La seconde édition édition du Download Festival France aura lieu les vendredi 15, samedi 16, dimanche 17 et lundi 18 juin 2018 (4 jours au lieu de 3) sur la base aérienne 217 de Brétigny-sur-Orge / Le Plessis Pâté (Essonne, Île-de-France, France), à 30mn de Paris, parking gratuit et camping à 5 euros !

Cette troisème édition revient sur la base 217 pour la seconde fois, après une première à Hippodrome de Longchamp à Paris.

Voici la programmation :

Vendredi 15 Juin 2018

Main Stage
21h45 – 23h30 : Ozzy Osbourne
19h05 – 20h20 : Opeth
17h15 – 18h05 : Powerwolf
15h55 – 16h35 : Billy Talent

Main Stage 2
20h25 – 21h40 : Ghost
18h05 – 19h05 : Alestorm
16h35 – 17h15 : Eluveitie
15h15 – 15h55 : Wakan-Tanka

Warbird Stage
22h00 – 23h00 : Converge
19h20 – 20h20 : Underøath
17h25 – 18h05 : Thy Art Is Murder
15h55 – 16h35 : Bury Tomorrow

Spitfire Stage
20h40 – 21h40 : Vanderberg’s Moonkings
18h15 – 19h05 : Sidilarsen
16h35 – 17h15 : Pogo Car Crash Control
15h25 – 15h55 : Cellar Darling

Firefly Stage (Camping)
00h40 – 1h20 : Peter Alexander Band
23h40 – 0h20 : Hangman’s Chair
12h40 – 13h30 : Laura Cox Band
11h30 – 12h20 : Merge

Samedi 16 Juin 2018

Main Stage
21h55 – 23h25 : Marilyn Manson
19h30 – 20h30 : Avatar
17h40 – 18h40 : Hollywood Undead
16h00 – 16h50 : Turbonegro
14h40 – 15h20 : Crossfaith

Main Stage 2
20h35- 21h50 : The Offspring
18h40 – 19h30 : Nofx
16h50 – 17h40 : Betraying The Martyrs
15h20 – 16h00 : Alcest
14h00 – 14h40 : Wild Mighty Freaks

Warbird Stage
22h10 – 23h10 : Meshuggah
19h20 – 20h30 : Ultra Vomit
17h50 – 18h40 : Thrice
16h10 – 16h50 : Tagada Jones
14h40 – 15h20 : Whiskey Myers

Spitfire Stage
20h50 – 21h50 : Treponem Pal
18h40 – 19h30 : Mantar
17h00 – 17h40 : Nothing More
15h20 – 16h00 : Skinny Lister
14h10 – 14h40 : Ded

Firefly Stage (Camping)
00h40 – 1h20 : Galactic Empire
23h40 – 0h020 : Cemican
12h00 – 12h40 : Bad Cop Bad Cop
11h00 – 11h40 : Jean Jean

Dimanche 17 Juin 2018

Main Stage
21h00 – 23h30 : Foo Fighters
18h50 – 19h50 : The Hives
17h00 – 17h50 : Franck Carter & The Rattlesnakes
15h30 – 16h10 : Wolf Alice
14h10 – 14h50 : The Noface

Main Stage 2
19h50 – 20h50 : Mass Hysteria
17h50 – 18h50 : Dead Cross
16h10 – 17h00 : Royal Republic
14h50 – 15h30 : The Struts
13h30 – 14h10 : Teacup Monster

Warbird Stage
18h50 – 19h40 : Perturbator
17h00 – 17h50 : Slaves
15h30 – 16h10 : Graveyard
14h10 – 14h50 : Starcrawler

Spitfire Stage
19h55 – 20h55 : Ego Kill Talent
18h00 – 18h50 : Landmvrks
16h10 – 17h00 : Arcane Roots
14h50 – 15h30 : The Last Internationale

Firefly Stage (Camping)
00h40 – 1h20 : In Search Of Sun
23h40 – 0h20 : Nesseria
12h00 – 12h40 : Stone Broken
11h00 – 11h40 : Kaiser Franz Josef

Lundi 18 Juin 2018

Main Stage
20h00 – 23h30 : Guns N’ Roses
18h20 – 19h10 : Volbeat
16h40 – 17h20 : Jonathan Davis
15h20 – 16h00 : Baroness

Warbird Stage
18h50 – 19h50 : Seether
17h20 – 18h20 : Greta Van Fleet
16h00 – 16h40 : The Pink Slips
15h00 – 15h40 : The G

Firefly Stage (Camping)
12h00 – 12h40 : Jared James Nichols
11h00 – 11h40 : Grit

Les billets sont en vente sur le site officiel du festival.

