Le groupe indie folk rock de Détroit Bonny Doon revient avec «Clock Keeps Ticking», un single inédit imprégné de cette magie pop aux harmonies ensoleillées qui se révèlent addictives dans la lignée de leur album «Let There Be Music» (2023). Backing band de luxe de Katie Crushfield pour son projet Waxahatchee avec l’album « Tigers Blood », le trio donne la parole à sa sensibilité avec une mélodie subtile. Produit par Sam Cohen (Kevin Morby, Curtis Harding), ce single coche toutes les cases du rock alternatif pop mélancolique et poétique à souhait et ravira les fans de Kurt Vile, Jason Molina, Wilco et Pavement.

Découvrez le single «Clock Keeps Ticking» :

En tournée :

12 Septembre : Paris @ La Mécanique Ondulatoire

13 Septembre : Angers, France @ The Joker’s Pub

14 Septembre : Les Sables-d’Olonne @ Close West Session (Hotel Vertime)

18 Septembre : Arthez-De-Bearn @ Le Pingouin Alternatif

19 Septembre : Bordeaux @ Rock School Barbey

Red Beans & Pepper Sauce sera en concert samedi 26 octobre 2024 au Ziquodrome de Compiègne. Bloody Claps assurera la 1ère partie

« Blues rock épique » pour Rolling Stone Magazine ou « Rock classique qui déménage » pour Rock&Folk, Red Beans & Pepper Sauce s’est forgé une solide réputation depuis sa victoire au tremplin du Cahors Blues Festival en 2013.

Influencé par le rock revival de Rival Sons et le modern blues de Gary Clark Jr ils mélangent avec énergie voix « soul » puissante et classic rock « 70’s ».

Après plus de 400 concerts en France, Espagne, Allemagne, Pays-Bas, etc, ils reviennent avec un nouvel album enregistré en partie aux légendaires Rockfield Studios (Queen, Oasis, Black Sabbath, etc), un album massif, puissant et chaleureux où le riff de guitare est roi.

« Une sacrée chanteuse aux allures d’arme fatale. » Rock Hard

« Un groupe en béton armé. » Guitar Part

« Un blues rock métissé d’influence hard rock ou prog. » Le Parisien

Line up :

Jessyka Aké (chant)

Laurent Galichon (guitare)

Serge Auzier (claviers)

Pierre Cordier (basse)

Niko Sarran (batterie)

Bloody Claps est un duo rock stoner explosif, composé d’un guitariste chanteur qui repousse les limites avec ses 4 amplis, et d’un batteur qui martèle les rythmes avec une énergie brute. Leur musique est un cocktail détonant de riffs simples et de mélodies accrocheuses, qui vous transportera dans un univers sombre et hypnotique.

La billetterie est disponible ICI

L’association Underground Investigation propose la 11ème édition de la British Steel Saturday Night – « Pieces of Maiden II » qui aura lieu à la salle des fêtes de Fismes (51), samedi 5 octobre 2024 (ouverture des portes à 13h30)
Pour la seconde fois son histoire, l’affiche rendra hommage à Iron Maiden avec :

Blaze Bailey (chanteur d’Iron Maiden de 1994 à 1999),

Airforce (avec Doug Sampson, batteur d’Iron Maiden entre 1977 et 1979)

Gypsy’s Kiss (le premier groupe de Steve Harris, fondé en 1974 – 50ème anniversaire !)

Grand Slam (le groupe formé par Phil Lynott de Thin Lizzy et Laurence Archer),

Absolva, Troyen, Shoeilager et Ed Hunters (tribute européen dédié à Iron Maiden)

Cette édition proposera également un « Metal Market » (disques, merchandising, fringues, etc.) ainsi que des sessions photos et dédicaces avec les artistes.

Également sur place : restauration rapide (buvette et sandwiches).

