L’Assosino Family a annoncé qu’une cinquième édition du Fest Hom Fred aura lieu le samedi 21 octobre 2017 à Roye (Somme, Picardie, Hauts-de-France, France) !

Cette nouvelle édition se fera sur une seule journée et participe à la ligue contre le cancer.

Les groupes annoncés sont :
Betraying The Martyrs : Metal (Paris/Leicester)
Alea Jacta Est : Hardcore (Toulouse)
Atlantis Chronicles : Modern death metal (Paris)
Breed Machine : Neo metalcore (France)
Irminsul : Hard rock (France)
Trash Heaven : Heavy thrash (Aisne)
Adrenaline : Hardcore (Compiègne)

15 euros sur place / 12 euros en prévente
Gratuit -14 ans; avec justificatif
Tarif préférentiel étudiants (11 euros) et demandeurs d’emploi (12 euros); avec justificatif
1 euro par billet reversé à la ligue contre le cancer
L’ouverture des portes est à 17h00
Restauration et buvette sur place
Salle : Espace Guy Maréchal (à côté de la piscine)
Rue Jacques Doyen
80700 Roye

Note : L’article sera mis à jour régulièrement.

Pour plus d’informations :

Présente:
Wolverine + Until Rain + Oddland en concert à Paris / La Boule Noire le vendredi 28 avril 2017

Le Progressive aspects tour fera halte le vendredi 28 avril prochain à Paris. A l’affiche, 3 groupes talentueux évoluant chacun dans un progressif de très bonne facture qui ravira les fans du style.

On retrouvera les suédois de Wolverine qui a 5 albums à son actif, Until Rain et ses 3 albums au compteur et Oddland. Autant dire que ces 3 groupes ont engrangé une solide expérience.

Voici une nouvelle photo d’Airbourne avec leur nouveau guitariste Matt ‘Harri’ Harrison qui remplace David Roads

 

Cet été, en plus du Hellfest Open Air Festival le samedi 17 juin (avec Aerosmith, Trust, The Dead Daisies…), Airbourne va se produire dans les festivals suivants :

Samedi 8 juillet – Herouville-Saint – Clair / Festival Beauregard 2017
Mardi 11 juillet – Argeles-Sur-Mer / Les Déferlantes
Jeudi 13 juillet – Aix Les Bains- Festival Musilac

Puis les australiens seront de retour à Paris le 10 octobre pour un concert à L’Olympia.

On se souvient que fin 2016, les 8 dates (dont 2 au Trianon) de la tournée française d’Airbourne avaient toutes affiché complet !

L’album « Breaking out of Hell » est toujours disponible avec le titre « It’s All For Rock N’ Roll » enregistré en hommage à Lemmy de Motörhead.

« Life is Good » le nouvel album de Flogging Molly  sortira le 2 juin 2017 en CD, vinyle & digital (distribution Caroline)

Ecoutez « Guns of Jericho » sur le site du Billboard ICI
Regardez la lyric video de « Reptiles (We Woke Up) » ICI
Ecoutez « The Hand Of John L. Sullivan » ICI

A voir en concert en France :
25/06 – Strasbourg / Festival Artefact
4/07 – Paris / Bataclan

Flogging Molly ou l’union sacrée entre punk, rock, folk blues et rythmes celtiques !

« Life is Good », un album que les fans attendaient depuis bientôt 6 ans !

Produit par Joe Chiccarelli (U2, White Stripes, Beck) et enregistré en Irlande, à Dublin, (le groupe est basé à Los Angeles depuis 1997)« Life is Good » aborde les sujets chers au chanteur Dave King et la violoniste Bridget Regan  (les 2 membres fondateurs) : l’exil, la rébellion, l’histoire et ses luttes… des chansons qui prennent des allures d’hymnes au son du violon, de la mandoline, de l’accordéon et des guitares !