Note : L’article sera mis à jour régulièrement.

Pour plus d’informations :

« En parlant de Scorpions » l’autobiographie d’Herman Rarebell, le batteur-culte de Scorpions enfin traduite en français !
Par Guillaume Gaguet, auteur de la biographie de Scorpions saluée par les fans et la critique
« 50 Ans Dans l’Oeil du Cyclone ».

Le mot du traducteur :
Herman Rarebell a été le batteur de Scorpions entre 1977 et 1995, ce qui correspond globalement à l’âge d’or commercial du groupe. De là à dire que le succès du groupe est lié à la présence d’Herman, il n’y a qu’un pas que le batteur n’hésite pas à franchir dans son autobiographie, qui retrace l’intégralité de son parcours. Il faut dire que Herman a dès le début été plus qu’un simple exécutant, puisqu’il a pris part à l’écriture et à la composition de plusieurs dizaines de morceaux pour Scorpions.
Très tôt, Herman a apporté une touche de légèreté dans la musique de Scorpions, en proposant des paroles crues, très orientées sur la libido, alors que les paroles de Klaus Meine étaient plutôt empreintes d’un certain amour courtois. Pour Herman, pas de romantisme, c’était sex, drugs et
rock’n’roll, et il partage dans son autobiographie énormément d’anecdotes concernant le sexe et
l’usage des stupéfiants.. Herman est un hédoniste dont le comportement s’accorde parfaitement avec l’énergie débridée des années 80.
Dans son livre, Herman traite de tous les sujets. De son enfance en Allemagne de l’ouest jusqu’aux
événements les plus récents de sa carrière, en passant bien sûr par ses 18 années passées au sein
de Scorpions, qui sont illustrés par de nombreuses anecdotes. Herman a réussi à préserver sa candeur originelle, l’énergie de ses débuts, même si le livre est empreint d’un certain réalisme parfois désabusé. On y trouve également des réflexions fournies sur l’amour, le succès ou l’absence de succès, et sur les méandres qui peuvent amener un jeune musicien à sombrer dans l’alcoolisme et la drogue. C’est un témoignage drôle et émaillé de nombreux traits d’esprit, car Herman est bourré d’humour, mais aussi très touchant et empli de sagesse.
J’espère que les amateurs de la musique de Scorpions et de hard rock en général prendront autant de plaisir à lire cet ouvrage que j’en ai eu à le traduire. J’ai la chance d’être intime avec Herman depuis plus de 10 ans maintenant, et il est vraiment très heureux que son autobiographie connaisse une nouvelle vie sur le territoire français. En parlant de Scorpions c’est l’histoire d’un groupe, c’est aussi l’histoire d’un homme, mais c’est en substance l’histoire du rock, et de la victoire du culot et du talent face à l’adversité.

Le quatrième de couverture :
Comme un outsider dépassant ses adversaires,  Scorpions a, contre toute attente, fini par atteindre les sommets. À la fin des années 70, ils ont quitté le relatif anonymat de leur ville de Hanovre en Allemagne pour trôner sur le royaume du rock’n’roll.
Herman Rarebell, surnommé Herman « Ze German », y a pris toute sa part. Plus qu’un simple batteur, l’écriture inspirée et imaginative de Herman était l’ingrédient-clé et le chaînon manquant qui a permis au groupe de percer alors que les prétendus « connaisseurs » ne croyaient pas un seul instant en ses chances de réussite.
Dieter Dierks, producteur de longue date des Scorpions, dit de lui :
Au-delà d’un simple batteur, Herman a joué un rôle prépondérant dans l’évolution de ce qui serait reconnu comme le style Scorpions « classique ». La musique débute avec le batteur. Peu de gens le savent. Un simple coup d’oeil au « succès » du groupe, ou plutôt à l’absence de succès, avant l’arrivée de Herman « Ze German », puis la perte de popularité du groupe après son départ, témoignent du rôle essentiel qu’il a joué au sein de Scorpions.
Ce qui nous est livré ici est bien plus que la chronique élogieuse d’un homme ordinaire. Ce livre est tout sauf cela. Au-delà de l’auteur, c’est d’abord l’histoire de ce qui est certainement le plus grand groupe de son époque. Une histoire émaillée d’anecdotes amusantes, de traits d’esprit souvent emplis de sagesse. Considéré comme un chef-d’oeuvre par les amateurs d’un humour ironique ou satyrique, il s’adresse tout autant aux amoureux de narrations bien troussées, et renouvelle le genre autobiographique. Par ses incessantes histoires et anecdotes, Herman décrit le parcours du groupe jusqu’au sommet de l’Olympe du rock !
Son co-auteur, Michael Krikorian, use de sa plume pour les colorer, apportant plus de teintes et de nuances qu’aucune boîte de crayons Crayola n’en a jamais contenu. Ensemble, ils dressent la table et servent un banquet fait de souvenirs et de sarcasmes, un véritable festin de roi ! Aucun sujet n’est éludé par ce maître de la précision qui use et abuse de jeux de mots et de sous-entendus, pour écrire l’histoire non seulement d’un groupe extraordinaire mais aussi celle de toute une génération. Sans les calories, mais avec le même sentiment de culpabilité, la franchise et l’honnêteté qui nourrissent ces pages procurent un plaisir délicieusement coupable qui, loin de vous couper l’appétit, vous en fera réclamer davantage !

