Après le succès de l’album live « Act I » de Tarja classé dans le top 10 des albums lives, earMusic est heureux d’annoncer la sortie du très attendu « Act II » cet été. L’album live a été filmé pendant sa tournée mondiale « The Shadow Show » dans laquelle la chanteuse de metal symphonique a fait au moins 7 fois le tour du monde, traversé 300 000 kms et s’est produit dans 200 concerts dans 40 pays différents et devant plus d’un million de personnes, rien que ça. L’album live « Act II » a été filmé et enregistré lors de son concert au Metropolis Studio à Londres (Royaume-Uni) ainsi que dans un de ses concerts mémorables à Milan (Italie). On retrouve également dans « Act II » quelques interviews exclusives et des photos.

« Act II » mélange deux incroyables concerts bien que légèrement différents : Le premier chapitre « Metropolis Alive » a été filmé 2 mois avant la sortie de l’album « The Shadow Self » en 2016 qui a été un véritable succès. Vingt chanceux à travers l’Europe ont eu l’opportunité d’assister au très intime concert de 75 minutes au Metropolis Studio à Londres où la chanteuse de metal a interprété des morceaux exclusifs de son album, pour la première fois devant son public.

Le second chapitre de « Act II » a été enregistré le 29 Novembre 2016 au magnifique Teatro Della Luna à Milan et inclut des titres extraits des 4 albums de Tarja tels que « Innocence » « Die Alive » ou encore « Until My Last Breath » ainsi que l’incroyable cover du célèbre titre « Supremacy » de Muse. La set list de ce concert a également enchanté les fans de la chanteuse à la voix soprano avec notamment un medley composé de morceaux de son ancien groupe Nightwish tels que « Ever Dream », « Slaying the Dreamer » et « The Riddler ». Pour combler le tout, Tarja a offert un set acoustique de qualité où elle interprète ses plus grands classiques revisités avec beaucoup de fraîcheur.

Bien que les concerts de Tarja diffèrent en général au niveau du son, de l’adrénaline et de l’approche à la musique, ils ont tout de même quelque chose en commun : du premier morceau au tout dernier, nous retrouvons la très belle énergie de la chanteuse qui nous charme par sa présence et sa grâce : « les vidéos lives sont devenues des moyens de documentation où l’on peut regarder les performances du groupe grâce à une télécommande à distance. Les lumières du spectacle et les LED accompagnent les performances du groupe mais n’ont pas réellement de significations en soi. Avec « Act II » en revanche, c’est très différent. Ici tout a une signification, chaque détail est important car ce n’est pas seulement une vidéo live mais plutôt un « documentaire live ».  Dans la vidéo, chaque morceau a été travaillé de manière à transmettre les sentiments que je voulais exprimer sur scène.  Je voulais être le plus proche possible de mon public pour leur faire ressentir toutes mes émotions pendant ce concert. On a rajouté plus de séquences, d’extraits, de photos et plus de graphisme.  On a également beaucoup travaillé sur les lumières, les cadrages, les reflets, les couleurs et on a inséré de nouvelles diapositives. On a également choisi de laisser certaines images pures et naturelles car elles représentaient bien ce qu’on voulait transmettre.

« Act II » n’est pas une vidéo-live c’est une vidéo d’art et vous êtes libres de juger et d’en débattre, c’est d’ailleurs exactement ce que l’on cherche.  « Act II » sera disponible le 27 juillet sur earMUSIC .

« Act II » garde l’énergie et l’esthétique de son prédécesseur mais on ajoute un nouveau chapitre a la saga de manière innovatrice. Éteignez les lumières, augmentez le volume et plonger au cœur du spectacle » Tarja.

Le 10ème Festival Plein’ Air se déroulera le samedi 1er septembre 2018 à Béthancourt en Vaux (02). 5 groupes sont au programme de cette nouvelle édition, avec Rosedale en tête d’affiche. La formation emmenée par Amandyn Roses a inversé son passage sur scène avec Barbara Thomas, car un long trajet attend Rosedale pour rejoindre la Suisse, ou le groupe jouera le lendemain. Mais rassurez vous, le tirage au sort pour gagner la guitare sera bien effectué lors de la dernière prestation !

Sclavine est une femme libre qui trouve ses sources d’inspiration et de respiration dans les Pixies, Brian Eno, David Byrne, Taking Heads, Alan Vega, les Stooges ou encore Dizzy Gillepsie. Elle compose et écrit, tâtonne, essaie de trouver la bonne formule, se risquant sur scène ou en studio, seule ou accompagnée jusqu’à rencontrer  Laurent (ex Margerin,  Danny Wilde) qui lui propose une approche « less is more ». C’est ce sillon que ces deux-là veulent  creuser et c’est au Black Box Studio, la Mecque de l’Analogique Vintage Spirit, qu’ils l’ont gravé, en novembre 2016.