Lorsque l’on découvre Flogging Molly pour la première fois, on pense bien sûr aux Pogues, à Dropkick Murphys, voire même aux Waterboys, mais au fil des chansons l’on s’aperçoit vite que le groupe possède une très forte personnalité qui va bien au delà de ces simples comparaisons… le tempérament de Dave King, un irlandais pure souche, n’est pas étranger à cette sensation d’authenticité qui fait tellement de bien… Life is Good !

A noter qu’en 2011, « Speed of Darkness », leur dernier album en date,  avait atteint la 9ème place des charts du Billboard !

He Is Legend sera en concert à Paris « Les Etoiles » le 2 mai prochain
Quand tu t’appelles He Is Legend, t’as intérêt à mettre la barre très haut. Et même si le nom du groupe est aussi teinté d’ironie que la crinière de Michou, il n’a de cesse de dépasser les espérances de ses fans comme en témoigne Air Raid, premier titre de son prochain album Few. Du bon, du gros, du lourd. Incontournable donc …
https://www.youtube.com/watch?v=sKj9LUzaC1w

Inutile de rappeler que le WOA est l’un des plus grands festival au monde en matière du Rock/Metal qui se tient sur les terres verdoyantes  du petit village Wacken au Schleswig-Holstein. Il faut y aller au moins une fois dans sa vie car le spectacle est toujours garanti malgré les conditions météorologiques un peu difficile. C’est le nord mon ami, dirait l’autre.

Les deux premières journées étaient consacrées au MEtal Battle, le tremplin des groupes en provenance des pays des quatre coins du monde. les Sud-africains Zombies Ate My Girlfriend avec qui j’ai échangé la veille,  sur la Metal en Afrique et au Maroc  bien sûr, s’est vu décerner le prix.

Une bonne matinée au Wackinger Village, un espace dédié à l’artisanats  de l’époque moyenâgeuse : des artisans fabricants des ustensiles  en bois, en acier ou en os. J’ai rencontré même des forgerons qui animent des ateliers.L’image contient peut-être : ciel, nuage et plein airMa ballade matinale a été interrompue par une averse.

L’image contient peut-être : ciel et plein airOn commence le concert de Phil Campbell et les All StarBand où nous avons eu l’occasion d’écouter des titres de Motorhead « Born To Rise Hell », « Deaf Forever » , « Ace Of Spade » et « Killed By Death » et d’autres reprises de qualité « Heroes » de David Bowie, « Sharp Dressed Man » de ZZ Top et « Sweet Leaf » de Black Sabbath.

Avec Tarja en bonne forme qui a donné deux concerts un au Wacken Metal Church pour les intimes où elle a épaté son public réduit avec un pamphlet de reprises  « Ohne Dich » de Rammstein entre autres; et un autre concert au Black Stage  un featuring de tailler avec Alissa White-Gluz sur « Demons in You » et d’autres belles interprétations « Victims of Ritual », « No Bitter End »,  » Never Enough » et « Tutankhamen », « The Riddler » de la période Nightwish et une reprise « Supremacy » de Muse. J’avoue que je ne suis pas un grand fan mais le show est parfait et bien a montré la qualité vocale et musicale de Tarja et son groupe.

L’image contient peut-être : 1 personne, assis et intérieurLes shows les plus attendus jeudi autre que celui de Iron Maiden, on cite celui de Whitesnake, Blue öyster Cult, the Dead Daisies, Saxon, Vader, Therapy? et sans oublier Foreigner, ses derniers ont donné une prestation digne, d’un groupe des années 80s fidèle à lui même, comme à celle du HellFest, avec les titres phares : « Urgent », « Double Vision », « Feels Like the First Time » et « Hot Blooded ». Kelly Hansen, qui rappelle Steven Tyler, montre qu’au delà des qualités d’être un grand chanteur, est un « performer » hors pair.

