Rod Barthet sera en concert jeudi 21 novembre 2019 à Paris « Le Sunset » (20h30)
Rod Barthet se démarque totalement de la scène blues française. Avec « Ascendant Johnny Cash », il parvient, une fois de plus, à faire sonner la langue de Molière sur l’idiome de John Lee Hooker comme personne avant lui.
Avec ce dernier, le temps de 5 chansons, il créé ici une alchimie rare dont il est le seul dépositaire. Cette dernière lève le voile sur un univers où semblent se côtoyer Bo Diddley, Christophe, Chuck Berry, Tommy Castro ou Alain Bashung. Le tout, au beau milieu d’une succession de tableaux sonores propres à l’imagination fertile des deux complices.
Des échappées jubilatoires qui n’en font pas oublier des racines toujours aussi bien ancrées dans le terroir américain et soutenues par un groupe exemplaire. Tous rivalisent de nuances et d’imagination, dans le but de servir des thèmes souvent brûlants qui déplorent les errances humaines et l’oubli de nos fondamentaux, qu’il s’agisse de Liberté, d’Egalité, de Fraternité ou d’écologie.
Après avoir fait trembler les scènes blues internationales, en 2019, Rod Barthet s’inscrit définitivement comme un rouage essentiel de la belle chanson française. – David Baerst –
Après plus de 20 années de complicité et de collaboration avec Rod, je peux affirmer que c’est très certainement l’un de mes meilleurs albums. »
« Du cousu main, tricoté avec éclat par un bluesman qui, en un tour de piste, fait caisse de résonance avec Alain Bashung, Barthet a largement de quoi nous attirer dans ses filets ». – Rolling Stone –
« « Ascendant Johnny Cash », titre éponyme propulse l’album sur le bon tempo ». – Guitare sèche Le Mag –
« Notes et mots frappent à l’unisson, le liant qui fait prendre la sauce c’est la guitare abrasive de Rod et cette dextérité impressionnante qui pourrait nous laisser penser qu’il a fait ses classes dans une bourgade du détroit Mississipi ». – Guitare Xtreme –
« Ne passez pas à côté de l’univers musical de Rod Barthet, entre Bashung ou Hubert-Félix Thiéfaine, le bluesman de Pontarlier n’en demeure pas moins un dangereux serial-killer de la guitare ». – Paris Move –
« Un album qui ne s’écoute pas que seulement avec les oreilles ». – Blues Mag –