Dans un entretien avec « Le Parisien », le directeur du Hellfest Ben Barbaud annonce que l’édition 2020 ne pourra avoir lieu.

Retrouvez l’intégralité de l’entretien avec Ben Barbaud :

Le Hellfest devait fêter son 15e anniversaire du 19 au 21 juin à Clisson (Loire-Atlantique). Comme chaque année, le festival de métal et de rock affichait complet avec 180 000 spectateurs sur trois jours, ce qui en fait le 3e rassemblement musical hexagonal en affluence après l’Interceltique de Lorient et les Vieilles Charrues et le plus gros budget (24 millions d’euros). Mais le coronavirus est venu gâcher la fête. Le fondateur et directeur du festival, Ben Barbaud, annonce qu’il n’y aura pas de Hellfest en 2020 et qu’il est reporté du 18 au 20 juin 2021. Il nous explique pourquoi.

Cela fait plusieurs jours que vous envisagez d’annuler votre festival. Où en êtes-vous ?

BEN BARBAUD. Je suis contraint d’annuler le Hellfest. Je viens d’apprendre ce mercredi après-midi par les autorités de l’Etat qu’un arrêté interdit notre manifestation. Elles ne sont ni en mesure d’accompagner le montage de la manifestation ni de garantir les dispositifs de sécurité et de secours pendant. Cet arrêté me permet d’annuler les contrats avec les artistes et les prestataires pour cas de force majeure, et donc de ne pas alourdir nos pertes.

Vous vous y prépariez…

Cette annulation va être un coup dur pour nos 22 salariés permanents, nos 5000 bénévoles et notre territoire, mais c’est une question de bon sens. Nous devions commencer le montage du site le 15 avril. Comment imaginer que le chantier allait démarrer alors qu’on serait peut-être encore en confinement ? Et comment imaginer qu’en juin, nous allions réunir 60 000 personnes par jour sur un petit périmètre sans leur faire courir de risque ?

Pourquoi ne pas avoir annulé plus tôt ?

J’attendais d’avoir un cadre légal et administratif pour pouvoir dénoncer les contrats déjà passés et déclarer le sinistre à l’assurance. Bien évidemment je comprends que les urgences du gouvernement sont ailleurs, que le sort de notre festival est bien anecdotique par rapport à la crise sanitaire mondiale, mais notre situation devenait intenable. J’ai déjà plus de deux millions d’euros de pertes sèches. Et aucune aide de mon assurance…

C’est-à-dire ?

Je suis un des rares festivals assurés contre une pandémie. Nous avons pris le 17 décembre dernier, avant l’apparition du virus en Chine, un contrat de 175 000 € pour nous protéger et couvrir à cette hauteur une éventuelle annulation du fait d’une pandémie. Pourtant, nous avons reçu récemment une fin de non-recevoir sous prétexte que ce « type » de pandémie ne rentrait pas dans notre police d’assurance. Nous contestons évidemment cette lecture et irons en justice.

Vous avez aussi interpellé vendredi dans « Ouest-France » le ministère de la Culture.

Il fallait stopper l’hémorragie. Mais il faut reconnaître que depuis, le ministère a pris le problème à bras-le-corps. Il a mis en place une cellule pour aider les festivals au cas par cas et nous sommes les premiers à en bénéficier. Notre cas va probablement faire boule de neige. Car pas mal d’autres gros festivals savent déjà qu’ils ne vont pas pouvoir se tenir et attendaient comme moi une réponse des autorités.

Craignez-vous un été sans festival ?

Je ne suis pas devin. Il y a un mois je pensais encore qu’on arriverait à maintenir l’évènement. Mais aujourd’hui, j’ai du mal à imaginer que les gros festivals puissent avoir lieu. Les annulations commençant à tomber en Europe, les artistes étrangers — dans l’hypothèse où ils ne sont plus confinés, ce qui est loin d’être sûr — vont avoir tellement de trous dans leur tournée qu’ils vont les annuler. Mais pour les petits festivals, qui ont des montages plus courts et des petites capacités, c’est évidemment différent. Si la situation sanitaire s’améliore, certains y arriveront peut-être.

Cette annulation met-elle le Hellfest en péril ?