Prévente : 25 €  /  Sur place : 30 €

La billetterie est disponible ICI

Informations : sylvcott@orange.fr

Tesseract sera en concert exceptionnel au « Forum » de Vauréal vendredi 10 janvier 2025. Le groupe de Metalcore français Novelists assurera la première partie.

Formé en 2007 au Royaume-Uni, Tesseract évolue entre Djent Ambiant et Metal Progressif. Portée par la voix envoûtante de Daniel Tompkins, la musique du quintette est une véritable performance technique. Le groupe forge sa réputation au travers de ses deux premiers albums “One” (2011) et “Altered State” (2013). Avec un univers et des textes énigmatiques, Tesseract a bâti une carrière solide autour d’un Metal progressif à la fois massif et atmosphérique, applaudi autant par la presse que par le public.

Tesseract sort son troisième album “Polaris” en 2015 chez Kscope, suivi en 2018 par “Sonder”.

Tesseract n’a de cesse de se démarquer de la concurrence, tout en forgeant un univers musical et lyrique qui n’appartient qu’à lui. Le quintette s’impose également comme un groupe live d’une grande puissance, avec d’innombrables shows acclamés et des apparitions dans des festivals à travers le monde entier. Après l’impressionnant album live “Portals” sorti en 2021, il est temps pour Tesseract d’entamer un nouveau chapitre de son histoire. Le groupe sort en septembre 2023 leur cinquième album : “War Of Being” !

La billetterie est disponible ICI

Novelists est un groupe de metalcore et de progressive metal originaire de France. Formé en 2013, le groupe est composé de membres talentueux et passionnés qui ont réussi à se faire remarquer dans la scène metal internationale.

Leur musique est caractérisée par des riffs de guitare techniques, des rythmes complexes, des mélodies accrocheuses et des paroles souvent introspectives. Ils sont connus pour leur capacité à mélanger habilement des éléments lourds et agressifs avec des passages plus mélodiques et atmosphériques.

Les paroles de Novelists abordent souvent des thèmes profonds et personnels, tels que les luttes intérieures, les relations humaines et les questions existentielles. Le groupe a sorti plusieurs albums et EPs acclamés par la critique, ce qui leur a valu une base de fans dévouée à travers le monde. Novelists a également tourné avec d’autres groupes renommés de la scène metal et a participé à de nombreux festivals. Leur style distinctif et leur engagement envers l’innovation musicale ont contribué à les placer parmi les groupes émergents les plus prometteurs de la scène metal contemporaine.

Ancien chanteur du groupe de rock légendaire Genesis, Ray Wilson sera en concert au Forum de Vauréal le Jeudi 21 Novembre 2024 ! Il jouera ses compositions et des titres du répertoire de Genesis.

Retrouvez également le quatuor talentueux Numa [7534] en première partie, un groupe accompagné par le Forum depuis 2022 !

En mai 1994, Stiltskin, dont Ray Wilson comme leader, est classé numéro 1 des charts britanniques et atteint le top 10 européen avec leur premier album « Inside ».

Depuis lors, Ray a passé 30 ans à publier de la musique et à effectuer de nombreuses tournées au Royaume-Uni, en Europe et en Amérique du Sud.

En tant que chanteur principal du groupe de rock légendaire Genesis, il a écrit et joué sur l’album « Calling All Stations », numéro 2 au Royaume-Uni et en Allemagne en 1997.

Pendant cette période, Ray est également apparu en tant que chanteur invité avec le supergroupe de rock Scorpions pour leur album « Moment of Glory », et s’est produit en live avec le « Berlin Philharmonic Orchestra » pour le lancement de l’Expo 2000.

Depuis plus de 20 ans, Ray a sorti 15 albums solo et s’est produit à travers l’Europe et l’Amérique du Sud, donnant régulièrement plus de 100 concerts par an.

En 2024, Ray rejoindra le légendaire guitariste Steve Hackett pour la deuxième fois au Royal Albert Hall et continuera à jouer de nombreux autres concerts à guichets fermés à travers l’Europe.

