Le 16 mars 2018, Wishbone Ash entamera sa tournée française au Ziquodrome de Compiègne. Ce groupe légendaire, fort de plus de 50 ans de carrière, viendra nous régaler lors de ce concert qui s’annonce comme l’évènement de ce mois de mars.
Ouverture des portes: 20h00
Tarifs: 20,00€ en prévente, 23,00€ sur place
Billetterie ICI

Wishbone Ash est un groupe résolument à part dans l’histoire du Rock. Trop délicat pour être considéré comme un groupe de hard rock, pas assez alambiqué pour être catalogué Rock Progressif, Wishbone Ash avec sa classe « So British » est unique.

Formé en 1969, Wishbone Ash connait un succès immédiat avec son album éponyme en 1970. Puis ce sont « Pilgrimage » (1971) et surtout « Argus » (1972) qui les portent au sommet. Avec des millions d´albums vendus, des concerts dans le monde entier, ce groupe aura marqué les années 70.

Leurs parties de guitares harmonisées, véritable signature sonique du groupe, influenceront plusieurs combos majeurs, notamment Thin Lizzy et Iron Maiden.

Toujours emmené par l’homme à la Flying V, Andy Powell, (voir l’interview ICIWishbone Ash a sorti plus de 30 albums depuis ses débuts et son dernier DVD « Live in Paris 2015 » montre que les musiciens de ce groupe hors catégorie restent des bêtes de scène. Un concert à ne manquer sous aucun prétexte.

Nous continuons notre tour de Slovénie avec cette fois les premiers noms divulgués pour la nouvelle édition du Motorcity Festival, qui se déroulera à Tolmin, du 16 au 19 aout 2018.

Le site du Motorcity est également le même site qui recevra le prochain Metal Days et le Overjam spécialisé en reggae.
Les producteurs de ces festivals de divers styles de musique, en utilisant le même site, mutualise de fait les couts.
Voici les premiers noms annoncés pour cette 2ème édition du Motorcity:
Laurence Jones, Popa Chubby, Hamo & Tribute To Love, Stray Train, The Brew and The Bad Fowers.

Billets disponible ICI

Kave Fest: Odyssey s’ajoute à l’affiche

Publié : 28 février 2018 par Alain B. dans Musique, News
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Odyssey s’ajoute à l’affiche du Kave Fest 2018 ! Une très belle découverte au sein de la Kommunauté.
Un petit aperçu ? Ça se passe là :

Odyssey s’ajoute à l’affiche du Kave Fest qui se déroulera le 30 juin prochain à Chatou (78), en plus des 5 groupes déjà annoncés:
ACYL (Ethnic Experimental Metal / Paris),
Malemort (Metal libre / Paris),
Nemost (Melodic/Progressive Death Metal / Paris).
Temnein (Melodic Death Metal / Progressive / Nancy)
Kera (Progressive Death Metal / Paris)

Le Kave Fest est un festival metal en plein air sur une journée dans un jardin en banlieue parisienne. Durant cette journée, vous aurez l’occasion de profiter des groupes, du soleil, d’un barbecue et de moultes bières, tout ceci dans une ambiance accueillante et konviviale.

Chacun est libre d’apporter la nourriture et les boissons qu’il souhaite (à condition d’être conservées dans une bouteille en plastique) mais ça serait dommage de ne pas se péter le bide à notre Bar-beukiou. Le billet d’entrée sera à 135 Dirham en prévente (12 euros – hors frais) et 1027 Roubles sur place. (15 euros).

Dusk Of Delusion vient de dévoiler sa nouvelle vidéo « White World ». Ce titre est extrait de l’album « (F)unfair » qui sortira le 9 mars 2018 via Fantai’Zic

Influencé par des groupes tels que Korn, Slipknot, Dusk Of Delusion est un groupe de Néo-Métal fondé officiellement en septembre 2016 en Meurthe-et-Moselle.
Né de la volonté de ses membres de faire une musique à la fois énergique, scénique et mélodique, les cinq musiciens comptent bien déferler sur les scènes de l’Est, de France et d’ailleurs pour en découdre avec le public.

