Ludovic Moignet, directeur de l’EPCC Somme Patrimoine (Établissement public de coopération culturelle), a annoncé l’évènement SamaRock, un festival rock pour fêter les 30 ans du parc archéologique Samara et qui aura lieu le samedi 8 juin et le dimanche 9 juin 2019 sur l’Oppidum à La Chaussée-Tirancourt (Somme, Picardie, Hauts-de-France, France) !

Samedi 8 juin 2019 :
12h30 : Ouverture des portes / 15h : premier concert / 1h : fin des concerts
– Arkona
– Skáld
– Garmarna
– Luc Arbogast

Dimanche 9 juin 2019 :
11h30 : Ouverture des portes / 14h : premier concert / 18h : fin des concerts
– Boisson Divine
– Eluveitie
– The Hu

Billetterie ci-dessous (GINGER.FR ou 03 22 89 2000) :
Pass 2 jours :
39 euros (tarif normal)
– Gratuit pour les enfants jusque 12 ans inclus (retrait sur place, sur présentation de justificatif)

Le dimanche :
14 euros (tarif normal)
– Gratuit pour les enfants jusque 12 ans inclus (retrait sur place, sur présentation de justificatif)

Également disponible dans le réseau FNAC / AUCHAN / CARREFOUR / LECLERC / GEANT.

Aire de repos – bivouac, gratuite, places limitées sur réservation obligatoire sur ce site.
Installation de 10h à 17h samedi 8 juin. Fermeture dimanche 9 juin 11h.
Interdit aux animaux / véhicules / barbecues / Camping-cars
Le parc de Samara est fermé durant le festival.
L’accès au festival a lieu exclusivement sur le site de l’Oppidum.

Vente des places depuis le 8 février 2019.

Note : L’article sera mis à jour régulièrement.

Pour plus d’informations :

4 mois après la réussite de la première édition du Monsters Of Tribute Rock à Woincourt (80), Coverslave et Bloody Rosie partagent à nouveau la même scène, pour un concert qui s’annonce comme l’évènement de la rentrée en Seine Maritime.

L’accueillante salle de l’A.R.C.A.D.E. située à Port Jérôme / Seine, entre Le Havre et Rouen, affiche quasiment complet rien qu’en pré-ventes, comme le prouve cette foule des grands soirs qui patiente avant l’ouverture, histoire de se retrouver idéalement placé devant la scène !

Mais revenons à l’affiche du jour, qui va permettre au public de découvrir Dirty Dogz en avant première, pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’assister aux concerts du Havre et de Fécamp donnés au cours de ces derniers mois.

Le ton est donné d’entrée de jeu, avec le titre « Dirty Dogz » qui ne fait pas dans la dentelle ! L’énergie déployée impressionne, dans un registre inspiré du Hard Rock australien des 80’s, dont Rose Tattoo ou encore AC/DC sont parmi les plus fidèles représentants. Cela n’est d’ailleurs pas étonnant de voir certains points communs entre les musiciens de Dirty Dogz et ceux de Bloody Rosie. Le chanteur /  guitariste Simon a fait partie de ce Tribute AC/DC pendant plusieurs années, quant aux 3 autres, il s’agit des membres actuels. Taz assure comme un métronome derrière ses fûts, et Cyrille n’est pas en reste, distillant ses solos toujours inspirés et gorgés de feeling. Lukas a quant à lui, troqué la guitare rythmique de Bloody contre une basse qu’il ne ménage pas. Quel son bien claquant pour propulser la doublette « Pussy Wet » / « Go Back » à la face d’un public hyper réceptif !  Ces 2 morceaux font partie d’un EP 4 titres sorti il y a quelques mois qu’il est urgent de se procurer !

Jouée pour la première fois en live, la toute dernière composition « Brand New Bitch » possède tous les ingrédients pour devenir l’hymne incontournable du groupe. Tout y est ! Une mélodie que l’on a envie de fredonner instantanément, plus un refrain entrainant, idéal pour faire hurler la fosse, le tout mis en valeur par un soli digne des plus grands, véritablement un grand moment !
L’intensité du set ne faibli pas, bien au contraire, elle monte encore d’un cran avec « Follow Us », dont le son et la structure du solo n’est pas sans nous rappeler un certain Slash !