Si la sortie vinyle de leur premier EP 5 titres produit par Peter Deimel au  printemps 2017 chez Rev Up Records a été salué par la critique ; le public salue aussi le duo minimaliste lors de ces premiers concerts en festival ou cafés concert (Festival Hautes Frequences, Pop In à Paris …)

Hangover est un groupe natif de Chauny, une petite ville de l’Aisne. Il a été fondé par Seb en 2011 avec deux de ses potes (un guitariste chanteur, un bassiste et un batteur), après plusieurs années d’inactivités musicales.
Après un an de formation, une poignée de concert et une démo, le groupe perd son bassiste. Ce fait marque l’arrivée de Vin’s à la basse, les compos changent et le groupe gagne en caractère. Après plusieurs scènes, le batteur quitte le groupe qui connait une longue traversée du désert qui va durer un an. Entre temps, le groupe désirant renforcer son son de guitare, recrute Thomas à la guitare lead. Puis enfin arrive Farid à la batterie et le groupe se retrouve au complet : Seb guitare et chant, Thomas guitare lead, Vin’s basse et Farid à la batterie.
Les influences du groupe vont de Nirvana à Offspring en passant par le métal et Motorhead. Le style musical de Hangover peut être qualifié de Hard Grunge. Le groupe évolue sur Chauny (Espace musique) et Fargniers (Caves à musique), qu’il remercie au passage pour leur accueil et leur convivialité.
Hangover compte aujourd’hui à son actif plusieurs concerts, compos et démos, ainsi qu’une page Facebook (Cliquez sur « j’aime » au passage !). Venez nous voir sur scène si vous aimez le son chaud et pêchu !!!

We Are Darling : un power-trio résolument Rock ! Sans concession, le son épuré de guitare saturé soutenu par une rythmique implacable donne le ton.
La puissance du rock’n’roll, le groove du blues et leurs énergie punk, emmené par les 2 chanteurs charismatiques Ambroise (Chant/guitare) et Thibaut (Chant/Batterie) aux influences classique rock d’AC/DC jusqu’à Muse, délivrant un son digne des plus grands. Et c’est sans compter sur le showman du groupe Guillaume (Basse/chœur) pour faire bouger le public qui ne ressort jamais indemne d’un de leur live déconcertant.
Groupe fondé en 2009, les We Are Darling en ont surpris plus d’un, gagnant à chaque fois le cœur du public lors de leurs concerts, écumant les dates dans le nord et l’est de la France, du Gibus à Paris jusqu’à la première partie de La Rue Kétanou au Kabaret à Reims.
Soutenu par un public de plus en plus nombreux, les 3 Darling viennet de rentrer en studio pour y restituer leur énergie et ce que les initiés appellent la « WAD touch’ »

Rosedale: La révélation Blues-Rock 2017 !

Un peu de noir, un peu de blanc, beaucoup de Blues et de Rock !Quel mélange idéal pour ceux qui portent en eux un grain de folie, ceux qui se disent que le plus beau chemin qui mène vers le plaisir auditif est celui qui se teinte de jolies couleurs électriques, de voix puissantes et rugueuses, de mélodies lourdes et pourtant paradoxalement si aériennes !

A la barre de Rosedale – Blues Rock, Amandyn Roses, dont la voix puissance la place directement et sans rougir aux côtés de Beth Hart ou Etta James. Avec Charlie Fabert, guitariste de Fred Chapellier et Paul Cox, l’alchimie parfaite a été trouvée, avec un mélange subtil de rythmes groovy et de guitares nerveuses, de sonorités Southern Rock qui se lovent dans de délicates ballades Blues.

Barbara Thomas commence le chant dès l’âge de 14 ans. Au fil des ans, elle intègre différentes formations musicales et s’exprime durant quelques années dans des formations et genres musicaux variés (Lyrique, Funk, Pop-Rock, Rythm & Blues, Jazz…) et acquiert une solide expérience de la scène.

Depuis 2010, Barbara Thomas se lance dans une aventure musicale personnelle :  son univers, c’est le Rock US, le Country Rock et le Southern Rock (ZZ Top, Lynyrd Skynyrd, Bon Jovi, Sheryl Crow, Shania Twain, Kenny Chesney, Terri Clark, Sara Evans, Faith Hill, Sugarland…)

En juin 2013, Barbara Thomas sort son premier album « Guess », 12 chansons originales écrites et composées par des auteurs de Nashville. L’album est remixé et masterisé en Californie.

Les particularités de l’album sont des titres originaux et une production 100% américaine (songwritters, musiciens, arrangements, mixage et mastering). Musicalement, l’album est très actuel, le son de Nashville, Pop, Rock et Folk est sans réel équivalent dans la production française actuelle.

Détails pratiques:
Ouverture des portes: 18h00
Début des concerts: 18h30
Restauration sur place assurée par le comité des fêtes.
Billetterie: 11 Euros en prévente, 14 Euros sur place.
Gratuit pour les enfants -12 ans.
Points de vente:
Cultura / zone commerciale Carrefour à Compiègne
Cultura / zone commerciale Auchan à St Quentin
Bar Le 421 / 35 rue de la République à Chauny
Café de la Poste / 13 rue Victor Hugo à Tergnier
Librairie Interligne / 6 rue de Jaulzy à Soissons
Boulangerie Pillot / 4 Grand Rue à Béthancourt-en-vaux
Comité des Fêtes / rue du Jardin Portaley à Béthancourt-en-vaux
Librairie Rédic / 18 rue Raspail à St Quentin
Café Le Rétro / 73 rue de la Mairie à Morlincourt (Noyon)
Espaces Musiques / 16 bis avenue de Verdun à Chauny
Bistro Chai Nico / 5 place du Marché Couvert à Chauny

Le camping s’éveilla avec Grit. Malheureusement pour eux, les gens ne s’étaient pas trop déplacés car il pleuvait pour la première fois du weekend lors de leur passage. Mais le quatuor français n’en démordait pas et joua normalement. Il proposa même une nouvelle chanson Self Kiss et une autre dédiée à un mec complètement allumé qu’ils avaient croisé lors de la première édition du festival, Kind of Grit/Ready or not.

