Pretty Maids est le dernier groupe à l’affiche du Festival Alcatraz  !
Avec cette nouvelle et dernière annonce, l’affiche de l’Alcatraz 2017 est complète. Selon la formule habituelle ‘Last but not least’, c’est le groupe Pretty Maids qui honorera de sa présence l’Alcatraz Metal Festival.
La liste des fantastiques groupes qui se sont donnés rendez-vous à Courtrai le week-end des 11, 12 et 13 août 2017 est maintenant complète. L’organisation mobilise déjà toutes ses forces afin de faire de cette édition un nouveau succès total.
FRIDAY 11-Aug : Dayticket 45€ (NO VIP available)
Prison Stage
Ghost
Krokus
Pretty Maids
Dyscordia
Swamp Stage
Udo Dirkschneider (official)
Denner / Shermann
HELL
Evil Invaders (OFFICIAL)
SATURDAY 12-Aug : Dayticket price 67,5€ – VIP 127,5€
Prison Stage
Saxon (Official)
Venom
Testament
Iced Earth
Last In Line
Death Angel
Sweet Savage
Rage
Swamp Stage
Wolves In The Throne Room
AbbathI
Sleep
Obituary
Brant Bjork
High On Fire
monkey3
King Hiss
SUNDAY 13-Aug : Dayticket price 67,5€ – VIP 127,5€
Prison Stage
Korn
Amon Amarth
DORO
Trivium
Life Of Agony Famiglia
Sacred Reich
UFO
@Raven​
Swamp Stage
Paradise Lost
Morbid Angel
Moonspellofficialband
Enslaved
Asphyx
Dr Living Dead (Official)
Carnation3 DAYS – 2 STAGES – 39 BANDS , Great atmosphere !
11-12-13/08/2017
Tickets and info on www.alcatraz.be

The Raven Age, le groupe de George Harris, le fils du bassiste d’Iron Maiden, Steve Harris, vient de publier une nouvelle vidéo. « The Dying Embers Of Life » est extrait du premier album, « Darkness Will Rise », disponible depuis le 17 Mars dernier via BMG.

The Raven Age« The Dying Embers Of Life » (Official Music Video)

Encore inconnus en France il y a quelques mois, les canadiens de Bleeker sont en passe de conquérir notre pays grâce à leur hit « Highway » classé n°1 sur Oui FM pendant plusieurs semaines.

Regardez le clip  ICI

Dans la lignée de ce succès sur la 1ère radio rock de France, le grand public les a alors découverts à l’occasion d’un passage mémorable dans

Regardez « Highway » live ICI + l’interview, la présentation de l’album par Nagui et les reprises de Led Zep et des Beatles en acoustique ICI

Quelques semaines auparavant Bleeker avait déjà créé la sensation en se produisant dans 

Regardez « Highway » (version courte en direct) ICI + « Where’s Your Money » (bonus web) ICI  avec en prime la météo ICI  

Bien entendu, lors de cette première venue dans notre pays les 4 canucks n’avaient pas manqué de rendre visite à

pour une p’tite session  dans Café Gourmand, l’émission de de Dom Kiris.

Version acoustique de « Highway » + reprise des Black Crowes + interview  ICI

Aujourd’hui

est particulièrement heureux d’annoncer la première tournée française de Bleeker qui passera dans 8 villes de l’Hexagone :

Lundi 13/11 – Lyon / Ninkasi Kao

Mardi 14/11 – Arles / Cargo de Nuit

Mercredi 15/11 Toulouse/ Connexion Live

Vendredi 17/11 – Cognac / West Rock

Samedi 18/11- Rouen / le 106 club

Dimanche 19/11 – Tourcoing / Le Grand Mix

Mardi 21/11 – Metz / Les Trinitaires

Mercredi 22/11 – Paris / La Maroquinerie

Mise en vente jeudi 8 juin 2017 ICI

Bleeker profite de cette occasion pour également lancer en France son nouveau single « Where’s Your Money »! Regardez le clip ICI

C’est clair, Le Rock de ces canadiens n’a définitivement pas fini de faire danser la France !

