Red Beans & Pepper Sauce sera en concert à Paris « La Boule Noire » le 30 janvier 2020

“Jessyka Aké dégage une telle grâce et le groupe une telle force (…) Restons calmes : voici le disque de l’année.” Rock & Folk
Red Beans & Pepper Sauce présente « Mechanic Marmalade », un nouvel opus nerveux où se mélangent l’héritage des classiques du rock de Led Zep à Deep Purple avec cette volonté de mixer les influences propres à la nouvelle vague des Gary Clark Jr, Rival Sons ou Black Keys.

Une production impeccable entre Heavy Blues et Classic Rock où les sonorités de guitare, qui rappellent Hendrix, Page ou Bonamassa, entourent brillamment la voix puissante et sensuelle de Jessyka Aké. Ça cogne, c’est sexy, ça sent le bourbon et la sueur sans oublier ce « quelque chose » de lourd qui vibre sous le capot et sonne comme un appel à prendre la route.
Et comme toujours avec le combo sudiste, un zeste funky vient épicer cette confiture maison diablement addictive.
Des musiciens solides et énergiques à voir sur scène absolument !!

Retrouvez l’interview de Red Beans & Pepper Sauce ICI

Le 20 mars 2020 Lucifer sortira son troisième album intitulé « Lucifer III » via Century Media Records.

Le premier titre et les préventes seront disponibles le 24 janvier 2020.

Les suédois donneront 2 concerts en France,  le 13 mai 2020 à Paris « Petit Bain » et le lendemain à Strasbourg « La Laiterie ».

L’artwork est l’œuvre de Graham Humphreys.
« Lucifer III » tracklisting :
I. Ghosts
II. Midnight Phantom
III. Leather Demon
IV. Lucifer
V. Pacific Blues
VI. Coffin Fever
VII. Flanked By Snakes
VIII. Stay Astray
IX. Cemetery Eyes

La salle du « Forum » de Vauréal vient d’annoncer la programmation du premier trimestre 2020, avec une affiche diversifiée, ou tous les genres sont représentés.

Le Forum organise une soirée d’ouverture de saison avec le concert de Harvest Blues Band le 11 janvier. C’est l’occasion de venir découvrir la programmation riche en styles musicaux et en événements tels que Wet Sounds, le concert en piscine le 25 janvier et le marché Vintage et Rock’n’Roll le 1er février 2020 !

Tous les billets sont disponibles à l’achat dès maintenant !

Vendredi 10 janvier 2020 : Kinga Glyk + 112 Brass Band

A 19 ans, Kinga Glyk s’est déjà produit à l’occasion de plus de 100 concerts, en Pologne et dans le monde, avec les meilleurs musiciens de la scène musicale polonaise.
Malgré son jeune âge, Kinga a déjà joué avec de très grands musiciens, notamment Junior Robinson, Bernard Maseli, Ruth Waldron, Natalia Niemen, Jorgos Skolias, Apostolis Anthimos, Leszek Winder, Paweł Tomaszewski, Grzegorz Kapolka, Joachim Mencel, Arek Skolik, Mateusz Otremba (Mate.o), Marek Dykta, and Piotr Wyleżoł.
Aujourd’hui Kinga Glyk est considérée dans son pays comme la meilleure bassiste de sa génération, une étoile montante du jazz et du blues.
On peut entendre sur « Registration » les compositions de Kinga, ainsi que des reprises d’autres compositeurs magnifiées par ses arrangements. Elle reprend notamment « Gotta Serve Somebody » de Bob Dylan, avec Jorgos Skolias au chant, ainsi que le titre « Dolaniedola » de Czeslaw Niemen. L’album entier est sublimé par la pulsation gracieuse de sa basse.

En juin 2016, la vidéo de sa reprise de « Tears in Heaven » d’Eric Clapton sur le portail Facebook de Bass Player United atteint plus de 20 000 000 de vues.

Un fond de Funk, une bonne dose de Hip-Hop, une pincée de Jazz, 112 Brass Band développe un groove urbain servi par un MC, des cuivres et une rythmique en chair et en os !
Ce groupe réunit sur scène l’énergie des Brass Bands de la Nouvelle-Orleans et un son Hip-Hop organique, dans la veine de The Roots, du Youngblood Brass Band ou des Soul Rebels. Les 7 musiciens issus de familles musicales diverses (Funk, Jazz, Hip Hop, Soul, Pop) mixent leurs expériences dans ce nouveau projet haut en couleurs.

Vendredi 24 janvier 2020 : Omer Perry & The Soulnation Band

Omar Perry, né à Kingston – Jamaïque en 1968, a eu le privilège d’avoir comme père le légendaire Lee « Scratch » Perry. Il grandit en fréquentant les plus grands artistes de l’avènement du Reggae qui ont pu profiter du génie de Lee Perry lors d’enregistrements dans le studio « Black Ark » : Max Romeo, Junior Murvin, Bob Marley et les Wailers. Alors qu’il participe à une tournée d’Horace Andy en 2005, Omar rencontre Guillaume « Stepper » Briard, musicien de talent et producteur, lequel voit en Omar le potentiel de la nouvelle génération. Ils décident de travailler ensemble à la production de son premier album « Man free » sorti en 2007 et s’en suivront « Can’t Stop Us » en 2009 – « The Journey » en 2011 et « Be Cool » en 2014.

Après plus d’une décennie à parcourir les scènes d’Europe avec une énergie rare et travaillant aux côtés des plus grands dont son père, Lee ‘Scratch’ Perry, Omar Perry signe en 2018 son grand retour avec un nouvel album intitulé « New Dawn ». Pour ce nouvel opus, fruit de la rencontre avec un jeune compositeur français Jonas ‘Koffi’ Gouraud, Omar a pris un chemin différent, avec des rythmes et des paroles plus Roots que jamais. Cet album singulier est à la fois spirituel, indocile et authentique. Plusieurs clips et singles sont d’ores et déjà disponibles : « Living Legend [Jah Live] » et « Sound The trumpet Feat. Dub Inc ». L’album est sorti le 25 mai 2018 . Pour défendre cet opus, retrouvez Omar Perry sur scène, accompagné de ses musiciens du Soulnation Band !