L’efficacité des 12 compositions envoyées ce soir va convaincre une audience de plus en plus réceptive, qui ne ménage pas ses efforts pour bouger et mettre l’ambiance. Pari gagné pour Dirty Dogz qui a tout donné pendant 45 mn, qui se révèle comme une belle surprise et une découverte qu’il va falloir suivre de très près !

Pas le temps de refroidir l’atmosphère bouillante de l’A.R.C.A.D.E., que l’intro de « Live Wire » retenti déjà, suivie par l’arrivée en trombe de Cyrille, enclenchant le riff qui « tue » sur sa SG. On ne présente plus Bloody Rosie, la réputation de ce Tribute AC/DC est maintenant bien établie dans l’hexagone, grâce au nombreux public présent sur les gros évènements.

Un petit « Dog Eat Dog » des familles, nous prouve à quel point le frontman Sébastien prend tout sa dimension en interprétant le répertoire de Bon Scott. Il incarne tellement le personnage, grâce aux intonations vocales en tous points identiques, mais aussi, par un look et une prestance scénique naturelle, si proche de la légende.

C’est véritablement la particularité de Bloody Rosie, de se démarquer des nombreux autres tributes d’AC/DC en proposant un répertoire basé sur les titres de la période Bon Scott, qui enchantent les puristes. Bien sur, la set list contient quelques incontournables comme « Back In Black » ou « Thunderstruck » mais quel plaisir d’entendre les raretés que sont « Night Prowler », « Problem Child » ou « Kicked In The Teeth » !

L’expérience scénique du groupe permet au show de monter en puissance, grâce aux brûlots que sont « Highway to Hell », « If You Want Blood » suivi par « Bad Boy Boogie ». Cyrille est véritablement en transe lors de ses solos diaboliques de précision, et s’amuse même à jouer avec les premiers rangs ravis d’une telle complicité. Taz n’a rien a envier à Phil Rudd, tant sa frappe est carrée pour une efficacité maximale, bien épaulé par Thierry à la basse, qui complète cette rythmique en béton armé. Mais que serait AC/DC sans le son et le relief des accords de la seconde guitare, avec cette façon si particulière de « claquer » les cordes donc Lukas a le secret ! Quel talent pour avoir aussi bien assimilé le jeu  de Malcolm !
C’est déjà l’heure des rappels, et quoi de mieux que « Whole Lotta Rosie » pour conclure un set de Bloody Rosie ?

Les public dégouline de bonheur, tout comme Séb et l’ensemble du groupe qui s’est employé à fond devant une salle désormais archi comble !

Une nouvelle fois, Bloody Rosie tribute AC/DC a délivré une prestation solide, énergique et fidèle aux titres originaux. Il y a, avec ces atouts, largement de quoi se démarquer de la concurrence, et de la dépasser !

Le changement de plateau est conséquent, avec l’installation de l’imposant kit de batterie d’Eric « Nicko » Martins-Guerra, auquel s’ajoutent les décors qui vont nous plonger dans l’univers d’Iron Maiden. Les fans de la vierge de fer le savent, lorsque la diffusion de « Doctor Doctor » d’UFO résonne dans la sono, le suspense précédent l’arrivée du groupe est à son maximum !

Et ça démarre en trombe avec « Caught Somewhere In Time » puis « 2 Minutes To Midnight » ! C’est un Coverslave en pleine forme qui retrouve pleinement ses sensations pour ce second concert, après le retour gagnant du Monsters Of Tribute Rock.

Stéphane Graziani a le don pour se mettre la foule dans sa poche. En plus d’assurer les parties vocales dignes d’un Bruce Dickinson, le frontman est un communiquant hors pair ! Entre les anecdotes de la tournée avec Paul Di’Anno pour présenter « Remember Tomorrow », et son message à l’éclairagiste pour créer une atmosphère sombre lors de l’intro de « Fear Of The Dark », tout est réuni pour célébrer Iron Maiden de la plus belle des manières. A l’instar d’un Steve Harris, Jeff  fait claquer chaque accord de sa basse avec une conviction incroyable ! Et il ne peux se retenir de sautiller et chanter, vivant chaque instant à 200% !