La carrière solo de Ray a débuté en 2002, avec 12 concerts acoustiques à guichets fermés au « Edinburgh International Festival », où il a également interprété des chansons de son premier album solo « Change » sorti en 2003. Ce fut le début d’une carrière très satisfaisante pour Ray, gardant le contrôle de son propre destin en jouant des milliers de concerts.

En plus de tourner constamment, Ray a collaboré avec des artistes incroyables de tous horizons, notamment Armin van Buuren, Steve Hackett, Turntablerocker, RPWL, Scorpions et Patrycją Markowska.

Le dernier album de Ray, « The Weight of Man », considéré par beaucoup comme son meilleur album à ce jour, est sorti en 2021, 5 ans après les célèbres « Song For A Friend » et « Makes Me Think Of Home », tous deux sortis en 2016.

La billetterie est disponible ICI

Sous un nom latin et une nébuleuse suite de chiffres, Numa [7534] est un quatuor de rock progressif. C’est la rencontre de Soundgarden et Porcupine Tree avec une touche de Jeff Buckley. Imprégnés d’un large éventail de genres musicaux, ils obtiennent un rock hybride, énergique, dynamique et nuancé. Des textes forts de symboles, parfois énigmatiques et souvent cathartiques, séduisent aussi bien le passionné de lourds riffs que de l’amateur de recherche musicale.

« Mothership Down » est sortie en septembre 2020 et dévoile très vite les couleurs et aspirations du groupe. Mais ne vous trompez pas, la surprise arrive au moment d’écouter et de voir. Une session rythmique massive d’efficacité, de justesse et de groove. Les riffs entraînants et saccadés de la guitare ainsi que ses placements désinvoltes vous plongent dans l’univers de chaque morceau. L’élément de légèreté et de texture est apporté par une guitare acoustique qui s’offre ses moments de lumières. Le tout accompagné de la voix surpuissante qui transcende vos oreilles et vous invite à un voyage musical et sensoriel.

S’ensuivent des concerts pour partager avec le public, défendre ce premier projet et faire vivre cette musique sur scène. Le chemin de Numa [7534] croise celui de l’équipe du Forum de Vauréal qui  accompagne le groupe depuis fin 2022.

En juin 2023, « Nénuphar » est l’EP-concept de Numa [7534]. Il se compose de six titres, pouvant se compléter en un seul et même mouvement musical de 25 minutes, explorant les traumatismes à travers le thème de l’immigration. Inspiré principalement des témoignages bouleversants du documentaire “Human”, réalisé par Yann Arthurs-Bertrand, il propose un mélange de pièces instrumentales et de chansons aux connotations post-prog.

Par Laurent BendahanPhotos Alain Boucly

Le Heavy Week-End est un nouveau festival dont l’esprit est inspiré du fameux fest américain Power Trip, à savoir réunir les plus grands noms du hard rock et du heavy metal mondial. L’affiche a effectivement tenu ses promesses. Déjà, dès l’entrée dans l’aire du festival, nous avons remarqué que l’accueil du public a soigneusement été organisé. De nombreux parkings pour les voitures et des points d’infos ont été mis à disposition. Quant à la circulation aux abords de la scène, elle s’est faite de manière fluide tout au long du festival, même durant les têtes d’affiche. Ajoutez à cela un service de sécurité très cordial et vous obtenez un fest cool où il fait bon vivre.

Extreme : Un show très attendu qui commence sur les chapeaux de roues. Gary Cherone est dans une forme éblouissante et arpente la scène de long en large. Pat Badger (basse) et Kevin Figueiredo (batterie) forment une section rythmique solide. Ce mélange de heavy façon US et de funk fait mouche à chaque coup ! Nous en avons profité pour admirer le jeu de Nuno Bettencourt qui pendant son solo, ne manque pas de rendre hommage à l’une de ses principales influences, Eddie Van Halen. Et c’est parti pour un petit «Eruption» des familles ! Gary lui aussi rend hommage à ses pères avec cette reprise survitaminée du «We Will Rock You» de Queen. Ajoutez à cela les tubesques «More Than Words» et «Get The Funk Out» et vous obtenez une prestation éclatante !

