Gaëlle Buswel , une artiste atypique qui ne laisse pas indifférent. Une voix à faire frissonner les entrailles qui déclenche frissons et chair de poule en série. D’une générosité et d’un naturel absolu, cette jeune femme au sourire ravageur est une bête de scène avec une solide expérience du live. Plus de 500 concerts en Europe et 2 tournées en Amérique du Nord à la sortie de son 2ème album « Black To Blue » (Nov. 2014). Son dernier opus, l’excellent « New Day’s Waiting » est disponible depuis le 31 mars 2017.
Pas étonnant que la jeune artiste se soit tournée dès son plus jeune âge vers la musique des « seventies » aux voix rauques… Quand Led Zeppelin rencontre Joe Cocker et Queen au pied de son berceau et que, de l’autre côté, Neil Young et Janis Joplin se disputent les biberons, cela donne un mélange d’inspirations complémentaires. Adolescente, elle plongera en immersion au coeur du blues en découvrant les albums de Bonnie Raitt et Jonny Lang.

La scène, Gaëlle la connaît bien. Depuis ses 13 ans, elle enchaîne les concerts, notamment avec le groupe Cam On et parcourt la France, la Belgique et l’Angleterre.

Sa base de fans se développe rapidement après une vidéo qui circule sur un cover inattendu de Tina Turner. Elle part plusieurs mois jouer ses compositions en solo avec sa guitare à Londres et se fixe le défi de faire chanter les gens dans le métro, pour montrer à quel point la musique peut créer un échange entre les gens. De retour en France, ses fans la mettent au défi de faire de même dans le métro parisien.

Le résultat est surprenant. On la sollicite alors pour donner des concerts dans des centres de détentions et des hôpitaux pour enfants. Elle est comparée à Joan Baez et Melissa Etheridge. Des expériences qui révèleront une écriture authentique dans ces futures chansons. Chez Gaëlle, Pas question d’artifices. Elle se démène sur tous les fronts et se lance en solo, en autoproduction.Elle écrit et compose la plupart de ses chansons. Le résultat est prometteur avec la sortie de son 1er album « Yesterday’s Shadow » en 2012, en collaboration avec Neal Black, un album acoustique aux couleurs blues folk qui attire un public sensible à son univers original et authentique. Le titre éponyme sera classé n°1 aux Etats-Unis sur le site Concert Blogger, et sera diffusé sur W9 en France et sur de nombreuses radios étrangères et nationales, notamment TSF Jazz.

Son 2eme album « Black to Blue » sorti en novembre 2014 dans les bacs et produit avec l’aide de ses fans, attire un nouveau public, et l’Amérique du Nord lui ouvre les bras. Elle est invitée sur le JT de 20h à Saint Pierre et Miquelon diffusé également sur le Canada, réalise son 1er live sur la radio WFDU FM à New York et est sélectionnée « Artiste du Mois » par le magazine Américain Concert Blogger. Un album avec lequel elle tournera à travers le monde pendant 2 ans et demi.

Durant l’été 2015 elle part explorer les Etats-Unis pendant 45 jours avec sa guitare et se laisse guider au fil des rencontres. Un retour aux sources, aux bases essentielles de la musique. Une rencontre inattendue en particulier à Austin, Texas, changera sa vie en 48h lors d’une jam, celle de David un musicien qui lui offrira une de ses chansons « No One Else », une chanson qu’il chante depuis 20 ans dans la rue. Une promesse, enregistrer cette chanson avec lui et c’est chose faite fin 2015. Cette rencontre déclenchera l’écriture du 3ème album de Gaëlle Buswel « New Day’s Waiting » qui sortira le 31 mars 2017. Un album enregistré en analogique entre la France et le Texas dans lequel elle gardera la version du duo d’origine enregistrée avec David.
Gaëlle Buswel est à l’affiche de nombreux événements musicaux et festivals tels que : Le Festival d’Ete de Quebec (Canada), , le Tahiti Blues festival,  ouvre pour des artistes tels que : UB 40, Louis Bertignac, James Hunter Six, Elliot Murphy… le Lounge music festival avec Cherie fm, La Nuit de la Guitare, Musik à Manosque avec Les Tambours du Bronx devant plus de 10 500 personnes, en Angleterre, en Allemagne… Joue dans les plus belles salles de France tels que Le Trianon, La Cigale, Le Café de la Danse, Le Grand’Angle, Le Cabaret Sauvage, le Divan du Monde, , le New Morning, …

Elle joue pour la série Vampires Diaries lors de la venue des acteurs en France et assure la première partie de Tyler Hilton de la série « Les Frères Scott » et Darren Criss de la série « Glee ».