Samedi 1er février 2020 : Washington Dead Cats

Du punk/rockabilly, les Washington Dead Cats savent le manier avec ténacité et ce depuis toujours. Chaque morceau de leur set est une énergie débordante de rock’n’roll. Ils présentent leur dernier album « Attack of the giant purple lobsters ».
L’album le plus sauvage qu’ils aient écrit depuis leurs débuts, associant avec rage et tension punk, rockabilly, garage, surf, country, folk, plusieurs style pour un seul genre,  » un rock’n’roll survolté « . Lors de la dernière tournée (150 dates en 2016/2017 en Europe), les Wash n’ont pas dérogé à leur réputation de groupe de scène en mettant tout le monde d’accord sur l’efficacité de leurs prestations.

Vendredi 28 février 2020 : Sly Johnson + Anastasia

Présent depuis 20 ans sur la scène française, Sly Johnson cumule désormais un parcours riche dans le paysage musical, notamment avec une Victoire de la Musique et deux disques d’or avec le Saïan Supa Crew. Sur scène, il associe ses machines à la chaleur et au son organique du clavier, des guitares, de la basse et de la batterie. S’échappe alors un groove abrasif, une musique riche au carrefour du hip-hop et du funk! Sly Johnson, grand habitué de la scène, embarque avec une extrême générosité les spectateurs dans son univers musical, une performance irrésistible!

Créature sensible au caractère soul, son nouvel album habille la chanson française d’une matière à climat. Anastasia n’appartient pas à une école mais à une trajectoire. Enfant des années 80, elle joue avec les stigmates d’une génération, celle qui a digéré le hip hop et qui a frissonné avec la chanson à texte. Elle nous livre un nouvel album « Aqua Toffana » distillé aux saveurs douces amères de ses humeurs évanescentes, des colères et de l’éclat. Chaque titre apporte sa pierre à l’édifice grâce à sa couleur, son humeur et ses collaborateurs, Batlik, Alexis HK, Lautrec …

Samedi 29 février 2020 : Anvil

Bien sûr, il y a des groupes qui ont obtenu de meilleures positions dans les charts, vendu plus d’albums et rempli de plus grandes salles qu’Anvil.
Pourtant, rares sont les groupes de metal qui méritent autant de respect de la part de leurs collègues que le chanteur / guitariste canadien Steve ‘Lips’ Kudlow et le batteur Robb Reiner.
Parmi les aficionados les plus renommés d’Anvil, on compte notamment des stars internationales telles que Metallica et le regretté Lemmy of Motörhead, qui ont exprimé leur admiration sans réserve à maintes reprises.

Les raisons de ce respect évident sont évidentes: Anvil est depuis 1978 l’incarnation d’un groupe de heavy metal passionné, qui refuse de se laisser détourner de son chemin par des revers, des conditions défavorables et des incohérences du côté des affaires. Leur nouvel album, « Legal At Last », qui sera disponible 15 jours avant leur concert au « Forum » de Vauréal, prouve leur endurance impressionnante: jamais Anvil n’avait paru aussi diversifié, déterminé et inspirant.

Vendredi 06 mars 2020 : Lofofora + Ratamahatta

25 ans… Voilà donc vingt-cinq ans que Lofofora essaime, créé, expérimente ce composé de métal-punk aux embruns groove et doté de conscience. Un quart de siècle, depuis sa naissance, que Lofofora parle à nos ventres rock et nos âmes citoyennes ; vingt cinq ans qu’ils dézinguent une à une les aberrations de cette époque et les absurdités d’un monde dans lequel ils tiennent le cap de l’alternative. Deux décennies et demi de résistance, qui relèvent autant de la vocation musicale que de la certitude idéologique. Véritable phoenix de la rage, Lofofora persiste et signe pour ce qu’il faut considérer comme un sacerdoce, une mission : maintenir l’idée que l’art – et la musique au premier rang  – est, et doit rester, le miroir d’un monde et de ses sociétés.
Venez découvrir en live leur nouvel album « Vanités » qui est sorti le 8 novembre 2019 !

Formé en 1995 dans le 95, Ratamahatta est un groupe de fusion Hardcore/Rap/métal Tourné vers la scène.
Formé de six membres (batteur ; guitariste x2 ; bassiste ; chanteur x2) Ratamahatta se caractérise par une grosse énergie scénique. Alternance de passages rap scandés et de cris fédérateurs, les concerts trouvent toujours leur public, et ce depuis plus de20 ans… Après un break d’un an et demi Ratamahatta se reforme timidement autour du noyau dur guitariste/batteur/chant mais c’est la mort du batteur qui redonnera envie à ses anciens membres de reprendre le flambeau.
Depuis 2013, armé d’un nouveau batteur redoutable, Ratamahatta renaît de ses cendres, produisant un EP (« RATA4LIFE ») et tournant dans la région et ailleurs, toujours prêts à foutre le feu aux planches.

Vendredi 13 mars 2020 : 3 Pats For A Guitar Night

Le Forum fête la Saint Patrick avant l’heure !
Pat O’May
, Pat McManus et Patrick Rondat vous invitent à vous joindre à eux pour une nuit d’exception où le talent, la passion et l’envie de partager avec le public seront au rendez-vous.Les 3 Pats c’est l’histoire d’une amitié de longue date, nouée dans un premier temps autour de la musique et des riffs de guitares, partagée au fil des rencontres, sur différentes scènes, que ce soit en France ou dans différents autres pays. C’est lors d’une de ces rencontres, après avoir passé une soirée autour d’un bon repas et de pas mal de fous rires que l’idée fut lancée. La bonne humeur et l’humour en porte drapeau, les 3 Patrick se sont mués en 3 Pats avec pour objectif une escapade de quelques dates ensemble pour leur plus grand plaisir et pour le nôtre.

