On ne présente plus le festival Rock Fest Barcelona. Après une programmation époustouflante l’année dernière avec des concerts de qualitéIron Maiden, King Diamond, Slayer et Twisted Sister, les organisateurs dressent encore la barre plus haut en invitant Aerosmith, Deep Purple, Europe, Queensrÿche et Avantasia qui sont les têtes d’affiche de l’édition 2017. Running Wild, Dirkschneider l’ancien « frontman » d’ACCEPT vous donnent rendez-vous, ainsi que Hammerfall, Emperor, Abbath, Paradise Lost et une palette de groupes qui défrichent l’univers Rock/Hard Rock. Rock Fest Barcelona prend de l’ampleur et monte pour devenir davantage une messe incontournable des rockers.

Blondie : Le retour de l’icône Pop Punk

Publié : 1 février 2017 par Alain B. dans Musique, News
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Produit par John Congleton (St. Vincent, David Byrne) et co-écrit avec Johnny Marr (The Smiths), Sia, Dev Hynes (Blood Orange), Charli XCX, Dave Sitek (TV On The Radio) et Nick Valensi (The Strokes), Blondie illumine 2017 avec « Pollinator », son nouvel et 11ème album à paraître le 5 mai prochain.

Enregistré au célèbre studio new-yorkais The Magic Shop, ce nouvel opus marque le retour des auteurs-compositeurs légendaires Debbie Harry et Chris Stein, et sonne déjà comme un classique du groupe, entre sonorités modernes et influences rétro.

Le 1er single « Fun », co-écrit avec Dave Sitek, dévoile la facette post-punk new-yorkaise de Blondie : une combinaison unique de pure joie mélodique et de cool assumé.

Le groupe au 40 million de disques vendus et au nombre incalculable de prix et de récompenses (dont le prix du « Génie Divin » à la cérémonie du New Musical Express en 2014) annonce un retour stupéfiant qui ne manquera pas de toucher ses fans de la première heure !

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Disponible en précommande : ICI

Le nouveau single « Fun » est disponible en digital ICI

« Fun » en écoute : ICI

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Le nouvel album « All These Countless Nights » est disponible de puis le 27 janvier 2017.

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Regardez le clip de « Trigger » ICI

Regardez la version acoustique de « Trigger » ICI

Regardez le clip de « Sting » ICI

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Deaf Havana sera en concert le 23 mars 2017 @ Paris / Backstage by The Mill

Locations ICI

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Formé en 2005 en Angleterre, Deaf Havana est sur le point de réaliser son 5ème album studio intitulé « All These Countless Nights », un événement que les musiciens avaient annoncé en août dernier, lors de leurs passages aux festivals de Reading et Leeds. Si durant les trois premières années de sa carrière, à travers différents EP et autres auto-productions, le groupe cherchait clairement sa voie, depuis 2008, la musique de Deaf Havana a su évoluer vers un alternative rock classieux et puissant qui lui vaut de belles retombées dans son pays d’origine. Le groupe a notamment tourné en première partie de Bruce Springsteen et, plus récemment, de Jimmy Eat WorldMuse et de Placebo.

 

 

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James Veck-Gilodi – chant / guitare
Lee Wilson – basse
Tom Ogden – batterie
Matthew Veck-Gilodi
Max Britton – claviers

Royal Republic : Nouvelle date !

Samedi 02 Décembre 2017 à Paris – Cabaret Sauvage

En 2017, Le rock alternatif suédois est à l’honneur.

royal republicRoyal Republic, marchant glorieusement sur les traces des plus grands noms du genre, débarque en France avec son troisième album « Weekendman ».

Affichant déjà complet au Trabendo le 08 mars prochain depuis plusieurs semaines, la tournée française devrait en suivre l’exemple très rapidement…

C’est donc une séance de rattrapage qui vous est proposée le samedi 02 décembre 2017 au Cabaret Sauvage.

Attention, dernier appel pour un concert à ne surtout pas manquer !

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Billets en vente à partir du 24 janvier 2017 sur www.livenation.fr

Nouvel album « Weekendman »  déjà disponible [Sony]

Plus d’informations sur royalrepublic.net

Le clip de « Here I Come » ICI

base prod logo Présente :

 7 Weeks + Los Disidentes Del Sucio Motel + The Videos en concert le Samedi 18 Mars 2017 à La Boule Noire ( 19H00 )

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7 Weeks a su au fil des concerts et des disques s’affranchir du stoner des débuts et créer un style inventif, mixant habilement tension et puissance avec sensibilité et expérimentation. Leur dernier album « A farewell to dawn » est une réussite totale encensée par la critique: un rock massif, organique et synthétique, nourri aux mélodies mais se faisant un malin plaisir à contourner le convenu.

