Le combo mixte américain Nashville Pussy sorrtira son nouvel album « Pleased To Eat You » le 21 septembe 2018, via Verycords.

Lemmy a personnellement rendu honneur au groupe Nashville Pussy en le décrivant comme le « meilleur groupe de Rock and Roll Américain encore en activité ».

Et Lemmy en savait quelque chose : au cours de ces deux dernières décennies Nashville Pussy n’a pas cessé de prêcher son sordide gospel en interprétant du Motorhead dans chaque lieu rock du monde entier en passant de l’Asie à l’Europe et de l’Europe à l’Asie. Nourri d’un sublime mélange de Jack Daniels et de weed accompagné par les riffs de guitares Gibson et des féroces amplis Marshall, Nashville Pussy est le fruit déjanté de Blaine Cartwright et la petite prodige de la guitare Ruyter Suys.

Leur premier album « Let them Eat Pussy » a été enregistré et mixé en 5 jours pour seulement 3 000$ et récupéré par Mercury Record pour un contrat à hauteur de 1 million dollar lors de la nomination aux Grammy Awards du titre « Fried Chicken and Coffee » dans la catégorie Best Metal Performance.

Le groupe a également connu le succès grâce aux B.O qu’ils ont faites pour des films ou séries comme The Mob, The Sopranos, Entourage. Ils ont également fait diverses apparitions et ont prêté leur voix pour de nombreux films. Ils se sont également produits dans de les plus gros festivals comme Le Wacken Open Air, Le Hellfest, Roskilde, Leeds ou encore Reading.

Les dieux du rock se sont penchés sur Nashville Pussy dans le processus de création de « Pleased To Eat You », en leur offrant les talents combinés du producteur Daniel Rey (Ramones, White Zombie) et de l’ingé son David Barrick (Black Stone Cherry, The Kentucky Headhunters).

Le groupe revenait d’une grosse tournée internationale et avait hâte de se faire la main sur de nouveaux titre, cet enregistrement était un vrai rêve ! Daniel est le maitre absolu pour trouver les meilleurs riffs des jams, et les transformer en de pures chansons rock accrocheuses, qui restent dans la tête pour ne jamais en partir ! L’album a été enregistré à Glasgow, Kentucky, un endroit calme et beau, en pleine nature au milieu des fermes, ce qui évite les distractions et tentations pendant l’enregistrement !

On retrouve plusieurs guests sur l’album, dont Greg Martin de The Kentucky Headhunters, Keki Andrei, un prodige de l’orgue Hammond rencontré par hasard en Italie (qui a déjà joué avec Deep Purple, Whitesnake…).

Retrouvez Nashville Pussy en tournée française :
02.08 Le Garric (81) Xtreme Fest
09.08 Orleans (45) Blue Devils 1
0.08 Barberaz (73) Brin de Zinc
11.08 Charmes (02) The Rock’n’Roll Shop / Stage
17.08 Dommartin Les Remiremont (88) Festival Les Sapins Barbus
19.08 St Nolff (56) Motocultor Festival
22.08 Marseille (13) Molotov
23.08 Narbonne (11) Le DB
24.08 Bordeaux (33) Relache
31.08 Montagnac (34) Simple fest
15.10 Toulouse (31) Le Metronum
16.10 Angoulême (16) Le Mars
17.10 Paris (75) L’Alhambra
18.10 Saint Nazaire (44) Le Vip
21.10 Chelles (77) Les Cuizines
02.11 Strasbourg (67) La Laiterie
03.11 Villeurbanne (69) CCO
06.11 Saint Jean De Vedas (34) Secret Place

Rappelons que Nashville Pussy sera en concert le 11 août 2018 à Charmes / Rock’n’roll Shop. Ce sera l’occasion de découvrir ces nouveaux morceaux en avant première ! L’affiche est complétée par la révélation Hard Rock de l’année Dirty Dogz et des nordistes de  Overdrivers.