Samedi 21 mars 2020 : Waxx + Isia Marie

Benjamin Hekimian aka « Waxx » est de ceux qui ont plusieurs cordes à leur arc : musicien et producteur entre autres, il exerce autant dans le genre métal que dans le rap et la pop.Après avoir participé à la production d’albums de nombreux artistes comme Ben l’Oncle Soul, LEJ, Pomme ou encore Georgio, c’est avec « Le Comité des reprises », en collaboration avec PV NOVA et diffusé sur Canal +, que Waxx se fait connaître du grand public. Il cumule alors des dizaines de millions de vues sur sa chaîne Youtube et attire l’attention d’artistes de renommée mondiale comme Linkin Park ou Jared Leto par exemple avec qui, il collabore sur scène.

Aujourd’hui, Waxx sort son premier album. Un album teinté de grunge, de trap, entre Nirvana et Post Malone, une croisée des genres vintage et moderne résolument singulière.

Dans le shaker de Isïa Marie, les esthétiques s’entrechoquent entre chanson, rap, et électro. Son style ne ressemble à rien de connu et c’est tant mieux! Agée de 25 ans, elle chante, joue de la guitare électrique, écrit et compose ses morceaux.Isïa Marie est une artiste de scène. La guitariste /chanteuse est épaulée en concert par ses deux musiciens (claviers et batterie) et on a pu la retrouver sur les scènes de l’Alhambra , du Café de La Danse, du Trianon, du Divan du Monde ou en premières parties de Pony Pony Run Run, La Femme, Nina Hagen, David Hallyday ou Rover.. ou encore l’été 2018 au Festival Pause Guitare.

Dimanche 22 mars 2020 : Myrath + Eleine

Myrath (de l’arabe ميراث signifiant « héritage ») est un groupe Tunisien de Metal oriental formé en 2007.
La Tunisie est un pays très connu pour ses sites touristiques mais beaucoup moins pour ses groupes de Metal.
En quelques années le groupe a réussi le pari de s’imposer de manière solide sur la scène Metal mondiale.
Influencés en début de carrière par des groupes de prestige comme Dream Theater, Symphony X, Angra etc.. c’est à l’arrivée de Kevin Codfert (Adagio) en tant que producteur du groupe que Myrath a définitivement trouvé une identité unique, proposant une musique très inspirée par le folklore arabo-tunisien.

Vendredi 27 mars 2020 : Les Wampas + Johnny Montreuil

Avec leur nouvel album « Sauvre le Monde » sorti le 18 octobre 2019, Les Wampas vont sauver donc le monde, mais à leur manière.
« En ce début de 21e siècle, Syd Vicious dirige les Etats-Unis et manifestement, in the UK, c’est l’anarchy. Le climat se réchauffe, les pingouins transpirent, l’Amazonie est en flammes, le prix du beurre augmente et, en plus, il fond – justement à cause du réchauffement climatique. Heureusement Les Wampas vont sauver le monde ! Il fallait que quelqu’un s’en occupe. C’est eux.

Rien que le nom ! Ca sent le Pento, la feraille, la mob et la goldo, le cuir et le baston.
Johnny Montreuil chante et incarne une banlieue toute pourrie mais si jolie ! Une banlieue bigarrée, peuplée de gens pas rancuniers qui se moquent d’être ostracisés au quotidien et se contrecarrent des modes passagères, puisqu’inmanquablement, depuis le Musette créé par l’alliance ritalo-auvergnate, les métèques de l’époque, et kiffé par d’infréquentables Apaches, ce sont finalement toujours d’insouciants narvalos décavés et métissés à la Johnny Montreuil qui représentent aux yeux du Monde ce foutu chouette pays de joyeux batards qu’on nomme la France.

Mardi 14 avril 2020 : Loudness + Grey Attack + Harsh

Depuis leur création en 1981, Loudness a dominé la scène heavy metal japonaise et a conquis le monde avec « Thunder In The East » et « Lightning Strikes ».
Après plusieurs années sans passer par la France, ils seront au Forum de Vauréal pour une date unique en France !
« Rise The Glory », leur dernier album sorti début 2018, est pour le chanteur Minoru Niihara : « Un album fait un bien fou, avec un effet raffraichissant”. Le génie de la guitare Akira Takasaki acclamé dans le monde comme un vrai Guitar Hero, est très mis en avant sur l’album. Sa performance va surprendre plus d’un fan! En plus des solos, il y a d’incroyables parties de guitare sur le titre instrumental, montrant une facette plus progressive du groupe.

De retour au Forum après avoir fait la 1ère partie d’Inglorious en Février 2019, Harsh c’est LE groupe de Glam parisien ! Des riffs de guitares tranchants, une batterie cassante qui vous retournerait l’estomac !

Samedi 16 mai 2020 : Ange + Mira Cétii

Un demi-siècle de passion pour le plus ancien groupe français en activité. L’occasion unique de parcourir les meilleurs instants d’une carrière hors du commun.
Pionnier intarissable sur le terrain de jeux du rock progressif, cette légende vivante séduit, provoque, étonne un public fidèle par sa générosité et son lyrisme atypique.
Ange invente ce que beaucoup n’osent pas en incarnant l’audace, la joie communicative à explorer l’inconnu. Un gage d’éternité…
Pour la 4ème fois, retrouvez Ange au Forum de Vauréal !

Mira Cétii, c’est Aurore Reichert. Elle est auteur, compositeur et interprète depuis ses 15 ans. Mira Cétii mature dans l’ombre depuis longtemps déjà. Mais c’est fin 2014, après avoir été repérée par Emilie Simon pour faire sa 1ère partie à la Laiterie, qu’elle prend chair puisque Aurore, encouragée, décide de lancer son projet sérieusement. Son 1er EP est aussi le 1er volet d’une trilogie nommée «Ce que les étoiles commettent»; elle y dévoile des chansons aux textes tirés à deux épingles, entre le ciel et la terre.