Ils seront accompagnés sur scène de Los Disidentes Del Sucio Motel (au Hellfest cette année), brûlot heavy rock élevé par des chants mélodiques et une orchestration aboutie. La nouvelle sensation punk/rock de The Videos ouvrira la soirée au son de leur Heavy Dirty Grungy rock.

Réservation ICI

 

Nightmare + Melted Space en concert à La Boule Noire le Samedi 15 Avril 2017 ( 19H00 )

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Nightmare, Le groupe français pionnier du heavy metal en france est de retour.
L’arrivée de leur nouvel album « Dead Sun » en novembre dernier et de Maggy Luyten au chant (Beautiful Sin, Beyond The Bridge, ex Ayreon, Virus IV) en font le groupe à ne pas rater en 2017.

Melted Space est un projet ambitieux créé par le pianiste et compositeur Pierre Le Pape (Wormfood, Embryonic Cells).
Il y mêle musique de film, musique électronique et metal sous la forme d’un Opera Metal. Afin de donner vie à sa première fresque, « From The Past », le musicien s’entoure de nombreux musiciens issus de la scène Metal française venant d’Hacride, The Old Dead Tree, Carnival In Coal, Phazm, Kells etc.

 

6:33 + Acyl + Malemort en concert au Divan du Monde le Jeudi 20 Avril 2017

6 33 paris 20_04_17Formé à Paris en 2010, 6:33 ne tarde pas à sortir un premier album en 2011, intitulé « Orphan Of Good Manners ». Au programme, metal barré saupoudré de quelques pincées de mathcore et de bien d’autres choses. En 2012, alors que son chanteur vient de partir, le groupe fait appel à Arno Strobl (ancien chanteur de Carnival In Coal), qui avait déjà fait un featuring sur leur premier album, et ils ne tardent pas à collaborer ensemble. Le résultat sera l’EP « Giggles, Garlands and Gallows », 3 titres pour 30 minutes, inspiré de l’univers du cirque et des fêtes foraines (mais pas que). S’enchaînent des tournées en première partie de Devin Townsend et Shaka Ponk, puis le groupe, toujours accompagné d’Arno Strobl, ainsi que de son nouveau chanteur Rorschach, remet le couvert avec un deuxième album, « The Stench From The Swelling », sorti en 2013 et le tout dernier « Deadly Scènes » qui a vu le jour en 2015.

Acyl voit le jour en Algérie en 2007 autour d’Amine et Reda, qui jouaient respectivement dans les groupes Mass et Worth, rapidement rejoint par Salah et Michael, batteur de Myst. Après un EP « Angel’s Sin » en 2010 et un premier album « Algebra » en 2012, le groupe voit son line-up se stabiliser avec l’arrivée d’Adber’Rahman (ex-Arkan, ex-Dawn Of Decline) aux guitares.
Maintenant basé à Paris, Acyl joue une musique aux croisées du Prog Metal, du Groove Metal et de l’Experimental, agrémentant ses compositions de nombreux instruments traditionnels tels que bendir, guellal, derbouka, guembri, qraqeb, oud, mandole, guesba, udu, tar…
Leur deuxième album, « Aftermath », sort le 16 juin 2016 chez Season Of Myst.
Malemort refuse de choisir entre thrash, rock, heavy ou punk, chant en français… Comme un défi en forme de chant du cygne. Metal libre, qu’ils disent ! C’est pourtant ce « French Romances » franc-tireur qui va recueillir tous les suffrages et aligner les critiques chaleureuses. Jusqu’à obtenir le soutien du plus gros mag national (« album du mois » Rockhard) ou faire causer de lui dans le prestigieux Metal Hammer allemand. Prestation dans le show tv « Une Dose 2 Metal » et diffusions radio (y compris Oui FM !) font monter la rumeur…
A cet instant commence le vrai voyage : quatre années de confrontation aux lacérations et aux luminescences de la route, quatre années de coups d’éclat et de coups du sort. Malemort vit, se blesse, s’affute, se singularise encore. Date après date, c’est la preuve par le live. Comme de bonnes étoiles sur le chemin, les premières parties de Death Angel, UFO, Diamond Head, ADX, les affiches communes avec No One Is Innocent, Pro Pain, Bukowski, Headcharger
Et puis enfin ce nouvel album, dont une bonne partie des titres a déjà voyagé. « Ball-Trap », donc, a été mis en son au Conkrete Studio par Mobo (Gorod, Loudblast, Otargos, Mercyless…).
Malemort s’y dévoile sans fard: une musique hybride et indépendante, des prises de son authentiques, charnelles, et enfin, une histoire. « Ball Trap », ou le parcours initiatique d’un jeune homme dans le chaos artistique avant-gardiste des années 20, les fameuses « années folles ». Et comme la sortie d’un disque se doit d’être une aventure artistique complète, l’image est confiée au talentueux dessinateur Nicolas Dubuisson.
Mais déjà, la route exige son tribut. Hérissée de riffs, toute de fureur au dehors, des clous dans la poitrine, la « mauvaise mort » arpente à nouveau les chemins de traverse.
Salut fraternel à vous, les dévoreurs de décibels, les idéalistes du son, les activistes au service de la cause. Notre musique à tous se nourrit de nos rêves et de nos luttes.