Places en vente au Shop ( billeterie exclu pré vente 22,50 € .)
Préventes sur sites habituels 24 €

Samedi 11 août 2018 – Ouverture des portes 19 h – début à 20 h 30

Samedi 21 juillet Bloody Rosie participait à la première édition du Festival de Valdallière (14).

L’interprétation énergique des titres d’AC/DC s’est révélée convaincante, pour un set assuré dans des conditions exceptionnelles, avec de superbes  lights, et un son incroyable de clarté, tout en mettant en avant la puissance des morceaux.

Merci aux organisateurs d’avoir mis à disposition ces équipements d’une telle qualité, permettant au groupe de délivrer un show mémorable !

 Setlist:
– Live Wire
– Shoot To Thrill
– Walk All Over You
– Back In Black
– If You Want Blood
– Stiff Upper Lip
– Riff Raff
– Night Prowler
– Thunderstruck
– Bad Boy Boogie
– Problem Child
– Kicked In The Teeth
– Whole Lotta Rosie

Découvrez en vidéo un extrait de cette prestation avec une pépite des boys, « Night Prowler » :

Après le succès du Monsters Of Tribute Rock le 9 juin 2018 @ Woincourt (live report ICI), Iron Maiden et AC/DC seront de nouveau à l’honneur samedi 13 octobre 2018 à l’Arcade de Notre Dame de Gravenchon (76)

Coverslave et Bloody Rosie seront donc de retour, pour envoyer le meilleur d’Iron Maiden et d’AC/DC, en compagnie de Dirty Dogz, la révélation Hard Rock française de l’année !

Nous vous attendons nombreux !! D’ici là préparez vos voix les amis !!

Les billets  collector sont disponibles au tarif préférentiel de 13 Euros !!!! Alors réservez vite ! Seulement 50 sésames vous sont proposés.

Pour les obtenir, rien de plus simple, contactez le 06 38 25 96 77.

La billetterie FNAC, Carrefour, Super U… est disponible en ligne au tarif de 15 euros
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Monster Truck dévoile un extrait du prochain album intitulé « True Rockers » qui sortira le 14 septembe 2018 via Mascot Records.

Découvrez « Evolution » en vidéo:

Pré commandes ICI
Monster Truck Live In Lille / Zenith – 1er juin 2017

Boney Fields: Sortie du nouvel album le 09 novembre 2018

Publié : 25 juillet 2018 par Alain B. dans Musique, News
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« Bump City »  le nouvel album de Boney Fields sortira le 09 Novembre 2018 via Socadisc.

Le chainon manquant entre James Cotton, Lucky Peterson et Trombone Shorty.

Boney Fields sera en tournée fin 2018 – début 2019 avec une date à Paris / New Morning.

« Bump City » est plus « rock » :
Le nouveau répertoire du virtuose de Chicago reflète l’atmosphère électrique du moment.

Pas étonnant de déceler un écho néo-orléanais furieusement cuivré dans cette célébration du swing. Comme un clin d’œil à celui qui alluma la flamme du jeune Boney Fields au tournant des années 70, Un certain Louis Armstrong.

C’est ainsi que Boney Fields rend un hommage appuyé à son compagnon de route et mentor, le regretté James Cotton, sur le titre « Ying Yang », magnifié par la grâce d’un invité de marque, le chanteur et harmoniciste, Charles Pasi.

« Bump City » est le fruit d’un savoir-faire acquis avec constance et détermination mais c’est surtout un album vivifiant porté par la fraîcheur créative d’une formation solide, enthousiaste et très performante.

C’est un message, l’histoire d’une vie, celle d’un musicien sincère, généreux et fier de ses jeunes partenaires à qui il offre un espace d’expression conséquent.

Dans « Bump City », le titre phare de l’album, Boney imagine d’ailleurs une ville où l’on ferait la fête et danserait toute la nuit. Quelle belle promesse !

Et comme le laissent entendre « Ain’t giving up on you » et « More », l’espoir et la félicité sont les meilleurs remèdes aux embûches et aux revers de l’existence.

Qu’il soit entendu !