Les membres n’en sont pas pour autant à leur coup d’essai :
Julien Skorka (Bassiste : Elvaron / Louka) et Matthieu Moraand (Guitariste : Elvaron / La Horde / Akroma / Louka) se connaissent bien pour avoir joué ensemble depuis longtemps et ont déjà sorti plusieurs albums. Ils décident en janvier 2016 de se lancer dans des compositions plus « rentre-dedans » et compatibles avec la scène.
Ils contactent Romu Carre (Batterie : Redline / Echoes / Ghord) pour se lancer dans l’aventure puis Benoît Guillot (Chant : Redline / Echoes) au chant.
Le courant passe très vite entre les quatre comparses qui semblent partager la même vision du groupe. Décision est prise qu’un deuxième guitariste apporterait plus d’énergie et d’arrangement dans les compositions.
Et c’est Claude Colmars (Forsaken World / Deadmen) qui intègre la formation.

Le sérieux des cinq musiciens fait qu’à ce jour 12 compositions sont prêtes à être jouées sur scène, toutes autour d’un concept inspiré par les anciennes fêtes foraines. Chaque composition est une analogie entre un stand, son occupant et plusieurs vices jalonnant nos sociétés actuelles. Ainsi vous pourrez croiser au fil de l’écoute un banquier jongleur, un joueur invétéré lanceur de couteau, un manipulateur marionnettiste et encore bien d’autres…

Dusk Of Delusion est donc un mélange détonnant de savoir faire et d’énergie au service du métal.

Le groupe Melodic Thrash Metal Deficiency vient de mettre en ligne la vidéo du concert « The Experiment » (The Prodigal Child), joué en live le 18 novembre 2017 au Théâtre de la Médiathèque, Freyming-Merlebach (FR), sur la tournée Hexagon Thrash Alliance.

L’album « The Dawn Of Consciousness » est disponible depuis le 24 mars 2017 via Apathia Records.

Tracklist:

1. Newborn’s Awakening (5:17)
2. Uncharted Waters (5:22)
3. Another Fail To Come (5:40)
4. From A Less To A Greater Perfection (5:05)
5. The Upriser (5:55)
6. Face The World We Experience (5:55)
7. Nausera (5:28)
8. And Now Where Else To Go (7:35)
9. The Post Knowledge Day (7:15)
10. Fearless Hope (5:20)

Deficiency est un groupe de Thrash Metal mélodique français, né en 2008. Influencé à la fois par les pionniers du Thrash Metal américains et européens, mais aussi par toutes les nouvelles vagues de Metal modernes, le groupe allie parfaitement les genres et propose un style complet, à a fois agressif, mélodique, fin et technique.

Deficiency sort en autoproduction son premier album « State Of Disillusion » en 2011, qui est bien accueilli par la critique et le public. Ce premier effort lui permet de tourner en France et à l’étranger, et d’ouvrir notamment pour des groupes comme Decapitated, Evile ou Suicidal Angels, mais aussi de signer sur le label Fantai’Zic Productions.