Scorpions : La légende germanique a décidé de nous faire vivre cette année une tournée historique fêtant les quarante ans de « Love At First Sting ». Les hits de ce bestseller comme «Coming Home», «Big City Nights», «Rock You Like A Hurricane» ou «Still Loving You» figurent dans la setlist depuis des décennies. En revanche, des chansons comme «I’m Leaving You», «Crossfire» et «The Same Thrill» n’ont pratiquement jamais été jouées en live. Il manquait cependant un titre à l’appel, «As Soon As The Good Times Roll», ce qui est fort dommage car il est vraiment taillé pour la scène. Rudolf était en très grande forme. C’est comme si le temps n’avait aucune emprise sur lui. En revanche, Klaus paraissait très fatigué, ne bougeant pratiquement pas et prenant peu de risques vocalement. Il faut se rendre à l’évidence. Scorpions est le genre de groupe qu’il ne faut pas rater en concert, car qui sait de quoi demain sera fait ?

Sortilège : À force de tourner, Zouille et ses compères sont devenus des bêtes de scène. Il ressort de ce quintet un sentiment d’unité, de cohésion à tout épreuve. Ce pari de revenir sur le devant de la scène avec un répertoire vieux de quarante ans n’était pas gagné d’avance. Composer de nouveaux morceaux auxquels les « diehard » adhéreraient, et qui se mêleraient aisément aux anciens morceaux, était un autre pari encore plus audacieux. Ce soir-là, la légende du hard français a prouvé qu’elle n’est pas un phénomène de mode pour les nostalgiques. Elle est là pour durer ! Qu’on se le dise !

Pretty Maids : Voir les Danois fouler les planches relève du miracle. En effet, le chanteur Ronnie Atkins est actuellement atteint d’un cancer et connait des hauts et des bas. Par ailleurs, il a entamé depuis 2018 une carrière solo. Sans que le public ne le sache, Pretty Maids avait simplement splitté, l’entente avec son frère d’armes Ken Hammer (guitare) n’étant plus au beau fixe. Contre toute attente, le duo s’est rabiboché ! Vu de notre fenêtre, c’est comme si le groupe ne s’était jamais arrêté. Ronnie chante toujours comme un Dieu, quant à Ken, il reste le maître du riff. Des brûlots tels que «Back To Back», «Red Hot And Heavy» et «Future World» ont définitivement passé l’épreuve du temps. Espérons que le groupe continuera sur sa lancée en écrivant un nouvel opus. La vie est bien trop courte pour perdre du temps avec des conneries.

Megadeth : Ce concert a fait office de « super best of »puisque tous les hits y sont passés, de « Hangar 18 » à «Holy Wars» en passant par «Angry Again», «Trust», «A Tout Le Monde», «Peace Sells», «Symphony Of Destruction», et la cerise sur le gâteau pour tous fans de la première heure, «The Mechanix», historiquement considéré comme la première mouture de « The Four Horsemen » de qui vous savez.  Il ne faut pas se leurrer. Lorsqu’on va voir un show de Megadeth, on n’attend à peu près rien du chant. En effet, Dave Mustaine n’a jamais été un grand vocaliste. Il fut un temps où il tentait de chanter correctement. Aujourd’hui, il ne fait que marmonner dans sa barbe. Le vrai intérêt réside dans la qualité des riffs et de l’écriture. De ce côté-là, il n’y a rien à dire. L’équipe qui entoure le big boss est absolument géniale ! Le batteur Dirk Verbeuren est un tueur, un monstre de puissance et de groove. James Lomenzo, bassiste de son état, est moins exubérant mais il fait office de pilier, solide comme un rock. En bref, la force tranquille. Quant au guitariste, Teemu Mäntysaari, il n’a pas mis longtemps à faire oublier Kiko Loureiro car il interprète les classiques avec une étonnante fidélité. À noter pour les fans assidus qui suivent le groupe en tournée que la setlist n’est jamais la même d’un concert à l’autre. Votre serviteur qui les a vus à Paris et au Hellfest a pu le constater. Merci pour cette attention M. Mustaine !