Les classiques défilent, laissant le soin aux fans déchainés de donner de la voix sur « Bring Your Daughter » ou « Runs To The Hills » propulsé par la puissance intro de batterie. Eric, allant même jusqu’à suivre l’exemple de Nicko en étant complètement invisible derrière ses fûts ! Mais l’essentiel est ailleurs, car les plans complexes sont reproduits avec une telle précision, que la moindre frappe sur un tom, ou le coup de cymbale au moment opportun se voit reproduit avec la plus grande précision. Grâce à une qualité de son irréprochable, les morceaux prennent toute leur dimension, notamment au niveau des guitares. Cyril joue beaucoup plus relâché, ce qui accentue la complémentarité avec Cédrick, dans les solis à couper le souffle !

La cohésion du groupe fait plaisir à voir !

Mais il est impossible de se quitter sans une dernière communion avec le public survolté sur « The Number Of The Beast » suivi d’« Iron Maiden » qui verra l’apparition d’Eddie !

Coverslave, l’un des plus anciens tribute en activité qui fêtera ses 20 ans d’existence en 2019, a réalisé un show de haut niveau. Il suffisait de fermer les yeux pour se retrouver devant Iron Maiden !
Dommage que les éclairages n’aient pas toujours été au diapason, afin de mettre en valeur les nouveaux décors que l’on imagine magnifiques ! Le côté sombre devait juste durer le temps de l’intro de « Fear Of The Dark » !

Voilà une soirée réussie au delà de toutes les espérances ! Merci à l’A.R.C.A.D.E. pour son accueil, et d’avoir fait confiance à cette affiche qui a réuni près de 400 personnes !

Bravo au public incroyable qui a soutenu les 3 groupes avec une énergie de tous les instants ! La chaleur torride qui régnait dans la salle en est la preuve !

Et félicitations à Dirty Dogz, le plus français des groupes australiens pour avoir assuré un maximum lors de cette première grande scène, à Bloody Rosie tribute AC/DC qui met la concurrence loin derrière et à Coverslave tribute Iron Maiden, qui confirme son statut de référence absolue dans le genre.

Vivement la prochaine !

Report & photos © 2018 Alain BOUCLY

Shining, à ne pas confondre avec leurs homonymes suédois donnant dans le black metal pure souche! Les Norvégiens dont il est ici question ne donnent pas pour autant dans la comptine pour mettre au lit votre petit dernier.

Ils sont de retour à Paris le 09 novembre 2018 pour présenter leur nouvel album « Animal ».

« Animal », le nouvel album de Shining sorti chez Spinefarm Records est plus Muse que Meshuggah, plus Ghost que Gojira et plus Biffy Clyro que Burzum. Le collectif norvégien de jazz-metal propose un opus qui tranche avec les précédents, surprenant et créatif qui brise les barrières musicales de ses débuts et mélange des sonorités metal prog, jazz, avant-gardiste et expérimental.

L’album produit par Sean Beavan (A perfect Circle, Marilyn Manson, Nine Inch Nails) et mixé par Kane Churko (Papa Roach, Five Finger Death Punch) est un des plus audacieux de Jørgen Munkeby, le chanteur-compositeur et multi-instrumentiste du groupe.

« Maniac », Le nouvel album de Mass Hysteria est enfin disponible!

Retrouvez le groupe en dédicace exceptionnelle à La Fnac Bercy Village le 31.10

25 ans de carrière exemplaire ! Voilà ce que l’on peut écrire sans rougir concernant Mass Hysteria et qui ne surprendra personne. Ce qui est plus étonnant, c’est le regain de forme que connaît le groupe depuis une petite décennie avec un coup de turbo phénoménal depuis son dernier album, l’encensé et cataclysmique « Matière Noire » (2015). S’en est suivie une tournée marathon sold out de 102 dates qui les a vu essorer les salles et festivals de l’hexagone (dans le Top 20 2016 des groupes les plus programmés en festivals), couronnée par deux certifications or coup sur coup : un disque d’or pour le cultissime « Contraddiction » (1999) et une vidéo or pour le live « A L’Olympia » (2013), fait rarissime pour un groupe du genre.
A ce beau palmarès s’ajoute un fan club de 3 800 membres actifs intitulé « L’armée des Ombres », des couvertures de magazines en pagaille, un clip qui tourne à près de 690 000 vues sur YouTube, une page Facebook avec près de 70 000 abonnés. Bref, faut-il encore en rajouter ? Il semblerait que « oui » : c’est au cours de leur show impressionnant au Download que le groupe a révélé aux furieux le titre et la date de sortie du nouvel album studio.