Elle se produit en Pologne et au Canada. En 2017 pour la sortie de son nouvel album, elle joue pour la 1ère fois en Arizona, et joue en Europe en 1ères parties de The Pretty Reckless, Beth HartMathieu Chedid, Vintage Trouble, ZZ Top.A peine rentrée de sa tournée au Japon en septembre 2017, Gaëlle Buswel ouvre pour toute la tournée française de Jonny Lang, un de ces artistes de références, où ils joueront entre autre à guichet fermé à la Cigale.  Elle reçoit un accueil remarquable du public qui lui offrira des standings ovations chaque soir de la tournée. avec un public toujours aussi comblé par son énergie débordante mêlée d’une intense émotion.

C’est donc aujourd’hui ses propres titres et son univers musical coloré par ses influences Américaines de blues rock, folk et rock 70’s mais bien ancré dans son époque, que Gaëlle Buswel partage avec son public. Des textes qui vous touchent en plein coeur, des mélodies qui vous saisissent et vous transportent. Sa capacité à traduire sa vision du monde en musique fait d’elle une artiste complète, sincère, unique.

Une artiste authentique suivie de très près par des milliers de fans venant des 4 coins du monde passionnés par sa musique aux couleurs américaines.

Le tout nouvel album de Cannibal Corpse « Red Before Black », disponible depuis le 3 novembre 2017 via Metal Blade Records, a intégré le classement des charts internationaux!

Cannibal Corpse est actuellement en tournée aux États-Unis avec Power Trip et Gatecreeper,  avant d’entamer une tournée Européenne en 2018 avec The Black Dahlia Murder, No Return, et In Arkadia.

Les américains de Galactic Cowboys reviennent avec le line up de 1989 et un nouvel album « Long Way Back To The Moon » , 17 ans après « Let It Go ».

« Long Way Back To The Moon » sera disponible le 17 novembre 2017 via Music Theories Recordings / Mascot Label Group.

Découvrez un extrait de ce nouvel opus avec « Next Joke »:

Track listing

1 In The Clouds
2 Internal Masquerade
3 Blood In My Eyes
4 Next Joke
5 Zombies
6 Drama
7 Amisarewas
8 Hate Me
9 Losing Ourselves
10 Agenda
11 Long Way Back To The Moon
12 Believing The Hype (Bonus Tracks)
13 Say Goodbye To Utopia (Bonus Track)

HellFest a dévoilé quatre groupes qui seront de la partie à Clisson les 22, 23 et 24 juin prochain. Une autre légende du Heavy Metal made in England est le 2eme tête d’affiche de la grande messe du Metal. Megadeth, Nightwish et le supergroupe Hollywood Vampires composé de Alice Cooper, Joe Perry et Johnny Depp sera là pour sa première date française. Enjoy.

Deaf Havana: Découvrez la vidéo live de « L.O.V.E »

Publié : 14 novembre 2017 par Alain B. dans Musique, News
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Le nouvel album du groupe anglais Deaf Havana« All These Countless Nights », est disponible depuis le 27 janvier 2017 via So Recordings. Une édition Deluxe intitulée  « All These Countless Nights » – Reworked » est sortie en octobre dernier, également sur So Recordings .

Découvrez la vidéo Live du morceau  « L.O.V.E »

« All These Countless Nights » en édition Deluxe intitulée « All These Countless Nights » – Reworked » , est sorti le 27 octobre sur So Recordings.

« All These Countless Nights » – Reworked » est une édition de luxe qui comprend la totalité des  titres de l’album d’origine sur le premier disque, avec 3 morceaux en bonus, tandis que le second disque présente l’album complet retravaillé. Les titres retravaillés ont été produits une fois de plus par Adam Noble, et plusieurs d’entre eux sont enregistrés avec  The Prague Philharmonic Orchestra, développant et décomposant les qualités mélodiques de l’album très acclamé par la critique, dans un tempo identique mais avec un effet impressionnant.

Tracklisting

Disc 1
Ashes To Ashes
Trigger
L.O.V.E
Happiness
Fever
Like A Ghost
Pretty Low
England
Seattle
St Paul’s
Sing
Pensacola, 2013

Bonus Tracks
Cassiopeia
Anemophobia Part II
Sickago

Disc 2
Ashes To Ashes (Reworked)
Trigger  (Reworked)
L.O.V.E (Reworked)
Happiness (Reworked)
Fever (Reworked)
Like A Ghost (Reworked)
Pretty Low  (Reworked)
England (Reworked)
Seattle (Reworked)
St Paul’s T (Reworked)
Sing (Reworked)
Pensacola, 2013 (Reworked)

Le 13 octobre dernier, à 13h13, le Hellfest lançait la mise en vente des pass 3 jours de sa 13ème édition… Moins de 30 heures plus tard le festival défrayait la chronique en affichant complet, et ce sans avoir annoncé un seul des groupes du line-up 2018 !

