« Shehili », le nouvel album de Myrath est disponible depuis le 3 mai 2019.

Avec leur Metal Progressif, incroyablement personnel et épique, aux influences orientales, Myrath s’est lentement mais sûrement imposé comme l’un des groupes les plus fascinants de la scène Metal internationale actuelle.

Leur dernier album « Legacy » (sorti en 2016) a reçu un excellent accueil du public et des critiques internationaux, notamment avec « Believer » , leur titre le plus connu à ce jour ! La vidéo a été vu plus de dix millions de fois sur YouTube ! « Dance», le 1er single de l’album à venir « Shehili », a été vu plus d’un million de fois au cours des cinq premières semaines depuis sa sortie en décembre 2018 et place ainsi la barre très haute ! Myrath a joué avec de nombreux grands noms de la scène, tels que Symphony X et Dream Theater, et sera en tournée à la fin de l’année dans le monde entier.

En 2019, le groupe sera présent lors du plus grand festival de Metal au monde : Le Wacken Open Air. Ainsi que l’un des plus légendaires festivals d’Europe de Metal et de hard rock : Sweden Rock ! « Shehili » dépasse toutes les attentes.

Innovant, mais fidèle à la signature sonore de Myrath, ce nouvel album ose établir des contrastes entre des mélodies exaltantes et des paroles bien pensées et déchirantes. Le meilleur exemple de cette dualité se trouve dans le premier single « Dance » premier single issu de l’album et basé sur une histoire vraie (illustré par une vidéo époustouflante qui poursuit l’histoire entamée avec « Believer ». le plus grand succès du groupe à ce jour) « Ce morceau parle d’une Syrienne qui continue à danser malgré les menaces de mort qu’elle a reçu de l’Etat Islamique. Elle se fait même tatouer les mots « dance or die » (« danse ou meurt ») sur le cou » explique le chanteur Zaher Zorgati. « Ce titre est un hommage rendu à tous ceux qui refusent de se soumettre et gardent toujours espoir, même dans un monde empli de haine et d’incertitude ».

Loin des clichés de la scène metal contemporaine, « Shehili », en dépit de sa fascinante richesse rythmique et mélodique, conserve un son naturel, puissant et organique. Les enregistrements ont eu lieu à Hambourg, en Allemagne, en Tunisie et en France. Perfectionniste à l’extrême, Myrath a confié le travail de mixage à trois producteurs différents, poussant chaque titre au maximum de son potentiel : Eike Freese (Deep Purple, Gamma Ray), Kévin Codfert ainsi que Jens Bogren, le célèbre producteur (Opeth, Pain Of Salvation, Orphaned Land, etc.) ont œuvré à la production de l’album. Tirant son nom d’un vent venu des dunes du Sahara (également connu sous l’appellation « sirocco »), « Shehili » est une invitation au voyage qu’on ne saurait refuser.

En attendant de redécouvrir la magie de Myrath sur scène dès la fin de l’année. Dépaysement assuré !

L’album qui vient de sortir est déjà Top 10 des charts Itunes rock & metal en Europe, et le single « Dance » est le titre le plus joué cette semaine dans les radios metal US !

Découvrez la vidéo du single « Dance » :

Monster Truck sera en concert au « Forum » de Vauréal samedi 11 mai 2019, avec Royal Tusk en première partie.

« Sittin’ Heavy », leur crucial et puissant deuxième album a vraiment permis à Monster Truck de prendre son envol au niveau international. En 18 mois  le quatuor canadien  a donné plus de 150 concerts à travers le monde. Si le groupe a eu l’occasion de partager les scènes de Nickelback, Billy Talent, Deep Purple, Black Stone Cherry, Volbeat, The Temperance Movement, Jane’s Addiction, Rob Zombie ou Alter Bridge, il n’a oublié de se produire aussi en tête d’affiche.

En France on retiendra un passage archi complet à la Maroquinerie, à Paris et plusieurs dates en province qui ont largement contribué à renforcer la réputation  du combo dans notre pays.

C’est donc sur la route, que ce nouvel album a pris forme, les musiciens utilisant leur temps libre pour composer un max et enregistrer des démos qu’ils envoyaient au producteur Dan Weller (SiKth, Young Guns, Enter Shikari). Puis c’est à nouveau aux Echo Mountain Studios d’Asheville, en Caroline de Nord, que l’enregistrement final s’est déroulé.