« Maniac » est enfin disponible ! Il viendra confirmer sans aucun doute que Mass Hysteria a définitivement regagné son trône.

Mass Hysteria vient d’annoncer un concert au Zénith de Paris (le 1er de leur carrière) , le 06 décembre 2019!

Infos et réservation ICI

Nita Strauss, la guitariste d’Alice Cooper, Femme Fatale, The Iron Maidens, vient de dévoiler un nouvel extrait de son premier album solo, « Controlled Chaos », à paraître le 16 Novembre prochain via Sumerian Records.

« Controlled Chaos » Tracklisting:
01. Prepare For War
02. Alegria
03. Our Most Desperate Hour
04. Mariana Trench
05. Here With You
06. The Stillness At The End
07. The Quest
08. Hope Grows
09. Lion Among Wolves
10. Pandemonium 2.0
11. The Show Must Go On

Découvrez le morceau « Pandemonium 2.0 » en écoute :

Le groupe de Heavy Metal finlandais Battle Beast annonce sa tournée Européenne pour le printemps 2019. 3 dates sont dores et déjà programmées en France :

– Le 26 avril 2019 à Toulouse / Le Connexion
– Le 27 avril 2019 à Clermont-Ferrand / La Coopérative de Mai
– Le 28 avril 2019 à Paris / Trabendo

Battle Beast s’est formé en 2005 à Helsinki. Ils sont connus pour avoir remporté la finale du Wacken Open Air Metal Battle 2010, ce qui a notamment permis au groupe de signer un contrat chez Nuclear Blast et sortir leur premier album « Steel ».

Découvrez le clip du titre « Bringer Of Pain », extrait de l’album éponyme sorti le 17 février 2017:

 

L’affiche programmée pour célébrer le 10ème anniversaire du Pacific Rock a de quoi faire saliver, avec un artiste international habitué à jouer en ce lieu à taille humaine.

C’est donc Pat McManus qui va assurer le spectacle, pour sa 4ème venue dans cette salle de Cergy. Mais l’ancien membre du groupe mythique Mama’s Boys ne sera pas seul, car de nombreux invités vont se succéder sur scène, lors de cette soirée unique.

Le chanteur / guitariste Pat O’May va ouvrir les hostilités, délivrant 2 compositions accrocheuses, accompagné d’une rythmique bien carrée. La formule trio est parfaite pour aller à l’essentiel, et c’est une version très personnelle de « Smoke On The Water » qui viendra clôturer cet mise en bouche.

Il est temps de laisser la place au virtuose Pat McManus, qui nous a concocté une set-list forcément adaptée à cette soirée particulière, en occultant plusieurs titres, de manière à laisser la place aux surprises tant attendues.

Le plaisir de revoir « The Professor » est toujours aussi intense, tout comme son show, bien équilibré, qui alterne les nouveaux titres, avec ceux, désormais devenus incontournables. L’instrumental « Juggernaut » fait partie de ces derniers, et permet d’apprécier ce toucher de guitare si particulier de Pat, tout en finesse et rempli de feeling. Les fidèles Paul Faloon à la batterie et Marty McDermott à la basse ne sont pas en reste, démontrant une parfaite cohésion tout en assurant les tempos quelque soient les registres, des plus calmes aux plus énergiques.

L’aérien et mélodique « What It », extrait du nouvel album « Tattooed In Blue », démontre à quel point Pat McManus est un guitariste remarquable, distillant les notes les plus alambiquées avec une précision hors pair. Les premiers accords de « Runaway Dreams » s’enchainent comme par magie, tant ce titre est attendu par le public. Connu pour avoir propulsé Mama’s Boys vers les somment dans les 80’s, cette merveille de composition possède tous les ingrédients  pour faire monter l’ambiance de plusieurs crans. Ce morceau n’a pas pris une ride, bien au contraire ! Et quel régal de vivre ce moment ou Pat nous gratifie de ses talents de violoniste, un véritable enchantement !

Pouvait-on rêver mieux qu’un titre de Jimi Hendrix « All Along The Watchtower » pour terminer le set de la plus belle des manières, en partageant ce bonheur de jouer devant un public toujours aussi réceptif.