Ed Motta: Sortie du nouvel album le 14 Septembre 2018

Publié : 24 juillet 2018 par Alain B. dans Musique, News
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« Criterion of the Senses », le nouvel album d’Ed Motta sortira le 14 septembre 2018 via Membran – Sony Music.

« Criterion of the Senses » est le nouvel album de ce brésilien, sultan de la soul. Il marque un retour vers les territoires déjà explorés du très remarqué album AOR (le meilleur album que Steely Dan n’ai jamais réalisé). Ed Motta est tombé très jeune dans la marmite du genre AOR ( Adult Oriented rock) et, il est vrai, qu’il nage comme un poisson dans l ‘eau de ce genre musical (conf. sa compilation « Too slow to disco Brasil »).

«je suis un collectionneur» affirme cet ogre, un genre de gargantua des notes, des mots, de dessins, d’amour, de vin.

«J’ai plus de 30000 LP dans ma collection. Cela fait partie de ma personnalité. Objectivement c’est ce qui me pousse a faire de la musique ,à me mettre au piano et a être meilleur à chaque création.»

Entièrement composé et produit à Rio dans les studios Marini, chez lui et dans ses studios Dwitza, cet opus allie la soul à la fusion, au funk et au soft rock, chaque titre est habilement réalisé par des musiciens brésiliens hors pair, capables d’offrir à chaque composition, la sensualité, qui caractérise la musique de Motta .

Les mots sont également choisis avec un grand soin, piochant dans le répertoire de Kafk, de quelques poètes contemporains ou inspirés de science fiction, espionnage, aventure et crimes.

« Criterion of the Senses » va sans aucun doute faire date dans la carrière ce cet admirable artiste.

Après le succès de l’album live « Act I » de Tarja classé dans le top 10 des albums lives, earMusic est heureux d’annoncer la sortie du très attendu « Act II » cet été. L’album live a été filmé pendant sa tournée mondiale « The Shadow Show » dans laquelle la chanteuse de metal symphonique a fait au moins 7 fois le tour du monde, traversé 300 000 kms et s’est produit dans 200 concerts dans 40 pays différents et devant plus d’un million de personnes, rien que ça. L’album live « Act II » a été filmé et enregistré lors de son concert au Metropolis Studio à Londres (Royaume-Uni) ainsi que dans un de ses concerts mémorables à Milan (Italie). On retrouve également dans « Act II » quelques interviews exclusives et des photos.

« Act II » mélange deux incroyables concerts bien que légèrement différents : Le premier chapitre « Metropolis Alive » a été filmé 2 mois avant la sortie de l’album « The Shadow Self » en 2016 qui a été un véritable succès. Vingt chanceux à travers l’Europe ont eu l’opportunité d’assister au très intime concert de 75 minutes au Metropolis Studio à Londres où la chanteuse de metal a interprété des morceaux exclusifs de son album, pour la première fois devant son public.

Le second chapitre de « Act II » a été enregistré le 29 Novembre 2016 au magnifique Teatro Della Luna à Milan et inclut des titres extraits des 4 albums de Tarja tels que « Innocence » « Die Alive » ou encore « Until My Last Breath » ainsi que l’incroyable cover du célèbre titre « Supremacy » de Muse. La set list de ce concert a également enchanté les fans de la chanteuse à la voix soprano avec notamment un medley composé de morceaux de son ancien groupe Nightwish tels que « Ever Dream », « Slaying the Dreamer » et « The Riddler ». Pour combler le tout, Tarja a offert un set acoustique de qualité où elle interprète ses plus grands classiques revisités avec beaucoup de fraîcheur.

