Prong annonce la sortie de son nouvel album « Zero Days » , disponible le 28 juillet 2017 via Steamhammer/SPV dans les formats suivants: CD digipak, 2 LP gatefold, download et Stream.

Tracklisting Digi (Cover with Logo on the side)
01. However It May End 3:36
02. Zero Days 3:35
03. Off the Grid 3:18
04. Divide and Conquer 3:16
05. Forced Into Tolerance 3:16
06. Interbeing 3:50
07. Blood Out of Stone 4:12
08. Operation of the Moral Law 3:30
09. The Whispers 3:19
10. Self Righteous Indignation 4:13
11. Rulers of the Collective 3:01
12. Compulsive Future Projection 3:10
13. Wasting of the Dawn 4:39
14. Reasons to Be Fearful 3:31 (bonus track)

Tracklisting 2LP (Cover with logo on top)
Side 1
01. However It May End 3:36
02. Zero Days 3:35
03. Off the Grid 3:18
Side 2
01. Divide and Conquer 3:16
02. Forced Into Tolerance 3:16
03. Interbeing 3:50
Side 3
01. Blood Out of Stone 4:12
02. Operation of the Moral Law 3:30
03. The Whispers 3:19
Side 4
01. Self Righteous Indignation 4:13
02. Rulers of the Collective 3:01
03. Compulsive Future Projection 3:10
04. Wasting of the Dawn 4:39

La tournée Européenne  » Zero Days »– été 2017 passera par la France avec une date unique au Hellfest le 18 juin 2017, ou Prong jouera sur la MainStage 2.

“Zero Days – European Tour 2017”

16.06.B-Dessel – Graspop Metal Meeting
18.06.F-Clisson – Hellfest
13.07.D-Hamburg – Hafenklang
14.07.D-Münster – Sputnikhalle
15.07.NL-Eindhoven – Dynamo Metal Fest
18.07.GB-Glasgow – Audio
19.07.GB-Belfast – Voodoo
20.07.IE-Dublin – Voodoo Lounge
21.07.GB-Manchester – Rebellion
22.07.GB-London – Underworld
26.07.D-Munich – Free&Easy Festival
27.07.D-Stuttgart – Keller Klub
28.07.D-Weinheim – Cafe Central
29.07.D-Essen – Nord Open Air
30.07.D-Siegen – Vortex
02.08.D-Potsdam – Waschhaus
03.08.PL-Kostrzyn – Woodstock Open Air
04.08.D-Wacken – Wacken Open Air
05.08.D-Veltheim – Festival Kult
06.08.D-Cologne – Rheinriot
09.08.D-Regensburg – Eventhall Airport
10.08.A-Graz – Explosiv
11.08.A-Vienna – Viper Room
12.08.CZ-Josefov – Brutal Assault Festival
25.08.D-Sulingen – ReLoad Festival
Présente:
Punish Yourself + Guest le vendredi 08 décembre 2017 à La Maroquinerie (19H30).

Après un White Sun/Black Noise Tour surprise, tout en noir et blanc, puis une pause le temps de quelques projets parallèles (dont une énorme tournée du Bal Des Enragés pour Klodia et vx), les furieux de Punish Yourself sont de retour, en couleur, avec tout leur attirail de peintures fluo, de lights post-apocalyptiques et d’ultra-violence cyberpunk.

De retour, mais dans une nouvelle incarnation : leur nouvel album «Spin The Pig», enregistré en trio après le départ de la guitariste Miss Z, est un hommage brutal aux racines hardcore-indus du groupe, probablement le plus violent de leur discographie pourtant déjà intense.

Machines martelées à toutes vitesse, guitares hurlante, voix distordues, l’ambiance n’est plus au dancefloor mais au champ de bataille. Avec un nouveau batteur (et le passage de Xav à la guitare, après presque vingt ans derrière les fûts), la meute revient plus remontée que jamais pour un Pig Data Tour qui devrait vous laisser en ruines…

La Billetterie est disponible ICI

Interview de Mante réalisée à Chauny « Le Forum » le 1er avril 2017 lors du Rock’N Festival
Entretien avec Isïa, Arthur et Matthieu effectué par Marie-France BOUCLY

Bonjour et merci d’accorder cet entretien pour Ride The Sky.

– Peux-tu résumer l’histoire de Mante, nous raconter la naissance du groupe, et comment vous vous êtes rencontrés tous les 3 ?