Les canadiens d’Anvil seront de retour en France avec un concert au « Forum » de Vauréal samedi 29 février 2020. Leur nouvel album, intitulé « Legal At Last », sortira le 14 févier via AFM Records.

Bien sûr, il y a des groupes qui ont obtenu de meilleures positions dans les charts, vendu plus d’albums et rempli de plus grandes salles qu’Anvil.
Pourtant, rares sont les groupes de metal qui méritent autant de respect de la part de leurs collègues que le chanteur / guitariste canadien Steve ‘Lips’ Kudlow et le batteur Robb Reiner.

Parmi les aficionados les plus renommés d’Anvil, on compte notamment des stars internationales telles que Metallica et le regretté Lemmy of Motörhead, qui ont exprimé leur admiration sans réserve à maintes reprises.

Les raisons de ce respect évident sont évidentes: Anvil est depuis 1978 l’incarnation d’un groupe de heavy metal passionné, qui refuse de se laisser détourner de son chemin par des revers, des conditions défavorables et des incohérences du côté des affaires. Leur nouvel album, « Legal At Last », qui sera disponible 15 jours avant leur concert au « Forum » de Vauréal, prouve leur endurance impressionnante: jamais Anvil n’avait paru aussi diversifié, déterminé et inspirant.

« Legal At Last » Tracklisting :
01. Legal At Last
02. Nabbed In Nebraska
03. Chemtrails
04. Gasoline
05. I’m Alive
06. Talking To The Wall
07. Glass House
08. Plastic In Paradise
09. Bottom Line
10. Food For The Vulture
11. When All’s Been Said And Done
12. No Time

Lordi sera de retour en France pour 5 dates en février / mars 2020. Le nouvel album intitulé « Killection » sortira le 31 janvier 2020.

Lordi est un groupe finlandais de hard rock et de heavy metal mélodique connu pour ses looks monstrueux.
Formé en 1992 par leur grand leader Mr Lordi (à l’origine de l’environnement visuel, des costumes, mais aussi chanteur), le goupe commence à tourner activement à partir de 2002.

Grâce à leur victoire surprenante au concours Eurovision 2006, Lordi s’est fait connaître bien au-delà des frontières de la communauté des Hard and Heavy.

En 2018 Lordi revenait avec leur album le plus subversif: Sexorcism. Ils annoncent aujourd’hui un 10ème album prévu pour le 31 janvier 2020 « Killection » !

Lordi revient en France au printemps 2020 pour 5 Shows puissants à Paris, Epinal, Nantes, Toulouse et Istres.
Aprés les concerts complets en 2018 à Paris, Angers et Lyon il est grand temps de rendre visite à des nouvelles villes!

Le groupe sera accompagné en premières parties par Aeternitas et Flesh Roxon pour les shows de Istres, Toulouse et Nantes puis Flesh Roxon et Almanac pour les shows de Paris et Epinal.

A découvrir sur la scène de La Machine du Moulin Rouge (Paris), Vendredi 6 Mars 2020 !

En concert en France:

– le 27 février 2020 à Istres – « l’Usine »
– le 2 mars 2020 à Toulouse – « le Bikini »
– le 3 mars 2020 à Nantes -« Warehouse »
– le 5 mars 2020 à Epinal – « Souris Verte »
– le 6 mars 2020 à Paris – « la Machine du Moulin Rouge »

Le premier album de Nova Twins, intitulé « Who Are The Girls », sortira le 31 janvier 2020. Le groupe sera en France pour 11 concerts durant le mois de mars

La basse grondante de Georgia South et le chant acéré d’Amy Love constituent le moteur des Nova Twins. Le duo londonien mélange les basses lourdes, le punk et le rock pour donner vie à ses chansons en refusant de se conformer à la moindre étiquette. Tirant leur inspiration de tous les styles musicaux, avec des groupes comme N.E.R.D., Betty Davis, Jack White, Missy Elliot, Princess Nokia et Rihanna, ces deux amies inséparables captivent des fans de tous âges avec leur approche explosive.

Les Nova Twins possèdent ce cool naturel, non seulement dans leur production musicale, mais aussi dans tout ce qu’elles créent : de leurs propres looks jusqu’à la réalisation de leurs vidéos.

Le groupe défend l’ouverture d’esprit et la diversité par le biais de textes engagés, en se servant de leurs propres expériences quotidiennes pour les transformer en une chose dans laquelle leurs fans peuvent se perdre, ou se retrouver…

Le groupe assure les premières parties de Wolf Alice et de Ho99o9, et prend son envol pour l’international lorsque Prophets Of Rage les invite sur leur tournée européenne. Le duo est également invité en première partie du légendaire groupe Skunk Anansie en Angleterre. S’ensuit une tournée de festivals : l’Open Air Gampel, le Dowload, Boomtown ou encore le Hellfest pour ne citer qu’eux.

Sur scène, le duo offre des performances ravageantes dopées aux riffs et aux lignes de basses de plus en plus lourdes. Leur énergie est contagieuse ; le public est secoué !

Après avoir déjà dévoilé deux premiers singles « Devil’s Face » et « Vortex », Nova Twins finalise actuellement son premier album studio, prévu pour début 2020, avec le légendaire producteur Jim Abbiss (Arctic Monkeys, Kasabian, Adele).

Nova Twins sera en concert le 14 mars 2020 au Nouveau Casino à Paris et en tournée en France avec 11 dates au total !

Les dates de la tournée française :
3 mars 2020 – Lille
4 mars 2020 – Amiens
5 mars 2020 – Reims
6 mars 2020 – Rennes
7 mars 2020 – Nantes
9 mars 2020 – Cenon
10 mars 2020 – Toulouse
11 mars 2020 – Nîmes
12 mars 2020 – Villeurbanne
13 mars 2020 – Strasbourg
14 mars 2020 – Paris

La reine de la basse électrique revient avec un nouveau projet très funk !