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john illsley 02_02_17 john illsley 2016John Illsley est le seul musicien avec Mark Knopfler à jouer sur tous les albums de Dire Straits. Avec eux, il a vendu 120 millions d’albums et affiché 9 singles au Top 50. Pour la 1ere fois, le bassiste/chanteur de ce groupe mythique sera en France pour 3 dates qui s’annoncent déjà exceptionnelles.

Il proposera une sélection de classiques de Dire Straits ainsi que des titres plus rares et quelques extraits de ses albums solo, dont le dernier en date « Long Shadows » sorti en 2016. Il est entouré de 5 musiciens d’exception dont les guitaristes Robbie McIntosh (The Pretenders, Paul Mc Cartney…) et Paul Stacey (Oasis, The Black Crows).

Ne manquez pas cet évènement au Ziquodrome de Compiègne le 02 février 2017.

Locations dans les points de vente habituels : Fnac, Carrefour, Auchan, TicketNet, Cultura …
Eric Music : 03 44 38 14 50
Harmonie : 03 44 40 10 18

C’est désormais une habitude, Nashville Pussy prend un malin plaisir à nous rendre visite à chaque hiver ! Et c’est le moins que l’on puisse dire , car le combo mixte américain va nous délivrer le meilleur remède qui puisse exister pour chasser les microbes et traverser sans encombres  cette période glaciale: Une bonne dose de pur Rock n’ Roll !

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Comme à Rouen en mars dernier, Bukowski a une nouvelle fois l’honneur d’ouvrir les hostilités avec « Keep Our Head On », extrait d’« Azardous Creatures », qui tonne tout de suite le ton de la soirée. D’entrée de jeu, les parisiens sont survoltés, faisant preuve d’une belle aisance scénique liée à une expérience du live désormais reconnue de tous. Le groupe des frères Dottel fait monter l’ambiance d’un cran dès l’intro de « The Smoky Room », très efficace dans le registre Bluesy / Stoner, à l’image d’un Julien complètement déchainé, qui martyrise sa 4 cordes !

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Matthieu n’est pas en reste, toujours très proche du public avec lequel il communique naturellement, tout en l’encourageant à se lâcher davantage, et cela n’a pas trainé. La machine à riffs de Clément fait des ravages, tout en remuant sur toute la largeur de la scène.

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Mais tout cela n’est rien à côté de la folie contagieuse orchestrée par Matthieu. Celle ci atteindra son apogée pendant « Car Crasher », où un wall of death d’anthologie va finir de réchauffer l’ambiance devenue électrique.

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Bukowski a démontré toute sa qualité scénique lors d’un set marqué sous le signe de l’énergie et de l’authenticité, et a pleinement rempli son rôle pour chauffer une audience qui a hâte d’en découdre avec le quatuor américain.

Le son de « Runnin’ With The Devil », extrait du 1er album de Van Halen, résonne dans le centre culturel pendant l’arrivée du quatuor qui attaque pied au plancher « Come On, Come On » ! De nombreux changements vont marquer cette première tournée de l’année, car, passé la surprenante et inédite intro, l’évolution d’un quart de la setlist prouve à quel point Nashville Pussy garde le plaisir de jouer sans tomber dans la routine.

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Il est d’autant plus rare d’être aussi souvent sur la route sans nouvel album à défendre, leur dernier opus studio « Up The Dosage » datant déjà de 2014. Mais la discographie conséquente du combo a de quoi envoyer du lourd, avec d’innombrables titres déjà devenus incontournables. Le très remuant « I’m So High » permet à Bonnie et Ruyter de se faire entendre lors du refrain qu’elles reprennent en chœur, tandis que Blaine fait tourner la bouteille de whisky juste avant de lâcher un « Hate And Whiskey » explosif.