Pré commandes ICI

Actuellement en train de terminer son deuxième album avec le producteur primé, Joshua Valleau (Kanye West, John Legend, Snoop Dogg, Common, Imani Coppola et Alice Smith), Mother Feather a lancé une nouvelle Lyric vidéo pour le titre « Trampoline », qui sera diffusée lors de la première de la saison de  ‘Shameless’.

La Lyric vidéo a été créée par King Z (Dylan Bowman), un jeune artiste que Ann Courtney de Mother Feather a rencontré par hasard lors d’un concert du groupe à Brooklyn il y a quelques années.

‘Il m’a fait une forte impression’, dit Courtney. ‘C’était son premier show rock à New York City et dans son regard sauvage brillait la flamme d’un enthousiasme absolu, et je l’ai aimé tout de suite . Dylan a déménagé à Brooklyn pour aller à l’école d’art de Pratt peu de temps après et je suis devenu une grande fan de ce style psychédélique spectaculaire, qui est en plein écran dans sa websérie, «King Z.» J’ai été ravi quand il a accepté de collaborer et de prêter son style pour la lyric vidéo de « Trampoline ».

Mother Feather a sorti son album éponyme l’an dernier via Metal Blade Records. Grâce à cet album, le groupe a suscité un engouement massif pour ce style de rock unique, leurs costumes, leurs maquillages Bowie-esque et leurs concerts captivants.

 

Line Up

Ann Courtney: Vocals
Elizabeth Carena: Vocals & Keyboards
Matt Basile: Bass
Chris Foley: Guitar
Gunnar Olsen: Drums

 

Cannibal Corpse sort aujourd’hui son 14ème album, « Red Before Black », via Metal Blade Records.
Découvrez le nouveau single, « Scavenger Consuming Death »:

Beaucoup de mots viennent à l’esprit lorsque vous entendez le nom de Cannibal Corpse, mais avec près de 30 ans de carrière on peut vraiment dire que ces vétérans du death metal sont impossible à stopper.

Produit par Erik Rutan (Hate Eternal, Goatwhore), « Red Before Black » est non seulement là pour démontrer cela, mais aussi pour relever de nouveau défis, ce qui rend évident ce qui définit leur style en matière de musique est toujours aussi convaincant, que brutal et complexe. En outre, le groupe a poussé la barre encore plus haut, en veillant à ce qu’il se distingue de sa discographie.

«Tout au long de notre carrière, nous avons cherché à améliorer aussi bien notre technique d’exécution musicale que notre production d’album, tout en maintenant une agression complète. « Red Before Black » continue dans cette direction, mais va encore plus loin dans le côté agressif . il est certainement d’une grande précision, mais il a une sauvagerie qui dépasse tout ce que nous avons fait récemment « , affirme le bassiste Alex Webster. «Nous avons vraiment travaillé intensément pour composer ces chansons, les jouer et les rendre exactement comme nous voulions qu’elles soient et comme dans aucun de nos albums précédents», ajoute le batteur Paul Mazurkiewicz. « Et comme l’a dit Alex, musicalement, je pense que c’est le son le plus brut que nous ayons eu jusqu’à présent, et en même temps je pense que c’est notre disque le plus concentré, le plus rigoureux et le plus catchy ».

