Tout juste un an après la sortie du premier EP « Let It Go », Bye Bye Bay revient avec un nouveau single intitulé It’s All About Love.
Cette balade pop reprend les éléments qui font l’essence même du groupe à savoir : une base de guitare acoustique, une rythmique enjouée et un refrain accrocheur. Quoi de mieux qu’une ôde à l’amour pour entamer l’automne et préparer l’arrivée de l’hiver, tout en douceur.
« It’s All About Love » sera disponible dès le 4 novembre 2018 sur plus de 250 plateformes digitales telles que Spotify, Deezer, Apple Music ou Amazon pour les plus connues. La sortie du single sera accompagnée par un clip vidéo tourné à Nancy sous la direction de Christophe Gavoille.
Après une année bien remplie où le groupe a totalisé pas moins d’une vingtaine de concerts au Luxembourg, en France, en Belgique et en Allemagne, ayant pu également effectuer des premières parties pour Nâaman ou Arcadian, Bye Bye Bay se projette désormais vers la suite. L’objectif étant de continuer à développer la notoriété du groupe au Luxembourg et dans les pays frontaliers afin d’imposer Bye Bye Bay comme valeur montante de la pop luxembourgeoise.
Le nouvel album de René Aubry « Petits sauts délicats avec grand écart » est disponible depuis le 25 mi 2019 via le label Hopi Mesa/Music Box Publishing / Wagram.
René Aubry compose. Il sait aussi faire surgir la splendeur des mots, comme avec le titre de son nouvel album, « Petits sauts délicats avec grand écart »
La musique de René Aubry est un voyage, une musique que l’on croit presque immobile mais qui emporte loin . Il suffit d’écouter la guitare, la mandoline… le souffle de l’accordéon et on navigue soudain d’un continent , à l’autre à travers vingt humeurs.
C’est toujours ce pays-là, ce pays d’Aubry nappé d’enfance et de sagesse, peuplé de gestes discrets et de folle liberté. Un territoire à la fois onirique et quotidien, mitoyen de cent univers troublants, tangent à mille choses qui nous bouleversent – la chanson de faubourg, l’hypnose à la Philip Glass, la ritournelle façon Brassens, le feeling aigu d’Erik Satie, le refrain de l’axe Beatles-Voulzy, le Nino Rota qu’on fredonne, le Georges Delerue des insomnies, la bande-son de Robert Doisneau, les couleurs de l’automne, le noir et blanc du printemps.
Découvrez la vidéo de « Guitare Bambou » :
Une bonne partie des thèmes de l’album proviennent d’un spectacle de Philippe Genty, « Paysages intérieurs », créé en janvier 2018. Mais attention , ce n’est pas une bande originale .
Avec « Petits sauts délicats avec grand écart », René Aubry ne cache pas le plaisir de revenir à une musique lumineuse et limpide, après les humeurs tendues de l’album « Chaos », paru en 2017. « Gamelunk » danse avec un grand sourire radieux, « Clear Water » plane au-dessus d’un lac immense et doux, « Piccola Pioggia arpente un village méditerranéen, « Petite fille » court un jardin fleuri… Ou rien de tout cela, après tout. « Ce qui est bien », c’est que tout le monde ne voit pas la même chose », sourit-il.
Car la musique d’Aubry est de celles qui ouvrent les portes. Quand, en 2004, Pina Bausch utilise sa musique pour son ballet « Ten Chi », elle pose des images de neige étrange sur son thème « Éléphant rose », composé « en pensant à San Antonio et Bérurier ».
Et les quatorze titres de « Petits sauts délicats avec grand écart » ont les mêmes dimensions infinies, étageant les doubles fonds émotionnels avec malice et tendresse. Qu’est-ce qu’« Altitude » ? Un rêve nocturne et solennel humanisé çà et là par la voix de Madeleine Røseth ou un récit de l’aube sur les cimes qu’éveille la comédienne et chanteuse norvégienne ? Que raconte « Guitare bambou » ? L’adieu à un Tropique déserté par l’amour ou l’impatient trajet vers les retrouvailles heureuses ? Où se situe « I Feel Good » ? Dans les coulisses d’une pièce de Pinter jouée, un soir de crime, quelque part en Europe du Nord ou un crépuscule d’été sur une terrasse vénitienne au temps d’Hemingway ?