Franchement, non. Nous avons une assise financière solide, des partenaires, des festivaliers et des mécènes fidèles et des artistes compréhensifs. Nous avons le privilège d’être complets chaque année. On espère d’ailleurs que les festivaliers vont garder leur billet pour l’année prochaine, pour nous permettre de garder de la trésorerie dans cette année blanche. Je leur signale aussi que nous avons ouvert une cagnotte en ligne pour aider les soignants du CHU de Nantes qui manquent de matériel. On a mis 20 000 € et on espère que les metalleux vont suivre. Ça rappellera à tout le monde combien cette communauté parfois incomprise est solidaire.

 

Le concert de Within Temptation & Evanescence initialement prévu le 5 avril 2020 est reporté au lundi 14 septembre 2020 !
Within Temptation et Evanescence ont le plaisir d’annoncer les nouvelles dates européennes de leur « Worlds Collide Tour » qui débutera le 02 septembre 2020 à Glasgow (UK).
Ayant pour leaders deux des femmes les plus importantes et créatives du monde du rock: Amy Lee pour Evanescence et Sharon den Adel pour Within Temptation, les deux groupes rendront visite à leurs fans à travers l’Europe, et seront à Paris, à l’AccorHotels Arena le lundi 14 septembre 2020.

Sharon den Adel : « Nous avons une nouvelle importante. Nous allons faire équipe avec Evanescence pour vous offrir une tournée en co-headline très spéciale ! Ce sera une tournée que Vous ne voulez pas manquer :) 😜. C’était vraiment super de rencontrer Amy et le reste du groupe récemment. Je pense que nous avons beaucoup en commun, mais je suis surtout sûre que nous partageons la même passion pour ce que nous faisons. J’ai vraiment hâte de commencer cette tournée européenne ensemble, et de la rendre mémorable ! »

Amy Lee : « Nous sommes très heureux de collaborer avec Within Temptation pour cette tournée sensationnelle. Cela fait longtemps que les gens nous demandent de faire quelque chose ensemble, et nous allons faire en sorte que l’attente en vaille la peine ! J’ai hâte d’entendre la voix magnifique de Sharon tous les soirs ! »

Plusieurs packs VIP seront disponibles pour s’assurer d’être aussi bien placé que possible dans la salle. D’autres avantages VIP incluent la possibilité de rencontrer les deux groupes et d’assister à leurs balances, en plus d’articles de merchandising exclusifs.

Par Alain Boucly

Overdrivers fait partie de ces groupes qui enchainent les dates, proposant un Rock n’ Roll sur vitaminé. Avec déjà 2 albums à la clé, le groupe Nordiste s’est confié à Ride The Sky, pour faire le point sur les 5 années écoulées, et aborder les futures échéances.

Merci au chanteur / guitariste Adrien Desquirez d’avoir joué le jeu, et pris le temps de répondre à ces quelques questions…

– Peux-tu résumer les grandes lignes de la carrière d’Overdrivers depuis sa création ?

Adrien Desquirez :Tout d’abord merci beaucoup pour cette interview ! Overdrivers est un groupe de Rock crée en 2015. Notre premier concert a eu lieu en mai de la même année, et nous avons depuis enchainé environ 170 dates. Au cours de notre périple, nous avons notamment gagné, grâce à un tremplin, une place sur l’affiche du Betiz’ Fest, l’un des plus gros festival du Nord de la France, qui nous a d’ailleurs fait rejoué depuis. Nous avons partagé la scène avec pas mal de grands noms comme Phil Campbell, Mass Hysteria, Ultra Vomit, Nashville Pussy, etc… Et depuis peu nous sommes appelés à jouer sur des festivals de plus en plus importants, autant dire que la dynamique est bonne !

– Quel est le line up actuel ? A t’il subi des modifications depuis vos débuts ?

Le line-up est le même depuis que nous avons débuté les concerts. Il faut dire qu’avec Anthony, le guitariste soliste, nous avions l’idée de former un groupe depuis un bon moment. Nous voulions démarrer les concerts avec la formation la plus stable possible et c’est bien pour cela que nous avons mis tant de temps à trouver les perles rares qu’il nous manquait ! (rires). Nous avons donc auditionné en quelques années pas moins de 30 bassistes et de 30 batteurs. Au départ je n’étais même pas chanteur, je m’y suis mis faute de trouver ce qu’il nous fallait. Et au final il me semble que ça fonctionne très bien comme ça !(rires)

– Comment définirais-tu la musique d’Overdrivers?