Les médias parlent de Bleeker :

« LA découverte de l’année ! C’est catchy, ça donne envie de danser, de pogoter…» – Aurélie / Oui FM, Bring the Noise

« Un redoutable single… sans nul doute la nouvelle sensation canadienne… » – MyRock

« Bleeker: Dirty sound, sexy lyrics, don’t think just clap! » – Emilie Mazoyer / Europe 1 Music Club

« Un p’tit bijou… ça pulse rt c’est bon… » – Fabienne Hauchart / Voici

« Une efficacité musicale rare… Une très bonne surprise » – Metal Obs

« Un mélange original entre l’énergie des Black Keys, les lignes de guitare des White Stripes ou le groove des Rolling Stones »  – Yann Landry /  La Grosse Radio

« Revigorant et prometteur… voix assurée et touchante…refrains catchy et mélodies efficaces…   » – Céline Brégand / Rock Ur Life (chronique complète ICI)

« Bleeker serait-elle la nouvelle sensation canadienne ? » – Olivier Ducruix/ Guitar Part (chronique complète ICI)

« Un rock alternatif assez percutant… un fort potentiel pour créer des équilibres entre douceur et fureur… » – Music Waves (chronique complète ICI)

«des titres pêchus et mélodique à la fois ! Le rock a son sommet ! » – United Rock Nations (chronique complète ICI)

« Erase You » est actuellement dispo sur:

   

www.bleekerofficial.com

facebook.com/BleekerOfficial

C’est un dans Zénith quasiment sold out que Deep Purple va inaugurer sa série de dates françaises. En plus de la date lilloise, la tournée intitulée « The Long Goodbye Tour » passera par Paris le 3 juin, avant d’investir la Mainstage 1 du Hellfest le 16.

Ce sont les canadiens de Monster Truck qui vont ouvrir les hostilités, en délivrant un Hard Rock sur vitaminé, à l’image de l’insaisissable guitariste Jeremy, toujours en mouvement.

Le combo originaire d’Hamilton en Ontario, va tout donner pendant un set énergique, enchainant les titres de leurs deux albums au compteur, dont l’excellent « Sittin’ Heavy » sorti il y a un peu plus d’un an.

 

L’intensité ne faiblira pas tout au long d’un show pendant lequel Monster Truck aura tout donné, enchainant les morceaux sans temps morts, pour convaincre une audience qui réservera au quatuor une véritable ovation. Ne les manquez pas lors de leur prochain passage, car il sera intéressant de voir ce groupe au fort potentiel avec un temps de jeu plus conséquent !

La venue de Deep Purple est un évènement à ne manquer sous aucun prétexte, et ce sont plus de 6 000 personnes qui ont fait le déplacement pour vivre un moment unique avec les dinosaures du Rock.

 

Les morceaux du tout nouvel opus « Infinite » vont parfaitement intégrer une set list bien équilibrée, et c’est d’ailleurs le premier titre de l’album « Time For Bedlam » qui ouvrira la show. Ian Gillan semble à l’aise vocalement, ayant évolué dans un registre plus médium qui lui correspond davantage. Mais l’essentiel est ailleurs, son timbre unique et reconnaissable est  toujours bien présent sur les anciens titres tels que « Fireball » ou « Strange Kind Of Woman ». Steve Morse en grande forme, fait preuve de dextérité sur les solis gorgés de feeling, tout en affichant un sourire radieux qui en dit long sur le plaisir partagé ce soir. Le pourpre profond affiche une cohésion remarquable sur le classique « Lazy », parfaitement lancé par la performance de Don Airey derrière ses claviers.

« Birds Of Prey » reste le morceau qui représente le mieux ce que Deep Purple est capable de composer en 2017. Extrait de la dernière production « Infinite », l’intro puissante met tout de suite dans l’ambiance d’une progression qui atteindra les sommets du Hard Rock. La basse de Roger Glover propulse l’ensemble, aidé par un Ian Paice toujours aussi fin et précis dans son jeu. Oui, ce groupe de légende a encore des compositions qui tiennent la route, et le prouve en live !

