« Hallowed Ground » le nouveau single de Night Demon est déjà disponible !
Ce titre est extrait de l’album « Darkness Remains » qui sortira le 21 avril 2017
La vidéo de « Hallowed Ground »
La sortie européenne de « Darkness Remains » aura lieu le 21 avril 2017 via SPV/steamhammer est sera disponible dans les versions suivantes:
– CD digipack
– LP Version in dark green vinyl
– Download (with bonus tracks) and Stream

Tracklisting:
1-Welcome To The Night 3:51
2-Hallowed Ground 3:53
3-Maiden Hell 2:43
4-Stranger In The Storm 4:09
5-Life On The Run 3:34
6-Dawn Rider 3:22
7-Black Widow 3:26
8-On Your Own 3:27
9-Flight Of The Manticore (Instrumental) 4:06
10-Darkness Remains 5:31
11-We Will Rock You (Queen cover version) 2:58 – digital bonus track
12-Turn Up The Night (Black Sabbath cover version) 3:24 – digital bonus track

Le nouvel album de God Dethroned « The World Ablaze » sortira le 5 mai 2017  via Metal Blade Records!

Il sera disponible dans les formats suivants:

– CD/DVD Digipak
– Jewelcase CD
– 180g black vinyl
– pale violet vinyl (limited to 400 copies – EU exclusive)
– gray-marbled vinyl (limited to 300 copies – EU exclusive)
– clear-pastel rose vinyl (limited to 200 copies – EMP exclusive)
– deep violet-marbled vinyl (limited to 200 copies – USA exclusive)
– clear/black-marbled vinyl (limited to 100 copies – Hells Headbangers exclusive)

 

 Track-listing:
1. A Call to Arms
2. Annihilation Crusade
3. The World Ablaze
4. On the Wrong Side of the Wire
5. Close to Victory
6. Konigsberg
7. Escape Across the Ice (The White Army)
8. Breathing Through Blood
9. Messina Ridge
10. The 11th Hour

 Allez sur metalblade.com/goddethroned pour écouter le premier single « On the Wrong Side of the Wire »

God Dethroned line-up:
Henri Sattler – vocals/guitars
Mike Ferguson – guitars
Jeroen Pomper – bass
Michiel van der Plicht – drums

Interview de Richy, guitariste de Drakkar, par Alain Boucly

Merci d’avoir accepté cet entretien et de répondre aux questions pour Ride The Sky.

– Peux tu nous parler du prochain album, est-il dans la continuité du précédent, ou marque t’il une évolution pour le groupe ?

Notre nouvel album n’est pas encore sorti à ce jour, nous venons tout simplement de le terminer. Il sera disponible dans les bacs probablement en septembre 2017. Nous avons d’ailleurs hâte ayant pris de longs mois de retard suite au décès de notre ami et guitariste Thierry Delcane.

– Pourquoi ce titre, « Diabolical Empathy »

Disons que nous avons centralisé dans cet album « tout le mal que l’humain peut produire avec une empathie extrême ».. Tueurs en séries…. Et puis notre chanteur Leny a une imagination débordante avec la réalité des choses.

– Le groupe s’est reformé en 2012 après une longue pause. Qu’est-ce qui vous a motivé à reprendre du service et avec quel line up ?

Je suis à la base de la reformation, j’avais envie de remonter sur scène avec des potes, rejouer certains morceaux de notre premier album « Xrated ».

Thierry Delcane (RIP) a accepté tout de suite. Au début il y a eu aussi Guy le bassiste d’origine. Le batteur n’étant plus disponible, c’est Jonas Sanders (Pro Pain) avec qui j’ai joué pendant 3 ans dans Resistance qui nous a rejoint et j’ai demandé à Pat de devenir notre troisième grateux. Quant au chanteur, lors de  la reformation ce fut Silver (Hell Patrol). Après quelques dates c’est Leny, le chanteur d’origine qui nous a rejoint.– Justement, au niveau des composantes de Drakkar, ou en êtes-vous aujourd’hui ?

Le nouvel album est terminé ainsi que le clip accompagnant la sortie de celui-ci. Nous sommes impatient de pouvoir le présenter à nos fans.

– Comment se répartissent les rôles au niveau des compositions ?

