L’affiche programmée pour célébrer le 10ème anniversaire du Pacific Rock a de quoi faire saliver, avec un artiste international habitué à jouer en ce lieu à taille humaine.

C’est donc Pat McManus qui va assurer le spectacle, pour sa 4ème venue dans cette salle de Cergy. Mais l’ancien membre du groupe mythique Mama’s Boys ne sera pas seul, car de nombreux invités vont se succéder sur scène, lors de cette soirée unique.

Le chanteur / guitariste Pat O’May va ouvrir les hostilités, délivrant 2 compositions accrocheuses, accompagné d’une rythmique bien carrée. La formule trio est parfaite pour aller à l’essentiel, et c’est une version très personnelle de « Smoke On The Water » qui viendra clôturer cet mise en bouche.

Il est temps de laisser la place au virtuose Pat McManus, qui nous a concocté une set-list forcément adaptée à cette soirée particulière, en occultant plusieurs titres, de manière à laisser la place aux surprises tant attendues.

Le plaisir de revoir « The Professor » est toujours aussi intense, tout comme son show, bien équilibré, qui alterne les nouveaux titres, avec ceux, désormais devenus incontournables. L’instrumental « Juggernaut » fait partie de ces derniers, et permet d’apprécier ce toucher de guitare si particulier de Pat, tout en finesse et rempli de feeling. Les fidèles Paul Faloon à la batterie et Marty McDermott à la basse ne sont pas en reste, démontrant une parfaite cohésion tout en assurant les tempos quelque soient les registres, des plus calmes aux plus énergiques.

L’aérien et mélodique « What It », extrait du nouvel album « Tattooed In Blue », démontre à quel point Pat McManus est un guitariste remarquable, distillant les notes les plus alambiquées avec une précision hors pair. Les premiers accords de « Runaway Dreams » s’enchainent comme par magie, tant ce titre est attendu par le public. Connu pour avoir propulsé Mama’s Boys vers les somment dans les 80’s, cette merveille de composition possède tous les ingrédients  pour faire monter l’ambiance de plusieurs crans. Ce morceau n’a pas pris une ride, bien au contraire ! Et quel régal de vivre ce moment ou Pat nous gratifie de ses talents de violoniste, un véritable enchantement !

Pouvait-on rêver mieux qu’un titre de Jimi Hendrix « All Along The Watchtower » pour terminer le set de la plus belle des manières, en partageant ce bonheur de jouer devant un public toujours aussi réceptif.

La jam qui va suivre s’annonce pleine de surprises. Le duo avec Pat O’May sur « Whiskey In The Jar » de Thin Lizzy est simplement grandiose. La complicité dans les harmonies de guitare est un pur plaisir, tout comme les sourires qui illuminent les visages des 2 Pat. L’hommage au groupe irlandais se poursuit avec « Don’t Believe A Word », qui voit Pascal Mulot apporter sa touche personnelle à la basse.

L’enchainement avec le mythique « Mama Weer All Crazy Now » sorti par Slade en 1972 a de quoi faire saliver, d’autant que ce classique a été repris par Mama’s Boys en 1984 ! L’arrivée de Renaud Hanson derrière le micro ajoutera une émotion supplémentaire à cette soirée peine de rebondissements, qui atteint les sommets sur « Out In The Fields » de Gary Moore. Comme si 2 guitaristes ne suffisaient pas, Patrick Rondat vient prêter main forte à ses compères, lors d’un trio d’anthologie. Un « Highway To Hell » survolté va rassembler une dizaine de musiciens lors d’un final mémorable qui restera dans toutes les mémoires !

Bravo à Pat McManus d’avoir accepté de sortir des sentiers battus, afin de nous faire vivre des moments rares, originaux et remplis d’émotions.

Rendez vous avec ce guitariste exceptionnel le 04 mai 2019 à « La Spirale » de Fismes, pour un « Hard Rock Legend » aux couleurs irlandaises, qui promet d’être inoubliable !

Report & Photos: © 2018 Alain BOUCLY

A l’occasion de la sortie de l’album « Ultimate collection » disponible de puis le 5 octobre 2018 via BMG/Warner, Katie Melua sera en concert pour 5 dates dans l’hexagone.