Nous sommes rencontrés il y a plusieurs années alors que nous étions chacun dans des formations différentes. Le fait d’avoir participé à des concerts en commun a facilité les choses, et nous nous sommes revus avec l’idée qu’il pouvait se passer quelque chose de vraiment bien. C’est comme ça que Mante est arrivé petit à petit.

Il y a eu beaucoup d’échanges au départ, notamment par mail. Nous nous échangions des sons, et en même temps chacun découvrait l’univers de l’autre jusqu’à la naissance du projet.

 

– Comment définirais-tu l’univers de Mante ?

C’est orienté Pop, Rock Electro en français, très inspiré par Gainsbourg et Bashung. Il en ressort un côté rock vintage seventies, mélangé à de la pop électro moderne.

– Quelles sont les raisons qui t’ont conduit à aborder ce genre musical ? Influences, envie de créer une ambiance décalée…

Pour ma part, c’est l’envie de mettre des textes en français, sur une musique assez moderne, ce que l’on a pas l’habitude d’entendre. Je trouve que l’on a plus l’habitude d’entendre la langue française associée à de la variété ou de la chanson plus traditionnelle, toutes ces choses déjà entendues. Mais le Mélange avec du Rock électronique ne se fait pas beaucoup !

Au niveau des influences il y a beaucoup de choses, comme je te disais tout à l’heure par rapport à notre univers musical, mais aussi tout ce qui est Rock électronique.

C’est vrai que dans le groupe, nous nous sommes bien trouvés au niveau des influences. Isïa est très barrée Bashung, Gainsbourg, avec tous ces genres de sons. Mathieu est davantage Rock n’ Roll et moi un peu plus électronique. Du coup, c’est le mélange de cet ensemble diversifié qui donne Mante, tout simplement.

– Parlons un peu des compositions. comment s’effectue la répartition entre vous pour les textes et la musique ?

Je coécrit les paroles avec Jean Fauque, qui a travaillé avec d’Alain Bashung. La base harmonique est faite juste après l’écriture des textes, ensuite les arrangements se font tous ensemble. Nous fonctionnons de cette façon pour la majorité des morceaux, mais ça peut partir également d’un bœuf. On se retrouve lors d’une répétition par exemple, et il va en sortir une base instrumentale sur laquelle viendront se greffer les textes. Mais c’est quand même plus rare. Les séances d’écriture avec Jean sont le point de départ, et la musique vient se greffer dessus.

 

– De quoi t’inspires-tu pour écrire ?

Nous sommes partis sur l’idée d’un concept album, que l’on a d’ailleurs développé lors du concert de ce soir.

Je suis un peu obsédée par Melody Nelson de Gainsbourg. J’ai donc proposé à Jean Fauque de faire un album concept qui retracerait une partie de la vie d’une jeune fille de 20 ans qui part à New York. Et j’ai l’idée de poursuivre dans ce sens là et de, pourquoi pas, faire une trilogie.

– Il ressort de vos prestations live un côté théâtral. Il y t’il une signification particulière à ce visuel contrasté, à la fois sombre et sensuel ?

Tant mieux ! J’aimerais que se le soit encore plus et que ce côté là se trouve renforcé au fil du temps.

Concernant les tenues, nous avons fouiné dans des fripes pour trouver celles des garçons. Ma robe quant à elle a été faite il y a 2 semaines par une créatrice qui a été élève de Loulou de La Falaise et Yves Saint Laurent.

 

– Le style de ta robe me fait un peu penser aux créations de Courrèges dans les années 60 / 70 !

Au niveau de la coupe ?

– Peut-être pas au niveau des épaules, mais la coupe et le fait qu’elle soit blanche correspond complètement à ce style.

Je suis très branché mode ! L’idée des épaules par exemple est venue d’un manteau Pierre Cardin trouvé dans une fripe. Il avait des épaules comme ça, un peu Star Trek, et du coup j’ai tout de suite pensé à la robe ! C’est une belle collaboration avec une fille très douée qui s’appelle Poly Tuy. Je pense que je vais poursuivre dans cette voie, en développant mes tenues. Car après avoir cherché dans différentes boutiques, je ne trouve rien de théâtral ni de scénique dans la mode prêt à porter.

– Comment se fait-il que vous n’êtes plus maquillés ?

C’est une exception pour ce soir, car nous sommes arrivés tout juste pour la balance. Et on nous a prévenu seulement 5 minutes avant de monter sur scène, ce qui ne laissait plus assez de temps pour se maquiller.