Et place au grand show Iron Maiden et surtout au « speech » de Sir Bruce Dickinson avent d’entamer « Blood Brother ». Maiden ont joué six morceaux du nouvel album « The Book Of Souls » et a bien pioché dans son répertoire pour offrir une Set transgénérationnelle.  « If Eternity Should Fail » en ouverture suivi de « Speed Of Light » et puis un retour au « Number of The Beast  » avec « Children Of Damnded », ensuite « The Trooper », « Tears of A Clown », « Powerslave », « Death or Glory » et les titres les plus attendus « Hallowed Be Thy Name », « Fear of the Dar » et en Encore : le chef d’oeuvre « Number of The Beast », « Blood Brothers » et pour finir le magnifqiue show avec « Wasted Years ». J’ai oublié le « Amazing » et gigantesque Eddy the Head qui donne toujours envie de le voir circuler sur scène entre les musiciens avec les déguisements qui siéent les morceaux interprétés.

Glasgow, ville située dans l’ouest des lowlands écossaises a vu naître bon nombre de musiciens de talent : les Simple Minds, Travis, Texas, Mogwai, Franz Ferdinand, Angus Young (guitariste emblématique d’AC/DC) ou encore les frères Knopfler pour n’en citer que quelques-uns. C’est la ville industrielle emblématique d’où est issu le groupe pop-rock Little Eye qui s’est produit pour la première fois au Luxembourg dans la salle du Purple Lounge à Mondorf-les-Bains en 2015.
En 2016, leur carrière décolle : leurs deux clips « Something Out of Nothing » et « Contagious » sont visionnés plus de de 150.000 fois sur YouTube. Le premier morceau figurera 10 semaines dans le top 10 de MTV Italy et le deuxième aura un succès fulgurant sur les radios italiennes. Le groupe présentera un nouvel EP très probablement à la fin de l’année 2017 ou début 2018.

Composé d’Allan, le chanteur, Jay à la batterie, Euan à la guitare et Marcus le bassiste, ils viennent de sillonner l’Europe en 2016. Après l’Allemagne, les Pays-Bas, le Luxembourg, la Belgique, la France, ils reviennent pour 3 dates exceptionnelles début juin 2017 pour présenter leurs nouveaux morceaux en avant-première. D’autres dates pour fin d’année seront annoncées bientôt !

Ils seront :
Le jeudi 1er juin 2017 à la Schräinerei à Differdange (L) pour un concert semi-acoustique ;
Le vendredi 2 juin 2017 au Monkey Show à Metz (F) pour un concert amplifié ;
Le samedi 3 juin 2017 au Festival Dolympiades à Dolhain (B) pour un concert amplifié.

Little Eye – « Contagious » (official music video)

Décidément, ce week end de Pâques est placé sous le signe des décibels dans la capitale normande, car après les vikings d’Amon Amarth au « Cargo », c’est au tour du BBC d’Hérouville St Clair d’accueillir un évènement orienté vers un Rock plus classique, voire Bluesy.La diversité des 3 groupes à l’affiche a de quoi faire saliver avec les 2 co-headliners Bloody Rosie et Dany Fisher, et en ouverture, les régionaux de l’étape de 44, qui ont été sélectionné parmi une dizaine de postulants pour fouler cette scène de renom.

Mais place à la musique avec 44, un jeune groupe emmené par Julie au chant qui va séduire le public en envoyant un répertoire composé de reprises de quelques pointures du Hard Rock estampillé années 80/90. Hormis le « Come Together » des Beatles, nous avons eu le droit à quelques titres de légende, dont les plus remarquables seront ceux de Guns ‘n’ Roses ou encore d’Ozzy Osbourne. Le temps de jeu limité à 30 minutes aura toutefois permis à 44 de démontrer son potentiel, qu’il faudra développer en engrangeant de l’expérience pour gagner en assurance et renforcer la cohésion.