Bien que les concerts de Tarja diffèrent en général au niveau du son, de l’adrénaline et de l’approche à la musique, ils ont tout de même quelque chose en commun : du premier morceau au tout dernier, nous retrouvons la très belle énergie de la chanteuse qui nous charme par sa présence et sa grâce : « les vidéos lives sont devenues des moyens de documentation où l’on peut regarder les performances du groupe grâce à une télécommande à distance. Les lumières du spectacle et les LED accompagnent les performances du groupe mais n’ont pas réellement de significations en soi. Avec « Act II » en revanche, c’est très différent. Ici tout a une signification, chaque détail est important car ce n’est pas seulement une vidéo live mais plutôt un « documentaire live ».  Dans la vidéo, chaque morceau a été travaillé de manière à transmettre les sentiments que je voulais exprimer sur scène.  Je voulais être le plus proche possible de mon public pour leur faire ressentir toutes mes émotions pendant ce concert. On a rajouté plus de séquences, d’extraits, de photos et plus de graphisme.  On a également beaucoup travaillé sur les lumières, les cadrages, les reflets, les couleurs et on a inséré de nouvelles diapositives. On a également choisi de laisser certaines images pures et naturelles car elles représentaient bien ce qu’on voulait transmettre.

« Act II » n’est pas une vidéo-live c’est une vidéo d’art et vous êtes libres de juger et d’en débattre, c’est d’ailleurs exactement ce que l’on cherche.  « Act II » sera disponible le 27 juillet sur earMUSIC .

« Act II » garde l’énergie et l’esthétique de son prédécesseur mais on ajoute un nouveau chapitre a la saga de manière innovatrice. Éteignez les lumières, augmentez le volume et plonger au cœur du spectacle » Tarja.

Le 10ème Festival Plein’ Air se déroulera le samedi 1er septembre 2018 à Béthancourt en Vaux (02). 5 groupes sont au programme de cette nouvelle édition, avec Rosedale en tête d’affiche. La formation emmenée par Amandyn Roses a inversé son passage sur scène avec Barbara Thomas, car un long trajet attend Rosedale pour rejoindre la Suisse, ou le groupe jouera le lendemain. Mais rassurez vous, le tirage au sort pour gagner la guitare sera bien effectué lors de la dernière prestation !

Sclavine est une femme libre qui trouve ses sources d’inspiration et de respiration dans les Pixies, Brian Eno, David Byrne, Taking Heads, Alan Vega, les Stooges ou encore Dizzy Gillepsie. Elle compose et écrit, tâtonne, essaie de trouver la bonne formule, se risquant sur scène ou en studio, seule ou accompagnée jusqu’à rencontrer  Laurent (ex Margerin,  Danny Wilde) qui lui propose une approche « less is more ». C’est ce sillon que ces deux-là veulent  creuser et c’est au Black Box Studio, la Mecque de l’Analogique Vintage Spirit, qu’ils l’ont gravé, en novembre 2016.

Si la sortie vinyle de leur premier EP 5 titres produit par Peter Deimel au  printemps 2017 chez Rev Up Records a été salué par la critique ; le public salue aussi le duo minimaliste lors de ces premiers concerts en festival ou cafés concert (Festival Hautes Frequences, Pop In à Paris …)

Hangover est un groupe natif de Chauny, une petite ville de l’Aisne. Il a été fondé par Seb en 2011 avec deux de ses potes (un guitariste chanteur, un bassiste et un batteur), après plusieurs années d’inactivités musicales.
Après un an de formation, une poignée de concert et une démo, le groupe perd son bassiste. Ce fait marque l’arrivée de Vin’s à la basse, les compos changent et le groupe gagne en caractère. Après plusieurs scènes, le batteur quitte le groupe qui connait une longue traversée du désert qui va durer un an. Entre temps, le groupe désirant renforcer son son de guitare, recrute Thomas à la guitare lead. Puis enfin arrive Farid à la batterie et le groupe se retrouve au complet : Seb guitare et chant, Thomas guitare lead, Vin’s basse et Farid à la batterie.
Les influences du groupe vont de Nirvana à Offspring en passant par le métal et Motorhead. Le style musical de Hangover peut être qualifié de Hard Grunge. Le groupe évolue sur Chauny (Espace musique) et Fargniers (Caves à musique), qu’il remercie au passage pour leur accueil et leur convivialité.
Hangover compte aujourd’hui à son actif plusieurs concerts, compos et démos, ainsi qu’une page Facebook (Cliquez sur « j’aime » au passage !). Venez nous voir sur scène si vous aimez le son chaud et pêchu !!!

