La salle de « La Traverse » à Cléon vient de dévoiler le programme de la rentrée 2018, pour les mois d’octobre à décembre. Les artistes accueillis dans cette salle devenue incontournable, sont une nouvelle fois de grande qualité et rassemble une grande diversité de styles. Le public ne s’y trompe pas, se déplaçant toujours plus nombreux pour apprécier ces talents venus du monde entier. Ne tardez pas à réservez vos places ou les pass permettant d’assister à plusieurs concerts à moindre coût.
Paul DesLauriers Band + Dom Ferrer : Samedi 06 octobre 2018 / 20h30
Unis par une amitié et un respect mutuels indéfectibles, et travaillant depuis près de 20 ans sur de multiples projets communs, les 3 membres du Paul DesLauriers Band décidèrent il y a cinq ans d’unir leur talent et leur énergie au service d’un rock et d’un blues qui rappellent l’époque des grands groupes de années 60-70 tels Humble Pie, Cream, Led Zeppelin ou Foghat. Le groupe, originaire de Montréal et multi-récompensé, explore ce genre musical de manière très personnelle et moderne, libre de tout cliché, avec des rifs de guitares plaintifs ou jouissifs, de la groove hallucinante, des rythmes entêtants et des grosses percussions. Après un premier album encensé par la critique, le Paul DesLauriers Band lance « Relentless » en 2016, résultat d’une symbiose parfaite entre le bagage et les influences de chacun des membres.
L’univers musical de Dom Ferrer, folk rock “americana vintage”, est directement inspiré d’histoires vécues, qui pouraient tout aussi bien être issues des récits de Stinbeck ou Kerouak. Au cours de ses nombreux aller-retour aux USA, il ancra et affirma son style, pour revenir avec son album We ride free, enregistré à Little Rock, Arkansas, au Felloship Hall Sound Studio.
Phil Campbell And The Bastard Sons : Jeudi 18 octobre 2018
Phil Campbell, est un membre à part entière du groupe Motörhead. Depuis son arrivée dans le groupe, il a co-écrit 90% des chansons, souvent les plus aimées comme « Orgasmatron », « Going to Brazil » et encore « Rock Out ». Véritable fer de lance du groupe, il décide de poursuivre son chemin seul après la dissolution du groupe suite à la mort de Lemmy fin 2015. C’est lors d’une fête de famille que les Campbell jouent ensemble pour la première fois. Les avis sont unanimes : c’est fantastique. Ensemble, ils créent alors Phil Campbell and the Bastard Sons et enregistrent leur tout premier EP sorti en novembre 2016. Sur scène, le groupe interprète les plus grands titres de Motörhead, écrits par Phil Campbell lui-même, et leurs 5 premiers titres. Les riffs toujours aussi frénétiques de Phil Campbell sont révélés par ses talentueux fils : c’est une véritable explosion musicale sur scène.
No One Is Innocent + Sate : Mercredi 07 novembre 2018
En 1994, No One Is Innocent entre dans la cour des grands du rock avec son premier album et son single, « La Peau », qui marquera au fer rouge la génération électrique des 90’s. No One persiste et signe dans le coup d’éclat avec « Utopia » en 97. Après être passé à La Traverse lors de leur tournée 2015 pour l’album « Propaganda », No One Is Innoncent revient en 2018 après avoir sorti leur nouvel album « Frankenstein » : un disque coup de poing. Tous ceux qui ont pu les voir sur scène le savent, les No One, emmenés par le charismatique Kemar, restent un phénomène live. Leur réputation scénique n’est plus à faire. Chaque concert se joue comme si c’était le dernier.
Explosifs et intenses, les shows de Sate sont survitaminés. Chanteuse féline à la crinière décolorée, révélée au Canada, son pays natal, Sate est la fille de la célèbre dame du blues Salomey Bey. Le premier opus de Sate, « RedBlack & Blue », est à l’image de la chanteuse : un concentré d’énergie, très punk rock et aux racines blues et funk évidentes. Le deuxième album, « The Fool », est attendu en 2018.