Je dirais que c’est une musique qui va droit au but, sans fioritures, des Gibson branchées dans des gros amplis poussés à donf, et une rythmique basse batterie en mode rouleau compresseur. Du riff et du solo à la pelle que vous saupoudrez d’une voix rocailleuse et de chœurs burnés et vous y êtes, c’est ça Overdrivers. Il n’y a pas de secret, c’est juste ça, la recette du bon vieux Rock’N’Roll sauce XXIème siècle.

– L’influence d’Airbourne semble incontournable, aussi bien dans vos compositions que dans l’énergie déployée en live. Vous le revendiquez ?

Ce qu’il y a de drôle dans cette histoire, c’est que nous n’avons jamais eu la volonté de sonner comme Airbourne. C’est actuellement l’un des plus important groupe de Rock’N’Roll au monde, et de ce point de vue on préfère se faire entendre dire « hey quand tu joues ça sonne comme un grand groupe de Rock connu » que « hey quand tu joues ça sonne comme de la merde « (rires) Mais je me répète, ce n’était pas notre volonté au départ. Simplement, lorsque nous avons commencé à composer, nous nous sommes rendus compte que ce que nous préférions c’était un son de guitare pur, des riffs de guitare tranchants, un monstre de rythmique basse batterie simple et efficace qui vrombit derrière tout ça. Et forcément, vous pouvez essayer de votre côté, quand on mélange tous ces éléments on obtient quelque chose qui s’apparente à du Rock australien, qui à mon sens est un style de rock en soi. Résumer un groupe qui fait du Rock australien à Airbourne, c’est, il me semble, extrêmement réducteur. C’est un peu comme de dire d’un groupe qui fait du Reggae que c’est du Bob Marley ou de dire d’un groupe qui fait du Thrash Metal que c’est du Metallica.

Pour ce qui est de l’énergie en live, nous considérons qu’un concert, ce n’est pas juste de la musique, sinon les gens pourraient se contenter d’un CD. Il faut essayer de proposer au public un véritable spectacle, et cela passe par de la mise en scène. C’est donc vrai que ça bouge pas mal sur scène lors de nos concerts, ça court et ça remue les cheveux, mais il me semble que le monde de la musique n’a pas attendu Airbourne pour faire ça ! (rires)

– Quelles sont vos autres influences ?

Nos influences sont très diverses. Nos idées peuvent provenir de tout et n’importe quoi, que ce soit un livre, un film, une conversation, une aventure amoureuse, un son entendu à la volée dans la rue etc… Nous ne nous mettons aucun barrière. Sur un plan musical , outre les groupes de Rock traditionnels, nous essayons d’intégrer à notre musique toutes les sonorités qui nous parlent. Cela va du plus simple au plus extrême, de la musique classique au métal le plus obscur en passant même par la guinguette et le tango. Il y a du bon à prendre partout!

– Qu’écoutes-tu en ce moment ?

En ce moment, j’élargis un peu mes horizons en écoutant des styles et des groupes sur lesquels je ne m’étais jamais vraiment attardé. Je pense notamment à In Flames dont j’ai redécouvert l’album « Clay Man », un véritable petit chef d’œuvre ! Plus récemment, j’ai commencé à me pencher sur Sabaton, dont l’énergie sur scène et la capacité à créer des hymnes me parle beaucoup.

– Avec Dirty Dogz, on vous voit souvent sur la même affiche. Y a t’il une raison particulière ?

Dirt Dogz se situe pile dans la mouvance du Rock australien dont je te parlais tout à l’heure. Nous partageons régulièrement l’affiche avec eux en effet. C’est un groupe de très bons musiciens, ça groove, ça rock, et c’est ce qu’on aime. J’aime beaucoup leur style et, cerise sur le gâteau, ce sont des mecs supers. Jouer avec eux, c’est l’assurance pour nous de proposer au public un plateau cohérent, une véritable soirée Rock’N’Roll, et en plus de ça de passer un moment avec des bonhommes vraiment très cools et passionnés. C’est parfait pour tout le monde !

– Ou en êtes-vous dans la composition du 3ème album ? Vous êtes-vous fixés un objectif avec une date de sortie ? Sera t’il dans la lignée de ses prédécesseurs, ou faut t’il s’attendre à des surprises ?