 

 

Don Airey va enfoncer le clou avec un solo dont il a le secret, jouant avec le public qui lui répond du tac au tac. La variété des sons impressionne, tout comme la maitrise technique qui permet d’éviter toute lassitude souvent liée à ce genre d’exercice. L’enchainement direct avec le monstrueux « Perfect Strangers » sera un grand moment, et l’audience ne s’y trompe pas, reprenant le refrain en chœur comme un seul homme. Les classiques tant attendus vont ravir le public survolté, avec « Space truckin », suivi du planétaire « Smoke On The Water », au cours duquel 6 000 personnes vont  accompagner le chant de Ian Gillan pour un final monumental !

Le non moins légendaire « Hush » viendra en premier rappel, suivi du « show » Roger Glover qui fait claquer des sons improbables de sa basse, avant d’entamer un « Black Night » d’anthologie sur lequel s’achèvera une prestation qui restera gravée dans les mémoires.

 

Quel plaisir de pouvoir vivre aussi intensément un concert aussi abouti, ou le spectacle a été à la hauteur, avec des lights remarquables et un son d’une puissance et d’une clarté exemplaire. Deep Purple n’a plus rien à prouver, mais délivre toujours un set énergique, en continuant à offrir au public, l’occasion de partager un moment unique avec des hymnes faisant partie du patrimoine mondial du Hard Rock.

Un grand merci à Sabrina et Maxime pour les accréditations.

Reportage: Marie-France BOUCLY

Photos © 2017 Alain BOUCLY

Ce mois-ci retrouvez Steven Wilson en couverture du magazine Rock Hard, avec un large article pour tout savoir sur cet artiste que l’on cite déjà en référence !

 

Le nouveau chef d’œuvre de Steven Wilson « To The Bone » sortira le 18 août 2017 sur Caroline International France

Précommandes & écoute ICI

Découvrez une extrait de la chanson « The Same Asylum As Before »ICI

Version complète dispo ICI

Ecoutez « Pariah » en duo avec Ninet Tayeb ICI

En concert en France en 2018 ! Locations ICI

« Steven Wilson, guitariste hors pair, musicien malin, s’est créé au fil des années un style bien à lui, entre rock progressif et pop symphonique… » Benjamin Locoge / Paris Match

Après des mois passés à composer et enregistrer, Steven Wilson vient d’annoncer la sortie de « To The Bone »son 5ème album. Un disque ambitieux qu’il dit lui même être influencé par les œuvres pop/progressives qu’il adorait dans sa jeunesse. Des disques sublimes tels que « So »de Peter Gabriel, « Hounds of Love »de Kate Bush, « Colour of Spring »de Talk Talk ou encore « Seeds of Love »de Tears For Fears

Au niveau des textes, les 11 titres de ce nouvel album traitent du chaos paranoïaque environnant, dans lequel la vérité devient apparemment une notion de plus en plus floue… De l’observation de la vie quotidienne des réfugiés, des terroristes et fondamentalistes religieux… Ainsi que d’un retour, les yeux écarquillés et peut-être plus joyeux, sur l’évasion que Steven a réussi créer à travers sa carrière jusqu’à présent.

Disponible en format physique et digital, sous diférentes formes, « To The Bone »sera notamment réalisé dans une version Deluxe ultra limitée avec un livre de 120 pages et un CD bonus regorgeant de démos et de chansons inédites. Un 45 tours vinyle avec une version instrumentale devrait aussi retenir l’attention des collectionneurs.

Chanteur, guitariste, compositeur, producteur mais aussi leader du groupe de rock progressif Porcupine Tree, depuis plusieurs années maintenant, Steven Wilson se consacre à une multitude d’autres projets ainsi qu’à sa prolifique carrière solo dont « To The Bone »est le 5ème volet…

http://www.gdp.fr/fr/node/69920

stevenwilsonhq.com

A quelques jours de l’ouverture du Hellfest 2017, retour sur les impressions de Céline et Joannick, un sympathique couple de festivaliers rencontrés lors de la première journée de l’édition 2016.