Greg Zlap – Julliver – Ian Siegal + Will Barber : Vendredi 09 novembre 2018
Harmoniciste et chanteur, Greg Zlap s’est notamment produit durant ses dernières années aux côtés de J. Hallyday, V. Cosma, JJ Milteau. Julliver, pianiste et chanteur, a notamment joué avec des artistes tels que Chuck Berry, BB King. Maintes fois récompensé aux British Blues Awards et aux European Blues Awards, Ian Siegal est une référence du blues à travers le monde. Ils présentent eux même leur trio ainsi : “Depuis que nous sommes devenus amis il y a 15 ans, nous n’avons jamais eu la chance de jouer tous les trois ensemble. Nous avons décidé en 2017 de nous retrouver à Paris pour un concert et de faire pour l’occasion un enregistrement.” Sur scène, les trois musiciens se complètent et offrent un live magique, intense et sublime, à leur image.
Avec son univers musical tourné vers la country et le blues, Will Barber convoque autour de lui bien des sons que l’on nous a fait oublier. Il nous rappelle les Floyd, Creedence, Lynyrd ou les Stones, et les plus obscurs bluesmen comme les gratteux folk de Greenwich. Authentique et disponible, Will Barber partage la scène avec les plus grands, tout en finalisant son prochain album.
Robben Ford : Dimanche 11 novembre 2018 / 18h00
Reconnu comme l’un des 100 meilleurs guitariste du 20e siècle par le magazine américain Musician, Robben Ford a entamé sa carrière en Californie dans les années 60 en rejoignant le Charles Ford Blues Band. C’est avec eux qu’il commence à développer son style en partant des racines du Blues pour peu à peu évoluer vers le Jazz, la Fusion (avec L.A. Express) et même la Pop. En marge de son impressionnant parcours en solo il a accompagné des artistes tels que Joni Mitchell, Miles Davis, George Harrison ou Bob Dylan. Le dernier album de Robben Ford, « Into The Sun », est sorti en mars 2015 et s’est directement hissé à la 2e place du Billboard Blues Chart.
Tommy Emmanuel + Clive Carroll : Mercredi 14 novembre 2018 / 20h30
Même si l’œuvre de Tommy Emmanuel a déjà de quoi occuper plusieurs vies, elle s’est étoffée en début d’année avec Accomplice One, un album fait de collaborations avec chanteurs, compositeurs et guitaristes des plus réputés : Jason Isbell, Mark Knopfler, Rodney Crowell, Jerry Douglas, Amanda Shires, Ricky Skaggs et bien d’autres. Tommy Emmanuel a su, tout au long de son incroyable carrière, développer son style, le “finger picking”, qui inclue tous les éléments d’un groupe : percussions, basse, guitare rythmique, soliste et chant en même temps, le tout sans pédale loop. Juste un homme et sa guitare. Tommy Emmanuel, c’est un univers musical à lui seul. Mais ce qui fait l’unicité de cet artiste hors pair, c’est que la technique n’est jamais au détriment de l’émotion.
Des musiques du 16e et 17e siècle au luth jusqu’aux aux standards de jazz, en passant par les classiques irlandais ou des compositions personnelles, le talent de Clive Carroll prend différentes formes et a été salué par les plus grands, comme Tommy Emmanuel lui même, qui l’a fait collaboré sur son dernier disque « Accomplice One ».
Sarah Mc Coy + Alex Mirey : Jeudi 15 novembre 2018 / 20h30
Il y a du Bessie Smith en elle, et une pincée d’Amy Winehouse. Un soupçon de Janis Joplin et un zest de Tom Waits. Quelque chose de Fiona Apple, aussi. Et son univers n’aurait pas déplu à Kurt Weill. Voilà pour ceux qui ne la connaissent pas. Les autres savent qu’elle ne ressemble à personne, que sa voix et son charisme s’imposent dès les premières mesures. À 28 ans, Sarah McCoy a vécu plusieurs vies. Elle a traversé les Etats-Unis de New York à Charleston, en Caroline du Sud, de Santa Cruz à Monterey, en Californie. Avant de poser ses valises dans la ville la plus mélodieuse du pays : la Nouvelle-Orléans. Pianiste-chanteuse-compositrice, Sarah McCoy utilise à la fois sa formation musicale et théâtrale pour construire un environnement riche. Elle traverse tous les genres et plus encore : ragtime-cabaret, piano-rock, blues, jazz manouche, valses endiablées et berceuses mortelles. Un phénomène sur scène, un souvenir indélébile.