Le groupe enregistre alors son second album « The Prodigal Child » au Dome Studio (Lyzanxia, One Way Mirror, T.A.N.K), la production surpuissante étant signée David Potvin. Avec ce nouvel album, Deficiency pousse son Thrash Metal mélodique dans ses derniers retranchements : la brutalité, la puissance et la technique rencontrent volontiers des sonorités bien plus fines et nuancées.
« The Prodigal Child » est un concept-album qui plonge l’auditeur dans une quête de vérité passionnante et intrigante sur l’origine, le dessein et le devenir de l’humanité. L’album sort en octobre 2013 (Fantai’Zic Productions / Socadisc-Absilone distribution). Les nombreux retours de la presse spécialisée sont unanimes, et placent Deficiency parmi les formations les plus prometteuses du Thrash Metal européen. Le groupe commence alors un long périple pour défendre son nouvel opus (le « Prodigal Tour » 2013-2015), au cours duquel il se produit en festival (« Lezard’Os Metal Fest », Napalm Death, Asphyx, Onslaught -, « Rock Your Brain Fest » Carcass, Destruction, Coroner, Vader) et partage la scène avec nombreux groupes confirmés français (No Return, Bukowski, Gorod, Benighted) ou internationaux, avec une date exceptionnelle en support de Machine Head, puis une première partie de Testament. En mars 2015, Deficiency participe au « Conquering Europe Tour » aux côtés des pointures actuelles du Thrash Metal du vieux continent : Suicidal Angels, Angelus Apatrida et Dr.Living Dead. Au cours de l’été, c’est au « Motocultor Festival » (Opeth, Trivium, Sepultura, Death DTA) d’accueillir les Lorrains. C’est sans conteste sur scène que Deficiency exprime son plein potentiel et sa motivation.

Ange en concert, c’est toujours un évènement particulier. Et la présence à « La Traverse » du groupe originaire de Belfort va une nouvelle fois, rester dans les mémoires d’un public présent en masse, la salle affichant quasiment « sold out ».

Au même titre que Magma ou encore Little Bob, qui ont laissé leur empreinte sur la scène de Cléon ces derniers mois, Ange fait partie de ces formations légendaires françaises qui affichent pas loin de 50 années de carrière au compteur. Cette longévité exceptionnelle s’explique par le fait d’être resté fidèle à leur style depuis leurs débuts, sans tenir compte des modes du moment. C’est d’ailleurs ce qui leur a permis de traverser les époques, tout en faisant preuve d’une abondante créativité qui mérite le respect.

Preuve en est avec cette tournée qui démarre, pour nous permettre de découvrir le 44ème album, et qui sillonnera la France et l’Europe entre 2018 et 2020.
Intitulé « Heureux », titre de ce dernier opus, ce périple n’en est qu’à ses prémices, puisque cette halte en Normandie n’est que la 3ème date de ce programme chargé.

Cela tombe bien, car l’entame du show nous offre un extrait de cet enregistrement, réalisé dans des conditions particulières (voir l’interview de Christian Décamps – prochainement en ligne sur le site). Avec « L’Autre Est Plus Précieux Que Le Temps », nous voilà plongé dans l’univers musical et poétique si caractéristique  du groupe, avec les envolées mélodiques qui accompagne le verbe d’un Christian Décamps toujours aussi expressif.

5 nouveaux titres seront à l’honneur ce soir, soit plus de la moitié de l’album, dont la sortie officielle est programmée pour le 2 mars 2018. Les ovations nourries entre chaque titre, témoignent de la parfaite maitrise des 5 musiciens, dans l’interprétations des compositions qui passent remarquablement le cap de la scène. Servi par un son irréprochable (une des meilleures acoustiques de France), Ange distille ses mélodies imparables, soutenues par une rythmique particulièrement efficace.

Toujours aussi Théâtral, la gestuelle de Christian s’accompagne d’une chouette durant, « Aujourd’hui C’est La fête Chez L’apprenti Sorcier », avant d’enchainer avec « Jour De Chance Pour Un Poète En Mal De Rimes ». L’émotion est au rendez vous, en étant témoin du bonheur ressenti par le père et son fils Tristan, face à face, distillant les notes cristallines de leurs claviers.