La suite fut par contre accueillie par une plus grande foule. Jared James Nichols nous joua donc une setlist en roue libre, j’avais vraiment l’impression qu’ils décidaient sur le tas quoi faire. Ils demandèrent même à l’audience quel titre joué. Bref, une belle atmosphère était présente et une belle complicité se voyait sur scène entre le nouveau bassiste et Jared. Chose étonnante il n’y a aucun médiator dans le groupe !

La dernière journée du festival commença donc par Baroness à la M1, groupe passant au Hellfest et au BeProg! My Friend, mais là n’est pas le sujet. Le quatuor américain jouait d’ailleurs devant pas mal de fans des Gun’s  And Roses venu camper là. Mais cela ne les empêcha pas de donner un show, certes simple, en profitant de l’extension de scène installée pour le soir. Je découvris donc un groupe de Metal Progressif alliant Stoner et Rock Psyché avec des refrains ultra catchys.

S’enchaîna rapidement Jonathan Davis, ce pourquoi je campais devant Baroness. Ce dernier, venu défendre son second album solo, était accompagné du batteur de Korn, d’un violoniste/guitariste, d’un contrebassiste et d’un claviériste. Une compo idéale pour jouer les morceaux parfois ambients de Black Labyrinth et les quelques reprises de la BO du film La Reine des Damnés, qu’il a composé. Certains morceaux avaient d’ailleurs été rendu un brin plus énergique que dans l’album ; sans doute pour mieux convenir au type de public présent. J. Davis inhalait d’ailleurs tous les deux morceaux de l’oxygène (enfin je pense) pour tenir le coup ; prions pour qu’il tienne encore plus longtemps !

Me voilà donc de retour à la Warbird (la seule scène avec la M1 à avoir une programmation ce jour-là) pour Greta Van Fleet. Le groupe américain est très connu pour ressembler à Led Zeppelin, le chanteur d’origine, Robert Plant, les a même reconnus comme tel. Ainsi il jouait leur premier concert français (que je sache) devant un public au rendez-vous. Le jeune quatuor a donc joué son répertoire composé essentiellement de son EP From The Fires. Ce qui aboutit même à un étonnant rappel mais malheureusement il restera sans réponse….

Suivit donc sur la même scène le combo sud-africain Seether. Leur Metal Alternatif bien lourd n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd car les fans furent nombreux à essayer de s’approcher des premiers rangs. Le groupe ne se fit d’ailleurs pas trop prier quand il fallut conclure le show par un Wall of Death et un Circle Pit. Comme quoi les esprits étaient bien échauffés.

Vint ensuite la tête d’affiche du festival ! Celle qui avait obligé la tenue d’un quatrième jour : les Gun’s  And Roses. C’est donc avec 15 minutes de retard  que se lança une animation interminable d’un tank aux couleurs du Graspop et du Donwload qui tirait de temps en temps sur nous (ou plutôt sur des zombies hors champs). Puis vint une autre animation sur une balle frappée de leur sceau : le concert pouvait enfin commencer ! On était bien loin du groupe de rock légendaire, en effet le groupe avait dans son line up deux claviéristes choristes en plus de cinq membres. C’est après quelques minutes que je décidai de partir devant ce show grandiose mais pour lequel je ne ressentais rien. Comme quoi les têtes d’affiche du festival n’étaient pas faîtes pour moi.

 

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Réalisation Report & Photos: © 2018 Gauvain GAGGINI

Le troisième jour commença tranquillement par les autrichiens de Kaiser Franz Joseph. Le combo, mélangeant Stoner et Blues Rock, jouait là sa première fois en France et a su en profiter. D’ailleurs, le concert approchant de sa fin, et le batteur se levant, le bassiste demanda si on en voulait une autre. Et là surprise générale : « On s’en fout il nous en reste deux ! » (dont une très belle reprise de Whole Lotta Love de Led Zeppelin). Le bassiste était complètement déchaîné ce matin là et littéralement sauvage ! Une vrai bête de scène !

Les suivants furent les anglais de Stone Broken. Dans la suite logique, la bande nous proposa un Rock Stoner bien sympa. Cette date fut pour eux l’occasion de promouvoir leur second album sorti il y a peu. Mais bon il fut dur pour eux de créer la même ferveur que lors du précédent groupe.

Après deux concerts bien Rock il était pour moi temps de continuer sur ma lancée en allant à la M2 écouter Tea Cup Monster, un des représentants du Download Project. Le power trio parisien fut donc présenté par Nicole et le CM Facebook du Download, comme les précédents. Mais ce qui me frappa fut le nombre impressionnant de fans arborant fièrement le t-shirt du groupe. Une belle ambiance s’installa donc entre les curieux et les connaisseurs qui n’hésitèrent pas à lancer quelques pogos ou danses par ci par là.