Les basses et les percussions sont joués aux pieds pour accompagner les compositions du guitariste chanteur normand Alex Mirey. Depuis 20 ans sur les routes, de nombreux concerts et collaborations (APY, Moonchild, Sugarcane, Dusty Dogs, Little Chris), deux albums solo auto-produits « The Time of a Coffee » et « Fleshpots », il vous présentera ce soir son “One Man Blues Band Show !”
Dick Rivers + Hot Slap : Vendredi 16 novembre 2018 / 20h30
Dick, c’est avant tout une voix de baryton agrémentée de volutes de fumée, qui tel un bon vin se bonifie avec le temps. Lorsqu’il commence sa carrière à l’aube des sixties, Dick Rivers devient aussitôt l’un des principaux acteurs de cette déferlante de rythmes venue d’outre-atlantique et de cette révolution sociale et culturelle appelée rock’n’roll, à laquelle on prédisait alors un avenir éphémère. Plus de 50 ans plus tard, le rock’n’roll se porte à merveille et lui aussi. Après plus de 35 albums et des centaines d’enregistrements, celui dont la route musicale a croisée des artistes tels qu’Albert Lee, Mick Taylor, Jimmy Page, Chris Spedding, mais aussi John Lennon et Elvis Presley viendra une nouvelle fois prêcher sur la scène de La Traverse la bonne parole de la musique authentique et sincère, gorgée de feeling et de passion.
Batterie et contrebasse pour une rythmique solide et puissante, et une voix pure et sincère associée à une guitare habile et lyrique, telle est la formule du Hot Slap Trio pour délivrer son rock’n’roll énergique. Les trois musiciens s’accaparent le répertoire rockabilly en dépoussiérant de vieux classiques, tout en développant le set avec des compositions originales et inspirées.
Liz Cherhal + Huit Nuits : Mardi 20 novembre 2018 / 20h30
Pour son dernier opus sous le sceau de l’Alliance, Liz Cherhal nous plonge une nouvelle fois au cœur du sensible aux travers d’histoires qui lui appartiennent, celles d’une femme ancrée dans son époque et la société. Les arrangements pop-rock alliés aux cordes et au piano donnent à ses mots et à sa voix une nouvelle ampleur. Pour son nouveau spectacle musical, elle ouvre le champ des possibles au travers de compositions entièrement traduites sur scène par un interprète en langue des signes. Avec ce don si particulier de rendre l’intime universel l’artiste aborde la question des liens que l’on fait et que l’on défait, la famille, le couple ou encore la parentalité. Mis en scène par Néry Catineau le spectacle laisse aussi une place toute particulière à la danse.
Huit Nuits est un duo, un véritable aigle à deux têtes, aux talents si conjugués qu’on dirait que tout provient du même cerveau ; Manon et Pierrick se partagent voix, guitare et violoncelle avec une spontanéité déconcertante. Les timbres se mêlent, la mélodie se pare d’accords simples et profonds, et la magie opère immédiatement sur leurs titres aigres-doux aux textes ciselés avec soin. Sur scène, le percussionniste Bertrand Geslin finalisera l’osmose.
Les concerts off : Jeudi 22 novembre 2018 / 20h30 – Attention, ce concert aura lieu à La Gare Aux Musiques de Louviers. La Gare Aux Musiques, Rue de la Gare, 27400 Louviers / 02 32 25 78 00
Cosmos Factory :
A Tribute To Creedence Clearwater Revival
Un Bayou Rock énergique et une bonne dose de feeling, Born on the Bayou, voilà comment on peut qualifier la musique de ce groupe. Ce combo Rock vous fait revivre les tubes mythiques des origines de ce groupe. Creedence n’est plus, viva Creedence !! La magie de la Louisiane et du bayou, la lune, les riffs puissants de Fogerty, la transe du Rock vous guette !!