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Nous avons affaire à une véritable leçon de Hard Rock n’ Roll, sans artifices et redoutable d’efficacité. Mais ou vont ils chercher cette énergie, cette rage pour transcender un public chaud bouillant ? Blaine Cartwright très en voix, mis à part le problème de son en début de set, va nous gratifier du show dont il a  le secret. Entre les pas de danse, les jeux avec le pied de micro et la rasade de bière dans le chapeau, c’est un frontman en pleine possession de ses moyens qui fait le show, tout en assurant la guitare rythmique et les riffs incisifs.

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Mais le phénomène qui attire les regards, c’est Ruyter Suys ! Celle devant qui la foule s’est placée en nombre, cette Angus Young au féminin va électriser une audience survoltée.

Les solos s’enchainent, redoutables d’agressivité et de dextérité, distillés avec une fougue de tous les instants. Il n’y aura pas une seconde de répit pour sa crinière blonde secouée dans tous les sens !

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Le mélodique « Can’t You See » calme le jeu, pour mieux monter en puissance avec « Go To Hell » enchainé, et l’accélération tonitruante du tempo qui se termine en apothéose. Les classiques « Why Why Why » et « Going Down Swinging » vont enfoncer le clou, et permettre au nouveau venu Ben Thomas de se mettre en évidence derrière ses fûts lors d’un solo au dynamisme foudroyant. C’est qu’il ne fait pas semblant le bougre, et ne s’économise pas ! En toute logique, il se désaltère en alternant la bière, le vin et le Whisky !!!!

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C’est déjà l’heure des rappels avec le duo « Struting Cock » / « Go Motherfucker Go » sorti en 1997, 2 titres imparables qui vont achever les 350 personnes présentes, conquises par une prestation une fois de plus totalement aboutie, dans le plus pur esprit Heavy Rock n’ Roll, un style dont Nashville Pussy reste un des plus fidèles représentants.

Quelque chose me dit qu’ils seront à nouveau en Europe en juillet, mais la 23ème et dernière date de cette tournée aura lieu à Paris « Le Batofar » le 29 janvier 2017.

Un grand merci à Rage Tour et Toma pour nous avoir facilité les choses lors de la date calaisienne.

Report & photos © 2016 Alain BOUCLY

Mes dix albums 2016

Publié : 22 janvier 2017 par Abderrahim B. dans Chroniques

Je me suis livré à un casse-tête depuis des mois pour tirer une liste de dix albums. Il y en a même que je n’ai pu mettre : XXX du prolifique Kai Hansen sorti en septembre 2016, We Are the Ones du leader de Twisted Sister Dee Snider. Il y a le dernier de Suicidal Tendencies World Gone Made , celui de Sodom Decision Day, This House is Not for Sale de Bon Jovi sans son guitariste fétiche Richie Sambora, Mastodone Blood Mountain suggéré par un ami et sans parler du dernier Metallica qui reste un événement en soi pour les fans…la liste est encore longue, il fallait faire un choix :

1                                                                   Dystopia     Megadeth                                                      

DYSTOPIA MEGA

Dave Mustaine frappe encore! Bien fort! le 15e album ne déroge pas au thrash établi et codifié par Megadeth. La pure tradition du thrash américain a été bien respectée.  Des morceaux cohérents, efficaces et bien compacts. Des refrains incisifs et bien structurés et des rythmiques complexes pour le plaisir des fans. Les trois ou les quatre morceaux bien aboutis «  »The Threat Is Real », « Dystopia », « Fatal Illusion » et « Poisonous Shadows »  ne volent pas la vedette aux autres titres « Bullet to the Brain », « Lying State » ou « Conquer or Die ».  Le titre Poisonous Shadows comporte une partie de piano  jouée par Kiko Loureiro. Un album standard de Megadeth.

 

 

2                                                  Infinite Entanglement BLAZE BAYLY

Efficace, accrocheur, bien arrangé et bien produit. C’est en substance, ce qu’on peut dire sur le dernier opus de Blaze Baylay. Infinite Entagment est un magnifique come back et l’un des meilleurs du chanteur britannique. Une musique heavy, très mélodique et concept historique agrémenté par des interludes parlés entre chaque morceaux rendent de plus en plus agréable l’ambiance et le passage d’un chapitre à un autre.  Blaze et ses compères n’ont pas chômé depuis quatre ans et nous ont livré un chef d’oeuvre. Son huitième album solo après la bonne expérience au sein de l’école  Iron Maiden n’est que la première partie d’une trilogie futuriste, inspiré par une histoire écrite par le frontman en personne. Le morceau éponyme annonce ce qui va suivre : duHeavy metal pur et dur. Un solo bien mélodique du guitariste Chris Appleton. « A Thousand Years », « Human » et « What Will Come » dénotent la richesse d’un opus qui restera l’un des meilleurs réalisations en matière de Heavy Metal en 2016.