La communion est totale, renforcée par une communication faite de mots toujours bien sentis, dont le membre fondateur a le secret: « Sans le public, l’artiste n’est qu’un leurre ! »
Même si le choix de sortir un titre de l’imposante discographie du groupe peut s’avérer délicat, nous aurons droit à l’atmosphère unique de « Ballade Pour Une Orgie » extrait d’« Au Delà Du Délire », le chef d’œuvre absolu sorti en 1974. Les frissons parcourent l’assistance au son des accords acoustiques d’Hassan, avant l’enchainement énergique de riffs et solis digne des meilleurs « guitar Hero » ! Impressionnant de feeling et de virtuosité, ce guitariste va nous faire vibrer à chacune de ses interventions. Tristan n’est pas en reste, notamment lorsqu’il pousse sa voix puissante sur « Quasimodo ».
La magie se poursuit jusqu’au rappel, dont l’intro reconnaissable de « Ces Gens là » va nous faire vivre un dernier moment d’anthologie, tant l’adaptation personnelle de cette version grandiose est parfaite pour clôturer la soirée.
Les applaudissements n’en finissent plus, devant le groupe qui salue longuement un public conquis, j’allais dire « Heureux » !

Ange a livré une nouvelle fois une performance aboutie sur tout les plans, en parfaite osmose avec une audience très participative. Quel régal de découvrir les nouveaux titres en live, lors d’une set list bien équilibrée avec les classiques incontournables.

Remarquablement servis par un son bien dosé et des éclairages subtilement travaillés, ces ingrédients ont contribué à la réussite de ce concert mémorable.
Je vous donnerai juste un petit conseil : Ange passera certainement près de chez vous lors des 2 années à venir. N’hésitez pas à venir rêver et passer un moment inoubliable avec eux!

Vous en sortirez « HEUREUX »

Remerciements à Paul Moulènes et Julien pour l’accréditation et pour nous avoir permis de travailler dans de bonnes conditions

Report & photos © 2018 Alain BOUCLY

Précision concernant les images: Suite à la recommandation du groupe, il n’y aura pas de photos de ce concert pour illustrer ce report.

Voici le communiqué officiel:
« Ange n’interdit pas de prendre des photos pendant les concerts. Cependant, par respect pour le public à venir et pour laisser le plaisir de la découverte du nouveau spectacle, Ange demande qu’aucune photo et vidéo ne soient divulguées sur le net avant le 14 Avril. Merci de bien vouloir jouer le jeu »
Interview de Joël Majchrzak « JoeCriss », batteur de Dynasty
Propos recueillis par Alain BOUCLY

Merci Joël, pour ta participation à cet entretien, et de prendre le temps de nous livrer tes impressions sur ton parcours de musicien.

Depuis combien de temps joues-tu avec Dynasty et peux tu nous résumer ton parcours avant d’intégrer le groupe ?

Je joue avec Dynasty depuis sa création en 1998.

Concernant mon parcours, je dirais que ma première expérience dans un groupe remonte à 1982 avec Fight ( groupe de compos ), jusqu’en 1983.
L’année suivante, il y a eu un passage éclair ( comme le groupe d’ailleurs ), dans Wall Street. Je joue ensuite dans Wax Squire de 1984 à 1998, période au cours de laquelle virent le jour une démo 4 titres et un CD de 2 titres, toujours avec nos propres compositions.

En parallèle, de 1993 à 1998 je fus le batteur de Krazy Lizzy*, et là aussi, 2 CD seront enregistrés. Ces deux derniers groupes splitèrent en 98 ( pour des raisons d’usure je crois ) , et c’est avec des musiciens de Wax & Krazy que le projet Dynasty voit le jour : Thierry ( Gene ), Jean Michel ( Stan ), Serge ( Ace ), et moi même. ( * Krazy Lizzy s’est reformé depuis 2016, mais bon, sans moi….. )

As tu d’autres projets en parallèle ?

Pour les projets, pour l’instant, rien de précis, des idées….. Mais pour l’instant, je me consacre plus à Dynasty, pour remettre le navire à flot… Car depuis le départ d’Olivier ( le Paul de 2003 à juillet 2015 ), nous avons connu toutes sortes de situations plus ou moins bonnes, des doutes…. Même le fait d’arrêter tout simplement. On a eu l’expérience avec un nouveau membre qui au final s’est soldée par un échec, car il n’est pas évident t’intégrer un groupe de reprises, surtout un tribute de Kiss, où là, il faut rentrer dans la peau d’un personnage… Mais bon, là, je l’espère, le Paul d’origine est revenu, et il a vraiment envie de continuer l’aventure avec nous … ça fait penser à la réunion tour 1998 – 2018 ! ( rires )

Pourquoi avoir choisi de reprendre du Kiss, plutôt qu’un autre groupe ?