Swampy River :
Swampy River c’est la symbiose de trois musiciens complices et passionnés, une alchimie où le plaisir du blues vous envoûtera par un son teinté de mystères.
Sensualité, dentelle, incantations à la Lune, sur les bords d’une rivière aux méandres mélancoliques… le trio Blues Swampy River vous propose une création musicale onirique qui puise ses origines dans un blues métissé façon New-Orleans avec ses multiples influences. Le trio rend hommage à leurs inspirations : le Mississippi et son blues rugueux, la musique de fanfare, les chanteurs inspirés tel Tim Buckley, les conteurs comme John Lee Hooker. Swampy River vous raconte la profondeur des amours déçus, la mélancolie, la nuit, la « mère-rivière » : mére de poésie. L’essence du blues concentré en un univers de couleurs et de chaleurs où les relations humaines sont en fond de toile. Les trois couleurs musicales de Swampy River sont un métissage culturel et original , un réel travail sur-mesure d’un son « fanfare » d’inspiration marching band avec le jeu percussif du batteur, la pâte New-Orleans de la musicalité subtile du guitariste, le grain de voix soul de la chanteuse. Swampy River c’est la symbiose de trois musiciens complices et passionnés, une alchimie où le plaisir du blues vous envoûtera par un son teinté de mystères. Un voyage le long du fleuve, Assurément.
Strange O’Clock :
Leurs racines Blues et Africaines se sont entremélées et ont su puiser l’inspriration fertile, souffle de Vie. Entre clair et obscur, ils jouent de lumières et d’ombres avec dynamisme et profondeur. Leur Blues navigue entre le Texas et l’Afrique. Les influences sont multiples mais le son bien à eux. Sur un jeu poignant de riffs purs et profonds, soutenu par une calebasse à pulse minimale, se pose la chaleur d’une voix saisissante. Besoin d’énergies positives ? Envie de voyage ? Leurs notes sans frontières sont pour vous !
Shirley Davis & The Silverbacks + James & Black : Vendredi 23 novembre 2018 / 20h30
Repérée en 2014, durant ses vacances en Espagne, un soir où Sharon Jones l’a fait monter sur scène, Shirley Davis est-elle notre future Lady Soul ? Partie en Australie à 16 ans, la Londonienne, d’origine jamaïcaine, y a mis sa voix puissante au service d’un funk torride, décrochant plusieurs hits sur l’île-continent. Désormais installée à Madrid à la tête des super-affûtés Silverbacks, et mère avec eux de deux albums, arrosés à l’afro-soul et au funk, mettra-t-elle demain l’Europe à ses pieds ?
Le duo James & Black, composé de Bruce James et Bella Black tirent leurs racines du Texas, leur terre natale commune, où depuis sept années, ils assimilent les genres musicaux de l’Amérique d’hier et d’aujourd’hui. Le pianiste et multi-instrumentiste Bruce James a uni sa voix à celle de la chanteuse Bella Black, pour former un duo qui distille une musique gorgée de rythmes mixant R&B, rock, et hip-hop qu’ils définissent eux même comme de la “Guerrilla Soul”. Bella et Bruce n’ont qu’un seul credo : porter partout la rage de la Soul music.
49ème Chicago Blues Festival + Guy Verlinde & the Mighty Gators : Dimanche 25 novembre 2018 /18h00
Comme chaque année depuis 1970, la tournée du Chicago Blues Festival reviendra une nouvelle fois présenter une sélection d’artistes de la scène blues contemporaine pour défendre et revisiter l’esprit du blues de Chicago. Avant de fêter la 50e historique en 2019, l’édition 2018 fait le choix d’un plateau 100% Chicago, composé de Mike Wheeler et de son band accompagnés d’Omar Coleman (harmonica et chant) et de Faye Peaches Staten (chant) en invités ! La cuvée 2018 du CBF possède donc tous les ingrédients pour déboucher sur un grand cru !