– Dans quel état d’esprit êtes vous avant le début du festival ?

Joannick: Il y a beaucoup d’envies, avec un grand nombre de groupes à voir. Nous avons fait une sélection ou il y a Anthrax, Megadeth, Black Sabbath, Rammstein et plein d’autres. Twisted Sister fait également partie de la liste, car nous les avions vu en 2010 lors du bel hommage à Dio. On aimerait voir un hommage de Megadeth à Lemmy cette année. C’est aussi l’endroit idéal pour faire de nombreuses rencontres.

Céline: L’aspect musical est génial, tout comme le public qui ne se prend pas la tête.

J: Je confirme ! A peine arrivés, il y a des gens qui nous ont aidés pour transporter nos affaires, et aussi pour résoudre un problème de communication téléphonique avec mon frère que je n’arrivais pas à joindre !

– Que représente le Hellfest pour toi ?

C: Une liberté ! C’est remarquable de voir toutes ces personnes avec un esprit d’entre aide aussi développé et un comportement toujours positif !

J: Il y a énormément de gens d’horizons différents qui viennent de partout en Europe pour se rassembler autour de cette même musique et de cette passion commune pour le Metal. C’est appréciable de voir que même en ayant des univers différents, on se rejoint sur les gouts et envies identiques. Par exemple, je viens de parler d’Accept avec des espagnols, c’est génial !

C: C’est un monde complètement à part !

J: Il y a des gens qui vont à Lourdes tous les ans, et bien nous, on va au Hellfest !

– Combien comptes tu de participations au Hellfest ?

J: Nous venons depuis 2010, mis à part l’édition de 2015 ou nous n’avons pas pu être présents.

– Quels sont les groupes qui vous attirent cette année ?

Il y en a tellement, mais en priorité Megadeth, Black Sabbath, Slayer, Anthrax, Twisted Sister, Testament, et Rammstein aussi !

– Quels sont vos meilleurs souvenirs ici à Clisson ?

J: Ce sont surtout beaucoup de belles rencontres avec lesquelles nous sont d’ailleurs restés en contact.

C: Il y a tellement de personnes sympathiques, et de moments conviviaux autour d’un verre…

– Et le pire souvenir ?

J: C’est le retour à l’étrange réalité de la vie normale. Pour cette raison je prend quelques jours de congés après le festival, car c’est compliqué de reprendre les habitudes quotidiennes.

C: Le pire, c’est de repartir !

– Quel est pour toi le look du festivalier ou de la festivalière idéal ?

C: Il n’y a pas de look !

J: Justement, c’est ça qui est bien. Tout le monde s’habille comme il veut. C’est ça le Hellfest, la liberté !Bien sur il y a des classiques, comme les têtes de mort, les filles sexy, mais chacun fait selon ses envies.

C: Personne ne te regarde, et on ne te juges pas. Tu peux vraiment te lâcher…

J: Il y a les codes metal, mais tout est permis. Tu peux venir en robe de soirée, c’est le top et tout le monde s’en moque !

– Qu’est ce qui fait selon toi la particularité du Hellfest ?

J: C’est à la fois énorme et très bien organisé. C’est un des rares endroits qui permet de se rassembler autour des musiques extrêmes, et qui permet de vivre une sorte de pèlerinage. Cela permet de voir des groupes et des concerts auxquels il serait difficile d’assister à cause du prix, ou de l’endroit si c’est à Paris par exemple. Ici, tout est réuni en un même lieu et on peu camper !

C: Et franchement, comme on le disait tout à l’heure, tout le monde est très solidaire !

J: La particularité du Hellfest, c’est la musique extrême. Cela démontre qu’énormément de gens écoutent la même chose que nous.

– Si tu devais définir le Hellfest en 3 mots !

J: Accueil, musique et grosse fiesta

C: La fête, concerts et musical !