L’histoire de reprendre Kiss est en gros très simple. Toute notre adolescence a été bercée par Kiss et presque toutes nos sorties en « BOOM » étaient un prétexte de se maquiller et faire le show. On a même réalisé une vidéo « play back » du live II en salle avec public. Dommage qu’on ai plus cette trace filmée (volée lors d’un cambriolage et on avait qu’une seule cassette…). Il nous reste les photos…
Et, le fait aussi que faire un tribute de Kiss signifie aussi rentrer dans les personnages avec le maquillage et les costumes…
Je crois que perso j’aime ce côté grand spectacle, que l’on essaie vraiment de restituer au mieux, que ce soit avec le son Kiss, et l’aspect scénique.

N’est-ce pas frustrant de jouer les morceaux créés par d’autres, plutôt que ses propres compositions ?

Je ne trouve pas ça frustrant, mais plutôt content quand des personnes viennent nous dire qu’ils ont entendu du Kiss en venant nous voir. Et avant de jouer dans Dynasty, je jouais dans des groupes avec nos propres compos. Disons que c’est autre chose, et pas le même public.
En fait, je crois que beaucoup de personnes aiment les tributes pour des raisons diverses. De pouvoir écouter et voir sur scène des tributes jouer le répertoire des groupes qu’ils aiment. Ce côté sympa des festivals avec deux à trois tributes dans la même soirée, le fait qu’on soit aussi abordable après les concerts, etc..

De quel batteur de Kiss te sens-tu le plus proche et pourquoi ?

Sans hésiter, le batteur de Kiss avec qui je me sens le plus proche, c’est bien sur Peter Criss… Déjà parce que c’est avec lui que j’ai connu Kiss, et qu’il m’a aussi donné l’envie de jouer dans un groupe . J’aime son jeu, j’adore sa voix et son groove jazzy. Et c’est celui qui aura marqué l’histoire du groupe. Eric Carr était très bon aussi, mais pas dans le style du Kiss que j’aime ( celui du début des années 70 ), Pour Eric Singer, je n’ai rien à dire, c’est un très bon batteur, et il colle plus à l’esprit de Peter Criss dans ses interprétations. Je lui pique souvent des plans (rires)

Justement, quelle est ton approche par rapport à son jeu ? Tu essaies de t’en approcher le plus possible ou gardes tu une certaine liberté d’interprétation ?

C’est celle de m’en approcher le plus possible, avec parfois des plans d’Eric Singer qui me semblent plus efficaces, et plus forts dans le morceau. Je me laisse parfois aller à quelques libertés pour certains plans ou fins de phrases, histoire de mettre un peu ma touche personnelle . Bien sûr, avec l’accord des autres membres, et surtout sans dénaturer le morceau.

Quels sont tes points communs avec Peter Criss et les difficultés que tu as eues à surmonter par rapport à son jeu ?

il a été celui qui m’a donné l’envie de jouer de la batterie… D’ailleurs, quand on était très jeune avec Thierry ( Gene), Serge ( Ace ), on rêvait de monter un groupe à limage de Kiss. On avait même imaginé des maquillages !
Je me suis souvent inspiré de sa façon de jouer…. j’aime sa façon de frapper, il a plein de subtilités… on sent bien que le gars a eu une formation jazz… et les plus grosses difficultés à mes débuts, c’étaient de les comprendre, et les appliquer
Comme je t’ai expliqué plus haut, sans cours, donc sans technique…. ce fut plus compliqué pour moi…. mais bon, avec le temps, et la pratique avec un grateux, ça a fini par rentrer…

Ah oui, maintenant, avec toutes les vidéos en ligne sur le net, je me remets souvent des vieux live avec Peter Criss pour le voir jouer à l’époque des débuts ( celle que je préfère ) !