Aucun doute, « True Rockers » reflète cette spontanéité brute et surtout plaisir que ces quatre musiciens ont lorsqu’ils jouent et partagent leur musique.

C’est ce que le public français a pu encore contaster le 3 décembre dernier, à l’Elysée Montmartre, lors de l’excellente prestation de Monster Truck en première partie de Black Stone Cherry.

Bien décidé à conquérir le public de l’Hexagone, le groupe se produira le 11 mai au Forum de Vauréal.

Tarif sur place : 20€
Tarif en prévente : 18€
Tarif abonné : 15€

Le Forum
Boulevard de l’Oise – 95490 Vauréal
www.leforum-vaureal.fr
01 34 41 93 20
A15 sortie 12, direction Vauréal.
Transports en commun : RER A, arrêt Cergy Le Haut. Bus 34, arrêt La Croix Lieu.

De notre envoyée spéciale Alicia FIORUCCI

Paris, dans la mythique salle du New Morning, le 17 avril 2019, s’est tenue une soirée sous le signe du blues, du rock et de la soul grâce à deux groupes français contemporains de cette scène. D’un côté Jessie Lee & The Alchemists et de l’autre In Volt.

Le premier groupe, ouvrant le bal ce soir, se forme en 2014. Et depuis cette année là, le quintet ne cesse de gravir les échelons entre Blues Sur Suresnes, La Boule Noire et autres Billy Bob’s Disney, on ne peut dire qu’ils sont inconnus des aficionados du style. Emmené par Jessie qui assure voix et guitare rythmique, le groupe propose ce soir là, des compositions de leur premier album, mais aussi quelques reprises, Etta James notamment. Techniquement irréprochable tant le tout est codifié et tellement bien préparé qu’on en oublie un peu la spontanéité et le cœur qui sont si chers à ce genre musical. Ceci étant dit, on est en présence de musiciens de haute volée, il suffit d’entendre les soli d’Alexis Didier, le groove de  Laurent Cockelaere, la frappe de Julien Audigier et les nappes de Laurent Daire pour s’en rendre parfaitement compte, dommage simplement que le grain de folie y soit absent.

Au bout d’une heure de concert Jessie Lee & The Alchemists cède la place à In Volt, venu présenter son nouvel album « Free » dans ce lieu culte du blues et du jazz parisien. In Volt, c’est quoi ? In Volt c’est 4 gaillards aux influences classic rock et blues qui décident de faire leur propre cuisine musicale et ce pour notre plus grand plaisir. Le combo se lance à l’assaut de la scène, c’est parti pour 1h30 de show avec une très grande présence théâtrale à grand renforts de monture en forme d’ailes, de chapeaux, de cotillons, on aura même droit à des casques intégraux pailletés en forme de têtes de mort.

Au milieu du set, quelle bonne idée d’avoir interprété « House of Silence » et « Fake Love » de manière électro-acoustique.

Un climat chaud, intimiste s’est tout de suite fait sentir , comme si l’on se retrouvait autour d’un bon feu de bois avec des potes. Well done les gars d’avoir fait ça !

A la vue du concert, on ne peut cesser de penser à Alice Cooper le côté décadent et déglingué en moins, l’époque ne s’y prête visiblement plus, mais aussi à Jim Morrison à qui il rend hommage en reprenant le fameux passage planant et percutant de « The End » en l’intégrant dans une de leurs compositions. En tout cas, Enton (chant), Jérome (guitare), Karim (basse) et Rodolphe (batterie) nous transportent dans leur univers innovant qui réinvente le blues rock en tentant de faire quelque chose d’unique en puisant dans leurs diverses influences.

Au bout d’une heure trente de spectacle, c’est le moment du rappel, ce dernier se transformant en bœuf avec Jessie Lee & The Alchemists sur une chanson de Bob Dylan, « Rainy Day Woman ».

Une bonne humeur transcende les planches du New Morning, c’est frais et on décèle qu’ils se font plaisir, ce qui est essentiel car amplement communicatif.