On ne sait pas. Et c’est tant mieux. René Aubry ne ferme pas sa musique, sans doute parce qu’elle part toujours de plusieurs points et dans plusieurs directions à la fois. D’ailleurs, il parle volontiers d’une « écriture horizontale ».
Comme toujours, il enregistre chez lui guitares, mandoline, banjo, accordéon, violon, accordéon ou percussion, appelant Benoit Dunoyer de Segonzac pour quelques intervention à la contrebasse, Renaud Gabriel Pion pour une clarinette, quatre comédiens de « Paysages intérieurs » pour quelques voix enregistrées en apesanteur…
Compositeur pour les ballets de Carolyn Carlson ou les spectacles de Philippe Genty, régulièrement utilisé par la télévision pour des génériques, René Aubry est devenu familier aux oreilles de quiconque dans les années 90, avec ses mélodies, ses timbres et ses matières qui naviguent entre tradition, musique répétitive et univers de la chanson.
Une œuvre à la fois autarcique et généreuse, en son nom propre et au service d’autres créateur, une musique qu’il a aussi portée pendant quinze ans à la scène et qui va bientôt retrouver le grand écran, puisqu’il travaille à la bande originale de « La Fameuse Invasion de la Sicile par les ours », film d’animation d’après le roman de Dino Buzzati.
Bertrand Dicale
Poly-instrumentiste, compositeur pour la danse, le théâtre et le cinéma, René Aubry est un créateur d’univers sonores indéfinissables. Il est aussi l’un des musiciens français le plus écouté à l’étranger. RFI
Beth Hart continue de séduire la France ! Tournée quasi complète ! Concert filmé à au Royal Albert Hall dispo fin novembre !
Mascot Label Group / Provogue présentent: Beth Hart« Live at The Royal Albert Hall »
23 titres capté dans la plus prestigieuse des salles londonienne !
Sortie le 30 novembre 2019 en double CD, double vinyle, DVD, Blue-ray & digital
Après son triomphe au Palais des Congrès de Paris en mai dernier la chanteuse est de retour en France pour une tournée dont plusieurs dates sont sur le point d’être complètes.
11/11 – Strasbourg / Palais de la Musique et des Congrès
13/11 – Lille / Théâtre Sébastopol
15/11 – St Germain En Laye / Théâtre Alexandre Dumas – Complet
17/11 – Tours / Le Vinci
19/11 – Nantes / Cité des Congrès
21/11 – Bordeaux / Théâtre Fémina
23/11 – Lyon / Bourse du Travail
25/11 – Marseille / Espace Culturel du Silo
Après le succès de son spectacle Paris Seville à L’Européen, Raphaël Fays revient devant son public avec un nouvel album « Paris Seville – madera de guitarra ». Il est disponible depuis le 26 octobre 2018 via Fremeaux & associés.
Après 2 Européens complets, retrouvez le spectacle musical Paris Séville – Raphaël Faÿs à L’Alhambra Paris le 28 novembre 2018.
Un formidable hommage au Jazz manouche et au Flamenco avec un orchestre de 7 musiciens dans une version enrichie de nouveaux morceaux extraits du dernier album.
Aujourd’hui, jazz et flamenco sont intimement liés dans les créations de Raphaël. Ces deux musiques vivantes et en perpétuelle évolution, s’alimentent même l’une l’autre. « Le jazz a influencé le flamenco et l’a modernisé » avance l’artiste qui n’imagine pas abandonner un style pour l’autre. Il a créé son propre univers, sa propre identité musicale, son propre son. Le monde gitan et sauvage du jazz à la Django côtoie celui du flamenco andalou, fier et puissant, dans un spectacle complet (« Paris Séville »), entouré de quatre musiciens, d’un chanteur inspiré et d’une sublime danseuse madrilène.