Tout le monde y participe de près ou de loin. Les paroles et mélodies de chants sont exclusivement composées par Leny. Pour la composition des morceaux en eux-mêmes, Pat et moi apportons les carcasses, puis nous finissons avec la batterie et Adrien.

– As-tu une explication sur le fait que Drakkar soit le groupe originaire de Belgique qui joue le plus en France, même lors des les évènements spécifiques tels que le Paris Metal France Festival ?

Tout d’abord, c’est toujours un grand plaisir de jouer en France, nous y avons un public fans du groupe. En second nous avons pas mal de potes musicos en France, comme Gang, ADX, Vulcain, Spirit, Rozz, Hürlement, Loudblast, les excellents Octane…et plein d’autres… avec qui c’est toujours un plaisir de se produire.

– Quels sont vos projets pour 2017 et pour le futur ?

Beaucoup de concerts. Et de rencontres avec les fans de métal en Europe et surtout en France.

– Cites nous 2 arguments pour convaincre le public d’écouter Drakkar ?

Le premier est de venir nous voir sur la scène « Voir notre Leny en action, tu as déjà pu t’en rendre compte mdr » et en deuxième, je pense que nous communiquons notre passion de la musique métal dans nos compos et prestations.

– La musique de Drakkar est le mélange de diverses influences. Comment la définirais-tu ?

Honnêtement Drakkar reste un groupe de Heavy Metal avec beaucoup d’influences, mais basées sur les groupes que nous écoutons. Cela va du Hard Rock .. au Death Metal.. en passant par le speed… mais nous faisons en sorte que Drakkar sonne DRAKKAR.

– Un dernier mot pour Ride The Sky et le public français ?

On vous aime et vous nous le rendez bien… nous arrivons bientôt chez vous …….haha haha

Je te remercie pour la disponibilité et la bonne humeur dont tu as fait preuve, et souhaite à Drakkar le meilleur pour la suite !

Présente:
Soen & Madder Mortem en concert à Paris / O’Sullivans Backstage by the mill le samedi 15 avril 2017 à 19h00

Pour ceux qui ont suivi la carrière de Soen jusqu’à présent, les concepts de voyage et d’exploration ne sont pas nouveaux. “Cognitive” en 2016 a tracé un long chemin progressif et métallique. En 2014 “Tellurian”, avec son esprit explorateur et sa puissance, a permis à Soen de s’exprimer plus librement et d’apporter sa vision unique. Leur troisième album, “Lykaia”, est un voyage dans des endroits plus terreux. C’est leur quête créative la plus cohérente.

Dans “Lykaia”, Soen reste fasciné par les ombres et les bords plus sombres de notre monde, avec un accent particulier sur les différentes pensées et les concepts derrière la religion et le comportement ritualiste, basé sur la croyance dans la société.

Soen revient à Paris le 15 avril, un rendez-vous à ne manquer sous aucun prétexte.

Billets disponibles ICI
Pour Laura Cox, un bon gros riff vaut mieux qu’un refrain pop. La simplicité n’est pas forcément signe de facilité, et c’est dans cet esprit qu’ils mettent leur technique au service de leur musique, pour apporter ce qui se fait de plus rare en France : un style vintage et épuré.

Pour son premier album, le Laura Cox Band a réuni 10 compositions efficaces et percutantes, permettant une immersion totale dans son style atypique. Avec ce disque, le groupe affirme plus que jamais son identité rock, teinté de blues, de country et relevé par de gros riffs de guitares.

Les chansons originales du Laura Cox Band ont pour but de transporter l’auditeur dans des époques passées. « Barefoot in the Countryside » nous fait redécouvrir tout autant le vieux bluegrass américain, sans oublier le hard blues australien mis en avant avec « Hard Blues Shot », « The Australian Way » ou encore « Going Down ». Mais impossible de passer à côtés des influences majeures de Laura avec ce bon vieux rock sudiste texan, représenté par les tranchants « Too Nice for Rock ‘n’ Roll », « Morning Road »et « Good Ol’ Days ». L’album se finit cependant sur une touche acoustique et mélancolique avec la chanson « 13″.

Les thèmes abordés sont inscrits dans la pure lignée des vieilles chansons blues, entre la recherche de la liberté et du dépaysement avec « Barefoot in the Countryside » ou le voyage et les virées sur l’autoroute, comme « Morning Road », dont les images pourraient figurer dans un film de James Dean.