Quel est le morceau de Kiss que tu préfères jouer et pourquoi ?

Pour le morceau que je préfère…. Disons qu’il y en a pas mal. Mais bon, si il faut en choisir un : « Do You Love Me ». Déjà parce qu’il a été un de mes morceaux préférés à l’époque. De plus, c’est un titre très entraînant qui fait réagir le public avec la batterie qui lance le morceau ( rires )

Revenons à tes débuts. Qu’est ce qui t’as motivé à choisir la batterie plutôt qu’un autre instrument ?

Bonne question… pourquoi la batterie plutôt qu’un autre instrument…..ça doit remonter à la petite enfance, et le son des tambours de la Grande Armée de Napoléon…. J’adorais entendre et voir ses défilés, ça me donnait le frisson ( rires ). Après dans les groupes, j’adorais me fixer sur la session rythmique ( en particulier au niveau batterie ). Et puis, c’est un très bel instrument qui en impose sur scène ( rires )

Quelles sont tes influences musicales majeures ?

Elles sont très variées, j’aime beaucoup de styles ( surtout en vieillissant ), je suis devenu curieux, et ne me limite pas…
Je peux passer à un bon métal bien puissant, et aller à du classique. Mais bon, c’est vrai que mes influences, surtout quand je débutais étaient plutôt dans les groupes de hard rock US, comme Van Halen, Aerosmith, Mötley Crüe, Dokken, Ratt, Extreme, Poison, Guns‘ N’ Roses, Warrant, W.A.S.P etc.… Sans oublier Kiss bien-sûr.
En écoutant leurs morceaux, je m’inspirais beaucoup de leurs plans pour les mettre en pratique sur nos compos de l’époque. Il faut dire aussi que j’ai appris la batterie tout seul, sans prendre de cours… Juste quelques bases que des batteurs me donnaient, Tout était « à l’oreille », et il n’y avait pas les moyens actuels de la vidéo sur le net pour capter plus vite les plans. Il y aussi le côté chance que le frangin ( Serge, Ace ) débuta en même temps avec la guitare, et qu’on a toujours joué ensemble. Et comme il est très chiant , euh exigeant, j’avais intérêt à être dans le temps ( rires ). D’ailleurs, j’y pense, je joue avec lui depuis 1982……. Quand même……

Et comme batteur ?

Je n’ai pas vraiment de batteur en particulier, il y en a tellement de bons… Mais bon pour en citer quelques uns ( ceux dont j’aime particulièrement leur jeu, et leur frappe ) : Peter Criss ( Kiss ) Alex ( Van Halen ), Tommy Lee ( Mötley Crüe ), Mario Duplantier ( Gojira ), Stewart Copeland ( Police ). Mais bon, comme je t’ai dis, il y en a plein d’autres, et je ne pouvais pas tous les citer. La liste serait trop longue….

As-tu un rituel avant de monter sur Scène ?

Faire le vide dans ma tête, faut dire que pour nous, il y a toute la préparation avec le maquillage, costume, et pour moi perruque ( rires ).
Donc avec tout ça ( il faut bien deux heures ), il y a de quoi retrouver une certaine sérénité… Ah oui peut être aussi, j’ai un accessoire de mon costume qu’il ne faut pas que j’oublie, c’est ma croix que je porte depuis le début. C’est une sorte de fétiche qui doit me rassurer peut-être….

Quels sont tes projets avec Dynasty ?

Déjà, avec le retour de notre premier Paul Stanley, j’espère que l’aventure continuera encore pour un moment, et de rester encore là avec eux jusqu’au bout…
D’avoir encore de bonnes dates, et pourquoi pas refaire un DVD live.