La jam qui va suivre s’annonce pleine de surprises. Le duo avec Pat O’May sur « Whiskey In The Jar » de Thin Lizzy est simplement grandiose. La complicité dans les harmonies de guitare est un pur plaisir, tout comme les sourires qui illuminent les visages des 2 Pat. L’hommage au groupe irlandais se poursuit avec « Don’t Believe A Word », qui voit Pascal Mulot apporter sa touche personnelle à la basse.

L’enchainement avec le mythique « Mama Weer All Crazy Now » sorti par Slade en 1972 a de quoi faire saliver, d’autant que ce classique a été repris par Mama’s Boys en 1984 ! L’arrivée de Renaud Hanson derrière le micro ajoutera une émotion supplémentaire à cette soirée peine de rebondissements, qui atteint les sommets sur « Out In The Fields » de Gary Moore. Comme si 2 guitaristes ne suffisaient pas, Patrick Rondat vient prêter main forte à ses compères, lors d’un trio d’anthologie. Un « Highway To Hell » survolté va rassembler une dizaine de musiciens lors d’un final mémorable qui restera dans toutes les mémoires !

Bravo à Pat McManus d’avoir accepté de sortir des sentiers battus, afin de nous faire vivre des moments rares, originaux et remplis d’émotions.

Rendez vous avec ce guitariste exceptionnel le 04 mai 2019 à « La Spirale » de Fismes, pour un « Hard Rock Legend » aux couleurs irlandaises, qui promet d’être inoubliable !

Report & Photos: © 2018 Alain BOUCLY

A l’occasion de la sortie de l’album « Ultimate collection » disponible de puis le 5 octobre 2018 via BMG/Warner, Katie Melua sera en concert pour 5 dates dans l’hexagone.

Cet « Ultimate Collection » compilé  par Katie est comme un bel album de souvenir . Il reunit  30 chansons piochées dans ces 7 albums ainsi que son cover  « Fields Of Gold » (the Children In Need 2017 single) et  2 nouveaux enregistrements « Bridge Over Troubled Water » et « Diamonds Are Forever ».  

15 ans depuis le 1er Top « Call Off The Search » Katie Melua a cueilli dans ses 7 albums studio, cette collection de 30 titres à laquelle elle souhaitait ajouter 3 inédits dont :

« Bridge Over The Trouble Water » fut récemment enregistrés en Géorgie avec le Gori Women’s choir (qui sera en partie avec elle sur scène) et est produit par Katie et Adam Cecil Barlett

« Diamonds Are Forever » est produit par T Bone Burnett, enregistrement sur lequel Katie s’accompagne à la guitare acoustique .

C’est sa voix extraordinaire et son incomparable habilité à habiter ses chansons qui font de Katie Melua une des plus grandes interprètes de ces 20 dernières années. C’est en 2003 que cette jeune diplômée de la BRIT School apparaît dans les charts avec « The Closest Thing To Crazy ».

Katie Melua fait partie des artistes féminines ayant vendus le plus de disques en Angleterre : ses 7 albums studio se sont tous classés dans le Top 10 des charts.

Cette « Ultimate collection » célèbre la chanteuse, l’auteur, compositeur, musicienne, mais aussi collaboratrice // Katie a partagé la scène et les studios avec les plus grands .

« J’avais très envie de remercier toutes les personnes avec lesquelles je travaille depuis si longtemps , ceux que je ne vois pas forcément mais qui font un travail extraordinaire sans qui , mes albums n ‘auraient pas eu une telle résonance. » Merci .

Découvrez la vidéo de « Bridge Over Troubled Water »

En concert:
Le 4 NOV : PARIS / OLYMPIA
Le 5 NOV : BORDEAUX / Théâtre Femina
Le 6 NOV : MARSEILLE / Le SILO
Le 8 NOV : LYON / Amphithéâtre
Le 12 NOV : STRASBOURG / Palais de la Musique

Flogging Molly sera en concert en France le 13 janvier 2019 à Paris / Trabendo et le 27 janvier 2019 à Lyon / Ninkasi Kao.