L’objectif a toujours été de proposer à notre public le meilleur de nous-mêmes. Nous travaillons donc d’arrache pied pour ce nouvel album.
Après deux album, il faut tâcher de se renouveler, pour ne pas tourner en rond, pour ne pas faire du réchauffé, élargir notre public tout en proposant malgré tout une musique qui comblera encore les fans de la première heure. Il aurait été facile et beaucoup plus rapide de nous reposer sur nos lauriers et de resservir la même recette encore et encore. Nous ne voulons pas de cela, et forcément cela impacte la vitesse de composition. Nous gardons tout ce qui fait l’essence d’ Overdrivers, mais nous ne nous interdisons rien pour ce nouvel opus. Il y aura à coup sûr des surprises, et c’est ce qu’on espère d’ailleurs!

Nous nous accordons le temps de créer un album coup de poing , nous voulons que tout soit un cran au dessus, que ce soit au niveau de la composition, du son, de la production, de l’image du groupe mais également de la promotion. Tout cela prend évidemment du temps à mettre en place, d’autant que nous nous débrouillons toujours par nos propres moyens. Mais le processus est en très bonne voie, la composition est très bien avancée désormais, et nous sommes très satisfaits des nouveaux morceaux déjà finalisés. Nous commençons également à y voir plus clair concernant les personnes qui vont nous entourer pour mener à bien ce nouveau chapitre de l’histoire du groupe, et cela est plutôt réjouissant ! Nous n’avons pas encore de date précise mais tout commence à se préciser. Pour les fans qui attendent, patience, du lourd arrive, nous tâchons de faire au plus vite !

– Comment choisissez-vous les titres de la set list de chaque concert? Avez vous des morceaux incontournables ?

Nous n’avons que deux albums à notre actif, ce qui ne nous laisse pas trop de marge de manœuvre quand nous devons jouer des concerts qui dépassent les 1H00 ! Mais en dessous de ce temps de jeu, quand nous devons choisir parmi nos titres, nous essayons de faire appel à notre expérience et de ne prendre que la fine fleur de ce que nous avons à proposer. C’est un cruel dilemme à chaque fois, puisque que nous adorons tous nos morceaux sans exceptions, sinon nous ne les aurions pas mis sur album (rires). Il y a des incontournables bien sûr, je pense notamment à « Rockin’ Hell » et à « High Mountain », qui sont les deux chansons qui on fait l’objet d’un clip. Sinon, nous ne nous verrions pas clôturer un concert sans son petit « Limbs Of Rock’N’Roll ».

– Quel est ton avis sur la situation du metal en France, et son évolution lors de ces dernières années ?

Le Metal Français a un public. Même si on sent une légère ouverture des médias à ce sujet aujourd’hui, je trouve que ce milieu n’est pas encore assez médiatisé. C’est ce qui pose problème. Je ne comprends pas qu’un groupe de Metal français qui vend des milliers d’albums et remplit des salles comme l’Olympia et les Zéniths ne soit toujours pas présenté dans les émissions grand public. Je regrette aussi le manque de curiosité d’un grand nombre d’organisateurs, qui préfèrent faire jouer de « vieux » groupes vus et revus (et que, personnellement, j’en ai marre de voir) qui ne sont juste là que pour leur cachet, qui se fichent de leur public et de leur performance., et qui ne sont là que pour boire un coup.

Aussi, tout le monde se plaint de la hausse des prix des places de concert. Cela impacte notre culture. De ce fait, je vois beaucoup de gens rechigner à ne mettre ne serait-ce que 15€ dans un petit festival local. Et ce sont ces mêmes personnes qui vont claquer des sommes colossales pour aller voir un gros groupe pour la 8e fois. Il y a aujourd’hui tellement de jeunes et bons groupes en France, qui sont doués et qui ont l’envie… C’est aux deux acteurs principaux de notre scène, les orgas et le public, de faire en sorte de leur offrir la visibilité qu’ils méritent. A bon entendeur !

– La question que tu aurais aimé que je te pose ?

Quand on voit le nombre de personnes qui suivent Overdrivers, comment expliquer que personne ne s’occupe encore de vous ? (Rire)

Je te laisse le mot de la fin pour Ride The Sky !

Hé bien éteignez YouTube et sortez faire vivre la musique, on vous accueillera avec plaisir à nos concerts !

Merci beaucoup pour ta patience et ta participation à cette interview

Réalisation & Photos : Alain Boucly

Le directeur du Hellfest Ben Barbaud, s’est entretenu avec le quotidien Ouest France, pour faire le point de la situation suite aux mesures liées à l’épidémie de coronavirus. Le retour des services du gouvernement se font attendre, afin de s’appuyer sur les mesures officielles qui lui permettront de gérer au mieux avec les assurances.