A 19 ans, Kinga Glyk s’est déjà produit à l’occasion de plus de 100 concerts, en Pologne et dans le monde, avec les meilleurs musiciens de la scène musicale polonaise.

Malgré son jeune âge, Kinga a déjà joué avec de très grands musiciens, notamment Junior Robinson, Bernard Maseli, Ruth Waldron, Natalia Niemen, Jorgos Skolias, Apostolis Anthimos, Leszek Winder, Paweł Tomaszewski, Grzegorz Kapolka, Joachim Mencel, Arek Skolik, Mateusz Otremba (Mate.o), Marek Dykta, and Piotr Wyleżoł.

Aujourd’hui Kinga Glyk est considérée dans son pays comme la meilleure bassiste de sa génération, une étoile montante du jazz et du blues.

On peut entendre sur « Registration » les compositions de Kinga, ainsi que des reprises d’autres compositeurs magnifiées par ses arrangements. Elle reprend notamment « Gotta Serve Somebody » de Bob Dylan, avec Jorgos Skolias au chant, ainsi que le titre « Dolaniedola » de Czeslaw Niemen. L’album entier est sublimé par la pulsation gracieuse de sa basse.

En juin 2016, la vidéo de sa reprise de « Tears in Heaven » d’Eric Clapton sur le portail Facebook de Bass Player United atteint plus de 20 000 000 de vues.

Je ne chante pas tellement bien, c’est pour ça que je joue de la basse,” explique Kinga Glyk.

Une déclaration étonnement modeste au vu de l’intérêt qu’elle suscite depuis deux ans.
Néanmoins, les mots de la bassiste polonaise résument précisément l’essence de son nouvel album « Feelings ».
Avec une virtuosité et une nonchalance inégalées, elle laisse sa basse raconter des histoires.
Sensible et pénétrante, riche en nuances et en groove, elle provoque des sensations, sait faire vibrer une corde sensible chez ses auditeurs, faire appel à des histoires personnelles, le reflet de la personnalité d’une jeune femme hautement talentueuse.
Elle a aussi le courage d’expérimenter, de tenter des choses inédites et de s’épanouir sans tenir compte des règles.

Quand j’étais enfant, je m’intéressais à la basse car elle me donnait une voix inhabituellement puissante,” se souvient Kinga en évoquant ses débuts d’instrumentiste. “Ses sonorités sont devenues mon propre langage. Grâce à elle, je peux exprimer mes sentiments avec plus d’intensité.” Certes !

Mais son jeu de basse ne consiste pas uniquement à aller plus haut, plus vite ou plus loin. Kinga Glyk ne joue pas pour les musiciens, mais pour les dizaines de milliers d’âmes qu’elle a touché au cours de sa jeune carrière.

Ses histoires révèlent une vision du monde extrêmement ouverte, aimante et bienveillante.

En résumé, les douze titres de son nouvel album sont profondément humains, et c’est ce qui rend Feelings si unique.

En concert :
11.01 – Blois – Les Lobis
20.01 – Paris – New Morning
24.01 – Metz – Chapelle Trinitaires
25.01 – Arles  – Cargo de Nuit

Interview de Cyrille Crastes, guitariste de Dirty Dogz – Décembre 2019

A l’aube de la nouvelle année, il a semblé intéressant de faire le point avec Dirty Dogz, qui a confirmé son potentiel en 2019 avec une montée en puissance remarquée. Et ça n’est pas fini car dès janvier 2020, le quatuor Normand va ouvrir pour les Sales Majestés au « Tetris » du Havre, avant d’enchainer sur une date à Louviers, puis Fismes et le Festival de Béthancourt en Vaux, sans oublier la sortie du 1er album !

Bonjour Cyrille et merci d’accorder cet entretien pour Ride The Sky.

– L’actualité de Dirty Dogz a été riche en 2019, peux-tu nous en résumer les grandes lignes ?

Salut, effectivement l’année 2019 a été très bonne pour le groupe. Nous avons franchi un premier cap. Nous avons passé une semaine d’immersion en studio afin d’y enregistrer 11 titres, qui vont donc constituer notre premier album. L’accueil de nos compositions en live a été au-delà de nos espérances.

Nous avons débuté l’année avec deux dates en compagnie de Overdrivers en Belgique et à la maison, au Havre. Nous avons enchaîné les dates en Normandie et dans les Hauts de France avec en particulier un passage au Red Studio de Douai en compagnie de Spirit, Gang et les Anglais de Chariot. Puis il y a eu la très belle date au « Bully On Rocks » à Bully Les Mines où nous avons ouvert pour Tygers Of Pan Tang, Hardbone et The Burning Crows. Le festival affichait  Sold Out et il faut dire que l’ambiance était des plus chaude, la réaction du public nous a fait chaud au cœur, un excellent souvenir. Nous avons enchaîné la semaine suivante sur la release party des copains de Distillery dans la salle du Tetris au Havre. A l’automne nous avons également ouvert pour Pat McManus band à Honfleur dans la salle du « Batolune », (live report ICI ndr) puis partagé l’affiche avec Les Strasbourgeois de Iron Bastards une fois de plus à la maison, au Havre dans l’antre du Mc Daid’s. En résumé nous sommes très heureux d’avoir eu en quelques mois, la chance de partager des scènes réputées avec des groupes qui nous influencent dans nos compositions comme c’est le cas avec les Allemands de Hardbone au Bully On Rocks.

– Justement à propos de ce 1er album tant attendu, Est-il possible d’en savoir un peu plus ?

Effectivement la sortie de notre album est très attendue, le public nous le réclame à chaque concert. Et nous sommes également très impatient de le sortir. Nous avons donc enregistré durant une semaine complète au Studio L’arcade de Rive en Seine. Nous avons joué Live afin de garder cette dynamique rock n’roll. Comme je te le disais nous avons mis en boite 11 titres que nous avons sélectionné parmi nos compositions en fonction de la réaction du public en concert. Des titres comme « Wheels On Fire », « Fuckin Misery » , « Not Born To Lose » ou « New Bitch » seront bien évidement de la partie. La sortie de l’album est prévue au printemps 2020.  Pour ce qui est du titre de l’album, rien n’est encore validé.