Aujourd’hui, lundi 13 novembre 2017, le festival annonce se première tête d’affiche: Iron Maiden !

Cette légende du Heavy Metal britannique se produira à Clisson pour la seconde fois.

Ce premier nom est le 1er d’une série de… 13… qui ne vont pas tarder à suivre dans les prochains jours.

Rendez-vous donc demain à… 13h13… pour découvrir 4 autres groupes qui participeront au Hellfest 2018!

 

La salle de « La Traverse » à Cléon est surtout réputée pour sa programmation axée sur le Blues, comme en témoignent les artistes à l’affiche de cette 25ème édition du Festival.

De nombreuses variantes de ce style musical sont également proposées, comme le Rock en version plus hard, afin de ravir une frange du public qui n’a pas hésité à faire le déplacement . C’est d’ailleurs dans ce cadre que se situe l’évènement de cette soirée automnale, avec la venue de Chris Slade, connu pour avoir officié dans AC/DC  entre 1990 et 1995 et toujours dans le groupe à ce jour depuis le remplacement de Phil Rudd sur la dernière tournée des australiens.

L’honneur d’inaugurer la scène reviendra aux Sticky Boys, qui va distiller un set remarquable de dynamisme. Le trio parisien ne fait pas dans la dentelle et envoie une succession de titres à l’accent bien rock’n’roll, joués avec une énergie sans faille. Avec 3 albums à leur actif, dont le tout dernier « Calling The Devil » sorti en début d’année, au contenu taillé pour prendre toute sa dimension en live. Alex, à la guitare et au chant, ne ménage pas ses efforts pour faire participer le public, tout comme ses 2 compères d’une section rythmique efficace.

 

Même si les compositions ne détiennent pas la palme de l’originalité, il faut bien avouer qu’elles font passer un bon moment, et c’est bien là l’essentiel.

Après une courte introduction instrumentale, l’arrivée de The Chris Slade Timeline, donne le ton d’entrée de jeu avec « Dirty Deeds Done Dirt Cheap« , extrait de l’album éponyme sorti en 1976. Paul « Bun » Davis met en avant un timbre de voix se situant en Bon Scott et Brian Johnson, et c’est lui qui tiendra le micro pour interpréter l’ensemble des titres d’AC/DC. Le bonhomme ne paye pas de mine, mais franchement, la similitude vocale est bluffante !

 

Mais la carrière de Chris Slade ne s’arrête pas au répertoire de nos australiens préférés ! Notre gaillard a une carrière longue comme le bras, et c’est un best of de ses principales collaborations qui va être proposé à une salle désormais pleine à craquer.

Avant l’entame de chaque titre, Chris mettra un point d’honneur à présenter lui même les groupes dans lesquels il s’est fait remarquer derrière les fûts. Manfred Mann’s Earth Band est de ceux là, avec « Davy’s on the Road Again » interprété par le second chanteur Steve Glasscock, dont les capacités lui permettront d’assurer efficacement le rôle de frontman polyvalent.

 

Les morceaux d’AC/DC alterneront avec le riche répertoire du batteur gallois, comme l’entrainant « July Morning » d’Uriah Heep, le plus calme « Parisienne Walkways » de Gary Moore ou encore le classique « Delilah » de Tom Jones.

C’est un Chris Slade tout sourire et non dénoué d’humour qui annonce, en français, les jours de la semaine : « lundi », « mardi »… « samedi » et « dimanche » associé aux cloches d’« Hells Bells » ! « Comfortably Numb » de David Gilmour nous transporte dans un univers plus progressif, qui contraste avec l’inévitable solo derrière lequel va s’enchainer « The Razor’s Edge », titre du seul album studio d’AC/DC auquel Chris Slade a participé.

 

L’ambiance devient surchauffée, lors de l’enchainement « You Shook Me All Night Long », « Riff Raff » et « Thunderstruck » ou Chris nous gratifie de frappes phénoménales sur les 2 grosses caisses latérales !

L’audience, très participative de bout en bout, va donner de la voix pendant les 2 rappels, à commencer par « Whole Lotta Rosie » suivi d’« Highway To Hell » délivré avec une incroyable puissance de feu.

Quel plaisir de voir des musiciens heureux d’être sur scène, et de partager cette complicité avec un public très réactif. L’interprétation d’une set list aussi variée démontre toute la qualité des musiciens, qui, loin de se contenter de « copier » les originaux, trouvent les arrangements qui les subliment. Une mention spéciale dans ce domaine peut être décernée au guitariste James Cornford, débordant de feeling.

 

Après 2 heures de show, Chris Slade et l’ensemble de son groupe ont pris le temps de venir à la rencontre du public, multipliant les photos et autographes, tout en se rendant disponible pour discuter… Une belle leçon d’humilité de la part d’artistes de ce niveau. Messieurs, vous revenez quand vous voulez !