We Are Darling : un power-trio résolument Rock ! Sans concession, le son épuré de guitare saturé soutenu par une rythmique implacable donne le ton.
La puissance du rock’n’roll, le groove du blues et leurs énergie punk, emmené par les 2 chanteurs charismatiques Ambroise (Chant/guitare) et Thibaut (Chant/Batterie) aux influences classique rock d’AC/DC jusqu’à Muse, délivrant un son digne des plus grands. Et c’est sans compter sur le showman du groupe Guillaume (Basse/chœur) pour faire bouger le public qui ne ressort jamais indemne d’un de leur live déconcertant.
Groupe fondé en 2009, les We Are Darling en ont surpris plus d’un, gagnant à chaque fois le cœur du public lors de leurs concerts, écumant les dates dans le nord et l’est de la France, du Gibus à Paris jusqu’à la première partie de La Rue Kétanou au Kabaret à Reims.
Soutenu par un public de plus en plus nombreux, les 3 Darling viennet de rentrer en studio pour y restituer leur énergie et ce que les initiés appellent la « WAD touch’ »

Rosedale: La révélation Blues-Rock 2017 !

Un peu de noir, un peu de blanc, beaucoup de Blues et de Rock !Quel mélange idéal pour ceux qui portent en eux un grain de folie, ceux qui se disent que le plus beau chemin qui mène vers le plaisir auditif est celui qui se teinte de jolies couleurs électriques, de voix puissantes et rugueuses, de mélodies lourdes et pourtant paradoxalement si aériennes !

A la barre de Rosedale – Blues Rock, Amandyn Roses, dont la voix puissance la place directement et sans rougir aux côtés de Beth Hart ou Etta James. Avec Charlie Fabert, guitariste de Fred Chapellier et Paul Cox, l’alchimie parfaite a été trouvée, avec un mélange subtil de rythmes groovy et de guitares nerveuses, de sonorités Southern Rock qui se lovent dans de délicates ballades Blues.

Barbara Thomas commence le chant dès l’âge de 14 ans. Au fil des ans, elle intègre différentes formations musicales et s’exprime durant quelques années dans des formations et genres musicaux variés (Lyrique, Funk, Pop-Rock, Rythm & Blues, Jazz…) et acquiert une solide expérience de la scène.

Depuis 2010, Barbara Thomas se lance dans une aventure musicale personnelle :  son univers, c’est le Rock US, le Country Rock et le Southern Rock (ZZ Top, Lynyrd Skynyrd, Bon Jovi, Sheryl Crow, Shania Twain, Kenny Chesney, Terri Clark, Sara Evans, Faith Hill, Sugarland…)

En juin 2013, Barbara Thomas sort son premier album « Guess », 12 chansons originales écrites et composées par des auteurs de Nashville. L’album est remixé et masterisé en Californie.

Les particularités de l’album sont des titres originaux et une production 100% américaine (songwritters, musiciens, arrangements, mixage et mastering). Musicalement, l’album est très actuel, le son de Nashville, Pop, Rock et Folk est sans réel équivalent dans la production française actuelle.

Détails pratiques:
Ouverture des portes: 18h00
Début des concerts: 18h30
Restauration sur place assurée par le comité des fêtes.
Billetterie: 11 Euros en prévente, 14 Euros sur place.
Gratuit pour les enfants -12 ans.
Points de vente:
Cultura / zone commerciale Carrefour à Compiègne
Cultura / zone commerciale Auchan à St Quentin
Bar Le 421 / 35 rue de la République à Chauny
Café de la Poste / 13 rue Victor Hugo à Tergnier
Librairie Interligne / 6 rue de Jaulzy à Soissons
Boulangerie Pillot / 4 Grand Rue à Béthancourt-en-vaux
Comité des Fêtes / rue du Jardin Portaley à Béthancourt-en-vaux
Librairie Rédic / 18 rue Raspail à St Quentin
Café Le Rétro / 73 rue de la Mairie à Morlincourt (Noyon)
Espaces Musiques / 16 bis avenue de Verdun à Chauny
Bistro Chai Nico / 5 place du Marché Couvert à Chauny