Cet « Ultimate Collection » compilé  par Katie est comme un bel album de souvenir . Il reunit  30 chansons piochées dans ces 7 albums ainsi que son cover  « Fields Of Gold » (the Children In Need 2017 single) et  2 nouveaux enregistrements « Bridge Over Troubled Water » et « Diamonds Are Forever ».  

15 ans depuis le 1er Top « Call Off The Search » Katie Melua a cueilli dans ses 7 albums studio, cette collection de 30 titres à laquelle elle souhaitait ajouter 3 inédits dont :

« Bridge Over The Trouble Water » fut récemment enregistrés en Géorgie avec le Gori Women’s choir (qui sera en partie avec elle sur scène) et est produit par Katie et Adam Cecil Barlett

« Diamonds Are Forever » est produit par T Bone Burnett, enregistrement sur lequel Katie s’accompagne à la guitare acoustique .

C’est sa voix extraordinaire et son incomparable habilité à habiter ses chansons qui font de Katie Melua une des plus grandes interprètes de ces 20 dernières années. C’est en 2003 que cette jeune diplômée de la BRIT School apparaît dans les charts avec « The Closest Thing To Crazy ».

Katie Melua fait partie des artistes féminines ayant vendus le plus de disques en Angleterre : ses 7 albums studio se sont tous classés dans le Top 10 des charts.

Cette « Ultimate collection » célèbre la chanteuse, l’auteur, compositeur, musicienne, mais aussi collaboratrice // Katie a partagé la scène et les studios avec les plus grands .

« J’avais très envie de remercier toutes les personnes avec lesquelles je travaille depuis si longtemps , ceux que je ne vois pas forcément mais qui font un travail extraordinaire sans qui , mes albums n ‘auraient pas eu une telle résonance. » Merci .

Découvrez la vidéo de « Bridge Over Troubled Water »

En concert:
Le 4 NOV : PARIS / OLYMPIA
Le 5 NOV : BORDEAUX / Théâtre Femina
Le 6 NOV : MARSEILLE / Le SILO
Le 8 NOV : LYON / Amphithéâtre
Le 12 NOV : STRASBOURG / Palais de la Musique

Flogging Molly sera en concert en France le 13 janvier 2019 à Paris / Trabendo et le 27 janvier 2019 à Lyon / Ninkasi Kao.

Flogging Molly est un mélange intrigant de musique irlandaise traditionnelle et de Punk Rock audacieux. Membre fondateur de Fastway, le leader et guitariste originaire de Dublin Dave King a formé le groupe avec la violoniste Bridget Regan, le guitariste Dennis Casey, le jour d’accordéon (et ancien skateboarder professionnel) Matt Hensley, le bassiste Nathen Maxwell, le batteur George Schwindt, et le joueur de mandoline Bob Schmidt.

Flogging Molly a sorti son premier album « Swagger » en mars 2000 chez Side One Dummy, suivi deux ans plus tard de « Drunken Lullabies ». Créant des hymnes joyeux faits pour lever sa pinte de Guinness. Flogging Molly a continué les tournées puis a lancé sa croisière annuelle Salty Dog Cruise, qui prend la mer chaque année à la Saint Patrick.

Ouverture des ventes le vendredi 26 Octobre à 10h ICI

Bonjour et bienvenue pour une nouvelle chronique concert ! Aujourd’hui on va parler de la venue de Carpenter Brut à File7 à Magny le Hongre !

La soirée débuta donc par GosT, un One Man Band  originaire du Michigan, où il est bassiste, machiniste et chanteur. Ce dernier est très attiré par le Metal Extrême et la Dark Synthwave ! A ne pas confondre donc avec le groupe suédois de Hard Rock Ghost ! Imaginez donc un Perturbator (qui est d’ailleurs sur le même label) dopé par les films d’horreur, l’EBM, l’Hardcore et le Black Metal ; et là vous pourrez sentir le phénomène qu’est GosT !

Comme pour Carpenter Brut, l’homme qui nous est apparu voilé, s’inspire de quelques visuels sataniques mais pousse encore plus loin le concept, avec sur scène un crâne et des pentacles, des samples de messages parlant de rituels sataniques pendant les musiques… Bref nous voilà dans un univers bien sombre, qu’il soit musical ou visuel. Car l’esthétisme est assez haut, GosT est habillé tel une apparition fantomatique et semble possédé  par la musique (et qui ne l’était pas dans la salle). Après un show très intense de 45 minutes, l’homme s’éclipsera sans un mot dans la pénombre (mais avec un salut pour la foule).

