Glenn Hughes performs classic Deep Purple Live sera en concert mardi 6 novembre, à Paris / Elysée Montmartre. La première partie sera assurée par Lex Koritni. Le chanteur de Koritni proposera un set en version acoustique.

Avec son style unique et cette voix toujours exceptionnelle, le célèbre bassiste/chanteur de Deep Puple – sur la période Mark III & IV (1973~1976) – reprend sur scène des titres des albums « Burn », « Stormbringer » et « Come Taste The Band », mais aussi d’autres classics de LA légende du hard rock britannique.

Pas le genre de concert et de chansons que l’on voit et entend tous les jours.

Locations ICI

Regardez son interprétation de « Mistreated » :

Regardez « Burn » :

Regardez « Getting Tighter » :

Regardez son medley « Hidhway Star » / « Smoke on the Water » à la TV australienne :

 

Provogue présente le festival Rockin’ The Blues’19 à Paris / La Cigale, le 26 mai 2019 avec Jonny Lang, Walter Trout et Kris Barras !

Le label Provogue vient vous rendre visite pour une soirée inoubliable, pleine de blues rock et de guitare !

Découvrez la bande annonce :

Message de Walter Trout :

Locations ICI
Préventes les 30 et 31 octobre
Mise en vente générale le 2 novembre

A travers son label Provogue, The Mascot Label Group abrite quelques-uns des plus fameux noms du blues moderne : Joe Bonamassa, Beth Hart, Kenny Wayne Shepherd, Eric Gales, Walter Trout, Gary Hoey, Quinn Sullivan, Eric Johnson, Jonny Lang, Bernie Marsden, The Rides, Leslie West, Sonny Landreth, SIMO, Ronnie Baker Brooks, Supersonic Blues Machine et beaucoup d’autres.

Aujourd’hui, Provogue est donc particulièrement heureux d’annoncer que la seconde tournée de son festival itinérant Rockin’ The Blues passera par Paris le 26 mai 2019, où trois guitaristes de renom se produiront sur les planches de la Cigale : Jonny Lang, Walter Trout et Kris Barras. Trois noms de la scène blues rock internationale qui représentent trois générations de musiciens et qui confirment la richesse de ce style musical. Chacun d’entre eux jouera son propre set avant que ce trio infernal se retrouve sur scène pour un final qui s’annonce déjà explosif.

A noter que, l’an passé, cette tournée avait déjà présenté – en Allemagne, au Pays Bas et en Grande Bretagne – trois talents exceptionnels : Eric Gales, Quinn Sullivan et Gary Hoey.

A ce propos, Ed van Zij, le PDG du Mascot Label Group tient à souligner que :« La 1ère édition du Festival Rockin’ The Blues a été un véritable succès pour Provoque et Mascot. Car au-delà des performances de chaque artiste sur scène, nous avons pu constater un réel engouement pour le blues rock. La réponse et le soutien des médias comme du public a été fantastique. C’est pourquoi nous avons décidé de lancer une seconde édition du RTB Tour avec Jonny Lang, Walter Trout et un nouveau venu Kris Barras. Cette tournée présentera plus de shows qu’en 2018 et traversera plus de pays dont la France. Vu nos récentes signatures, il semble que nous sommes sur la bonne voie pour pouvoir offrir aux fans de Blues Rock ce festival itinérant chaque année. »

En 1995, Jonny Lang n’a que 15 ans lorsqu’il signe son premier contrat avec une major qui se traduit par un premier album qui dépassera le million d’exemplaires vendus! Fait assez rare pour un disque de blues rock ! Les talents du « gamin », tant au chant qu’à la guitare, et ses prestations scéniques de haute volée rencontrent rapidement l’adhésion du public mais aussi de ses pairs. Ainsi Jonny peut se targuer d’avoir joué avec de nombreuses pointures : Eric Clapton, les Rolling Stones, Aerosmith, BB King, Buddy Guy, Jeff Beck, Sting, Herbie Hancock, les Jonas Brothers, Syl Johnson, Willie Nelson, Cyndi Lauper ou encore Santana.