Flogging Molly est un mélange intrigant de musique irlandaise traditionnelle et de Punk Rock audacieux. Membre fondateur de Fastway, le leader et guitariste originaire de Dublin Dave King a formé le groupe avec la violoniste Bridget Regan, le guitariste Dennis Casey, le jour d’accordéon (et ancien skateboarder professionnel) Matt Hensley, le bassiste Nathen Maxwell, le batteur George Schwindt, et le joueur de mandoline Bob Schmidt.

Flogging Molly a sorti son premier album « Swagger » en mars 2000 chez Side One Dummy, suivi deux ans plus tard de « Drunken Lullabies ». Créant des hymnes joyeux faits pour lever sa pinte de Guinness. Flogging Molly a continué les tournées puis a lancé sa croisière annuelle Salty Dog Cruise, qui prend la mer chaque année à la Saint Patrick.

Ouverture des ventes le vendredi 26 Octobre à 10h ICI

Bonjour et bienvenue pour une nouvelle chronique concert ! Aujourd’hui on va parler de la venue de Carpenter Brut à File7 à Magny le Hongre !

La soirée débuta donc par GosT, un One Man Band  originaire du Michigan, où il est bassiste, machiniste et chanteur. Ce dernier est très attiré par le Metal Extrême et la Dark Synthwave ! A ne pas confondre donc avec le groupe suédois de Hard Rock Ghost ! Imaginez donc un Perturbator (qui est d’ailleurs sur le même label) dopé par les films d’horreur, l’EBM, l’Hardcore et le Black Metal ; et là vous pourrez sentir le phénomène qu’est GosT !

Comme pour Carpenter Brut, l’homme qui nous est apparu voilé, s’inspire de quelques visuels sataniques mais pousse encore plus loin le concept, avec sur scène un crâne et des pentacles, des samples de messages parlant de rituels sataniques pendant les musiques… Bref nous voilà dans un univers bien sombre, qu’il soit musical ou visuel. Car l’esthétisme est assez haut, GosT est habillé tel une apparition fantomatique et semble possédé  par la musique (et qui ne l’était pas dans la salle). Après un show très intense de 45 minutes, l’homme s’éclipsera sans un mot dans la pénombre (mais avec un salut pour la foule).

 

 

 

 

 

 

Après une courte pause de nos programmes, il était temps d’accueillir la formation live de Carpenter Brut : Franck Hueso, alias Carpenter Brut, Adrien Grousset et Florent Marcadet. Il ne fallut que peu de temps au trio avant d’enflammer la fosse déjà bien échauffée avec Leather Teeth, le titre éponyme de leur dernier disque. Très vite j’ai senti que le groupe allait jouer la même setlist qu’à L’Olympia en mars dernier. Mais les voir évoluer dans une petite salle m’a bien surpris ; tout était plus intense (les jets de fumée à moins de deux mètres ça surprend). La foule dansait, sautait et chantait (lors des rares titres chantés) ; il régnait en Seine et Marne une vraie ambiance électrique ! Le groupe comme à son accoutumée joua donc son répertoire, piochant entre Trilogy et Leather Teeth, le premier album du groupe. On eut même le privilège d’une petite boutade lancée par Franck Hueso : après une courte pause, le claviériste entonna les premières notes de «  Au Clair de la Lune » ; un petit moment décalé bien surprenant et contrastant avec l’ambiance qui régnait jusqu’alors.  Mais cela n’empêcha pas ses camarades de reprendre la suite du show, une fois ce moment « d’égarement » passé.

Après une heure de show, une seconde pause se fit et Carpenter, décida de voler le chapeau rose brillant d’un des spectateurs pour dire que oui c’était le moment : le disco allait briller ce soir ! Et c’est donc tout logiquement que leur reprise de Maniac pointa le bout de son nez !

Et arriva ce qui devait arriver, la conclusion de cette soirée… Comme à son habitude le groupe avait su sublimer en Live son répertoire avec ses traditionnels extraits vidéos et leurs prestances scéniques devan un File7 complet!

Malheureusement, voir le groupe évoluer lors de la même tournée ne nous apporte pas trop de surprises ; en effet seulement la salle et la foule changent entre les concerts (bon après vu leur répertoire actuel c’est un peu normal). Mais cela n’enleva en rien mon plaisir de les revoir !

 

Réalisation Report & Photos: © 2018 Gauvain GAGGINI