Chronique par Alicia FIORUCCI
Après un premier EP sorti en 2018 les Dirty Dogz du Havre, d’ailleurs sur la pochette on peut y reconnaître son port en guise de clin d’oeil, nous livrent en mars 2020 leur premier album intitulé «Wheels on Fire» .
Entièrement articulé autour de compositions aux doux noms, au hasard, de «New Bitch», «Pussy Wet», «Girls in The Night» ou encore «Rock n Roll» nous savons ce que nous allons entendre.
Je vous le donne en mille, les Dirty Dogz ne font pas dans la dentelle et tant mieux car leur musique se situe entre celle d’AC/DC, Airbourne ou encore par endroit Motörhead. C’est franc, direct, on va droit au but. Ça martèle, ça cisaille, ça bûcheronne en d’autres termes, ça envoie du bois comme on dit, et les chansons sont toutes plus accrocheuses les unes que les autres.
Dans la pure lignée du hard rock australien Simon Femel (voix/guitare), Cyrille Crastes (guitare), Benji (basse) et Taz (batterie) perpétuent cette tradition. On sort de l’Australie mais on peut aussi penser au groupe de l’Ohio, American Dog à l’écoute de ces chiens havrais.
Si vous ne connaissez pas encore ce groupe, allez le découvrir de toute urgence, c’est un conseil d’amie, et vous ne le regretterez pas !
Alicia FIORUCCI