En 2013, Jonny Lang a effectué un retour remarqué en signant sur Provogue pour la sortie de l’album « Fight for my soul ». Depuis il a beaucoup tourné et a sorti, l’an passé, un nouvel album intitulé « Signs ».

Ecoutez « Make It Move «  :

Attention légende ! Vétéran de la scène blues rock, Walter Trout n’a sans doute jamais été reconnu à sa juste valeur en France. Pourtant le bonhomme possède un CV à faire pâlir bon nombre de musiciens. Il a, entre autre, passé cinq ans au sein des Bluesbreakers de John Mayall, a été membre de Canned Heat, a accompagné John Lee Hooker et Joe Tex.

Doté d’une impressionnante discographie, dont une grande partie réalisé sur Provogue, Walter tourne et enregistre sous son propre nom depuis la fin des 80’s. A travers plus d’une vingtaine de disques il réussie régulièrement le pari de nous offrir des titres forts et contemporains tout en restant fortement ancré dans la plus pure tradition du blues rock et du boogie.

La vie de Walter Trout est un véritable manuel d’histoire du blues, cinq décennies plus tard, son étoile continue de briller en solo. Son dernier album en date, « We’re All In This Together » affiche une impressionnante liste d’invités : Kenny Wayne Shepherd, Sonny Landreth, Robben Ford, Warren Haynes, Eric Gales, Joe Louis Walker, John Mayall, Joe Bonamassa, Charlie Musselwhite, Mike Zito, Edgar Winter, Joe Louis Walker, John Nemeth, Jon Trout et Randy Bachman

Ecoutez « We’re All In This Together » (feat. Joe Bonamassa) :

Si vous êtes un amateur de « Mixed Martial Arts » (MMA), ce sport, autrefois appelé « free-fight », qui mélange boxe, kickboxing, karaté, muay-Thaï, sambo, judo et jiu-jitsu, vous avez peut-être déjà entendu parler de Kris Barras. En effet, pendant près de 10 ans, entre Las Vegas et la Thailande, il a combattu en « catégorie pro » de cette discipline. Désormais « à la retraite », il continue tout de même entraîner des combattants dans son gymnase du Devon, d’enseigner la guitare et, surtout, de jouer avec son groupe : The Kris Barras Band.

Outre Kris au chant et à la guitare, cette formation de blues rock se compose de Josiah J Manning (claviers), Elliott Blackler (basse) et Will Beavis (batterie). Ensemble, depuis quelques années ils écument les scènes européennes et ont sorti un premier album « Lucky 13 » en 2016. Depuis Kris Barras a tout de même été élu 13ème des 17 « meilleurs » guitaristes de blues de l’année 2017, élus par les lecteurs du site Music Radar et du magazine Total Guitar, deux références incontournables en matière de six cordes.

Récemment signé sur Provogue , le Kris Barras Band a sorti « The Divine And Dirty », son nouvel album, le 23 mars dernier. A noter qu’au mois de novembre, Kris jouera en 1ère partie de la tournée française de Beth Hart, une bonne occasion de le découvrir avant son passage dans la capitale en mai 2019 pour le festival Rockin’ The Blues.