« Calling You Home »  lun des plus beaux morceaux  avec une ligne de chant parfaite dans les couplets amenant à un magnifique refrain, un riff  jouissif, une ligne de basse claquante sur un rythme bien relevé. , Les voix doublées, les chœurs, et les solis sur un rythme speed. Des morceaux qui feront carnage au live  Dark Energy 256 L’intro acoustique de « Independence » annonce bien ce qui va suivre . On voit très bien l’influence de la famille Maiden surtout sur « Stars are Burning » qui débute sur un riff rappelant King Diamond,et  « Solar Wind ». Un « the Dreams of William Blake » commence par un air similaire au quatrième album de Queensrÿche sur Operation Mindcrime sorti 1988.

 

 

3                                                    Theories of Flight       FATES WARNING

Theories of Flight

On a affaire à un « prog » de très haut niveau technique. Le douzième album des pionniers du Metal progressif confirme la position unique de Fates Warning dans ce genre. Ce ne sont, certes,  pas des « Megastars » comme le fût Queensrÿche à la fin des années 80 et  90 ou Dream Theatre mais ils ont la particularité de ne pas avoir de déchet dans leur production musicale. C’est le moins qu’on puisse dire pour une discographie respectable qui traverse les temps. Theories of Flight tape fort en ouverture avec le très bon »From the Rooftops » une intro plutôt calme avec un déchaînement progressif et des solis époustouflants. Le tout agrémenté avec un chant imparable de Ray Alder en très bonne forme.
Matheos comme toujours n’est pas très démonstratif comme pourrait l’être un Petrucci mais préfère plutôt desservir au maximum les compos en laissant beaucoup d’espaces pour bien écouter et apprécié la qualité musicale des arrangements. La basse de Joey Vera soutient le tout avec une grande confiance et s’aventure parfois dans quelques pirouettes techniques de grande valeur musicale. Le nouvel opus, le douzième de FW, successeur de Darkness In A Different Light (2013), Theories Of Flight montre encore que le groupe a atteint un niveau de qualité qui ne se reflète pas malheureusement sur le plan commercial.

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                                                           Sorceress                OPETH

OPETH2

Une ère nouvelle commence. Quelque chose de différent, c’est en substance ce qu’on peut dire en peu de mots sur ce nouvel opus. Opeth assume sa nouvelle direction : « plus prog que moi tu meurs ».  Un nouveau contrat pour une nouvelle aventure avec un autre label Nuclear Blast qui ne cesse d’évoluer. Sorceress est album surprenant, riche en expérimentation et bien varié où chaque morceaux est différent des autres. L »acoustique « Persephone » en ouverture  et la voix féminine suave qui l’accompagne ouvre le bal avec un clin d’œil aux balades Hard Rock, je pense automatiquement à Scorpions et le folk des années 60 et 70. Le deuxième morceau « Sorceress 1 » affiche la virée prog que Mikael Akerfeld a choisi.  « The Wilde Flowers » est un hommage l’école de Canterbury (The Canterbury Scene) regroupe plusieurs artistes et groupes de rock progressif et psychédélique anglais de la fin des années 60 et du début des années 70. « Will O The Wisp » avec ses deux guitares acoustiques et sa voix bien claire nous donne des frissons et termine la face A du disque. Rien que le titre nous donne déjà le ton, « le feu follet » qui est une manifestation lumineuse ayant l’apparence d’une petite flamme. Connue et décrite depuis longtemps, cette manifestation fut longtemps uniquement vue comme celle d’esprits malins et d’âmes en peine venues sous formes de petites flammes hanter les forêts désertes, les marécages et les cimetières, et fit l’objet d’un folklore  important, tant sur l’origine de ces esprits que sur les façons de s’en débarrasser. « Chrysalis »  débute bien fort la face B de l’opus en beauté lyrique et rythmique. La touche progressive est là arrosée des passages qui rappellent à la fois Jethro Tull et Deep Purple avant de finir  calment. « Sorceress » rappelle Pink Floyd surtout des débuts avec le regretté Syd Barett. Le rythme endiablé 100% arabica de « the Seventh Sojourn » est un autre hommage à un grand groupe « Moody Blues » et d’ailleurs c’est le titre de leur huitième album sorti en 1972. Un voyage de l’âme où le principal compositeur et patron d’Opeth Mikael Akerfeldt se plonge et s’inspire de sa vie privée afin de donner un album influencé, certes,par le Heavy et le Death Metal mais avec des morceaux plus progressif et plus psychédélique. Mikael affirme que cet opus est la synthèse de toutes ses influences et le commencement d’une autre ère.