Pour nous, c’est simple, tant qu’on nous demandera et qu’on continuera à se faire plaisir et faire plaisir au public, on répondra toujours présent…..

Réalisation et Photos : © Alain BOUCLY

La première édition du Monsters Of Tribute Rock se déroulera le samedi 9 juin 2018. L’affiche s’annonce exceptionnelle avec les meilleurs titres d’AC/DC, Iron Maiden et Kiss interprétés par Bloody Rosie en compagnie de Coverslave et Dynasty.

Cet évènement unique en son genre se déroulera samedi 9 juin 2018 à Woincourt, salle Vim’arts, avec en invités les champenois de Gang et en ouverture, le groupe vainqueur du Tremplin qui se déroulera le 03 mars 2018, dans cette même salle.
Une exposition / vente photo, retraçant 40 années de musique live est également au programme, ainsi qu’un Metal Market, ou de nombreux exposants proposeront leurs cd, vinyles, Tee Shirts, merchandising et tous les produits dérivées de vos groupes préférés.
Ne perdez pas de temps pour vous procurer les billets au tarif de 11,00 Euros en prévente (14,00 Euros le jour du concert). Ils sont disponibles en version colletor limitée ICI ou en appelant au 06 38 25 96 77.
Les réservations sont également possibles en ligne dans les réseaux FNAC, Carrefour….
   
Organisation:
 
Partenaires Media:
 
Partenaires Officiels:
  
Snakefarm record présente « Backfire », le nouveau clip de Tyler Bryant & The Shakedown.

L’album est disponible en versions CD, vinyle & digital depuis le 3 novembre 2017.

« A de quoi être pris au sérieux… De nombreux morceaux hard rock efficaces, bien carénés. » – Rock & Folk
« Une étincelle qui ne trompe pas. » – Metal Obs (4/5)
« Le talent n’attend pas le nombre des années. Chaudement recommandé. » – MyRock (16/20)
« J’ai vu le futur du Rock’n »Roll, et son nom est Tyler Bryant. » – HardForce (chronique complète ICI
« Tyler Bryant et les membres de son Shakedown prouvent que le rock est loin d’être mort. » – Daily Rock (chronique complète ICI )

Mixé par John Fields (Soul Asylum, The Rembrandts, Pink)

Les tites du CD, vinyle & digital sont disponibles en écoute ICI

Découvrez le clip de « Backfire » :

Regardez la lyric video de « Heartland »

La France les a découverts dans les stades en 1ère partie d’AC/DC et de Guns N’Roses, puis dans les clubs parisiens (La Boule Noire, Le Divan du Monde) où ils ont littéralement mis le feux !

Telle une carte de visite, leur EP, « The Wayside » sorti en 2015, a valu à Tyler Bryant & The Shakedown les honneurs de la presse spécialisée Rock Hard, Rolling Stone, Guitar Part, Guitar Xtreme, La Grosse Radio, Daily Rock, Guitarist, Oui FM ne tarissent pas d’éloges sur les talents de ce jeune guitariste / chanteur et de sa troupe.

« Des riffs musclés, des solos savoureux sans être prétentieux, une rythmique qui touche au cœur, une équation réussie. C’est brut à tendance Heavy, et puissamment Blues » » – La Grosse Radio
« Entre les sonorités sudiste des Black Crowes et la fougue Rock & Roll d’Aerosmith, Tyler Bryant distille des riffs d’une lourdeur gargantuesque. » – Guitar Part

« Un blues puissant et heavy, où la guitare se taille la part du lion. A écouter sans modération » – It’s Only Rock & Roll (Le Parisien)

« Mérite amplement son titre de sensation. Le virtuose ne tombe jamais dans la démonstration, il met son talent au service de vraies chansons. » – Rock Hard

Flanqué de ses insaisissables Shakedown – Caleb Crosby (batterie), Graham Whitford (guitare), Noah Denney (basse) – ce texan exilé à Nashville nous offre enfin un véritable nouvel album. Un disque de blues rock tonique et moderne dominé par des guitares classieuses et précises. Sa voix n’est pas en reste puisqu’elle imprime une personnalité décapante à l’ensemble des compositions, qui, sans pour autant sonner « vintage » respectent tout de même la tradition. Un exploit que peu de groupes réussissent à réaliser de nos jours. Pas étonnant que le p’tit Tyler soit adoubé par Jeff Beck, Robben Ford et quelques-unes des meilleures gâchettes du genre.