– Ou en est le projet d’album, est ce que vous pouvez en dire un petit peu plus ? 

Nous en sommes à 9 morceaux écrits et composés. Nous allons décider avec Jean Fauque si on laisse une ouverture à la fin de l’album pour une suite éventuelle. Actuellement, le démarchage est en cours pour le faire produire.

 

– Quelles ont les prochaines échéances pour Mante ?

Nous avons un concert prochainement avec Rover, ensuite il y a une sorte de Show case prévu à Paris. Cela fait suite à l’évènement des rencontres d’Astaffort en septembre dernier, ou j’ai été lauréate avec 4 autres camarades, et qui donne l’opportunité de participer à une sorte de concours. Un tremplin nommé « Le Pic d’Or » est prévu le mois suivant à Tarbes, avec 21 finalistes.

– On te laisse le mot de la fin pour les lecteurs de Ride The Sky.

La nuit nous sommes mythiques ! (rires) Je crois que c’est le mot de la fin.

Réalisation: Marie-France BOUCLY
Photos © 2017 Alain BOUCLY

Le fléau du marché noir s’abat une nouvelle fois sur les réseaux, et  un petit quota de pass 3 jours sera débloqué pour lutter contre ce trafic ! Comme l’année dernière, l’organisation espère que cette démarche permettra de couper l’herbe immédiatement sous les pieds des revendeurs abusifs et de stopper cette mauvaise inflation.

Espérons également que cela permettra à certains d’entre vous d’obtenir in extremis un billet pour Hellfest ! N’oubliez pas que subsistent régulièrement quelques pass sur la plateforme sécurisée de Zepass. Restez toujours prudents et vigilants face aux revendeurs indépendants, ne divulguez jamais votre code barre de billetterie sur la toile jusqu’à la pose de votre bracelet !

Pour bien vous préparer, la billetterie éphémère sera ouverte vendredi 26 à 11H00 sur Digitick.

Billeterie ICI

Rendez-vous à Clisson, rendez-vous en ENFER les 16, 17 et 18 juin !

   
Présentent:

Après 4 ans d’attente, le nouvel album studio de Jonny Lang sortira le 25 août 2017.

Ecoutez « Let It Move » ICI

Téléchargez la chanson gratuitement ICI

Tournée française en novembre 2017:
07 novembre – Cléon / La Traverse
09 novembre – Marseille / Espace Julien
10 novembre – Six-Fours-les-Plages / Espace Malraux
11 novembre – Paris / La Cigale
    
Présentent:
« Lay It On Down », le nouvel album studio de Kenny Wayne Shepherd sortira le 21 juillet 2017.
Regardez le clip de « Baby Got Gone » ICI

Regardez le trailer de l’album « Lay It On Down » ICI

Kenny Wayne Shepherd sera concert le samedi 22 juillet 2017 dans le cadre du festival Guitare en Scène à Saint-Julien-en-Genevois

www.kennywayneshepherd.net

Underground Investigation organise, pour la seconde année consécutive, un évènement dédié aux légendes du Hard Rock. Car après Blaze Bayley (ex chanteur d’Iron Maiden, faut-il le rappeler) l’an dernier, c’est au tour du guitariste légendaire de Scorpions Uli Jon Roth, de se produire à Fismes pour cette seconde édition du Hard Rock Legend.

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le public a répondu présent au delà de toutes les attentes, puisque la belle salle de « La Spirale » affiche sold-out !

C’est devant un parterre déjà bien garni que les 5 lascars de Gang vont prendre possession de la scène. Le combo fismois va une nouvelle fois régaler un public d’habitués, mais aussi convaincre les nouveaux venus. Il faut dire que les brûlots que sont « Another Tomorrow » ou « All The Found Around » ont de quoi impressionner, tant par la qualité de ces compositions mais aussi par cette science à délivrer un heavy metal sans concessions.

La performance vocale de Bill est à signaler, le frontman étant à peine remis d’une angine et je dois avouer avoir été particulièrement bluffé par sa prestation !

Mais Gang c’est aussi une vraie cohésion, renforcée par les nombreuses dates à l’étranger, mais également une joie de jouer communicative. Jouer sérieusement sans se prendre au sérieux, telle pourrait être leur devise !

L’ovation méritée, offerte par une salle désormais pleine à craquer, viendra clôturer un set de 30 minutes qui seront passées beaucoup trop vite.