5                                                  The Voice of The Void       ANCIIENTS

ANCIEENTS

 

Voilà une belle surprise, en tout cas pour moi, à l’heure où je m’apprête à faire ma liste des 10 meilleurs albums, un ami des States m’envoie un lien et m’invite à écouter le contenu. Les quatre premiers morceaux ne te laissent pas indifférent riffs et chant guttural. Guitares agressifs et « Growl ». Quoi? La bonne combinaison pour un opus réussit.

6                                                              

                                                            Battles           IN  FLAMES

INFLMAES

Plus inspiré que le dernier « Sirens » avec un arrangement et une production de grande qualité. Il renoue un peu avec In Flames qu’on aime, mais il faut tout d’abord que les fans oublient les grands succès des suédois, sinon vous allez vous auto-flagellez et répète sans cesse que c’était mieux avant. Battles comme son nom l’indique est une nouvelle bataille que le groupe mène pour retrouver son vitesse de croisière. Le combo s’est livré à une bataille emblématique pour donner un album bien réussit. Une délivrance musicale et commerciale certainement. Des morceaux en chant clair, mélodique et touchant, des sonorités et des textes bien choisis. Je pense aux tracks « the End » et « the Truth » et son cortège de chant et de chorale d’enfants. Deux titres bonus sont disponibles sur l’édition limitée: « Greatest Greed » et le dénonciateur « Us Against the World ». In Flames nous donne rendez-vous au HellFest 2017.

 

7                                                      Game of Sins        AXEL RUDI PELL 

GAME OF SINS

 

Voilà un album Hard Rock à ne pas louper surtout  pour les amateurs du son « Fender Telecaster » à la Rainbow. Un premier morceau bien rapide et « very catchy »  « Fire » pour démarrer l’opus après « Lenta Fortuna ». Un morceau rapide « Fire », un solo de guitare comme Richie Blackmore de l’âge d’or faisiat. Deux tracks speed du même genre « Falling star » et « The king of fools ». Inutile de faire des comparaisons au sujet de la qualité musicale et la production des albums Nasty Reputation, Between the Walls des années Soto ou The Masquerade Ball et Kings and Queens de l’actuel front man Johnny pour comprendre que Axel Rudi Pell fait encore de la bonne musique comme il a toujours fait. Sans oublier de mentionner que cet album est le premier avec le batteur Bobby Rondinelli ex-Rainbow. Et bien sûr le vocaliste, que l’on ne présente pas, Johnny Gioeli toujours efficace et impérial. Je vous dis ça parce que je les ai revu encore une au Wacken. Donc, je suis encore sous le charme.  Et puis on est jamais déçu, il sait très bien choisir. Bref revenant à « Game of Sins », le 16e album studio, Axel Rudi Pell nous offre des riffs accrocheurs et épiques, des refrains  qui séduisent. Le morceau éponyme dure plus de 8 minutes avec une belle « intro » et bonne accélération à la fin du morceau  et un « Till the world says goodbye », avec ses 7 minutes et 41 au compteur.  La ballade « Forever free » qui comme j’ai dit au début à la Rainbow.  Et puis, il y a la reprise, ARP nous offre comme à l’accoutumée une surprise. Cette fois c’est une chanson de Bob Dylan qui a été jouée par la légende Jimi Hendrix et par d’autres, je cite Neil Young entre autres. C’est pour cela qu’on aime Axel, on sait très bien qu’il va nous sortir une bonne reprise.

8                                                         F.E.A.R                 MARILLION

FEAR

 

« Envoie tout le monde se faire foutre et tire toi » est un digne successeur du superbe Sounds That Can’t Be Made. Marillion maintient son son progressif et s’aventure enconre et encore. Un vrai bijou inspiré de l’actualité. Sans cherche à fourrer tout dans cet album, on peut trouver le grand bluff du siècle « Brexit » dans « The Leavers » les partants le mot qui a été utilisé par les partisants de la sortie de l’Union Européenne durant la campagne, « Tomorow’s New Country » et « Long Shadowed Sun ». On peut dire que l’inconscient des membres a été préoccupé par la catastrophe à venir « Brexit » durant la composition. Les autres Morceaux du disque sont rythmés par la dénonciation et le mécontentement à l’égard de la politique, l’économique ou l’écologique.
Le premier morceau dévoilé « New King » est une dénociation pure et simple du capitalisme en général. Steve Hogarth parle en particulier de l’enricchissement des cadres de la partie communiste et s’inspire de la méstérieuse assassinat du journaliste Alexandre Litvinenko. Empoisonné au polonium suite à ses dérangeantes enquêtes sur l’enrichissement de certains dirigeants communistes après la chute de l’URSS. En posant la question fil conducteur de ses papiers : comment un pays qui se dit égalitaire peut engendrer des milliardaires en quelques années?
Certains vont dire que Marillion avait quatre ans pour le réaliser. Donc, ils ont pris le temps pour bien faire le job qui est le leur. Non, non, non cher-e-s ami-e-s trêve de bla bla bla. Le combo n’a pas chômé en termes de concerts et de projets parallèles et F.E.A.R n’est qu’une autre preuve que le combo anglais est une valeur sûr en matière du Rock Progressif.                                                             