C’est ainsi que se finit cette belle soirée aux couleurs et au service de la note bleutée.

Alicia FIORUCCI

Photos ©2019 Jean Pierre Courcier

Merci à Sophie Louvet et Bruno Labati pour l’accréditation
Merci à Jean Pierre Courcier pour les photos
Jessie Lee & The Alchemists
In Volt
 
Jessie Lee & The Alchemists + In Volt

La release party du nouvel album des Cotton Belly’s « Missi », se déroulera le 26 Septembre 219 à Paris /Petit Bain.
Au carrefour du blues, du rock et de la folk, ce quartet francilien nous offre une musique directe et généreuse, vibrante du passé comme de l’avenir.
Les « ventres de coton » c’est pour les champs ou le blues est né dans la douleur et pour les tripes dont il s’échappe parfois. « Missi », le  nouvel album de Cotton Belly’s, détonne son « blues » et nous embarque pour une virée ou les notes fiévreuses glissées sur des guitares à résonateur répondent aux plaintes aigues d’un harmonica pas si désespéré. Le retour aux sources est inévitable et rappelle à certains moments les origines africaines de cette musique enchanteresse.

« Missi » respire aussi la folk avec ses teintes de banjo, ses rythmiques acoustiques et ses balades légères. Certains titres s’imprègnent parfois de « rock » autour d’une batterie puissante, lourde de ferrailles et autres percussions composant avec basse et contrebasse qui groovent joyeusement. Les guitares électriques dansent et font danser, vous emmènent parfois dans des brumes insoupçonnées. Enfin, la voix chaude et envoutante du chanteur termine ce mélange de saveurs avec des teintes soul et pop. Les mélodies sont agréables, les thèmes enchanteurs et la générosité des quatre « Ventres de coton » n’est plus à démontrer.

Renseignements : Music For Ever Production
www.music-for-ever.fr / 03 89 64 21 36 & Points de vente habituels

Sur le chemin entre le Hellfest et le Graspop Festival, Uncle Acid & The Deadbeats font escale au Forum de Vauréal samedi 22 juin pour une date unique en salle en France !

Groupe de Doom / Rock Psychédélique, Uncle Acid & The Deadbeats se sont formés en 2009 à Cambridge. Largement influencé par le heavy metal des années 70, la musique des Anglais est décrite comme du « Alice Cooper mélangé à du Black Sabbath ». Ils utilisent d’ailleurs des instruments vintages pour reproduire les sons produits à cette époque. Après un premier album sorti en 2010, K.R Starrs (aka Tonton Acid) et ses comparses sortent « Blood Lust » deux ans plus tard, leur permettant de se faire connaître en plus d’être salué par la critique.

En 2018, les Anglais ont sorti « Wasteland », subtil mélange Rock psyché, Pop, folk et blues comme eux seuls savent le faire !
D’après Uncle Acid : « On a hâte de revenir dévaster nos villes préférées. Vous allez adorer les concerts, expérimenter le top de la technologie en écran PsychoVision avec des tonnes d’amplificateurs à tubes poussés au maximum pour vous éclater les oreilles et vous liquéfier l‘esprit. Le cauchemar reprend ! »

Tarif sur place : 17€
Tarif en prévente : 15€
Tarif abonné : 12€
Pass Campus : 5€

Le Forum
Boulevard de l’Oise – 95490 Vauréal
www.leforum-vaureal.fr
01 34 41 93 20
A15 sortie 12, direction Vauréal.
Transports en commun : RER A, arrêt Cergy Le Haut. Bus 34, arrêt La Croix Lieu.

La nouvelle édition du Festival Bully On Rocks  se déroulera le samedi 25 Mai 2019 à Bully Les Mines.

Attention les places disponibles diminuent ! Un mois avant l’événement Il reste 45 places disponibles. Maintenant c’est encore possible, bientôt Il sera trop tard !