Une liberté – encore et toujours- sur laquelle il est intraitable, même si les deux genres sont souvent cloisonnés. « Je suis guitariste tout court » martèle-t-il, s’affichant en marge des modes et des conventions, quitte à dérouter les puristes des deux milieux, mais à convaincre tous ceux qui ont la bonne idée de venir le découvrir.
Raphaël Faÿs : guitares
Laurent Zeller : violon
Julien Catiaux : guitare
José Paloma : percu
Diana Regano : danseuse
Claude Mouton : contre basse
Nino Rosette Garcia « el miura » : chanteur
Infos pratiques :
Théâtre l’Européen 5 rue biot 75017 Paris
Prix des places : 29€ tarif plein – 22 € tarif réduit .
3 ans après la déferlante « Propaganda », album du retour aux sources, No One Is Innocentpoursuit dans la même veine avec « Frankenstein », produit par Fred Duquesne (Mass Hysteria, Ultra Vomit) et masterisé par Ted Jensen (Alice In Chains, Pantera).
Toujours fidèle à son ADN, entre Black Sabbath, Rage Against The Machine ou les Stooges, No One Is Innocent sait surprendre avec une formule à l’épreuve du temps : riffs implacables, groove, hymnes incarnés. Une formule qui les impose encore et toujours dans le cercle restreint des chefs de clans du rock à grosses guitares !
No One Is Innocent sera en concert exceptionnel à Paris , à La Cigale le 21 Novembre 2018.
5 jours de musiques à Avignon du 16 novembre au 23 novembre 2018 pour la première édition d’Avignon Bridge Festival.
Le Sonograf’ et la Ville d’Avignon ont décidé de créer « L’Avignon Bridge Festival », un spectacle musical vivant consacré au Blues, au Jazz et au Rythmes des Musiques du monde.
Ce tout nouveau festival s’inscrit dans la continuité des valeurs que le Sonograf’ véhicule depuis plus de 13 ans. Provocateur d’émotions, ce festival nous livrera les secrets du partage des gammes de nos sentiments ! Tout comme le Sonograf’, il se veut une rencontre entre les sonorités de blues, de Jazz et des rythmes des musiques du monde.
Passerelle entre les cultures
Ce festival pourrait être une main tendue à celles et ceux dont l’espoir flanche, une passerelle entre les talents de tous les horizons musicaux et géographiques, un pont plongeant vers l’autre rive.
Pour sa toute première programmation, l’Avignon Bridge Festival a souhaité s’appuyer sur des lieux bien connus des acteurs de la vie culturelle avignonnaise à l’image : « du théâtre du Chêne noir, du théâtre de l’Oule, du théâtre Benoit XII et de l’Ajmi ».
Des artistes de tous horizons
Ce festival met en scène concerts et conférences et ouvre ces lieux à tous avec une programmation artistique originale et éclectique. Il accueille des artistes d’horizons très divers, depuis le groupe de Blues/Rock, King King en passant par le Jazzman/Salmeur, David Murray accompagné de Saul Williams, jusqu’à la musique africaine oh combien poétique en compagnie de Awa Ly, suivi par les jeunes talents locaux, inventifs et passionnés.
Alors, laissez-vous vivre cette aventure musicale, et passer le pont des cultures d’Avignon Bridge Festival.
Glenn Hughes performs classic Deep Purple Live sera en concert mardi 6 novembre, à Paris / Elysée Montmartre. La première partie sera assurée par Lex Koritni. Le chanteur de Koritni proposera un set en version acoustique.
Avec son style unique et cette voix toujours exceptionnelle, le célèbre bassiste/chanteur de Deep Puple – sur la période Mark III & IV (1973~1976) – reprend sur scène des titres des albums « Burn », « Stormbringer » et « Come Taste The Band », mais aussi d’autres classics de LA légende du hard rock britannique.
Pas le genre de concert et de chansons que l’on voit et entend tous les jours.
Provogue présente le festival Rockin’ The Blues’19 à Paris / La Cigale, le 26 mai 2019 avec Jonny Lang, Walter Trout et Kris Barras !