Cette soirée sera également l’occasion de découvrir Angelo Perlepes’ Mystery un groupe venu de Grèce, qui officie dans un Hard Rock inspiré des groupes anglais des 80’s. Les influences de la New Wave Of British Heavy Metal sont bien présentes, et il n’y a rien d’étonnant quand on sait que la création du combo remonte à plus de 30 ans !

Aussi incroyable que cela puisse paraitre, la renommée d’Angelo Perlepes’ Mystery est restée pour le moins confidentielle, et pourtant le talent est présent à tous les niveaux.

Dimitris Sirgiannis assure les parties vocales sans faiblir, grâce à timbre à la fois puissant et efficace. La palme de meilleur jeu de scène est décernée, sans contestation aucune, au bassiste Tasos Vrettakis. Toujours en mouvement, Tasos multiplie les poses et joue avec sa longue chevelure, ce qui ne l’empêche pas de faire sonner sa 4 cordes de la manière la plus énergique qui soit.

Mais tous les regards vont se tourner vers ce guitariste hors pair qu’est Angelo Perlepes. Faisant preuve d’une sacrée maitrise, Angelo va démontrer la finesse de son toucher et un feeling incroyable. L’audience monte en température, dans tous les sens du terme, et même si Les Grecs ne vont pas décrocher la palme de l’originalité, c’est un excellent moment que nous aurons passé en leur compagnie.

Place au maitre, que dis-je, à ce prodige de la guitare qu’est Uli Jon Roth. L’âme de Scorpions est présente devant plus de 400 personnes pour un concert qui restera gravé dans les mémoires. Pour les puristes, le groupe allemand s’est vite démarqué grâce à la voix unique de Klaus Meine, et le son de guitare « Hendrixien » d’Uli.

Il suffit de réécouter « Tokyo Tapes » afin de se rappeler toute l’importance de son jeu de guitare, qui a le don de sublimer les compositions qui n’ont pas pris une ride. Uli quittera Scorpions après la tournée de 1978 et marquera la fin d’une époque, mais rien n’est perdu puisque le show de ce soir dénommé « Tokyo Tapes Revisited Tour » permettra de revivre ces grand moments.

Et le moins que l’on puisse dire c’est que tous les classiques de la bestiole venimeuse ont été à l’honneur ! Quel régal de voir Uli Jon Roth interpréter « Picture Life », « We’ll Burn The Sky », « Dark Lady » ou encore « In Trance » ! Un tel enchainement de classiques donne des frissons comme seuls les musiciens de grande classe peuvent en procurer…

Le groupe qui l’accompagne assure l’essentiel, notamment avec un chant bien en place et d’une justesse déconcertante. Evitons les comparaisons et profitons de ces échanges à 3 guitares qui donnent une dynamique et une couleur toute particulière à ces titres liés au Hard Rock pour l’éternité.

« All Along The Watchtower » sera un autre grand moment, car cet hommage à Jimi Hendrix chanté par Uli va faire vibrer la foule qui enchaine les ovations entre chaque titre.

Uli Jon Roth est unique dans son jeu, capable de se transcender lors de solos déconcertants mais toujours remarquablement dosés pour transcender les titres.

Bien servis par un son et des lights remarquables, les 3 groupes ont pu s’exprimer à 100% dans des conditions optimales. Merci à la direction et au staff de « La Spirale » pour la qualité de son accueil et de sa structure.

Le public ne s’y est pas trompé, car il s’est déplacé en nombre de toutes les régions de France, et même de l’étranger pour participer à la fête et contribuer à ce succès amplement mérité.

Bravo et merci à Sylvain et l’équipe d’Underground Investigation pour avoir mis sur pied une telle soirée, avec un artiste légendaire, également heureux d’être là, pour le plus grand plaisir de tous.

Une telle réussite en appelle d’autres, donc ne manquez pas le rendez vous du Hard Rock Legend #3 en 2018 !

Report & Photos: Alain BOUCLY

Veryshow présente:
de retour à Paris pour une date unique à l’Olympia le 13 octobre !

Groupe de Rock Alternatif californien formé en 1993 sous les influences de Limp Bizkit et Linkin ParkPapa Roach partage sa musique entre Hip Hop et Metal.