Regardez le clip de « Hail Mary » :

Un jazz « hybride » qui ne se rattache pas aux seules branches du jazz, les morceaux prennent racines dans la fusion, le rock ou encore la musique progressive

Le 1er album de Six-Ring Circus est disponible depuis le 28 Septembre 2018 via Inoui distribution

En concert:
Les disquaires / Paris le 13 Novembre 2018
Hot Club/ Lyon le 15 Novembre 2018
U.Percut / Marseille le 16 Novembre 2018
Lauréat Jeunes talents St Germain des Près
Lauréat Jazz en ville 2017
Sélection Rézzo Focal Jazz à Vienne 2017
Lauréat Emergence Jazz(s)Ra 2016-17

Après 3 ans de collaboration et de nombreux concerts, le groupe Six-Ring Circus sort son 1er album : Guidé par l’ambition de proposer une musique personnelle et libre de toute figures imposées, le quintet nous emmène à la découverte de son « Cirque à Six Pistes »

Un jazz « hybride » qui ne se rattache pas aux seules branches du jazz, les morceaux prennent racines dans la fusion, le rock ou encore la musique progressive.

Ainsi s’entremêlent au gré des écoutes, improvisations, mélodies acrobatiques, riffs rock et plages atmosphériques .

« Arrivés sur la scène de Romans bardés des lauriers de lauréats, Emergence Jazz(s)Ra et Un Doua de Jazz, les cinq « Maîtres ès-Jazz » du Six-Ring Circus nous embarquent dans un voyage musical hybride et mutant.

Quittant allègrement la culture jazz pour des contrées rock très progressives ouvertes aux influences variées, ce groupe est musicalement renversant. La cohésion du groupe est remarquable, les parties vocales (solistes ou rythmiques) bouleversent et le public voyage au gré des belles compositions. Ce projet musical est courageux et emballe littéralement le public conquis dès l’intro en lui réservant un accueil très chaleureux. Ce qui plaît surtout dans cette formation, outre les virtuosités en présence et la rythmique d’enfer, c’est la créativité et le « saute frontières musicales » et l’énergie qui s’en dégage. Réjouissant ! » Jazz Rhône-Alpes

Célia Forestier: Vocal
BaptisteFerrandi: Guitars
Elie Dufour: Keys
Alexandre Phalippon: Bass
Elvire Jouve: Drums
Thierry Beaucoup: Saxophone (Track7)
Baiju Bhatt: Violins (Track5)

BaptisteFerrandi

Baptiste Ferrandis commence son développement musical par la musique extrême et écume les salles et festivals de la région lyonnaise depuis l’âge de 16 ans. à 18 ans il intègre la MAI (Music Academy International) et affine ses goûts pour développer son sens de l’improvisation et du jeu collectif. Il rentre ensuite au conservatoire de Lyon dans la section Jazz et s’essaye à de nombreux styles dans différentes formations de la scène lyonnaise.

Baptiste cultive un jeu sensible et virtuose, empreint de toutes les influences qui l’ont fait grandir. Mené par sa soif de voyages et de savoir Il passe du jazz moderne au hip-hop, du métal aux musiques orientales et balkaniques, du swing manouche au rock. Diplômé du conservatoire, il compose pour de nombreux projets jazz : Sarab, Mental Climbers, Spongefingers Band, Stamp, Six-Ring Circus, Gypsy Galaxy…

Elie Dufour

Elie Dufour se passionne, au fil de ses voyages, pour les musiques du monde. Il tombe amoureux des rythmes afro-cubains lors d’une tournée en Amérique latine ainsi que des claves flamencas et gnawa lors d’une tournée en Andalousie. Il se lance ensuite dans un apprentissage poussé des musiques d’Europe orientale dont il intègre les claves asymétriques, les fondements et les subtilités.

Très actif sur les scènes françaises et européennes depuis 2011, on a pu régulièrement le voir avec EYM Trio, Old Fox, Captain Stombolov, Six-Ring Circus, Voodoo Kasstou, le Grabben Orchestra ainsi qu’en collaboration avec des musiciens tels que Mohamed Abozekry, Mario Stantchev. Il s’est produit, entre autre, sur les scènes de Jazz à Vienne, La défense jazz festival, Jazzahead, Getxo Jazz festival …etc, sans oublier des tournées en Inde, Japon, Equateur/Colombie, et Europe.

