8 jours de flâneries musicales blues, jazz et musiques du monde à Avignon du 15 au 23 novembre 2019

En 2018 , Le Sonograf’ et la Ville d’Avignon décident de recréer un événement musical dédié au Blues, au Jazz et au Rythmes des Musiques du monde dans l’enceinte de la ville . Une première édition est née en 2018 avec un public et un bon nombre d’acteurs locaux au rendez -vous . Et c’est ainsi que les équipes de ce festival naissant renouvellent l’expérience, tout en l’affinant 2019 !

Changement de nom mais pas changement de valeurs ! Avignon Bridge Festival devient L’Écho des Riffs! Blues, jazz et musiques du monde à Avignon.

Des artistes et des lieux de tous horizons . La programmation 2019 rassemble des artistes internationaux reconnus comme Boney Fields et Elliott Murphy, mais aussi des étoiles montantes avec Ida Nielsen et des pépites en devenir comme Randolph Matthews et Magasin du Café. Conférence et soirée musique du monde sont également au rendez-vous .
Le festival propose au public « une flânerie musicale » à travers la ville d’Avignon, à la découverte de lieux culturels déjà très installés ou des lieux plus insolites , voire exceptionnels.

Réservations ICI

De retour pour une tournée mondiale en 2020, Nightwish donne rendez-vous à ses fans français le 25 novembre !

Le groupe travaille actuellement sur son nouvel album studio, qui devrait sortir au printemps 2020, et qu’il défendra sur scène à l’automne lors de leur tournée mondiale ! Reconnus pour leurs compositions uniques, leurs décors impressionnants et leurs effets de pyrotechnie, les héros finlandais du Metal Symphonique promettent d’embarquer leur public dans un voyage spectaculaire ! Deux ans presque jour pour jour après leur dernier concert complet à l’AccorHotels Arena, Nightwish revient pour le plus grand bonheur de ses fans !

(Re)découvez en support de ce concert le groupe de Metal Industriel finlandais Turmion Kätilöt

Retrouvez le groupe culte Yes en concert à L’Olympia de Paris le 22 mai 2020 !

Yes est l’une des formations anglaises de rock les plus mythiques de toute l’histoire de la musique. Spécialiste du rock progressif, le groupe a marqué plus d’une génération et continue aujourd’hui d’être considéré comme une référence.

Réputé pour ses arrangements sophistiqués, ses mélodies enchanteresses, sans compter les décors de scène pittoresques, ces pionniers du genre cumulent 21 albums, dont « Yes » (1969), « Fragile » (1971), « Close to the Edge » (1972) et plus récemment « Heaven & Earth » (2014).

The Album Series 2020 suit #YES50, la tournée anniversaire de 2018, et conserve la même formation : Steve Howe (guitare), Alan White (batterie), Geoff Downes (claviers), Billy Sherwood (basse et chœurs), Jon Davison (chant) et Jay Schellen (batterie additionnelle et percussions).

La tournée Album Series 2020 reprendra l’intégralité de l’album « Relayer » (1974) ainsi que d’autres classiques de Yes.

Musc For Ever présente : 50 ans de scène pour Uli Jon Roth (Scorpions, Electric Sun & Sky Of Avalon) !

Attention : légende ! Après une tournée européenne du G3 avec Joe Satriani et John Petrucci, Uli Jon Roth reprend la route pour fêter ses 50 ans de scène !

A cette occasion, il proposera un set de plus de 2 heures consacré aux highlights de sa longue carrière avec – entre autres – du Scorpions (« Tokyo Tapes », « Virgin Killer », « In Trance ») bien entendu, mais aussi des extraits de sa géniale période Electric Sun ou encore des morceaux de Sky Of Avalon, ainsi que quelques classiques revisités.
Bref, un concert exceptionnel pour un musicien hors du commun, considéré par beaucoup comme le meilleur guitariste rock des années 70 et pionnier du Metal néo classique.

Uli Jon Roth est de retour en France pour 4 concerts exceptionnels :
– Le 2 novembre : Montbéliard – L’atelier des môles
– Le 3 novembre : Pagney Derrière Barine – Chez Paulette
– Le 14 novembre : Colmar – Le Grillen
– Le 6 décembre : Château Thierry – La Biscuiterie

La tournée débutera ce soir en Belgique à Ittre « Zik-Zak« 

Ne manquez pas le premier concert de The Alicia F! Band, samedi 2 novembre 2019 à Paris, Quartier Général Oberkampf 103 Rue Oberkampf.