En cas de report, les billets resteront valables pour 2021, et à ce jour, la perte est estimée à 2 millions d’Euros.

Découvrez l’intégralité de l’interview dans Ouest-France ICI

 

Le premier album de Dirty Dogz intitulé « Wheels On Fire » est enfin disponible !

Le bon vieux Hard Rock Australien est ancré dans L’ADN de Dirty Dogz ! Et les 11 compositions de cet opus, particulièrement abouties et déjà bien rodées sur scène, confirment que l’on a affaire à une sacrée bombe dans le paysage musical.

L’efficacité est au rendez vous, avec des titres imparables, variés, aux refrains fédérateurs qui vous restent en mémoire.

Une rythmique plombée propulse chaque morceau vers les sommets de genre, emmenés par une voix puissante et éraillée… Ajoutez à cela les riffs et gimmicks bluesy débordant de feeling, sans oublier les solos redoutables de précision, et vous avez là tous les ingrédients qui vous transportent dans ce qu’il ce fait de mieux en la matière ! Tout s’enchaine comme par magie, et l’irrésistible envie d’une nouvelle écoute vous oblige à remettre ça !

ça y est, le virus Dirty Dogz est en nous ! Et celui là mérite d’être contagieux !!!!

« Wheels On Fire » est disponible en CD (1 titre bonus) et vinyle « collector » en édition numérotée limitée à 300 exemplaires.

Pour le commander, rien de plus simple : il suffit d’appeler au 06 38 25 96 77

Tracklisting
01. New Bitch
02. Fuckin’ Misery
03. Follow Us
04. Pusst Wet
05. Not Born To Lose
06. Girls In The Night
07. Go Back
08. Come On Baby
09. Rock’N’Roll
10. Wheels On Fire

11. My Bloody Soul (Bonus track)

Line Up:
Cyrille Crastes : Guitar
Simon Femel : Vocals & Guitar
Benji : Bass

Taz : Drums

Découvrez  « Come On Baby », extrait de l’album de Dirty Dogz « Wheels On Fire »

Ne manquez pas Dirty Dogz en concert :
10 juillet 2020 – ROUEN « Bifröst »
23 mai 2020 – CAEN  » Starnight »
22 août 2020 – BURBURE « Burburocks »
29 août 2020 – BETHANCOURT « Plein Air Fest »
26 septembre 2020 – ND de GRAVENCHON ‘L’Arcade »

06 novembre 2020 – ROUEN « Bifröst »

Dirty Dogz remercie ses partenaires :
Partenaires Organisationnels:
   
Partenaires Media:
  
Partenaires Officiels:
    

1,5 millions d’albums vendus, plus de 800 dates de concerts, un prix SACEM, une Victoire de la musique ,un NRJ Music Award, un MTV Award… et d’innombrables tubes qui ont trusté pendant des années les sommets des charts et de l’airplay radio.
Plus qu’une simple liste de chiffres vertigineux, Superbus a marqué toute une génération et demeure un des groupes de pop-rock majeur de la scène française de ces 20 dernières années.
Superbus donne son tout premier concert en 2000. L’année 2020 marquera donc leur 20e anniversaire de scène, l’occasion immanquable de revenir pour un « XX Tour » !
Jenn, Patrice, Michel, François et Greg vous donnent rendez-vous pour 10 dates exceptionnelles en mars et avril 2020. De « Radio Song » à « Lola » en passant par « Butterfly », ce sera l’occasion de s’enflammer une nouvelle fois – ou la première fois – et de découvrir de nouveaux titres totalement exclusifs.

Nouvelle tournée Française en été/automne 2020

 12/09 Paris (75) – La Cigale
11/10 Lille (59) – Le Splendid
10/10 Savigny-le-Temple (77) – L’Empreinte
13/10 Rennes (35) – L’Étage
14/10 Alençon (61) – La Luciole
16/10 Cluses (74) – L’Atelier
17/10 Lyon (69) – Ninkasi
25/11 Strasbourg (67) – La Laiterie
27/11 Roncq (59) – Festival Haute Fréquence
28/11 Hérouville-Saint-Clair (14) – Big Band Café
30/11 Toulouse (31) – Le Bikini

Tous les billets achetés restent valables pour les nouvelles dates.

