrambiques et les éloges d’une nouvelle génération de fans de musique.

Leur retour triomphal continue avec deux nouveaux singles sortis chez Don Giovanni Records, « Dispatch From Mar-a-Lago » et « I Came Back To Bitch ». Ce dernier, sorti en février 2018, donne le coup d’envoi d’une tournée aux États-Unis en avril ainsi que de tournées en Amérique du Sud, au Mexique et en Europe cet été.

Un documentaire sur le groupe intitulé « L7 : Pretend We’re Dead » est sorti en 2017. Rencontrant un grand succès critique, il illustre la contribution et l’héritage apporté au panthéon du rock par L7.