La soirée promet d’être exceptionnelle avec ce  double plateau composé de K’ptain Kidd (Tony Marlow’s Johnny Kidd Tribute) et d’Alicia F! Band !
Venez nombreux en plus, ce sera les 31 ans d’Alicia ce soir là avec le punch offert.

Placé sous le signe du Rock’n Roll, cet évènement en compagnie d’Alicia F! Band vous réserve de nombreuses surprises musicales, lors de ce show qui s’annonce dores et déjà mémorable!

Ouverture des portes à 19h30
Tarif :  5 Euros
Les Notes Bleues présente : Boney Fields sera en concert dimanche 3 novembre 2019 @ Compiègne « Ziquodrome Espace Eric Winnebroot » (17h00)

Le trompettiste et chanteur Boney Fields, est de retour à Compiègne après un premier passage en 2006.

Né dans le ghetto noir de Chicago, Boney Fields a écumé pendant plus de 20 ans les scènes Blues et Funk du monde entier en tant que trompettiste et arrangeur d’artistes de grand renom tels que Lucky Peterson, Luther Allison, Bernard Allison, Liz Mc Comb, A.C. Reed, Albert Collins, James Cotton, Kenny Neal, entre autres, mais aussi, dans un autre style, le chanteur Reggae Alpha Blondy.
Il a décidé depuis une douzaine d’années de suivre un chemin plus personnel, en fondant son propre groupe.
Partout où ils passent, Boney Fields & The Bone’s Project laissent derrière eux une sacrée impression. Comme une traînée de poudre hautement énergétique, à force de dispenser généreusement ce blues mâtiné de funk qui rassemble et rallie les foules dans une belle communion.

S’il vient du Chicago blues, Boney Fields en élargit les contours avec opiniâtreté et une détermination farouche. Amateur de soul, de funk, de reggae, de jazz, il sait que la vie du blues passe par son renouvellement et il ne jure que par le groove.
Dans son nouvel album « Changing for the Future » paru en octobre 2013, on le retrouve tel qu’en lui-même : hors des sentiers battus, loin des catégories prédéfinies, plus près de la musique.
Une musique imprégnée de l’héritage de ses prédécesseurs, mais qui a choisi de ne pas faire du surplace. Une musique ouverte au monde, terriblement actuelle, mais déjà de demain.

Yes, he can : avec Boney Fields, le changement, c’est maintenant.

Kinga Glyk, la jeune reine de la basse électrique revient avec un nouveau projet et une tournée en France en janvier 2020

L’album, intitulé « Felelings », sortira le 30 novembre prochain, Feat. Anomalie, Mateus Asato, Bobby Sparks II, Brett Williams et Ruth Waldron.

« Je ne chante pas tellement bien, c’est pour ça que je joue de la basse, » explique Kinga Glyk.

Une déclaration étonnement modeste au vu de l’intérêt qu’elle suscite depuis deux ans.
Néanmoins, les mots de la bassiste polonaise résument précisément l’essence de son nouvel album « Feelings ».
Avec une virtuosité et une nonchalance inégalées, elle laisse sa basse raconter des histoires.
Sensible et pénétrante, riche en nuances et en groove, elle provoque des sensations, sait faire vibrer une corde sensible chez ses auditeurs, faire appel à des histoires personnelles, le reflet de la personnalité d’une jeune femme hautement talentueuse.

Elle a aussi le courage d’expérimenter, de tenter des choses inédites et de s’épanouir sans tenir compte des règles.

« Quand j’étais enfant, je m’intéressais à la basse car elle me donnait une voix inhabituellement puissante, » se souvient Kinga en évoquant ses débuts d’instrumentiste. « Ses sonorités sont devenues mon propre langage. Grâce à elles, je peux exprimer mes sentiments avec plus d’intensité. » Certes !

Mais son jeu de basse ne consiste pas uniquement à aller plus haut, plus vite ou plus loin. Kinga Glyk ne joue pas pour les musiciens, mais pour les dizaines de milliers d’âmes qu’elle a touché au cours de sa jeune carrière.

Ses histoires révèlent une vision du monde extrêmement ouverte, aimante et bienveillante. En résumé, les douze titres de son nouvel album sont profondément humains, et c’est ce qui rend « Feelings » si unique.