Les paroles traitent également de sujets plus lourds, tels que le sentiment de solitude face à un amour passé et lointain sur « Good Ol’ Days », où l’impression de ne pas trouver sa place avec « Too Nice for Rock ‘n’ Roll ».

La chanson la plus poignante et ayant la plus grande signification est le titre acoustique « 13″, un véritable cri du cœur en hommage aux victimes du Bataclan.

Cela dit, le Laura Cox Band ne serait pas pleinement un groupe de rock & roll s’il n’abordait pas les thèmes récurrents et incontournables du genre.  La fête et ses excès sont à l’honneur sur les incontournables « If You Wanna Get Loud (Come to the Show) », « Hard Blues Shot », et « Going Down ».

Bien conscient d’être à contre-courant de la scène française actuelle, le Laura Cox Band veut faire de sa différence une force, en continuant à jouer la musique qu’il aime : du rock old school dans sa forme la plus simple.

Les 10 morceaux de cet album sont particulièrement aboutis, mis en valeur par une production idéale pour apprécier ces brûlots dans le plus pur esprit du Hard Rock seventies !

Veryshow présente:
Thunder en concert à Paris / La Maroquinerie, mardi 25 avril 2017

368 jours après leur dernière apparition en France, Thunder se produira le 25 avril 2017 à la Maroquinerie (Paris).

Thunder est un des groupes de Classic Rock britannique les plus populaires de ces 25 dernières années, avec 20 singles classés dans les charts anglais et des albums certifiés disques d’or et de platine un peu partout dans le Monde.

Avec son Hard-Rock inspiré des plus grands – Led Zeppelin, The Who, Deep Purple – et son songwriting tout en finesse, qui n’est pas sans rappeler les Kinks, les Beatles ou les Faces, la musique du groupe est un mélange hors du temps de mélodies inoubliables et de pure énergie Rock.

Un événement à ne pas rater, Thunder est maintenant plus populaire que jamais.

Billets disponibles ICI

 

Découvrez le clip « I’m Over You »

The Noface… Depuis quelque temps ce nom… Ce signe… Mystérieux… Vous appellent à les suivre sur la toile ICI

The Noface… Un nom… Un signe… Mais aussi un regard de feu… Une voix brûlante… Qui vous attrapent pour ne plus vous lâcher ICI

The Noface…Des masques qui effacent des visages comme pour mieux mettre en valeur celui d’une lionne… Oma, dont la prestance est déjà digne d’une reine des scènes, et sa garde rapprochée, sont parés pour bientôt prendre d’assaut la plupart des festivals de l’Hexagone… Mais qui sont-ils vraiment ?

Ces masques barrés d’une croix blanche sont loin d’être un simple gimmick… symbole clair et radical d’un nouveau départ, ils affichent aussi une détermination à faire passer la musique avant la notoriété…. Tout simplement parce qu’Oma la queen, a rejoint Yan, Max, Lio et Jay… le quatuor magique et toujours uni malgré la séparation de leur ancien groupe Skip The Use.

Avant tout motivé par la liberté de créer, désormais doté de cette forte identité visuelle et de cette voix tout aussi percutante, à-même de porter son message, The Noface revendique une approche résolument rock, amplifiée par un chant chaud et puissant… De cette rencontre entre l’univers musical brut des lillois et de celui plus urbain et métissé de la chanteuse d’origine camerounaise, est née une évidence : Oma sera le visage de ceux qui n’en ont pas… Qui n’en ont plus…Des projets, The Noface en a plein. Montée comme une sorte de collectif anonyme, cette entité rassemble déjà plusieurs projets artistiques bien distincts. Cependant son prochain objectif est une première vague de concerts qui commencera à déferler le 22 avril prochain au Printemps de Bourges, pour ne plus s’arrêter jusqu’à l’arrivée d’un album, durant le second semestre 2017. Un disque que l’on devine déjà envoûtant lorsque l’on découvre ce mini film en noir et blanc…

L’histoire qui commençait ICI se poursuit donc aujourd’hui, avec le lancement en avant-première du clip de « I’m Over You«  sur OUI FM. Un single captivant également disponible sur toutes les plateformes digitales !