S’ensuivit donc les français de The NoFace sur la M1. Le nouveau projet des musiciens de Skip The Use joua donc un Rock moderne avec une chanteuse dévoilée par le télé crochet The Voice. Le groupe fort de son identité visuelle, tous les musiciens portaient le même costume avec le même masque noir entaché d’une croix blanche, délivra une belle performance scénique. Mention toute spéciale au bassiste qui voulait jouer de son instrument avec ses dents, vive les masques ! En tout cas le groupe su convaincre quelques curieux de leur efficacité et de leur puissance.

Bon après mon petit tour aux mainstages, il était temps pour moi de revenir vers les petites voir The Last Internationale sur la Spitfire. Les New-Yorkais nous délivrèrent un Blues Rock puissant et bien fuzzy avec une chanteuse au chant hypnotique. D’ailleurs chose étonnante c’est un papi qui lança les premiers pogos vers la fin du concert. Le groupe profita même de l’écart public/scène pour nous faire un petit solo de guitare, ou la partie chant d’un morceau entier à ras des barrières. Une belle performance très simple mais efficace.

C’est Graveyard qui prit la suite des événements à la Warbird avec un son bien lourd. Le combo de Rock Stoner psyché avec un chant rauque à souhait nous joua un set parfait aux couleurs d’un bon désert américain. Un concert là encore très simple mais terriblement addictif. Ainsi, il ne fut pas étonnant de voir la foule en délire réclamant une nouvelle chanson, mais le groupe ne revint pas sur scène : l’heure c’est l’heure.

Ah là, on attaque avec ma grosse claque du festival : Arcane Roots. Si j’avais pu écouter des titres d’Ambient et de Rock Atmosphérique sur le net, découvrir un groupe de Progressif aussi bon et insoupçonné fut ahurissant. Tantôt ambient, parfois expérimental, tantôt atmosphérique, parfois prog, tantôt violent et parfois tout à la fois… De quoi donner le tournis. Je m’attendais à un groupe contemplatif et j’étais loin de me douter d’entendre un groupe s’approchant de Leprous sur certains morceaux. Une découverte de la Spitfire bien loin des gros groupes passant ce jour. D’ailleurs ils profitèrent du concert pour jouer une nouvelle musique Landslide qui sortira le soir même sur la chaîne de radio BBC.

Bon, pour le suivant c’est la curiosité qui me poussa à aller écouter Slaves sur la Warbird. Le groupe était intrigant, en effet il est seulement composé de deux personnes : le batteur chanteur (la batterie est mise de façon à qu’il joue debout) et un bassiste guitariste.  Il était d’ailleurs étonnant de voir autant de fans présents, l’ambiance du concert s’approchait sans mal de celle de Tagada Jones la veille, mais avec moins de monde. Les punks nous rassurèrent d’ailleurs sur leur nombre : « Si vous vous posez la question de combien on doit être dans un groupe alors que personne ne veut vous rejoindre, et bien vous avez là la réponse ! ». Le chanteur n’hésita pas à prendre souvent la parole notamment pour remercier la sécurité pour leur travail irréprochable, il y avait en fait beaucoup de slammeurs, et le public qui ne le filmait pas. Chose surprenante, le groupe partit dans le public en se faufilant pour sortir de la scène à la fin du show. Les fans quelque peu incrédules au début n’hésitèrent pas à les suivre ensuite ; mais je crois qu’ils avaient déjà disparus.

Après la venue de Carpenter Brut en 2017 au Download et de Perturbator au Hellfest, cette année les deux ont inversé leurs rôles. C’était donc Perturbator, projet de Synthwave français, que j’ai trouvé à la Warbird. La composition Live se composant d’un batteur et du maître penseur du projet. Le concert se donna vite une teinte de concert d’électro devant un public de metalleux, car ça sonnait très électro tout ça (bien plus que pour Carpenter Brut). Pertubator semblait d’ailleurs un brin pâle et fatigué mais ce n’est pas sans entrain qu’il assura le show jusqu’au bout derrière ses claviers devant des fans bien présents.

Prenant enfin une petite pause repas, je me suis approché du concert de Mass Hysteria qui venait à peine de commencer sur la M2. Et on peut dire que le groupe en plus du show traditionnel, une descente dans la foule où elle fait un circle pit autour d’eux, avait mis les moyens. On put donc voir une quinzaine de percussionniste sur Vae Soli, un lâcher de ballons géants, des pompon girls, des danseuses brésiliennes, des explosions de confettis et de cotillons… Bref pour leur 25 ans de carrière, les français avaient mis le paquet !

Bon ce n’est pas tout mais j’étais là aussi pour découvrir les Foo Fighters, tête d’affiche du soir ! Ne les ayants jamais écouté, je me suis dis que je pouvais rattraper mon retard. Mais bon, trouvant leurs musiques trop molles et fades, je me suis vite décalé ; à part The Pretenders aucune ne m’attiraient. Le groupe joua d’ailleurs deux morceaux de Queen, Imagine de Lennon et Let’s Go des Ramones. Mais bon ce n’est pas pour autant que je suis revenu. Il était donc venu pour moi le temps de penser au lendemain.