Track-listing

1. Only One Will Die
2. Red Before Black
3. Code of the Slashers
4. Shedding My Human Skin
5. Remaimed
6. Firestorm Vengeance
7. Heads Shoveled Off
8. Corpus Delicti
9. Scavenger Consuming Death
10. In the Midst of Ruin
11. Destroyed Without a Trace
12. Hideous Ichor

 

Red Before Black est disponible dans les formats suivants:

–digipak CD
–limited edition 2CD digipak (EU exclusive)
–opaque red vinyl (USA exclusive – limited to 700 copies)
–coke bottle clear vinyl (USA exclusive – limited to 500 copies)
–white vinyl (FYE exclusive – limited to 300 copies)
–transparent red / clear split vinyl (USA exclusive – limited to 500 copies)
–translucent blue vinyl (Hells Headbangers exclusive – limited to 300 copies)
–180g black vinyl (EU exclusive – limited to 1500 copies)
–olive green marbled vinyl (EU exclusive – limited to 500 copies)
–blood red / black marbled vinyl (EU exclusive – limited to 300 copies)
–blood red / white splattered vinyl (EMP exclusive – limited to 200 copies)
–white / red splattered vinyl (Ebay exclusive – limited to 200 copies)
–opaque wine red marbled vinyl (Napalm exclusive – limited to 200 copies)
–box-set (limited to 1500 copies): limited edition 2CD digipak, ‘Blood Covered’ white / red marble vinyl, cassette, back patch, sweat band, guitar picks, and poster in a black cardboard box (~12.5″ x 12.5″ x 1.25″)
* exclusive bundles with a shirt, plus digital options are also available!

Ana Popovic sera sur la scène du Ziquodrome à Compiègne jeudi 23 novembre 2017 à 20 heures. Un concert exceptionnel de cette virtuose de la guitare à ne manquer sous aucun prétexte !

Brain Fiction assurera la 1ère partie.

Ana Popović naît à Belgrade le 13 mai 1976. Son père l’initie très tôt au blues, grâce à une collection impressionnante de disques, ainsi que par des concerts dans la maison familiale. Ana crée son premier groupe à l’âge de 19 ans. Pendant un an, elle joue à l’extérieur de la Yougoslavie, faisant les premières parties des concerts de stars du blues comme Junior Wells. En 1998 son groupe donne une centaine de concerts et passe régulièrement à la télévision yougoslave. Son premier CD « Hometown » montre un aperçu de ses talents de chanteuse et de guitariste.

En 1999, Ana déménage aux Pays-Bas pour étudier la guitare jazz. Elle devient rapidement un pilier de la scène du blues hollandais et s’aventure également dans l’Allemagne voisine. Avec l’album « Comfort to the Soul » (2003), Ana propulse sa carrière à un niveau supérieur, elle jongle avec diverses formes de blues, de rock de soul et de jazz. Cet album montre une idée claire : Ana Popović ne se contente pas de clichés usagés. Son blues est frais, positif et ouvert aux autres genres.

Ana Popović est une véritable exception de la scène du blues, dans les milieux professionnels, on la surnomme souvent la Jimi Hendrix au féminin.

Tarif unique 20 euros, sur place ou par réservation sur http://www.lesnotesbleues.fr/2017/11/ana-popovic-guest-brain-fiction/

Black Label Society a annoncé une tournée européenne à l’appui de son nouvel album Grimmest Hits. Les 2 premières dates se dérouleront en France, avec un concert à Paris / Le Bataclan le 09 mars 2018, et à Toulouse / Le Bikini le 10 mars.
La mise en vente des billets débutera le vendredi 3 novembre.

Avec un séjour d’un mois en Europe à travers onze pays et 24 concerts à plein régime, Black Label Society jouera à l’emblématique Royal Albert Hall de Londres le 5 avril 2018.

Avec dix puissants albums studio , la setlist promet de porter sur toute la discographie de BLS et Zakk Wylde, frontman du groupe, peut invoquer sa guitare comme l’arme Viking absolue pour envoyer d’énormes Riff, et hurler de manière énergique comme si la gloire de son fraternel Berserker (guerrier nordique) dépendait de chaque note, et c’est exactement le cas.

Black Label Society sortira son dixième album intitulé « Grimmest Hits » le 19 janvier 2018 via Spinefarm Records.