Ne manquez pas cette affiche exceptionnelle :
Tygers Of Pan Tang (UK)
Hardbone (DE)

Infos ICI
Tarif préventes en ligne : 20€ ICI ou au 06.82.70.88.27
Sur place (si il en reste !) : 25€

Lieu : Espace François Mitterrand
1/3 Rue Roger Salengro – 62160 Bully-les-Mines
Ouverture des portes : 17h30

Découvrez le trailer de l’évènement :

Bully On Rocks – Mai 2019

A un peu plus de trois mois du grand rendez-vous du Bully On Rocks, nous vous proposerons un petit trailer, histoire de vous faire saliver.Le samedi 25 mai prochain, "nous serons tous Bully".Bully on Rocks Marc Lemort Tygers Of Pan Tang Hardbone The Burning Crows DIRTY DOGZ

Publiée par Metal Addiction sur Mercredi 6 février 2019

La 8ème édition du Rock’N Festival se déroulera le samedi 11 mai 2019 à Chauny (02), avec à l’affiche 6 groupes de grande qualité. L’organisation mise sur une diversité des styles, qui permet d’apprécier les formations de renommée internationale, mais aussi ce qui ce fait de mieux actuellement sur notre territoire. Dépêchez vous de réserver pour vivre cette soirée inoubliable !

Sweet Scarlett
Aaron Buchanan & The Cult Classics
Ko Ko Mo
No One Is Innocent
Triggerfinger
Slade
Réservations sur les réseaux habituels (Weezevent, France Billet, Tickenet) 30 euros, 25 euros pour les – de 25 ans.

Noddy Holder (chant, guitare), Jim Lea (basse, chant), Dave Hill (guitare, chant) et Don Powell (batterie) se rencontrent dans la régions de Wolverhampton (West Midlands). Ils nomment d’abord leur groupe N’Betweens en 1966, avant de devenir Ambrose Slade puis Slade sous l’inspiration de leur manager/producteur Chas Chandler, ancien de The Animals et ex-manager de Jimi Hendrix.

Slade se bâtit d’abord une solide réputation scénique, avec un rock brut et mélodique qui sacrifie à peine à la tendance psychédélique de l’époque. Slade affiche d’abord un look skinhead avant de se laisser pousser les cheveux et de se composer une garde robe glam non dépourvue d’humour. Marqué par la voix nasillarde (et les rouflaquettes) de Noddy Holder, Slade sort en 1970 « Play It Loud » qui ne connaît qu’un succès relatif. La machine est vraiment lancée en 1972 avec « Slade Alive! », qui entre n° 2 du top en mars et témoigne de l’incroyable communion de Slade avec son public, ainsi que des facéties scéniques du groupe.

En novembre, « Slayed » est n° 1 dans la foulée des tubes « Coz I Love You » et « Look Wot You Dun »Slade fait de l’écriture phonétique de ses titres une marque de fabrique, Noddy Holder excellant à surjouer un accent populaire qui rapproche le groupe de ses fans. Slade c’est un groupe de copains qui déconnent, loin de l’image sophistiquée des autres groupes du mouvement glam. Même leurs tenues frisent la dérision, Slade se moquant volontiers de lui-même. Là où le groupe est sérieux, c’est dans l’écriture de titres efficaces et à la mélodie souvent plus travaillée qu’il n’y paraît.

Tour à tour, « Take Me Bak Home »« Mama Weer All Crazee Now »« Gudbuy T’ Jane »« Cum On Feel the Noize »« Skeeze Me, Pleeze Me »« My Friend Stan », et « Merry Xmas Everybody » affolent les charts et des cohortes d’adolescentes qui s’arrachent les cheveux en hurlant. Slade atteint son apogée avec « Slade in Flame » en 1974, album qui sert de support à un film à la gloire du groupe. Malgré « Far Far Away » qui se classe n° 2, l’album ne dépasse pas la sixième place des ventes, le public de Slade ne se reconnaissant pas dans des titres beaucoup plus pop qu’à l’accoutumée.

N’ayant jamais connu le succès aux Etats-Unis, Slade est dépendant de son succès anglais et dans une moindre mesure européen. « Nobody’s Fool » en 1976 est le pire album du groupe, dans une tentative désespérée de séduire le public américain avec une pop soul bien loin du glam. D’autant que le punk commence à frapper à la porte et vient ringardiser les groupes glam en mal de reconversion. « Whatever Happened to Slade » en 1977 marque un retour au rock, mais un éloignement des charts.