 

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Réalisation Report & Photos: © 2018 Gauvain GAGGINI

L’Arcade présente:
Coverslave Tribute Iron Maiden + Bloody Rosie Tribute AC / DC + Dirty Dogz

Les billets  collector sont disponibles au tarif préférentiel de 13 Euros !!!! Alors réservez vite ! Seulement 50 sésames vous sont proposés.

Pour les obtenir, rien de plus simple: Appelez au 06 38 25 96 77 ou assistez aux concerts de Dirty Dogz et Bloody Rosie qui auront lieu ce week end :

Vendredi 20 juillet 2017 à Fécamp pour Dirty Dogz et samedi 21 juillet au  festival de Valdallière à Vassy (14) pour BloodyRosie. (voir visuels ci dessous)
Après le succès du Monsters Of Tribute Rock le 9 juin 2018 @ Woincourt (live report ICI), Iron Maiden et AC/DC seront de nouveau à l’honneur samedi 13 octobre 2018 à l’Arcade de Notre Dame de Gravenchon (76)

Coverslave et Bloody Rosie seront donc de retour, pour envoyer le meilleur d’Iron Maiden et d’AC/DC, en compagnie de Dirty Dogz, la révélation Hard Rock française de l’année !

Nous vous attendons nombreux !! D’ici là préparez vos voix les amis !!

La billetterie FNAC, Carrefour, Super U… est disponible en ligne au tarif de 15 euros
Sur place: 19 Euros
Cliquez sur les logos ci-dessous pour réserver :
   
Organisation:
Partenaires Medias:
 
Partenaire Officiel:

Yves, le chanteur de Thorgen nous a quitté.

Publié : 19 juillet 2018 par Alain B. dans Musique, News
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C’est avec une grande émotion et beaucoup de tristesse que nous avons appris le  décès du chanteur / claviériste du groupe Thorgen, Yves Dazin. Nous pensons particulièrement à ses amis et à sa famille, en leur transmettant toutes nos condoléances et beaucoup de courage pour faire face à cette épreuve.

Personnellement, ce sont d’excellent souvenirs d’amitié et photographiques qui resteront gravées dans ma mémoire, lors de nombreux concerts de Thorgen, mais aussi au cours d’une session inoubliable, réalisée au Festival Plein Air de Bethancourt En Vaux en 2016.

R.I.P. Yves

Fort de la fête de la veille, le camping semblait un peu plus calme, ou du moins mes voisins. Motivé par une seconde journée où j’attendais pas mal de groupe, je fus plus que surpris par le premier concert de la journée. Ce jour-là c’était Jean Jean qui ouvrait avec un Rock Indie instrumental vraiment agréable. Le trio français était déjà sur un petit nuage en traitant tous les campeurs et campeuses comme des ami(e)s ; « Coucou les campeurs ! ».Mais ce qui ramena pas mal de curieux fut l’étrange sac que tenait le chanteur qui était plein de viennoiseries gratuites, une attention qui plut à pas mal de personnes présentes à ce moment-là. Le groupe avait même pensé à ramener du merch qui fut très assailli après le concert et qui dura jusqu’au tout début du concert suivant du quatuor féminin Bad Cop Bad Cop.

Les punks américaines, déjà venues il y a deux ans (le festival était alors à Longchamps) étaient bien contentes de revenir. Un groupe tellement dynamique sur scène que des roadies ont dû bloquer la batterie avec des poids et que la bassiste, malgré une genouillère, ne pouvait s’empêcher de sauter partout. Un véritable contraste avec les deux guitaristes qui bougeaient peu. Chose amusante les trois guitaristes (j’inclue la bassiste) étaient chanteuses, nous assistions donc un peu à une tournante où chacune des chanteuses chantaient à tout de rôle. Leur album Warriors fêtait d’ailleurs leur un an ce jour-là. Mais ce qui surprit grandement la bande fut un rappel « Let’s go Bad Cop » (qui rappela un certain Let’s go Murphys) malgré la fin du set, c’est donc tout triste que le groupe commençait à remballer. Mais une fois qu’on leur confirma qu’elles avaient encore le temps d’en jouer une, le groupe se dépêcha de tout remettre en place pour placer leur dernière !

Il est vrai que la veille je n’avais pas commencé par la M2, je pus donc découvrir Nicole, de « ça Rock au Plessis », et le CM Facebook du Festival présenter le deuxième représentant des « Download Projects » : Wild Mighty Freaks (nom que Nicole écorcha beaucoup) ! Groupe local que j’avais pu voir à l’Empreinte de Savigny le Temple début juin. Malgré une setlist assez ressemblante le quatuor avait encore musclé son jeu pour coller à une telle scène. Le bug des samples lors de Virus était par exemple bien mieux joué. Qui d’ailleurs n’a jamais eu peur qu’en plein concert que ses samples le lâchent ? Le groupe jouant peu de temps après France – Australie, Crazy Joe le chanteur osa demander le score avant de conclure par un magnifique : « On s’en fout ! ». Il ne manqua d’ailleurs pas de se faire taquiner par le public sur son physique. En effet, un gars du premier rang arborait fièrement un « Send Nudes », CJ promit de montrer ses abdos si ce dernier le faisait ; et bien sûr il ne respecta pas sa promesse… Même en partant, il n’enleva qu’une de ses nombreuses couches de vêtement. Après, leur fusion a su convaincre de nouvelles personnes et surtout leurs petites chorégraphies toujours au top.