Après cette belle entrée en matière, c’est au tour de la première tête d’affiche de la soirée d’investir la scène enfumée du BBC. Danny Fisher & Guests (Guests pour définir ses musiciens) a une carrière bien remplie, avec plusieurs centaines de concerts à son actif dans un registre estampillé Blues teinté de Rock. Mais la recette est fade, devant une audience peu convaincue par ce Country Blues ou l’harmonica est visiblement beaucoup trop présent. Heureusement, l’ensemble du groupe a assuré, en faisant preuve d’un professionnalisme à tous les niveaux, et malgré cela, la mayonnaise ne prend pas. Rien de bien original donc, et c’est devant une impression de « déjà vu » qu’un nombre conséquent de spectateurs a patienté au bar…

Le temps de reprendre des forces pour vivre un grand moment au son des hymnes d’AC/DC, et c’est l’enchainement « Live Wire » / « Shot Down In Flames » qui va donner le ton à un set résolument tourné vers la période Bon Scott.

La puissance de feu est de mise avec un duo basse, batterie très complémentaire, même si la 4 cordes de Thierry semble mixée trop en avant. Taz n’est pas en reste derrière ses futs, faisant preuve d’une efficacité redoutable à chaque frappe, propulsant l’ensemble avec brio, comme en témoigne le tonitruant « Shoot To Thrill ». Difficile à croire que notre cogneur enchaine son second show après avoir accompagné Danny Fisher !

L’énergie ne faiblira pas tout au long d’un set rondement mené par un Cyrille « Angus » des grands jours. La précision du jeu du guitariste, sur qui sont portés tous les regards, impressionne, tout comme le son qui sort de la SG, digne du meilleur live (1979 ndr) sur lequel l’écolier australien était au sommet de son art.La succession des titres est imparable, même ceux qui ne font pas partie des standards comme « Stiff Upper Lip » vont régaler une audience très réactive.

« Bad Boy Boogie » va faire monter l’ambiance d’un cran avec l’arrivée de la sexy Shayna, qui va délivrer une prestation remarquable de sensualité, lors d’un show chaud qui se terminera en beauté par un arrosage en règle des premiers rangs !

Les éclairs sur l’écran annoncent le percutant « Thunderstruck », qui va tout dévaster sur son passage. Une fois l’orage passé, l’atmosphère reste néanmoins électrique avec l’intensité délivrée par les classiques « Riff Raff », « TNT » et l’hymne « Highway To Hell » repris en chœur par 250 personnes qui n’attendaient que cela pour donner de la voix. Et Sébastien n’en manque pas ! Cela n’est pas un hasard si le frontman se délecte des titres de Bon Scott, car les intonations, comme le timbre se rapprochent au plus près de ce chanteur légendaire. Et ce, malgré des soucis techniques qui l’on quasiment privé de retours durant tout le set, (la sieste du tech du BBC a du être bonne ndr) la performance de Seb en est d’autant plus méritoire.
L’aisance de Lukas a la guitare rythmique, avec sa manière de faire « claquer » les cordes, complète idéalement les solos déchainés d’un Cyrille survolté.

C’est déjà l’heure du rappel, avec un « Whole Lotta Rosie » débridé, au cours duquel la diablesse Shayna va mettre en valeur ses charmes et onduler de tout son corps en « s’arrosant » de cire de bougie, lors d’un second passage très spectaculaire.

Les canons font leur apparition pour le final imparable qu’est « For Those About To Rock », pour achever une soirée ou Bloody Rosie aura une fois de plus marqué les esprits, par sa capacité à délivrer un set ou se mêlent qualité d’interprétation, puissance et énergie. Un grand bravo à eux pour avoir su innover sur le côté visuel qui est l’essence même du live !