Le camping s’éveilla avec Grit. Malheureusement pour eux, les gens ne s’étaient pas trop déplacés car il pleuvait pour la première fois du weekend lors de leur passage. Mais le quatuor français n’en démordait pas et joua normalement. Il proposa même une nouvelle chanson Self Kiss et une autre dédiée à un mec complètement allumé qu’ils avaient croisé lors de la première édition du festival, Kind of Grit/Ready or not.

La suite fut par contre accueillie par une plus grande foule. Jared James Nichols nous joua donc une setlist en roue libre, j’avais vraiment l’impression qu’ils décidaient sur le tas quoi faire. Ils demandèrent même à l’audience quel titre joué. Bref, une belle atmosphère était présente et une belle complicité se voyait sur scène entre le nouveau bassiste et Jared. Chose étonnante il n’y a aucun médiator dans le groupe !

La dernière journée du festival commença donc par Baroness à la M1, groupe passant au Hellfest et au BeProg! My Friend, mais là n’est pas le sujet. Le quatuor américain jouait d’ailleurs devant pas mal de fans des Gun’s  And Roses venu camper là. Mais cela ne les empêcha pas de donner un show, certes simple, en profitant de l’extension de scène installée pour le soir. Je découvris donc un groupe de Metal Progressif alliant Stoner et Rock Psyché avec des refrains ultra catchys.

S’enchaîna rapidement Jonathan Davis, ce pourquoi je campais devant Baroness. Ce dernier, venu défendre son second album solo, était accompagné du batteur de Korn, d’un violoniste/guitariste, d’un contrebassiste et d’un claviériste. Une compo idéale pour jouer les morceaux parfois ambients de Black Labyrinth et les quelques reprises de la BO du film La Reine des Damnés, qu’il a composé. Certains morceaux avaient d’ailleurs été rendu un brin plus énergique que dans l’album ; sans doute pour mieux convenir au type de public présent. J. Davis inhalait d’ailleurs tous les deux morceaux de l’oxygène (enfin je pense) pour tenir le coup ; prions pour qu’il tienne encore plus longtemps !

Me voilà donc de retour à la Warbird (la seule scène avec la M1 à avoir une programmation ce jour-là) pour Greta Van Fleet. Le groupe américain est très connu pour ressembler à Led Zeppelin, le chanteur d’origine, Robert Plant, les a même reconnus comme tel. Ainsi il jouait leur premier concert français (que je sache) devant un public au rendez-vous. Le jeune quatuor a donc joué son répertoire composé essentiellement de son EP From The Fires. Ce qui aboutit même à un étonnant rappel mais malheureusement il restera sans réponse….

Suivit donc sur la même scène le combo sud-africain Seether. Leur Metal Alternatif bien lourd n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd car les fans furent nombreux à essayer de s’approcher des premiers rangs. Le groupe ne se fit d’ailleurs pas trop prier quand il fallut conclure le show par un Wall of Death et un Circle Pit. Comme quoi les esprits étaient bien échauffés.

Vint ensuite la tête d’affiche du festival ! Celle qui avait obligé la tenue d’un quatrième jour : les Gun’s  And Roses. C’est donc avec 15 minutes de retard  que se lança une animation interminable d’un tank aux couleurs du Graspop et du Donwload qui tirait de temps en temps sur nous (ou plutôt sur des zombies hors champs). Puis vint une autre animation sur une balle frappée de leur sceau : le concert pouvait enfin commencer ! On était bien loin du groupe de rock légendaire, en effet le groupe avait dans son line up deux claviéristes choristes en plus de cinq membres. C’est après quelques minutes que je décidai de partir devant ce show grandiose mais pour lequel je ne ressentais rien. Comme quoi les têtes d’affiche du festival n’étaient pas faîtes pour moi.