Mais le vrai concert d’aujourd’hui, l’événement de la journée, était sans doute la venue exceptionnelle des japonais de Crossfaith en France. La M1 était donc particulièrement pleine, malgré l’horaire très tôt du concert. Eh bien le groupe de Metalcore/Electro a bien sur faire danser les foules avec ses très nombreux pogos, circle pits, slams (dont celui du chanteur claviériste), jump et walls of death. En tout cas les interactions étaient nombreuses, l’ambiance était délirante et le public conquis.

Après cette violence, je me suis dirigé vers mes chouchous de Skinny Lister sur la Spitfire, qui était pas mal remplie pour la capacité qu’elle avait. Le groupe de Rock Celtique sut de suite installé une ambiance très festive et familiale. Un petit garçon ayant déjà slammé lors du précédent concert retenta l’expérience en douceur et dans la bonne humeur. Le groupe ne put s’empêcher de s’excuser de passer si peu en France et put constater le nombre de fans qu’ils avaient gagnés grâce à leur date avec les Dropkick Murphys ! D’ailleurs la bande, comme la dernière fois, donna une jarre en terre cuite frappée par la Listermania au public. Les plus assoiffés ne purent se retenir et certains jouèrent même des coudes et bousculèrent d’autres pour être sûr d’en boire le contenu.

Malheureusement pour moi j’ai dû écourter les 5 dernières minutes pour être sûr de choper une bonne place pour Tagada Jones, ce que je réussi pour mon plus grand plaisir. Mais le plus étonnant est que la scène était déjà pleine pendant les balances, où le public n’hésitait pas à chanter et à slammer comme le petit garçon de tout à l’heure et une jeune fille. Lorsque le concert commença la Warbird débordait littéralement de monde, la foule ne s’arrêtait jamais et une personne monta même sur les câbles tenant la bâche pour apercevoir quelque chose. Le concert était littéralement explosif, une vraie guerre où les slams pleuvaient (dont un en fauteuil), la sécurité dû même appeler des personnes en renfort. Comme quoi on a beau mettre des punks dans une petite scène ça reste quand même explosif. Bon le seul bémol du show fut la double pédale de la batterie qui fut reliée aux enceintes d’une manière horrible, cela couvrait tout le reste. Mais heureusement que leurs morceaux ne débordent pas de double-pédale car je pense que ça aurait bien râlé.

Continuant mon périple dans les petites scènes, je retournais à la Spitfire découvrir Nothing More. Une sorte de Metal Alternatif et de Rock électrique qui a déjà fait ses preuves vu que leur titre « War » fut nommé trois fois aux Grammy Awards. Un concert sympa, où le groupe s’amusa même de jouer à trois sur une basse posée sur une structure. Plusieurs fans avaient répondu à l’appel et se firent entendre tout du long.

Fort de ma précédente découverte je me suis dirigé vers la Warbird pour assister à un des rares concerts français de Thrice. La scène était là encore bien remplie, certes moins que pour les punks de tout à l’heure mais les fans avaient su profiter de l’occasion. Les américains officiant dans un mélange de Rock Atmosphérique et Metal Alternatif il eut pourtant pas mal de pogos, un Wall of Death et un circle pit. Comme quoi les fans étaient très heureux de les voir joués en France. D’ailleurs en parlant de fan, le guitariste de Nothing More assistait au concert depuis les backstages en chantant la plupart des morceaux.

Bon, vu que NOFX ne me tentait pas plus que ça, j’ai pu les admirer de loin en me reposant. Le groupe Punk jouait ainsi leur première date parisienne devant une M2 bien motivée. La scène arborait d’ailleurs un drapeau LGBT et le chanteur/bassiste était travesti, mais bon je ne me suis pas trop attardé donc je n’en connus pas la raison.

Mais l’explication de mon départ était le concert d’Ultra Vomit qui allait se dérouler à la Warbird. Et leur réputation les précédant, je me suis faufilé en avance dans les premiers rangs. La scène était donc remplie dès les balances où le groupe, toujours déguisé en roadie, s’amusait à faire quelques buffs et autres bêtises. Malgré le record d’affluence lors de Tagada Jones, les hilarants metalleux réitérèrent l’exploit devant une foule déchaînée. Fait notable, auquel je m’attendais et que j’espérais, le chanteur des Tagada vint chanter sur Un Chien Géant, leur parodie. Mais bon le quatuor faisant le même show à chaque concert : des vannes à deux balles, presque les mêmes chansons et le tout devant un public un peu trop survolté à mon gout, je suis parti me reposer. L’atmosphère y était presque étouffante.

Après une pause bien méritée, il était temps de voir ce que pouvait valoir Marilyn Manson, tête d’affiche de la journée. Bon, voir une diva se faire sécher les bras et se faire habiller par ses roadies qui passaient leur temps à ramasser tout ce qu’il jetait sur une musique pas très originale m’a très vite gavé. Et encore le show faisant quasi 2h le bougre prenait bien son temps entre chaque morceau. Manson est pour moi le cliché de la rockstar faisant monter sur scène ses fans féminines… Quelque chose qui ne m’attire pas du tout et qui m’a fait vite partir de là.