Dommage qu’une erreur de casting ait mis le doute au yeux du public, qui se serait certainement déplacé plus massivement si la promotion n’avait pas été axée sur ce looser mégalo de Danny Fisher. Et vu le nombre de Tee Shirts et de cornes AC/DC, il est clair que les personnes présentes n’ont pas caché leur préférence !
Photos et Report ©2017 Alain BOUCLY

Ayreon: Nouvelle vidéo  » Star Of Sirrah »

Publié : 18 avril 2017 par Alain B. dans Musique, News
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Ayreon dévoile « Star Of Sirrah » (Official Lyric Video), un nouveau titre extrait de l’album « The Source » qui sortira le 28 avril prochain via Mascot Label Group/Music Theories Recordings.
It features James Labrie Russell Allen, Hansi Kürsch, Tobias Sammet, Nils K Rue, Tommy Giles Rogers, Jr., Michael Eriksen, Floor Jansen and an amazing guitar solo by Paul Gilbert. Made by Wayne Joyner, I hope you enjoy it!

Merzhin: « Babelive » le nouvel album disponible !

Publié : 18 avril 2017 par Alain B. dans Musique, News
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Merzhin est entré dans le club très fermé des groupes de rock français toujours en activité après 20 ans de carrière sans AUCUNE interruption. Pas de reformation après des années d’absence, aucune déviation, aucune concession et droit dans ses bottes.
Plusieurs tournées aux 4 coins du monde, près d’un demi million de km parcourus, 6 albums studio, 2 albums live, près de 250 000 albums vendus, des centaines et des centaines de concerts n’ont pas suffi à enrayer la machine. Le groupe est toujours là et bien là, 20 ans après, habité par son esprit d’indépendance et de liberté, et plus remonté que jamais.Pour fêter dignement ces 20 années de carrière, Merzhin a choisi de sortir un bel objet sur plusieurs dimensions temporelles, puisque le coffret (dont la pochette fait prendre conscience de ces longs moments passés sur la route) comprend:
– Un album live: 15 titres comme un instantané des concerts de Merzhin enregistrés tout au long du Babel Tour 2016.
– Un DVD du film « Dans ma peau », retraçant l’histoire dingue du groupe depuis sa création, mais également des lives enregistrés lors du Babel Tour, des clips et pleins d’autres surprise !

Merzhin nous offre « Babel » comme une manière de dire « j’ai 20 ans, je n’ai plus rien à prouver et encore beaucoup à dire ».Comme si le groupe avait pris un recul gigantesque sur la vie, sur la condition de l’homme avec ses peurs, sa relation à l’autre (« A travers toi »), ses contradictions, son infamie (« La planète », Apocalypolitico ») et ses dangers. « Babel » s’écoute comme on lirait un carnet de voyage initiatique.

Les musiques sont brutes et rugueuses comme jamais (« La traque »), et tout aussi paradoxalement, les textes sont emplis d’une philosophie et d’une sagesse peu communes (« Conquistador »). On sort de cet album avec l’impression d’avoir été au cœur d’un rite chamanique au mezcal.

Avec ce 6ème album le groupe se livre en profondeur, et n’hésite pas à lever le voile sur ses modèles et ses inspirations (« Muhammad Ali »), mais également sur les difficultés et nos démons tel un prisme  (« Babel »). L’écriture est léchée et quasi cinématographique (« Be Bope Lula »).

C’est à se demander si, comme l’évoque la pochette de l’album, ce disque n’a pas pu être conçu tel un labyrinthe, sollicitant de nombreuses écoutes avant d’en saisir avec précision l’ensemble des subtilités, la portée réelle des images et les nuances des métaphores.

Merzhin a 20 ans et continue pour autant à évoluer et à se bonifier. Les tournées aux quatre coins du monde et le millier de concerts n’ont pas eu raison du groupe. Au contraire, ils n’ont fait que renforcer sa détermination, son esprit d’indépendance, et sa soif de liberté. Le discours est clair: « Ouvre les yeux, prends conscience des absurdités du monde et bats-toi pour en défendre la beauté ».

Merzhin, plus que majeur, est aujourd’hui une entité revendiquant mieux que jamais un point de vue et un regard sur le monde. L’oeil ornant la pochette du disque est bel et bien là pour le rappeler. C’est résolument plus qu’un groupe de rock, il en a le fond, la forme et encore mieux (« La Planète »).