« We’ll Bring the House Down » (1981) et « The Amazing Kamikaze Syndrome » en 1983 sont le chant du cygne des rois du glam. Leur dernier tube, « My Oh My » est curieusement leur plus grand succès outre-Atlantique (n° 20 au Billboard). Slade perd son dernier éclat en 1991 avec le départ de Noddy Holder, qui réussit ensuite une brillante reconversion de présentateur à la télévision, aidé par sa gouaille et son franc-parler. Jim Lea cesse lui aussi d’être actif et Slade se rebaptise Slade II autour de Dave Hill et Don Powell.

Hormis une succession de tubes qui n’a d’égale que celle de The Beatles dans les années soixante, Slade laisse une empreinte réelle chez de nombreux groupes de Quiet Riot à Oasis, en passant par Kiss. Le plus incroyable c’est de voir « Merry Xmas Everybody » devenir au fil des ans une sorte de « Petit Papa Noël » anglais. Le titre se classe en effet chaque années dans les ventes anglaises en fin d’année, les rois du glam passent au final à la postérité avec une ballade à reprendre en choeur la nuit de Noël. Un clin d’oeil du destin qui n’est certainement pas pour déplaire à l’humour naturel de ce groupe plus dépourvu de prétention que d’intelligence.

Le trio belge d’Anvers Triggerfinger s’est bâti une solide réputation à travers l’Europe, les États-Unis et le Canada grâce à leur puissance et leur esthétique aiguisée. Depuis leurs débuts et cet album éponyme en 2004, suivi de « What Grabs Ya? » (2008), « All This Dancin’ Around » (disque de platine en Belgique et aux Pays-Bas 2010) et « By Absence Of The Sun » (disque d’or en Belgique et aux Pays-Bas, 2014), ils sont devenus l’une des figures de proue de la scène rock. Leur reprise impromptue de « I Follow Rivers » devient un hit majeur en Europe en 2012, si bien qu’ils sont invités à ouvrir pour les Rolling Stones en 2013 et 2014. Le 25 août dernier est sorti leur album « Colossus », qui a été composé au cours d’une tournée de 40 concerts à travers 15 pays européens pour asseoir une bonne fois pour toutes leur statut de groupe incontournable.

« On a tracé notre route, on s’est jeté dans l’arène. Creusé le même sillon pour exploser les scènes, de la sueur sur les planches et rien calculer en concert, comme si on jouait sa vie, comme si c’était la dernière » ce morceau de texte tiré du titre « 20 ans », résume parfaitement la carrière de No One Is Innocent, une carrière marquée par des succès, des tempêtes, des coups de gueules, et des combats jamais perdus d’avance.
En 2015, le groupe entame un nouveau tournant avec la sortie de « Propaganda ». Un album retour aux sources ancré plus que jamais dans l’actualité et les sonorités chères au groupe : riffs, groove, hymnes incarné et qui remet en première ligne Kemar, Shanka, Thunder B, Gaël et Popy en défendant corps et âmes leurs idéaux, et leur combat rock.

No One fait du bien en assumant pleinement un message et un discours humaniste, enragé, qui résonnera autant par un succès discographique que par des concerts d’anthologie sur la grande scène du Hellfest, en ouverture d’AC/DC et des Insus au Stade De France, en double affiche avec Tagada Jones pendant les présidentielles. Et bien sûr, après les attentats du Bataclan, à La Cigale, un moment de grâce live qui exorcise l’horreur en accueillant sur scène des survivants de l’attaque de Charlie Hebdo.

Fort d’une tournée marathon, c’est un groupe soudé et exalté qui reprend le chemin de la composition d’un nouvel album, baptisé Frankenstein.

Encore une fois, fidèle à ses engagements, à sa rage, No One is Innocent, reprend le chemin des barricades, humble mais fort, artiste avant tout, les riffs contre l’obscurantisme, instruments au poing comme Shanka guitare levée sur la scène de la Cigale. « Voici ma guitare. Il y a plein de guitares, mais celle-ci c’est la mienne. Ma guitare est ma meilleure amie. Elle est ma vie. Avec elle, je peux faire plus de bruit qu’un tank, qu’une mitrailleuse, qu’une grenade. Avec elle, je peux donner du bonheur, de l’espoir, de l’amour. »

No One Is Innocent est là, de retour avec un disque coup de poing et racé, telle une créature de l’aube. Frankenstein, lui, s’empare de la nuit avec ses mauvais rêves et ses espoirs. « On est chargé d’électricité. Aux portes de l’enfer on respire bien la liberté. Nous sommes la nuit ».