 

 

 

 

 

 

Après une courte pause de nos programmes, il était temps d’accueillir la formation live de Carpenter Brut : Franck Hueso, alias Carpenter Brut, Adrien Grousset et Florent Marcadet. Il ne fallut que peu de temps au trio avant d’enflammer la fosse déjà bien échauffée avec Leather Teeth, le titre éponyme de leur dernier disque. Très vite j’ai senti que le groupe allait jouer la même setlist qu’à L’Olympia en mars dernier. Mais les voir évoluer dans une petite salle m’a bien surpris ; tout était plus intense (les jets de fumée à moins de deux mètres ça surprend). La foule dansait, sautait et chantait (lors des rares titres chantés) ; il régnait en Seine et Marne une vraie ambiance électrique ! Le groupe comme à son accoutumée joua donc son répertoire, piochant entre Trilogy et Leather Teeth, le premier album du groupe. On eut même le privilège d’une petite boutade lancée par Franck Hueso : après une courte pause, le claviériste entonna les premières notes de «  Au Clair de la Lune » ; un petit moment décalé bien surprenant et contrastant avec l’ambiance qui régnait jusqu’alors.  Mais cela n’empêcha pas ses camarades de reprendre la suite du show, une fois ce moment « d’égarement » passé.

Après une heure de show, une seconde pause se fit et Carpenter, décida de voler le chapeau rose brillant d’un des spectateurs pour dire que oui c’était le moment : le disco allait briller ce soir ! Et c’est donc tout logiquement que leur reprise de Maniac pointa le bout de son nez !

Et arriva ce qui devait arriver, la conclusion de cette soirée… Comme à son habitude le groupe avait su sublimer en Live son répertoire avec ses traditionnels extraits vidéos et leurs prestances scéniques devan un File7 complet!

Malheureusement, voir le groupe évoluer lors de la même tournée ne nous apporte pas trop de surprises ; en effet seulement la salle et la foule changent entre les concerts (bon après vu leur répertoire actuel c’est un peu normal). Mais cela n’enleva en rien mon plaisir de les revoir !

 

Réalisation Report & Photos: © 2018 Gauvain GAGGINI

10 jours après la sortie de « Go To School », leur second album, et alors que les places pour leur concert à la Maroquinerie en octobre se sont vendues en quelques minutes, The Lemon Twigs annoncent qu’il seront de retour en France en mars 2019 pour 4 concerts :

01/03/2019 Lille, L’Aéronef
02/03/2019 Lyon, L’Épicerie Moderne
03/03/2019 Strasbourg, La Laiterie
04/03/2019 Paris, La Cigale

Qualifié d’album concept et d’oeuvre aux allures de comédie musicale, l’ambitieux nouveau projet qu’est « Go To School » voit Brian et Michael D’Addario à nouveau se plonger dans leurs influences seventies avec une aisance innée, une créativité intacte et un délire certain.

« L’enthousiasme des Lemon Twigs n’a d’égal que la fraîcheur vintage de leurs morceaux » – Rolling Stone

« Leur musique s’autorise des fulgurances insoupçonnées, entre un flirt avec le prog rock et une embardée free, pour atteindre des sommets d’intensité. » – Télérama

No One Is Innocent sera en concert le 07 novembre 2018 à Cléon / « La Traverse » (76) – 20h30. 1ère partie: Sate

En 1994, No One Is Innocent entre dans la cour des grands du rock avec son premier album et son single, « La Peau », qui marquera au fer rouge la génération électrique des 90’s. No One persiste et signe dans le coup d’éclat avec « Utopia » en 97.

Après être passé à La Traverse lors de leur tournée 2015 pour l’album « Propaganda », No One Is Innoncent revient en 2018 après avoir sorti leur nouvel album « Frankenstein » : un disque coup de poing. Tous ceux qui ont pu les voir sur scène le savent, les No One, emmenés par le charismatique Kemar, restent un phénomène live.

Leur réputation scénique n’est plus à faire. Chaque concert se joue comme si c’était le dernier.