Merci à tous les 2 d’avoir pris le temps de partager ce moment sympathique en répondant aux questions de Ride The Sky

Propos recueillis par Alain Boucly

Photos: © 2016 Alain Boucly

Pierce The Veil

 

A voir en concert:

au Download Paris sur la BA 217 de Brétigny sur Orge (91)

Vendredi 9 juin à 15h40 – Mainstage 1

au Longlive Rockfest au Transbordeur à Lyon Lundi 12 juin

 

Nouvel album « Misadventures »

Regardez le clip de « Circles » ICI

Regardez le clip de « Floral & Fading » ICI

Le 13 mai dernier, Spinefarm Records, en collaboration avec le label Fearless Records, a sorti « Misadventures », le quatrième et nouvel album de Pierce The Veil, un quatuor post-hardcore formé en 2006 à San Diego.

Ce disque fait suite à «Collide with the Sky» (2012) qui était entré directement à 12ème place du Billboard Top 200 et n°1 des charts Rock, Hard Rock et Modern Rock/Alternative. Au final, il s’est écoulé à près de 350 000 exemplaires, le single «King for a Day» étant même certifié disque d’or !

Avec le 1er single, «Texas is Forever» extrait de «Misadventures»Pierce The Veil retrouve ses racines punk et signe même la chanson la plus rapide de sa carrière.

Une fois de plus le groupe a travaillé avec le producteur Dan Korneff au studio Sonic Debris de Long Island. L’idée de base était de sortir l’album plus tôt, mais les musiciens ont préféré travailler chaque titre en profondeur tant au niveau de la musique que des textes, afin de placer la barre encore plus haut.

Ecrites entre New York et San Diego, en passant par Los Angeles, les montages du sud de la Californie, Santa Barbara et Seattle, les 11 chansons de «Misadventures» abordent une large palette de sujets comme la confiance en soi, la capacité de chaque individu de briller, le rêve de tout laisser derrière soi pour courir loin avec celui ou celle qui vous aime vraiment, les défis semant la trahison, les relation pas vraiment claires, l’horreur des attaques de Paris…

Champions des réseaux sociaux, Pierce The Veil peut s’appuyer sur une solide base de fans passionnés et loyaux. Au total le groupe et ses membres cumulent 5,5 millions de likes sur Facebook, 4.5 millions de followers sur Twitter et 4.5 millions de plus sur Instagram. Leurs vidéos ont généré plus de 200 millions de vues sur YouTube (le clip de «King for a Day» comptabilisant bientôt 65 millions de vues à lui seul). L’album «Collide with the Sky» été écouté en stream plus 110 millions de fois sur Spotify, alors que «King for a Day» a dépassé le score de 27 millions d’écoutes.

Enfin, Pierce The Veils a reçu différents Awards de la part d’Alternative Press, Revolver, Kerrang! et Rock Sound.

A noter que leur concert du 29 octobre dernier à Paris, au Trabendo était archi complett !!

piercetheveil.net

Kadavar sera en concert à Paris « Le Trabendo » le mercredi 18 octobre 2017.
Billetterie ICI

Cette tournée européenne, donnera l’occasion  trio de visiter 4 autres villes de l’hexagone. En plus de la date parisienne les Berlinois joueront à Strasbourg  / « La Laiterie » le 17 octobre, à Rennes le 19, à Bordeaux le 20 et à Lyon le 24.

Depuis 2010, les allemands de Kadavar emmenés par Christoph « Lupus » Lindemann (guitare & chant) dont la voix rappelle celle d’Ozzy Osbourne nous plongent dans un trip sous acide influencé par les riffs vrombissants des précurseurs du genre que sont Black Sabbath, Pentagram ou encore Hawkwind.

C’est après un 1er opus éponyme sorti en 2012 que les 3 Berlinois signent l’année suivante avec le label de renommée mondiale Nuclear Blast, et réalisent « Abra Kadavar », véritable manifeste de hard rock rétro. Fort de ce succès, le trio tourne par la suite avec Wolfmother et participe Hellfest en 2014 et 2016.