Tournée française 2020 :

10.01 – Vauréal – Le Forum
11.01 – Blois – « Les Lobis
20.01 – Paris – New Morning
24.01 – Metz – Chapelle Trinitaires
25.01 – Arles – Cargo de Nuit

Vendredi 1er novembre 2019, le Mc Daid’s du Havre (76) accueille pour la 1ère fois le power trio Iron Bastards, tête d’affiche incontournable des scènes françaises et européennes ! Et qui mieux que Dirty Dogz pour accompagner ces « tueurs » sur cette affiche qui va faire grand bruit ! Réservez vite votre 1er novembre !!!

Réservez vite ICI !

Avec « Cobra Cadabra », les 3 guérilleros d’Iron Bastards continuent leur mission entamée il y a 5 ans: écumer les salles Européennes à un rythme effréné calqué sur son Fast Rock’n’roll.
Après 2 albums (« Boogie woogie violence » en 2015, « Fast & Dangerous » en 2016) et plus de 260 concerts dans 12 pays dont le Hellfest Open Air et des scènes partagées avec des grands noms du genre (Phil Campbell, Airbourne, Overkill, Nashville Pussy…), ce 3ème album confirme qu’il faut compter avec les Bastards pour porter le drapeau du rock’n’roll comme en témoignent les retours de la presse:
« Une cure de jouvence, un moment de rock’n’roll rare » – Sons of Metal
« C’est tout l’art d’Iron Bastards que celui de non seulement assumer ses influences mais d’avoir sa propre personnalité  » – Soil Chronicles, 09/10
« Un album parfait pour tous les amateurs de rock puissant. Rarement le terme power trio n’avait été aussi bien porté  » – Among the living;
« Une démonstration de fast rock’n’roll d’une pureté incomparable. » – Kaosguards, 18/20
« Heavy metal with that wild spirit. No big deal, just rock’n’roll. » – World of Metal, 08/10

Après des années passées à autopsier et décortiquer chaque organe du bon vieux Hard Rock Australien, Dirty Dogz en a extrait son ADN. Une base rythmique solide qui ne faiblit jamais, une voix puissante et éraillée, des riffs et gimmicks bluesy d’une efficacité redoutable, rien de tel pour passer un bon moment et taper du pied au son de ces mélodies imparables !
Bilan de l’opération, des titres fédérateurs, un son chaud et vintage et surtout une énergie scénique puissante et dévastatrice !
Un E.P 4 titres est disponible depuis mars 2018 et l’enregistrement du premier album vient de se terminer.
Mais c’est en live que Dirty Dogz prend toute sa dimension, le quatuor ayant hâte d’en découdre en envoyant leurs compositions, particulièrement abouties et hyper rodées, grâce à la succession de grosses scènes effectuées cette année !

BASE Productions & Distortion Concerts présentent : Halestorm + In This Moment + New Years Day en concert le mercredi 13 novembre 2019 à la  Salle Pleyel

Arejay et Lzzy, qui sont frère et sœur, forment Halestorm en 1997, alors qu’ils n’avaient que respectivement 10 et 13 ans. Dans ce premier line-up, leur père occupait le poste de bassiste avant que Josh Smith ne rejoigne le groupe. Ils réussirent ainsi à occuper trois fois la couverture de Pennsylvania Musician.
Le groupe décrocha un contrat chez Atlantic Records le 28 juin 2005. de la tout s’accélère pour le groupe qui tourne avec Papa Roach, Disturbed, Buckcherry, Avenged Sevenfold, Shinedown, Seether, Flyleaf. En Janvier 2017, Halestorm publie un troisième album de reprises, « Reanimate 3.0 ».

Maria Brink (Chant) et Chris Howorth (Guitare) fondent un groupe de Metal à Los Angeles en 2005 qui s’appelle au départ Dying Star. Ils recrutent alors Blake Bunzel (Guitare), Josh Newell (Basse) et Jeff Fabb (Batterie) qui viennent compléter la formation et changent par ailleurs de nom pour adopter In This Moment. Josh ne reste pas longtemps et est remplacé par Jess Landry à l’hiver 2005. Rob Nicholson, bassiste pour Ozzy Osbourne, devient le manager du groupe qui publie ses premières démos sur myspace. Leur fanbase s’agrandit et leur nom arrive jusqu’aux oreilles de Century Media Records qui signent leur premier album, « Beautiful Tragedy » début 2007, porté par les singles Prayers et le morceau éponyme. Leur recette combinant Metalcore, Metal et Hard-Rock fonctionne et In This Moment a la possibilité de tourner avec Lacuna Coil, de se produire au Ozzfest 2007 et 2008, et d’accompagner des pointures comme Megadeth et Rob Zombie.