Elu « meilleur » guitariste de blues de l’année 2017, élus par les lecteurs du site Music Radar https://www.musicradar.com et du magazine Total Guitar https://www.musicradar.com/totalguitar , deux références incontournables en matière de six cordes.

Retrouvez tout le classement ICI

Beyond The Styx: L’album « Stiigma » est sorti !

Publié : 24 février 2018 par Alain B. dans News
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Beyond The Styx est de retour sur le devant de la scène hardcore tourangelle avec « Stiigma », 2ème album qui sortira le 23 février via Klonosphère et Diorama Records.

Pour ce nouvel album, les 5 loustics ont clairement passé la vitesse supérieure avec 10 titres tranchants aux riffs teintés de hardcore, death, métal… L’accent est clairement porté sur l’efficacité, et on comprend dès l’ouverture « Neoblivion », que les morceaux sont taillés pour la scène et pour l’amour du mosh pit !

Pas de fioriture, si ce n’est quelques blasts occasionnels pour des compositions homogènes, lourdes et modernes. Le groupe s’autorise même des intros inquiétantes et démoniaques à la Black Sabbath comme sur le quatrième titre, « Decima », avant de revenir à un hardcore plus dans l’air du temps sur « King S », qui n’est pas sans rappeler l’énergie de groupes croisés sur la route du quintet : Stinky, Alea Jacta Est, Nine Eleven, Alma…

« Stiigma » est disponible ICI

et sur les plateformes numérique ICI

 

Razor & Tie & Spinefarm Records présentent: Le nouvel album de The Sword ,« Used Future » dont la sortie est programmée le 23 mars 2018.
Regardez la lyric Video de « Twilight Sunrise » :

Ecoutez « Deadly Nightshade »:

« Used Future » a été enregistré à Portland, Oregon sous la direction du producteur Tucker Martine (My Morning Jacket, The Decemberists, First Aid Kit)

Ce 6ème album studio de The Sword fait suite à « High Country » (2015) dont les excellentes critiques soulignaient déjà la grande qualité des compositions plus « classic rock » signées par le guitariste/chanteur John D. Cronise.

Au fil de ses 15 années d’existence le groupe texan a magnifiquement su faire évoluer sa musique vers d’autres horizons. N’oubliant jamais ses racines heavy/doom/stoner, le quatuor a cependant toujours habilement réussi à ne pas se répéter, parvenant ainsi à séduire un public (hard)rock de plus en plus large… son dernier effort studio en date approchant même le demi-million d’exemplaires vendus !

Dans une ambiance étrangement « progressive » le groupe alterne les compos coup de poing – comme l’irrésistible instrumental « The Wild Sky », « Sea of Green » et son final obsédant ou encore plus heavy « Book of Thoth »- et les ambiances limites psychés à l’image de l’aventureux « Nocturne » ou du planant « Come and Gone ».

C’est ainsi que d’un titre à l’autre The Sword nous balade dans un univers où, lorsqu’elles passent à travers les oreilles de l’auditeur, les guitares projettent des images qui ressemblent au sud des Etats-Unis. Dès lors, dépourvue elle aussi de chant, l’ultime cavalcade de « Brown Mountain » semble rayonner sur une prairie sans limite.

                         Pre-commandes & streaming ICI
Line Up:
John D. Cronise – chant / guitare
Kyle Shutt – guitares
Bryan Richie – basse, claviers
Santiago « Jimmy » Vela III – batterie
Photo by Dean Dickinson