Baptisé sobrement « Berlin », leur dernier album, d’un aplomb déroutant et produit à l’ancienne, est gorgé de brûlots entêtants, suintant la wah-wah groovy (« Pale Blue Eyes ») et le fuzz endiablé (« Last Living Dinosaur »). Leurs prestations électrisantes en octobre dernier à Paris aux côtés  de Blues Pills, et en mars 2017 à St Germain en Laye augurent un déluge sonique des plus dévastateurs.

Le clip « Last Living Dinosaur » ICI

L’interview ICI

Fantasy présente:
Tom Morello – guitare (Rage Against the Machine et Audioslave)
Tim Commerford – basse (Rage Against the Machine et Audioslave)
Brad Wilk – batterrie (ex-Rage Against the Machine et Audioslave)
DJ Lord – platines (Public Enemy)
Chuck D – chant (Public Enemy)B-Real – chant (Cypress Hill)

Les musiciens révolutionnaires viennent d’annoncer la sortie de leur nouvel album pour le 15 septembes 2017, en présentant un nouveau titre « Unfuck The world »

Regardez le clip réalisé par Michael Moore ICI

Pre-Order Prophets Of Rage:

A voir en concert en France:

Download Paris, BA 217 de Brétigny sur Orge (91)
Dimanche 11 juin à 19h40 – Mainstage 2
Hellfest Clisson (44) – Complet!
Dimanche 18 juin à 20h20 – Mainstage 1
(Photo credit: Travis Shinn)

Prophets Of Rage online:

Interview d’Atrystos réalisée à Clermont « Centre Socio Culturel » le 18 Mars 2017
Entretien avec le chanteur Falcon 050 effectué par Marie-France BOUCLY

Bonjour et merci d’accorder cet entretien pour Ride The Sky.

– Peux-tu présenter le groupe avec son historique et les membres qui le composent ?

Le groupe est composé de lieutenants, car nous sommes une légion, une armée, et aussi incroyable que cela puisse paraitre, nous venons du futur.

En 2 mots, dans notre groupe, il y a le lieutenant Thornathor à la guitare, le lieutenant OJ à la batterie, le capitaine Muskadeath qui est à la basse et le commandant Rafal 666 à la seconde guitare.Nous avons atterri à votre époque en 2015. Pour éviter de se faire trop remarquer, on a décidé de monter un groupe de métal, orienté vers le Death / Trash / Cosplay. Depuis cette date, nous essayons d’annoncer notre idéologie et vous avertir d’un futur pas très marrant par le biais de notre musique.

 

– D’où vient l’origine du nom Atrystos ?

Ah ah ah !!! Bonne question ! Atrystos ne veut rien dire du tout… J’étais avec ma copine et nous écoutions un CD, dont je ne me souviens plus, et elle me dit « c’est d’un tristos comme musique », en voulant dire que c’était tristounet. Je lui répond: « Quoi atristos, » elle me répète : « non, tristos ». Je me suis dit, « atristos, c’est marrant, ça fait un nom de groupe ». Ensuite, j’ai cherché si il y avait une signification particulière, ou si il était déjà utilisé. Du coup nous l’avons gardé, trouvant que c’était sympa !

– Si tu devais définir votre style, quel serait-il ?

Je dirais qu’il y a du Death, du Trash et aussi un mélange de Punk sous notre armure.

– Quelle est la signification de vos tenues sur scène ?

La plupart de mes lieutenants et moi même avons des masques du fait que nous sommes nés dans votre futur, l’air n’est donc pas très respirable. Depuis nous avons des problèmes de poumons ce qui nous oblige à porter des masques, même à la maison. C’est aussi un des messages que l’on passe dans nos morceaux, avec l’avertissement de ne pas foutre la planète en l’air ! Les masques aident à mieux respirer, sauf pour Thornathor, le plus robuste qui peut s’en passer. Il est costaud, mais il y a aussi le fait qu’il aime le houblon, considéré là bas comme un anti virus. Il est tombé dedans quand il était petit ce qui l’a immunisé.

 

– Un peu comme Obelix qui est tombé dans la marmite de potin magique ?