New Years Day est un groupe de heavy metal américain formé en 2005 et originaire d’Anaheim, en Californie. « When it All Comes Down », sorti en 2004, s’écartait du style pop punk humoristique des compositions précédentes, et incorporait plus d’éléments émotionnels que Lohrbach appliquera aussi avec New Year’s Day. Il se rapproche alors de la chanteuse Ashley Costello et du guitariste et claviériste Keith Drover, et le groupe d’amis ainsi formé commence à répéter les morceaux écrits par Costello et Lohrbach. Ces chansons sont fortement imprégnées de leurs expériences passées, tous les trois ayant récemment subi des ruptures difficiles.

Rod Barthet sera en concert jeudi 21 novembre 2019 à Paris « Le Sunset » (20h30)

Rod Barthet se démarque totalement de la scène blues française. Avec « Ascendant Johnny Cash », il parvient, une fois de plus, à faire sonner la langue de Molière sur l’idiome de John Lee Hooker comme personne avant lui.

Afin d’obtenir un tel résultat, depuis plus de 20 ans, le chanteur guitariste prodige s’adjoint les services du parolier Boris Bergman.

Avec ce dernier, le temps de 5 chansons, il créé ici une alchimie rare dont il est le seul dépositaire. Cette dernière lève le voile sur un univers où semblent se côtoyer Bo Diddley, Christophe, Chuck Berry, Tommy Castro ou Alain Bashung. Le tout, au beau milieu d’une succession de tableaux sonores propres à l’imagination fertile des deux complices.

Des échappées jubilatoires qui n’en font pas oublier des racines toujours aussi bien ancrées dans le terroir américain et soutenues par un groupe exemplaire. Tous rivalisent de nuances et d’imagination, dans le but de servir des thèmes souvent brûlants qui déplorent les errances humaines et l’oubli de nos fondamentaux, qu’il s’agisse de Liberté, d’Egalité, de Fraternité ou d’écologie.

De par l’éclectisme et l’intelligence de sa teneur, « Ascendant Johnny Cash » ne peut laisser insensible. Ces 11 plages nous permettent de nous poser les bonnes questions et nous poussent à une réflexion bienvenue.

Après avoir fait trembler les scènes blues internationales, en 2019, Rod Barthet s’inscrit définitivement comme un rouage essentiel de la belle chanson française. – David Baerst –

De Boris Bergman, fidèle collaborateur :
« Le Jura n’a pas inventé que de belles forêts aux pieds de belles montagnes ou l’on déguste la raclette le soir au coin du feu. Il a aussi fait naître de solides chanteurs comme H.F Thiefaine, Rod Barthet est l’un d’eux : en plus de sa maîtresse appelée Guitare, il est doté d’une voix inhabituelle et chante le blues comme nul autre.  Cocteau avait raison : « ce que les autres te reprochent, cultive le : c’est toi même ».

Après plus de 20 années de complicité et de collaboration avec Rod,  je peux affirmer que c’est très certainement l’un de mes meilleurs albums. »

« Du cousu main, tricoté avec éclat par un bluesman qui, en un tour de piste, fait caisse de résonance avec Alain Bashung, Barthet a largement de quoi nous attirer dans ses filets ». – Rolling Stone –

« « Ascendant Johnny Cash », titre éponyme propulse l’album sur le bon tempo ». – Guitare sèche Le Mag –

« Notes et mots frappent à l’unisson, le liant qui fait prendre la sauce c’est la guitare abrasive de Rod et cette dextérité impressionnante qui pourrait nous laisser penser qu’il a fait ses classes dans une bourgade du détroit Mississipi ». – Guitare Xtreme –

« Ne passez pas à côté de l’univers musical de Rod Barthet, entre Bashung ou Hubert-Félix Thiéfaine, le bluesman de Pontarlier n’en demeure pas moins un dangereux serial-killer de la guitare ». – Paris Move –

« Un album qui ne s’écoute pas que seulement avec les oreilles ». – Blues Mag –