Guy Verlinde & the Mighty Gators sont actuellement la fierté du blues belge et garantissent un authentique “footstompin’ blues” et de la “roots music”. C’est en respectant la tradition de la slide guitare et de l’harmonica des “swamps” de Louisiane et de Chicago qu’ils parviennent toujours à faire chanter et danser leur public sur les riffs francs et précis.
Gainsbourg For Kids : Mardi 27 novembre 2018 / 20h30 – Dans le cadre du festival “Graine de Public”
À l’image de ce petit garçon nommé Charlie qui se casse la figure à tous les coins de la ville, chanson touchante et pas si désespérée qu’il avait écrite pour le dessin animé Charlie Brown qu’il avait sans doute perçu comme un miroir de lui-même, Serge Gainsbourg avait aussi sa part d’enfance. Et comme beaucoup d’enfants, il avait le goût des mots qui sonnent, et des “Shebam ! Pow ! Blop ! Wizz !” qui explosent dans les bulles des Comic-strips. De quoi donner l’envie à la dream-team de Wanted Joe Dassin de fouiller dans le répertoire monumental de Gainsbourg, d’en extraire quelques pépites connues et inconnues, et d’imaginer ce nouveau spectacle destiné aux grands enfants et aux familles.
Manu Dibango + Strange O’Clock : vendredi 30 novembre 2018 / 20h00
Depuis plus de 50 ans, Manu Dibango, personnalité connue et reconnue du paysage culturel, guidé par son éclectisme, son nomadisme musical et ses inspirations, a toujours proposé des spectacles aussi différents que novateurs. Ne se limitant pas à la seule palette de la musique africaine, Manu, entouré d’une équipe plus resserrée, propose cette saison Afrikadelik, une variation de son répertoire habituel, plus épurée, privilégiant le groove. Afrikadelik, comme le titre l’indique, est un résumé des influences musicales qui ont nourri l’œuvre de Manu. L’Afrique est bien sûr très présente de par les rythmes endiablés et la prépondérance du chant. Les orchestrations plus épurées laissent transparaître des sonorités “AfroFunkAdélik” et “jazzy”. Une sacrée dose de bonne humeur en somme !
Leurs racines Blues et Africaines se sont entremêlées et ont su puiser l’inspiration fertile, souffle de Vie. Entre clair et obscur, ils jouent de lumières et d’ombres avec dynamisme et profondeur. Leur Blues navigue entre le Texas et l’Afrique. Les influences sont multiples mais le son bien à eux. Sur un jeu poignant de riffs purs et profonds, soutenu par une calebasse à pulse minimale, se pose la chaleur d’une voix saisissante. Besoin d’énergies positives ? Envie de voyage ? Leurs notes sans frontières sont pour vous !
Laurence Jones + 16ème tremplin du Festival : Dimanche 02 décembre 2018 / 15h30
Laurence Jones est un surdoué de la guitare et une bête de scène. Déjà quatre albums à son actif et une participation au Blues Fury C.D avec Joe Bonamassa, Kenny Wayne Shepherd, Popa Chubby, de nombreuses collaborations avec Walter Trout, Aynsley Lister, Mike Zitoon, et des tournées infernales avec Johnny Winter, Walter Trout, Kenny Wayne Shepherd, King King. Il cumule également les récompenses : meilleur guitariste européen aux Europeans Music Awards, meilleur jeune guitariste de l’année aux British Blues Awards et 4 autres British awards, une note de 5/5 par Rock magazine pour son album Thunder in the sky… bref, vous l’aurez compris, il est l’avenir du blues !
La Traverse organise en 1re partie son Tremplin des découvertes du Festival “Blues de Traverse”. Trois à quatre groupes, issus de Normandie et Picardie auront été sélectionnés sur dossier (informations et inscription sur www.latraverse.org). Le Lauréat sera choisi par un jury de professionnels : organisateurs, musiciens (dont d’anciens vainqueurs), journalistes, animateurs de radio, de fanzines ou de sites web. Une voix parmis celles du jury reviendra au public, qui pourra soutenir son groupe favori et gagner des places aux concerts du printemps. La “Grande Normandie” nous prouvera-t-elle encore qu’elle est une pépinière de talents ?