Deep Purple : Dès le morceau d’ouverture «Highway Star», on sent que Ian Gillan peine. On le voit souvent écarter le micro de sa bouche afin de tousser. Il galérera un max au moment de chanter «Space Truckin’». Il est alors à bout de souffle. Mais il a fait preuve de courage et s’est accroché durant toute la prestation. D’ailleurs, mis à part ces deux morceaux de bravoure qui obligent notre chanteur adopter sa voix hurlée d’antan, le reste de la setlist a été choisi de manière à ce qu’il ne force pas sur ses cordes vocales. Le groupe use également d’un autre subterfuge afin de ne pas crever son chanteur, la présence de solos interminables d’orgue, de claviers et de guitare. C’est pourquoi le concert fut très frustrant. Voir le groupe grignoter vingt-cinq minutes de temps de jeu alors qu’il a tant de bons morceaux dans sa musette, c’est difficile à avaler. Au final, votre serviteur a exactement le même sentiment que pour Scorpions. Si l’on veut voir Purple en live, c’est le moment ou Jamais. 

Deep Purple – Heavy Week-End Nancy 22 juin 2024

Ayron Jones : Notre guitariste ne fait pas dans le heavy mais il a sa place dans ce type de fest car il puisse ses racines dans le vieux hard/blues des années 70 à la Hendrix, ainsi que dans le grunge à la Nirvana/Alice In Chains. Contre toute attente, ce mélange fonctionne très bien. Tous les éléments nécessaires à une bonne prestation sont présents, de l’énergie à la virtuosité en passant par le sens du groove ! Que demande le peuple ?

Tom Morello : Ce show du guitariste de Rage Against The Machine fut quelque peu bizarre. En effet, la setlist était en grande partie composée de reprises d’artistes ou groupes prestigieux comme Springsteen, Lennon, Måneskin, MC5, ainsi que d’interprétations exclusivement instrumentales de tubes de RATM sous forme de medley. Du coup, le public s’est montré perplexe. Tom est définitivement meilleur lorsqu’il joue aux côtés de sa section rythmique de prédilection, à savoir le bassiste Tim Commerford et le batteur Brad Wilk. Si Zack De La Rocha fait encore sa forte tête pour redonner vie à la légende du rap metal, notre gratteux ferait mieux de reconstituer un groupe dans le style d’Audioslave ou Prophets Of Rage plutôt que de tourner avec une setlist si peu convaincante. Incontestablement la grande déception du festival.

Alice Cooper : Avec le maître du rock théâtrale et horrifique, on est assuré de passer un bon moment. Et c’est parti pour un enchaînement continu de tubes, «No More Mr. Nice Guy», «I’m Eighteen», «Bed of Nails», «Billion Dollar Babies», «Hey Stoopid», «Welcome to My Nightmare», «Poison», «Feed My Frankenstein», «I Love the Dead», «Elected», «School’s Out»… N’en jetez plus ! Ceux qui ont vu le gaillard en camisole ces derniers temps diront que cette setlist n’a rien d’original. Mais il n’en faut pas plus à notre bonheur. Au moins, nous n’avons pas l’impression que les instrumentistes tentent d’occuper le temps et l’espace comme ils le peuvent pour permettre à leur chanteur de se reposer sur le côté de la scène. Alice (Vincent Furnier pour les intimes) occupe bel et bien la scène. Il reste un vrai performer et n’use d’aucun subterfuge pour se défiler. Chapeau bas monsieur !