Pour la petite anecdote, nous avons poussé nos vieux Marshall à fond durant cette semaine de studio, et mon vieux JMP 2203 de 1978 à bien failli prendre feu, le transfo à cramé et les lampes étaient à la limite de s’embraser. Autant te dire que le son des guitares sera donc très chaud sur notre opus.

– Vous nous avez habitué à jouer une ou deux reprises en live. Est-ce prévu sur l’album ?

Si en live et pour le fun nous nous amusons à reprendre un ou deux titres de temps en temps, sur notre album il n’y aura que des compositions originales.

– Une version vinyle est-elle prévue ?

C’est une évidence pour nous de sortir notre album au format vinyle. La chaleur du vinyle est incomparable, je peux même te dire que nous allons sortir une édition collector. Il sera également disponible au format CD.

– Comptez vous organiser une release party pour fêter l’évènement ? Si oui, as-tu déjà quelques précision a nous donner ?

Nous travaillons dessus actuellement. Je peux même te donner la date en avant première car celle-ci vient d’être validée. Ce sera le samedi 28 mars 2020 à l’Arcade de Port-Jérôme sur Seine (Notre Dame de Gravenchon 76). Quoi de plus logique que de fêter la sortie de l’album là où nous l’avons enregistré ! Pour fêter ça comme il se doit nous allons inviter nos copains de Distillery.

– Votre meilleur souvenir en 2019 ?

Le meilleur souvenir de cette année 2019 qui s’achève reste notre passage au « Bully On Rocks » le 25 mai. Nous sommes des habitués en tant que spectateur de ce festival Hard classic-rock qui réuni toujours des affiches de haut niveau. Le public de ce festival est réputé comme étant connaisseur, et il faut bien avouer que nous avions la pression. Les retours du public ont été plus que positifs, le stand de merchandising n’a jamais aussi bien fonctionné. Boire une bière backstage avec les mecs de Hardbone et être félicité sur notre prestation, ça reste un putain souvenir.

– Le plus mauvais ?

Pas vraiment de mauvais souvenir. Quelques galères en camion sur la route des concerts, mais on est toujours arrivé dans les temps, et finalement on s’est bien marré.

– Quels sont les projets de Dirty Dogz pour 2020 ?

Pour 2020 il y a la sortie de notre album qui est très importante pour nous tu t’en doutes. Nous avons déjà plusieurs dates de bookées dont des festivals importants dans diverses régions, comme le Festival Rock Plein Air de Béthancourt en Vaux le 29 août. La première date de l’année ne sera pas des moindres car le 25 janvier nous aurons la chance de revenir jouer sur la scène du Tetris au Havre et d’ouvrir pour les Sales Majestés. Nous allons également venir faire un petit tour du côté de Fismes pour la convention Rock n’Metal organisée par Undeground Investigation le 1er mars 2020.

– Si tu devais convaincre un organisateur de mettre Dirty Dogz sur son affiche, quel serait tes principaux arguments ?

Nous jouons du rock n’roll, simple et efficace, le genre de truc qui te fait taper du pied et secouer la tête. Pas vraiment besoin de réfléchir, on est là pour donner du plaisir et en prendre un maximum sur scène. Même si le groupe Dirty Dogz est jeune, nous avons tous une solide expérience de la scène, notamment avec Bloody Rosie Tribute to AC/DC dont nous sommes tous issus.

– On se rend compte que le public a du mal à se déplacer pour découvrir des groupes de compositions, alors qu’il vient en nombre lors des évènements tribute. Comment l’expliques-tu, d’autant que ta démarche de musicien t’amène à jouer dans les 2 genres ?

Effectivement et c’est bien dommage. Pourtant quand je vois sur les réseaux sociaux des commentaires du genre « encore du « Tribute » « pas capable de créer », « juste bon à reprendre la musique des autres », « c’est naz » etc etc. Jouant dans le Tribute to AC/DC Bloody Rosie et également dans Dirty Dogznous composons nos propres titres, je suis quand même bien placé et surpris de voir des salles pleines pour des événements tributes que beaucoup critiquent, et il faut bien le reconnaître, de galérer à faire venir les gens pour découvrir des groupes de compositions et de qualité. Par contre une fois que nous avons réussi à les faire bouger, on est bien content de les revoir de concert en concert, ça c’est positif. Le principale problème c’est la curiosité, on ne sort que si on connaît, bien dommage. Il y a tellement de bons groupes de compositions en France. Il faut juste être curieux, se renseigner sur les groupes qui composent et qui jouent le bon vieux rock n’roll avec les tripes.

– Quel serait le rêve ultime pour Dirty Dogz ?

Jouer au HELLFEST rien que ça…. ( rire)

– Qu’écoutes-tu en ce moment ?

Je suis assez restrictif sur mes goûts musicaux, je l’avoue, ça va du classic-rock au hard rock, et dans ce créneau il y un paquet de groupe talentueux. Je suis curieux, je cherche en permanence à découvrir de nouveaux groupes. Mon dernier coup de cœur c’est un groupe Australien Dirty Honey. Chez les kangourou il y a aussi The Lazys qui promet du lourd.  Dans un style un peu différent, plus 70’s, j’accroche beaucoup sur Rival Sons, et puis il n’y a pas une semaine qui se passe sans que je n’écoute un bon vieux AC/DC, ça reste la référence ultime.

– Un dernier mot pour Ride Th Sky ?

Continuez de venir en concerts, de découvrir de nouveaux groupes et d’en parler autour de vous quand vous avez un coup de cœur. Merci à Ride The Sky qui nous soutien depuis le début. Rock n’roll never die.

Merci pour ta disponibilité, et pour les scoops, qui j’en suis certain, raviront les lecteurs !