Célia Forestier

Célia Forestier a grandi en musique grâce à un entourage de musiciens, notamment son père, François Forestier, guitariste de jazz. C’est à ses côtés qu’elle commence à se produire sur scène dès l’âge de 14 ans.

En 2014 elle intègre l’ENM de Villeurbanne, dont elle sort diplômée en 2017 (DEM jazz).
Aujourd’hui, elle s’adonne à la composition et à l’arrangement pour ses différents projets, gravitant autour du jazz et des musiques actuelles, tout en poursuivant des études au Centre des Musiques Didier Lockwood – CMDL.

Elle participe à différents projets en studio ou sur scène avec notamment Six-Ring Circus, Kaïros, Letter to Evans, CF3, Trinkle Jazz Ensemble, Franck Comtet, J. Andreo & les Flextribu, Totems Project …

Elvire jouve

A 28 ans, Elvire jouve et a joué avec de nombreuses formations rock, jazz, chanson, a participé à des spectacles de théâtre et musique avec plusieurs compagnies, a fait de nombreux concerts sur les scènes françaises et européennes, participé à plusieurs enregistrements en studio. Plusieurs personnes encore marquent son apprentissage musical : Richard Hery, Michel Chionchini, Hocine Meniri, Franck Agulchon.

Elvire vient d’obtenir son Prix à l’école Dante Agostini de Lyon, et poursuit actuellement ses études musicales de jazz à l’ENM de Villeurbanne.

Quelques références : La Milca (rock français), Kaïfa (chanson rock), Ogino (math-rock), Iray (trio jazz), Six-Ring Circus (jazz hybride), Le K.O d’Ali (spectacle de théâtre/Compagnie le Béotien)

Alexandre Phalippon

C’est à ses 13 ans qu’Alex se met profondément à la musique des graves sonorités! Il travaille avec son premier professeur sur Clermont-Ferrand qui l’initie aux grands maitres (tels que Marcus Miller, Jaco Pastorius, Richard Bona).Sous les conseils de sa famille il s’installe sur Lyon où il intègre l’Ecole Nationale de Musique de Villeurbanne en département Jazz dont il obtient son DEM.

Notre bassiste à plusieurs cordes à son arc puisque ses influences sont extrêmement diverses et variées, tels que le jazz, la funk, le hiphop, ou encore le métal.
Aujourd’hui il joue au sein de differents projets artistiques, Six-ring Circus (moderne jazz), Blade (hiphop instrumental), The Fat Bastard (festif balkan groove), DRH (jazz’n roll), Woco (tribute Stevie Wonder).

Les concerts s’enchainent au « Forum » de Vauréal (95)

Après la date Sold Out de Mass Hysteria vendredi 07 décembre, ne manquez pas les venues de Triggerfinger mardi 20 novembre et de Danko Jones mardi 11 décembre 2018. Ride The Sky sera bien sûr présent sur ces 2 évènements !
Toujours en costume, le power trio Triggerfinger délivre un rock pur et carré, non dénué d’un sens de l’humour rafraîchissant, lorgnant vers le punch de Motörhead, le groove de Marc Bolan et l’énergie de Chuck Berry. Au fil de ses nombreuses tournées, la furieuse machine à riffs Triggerfinger s’est forgée une très solide réputation live ainsi qu’un son cru et gras qui sied parfaitement à son répertoire. Ça pulse et le public en redemande ! Toujours impeccablement sapés, les Belges de Triggerfinger signent un nouvel album, « Colossus », pour faire swinger leur rock une fois de plus. Non, le titre n’est pas trompeur : c’est colossal ! C’est le retour de Triggerfinger sur la scène du Forum !

Le groupe belge Black Box Revelation revient cet automne avec son 5ème album, le plus intime à ce jour. Le chanteur Jan Paternoster a creusé au plus profond de son âme pour trouver de nouvelles inspirations. Chaque titre de l’album résonne avec des paroles fortes et une rythmique entraînante. Les années d’insouciance sont passées, mais leur désir de confirmer leur statut de groupe live notoire est plus fort que jamais.