Judas Priest : Pratiquement 55 ans de carrière ! Vous rendez-vous compte ? Le Priest est avec Saxon le plus vieux groupe de heavy metal encore en activité. Une longévité que nous devons avant tout à la ténacité de son chanteur Rob Halford, Metal God de son état, toujours capable de hurler telle une sirène torturée. Le concert fut d’autant plus appréciable qu’il a passé en revue bon nombre de classiques dès la première demi-heure («You’ve Got Another Thing Comin’», «Rapid Fire», «Breaking the Law», «Sinner», «Turbo Lover») Un savoureux bond dans le temps qui a eu le don de titiller notre fibre nostalgique. Un très bon point pour la paire Ritchie Faulkner / Andy Sneap qui a énormément bossé pour restituer les parties de guitares au plus proche de celles de leurs aînés Tipton / Downing. Ajoutez à cela une section basse / batterie en béton armée, et vous obtenez une machine de guerre ! The Priest Rules ! Avis aux collectionneurs, le magazine Rolling Stone a publié un numéro spécial dédié au festival, avec un 45 tours exclusif vinyle rouge de Judas, composé de deux titres, «Crown Of Thorns» et «Painkiller» (Live à Wacken). Dépêchez-vous, c’est une édition limitée !

Nous avons pris un énorme plaisir durant ces trois jours. En effet jusque-là, nous étions habitués aux fest traditionnels, toujours synonymes de marathon avec d’infernaux goulots d’étranglements entre les scènes rendant la circulation impossible. Le Heavy Week-End avec sa scène unique, ses larges axes de circulation, le nombre réduit de groupes, le démarrage de chaque journée à 17h et ce son aux petits oignons pour tous les groupes, le public a eu tout le loisir de savourer les concerts sans s’épuiser. Une formule simple, agréable et efficace. Nous croisons les doigts pour une seconde édition.

Un grand merci à toute l’équipe de Gérard Drouot Productions et de Replica Promotion pour leur accueil.

Laurent Bendahan

Galerie Photos par Alain Boucly

The Last Internationale :

Extreme :

Scorpions :

Sortilège :

Pretty Maids :

Megadeth :

Deep Purple :

Ayron Jones :

Tom Morello :

Alice Cooper :

Judas Priest :

Un grand merci à Oliver Garnier / Replica Promotion pour l’accréditation et l’accueil presse.

Set lists :

Scorpions

Coming Home (*)

Gas in the Tank

Make It Real

The Zoo

Coast to Coast

I’m Leaving You (*)

Crossfire (*)

Bad Boys Running Wild (*)

Delicate Dance

Send Me an Angel

Wind of Change

Tease Me Please Me

The Same Thrill (*)

New Vision

Solo de batterie

Blackout

Big City Nights (*)

Rappel :

Still Loving You (*)

Rock You Like a Hurricane (*)

(*) Extrait de « Love At First Sting »

Deep Purple

Highway Star

Hard Lovin’ Man

Into the Fire

Guitar Solo (Simon McBride)

Uncommon Man

Lazy

Portable Door

Anya

Keyboard Solo (Don Airey)

Bleeding Obvious

Space Truckin’

Smoke on the Water

Rappel :

Green Onions

Hush

Black Night

Judas Priest

War Pigs (Black Sabbath – Intro 1)

Invincible Shield Tour Anthem (Intro 2)

Panic Attack

You’ve Got Another Thing Comin’

Rapid Fire

Breaking the Law

Riding on the Wind

Devil’s Child

Sinner

Turbo Lover

Invincible Shield

Victim of Changes

The Green Manalishi (Reprise de Fleetwood Mac)

Painkiller

Rappel :