Propos recueillis par Alain Boucly

Photos © 2019 Alain Boucly

Entretien avec David Bour, chanteur / bassiste d’Iron Bastards.

Bonjour David, je te remercie pour ta disponibilité afin de détailler le parcours d’Iron Bastards depuis sa création !

– Peux-tu nous faire un petit historique du groupe?

Iron Bastards est un trio Strasbourgeois actif depuis 2013. En 6 ans nous avons sorti 3 albums : « Boogie Woogie Violence » en 2015, « Fast & Dangerous » en 2016 et « Cobra Cadabra » en avril 2019, ainsi qu’un album live enregistré à Londres fin 2017 intitulé « Keep it Fast ! ». Autour de cette production discographique nous avons enchaîné près de 300 concerts dans 12 pays, dont des festivals comme le Hellfest Open Air, le Sylak, le Metal Frenzy, le Rock am Stück et des premières parties de Nashville Pussy, Phil Campbell, Soulfly, Sodom, Overkill, Ultra Vomit

– A ce jour, quels sont les musiciens d’Iron Bastards?

David Semler, 27 ans, à la guitare, Anthony Meyer, 27 ans, à la batterie et moi-même, David Bour, 29 ans, à la basse et au chant. Nous avons le même line-up depuis nos débuts.

 – Vous dites jouer du « Fast Rock’n Roll ». Peux-tu expliquer ce que ça signifie ?

Que nous jouons du Rock’n’roll et que nous l’exécutons rapidement !

 – Si vous deviez définir le style de vos compositions, quel serait il ?

Un croisement de plusieurs registres de musiques électriques, du Rock, du Hard Rock, du Heavy Meral, du Blues… Avec l’envie d’écrire des bonnes chansons, que l’on écoute et réécoute, sur disque ou en concert.

 – Motörhead semble avoir fortement influencé votre musique. Vous le revendiquez ?

Comment pourrait-il en être autrement ? Avant la création d’Iron Bastards, nous avons été un coverband du trio Britannique pendant un an. Motörhead a été la raison, le point commun, qui nous a amené à jouer ensemble. Lorsque nous sommes passés à la composition, nous avons conservé la formule du trio jouant vite avec un son lourd, mais nous l’avons très largement enrichie depuis. Suffisamment pour trouver la comparaison avec Motörhead vraie, compréhensible, mais très réductrice. Connaissant bien le groupe, je ne vois pas d’équivalent à « Cobra Cadabra » dans la bande à Lemmy.

 – Quelles sont vos autres influences ?

Je pourrais te citer pas mal de groupes : Deep Purple, Thin Lizzy, AC/DC, Black Sabbath, qui sont des références communes. Dans quelle mesure est-ce que cela influence notre musique ? Je ne saurais te le dire, nous ne composons pas des chansons dans le but d’établir un équilibre entre nos différentes influences mais dans celui d’écrire des bons titres.

 – Quel est ton album préféré de Motörhead et pourquoi ?

« Overkill » & « Motörizer », qui correspondent à deux époques du groupe, que ça soit musicalement, en ce qui concerne le line-up ou la production. Dans les deux cas, ces albums représentent la quintessence de Motörhead à un moment M. Un groupe en état de grâce, un songwriting affiné et des titres qui s’enchaînent à merveille sans chanson en dessous des autres.

– Vous êtes à présent reconnus sur la scène internationale, notamment grâce à de nombreux concerts effectués au Royaume Uni. Comment avez vous saisi cette opportunité et parles nous un peu de cette expérience ?

Nous n’avons pas saisi d’opportunité, nous l’avons créée : en septembre 2017 nous sommes partis trois mois en Grande-Bretagne. Nous avions un appartement à Southend-On-Sea, 1h au Sud de Londres, quelques concerts prévus et l’envie de découvrir ce pays dont sont issues l’essentiel de nos références. Au final nous y avons effectué une quarantaine de shows, aux quatre coins de l’Angleterre, en Écosse et au Pays de Galles. Le public a été réceptif à notre style et ce n’est pas pour rien que nous sommes retournés y tourner en avril 2018. De plus les lieux pour jouer sont tous bien équipés, du pub perdu en banlieue de Birmingham aux clubs de Glasgow. Mais les conditions ne sont pas évidentes, c’est mal payé et tu dois t’occuper toi-même de trouver un hébergement et tu n’as généralement ni repas ni boissons. Je vais un peu extrapoler en te disant que le pays n’a pas la tête au Rock’n’roll et ça se sent. Et là où tu trouves le plus de public c’est devant les coverbands. C’est triste mais je pense que ça reviendra. En tout cas cette expérience a été aussi marquante qu’intéressante : nous avons réussi à nous supporter pendant trois mois en vivant en quasi continu ensemble, ce qui n’est quand même pas rien ! Le rythme qui nous était imposé nous a fait progresser en tant que musiciens, que ça soit sur la pratique ou sur le professionnalisme, et surtout : on s’est bien fendu la gueule !

– Votre dernier album « Cobre Cadabra » est disponible de puis le 4 avril 2019. Peux-tu détailler sa conception et son contenu ?

Nous nous sommes attelés à la composition de ce nouvel album à notre retour d’Angleterre, en janvier 2018. Nous avions quelques titres déjà en chantier et une motivation de fer. Du coup nous avons vite avancé sur cet album, se payant même le luxe d’essayer quelques titres en live à partir du printemps. Nous voulions que cet album achève la mutation entamée avec « Fast & Dangerous » : du rock tournant autour de cette formule, le trio jouant vite et bruyamment, agrémenté d’influences diverses, plus de nuances et de variations au sein des chansons et un album cohérent qui « raconte » quelque-chose. La composition s’est achevée au milieu de l’été et nous sommes entrés en studio avec notre ami Harold Feuerstoss pour la partie technique et notre ami Samuel Lichawski au son comme depuis nos débuts. Fin septembre, l’album était terminé et mixé. Durant ce laps de temps, notre ami Vincent Vincent, tatoueur réputé qui joue également de l’harmonica sur l’album, s’est occupé de peaufiner cette magnifique pochette. Et nous avons décidé de repartir avec le label Hell Prod pour la sortie de cet album qui a eu lieu le 04 avril dernier.