Leur second album « Infest » rencontre immédiatement un franc succès en 2000 avec plus de 3 millions d’exemplaires vendus, contribuant à hisser le groupe dans le top 5 des ventes de l’année. Le groupe est alors propulsé sur les devants de la scène Néo-Metal et en profite pour tourner aux côtés de superstars tels qu’Eminem, E-40, Xzibit puis Slipknot, Skindred, Seether ou encore Nickelback, jusqu’à devenir une référence de la scène Metal américaine. 

Papa Roach signe son grand retour cette année avec la sortie de « Crooked Teeth », leur neuvième album studio prévu pour le 19 mai. Très attendu par les fans, celui-ci a la particularité d’avoir été financé de manière participative sur Internet en offrant de surprenantes contreparties aux contributeurs, telles qu’un concert acoustique privé ou la vente de leur studio d’enregistrement.

Ce nouvel album promet comme à son habitude un cocktail détonnant de Rap, Hard Rock et Metal, qui prendra tout son sens lors d’une date unique à l’Olympia qui s’annonce survoltée !

Rise Against, le groupe de punk américain revient cette année avec un huitième album studio « Wolves » qui verra le jour sur Capitol Records le 9 Juin prochain.

Après 18 ans de carrière, Rise Against est devenu l’un des groupes punk les plus influents de la planète rock!

Leurs albums peuvent en témoigner. Avec plus de 8 millions de ventes dans le monde, ils sont à chaque fois certifiés platine ou or au Canada, aux Etats-Unis et en Australie.

Leur opus «Endgame» s’est même classé dans le Top 200 du Billboard Américain et a occupé la première place des charts au Canada et en Allemagne.

Le groupe revient aujourd’hui avec un nouvel album dont le premier single «The Violence» confirme déjà la loi des séries. Sorti le 20 Avril, il cumul déjà plus de 1.5 millions de streams dans le monde au bout de seulement deux semaines.

Depuis leurs débuts, Rise Against s’est construit autour de la lutte pour la justice sociale, principalement lors des mandats présidentiels de George W. Bush. Mais au lendemain de ces nouvelles élections américaines, Rise Against s’est vu

dans l’obligation de prendre du recul et de se remettre en question. Ce huitième opus intitulé «Wolves» est influencé par ce climat politique, comme on peut l’entendre dans les titres «Walls», ou «Welcome To The Breackdown», mais pas seulement.

Selon McIlrath «Wolves» ne parle pas de créer des lieux où l’on peut être en sécurité, mais parle plutôt de la création d’endroits dangereux pour l’injustice.»

Il explique qu’il veut « créer des espaces dangereux où la misogynie et la xénophobie ne peuvent pas exister. Créer des lieux où ces sentiments n’ont pas d’air et suffoquent, des lieux où ces idées meurent ».

Ce disque représente un acte de résistance et d’optimisme qui dépasse la crise actuelle et survivra à n’importe quel politicien.

Le titre «The Violence» reflète parfaitement cet état d’esprit. Dans ce titre le groupe se demande si la violence n’est qu’une composante inévitable de la condition humaine ou bien si ce n’est qu’un choix auquel il est possible de s’opposer.

Pour cet album, le groupe a voulu sortir de sa zone de confort et changer plus profondément leur identité.

Ils ont donc travaillé pour la première fois avec le producteur lauréat aux Grammy Awards, Nick Raskulinecz. On lui doit notamment l’album «One By One» des Foo Fighters pour lequel il remporte trois Grammy Awards, ou encore, entre autre, les albums «Diamond Eyes» et «Koi No Yokan» des Deftones.

 

Pour Laura Cox, un bon gros riff vaut mieux qu’un refrain pop. La simplicité n’est pas forcément signe de facilité, et c’est dans cet esprit qu’ils mettent leur technique au service de leur musique, pour apporter ce qui se fait de plus en plus rare en France : un style vintage et épuré.

Pour son premier album, le Laura Cox Band a réuni 10 compositions efficaces et percutantes, permettant une immersion totale dans son style atypique. Avec ce disque, le groupe affirme plus que jamais son identité rock, teinté de blues, de country et relevé par de gros riffs de guitares.Bien conscient d’être à contre-courant de la scène française actuelle, le Laura Cox Band veut faire de sa différence une force, en continuant à jouer la musique qu’il aime : du rock old school dans sa plus simple forme.

Leur musique prend tout son sens sur scène, ne les ratez pas, ils joueront à Paris à La Boule Noire samedi 27 mai 2017 !

Laura Cox Band« Hard Blues Shot » (Live)