Interview de Blues Pills réalisée à Chauny « Le Forum » le 1er avril 2017 lors du Rock’N Festival

Entretien avec le guitariste Dorian Sorriaux effectué par Marie-France BOUCLY

Bonjour Dorian et merci de participer à cet entretien pour Ride The Sky.

– Parlons un peu du dernier album en date « Lady In Gold ». Il se démarque du précédent avec un côté un peu plus soul et davantage de claviers. Quelles sont les raisons de cette évolution ?

C’est une évolution naturelle. Dès le premier album nous savions déjà que la direction à prendre irait davantage vers les influences soul. Il y avait d’ailleurs plusieurs morceaux de cet album dans ce style et c’est devenu logique de poursuivre dans cette voie sur « Lady In Gold ». Il était acquis que l’orientation ne serait pas vers le côté métal ou stoner, mais vers la soul, mélangée à notre style d’origine.

Pour les claviers, cela s’est fait aussi naturellement, car c’est un instrument qui fait partie intégrante de ce genre musical. Il apporte également une variété supplémentaire aux niveau des sonorités, chose qui n’était pas aussi développée lorsque seule la guitare assurait la rythmique.

– Quels sont les thèmes abordées dans vos morceaux ? Qui les compose ?

La musique est composée par l’ensemble du groupe, et ce sont Elin et Zack (Anderson, basse Ndr) qui écrivent les paroles. Les thèmes abordent les sujets tels que la vie, la mort, l’amour, le manque d’amour…

– La notoriété de Blues Pills est de plus en plus importante partout en Europe ou vous jouez dans des salles de plus en plus importantes. Quel est ton ressenti sur cette évolution ?

Tout cela est très positif ! Le fait de pouvoir jouer, de voir le groupe grandir procure beaucoup de plaisir !

– La musique de Blues Pills n’est pas orientée Metal, mais attire ce public. Comment l’expliques tu ?

Nous sommes dans une maison de disques ayant un catalogue composé majoritairement de groupes Metal (Nuclear Blast ndr), et notre tourneur est également dans le monde du Metal. C’est ce qui nous a donné l’opportunité de jouer dans de nombreux festivals où ce genre était majoritairement représenté. La promotion a aussi touché le public métalleux qui nous a bien accepté, et c’est formidable !

– A ton avis, pourquoi y a t’il un retour vers ce style « Vintage » qui voit de nombreux groupes émerger comme Kadavar, Rival Sons … ?

Je pense que le public en a un peu assez de la musique qui n’est pas très vivante, ou il y a beaucoup d’électronique, de numérique ou tout doit être parfait… Du coup, tout cela n’est plus très « humain » et manque d’émotion. Ce sont les raisons pour lesquelles le public demande à retrouver quelque chose de plus spontané, de vivant, ou il y a des erreurs sur scène, et aussi d’avoir des échanges avec le groupe.

– Très peu de musiciens français parviennent à « s’exporter ». Comment s’est présentée l’opportunité d’intégrer Blues Pills ?

En 2011, j’ai joué en première partie de l’ancien groupe (Radio Moscow Ndr) de Zack au « Galion » à Lorient. Ayant besoin d’un guitariste lorsqu’il a formé Blues Pills, il m’a tout simplement demandé de rejoindre le groupe.

– Avec le recul, quelle a été la chose la plus facile à gérer, et la plus compliquée ?

Il n’y a pas vraiment eu de situations extrêmes. Cela a vraiment collé musicalement avec beaucoup de facilité, sans aucun problème. La partie la plus délicate au début a été de poursuivre les études par correspondance pour passer le bac S, tout en assurant les dates, comme le Hellfest en 2014.

– Quelles sont tes influences et qu’est ce que écoutes quoi en ce moment ?

Les influences sont nombreuses et variées comme le Blues Rock, la soul, ou encore les premières périodes de Fleetwood Mac. Quand j’étais petit, j’écoutais ZZ Top à fond ! En ce moment, j’écoute beaucoup de Folk des années 60 /70.

– Quel est le titre que tu apprécies le plus de jouer en live et pourquoi ?

C’est variable d’une journée à l’autre. Je n’ai pas de titre préféré mais si il faut en retenir un, je dirais « Ain’t No Change » (extrait de l’album « Blues Pills » sorti en 2014 Ndr), car le solo peut être joué différemment chaque jour. En règle générale, je dirais les morceaux ou on improvise le plus, du coup on ne sait jamais dans quelle direction ça va aller, et cela donne un côté plus spontané.