– As-tu 1 (ou 2) argument(s) imparable (s) pour nous convaincre de l’acheter ?

Je vais laisser la parole à d’autres :
« Une cure de jouvence, un moment de rock’n’roll rare » – Sons of Metal

« C’est tout l’art d’Iron Bastards que celui de non seulement assumer ses influences mais d’avoir sa propre personnalité « . – Soil Chronicles, 09/10

 – Le meilleur souvenir de tournée ?

Notre concert au Hellfest en 2017, un des grands moments de notre carrière. C’était quand même quelque-chose pour nous de jouer devant autant de monde, d’autant que ça s’est particulièrement bien passé. La première partie de Phil Campbell sur une péniche à Nancy, 4 jours après. Nos deux shows au Metal Frenzy en Allemagne, où nous avons reçu un accueil phénoménal à chaque fois. Les 3 Bastards Fest que nous avons organisé dans notre coin. Les bons souvenirs, ce n’est pas ce qui manque !

 – Et la plus grosse galère ?

Impossible de ne pas évoquer notre tournée Polonaise de septembre 2015, qui s’est achevée par le vol de notre camionnette contenant tout notre matériel. Les 20h de bus pour rentrer de Cracovie à Strasbourg ont été très longues, mais adoucies par le soutien qui nous est parvenu de France qui nous a permis de remonter sur scène dès le vendredi qui a suivi. Puis cette mésaventure qui nous est arrivée en Croatie cet été où arrivé à la frontière, l’un de nous s’est rendu compte qu’il n’avait pas sa carte d’identité. On a pioché parmi les mauvaises idées qui nous sont venues : deux d’entre nous ont traversé la frontière entre la Slovénie et la Croatie à pied par un petit chemin de forêt pendant que les autres passaient la douane avant de nous retrouver de l’autre côté. Et rebelote au retour ! Une mésaventure qui s’est donc transformée en fabuleuse anecdote.

– Quel souvenir gardez-vous de la date avec Dirty Dogz au Havre il y a un peu plus d’un   mois ?

Un très bon souvenir, le public était réceptif et nous avons eu le plaisir de découvrir Dirty Dogz, un très bon groupe et des gars au top. On a enchaîné sur une date en Belgique le lendemain qui était particulièrement cool, ça nous a donné un très bon weekend !

– Qu’écoutes-tu en ce moment ?

Je me refais l’album « From Mars to Sirius » de Gojira que j’avais découvert à sa sortie et qui continue à me faire le même effet de dingue. Sinon en vrac pour les derniers temps : King Gizzard & the Lizard Wizard, All Them Witches, Municipal Waste, Midnight ou encore Insanity Alert.

Pouvez vous nous en dire plus sur vos projets à court, moyen ou long terme ?

On a eu une très grosse année avec la sortie de ce nouvel album que l’on va continuer à faire connaître par le biais de concerts et de festivals qui se profilent pour 2020. On fonctionne en DIY, donc on est assez libres de faire ce qui nous chante, et il est probable que l’année qui arrive nous la passions à travailler de nouveaux titres !

– Un dernier mot pour Ride The Sky ?

Un grand merci pour ces questions qui m’ont permis d’en dire plus sur Iron Bastards et ce nouvel album dont nous sommes particulièrement fiers. Big up à vous, merci pour le soutien et à bientôt !

Je te remercie pour ta patience, et vous souhaite le meilleur pour la suite !

Photos @ 2019 Alain Boucly – Le Havre « Mc Daid’s » 01 novembre 2019

Revolution Saints, groupe composé de Deen Castronovo (Journey, Bad English), Doug Aldrich (The Dead Daisies, Whitesnake, Dio, Glenn Hughes), et Jack Blades (Night Ranger, Damn Yankees), va sortir son troisième album studio, « Rise » , le 24 janvier 2020 via Frontiers Music Srl.

Le label a publié le premier album éponyme du groupe, qui comprenait les apparitions des membres de Journey Arnel Pineda et Neal Schon, en 2015.
En 2017, le groupe a fait ses débuts live (et à ce jour, leur seul concert) à Milan, en Italie, au Frontiers Rock Festival IV. Plus tard cette année-là, ils lancent leur deuxième album, « Light In The Dark« , qui – comme leur premier album – a été produit par Alessandro Del Vecchio (Hardline, Jorn). La majeure partie de l’album a été enregistrée dans les studios de Del Vecchio à Somma Lombardo, en Italie, avec des enregistrements supplémentaires dans le studio de Blades à Washington, le studio d’Aldrich à CasaDala à Los Angeles et dans d’autres pays du monde entier, tandis qu’Aldrich était en tournée avec The Dead Daisies.
La production a été supervisée par  Alessandro Del Vecchio, le processus d’enregistrement s’est déroulé à Milan et dans les propres studios de Doug et Jack en Californie et à Seattle. L’écriture des chansons a été confiée à Del Vecchio, Aldrich et Blades, avec les contributions de Dan Rossall, un autre artiste de Frontiers. La ballade poignante « Eyes Of A Child » a été écrite par Jack Blades et Tommy Shaw.

Track Listing :
01. When The Heartache Has Gone
02. Price To Pay
03. Rise
04. Coming Home
05. Closer
06. Higher
07. Talk To Me
08. It’s Not The End (It’s Just The Beginning)
09. Million Miles
10. Win Or Lose
11. Eyes Of A Child

Line Up :
Deen Castronovo (batterie,chnat)
Doug Aldrich (guitares)
Jack Blades (basse,chant)

Featuring:
Alessandro Del Vecchio: keyboards, backing vocals,
Lunakaire: guest vocals on “Talk to Me »
Produced by Alessandro Del Vecchio