Tarif sur place : 20€
Tarif en prévente : 18€
Tarif abonné : 15€
Le groupe Danko Jones voit le jour en 1996 à Toronto. Dès ses débuts, le trio s’engage dans un Rock solide aux multiples influences venues du Hard Rock, du Blues Rock et du Punk. Des tournées mondiales, des premières parties mémorables (Guns N’Roses, Sebastian Bach) et 8 albums dont un tout juste sorti en mars, Danko Jones ne cesse d’évoluer tout en conservant cette énergie punk si caractéristique avec des titres devenus des hymnes à concert tel que « Gonna Be A Fight Tonight ».
Tarif sur place : 20€
Tarif en prévente : 18€
Tarif abonné : 15€

Infos pratiques:
Le Forum
Boulevard de l’Oise – 95490 Vauréal
www.leforum-vaureal.fr
01.34.24.71.71

A15 sortie 12, direction Vauréal.
Transports en commun : RER A, arrêt Cergy Le Haut. Bus 34S, arrêt La Croix Lieu.

Voici le calendrier des artistes Replica en concert cette semaine à Paris

Slaves lundi 29 octobre 2018 au Trabendo

Forest In Blood lundi 29 octobre 2018 au Gibus

Vola mardi 30 octobre 2018 en concert au Backstage O Sullivan

The Ocean jeudi 1er novembre 2018 en concert au Backstage O Sullivan

Jimm vendredi 2 novembre 2018 en concert au Bus Palladium

La release party de Forest In Blood se déroulera le 29 Octobre 2019 à Paris au  Gibus Live avec les terribles Sworn Enemy et Broken Teeth

Album : « Pirates » !!! Venez Conquerir le Monde avec nous à Coups de MoshPart !! Enjoy Sailors !!! A demain pour notre Release au Gibus Live !!!

Découvrez le clip Officiel « My Dues »

Suite à leur tournée d’été aux USA avec Poison & Cheap Trick, et de nombreux concerts en tête d’affiche en Amérique du Nord, Pop Evil débarquera enfin en Europe au mois de février 2019 pour une tournée qui passera par l’Allemagne, la Grande-Bretagne, les Pays-Bas et la France !

Pop Evil sera en concert mercredi 20 février 2019 à Paris / Le Trabendo
Locations ICI

Le chanteur Leigh Kakaty ne cache pas son enthousiasme : «Nos fans nous ont harcelé pour que revenions jouer en Europe. Leur patience est enfin récompensée ! Cette tournée s’annonce plus que bien. Avec près d’un an de concerts américains derrière nous, l’énergie sur scène est à son maximum et nous allons nous surpasser pour le public européen !»

Pop Evil a sorti son 5ème album en février dernier sur le label Entertainment One. Produit par Kato Khandwala (Paramore, My Chemical Romance),  ce disque a reçu les honneurs nombreux média en France :

«Un beau voyage musical doublé d’un arsenal de hits. Du travail de pros. Respect» – Rock Hard (8/10, Album du Mois)

«Les mélodies et les refrains entêtants sont toujours là, une rage rugissante.» – MyRock (17,5/20)

«Des riffs taillés à la serpe, des refrains ultras accrocheurs,une production ultra puissante et précise.» – Metal Obs (4/5)

«Un disque frais et immédiat gorgé de tubes dans un pur esprit hard rock US teinté de pop.» – Music Wave (4/5 chronique complète ICI)

«C’est simple [Pop Evil] n’a jamais sonné aussi fort et juste que sur ce disque. On se laisse emporter par toutes ces jolies mélodies.» – Rock Ur Life (4/5, chronique complète ICI)

Ecoutez l’interview de la batteuse Hayley Kramer dans Absolute Woman sur Heavy1 ICI

Regardez les clips de :

« Waking Lions »

« Colors Bleed » :

« A Crime To Remember » :

Ludovic Moignet, directeur de l’EPCC Somme Patrimoine (Établissement public de coopération culturelle), a annoncé l’évènement SamaRock, un festival rock pour fêter les 30 ans du parc archéologique Samara et qui aura lieu le samedi 8 juin et le dimanche 9 juin 2019 sur l’Oppidum à La Chaussée-Tirancourt (Somme, Picardie, Hauts-de-France, France) !