« Room Of Nightmares » est disponible sur toutes les plateformes de téléchargements et streaming . Le titre est également proposée gratuitement sur  iTunes, pour tous les fans qui  précommandent l’album . « Room Of Nightmares » sera en téléchargement instantané ICI

« Grimmest Hits » Track List
1. Trampled Down Below
2. Seasons Of Falter
3. The Betrayal
4. All That Once Shined
5. The Only Words
6. Room Of Nightmares
7. A Love Unreal
8. Disbelief
9. The Day That Heaven Had Gone Away
10. Illusions Of Peace
11. Bury Your Sorrow
12. Nothing Left To Say

 

Sinsaenum revient avec un nouvel EP « Ashes ». Leur album « Echoes Of The Tortured » qui a été nominé meilleur 1er album par Metal Hammer Allemagne, a également été plébiscité par les media du monde entier comme l’un des meilleurs albums de death metal. Suite à cette sortie en 2016, Sinsaenum avance et franchit un cap.

« Ashes » contient plus de 30 minutes de musique époustouflante, dont 3 titres inédits, qui montrent l’amour de Sinsaenum pour les racines du death metal et de la musique extrême.

Par ailleurs, 2 titres précédemment sortis en tant que bonus track japonais vont finalement pouvoir être apprécié par le reste du monde. Et pour clôre le tout, le producteur et musicien français de renom Frederic Duquesne (Mass Hysteria, guitare) a fait un remix du titre « Dead Souls ».

La cover de l’EP a été dessiné par Maxime Taccardi, un artiste torturé et sombre, qui a réussi à capturer l’essence de la musique de  Sinsaenum.

Frédéric Leclercq déclare: “« Ashes » montre une façette plus mature de notre musique, mais aussi un côté plus énervé. Vraiment plus énervé.  On voulait que la production soit plus brute. On est très loin d’être polis : on veut juste chopper les gens qui nous écoutent par la gorge et leur cracher notre haine à la figure.

Avec cet EP, on s’est dépassé. La vibe black metal est encore plus présente sur les 3 nouveaux titres, tout comme les synthés qui apportent une note plus sinistre. Tester des choses avec des claviers et des machines ne nous fait pas peur. Le côté dark de la musique peut venir de pleins de choses différentes.”

Il n’est pas difficile d’étiqueter Sinsaenum comme un super groupe, puisque il regroupe Fred Leclercq de Dragonforce et Joey Jordison (VIMIC, ex batteur de Slipknot).  Le reste du groupe n’en est pas moins important et crédible: Attila Csihar (Mayhem, chant), Sean Zatorsky (Dååth, chant), Seth Heimoth (basse) et Stephane Buriez (Loudblast, guitare) –  tous étant très respectés dans leurs domaines respectifs– et complete donc l’ensemble, faisant de Sinsaenum l’incarnation du heavy metal de premier rang.

« Ashes » sortira le vendredi 10 Novembre  2017

A Perfect Circle revient d’entre les damnés, 14 ans après son dernier album et passage à Paris. Le supergroupe mené par Maynard James Keenan, le chanteur de Tool, s’invite à l’Olympia en juin 2018.

On ne va pas tourner en rond, le retour inattendu de la semaine est évidemment signé par A Perfect Circle. Le supergroupe s’offre d’ailleurs un comeback en grande pompe avec un nouvel album, attendu en 2018 et une tournée. Maynard James Keenan et ses collègues viendront même en France pour un concert unique.  Porté par les notes engagées politiquement de « The Doomed », le supergroupe risque bien de mettre le feu à l’Olympia lors de leur passage plus qu’attendu.

Pour applaudir A Perfect Circle, il n’y a qu’une seule solution : être dans la salle du mythique Olympia de Paris, le mardi 26 juin 2018. Il n’y a pas le choix car le groupe de rock ne prévoit pas de faire une deuxième date en France. Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire si vous voulez voir le retour inespéré de Maynard James Keenan et de ses complices.

The Raven Age est de retour et sera en concert à Paris / la Boule Noire le 9 novembre prochain. La première partie sera assurée par Shuffle.

The Raven Age a été fondé par George Harris, fils du bassiste d’Iron Maiden Steve Harris. Le groupe de Melodic Metal originaire de Londres, a vu le jour en 2009 lorsque les 2 guitaristes fondateurs, Dan Wright et George Harris ont eu l’idée de créer une musique heavy contemporaine, avec de puissants chants mélodiques de manière à obtenir un son unique et épique. Leur premier album studio « Darkness Will Rise » est sorti le 17 mars 2017.

Shuffle est un mélange puissant de rock progressif et alternatif, agrémenté de touches métal et hip hop, avec une patte « vintage » et un esprit « West Coast ». Influencée par des groupes comme Porcupine Tree, Foo Fighters, Incubus, Deftones ou Rage Against The Machine, la musique de Shuffle passe par différents états émotionnels et sonne résolument moderne.