  9                                                          Magma     Gojira

MAGMA GOJIRA

Les « New Yorlandais » reviennent avec un sixième album « Magma » sur un fond volcanique qui déborde en émotions, en poésie et bien sûr en riffs puissant et acérés. On y trouve de la vie, la mort, la tristesse et de la mélancolie, avec une bonne dimension spirituelle car les frères Duplantier ont perdu leur mère en 2015. Ce bouillonnement a pris forme comme un volcan. Un album complètement inédit du début à la fin après quatre ans d’attente, « the Shooting Star » ouvre l’album sur un riff lent et bien lourd qui plané déjà avant d’entamer un chant en voix bien claire

Une bonne entrée de matière avant de découvrir « Silvera » et sa mélodie envoûtante. Ecrit par Joe, les paroles du titre ont été en partie inspirées par les massacres en général, le refrain fait plutôt référence  au sort au réservé aux animaux et l’extermination calculée des pauvres bêtes. « the Cell » et « Stranded » reflètent la même efficacité en sonorité et en arrangement sans parler des textes qui traduisent à la fois colère et fragilité. Un véritable single de l’opus « catchy » et bien sophistiqué. Et puis, le « groovy » instrumental « Yellow Stone » qui donne des frissons avant de laisser place à « Magma » accrocheur, direct et bien efficace. Les 44 minutes au compteur de l’album confirme le statut du groupe qui échappe de très loin à l’étiquette « groupe français ».                                                                

10                                                         The Last Hero     ALTER BRIDGE

LAST HERO

Un album bien plus Heavy que le dernier « Fortress » pour un groupe qui ne cesse de monter dans l’échelon des groupes indispensables. AB marque davantage son territoire d’une pierre blanche. The Last Hero est bien ficelé avec des riffs accrocheurs, des refrains que l’on cesse de répéter à tue-tête et des solis du tandem Myles Kennedy et Mark Tremonti. Il ne faut pas chercher trop la source d’inspiration de ce dernier opus. L’état déprimant dans lequel se trouve les Etats-Unis et le Monde pourrait bien influencé les textes. La thématique « héroïque » autour du quelle gravite l’album démarre avec « Show Me a Leader  » qui donne le ton en proposant : « that won’t compromise ».  Les deux guitaristes Myles et Mark nous livrent des compos efficaces.

10                                                  The Serenity of the Suffering       KORN 

KORN

On ne peut pas passer à côté d’un album culte de Korn.  Très bon son et bonne production. L’ouverture est entamée avec brio par l’explosif « Insane », « Rotting in Vain » et « Black is the Soul », le public avait déjà découvert les deux premiers titres sur scène l’été dernier et on garde la prestation plus que convaincante au HellFest comme ils l’ont toujours fait.  L’album se distingue par sa qualité sonore, ses riffs et son featurting bien réussi « A Diffrent World » sur lequel Corey Taylor de Slipknot ajoute une pierre à l’édifice. Noter que c’est le premier album avec Brian Welch depuis son retour aux bercail.

alcatraz 2017 annonce 02Les vendredi11, Samedi12 et dimanche 13 août 2017, les amateurs de Métal au sens large peuvent sans hésitation se rendre à la dixième édition de l’ALCATRAZ HARD ROCK & METAL FESTIVAL!