Samedi 8 juin 2019 :
12h30 : Ouverture des portes / 15h : premier concert / 1h : fin des concerts
– Arkona
– Skáld
– Garmarna
– Luc Arbogast

Dimanche 9 juin 2019 :
11h30 : Ouverture des portes / 14h : premier concert / 18h : fin des concerts
– Boisson Divine
– Eluveitie
– The Hu

Billetterie ci-dessous (GINGER.FR ou 03 22 89 2000) :
Pass 2 jours :
39 euros (tarif normal)
– Gratuit pour les enfants jusque 12 ans inclus (retrait sur place, sur présentation de justificatif)

Le dimanche :
14 euros (tarif normal)
– Gratuit pour les enfants jusque 12 ans inclus (retrait sur place, sur présentation de justificatif)

Également disponible dans le réseau FNAC / AUCHAN / CARREFOUR / LECLERC / GEANT.

Aire de repos – bivouac, gratuite, places limitées sur réservation obligatoire sur ce site.
Installation de 10h à 17h samedi 8 juin. Fermeture dimanche 9 juin 11h.
Interdit aux animaux / véhicules / barbecues / Camping-cars
Le parc de Samara est fermé durant le festival.
L’accès au festival a lieu exclusivement sur le site de l’Oppidum.

Vente des places depuis le 8 février 2019.

Note : L’article sera mis à jour régulièrement.

Pour plus d’informations :

4 mois après la réussite de la première édition du Monsters Of Tribute Rock à Woincourt (80), Coverslave et Bloody Rosie partagent à nouveau la même scène, pour un concert qui s’annonce comme l’évènement de la rentrée en Seine Maritime.

L’accueillante salle de l’A.R.C.A.D.E. située à Port Jérôme / Seine, entre Le Havre et Rouen, affiche quasiment complet rien qu’en pré-ventes, comme le prouve cette foule des grands soirs qui patiente avant l’ouverture, histoire de se retrouver idéalement placé devant la scène !

Mais revenons à l’affiche du jour, qui va permettre au public de découvrir Dirty Dogz en avant première, pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’assister aux concerts du Havre et de Fécamp donnés au cours de ces derniers mois.

Le ton est donné d’entrée de jeu, avec le titre « Dirty Dogz » qui ne fait pas dans la dentelle ! L’énergie déployée impressionne, dans un registre inspiré du Hard Rock australien des 80’s, dont Rose Tattoo ou encore AC/DC sont parmi les plus fidèles représentants. Cela n’est d’ailleurs pas étonnant de voir certains points communs entre les musiciens de Dirty Dogz et ceux de Bloody Rosie. Le chanteur /  guitariste Simon a fait partie de ce Tribute AC/DC pendant plusieurs années, quant aux 3 autres, il s’agit des membres actuels. Taz assure comme un métronome derrière ses fûts, et Cyrille n’est pas en reste, distillant ses solos toujours inspirés et gorgés de feeling. Lukas a quant à lui, troqué la guitare rythmique de Bloody contre une basse qu’il ne ménage pas. Quel son bien claquant pour propulser la doublette « Pussy Wet » / « Go Back » à la face d’un public hyper réceptif !  Ces 2 morceaux font partie d’un EP 4 titres sorti il y a quelques mois qu’il est urgent de se procurer !