The Hellion / Electric Eye

Hell Bent for Leather

Living After Midnight

« Coming Or Going » est un morceau dynamique venant du dernier album de New Model Army, « Unbroken ». Cette chanson met en valeur le style caractéristique du groupe, avec un mélange énergique de guitares, une forte emphase sur la basse et la batterie, et une ambiance old school que les fans reconnaîtront instantanément. Reflétant la ferveur et l’intensité de l’ensemble de l’album, « Coming Or Going » capture l’essence du son puissant de New Model Army, ce qui en fait un morceau marquant, à la fois revigorant et typiquement classic rock. La sortie de son nouveau clip vidéo souligne l’évolution continue du groupe tout en restant fidèle à ses racines.

Le nouveau clip, filmé et monté par Benjamin Conibear, capture l’énergie brute et électrisante de la performance live du groupe. La vidéo mélange à la fois des scènes de fête et des moments intenses sur scène, mettant parfaitement en valeur l’esprit vibrant du groupe.

Regardez la vidéo de « Coming Or Going » :

« Unbroken » a été écrit et enregistré sur une très longue période. Interrompu par les concerts des 40 ans du groupe et leur projet orchestral Sinfonia, cet album reflète parfaitement l’empreinte de New Model Army, en repoussant constamment les limites de leur signature musicale. Les sujets et les ambiance varient, créant une multitude de chanson abordant aussi bien des aspects sociaux et politiques que des réflexions profondes et personnelles.

« Peu de choses me paraissent authentiques ces temps-ci, mais New Model Army l’est pour moi. Merveilleusement enregistré et produit par eux-mêmes, mixer cet album a été un véritable cadeau. J’espère que beaucoup de gens ressentiront la même chose en l’écoutant. » – Tchad Blake

« Unbroken » est sorti le 26 janvier en coffret CD collector, en vinyle noir, en vinyle rouge édition limitée et en digital chez earMUSIC.

New Model Army sera en concert mardi 5 novembre au « Forum » de Vauréal (95). La billetterie est disponible ICI

Aujourd’hui, l’un des groupes de rock les plus influant de tous les temps sort son nouvel album studio, « =1 ».

Avec trois singles à succès « Portable Door », « Pictures of You » et « Lazy Sod » – qui ont déjà fait parler d’eux, les auditeurs du monde entier ont attendu avec impatience le 23e album studio de Deep Purple . « =1 » fait suite aux albums numéro 1 consécutifs du groupe, « Whoosh! » (2020), « inFinite » (2017) et « NOW What?! » (2013).

Produit une fois de plus par l’emblématique Bob Ezrin, « =1 » capture la pureté du son de Deep Purple , sans s’appuyer sur la nostalgie. « =1 » incarne l’essence et l’attitude même du Deep Purple des années 1970, peut-être plus que tous les autres albums sortis récemment.

Pour célébrer ce nouvel album, Deep Purple est actuellement en tournée mondiale, se produisant dans des arènes à guichets fermés et dans les plus grands festivals de rock de l’été.

Hier soir, les premiers fans ont eu la chance de découvrir l’intégralité de l’album lors d’événements d’écoute dans des magasins de disques indépendants sélectionnés dans le monde entier. Simultanément, le film accompagnant la sortie du nouvel album, ‘Access All Areas’, a été projeté en avant-première dans plus de 70 cinémas en Allemagne, en Autriche et en Suisse.