Bien que nous soyons déjà satisfaits à 200 % de l’affiche actuelle, vos réactions ultra-positives nous ont agréablement surpris (et c’est peu de le dire). C’est bien mais vous vous en doutez, nous n’allons pas nous arrêter en si bon chemin. Nous avons encore quelques noms sympathiques à offrir à nos visiteurs. En tout une douzaine de groupes viendront s’ajouter dans les semaines à venir mais il y en a déjà cinq que nous pouvons vous dévoiler dès aujourd’hui. Parmi ces cinq noms qui viennent compléter l’affiche de l’Alcatraz 2017, il y en a trois que nos visiteurs annuels connaissent particulièrement bien. Saxon et Testament occupaient déjà le haut de l’affiche en 2009 (la meilleure de nos éditions au ‘Brielpoort’). Les festivaliers présents à l’époque se souviennent certainement que Saxon avait débuté son set avec un retard pour le moins considérable, mais ils se souviendront également que l’attente avait été récompensée par un set d’une telle intensité que les voisins du Brielpoort et le bourgmestre de Deinze en parlent encore aujourd’hui. La légende Saxon fête cette année ses quarante ans d’existence et pour célébrer dignement cette longévité hors norme, le groupe embarque pour une tournée mondiale taille XXL qui les verra faire étape sur la scène de l’Alcatraz. Testament est une autre valeur sure de l’Alcatraz. Le groupe est une véritable légende de la scène thrash américaine mais c’est aussi et surtout un immense plaisir que nous nous faisons à nous-mêmes, tant nous adorons leur vision du thrash et avons beaucoup d’affection Gene Hoglan. Life Of Agony était déjà de l’affiche 2014 de l’Alcatraz, c’était la première rencontre entre Mina Caputo et le public belge. Le moins que l’on puisse écrire c’est que ça a directement ‘matché’ entre Mina et ses fans belges. Life Of Agony n’a jamais oublié ces moments magiques passés sur la scène de l’Alcatraz et un retour à Courtrai était une des priorités du groupe. Ce sera chose faite en 2017 avec en prime quelques titres du nouvel album à vous faire découvrir.

Pour Paradise Lost et Obituary (nous y avons mis le temps mais nous y sommes enfin arrivés) se sera un premier passage par la scène de l’Alcatraz. Paradise Lost nous offrira une sorte de ‘best of’ de son immense discographie et Obituary nous proposera des titres issus de son prochain album (et croyez-nous ce nouvel album est une vraie bombe).

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Restez connectés… dans un futur assez proche, d’autres noms viendront s’ajouter aux 26 groupes délà à l’affiche : Amon Amarth, Saxon, Testament, Doro, Iced Earth, Death Angel, Life Of Agony, Sacred Reich, UFO, Obituary, Paradise Lost, Raven, Rage, Dirkschneider, Hell, Krokus, Morbid Angel, Enslaved, Moonspell, Asphyx, Brant Bjork, King Hiss, Monkey 3, Dr. Living Dead, Evil Invaders, Carnation.

Dans peu de temps nous vous dévoilerons les 9 noms manquants.

Alcatraz Hard Rock & Metal Festival tickets

En plus de vos commentaires enthousiastes sur l’affiche 2017, nous avons enregistré de multiples demandes d’information concernant les tickets d’un jour. N’ayez crainte, toutes les informations relatives à ses tickets d’un jour vous seront communiquées dès que possible, c’est-à-dire dès que la répartition des groupes sera établie. Nous voulons vous garantir un prix d’entrée par jour le plus équitable possible et vous comprendrez bien sûr que dans cette optique, le calcul ne peut se faire qu’après une répartition définitive de l’affiche sur toute la durée du festival. D’avance nous vous remercions de votre compréhension et de votre patience.

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Attention. La soirée du vendredi n’est gratuite que pour les visiteurs munis d’un combi ticket. Pour les personnes intéressées par la soirée du vendredi, un ticket ‘spécial vendredi’ sera prochainement mis en vente. Dès que le cinquième nom de cette affiche du vendredi sera annoncé, il vous sera possible de vous procurer ce ticket ‘spécial vendredi’.

Tickets: Combi-tickets (également tickets VIP) seront disponibles sur www.alcatraz.be Les tickets combi sont d’ores et déjà disponibles au Popcenter de Courtrai.

 

 

Live Report Day 1 Alcatraz 2015 ICI
Live Report Day 2 Alcatraz 2015 ICI

ui convention 2017L’incontournable rendez-vous des fans de Rock et de Metal se déroulera à la salle des fêtes de Fismes le dimanche 5 mars  2017! Ce sera l’occasion de fêter un double anniversaire, avec la 20ème édition de la Convention Rock n’Metal et les 25 ans d’existence de l’association Underground Investigation !

Cet évènement accueillera de nombreux stands dédiés au merchandising, aux associations, et à une bourse aux disques renommée avec un choix conséquent de vinyles et de CD permettant de trouver la pièce rare. Les 10 groupes à l’affiche représentent une sorte de « Best Of » en matière de programmation avec une variété de styles tout à fait dans l’esprit qui anime l’organisation depuis 25 ans !

Voilà une date à ne manquer sous aucun prétexte !

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Les tickets collector sont en vente ICI

 

N’hésitez pas à cliquer sur les logos de chaque groupe !

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