Jouée pour la première fois en live, la toute dernière composition « Brand New Bitch » possède tous les ingrédients pour devenir l’hymne incontournable du groupe. Tout y est ! Une mélodie que l’on a envie de fredonner instantanément, plus un refrain entrainant, idéal pour faire hurler la fosse, le tout mis en valeur par un soli digne des plus grands, véritablement un grand moment !
L’intensité du set ne faibli pas, bien au contraire, elle monte encore d’un cran avec « Follow Us », dont le son et la structure du solo n’est pas sans nous rappeler un certain Slash !

L’efficacité des 12 compositions envoyées ce soir va convaincre une audience de plus en plus réceptive, qui ne ménage pas ses efforts pour bouger et mettre l’ambiance. Pari gagné pour Dirty Dogz qui a tout donné pendant 45 mn, qui se révèle comme une belle surprise et une découverte qu’il va falloir suivre de très près !

Pas le temps de refroidir l’atmosphère bouillante de l’A.R.C.A.D.E., que l’intro de « Live Wire » retenti déjà, suivie par l’arrivée en trombe de Cyrille, enclenchant le riff qui « tue » sur sa SG. On ne présente plus Bloody Rosie, la réputation de ce Tribute AC/DC est maintenant bien établie dans l’hexagone, grâce au nombreux public présent sur les gros évènements.

Un petit « Dog Eat Dog » des familles, nous prouve à quel point le frontman Sébastien prend tout sa dimension en interprétant le répertoire de Bon Scott. Il incarne tellement le personnage, grâce aux intonations vocales en tous points identiques, mais aussi, par un look et une prestance scénique naturelle, si proche de la légende.

C’est véritablement la particularité de Bloody Rosie, de se démarquer des nombreux autres tributes d’AC/DC en proposant un répertoire basé sur les titres de la période Bon Scott, qui enchantent les puristes. Bien sur, la set list contient quelques incontournables comme « Back In Black » ou « Thunderstruck » mais quel plaisir d’entendre les raretés que sont « Night Prowler », « Problem Child » ou « Kicked In The Teeth » !

L’expérience scénique du groupe permet au show de monter en puissance, grâce aux brûlots que sont « Highway to Hell », « If You Want Blood » suivi par « Bad Boy Boogie ». Cyrille est véritablement en transe lors de ses solos diaboliques de précision, et s’amuse même à jouer avec les premiers rangs ravis d’une telle complicité. Taz n’a rien a envier à Phil Rudd, tant sa frappe est carrée pour une efficacité maximale, bien épaulé par Thierry à la basse, qui complète cette rythmique en béton armé. Mais que serait AC/DC sans le son et le relief des accords de la seconde guitare, avec cette façon si particulière de « claquer » les cordes donc Lukas a le secret ! Quel talent pour avoir aussi bien assimilé le jeu  de Malcolm !
C’est déjà l’heure des rappels, et quoi de mieux que « Whole Lotta Rosie » pour conclure un set de Bloody Rosie ?

Les public dégouline de bonheur, tout comme Séb et l’ensemble du groupe qui s’est employé à fond devant une salle désormais archi comble !

Une nouvelle fois, Bloody Rosie tribute AC/DC a délivré une prestation solide, énergique et fidèle aux titres originaux. Il y a, avec ces atouts, largement de quoi se démarquer de la concurrence, et de la dépasser !

Le changement de plateau est conséquent, avec l’installation de l’imposant kit de batterie d’Eric « Nicko » Martins-Guerra, auquel s’ajoutent les décors qui vont nous plonger dans l’univers d’Iron Maiden. Les fans de la vierge de fer le savent, lorsque la diffusion de « Doctor Doctor » d’UFO résonne dans la sono, le suspense précédent l’arrivée du groupe est à son maximum !

Et ça démarre en trombe avec « Caught Somewhere In Time » puis « 2 Minutes To Midnight » ! C’est un Coverslave en pleine forme qui retrouve pleinement ses sensations pour ce second concert, après le retour gagnant du Monsters Of Tribute Rock.