Un grand merci à Paul Moulènes, Julien Crespy et l’équipe de « La Traverse » pour leur accueil et l’accréditation.

Report & photos © 2017 Alain BOUCLY

Setlist :
Dirty Deeds Done Dirt Cheap
Davy’s On The Road Again
High Voltage
July Morning
Hell’s Bells
Sin City
Parisienne Walkways
Comfortably Numb
Drum Solo
The Razor’s Edge
Delilah
Back In Black
Blinded By The Light
You Shook Me All Night Long
Riff Raff
Thunderstruck
Whole Lotta Rosie
Highway To Hell

Eric Martins-Guerra & Chris Slade

Quand 2 batteurs se rencontrent…. Eric, Batteur de Coverslave (Tribute Iron Maiden), avec Chris Slade, après le concert de The Chris Slade Timeline lors d’un aftershow bien sympathique !

Aaron Keylock: Un talent insolent !

Si vous êtes fan du rock blues de Kings Of Leon, Jack White, The Black Crowes ou Lynyrd Skynyrd, vous apprécierez Aaron Keylock.


Doté de belles très belles techniques de guitare, de l’apparence de Jimmy Page et une réputation croissante, ce compositeur talentueux venu d’outre manche est d’autant plus remarquable qu’il n’a seulement 18 ans.

Avec la sortie en janvier 2017 de son premier album intitulé « Cut Against The Grain », le jeune Aaron est prêt à battre les records de ventes et à monter sur les plus belles scènes internationales.

Pour Antoine de Caunes, « C’est de la bombe ». Pour Philippe Manœuvre, Didier Wampas, Rolling Stone, RTL2 etc…  c’est le lien entre Les Shériff et Téléphone!

Cachemire a dépoussiéré le Rock français avec son premier album sorti en 2015, faisant partie des 50 meilleurs albums indé. (Sacem)

Après une tournée de plus de 120 dates, un clip avec Daniel Wampas et Dick Rivers, les 4 rockers remettent le couvert avec un nouvel album réalisé par le maitre du rock français Charles De Schutter (-M-, Superbus, No One Is Innocent etc…)

Encore plus de gros son pour un objectif simple: Partager une énergies explosive sur scène ! Sortie prévue en mars 2018.

Le guitariste de Freedom Call, Chris Bay sortira son 1er album solo intitulé « Chasing The Sun » le 23 février 2018.

La vidéo du single « Radio Starligth » sera dévoilée le 1er décembre 2017.

C’est une activité reconnue que le fondateur et leader de Freedom Call partage avec de nombreux autres compositeurs: parfois même, la richesse d’inspiration dépasse l’étendue stylistique et thématique envers son propre groupe. « J’écris en permanence des chansons et je travaille constamment sur de nouvelles inspirations en studio », explique Chris Bay. « C’est ce qui explique la collection de nombreuses chansons que j’ai acquises au fil des années et qui, d’un côté, ne conviennent pas vraiment à Freedom Call , alors que d’un autre pont de vue, sont tout simplement trop bonnes pour prendre la poussière dans mes archives. »

La solution à son problème d’abondance : « Chasing The Sun », le premier album solo de Chris Bay qui sortira le 23 février 2018 sur Steamhammer / SPV, et qui s’engage d’une façon personnelle et incontestable dans la musique qui l’a inspiré depuis le début de sa carrière. Et bien que les chansons de l’album aient été créées sur une très longue période, Bay a produit tout les morceaux, au printemps 2017, dans son propre studio.

C’est la raison pour laquelle, « Chasing The Sun », malgré la diversité de ses titres individuels, sonne comme un seul et unique morceau. À côté de plusieurs chansons rock dans son style typique, Chris Bay a habilement mixé des  sonorités modernes sur le titre d’ouverture « Flying Hearts », en ajoutant sur « Hollywood Dancer », des touches de piano Wurlitzer qui rappellent les années 1970 et a créé avec « Where Waters Flow In Heaven » une chanson au groove lent et à l’atmosphère délibérément sombre avec un style avant-gardiste.

À l’opposé de cela, il y a le premier single « Radio Starlight » avec son énorme potentiel de diffusion, qui sortira numériquement le 1er décembre 2017 et avec lequel il y aura aussi un clip vidéo, aux images attractives qui vous donneront surement l’envie d’en découvrir plus.

« Radio Starlight »  souligne une fois de plus l’infinie facilité avec laquelle Chris Bay évolue dans son univers musical. Comme le suggère déjà le titre de l’album « Chasing the Sun », Chris Bay parle avec désinvolture des désirs et des souhaits de chacun d’entre nous tient dans cette sombre saison: soleil, liberté, chaleur et harmonie … un hit d’été en hiver, selon l’interprétation.