 

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Réalisation Report & Photos: © 2018 Gauvain GAGGINI

Le Download Festival France peut maintenant se considérer comme un grand festival français ! Certes il reste loin du Hellfest Open Air festival en terme d’entrées mais les têtes d’affiches qu’il est capable de ramener rivalise avec ce dernier et sont même parfois similaires. Et un festival de cette envergure en région parisienne n’est pas pour me déplaire.

C’est donc la troisième édition qui s’est tenue du 15 au 18 juin 2018, 4 jours de musique non-stop ; prise de risque encourue aussi par le Graspop Metal Meeting en Belgique pour pouvoir faire jouer les Gun’s And Roses.

Bref, commençons par le premier jour des hostilités qui devait se conclure par le très attendu prince des ténèbres. C’est donc tranquillement que le festival put commencer par les premiers concerts donnés pour les campeurs. Ce fut donc un réveil en douceur effectué tout d’abord par Merge devant des festivaliers un peu fatigué de la veille. Le quatuor français de Rock Alternatif ayant certainement bouffé du metalcore au petit dej’ pu nous régaler d’un Linkin Park actuel plus énergique et de quelques ballades sympas. D’ailleurs le groupe en a profité pour nous jouer quelques morceaux de leur nouvel EP sorti un mois plus tôt. Bien sûr si ce combo vous intrigue vous pourrez les « retrouver sur Facebook, Instagram, Brazzers » ! Comme quoi ils ont quand même de l’humour.

Le groupe suivant, Laura Cox Band, est comme vous l’avez compris un projet s’articulant autour de Laura Cox, la guitariste. Et pour le coup, une tout autre ambiance s’était installée… On sentait que des fans avaient le déplacement (ou s’était réveillés) pour elle. Le quatuor français a su mettre une belle énergie avec un show très Rock ‘N’Roll pour défendre leur futur album. Une chose remarquable fut un des soli de Laura sur les épaules d’un de ses roadies en plein milieu de la fosse. Un moment amusant pour elle, au vu de son sourire, et un moment passionné pour les fans. Malheureusement pour eux, le concert se finit peu de temps après, mais la guitariste ne manqua pas de nous souhaiter son retour ici sur une autre scène au sein du festival. Affaire à suivre !

Après une longue péripétie pour récupérer mon pass 4 jours ; j’ai enfin pu rentrer dans l’enceinte du festival. Le lieu avait considérablement changé et avait grandi. On peut noter l’ajout de plusieurs bars, points d’eau, toilettes et points de restauration, l’apparition de multiples coins d’ombre et d’endroits où s’assoir et l’agrandissement de la Mainstage 1. Comme quoi malgré les critiques, le Download sait les entendre et s’améliorer !

Après ma surprise passée il était temps pour moi de foncer vers la Spitfire car mon running order était assez chargé ! C’est donc là-bas que j’ai pu écouter, dans les premiers rangs, Cellar Darling, le nouveau projet de l’ancienne vieliste et chanteuse d’Eluveitie. Le groupe suisse de Folk nous joua donc un Metal envoutant au refrain lumineux. Malgré sa nationalité Ana Murphy tint ces premiers mots en français : « Mon français est mauvais car je n’ai pas écouté à l’école. Mais cela importe peu car je suis là pour vous raconter des histoires ! ». Ce n’est que plus tard que nous apprenions qu’elle travaillait déjà sur un nouvel album et que c’est pour cela qu’elle était un peu triste car elle était quelque peu dépaysée, et oui revenir à la ville n’est jamais facile. Mais la venue des fans a su la réconforter !

Bon en me dirigeant vers la Warbird je savais que l’ambiance allait subir quelques changements. Car Bury Tomorrow, groupe de Metalcore/Deathcore du Royaume-Uni n’est pas connu pour faire dans la dentelle. Ils eurent d’ailleurs un petite pensée pour Billy Talent qui passait en même temps : « Si vous n’êtes pas là-bas c’est que vous aimez les choses les plus lourdes dans la vie » avant d’enchaîner sur un petit circle pit. D’ailleurs malgré les indications du chanteur, le public avait l’air de n’en faire qu’à sa tête. Après un concert très énergique, où le groupe pu jouer plusieurs nouveaux morceaux de leur futur album Black Flame,  le chanteur ne put s’empêcher de ne pas comprendre pourquoi ils n’étaient pas venus plus tôt jouer ici…

Après avoir profité des petites scènes il était temps pour moi d’assister à la messe d’Heavy Metal tenue par les loups allemands de Powerwolf ! Un concert que j’attendais tout particulièrement car j’avais hâte d’entendre quelques exclusivités autre que leur premier single Demons Are A Girl’s Best Friend, désir malheureusement non comblé. Ainsi le concert commença dans le vif du sujet avec Blessed And Possessed, les pogos et autres joyeusetés ne tardèrent donc pas ! Après plusieurs classiques le groupe nous joua en première mondiale le premier single de leur nouvel album et le public ne put se retenir de chanter avec Attila Dorn. Ce dernier ne put s’empêcher, comme à son accoutumé, de vanter les français : « [ils sont] des chanteurs fous et parfaits ». C’est d’ailleurs lors de la conclusion du set que le groupe nous dévoila en totale exclusivité et en toute tranquillité que leur tournée débutera par Paris au Bataclan (j’admets quand même quelques doutes sur la capacité de la salle ; mais ce sera toujours mieux qu’au Trabendo en 2015).