Stéphane Graziani a le don pour se mettre la foule dans sa poche. En plus d’assurer les parties vocales dignes d’un Bruce Dickinson, le frontman est un communiquant hors pair ! Entre les anecdotes de la tournée avec Paul Di’Anno pour présenter « Remember Tomorrow », et son message à l’éclairagiste pour créer une atmosphère sombre lors de l’intro de « Fear Of The Dark », tout est réuni pour célébrer Iron Maiden de la plus belle des manières. A l’instar d’un Steve Harris, Jeff  fait claquer chaque accord de sa basse avec une conviction incroyable ! Et il ne peux se retenir de sautiller et chanter, vivant chaque instant à 200% !

Les classiques défilent, laissant le soin aux fans déchainés de donner de la voix sur « Bring Your Daughter » ou « Runs To The Hills » propulsé par la puissance intro de batterie. Eric, allant même jusqu’à suivre l’exemple de Nicko en étant complètement invisible derrière ses fûts ! Mais l’essentiel est ailleurs, car les plans complexes sont reproduits avec une telle précision, que la moindre frappe sur un tom, ou le coup de cymbale au moment opportun se voit reproduit avec la plus grande précision. Grâce à une qualité de son irréprochable, les morceaux prennent toute leur dimension, notamment au niveau des guitares. Cyril joue beaucoup plus relâché, ce qui accentue la complémentarité avec Cédrick, dans les solis à couper le souffle !

La cohésion du groupe fait plaisir à voir !

Mais il est impossible de se quitter sans une dernière communion avec le public survolté sur « The Number Of The Beast » suivi d’« Iron Maiden » qui verra l’apparition d’Eddie !

Coverslave, l’un des plus anciens tribute en activité qui fêtera ses 20 ans d’existence en 2019, a réalisé un show de haut niveau. Il suffisait de fermer les yeux pour se retrouver devant Iron Maiden !
Dommage que les éclairages n’aient pas toujours été au diapason, afin de mettre en valeur les nouveaux décors que l’on imagine magnifiques ! Le côté sombre devait juste durer le temps de l’intro de « Fear Of The Dark » !

Voilà une soirée réussie au delà de toutes les espérances ! Merci à l’A.R.C.A.D.E. pour son accueil, et d’avoir fait confiance à cette affiche qui a réuni près de 400 personnes !

Bravo au public incroyable qui a soutenu les 3 groupes avec une énergie de tous les instants ! La chaleur torride qui régnait dans la salle en est la preuve !

Et félicitations à Dirty Dogz, le plus français des groupes australiens pour avoir assuré un maximum lors de cette première grande scène, à Bloody Rosie tribute AC/DC qui met la concurrence loin derrière et à Coverslave tribute Iron Maiden, qui confirme son statut de référence absolue dans le genre.

Vivement la prochaine !

Report & photos © 2018 Alain BOUCLY

Shining, à ne pas confondre avec leurs homonymes suédois donnant dans le black metal pure souche! Les Norvégiens dont il est ici question ne donnent pas pour autant dans la comptine pour mettre au lit votre petit dernier.

Ils sont de retour à Paris le 09 novembre 2018 pour présenter leur nouvel album « Animal ».

« Animal », le nouvel album de Shining sorti chez Spinefarm Records est plus Muse que Meshuggah, plus Ghost que Gojira et plus Biffy Clyro que Burzum. Le collectif norvégien de jazz-metal propose un opus qui tranche avec les précédents, surprenant et créatif qui brise les barrières musicales de ses débuts et mélange des sonorités metal prog, jazz, avant-gardiste et expérimental.

L’album produit par Sean Beavan (A perfect Circle, Marilyn Manson, Nine Inch Nails) et mixé par Kane Churko (Papa Roach, Five Finger Death Punch) est un des plus audacieux de Jørgen Munkeby, le chanteur-compositeur et multi-instrumentiste du groupe.