L’histoire de Sweet Scarlett est celle d’une aventure familiale : le père transmet sa passion de la musique à ses deux fils, l’un d’eux la partage avec sa compagne. Ensemble ils créent un projet dont les maîtres-mots sont complicité, joie, énergie.
C’est au détour d’un festival de Blues à Chedigny en 2011, que la famille décide d’orienter son travail musical vers le Rhythm’and Blues.
Ainsi prend forme le projet Sweet Scarlett et c’est en 2015, après avoir pris le temps de rechercher les sonorités correspondant à la démarche esthétique du groupe que la formation commence à se produire sur scène.

Le groupe Sweet Scarlett s’est révélé au grand jour grâce à son premier album de reprises de standards de Rhythm’and Blues. C’est avec un nouveau projet qu’ils reviennent fouler la scène pour cette fois-ci partager leurs compositions empreintes de funk et de blues avec une petite pointe d’énergie rock’n’roll. Sweet Scarlett, c’est toute une famille au service de la musique, celle qui se partage, qui rassemble, qui fait vibrer, celle qui diffuse l’enthousiasme « dans tout l’espace du corps ». Nouvel album sorti en octobre 2018.

Hydre à 2 têtes qui crache une musique puissante et folle, le duo KO KO MO donne une véritable joute guitare-voix/batterie résolument énergique et heureuse. Entre le jeu de batterie de K20, la guitare brute et la voix de Warren (sur laquelle plane le souvenir de Robert Plant), le son des années 70s connaît ici une mutation bien plus moderne. L’issue du duel ne sera pas la mort, mais une résurrection, celle d’un son, d’une musique. Et la vôtre, s’il en faut !

Aaron Buchanan & The Cult Classics est un groupe de rock britannique formé en 2016 par l’ancien chanteur de Heaven’s Basement, Aaron Buchanan, et signé par Listenable Records. La formation est composée d’Aaron Buchanan (chant), Laurie Buchanan (guitare), Tom McCarthy (guitare), Mart Trail (basse) et Paul White (batterie).

 

 

billets en vente :
Dans les magasins :
Fnac
Intermarché
E.leclerc
Cultura
Auchan
Cora
– chez Yves Gamba, coiffure, 13 place du marché couvert 02300 Chauny
– au bar le 421 rue de la république 02300 Chauny
– au café de la poste 13 rue victor hugo 02700 Tergnier
– et sur place au forum

Phil McCormack le chanteur de Molly Hatchet a succombé à une crise cardiaque le 26 avril 2019 à l’âge de 58 ans.

Il était dans la formation sudiste depuis 1996, prenant la suite de Danny Joe Brown, l’un des membres fondateurs en 1976.

Voici le communiqué officiel du groupe : « C’est avec grande tristesse que nous annonçons le décès de notre ami et membre du groupe, Phil McCormack. Nos condoléances et prières vont à sa famille durant cette période de deuil. Les contributions de Phil pour Molly Hatchet étaient écoutées dans le monde entier. Il nous manquera mais ne sera jamais oublié. »

Le dernier concert de Molly Hatchet en France s’est déroulé la 18 décembre 2018 à Paris « La Machine du Moulin Rouge ».
Photos © Alain Boucly – Hellfest 2012

L’association Underground Investigation organise son quatrième Hard Rock Legend, le samedi 4 mai 2019 à La Spirale à partir de 20h. Ne tardez pas à réserver, il ne reste plus qu’une semaine avant cet évènement exceptionnel !

Cette année, honneur au Hard Rock Irlandais avec deux de ces meilleurs représentants encore en activité : Brian Downey’s Alive & Dangerous et Pat McManus Band.

Pour la petite histoire, Brian Downey est le batteur et co-fondateur avec Phil Lynott du célèbre groupe Thin Lizzy dans lequel joua également Gary Moore.