Voilà, en plus il ressemble un peu à Obelix, mais ne le répète pas ! (rires)

– Vous avez enregistré un EP 5 titres. Peux-tu nous en parler en détails ?

Comme tout groupe qui se respecte, il fallait que l’on sorte quelque chose qui doit s’appeler un CD, je crois. C’est rond, mais dans notre époque, cela a disparu. Nous l’avons enregistré par le biais d’un studio semi pro, qui s’appelle la « KaBane » à Amiens. Il a fallu un moins de 2 semaine pour finaliser les 5 titres, qui abordent principalement le thème de la guerre.

– Quelles sont les influences majeures d’Atrystos et celles de chacun d’entre vous ?

La guerre et le houblon ! J’ai vu que dans votre époque il y avant de bons groupes… Et mes lieutenants ont des goûts assez éclectiques. ça peut être du Black comme une bonne « danse des canards » aussi !

– Pour faire la fête ?

Pas seulement, pour faire l’amour aussi !

– Ah bon, la danse des canards pour faire l’amour ? ça n’est pas très sexy !

Chez nous ça l’est ! Cela m’avait étonné, la première fois qu’un de mes membres a fait l’amour avec une femelle… On dit femelle chez nous…

– C’est un peu macho !

Il ya malheureusement beaucoup de machos dans notre époque !

– Ils ne sont pas en voie de disparition chez vous !

Vous savez, la qualité de l’air n’arrange pas vraiment le cerveau… D’ailleurs on le voit dans votre télévision, ou il ressort davantage de méchanceté, d’égoïsme,

– ça ne donne pas envie d’être à votre époque…

C’est pour cela que nous venons vous avertir des dangers

– Avez vous des projets d’enregistrements et de concerts au cours des prochains mois ?

Certainement fin 2017, après avoir arrêté les concerts en septembre. Il y a plusieurs dates programmées, avec les Zicofolies, un concert en Belgique et un autre à Amiens à confirmer. Le tournage d’un clip est prévu en juillet / août, ce qui va demander du temps et de la disponibilité. L’enregistrement d’un nouveau CD est prévu en fin d’année, puis nous reprendrons notre chemin de bataille en 2018.

 

– Vous avez joué lors de la Convention Rock n’Metal de Fismes le 5 mars 2017. Quel est ton ressenti sur cette date, au niveau de la prestation et du public ?

Pour ma part, nous avons joué devant nos pairs, c’est à dire des anciens qui écoutent du metal depuis 30 ou 40 ans. Ils ne correspondent pas à notre premier public, sachant qu’il y avait des personnes de 7 à 77 ans. C’est très valorisant de se rendre compte à quel point les gens ont apprécié.

Ce qui m’a fait plaisir, c’est que malgré le fait d’avoir joué en premier, donc très tôt, ce qui est normal car nous venons seulement de 2015, on ne s’attendait pas à un public aussi nombreux en jouant un dimanche matin à 10h30 ! Cela fait même un petit choc au moment d’apparaitre scène. Cela n’est pas évident de réveiller le public, et même si seulement 4 titres ont pu être joués, c’était suffisant pour convaincre et avoir des échos positifs.

– Un dernier mot pour Underground Investigation ?

Santé ! Je te remercie beaucoup pour cette interview !

Je fais un petit coucou à Sylvain et son équipe, qui fait beaucoup pour la scène et se donne à fond. Heureusement qu’il y a des personnes comme lui qui font avancer les choses ! C’est incroyable et je lui tire mon chapeau, plutôt mon casque (rires). Bravo à lui, et nous ferons tout notre possible pour assister à ses concerts. Un coucou également à Gang et au public fidèle à Underground Investigation. J’invite tout le monde à participer à ces évènements qui se déroulent dans une ambiance conviviale. Cela vaut vraiment le coup ! Franchement il faut se bouger le cul, quitte à faire des kilomètres pour y aller !

– Merci beaucoup !

Mais de rien !Réalisation : Marie-France BOUCLY

Photos: ©2017 Alain BOUCLY