– Quelles sont les prochaines échéances pour Blues Pills ?

De nombreux concerts et festivals sont dores et déjà planifiés, avec la possibilité d’enregistrer un dvd. Concernant le futur album, il y a des idées qui émergent, mais il est encore trop tôt pour fixer une date de sortie.

– Un dernier mot pour le public français et les lecteurs de Ride The Sky ?

Je vous remercie d’écouter notre musique, de venir aux concerts et d’avoir lu cet entretien !

Réalisation : Marie-France BOUCLY
Photos: ©2017 Alain BOUCLY
Remerciements: Jean Michel Fondement et toute l’organisation du Rock n’ Festival.
 
Trivium et Last In Line viennent compléter l’affiche de l’édition 2017 du festival Alcatraz.
Voici la répartition des groupes par journée su chaque scène:
Vendredi 11-Aug : Dayticket price 45€ (NO VIP tickets available)
Udo Dirkschneider (official) 
Krokus
Denner / Shermann
Hell
Evil Invaders (official)
Samedi 12-Aug : Dayticket price 67,5€ – VIP 127,5€
Prison Stage
Saxon (Official)
Testament
Iced Earth
Death Angel
Last In Line
Rage
Swamp Stage
AbbathI
Sleep
Obituary
Brant Bjork
Wolves In The Throne Room
High On Fire
Monkey3
King Hiss
Dimanche 13-Aug : Dayticket price 67,5€ – VIP 127,5€
Prison Stage
Korn
Amon Amarth
Trivium
Doro
Life Of Agony Famiglia
Sacred Reich
Ufo
Raven
Swamp Stage
Paradise Lost
Morbid Angel
Moonspellofficialband
Enslaved
Asphyx
Dr Living Dead (Official)
Carnation
3 DAYS – 2 STAGES – 35 BANDS , Great atmosphere !
11-12-13/08/2017
Tickets and info on www.alcatraz.be
Amateurs de blues américains, ne manquez pas le prochain concert de l’association Ziquodrome les notes bleues avec la venue de Sugaray Rayford sur la scène compiégnoise le samedi 6 mai 2017 !
Rendez-vous sur l’événement pour participer et inviter vos amis Sugaray Rayford – Blues -20€
Nouvelle génération de bluesmen : Impressionnant par sa puissance vocale hors du commun il propage une énergie palpable dans tout le public.
Originaire du Texas, Caron Sugaray Rayford est élevé par sa grand-mère après le décès de sa mère. A l’âge de 12 ans, il part pour la Californie, qu’il ne quittera plus. Avec son groupe Aunt Kizzy’z Boys, il devient la coqueluche des stars de Los Angeles. Son premier album « Blind Alley », pour lequel Al Kooper (Bob Dylan, Rolling Stones…) lui écrit deux titres, est unanimement salué par la presse en 2010.
Le succès est définitivement au rendez-vous lorsque les titres de Sugaray commencent à apparaître dans des séries TV comme «True Blood».
En 2012, entre deux tournées européennes, Sugaray rejoint la troupe du célèbre spectacle «Ain’t Nothing but the Blues» – un classique du Music-Hall américain. Quelques mois plus tôt, il avait déjà dû refuser le rôle de Howlin’ Wolf pour un show à Broadway, afin de pouvoir faire ses premiers pas en Europe.
Son second opus, “Dangerous”, sort en 2013 et assoit définitivement son statut de légende du Blues & Soul.
Avec “Southside”, le nouvel album disponible depuis mai 2015, Sugaray opère un retour à son style de prédilection: un subtil mélange de Blues et de Soul façon Stax Records.
A l’affiche des plus grands festivals de Blues dans le monde entier, encensé par les medias, Sugaray conquiert le public à chaque concert grâce à son énorme talent, sa sensibilité, et sa générosité.
Il est actuellement nominé dans plusieurs catégories aux 37ème Blues Music Awards pour le meilleur artiste masculin contemporain, meilleur entertainer, meilleur album de blues.
Regardez la vidéo de Sugaray Rayford Blues Band au  » Bagnols Blues Festival 2016  » ICI