Si ce nouveau projet du cogneur irlandais porte le titre du grandiose double album sorti en 1978, c’est pour la bonne est simple raison qu’il propose un show complet avec les meilleurs titres de Thin Lizzy. Accompagné de talentueux jeunes musiciens dont l’apparence rappelle celle de leurs aînés, Brian Downey rendra un vibrant hommage à son ami Phil Lynott disparu en 1986.

Quant à Pat McManus dit « The Professor », c’est le génial guitariste du groupe Mama’s Boys qui écuma les scènes Européennes durant les années 80. A l’origine, trio formé autour de trois des frères Mac Manus, le groupe se sépara suite au décès du plus jeune d’entre eux. Cependant les fans n’ont jamais oublié les standards et hymnes que Mama’s Boys distillé avec puissance et passion (« Power & Passion »). De nouveau en trio, le Pat McManus Band interprétera une partie des standards de Mama’s Boys mais également ses compositions plus bluesy sans oublier quelques hommage à Gary Moore et Slade, entre autres.

En ouverture de cette soirée, les locaux de Gang auront à cœur de chauffer la salle avec un heavy metal que ne renieraient pas Judas Priest et Iron Maiden.

Prévente : 20 € / sur place : 25 €
Infos et réservations : sylvcott@orange.fr
Billetterie ICI 
Pour tout renseignement complémentaire :
Underground Investigation c/o COTTÉ Sylvain
44, rue Maurice Dézothez 51170 Fismes – France
tél : 03.26.03.70.63.

Découvrez Brian Downey’s Alive & Dangerous en live avec « Rosalie »

« Watch Me Fly », le nouvel album de Shayna Steele est disponible aujourd’hui via Membran / Modulor

Voici incontestablement , l’une des grandes sensations vocales du moment.

Connue pour chanter avec Snarky Puppy, Moby et bien d’autres stars, Shayna Steele propose un 3ème album et prend véritablement son envol avec ce dernier.

Un pur joyau du genre : composé de 6 morceaux originaux et 4 reprises , voici une parfaite conjugaison de blues , gospel , soul et jazz ,  mettant en avant sa voix et son énergie incomparables.

Shayna Steele est née en Californie , a grandi dans le Mississipi et mais c’est sur la scène newyorkaise qu’elle fait ses vraies premières armes . Son charisme indiscutable et sa voix ne son pas passés inaperçus auprès de multiples stars , auprès desquelles elle a exercé en tant que choriste . C’est derrière Rihanna, Kelly Clarckson, Bette Midler, Steely Dan que Shayna affute sa technique .

Ce n’est qu’assez récemment qu‘elle décide de passer au devant de la scène .

« Watch Me Fly » est produit par David Cook et Shayna en a co-écrit les titres . Ces 10 titres sont de la pure dynamite , du très soul « Be » , au très sensuel « Treat Me Goodé » , au gospel « Wash Me Over », à la reprise « Life Goes On » de Big Mamma.

« Thorton », la reprise de Michael Jackson « Baby Be Mine » et « Secret Love » de Doris Day , le titre « Home » étant la cerise sur le gâteau, une pépite autobiographique. « Je voyage depuis très jeune. Je ne me suis jamais vraiment senti chez moi, dans le Mississipi, en raison des problèmes raciaux assez  présents la bas Puis lorsque je suis retournée voir ma famille, bi raciale, ils m’ont accueilli avec tant de chaleur et de fierté que oui, à ce moment là  je me suis sentie chez moi « Home » ».

C’est son grand père qui l’initie au Jazz , son père qui sera son guide musical et son Michael Mc Elroy lui donnera son éducation Gospel . Elle comprend très vite que son destin est la musique et le chant. Elle va très vite développer son propre « son », s’inspirant de ses stars telles que Ledisi, Rachelle Farrell, sans parler des icones telles que Stevie Wonder, Aretha Franklin, Chaka Khan, The Temptations.

J’aimerai avec mon album , offrir au public le même frisson que j’ai eu en écoutant « Purple Rain », « Thriller » ou encore les 1er albums de Whitney Houston.

«Watch Me Fly» Tracklist:
1. Be
2. That’s What Love Will Make You Do
3. Baby Be Mine
4. Treat Me Good
5. Shadow
6. Watch Me Fly
7. Secret Love
8. Life Goes On
9. Wash Me Over
10. Home