Explosifs et intenses, les shows de Sate sont survitaminés. Chanteuse féline à la crinière décolorée, révélée au Canada, son pays natal, Sate est la fille de la célèbre dame du blues Salomey Bey. Le premier opus de Sate, « RedBlack & Blue », est à l’image de la chanteuse : un concentré d’énergie, très punk rock et aux racines blues et funk évidentes. Le deuxième album, « The Fool », est attendu en 2018.

The Faim: En concert @ Paris le 20 février 2019

Publié : 17 octobre 2018 par Alain B. dans Musique, News
Tags : , , ,

The Faim sera en concert le 20 février 2019 à Paris / Les Etoiles

The Faim est un groupe australien fondé en novembre 2014 à Perth, Australie.

Il se compose de Josh Ravens (chant), Michael J. Bono (guitare), Stephen Beerkens (basse/clavier) et Sean Tighe (batterie).

Le groupe propose des sonorités Pop Alternative entraînantes et déborde d’énergie, si bien qu’avec seulement trois chansons enregistrées à leur actif, ils signent avec BMG Music.

Le pionnier de la production hollywoodienne, John Feldmann (Black Veil Brides, Blink 182, The Used, All Time Low) s’est laissé intriguer en écoutant leur démo et les a personnellement invités à Los Angeles pour enregistrer leur premier album ! Si ça, ce n’est pas un début en fanfare ! 

Orphaned Land sera de retour en 2019, avec Subterranean Masquerade & Paratra en premières parties :

07.04 – Huy Atelier Rock Huy
08.04 – Rouen Le 106
10.04 – Genève UNDERTOWN
11.04 – Vauréal Le Forum de Vauréal
12.04 – Montauban Le Rio Grande
13.04 – Saint-Etienne Le Clapier
14.04 – Montpellier Secret Place

Billets disponibles dans les points de vente habituels !

Boney Fields: Sortie du nouvel album le 09 novembre 2018

Publié : 17 octobre 2018 par Alain B. dans Musique, News
Tags : ,

Le nouvel album de Boney Fields intitulé  sortira le 9 novembre 2019 via Socadisc

« Bump City », le prochain album du virtuose de Chicago reflète l’atmosphère électrique du moment, avec des compositions plus Rock.
Pas étonnant de déceler un écho néo-orléanais furieusement cuivré danscette célébration du swing. Comme un clin d’œil à celui qui alluma la flamme du jeune Boney Fields au tournant des années 70, un certain Louis Armstrong.
C’est ainsi que Boney Fields rend un hommage appuyé à son compagnon de route et mentor, le regretté James Cotton, sur le titre « Ying Yang », magnifié par la grâce d’un invité de marque, le chanteur et harmoniciste, Charles Pasi.
« Bump City » est le fruit d’un savoir-faire acquis avec constance et détermination mais c’est surtout un album vivifiant porté par la fraîcheur créative d’une formation solide, enthousiaste et très performante.
C’est un message, l’histoire d’une vie, celle d’un musicien sincère, généreux et fier de ses jeunes partenaires à qui il offre un espace d’expression conséquent.
Dans « Bump City », le titre phare de l’album, Boney imagine d’ailleurs une ville où l’on ferait la fête et danserait toute la nuit. Quelle belle promesse !
Et comme le laissent entendre « Ain’t giving up on You » et « More », l’espoir et la félicité sont les meilleurs remèdes aux embûches et aux revers de l’existence.
Qu’il soit entendu !

Rival Sons: 4 dates françaises en février 2019

Publié : 16 octobre 2018 par Alain B. dans Musique, News
Tags : , ,
Les Américains de Rival Sons continuent d’écumer les scènes sans relâche et annonce une nouvelle tournée prévue pour début 2019, qui comportera quatre dates en France.
Les billets seront en vente à partir de ce vendredi 19 octobre.
Voici les dates :
  • 8 février : Rouen – Le 106
  • 9 février : Paris – Le Bataclan
  • 10 février : La Rochelle – La Sirène
  • 25 février : Lyon – Le Transbordeur

Le groupe a auparavant sorti un nouveau single, intitulé « Do Your Worst ». Il s’agit du premier extrait du prochain album du groupe, dont la sortie est prévue pour début 2019, selon les informations du média américain Rolling Stone. Le disque est toujours produit par Dave Cobb (Europe…)