Pour fêter ses 20 ans de carrière Superbus revient en force avec un EP de 5 titres intitulé  » XX »

Écrit entre Paris et Oslo, produit en totale indépendance par Jen et Patrice dans leur studio avec la collaboration de Benjamin Lebeau (The Shoes, Clara Luciani), Quentin Mosimann ou encore Cacey, XX présente un Superbus 2.0, qui a su réinventer sans pour autant renier son ADN.
Superbus assume avec brio cette évolution vers une pop electro à la fois moderne et intemporelle, écrin parfait pour que Jenn puisse aborder des thèmes qui lui tiennent à coeur, qu’ils soient ou plus joyeux.

Découvrez le dernier clip de Superbus « Silencio », extrait de l’EP « XX » :

Steven Wilson est de retour avec son nouvel album intitulé « The Future Bites » qui sortira le 12 juin 2020.

Un disque qui,  explorera « la façon dont le cerveau humain a évolué à l’ère d’internet ». Le chanteur britannique en a également profité pour dévoiler un titre inédit, « Personal Shopper », qui plante le décor de ce nouveau projet.

La tournée européenne « The Future Bites Tour » est programmée en septembre prochain, avec une date au « Zénith » de Paris le 21 septembre.

Tracklisting :

1. Unself
2. Self
3. King Ghost
4. 12 Things I Forgot
5. Eminent Sleaze
6. Personal Shopper
7. Man of the People
8. Follower
9. Anyone But Me

Découvrez un extrait de ce prochain opus avec le titre « Personal Shopper » :

The Wild! vient de sortir son nouvel album , le 20 mars 2020

Intitulé « Still Believe In Rock And Roll », il a été produit par Dylan Villain et Mike Fraser.

Tracklistig:

01. Bad News
02. Crazy (For You)
03. Nothing Good Comes Easy
04. High Speed
05. King of This Town
06. Still Believe In Rock And Roll
07. Playing With Fire
08. Young Rebels
09. Goin’ To Hell
10. Gasoline

Line up:

Dylan Villain – Vocals/Guitar
Benny The Kid – Guitar
Boozus – Bass/Vocals
Crash Anderson – Drums

Découvrez un extrait de ce nouvel opus avec la vidéo de « Playing With Fire »

Le légendaire groupe féminin Girlschool sera à l’affiche du Forum à Vauréal le 3 septembre 2020. Alcatrazz sera également de la partie avec la formation d’origine pour une soirée 100% Hard Rock!

Girlschool est le premier groupe féminin de heavy metal. Les 4 Anglaises se sont fait connaitre en 1979, en ouvrant lors de la tournée de Motörhead. Après plus de 30 ans de carrière, leur talent et rayonnement sur la scène heavy est incontestable.

Alcatrazz : Ils sont de retours ! Les membres originaux d’Alcatrazz, Jimmy Waldo, Gary Shea, menés par Graham Bonnet et accompagnés par Joe Stump et Mark Benquechea, sont de retour sur scène pour vous offrir le meilleur du heavy Made in California.

Asomvel assurera la 1ère partie de ce concert.

     

Y&T sera de retour sur la scène du Forum de Vauréal le 23 octobre 2020.

Groupe phare de la baie de San Francisco, Y&T est incontestablement une des formations les plus importantes de Hard Rock US. Préparez vous à un show exceptionnel, avec des musiciens de talents menés par le fantastique Dave Meniketti pour la 6ème fois au Forum de Vauréal !

Le 7ème album de In This Moment, intitulé « Mother », sortira le 27 mars 2020 via Atlantic Records.

Ce nouvel opus a été enregistré au Hideout Recording Studio de Las Vegas et produit par Kevin Churko. (Ozzy Osbourne, Papa Roach, Five Finger Death Punch…)

Tracklisting:
01. Fly Like An Eagle
02. The In-Between (Hell & Heaven)
03. Legacy
04. We Will Rock You (feat. Lzzy Hale & Taylor Momsen)
05. Mother
06. As Above, So Below
07. Born In Flames
08. God Is She
09. Holy Man
10. Hunting Grounds (feat. Joe Cotella)
11. Lay Me Down

12. Into Dust

Un extrait vient d’être dévoilé avec « As Above, So Below » :

Line up:
  • Maria Brink – lead vocals, piano
  • Chris Howorth – lead guitar, backing vocals
  • Randy Weitzel – rhythm guitar, backing vocals
  • Travis Johnson – bass, backing vocals
  • Kent Diimmel – drums