 

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Réalisation Report & Photos: © 2018 Gauvain GAGGINI

Le troisième jour commença tranquillement par les autrichiens de Kaiser Franz Joseph. Le combo, mélangeant Stoner et Blues Rock, jouait là sa première fois en France et a su en profiter. D’ailleurs, le concert approchant de sa fin, et le batteur se levant, le bassiste demanda si on en voulait une autre. Et là surprise générale : « On s’en fout il nous en reste deux ! » (dont une très belle reprise de Whole Lotta Love de Led Zeppelin). Le bassiste était complètement déchaîné ce matin là et littéralement sauvage ! Une vrai bête de scène !

Les suivants furent les anglais de Stone Broken. Dans la suite logique, la bande nous proposa un Rock Stoner bien sympa. Cette date fut pour eux l’occasion de promouvoir leur second album sorti il y a peu. Mais bon il fut dur pour eux de créer la même ferveur que lors du précédent groupe.

Après deux concerts bien Rock il était pour moi temps de continuer sur ma lancée en allant à la M2 écouter Tea Cup Monster, un des représentants du Download Project. Le power trio parisien fut donc présenté par Nicole et le CM Facebook du Download, comme les précédents. Mais ce qui me frappa fut le nombre impressionnant de fans arborant fièrement le t-shirt du groupe. Une belle ambiance s’installa donc entre les curieux et les connaisseurs qui n’hésitèrent pas à lancer quelques pogos ou danses par ci par là.

S’ensuivit donc les français de The NoFace sur la M1. Le nouveau projet des musiciens de Skip The Use joua donc un Rock moderne avec une chanteuse dévoilée par le télé crochet The Voice. Le groupe fort de son identité visuelle, tous les musiciens portaient le même costume avec le même masque noir entaché d’une croix blanche, délivra une belle performance scénique. Mention toute spéciale au bassiste qui voulait jouer de son instrument avec ses dents, vive les masques ! En tout cas le groupe su convaincre quelques curieux de leur efficacité et de leur puissance.

Bon après mon petit tour aux mainstages, il était temps pour moi de revenir vers les petites voir The Last Internationale sur la Spitfire. Les New-Yorkais nous délivrèrent un Blues Rock puissant et bien fuzzy avec une chanteuse au chant hypnotique. D’ailleurs chose étonnante c’est un papi qui lança les premiers pogos vers la fin du concert. Le groupe profita même de l’écart public/scène pour nous faire un petit solo de guitare, ou la partie chant d’un morceau entier à ras des barrières. Une belle performance très simple mais efficace.

C’est Graveyard qui prit la suite des événements à la Warbird avec un son bien lourd. Le combo de Rock Stoner psyché avec un chant rauque à souhait nous joua un set parfait aux couleurs d’un bon désert américain. Un concert là encore très simple mais terriblement addictif. Ainsi, il ne fut pas étonnant de voir la foule en délire réclamant une nouvelle chanson, mais le groupe ne revint pas sur scène : l’heure c’est l’heure.

Ah là, on attaque avec ma grosse claque du festival : Arcane Roots. Si j’avais pu écouter des titres d’Ambient et de Rock Atmosphérique sur le net, découvrir un groupe de Progressif aussi bon et insoupçonné fut ahurissant. Tantôt ambient, parfois expérimental, tantôt atmosphérique, parfois prog, tantôt violent et parfois tout à la fois… De quoi donner le tournis. Je m’attendais à un groupe contemplatif et j’étais loin de me douter d’entendre un groupe s’approchant de Leprous sur certains morceaux. Une découverte de la Spitfire bien loin des gros groupes passant ce jour. D’ailleurs ils profitèrent du concert pour jouer une nouvelle musique Landslide qui sortira le soir même sur la chaîne de radio BBC.