Une fois le concert fini, j’ai décidé de camper devant la Mainstage principale (M1) pour pouvoir admirer Opeth que j’avais raté lors de leur tournée de Sorceress. Je fus d’ailleurs loin d’être le seul à avoir eu cette idée loin d’être saugrenue. Malgré le désintérêt du chanteur Mickael Åkerfeldt pour le guttural, il ne put s’empêcher de jouer 80% du set avec leur répertoire Death, qui n’empêchèrent pas à quelques personnes de slammer. Mais bon comme il le dit si bien « On vous apporte les ténèbres en cette si belle journée, on est vraiment des trous du cul ». Après, conscient d’être devant pas mal de curieux, Mickael présenta son groupe : « On est un groupe de Metal la plupart du temps, enfin quelques fois ; mais on fait aussi quelques ballades ». Quelle meilleure façon d’introduire l’unique pause du set : In My Time of Need de l’album délicieux Damnation. Malgré un show très sobre avec peu de mouvement sur scène (mais bon on est habitué), les nouveaux et les curieux avaient l’air satisfaits.

Après un repérage des lieux où je pus entendre Ghost sur la Mainstage 2 (M2) et Vandenberg’s Moonkings, projet du guitariste de Whitesnake, sur la Spitfire ; je me suis dit que j’allais encore camper devant pour pouvoir admirer Ozzy Osbourne !

Après quelques dizaines de minutes, les écrans sur scène s’allumèrent pour nous dévoiler en photos la vie du frontman. Mais c’est un Ozzy fatigué, 69 ans le bougre, mais en pleine forme vocale et tout sourire qui monta sur scène ! Quant à Zakk Wilde, le guitariste avec ses soli interminables, dont un qui frôla sans doute les 20 minutes (où le chanteur put se reposer en backstage), était complétement ailleurs, dans une autre galaxie. Après plusieurs chansons, le prince des ténèbres rassura ses fans sur son avenir : « Ce n’est pas ma tournée d’adieu, ça c’était avec Black Sabbath. Moi je m’arrêterai quand je crèverai ! ». Après plus d’une heure de show, il décida de se rafraîchir le visage et eut la drôle d’idée de jeter le reste du seau sur le publique. Mais il n’en eut pas que pour Ozzy ou Zakk, le batteur Tommy Clufetos nous joua un excellent solo d’au moins 5 minutes. Et pour cela chapeau ! C’est donc les étoiles plein les yeux que le festival se finit et avec moi un médiator dans la poche.

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Réalisation Report & Photos: © 2018 Gauvain GAGGINI

Suite à la sortie de son dernier album studio “Paranormal” en 2017, sa plus grande réussite en termes de ventes et d’entrées charts depuis des décennies, la légende du rock américain a tourné à travers le monde, accompagné « du meilleur groupe qu’il ait jamais eu ».

Après une année entière sur la route, le “Paranormal tour” prit fin à Paris le 7 décembre 2017, dans la salle emblématique de l’Olympia, mondialement reconnu comme une salle iconique au sens propre du terme.
Cet album capture un show rock and roll à son apogée, et se révèle être l’un des meilleurs live d’Alice Cooper, avec à ses côtés ses fidèles guitaristes Nita Strauss, Tommy Henriksen et Ryan Roxie, ainsi que le bassiste Chuck Garric et le batteur Glen Sobel, jouant devant un public conquis!
Découvrez sans plus attendre le premier extrait, et non des moindres, le tube d’Alice Cooper, « Poison » !

“A Paranormal Evening At The Olympia Paris” sortira le 31 août 2018 en versions 2CD digipak, 2LP Gatefold (vinyles blanc et rouge) et en Digital.

Bijou Dauga annonce la sortie de l’album « En Public Sans Pitié » le 31 août 2018 via Aztec Music / PIAS.

Bijou, trio rock assimilé au mouvement « MOD » (The Who, The Jam)fait partie au même titre que Little Bob Story et les Dogs du patrimoine du rock français.
Après le départ de Vincent Palmer et plusieurs reformations, Philippe Dauga persiste et remonte Bijou en 2000 avec le batteur emblématique Dynamite Yann.
Après l’épisode Bijou SVP « Sans Vincent Palmer », Dynamite Yann quitte définitivement le navire.
Exit Bijou SVP, place à Bijou Dauga…!!!
Malgré les changements, Dauga continue d’entretenir la flamme contre vents et marées. Le titre est un emprunt à un morceau qui figurait sur son album solo « Pile Ou Face ».
La qualité de ce live prouve que Bijou brûle encore les planches.
Accompagné de Frantz Grimm (guitare), Fred Maizier (batterie), le « Godfather of Rock & Roll » clame haut et fort que Bijou aujourd’hui s’inscrit dans la lignée des légendaires Dr Feelgood et Pretty Things.