Les fans, mais aussi les médias, ont attendu l’album avec impatience et en font l’éloge :

«  L’excellent cru d’un groupe qui en a encore sous le pied et n’a pas fini de nous surprendre . Bravo ! » – Rock Hard, Album du mois (8,5/10)

«  =1 porte bien son nom et montre ce qu’est un grand groupe, capable de se renouveler et surtout qui respire. » – Myrock (17/20)

« Entre l’énergie, la virtuosité et la passion somme toute intacte : le contrat semble définitivement respecté ! » – Radio Metal

« =1 » est maintenant disponible chez earMUSIC en CD/DVD édition limitée (Digipak), en coffret CD, en double vinyle noir, en double vinyle violet édition limitée, en double vinyle transparent édition limitée et en coffret édition limitée (CD/DVD, 2 LP noir, 3 éditions exclusives de vinyles 10″ comprenant des enregistrements live de la tournée 2022 de Deep Purple , un T-shirt collector exclusif, 2 médiators de guitare exclusifs, 1 poster exclusif, 1 tour de cou exclusif, et la possibilité de gagner un ticket d’or donnant accès à tous les concerts de la tournée Deep Purple , =1 MORE TIME.

Tous les vinyles contiennent un livret de 12 pages.

Le DVD bonus contient environ 60 minutes du documentaire ‘Access All Areas’, montrant Deep Purple dans les coulisses de la tournée, offrant un regard exclusif sur l’envers du décor.

D’autres objets exclusifs sont disponibles sur la boutique officielle ICI : 2 vinyles Picture Disc en édition limitée, une cassette en édition limitée et d’autres articles de merchandising.

Dates françaises :

28.07.2024 – Gignac en Quency, Ecaussysteme Festival

30.07.2024, Orange – Positiv Festival

01.11.2024 – Paris, Zenith

Retrouvez Papa Roach pour un concert exclusif au Zénith Paris – La Villette le 5 février 2025.

Papa Roach est un groupe de rock alternatif et hard rock, nominé deux fois aux Grammy’s et aux multiples disques de platine. En 2020, ils ont célébré le 20e anniversaire de leur album iconique « Infest ». Papa Roach n’est pas étranger à la sensibilisation sur la santé mentale, et ils le font depuis le début avec la sortie emblématique de « Last Resort ». Depuis lors, le groupe a sorti 10 albums studio, dont le plus récent, « Ego Trip », publié sur leur propre label New Noize Records via ADA/Warner Music. « Ego Trip » a accumulé plus de 360 millions de streams dans le monde et a produit quatre singles numéro 1, y compris leur single actuel « Leave A Light On (Talk Away the Dark) », qui est le plus grand succès du groupe depuis une décennie. Ce hit international porte le total du groupe à 26 hits dans le Top-10 de leur carrière et 12 numéros 1. 24 ans après le début de leur carrière, le groupe continue de marquer la scène mondiale.

La billetterie est disponible ICI

Le groupe légendaire Ten Years After sera en concert à « La Traverse » de Cléon (76) samedi  12 octobre 2024 à 2030. Gogo Juice assurera la 1ère partie.

La billetterie est disponible ICI

Ten Years After est une des formations majeures du British Blues Boom des 60’s. En 1969, leur performance mémorable, immortalisée dans le film du festival de Woodstock, les a rendus mondialement célèbres. Voir un concert de Ten Years After en 2024 est une expérience à vivre 100 à l’heure, un must visuellement avec un show truffé des succès qui ont forgé la légende : « Love Like A Man », « I’m goin’ Home », « Good Morning Little Schoolgirl », « The Hobbit », « One Of These Days », « Choo Choo Mama » sans oublier les favoris des connaisseurs tels que « Gonna Run », « Nowhere To Run », « I Say Yeah », « Hear Me Calling » ou encore « I’d Love To Change The World ». Le tout est agrémenté de surprises et de titres du dernier album studio « A sting In The Tale ».

Gogo Juice détourne la musique Pop en synthétisant ses éléments les plus excitants, depuis la frénésie hypnotique de la Techno. Résultat, un Dance Rock moderne aux mélodies minimalistes et agressives, affranchis de la structure d’un post punk traditionnel. Parrainés cette année par le 106, leur 1er EP « Defenses » a propulsé le groupe sur les routes entre la Normandie, Rennes et Paris où leurs concerts ont marqué le public et les journalistes spécialisés.