Bon, pour le suivant c’est la curiosité qui me poussa à aller écouter Slaves sur la Warbird. Le groupe était intrigant, en effet il est seulement composé de deux personnes : le batteur chanteur (la batterie est mise de façon à qu’il joue debout) et un bassiste guitariste.  Il était d’ailleurs étonnant de voir autant de fans présents, l’ambiance du concert s’approchait sans mal de celle de Tagada Jones la veille, mais avec moins de monde. Les punks nous rassurèrent d’ailleurs sur leur nombre : « Si vous vous posez la question de combien on doit être dans un groupe alors que personne ne veut vous rejoindre, et bien vous avez là la réponse ! ». Le chanteur n’hésita pas à prendre souvent la parole notamment pour remercier la sécurité pour leur travail irréprochable, il y avait en fait beaucoup de slammeurs, et le public qui ne le filmait pas. Chose surprenante, le groupe partit dans le public en se faufilant pour sortir de la scène à la fin du show. Les fans quelque peu incrédules au début n’hésitèrent pas à les suivre ensuite ; mais je crois qu’ils avaient déjà disparus.

Après la venue de Carpenter Brut en 2017 au Download et de Perturbator au Hellfest, cette année les deux ont inversé leurs rôles. C’était donc Perturbator, projet de Synthwave français, que j’ai trouvé à la Warbird. La composition Live se composant d’un batteur et du maître penseur du projet. Le concert se donna vite une teinte de concert d’électro devant un public de metalleux, car ça sonnait très électro tout ça (bien plus que pour Carpenter Brut). Pertubator semblait d’ailleurs un brin pâle et fatigué mais ce n’est pas sans entrain qu’il assura le show jusqu’au bout derrière ses claviers devant des fans bien présents.

Prenant enfin une petite pause repas, je me suis approché du concert de Mass Hysteria qui venait à peine de commencer sur la M2. Et on peut dire que le groupe en plus du show traditionnel, une descente dans la foule où elle fait un circle pit autour d’eux, avait mis les moyens. On put donc voir une quinzaine de percussionniste sur Vae Soli, un lâcher de ballons géants, des pompon girls, des danseuses brésiliennes, des explosions de confettis et de cotillons… Bref pour leur 25 ans de carrière, les français avaient mis le paquet !

Bon ce n’est pas tout mais j’étais là aussi pour découvrir les Foo Fighters, tête d’affiche du soir ! Ne les ayants jamais écouté, je me suis dis que je pouvais rattraper mon retard. Mais bon, trouvant leurs musiques trop molles et fades, je me suis vite décalé ; à part The Pretenders aucune ne m’attiraient. Le groupe joua d’ailleurs deux morceaux de Queen, Imagine de Lennon et Let’s Go des Ramones. Mais bon ce n’est pas pour autant que je suis revenu. Il était donc venu pour moi le temps de penser au lendemain.

 

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Réalisation Report & Photos: © 2018 Gauvain GAGGINI

L’Arcade présente:
Coverslave Tribute Iron Maiden + Bloody Rosie Tribute AC / DC + Dirty Dogz

Les billets  collector sont disponibles au tarif préférentiel de 13 Euros !!!! Alors réservez vite ! Seulement 50 sésames vous sont proposés.

Pour les obtenir, rien de plus simple: Appelez au 06 38 25 96 77 ou assistez aux concerts de Dirty Dogz et Bloody Rosie qui auront lieu ce week end :

Vendredi 20 juillet 2017 à Fécamp pour Dirty Dogz et samedi 21 juillet au  festival de Valdallière à Vassy (14) pour BloodyRosie. (voir visuels ci dessous)
Après le succès du Monsters Of Tribute Rock le 9 juin 2018 @ Woincourt (live report ICI), Iron Maiden et AC/DC seront de nouveau à l’honneur samedi 13 octobre 2018 à l’Arcade de Notre Dame de Gravenchon (76)

Coverslave et Bloody Rosie seront donc de retour, pour envoyer le meilleur d’Iron Maiden et d’AC/DC, en compagnie de Dirty Dogz, la révélation Hard Rock française de l’année !

Nous vous attendons nombreux !! D’ici là préparez vos voix les amis !!

La billetterie FNAC, Carrefour, Super U… est disponible en ligne au tarif de 15 euros
Sur place: 19 Euros
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