Le label Provogue vient vous rendre visite pour une soirée inoubliable, pleine de blues rock et de guitare !
Découvrez la bande annonce :
Message de Walter Trout :
Locations ICI
Préventes les 30 et 31 octobre
Mise en vente générale le 2 novembre
A travers son label Provogue, The Mascot Label Group abrite quelques-uns des plus fameux noms du blues moderne : Joe Bonamassa, Beth Hart, Kenny Wayne Shepherd, Eric Gales, Walter Trout, Gary Hoey, Quinn Sullivan, Eric Johnson, Jonny Lang, Bernie Marsden, The Rides, Leslie West, Sonny Landreth, SIMO, Ronnie Baker Brooks, Supersonic Blues Machine et beaucoup d’autres.
Aujourd’hui, Provogue est donc particulièrement heureux d’annoncer que la seconde tournée de son festival itinérant Rockin’ The Blues passera par Paris le 26 mai 2019, où trois guitaristes de renom se produiront sur les planches de la Cigale : Jonny Lang, Walter Trout et Kris Barras. Trois noms de la scène blues rock internationale qui représentent trois générations de musiciens et qui confirment la richesse de ce style musical. Chacun d’entre eux jouera son propre set avant que ce trio infernal se retrouve sur scène pour un final qui s’annonce déjà explosif.
A noter que, l’an passé, cette tournée avait déjà présenté – en Allemagne, au Pays Bas et en Grande Bretagne – trois talents exceptionnels : Eric Gales, Quinn Sullivan et Gary Hoey.
A ce propos, Ed van Zij, le PDG du Mascot Label Group tient à souligner que :« La 1ère édition du Festival Rockin’ The Blues a été un véritable succès pour Provoque et Mascot. Car au-delà des performances de chaque artiste sur scène, nous avons pu constater un réel engouement pour le blues rock. La réponse et le soutien des médias comme du public a été fantastique. C’est pourquoi nous avons décidé de lancer une seconde édition du RTB Tour avec Jonny Lang, Walter Trout et un nouveau venu Kris Barras. Cette tournée présentera plus de shows qu’en 2018 et traversera plus de pays dont la France. Vu nos récentes signatures, il semble que nous sommes sur la bonne voie pour pouvoir offrir aux fans de Blues Rock ce festival itinérant chaque année. »
En 1995, Jonny Lang n’a que 15 ans lorsqu’il signe son premier contrat avec une major qui se traduit par un premier album qui dépassera le million d’exemplaires vendus! Fait assez rare pour un disque de blues rock ! Les talents du « gamin », tant au chant qu’à la guitare, et ses prestations scéniques de haute volée rencontrent rapidement l’adhésion du public mais aussi de ses pairs. Ainsi Jonny peut se targuer d’avoir joué avec de nombreuses pointures : Eric Clapton, les Rolling Stones, Aerosmith, BB King, Buddy Guy, Jeff Beck, Sting, Herbie Hancock, les Jonas Brothers, Syl Johnson, Willie Nelson, Cyndi Lauper ou encore Santana.
En 2013, Jonny Lang a effectué un retour remarqué en signant sur Provogue pour la sortie de l’album « Fight for my soul ». Depuis il a beaucoup tourné et a sorti, l’an passé, un nouvel album intitulé « Signs ».
Ecoutez « Make It Move « :
Attention légende ! Vétéran de la scène blues rock, Walter Trout n’a sans doute jamais été reconnu à sa juste valeur en France. Pourtant le bonhomme possède un CV à faire pâlir bon nombre de musiciens. Il a, entre autre, passé cinq ans au sein des Bluesbreakers de John Mayall, a été membre de Canned Heat, a accompagné John Lee Hooker et Joe Tex.
Doté d’une impressionnante discographie, dont une grande partie réalisé sur Provogue, Walter tourne et enregistre sous son propre nom depuis la fin des 80’s. A travers plus d’une vingtaine de disques il réussie régulièrement le pari de nous offrir des titres forts et contemporains tout en restant fortement ancré dans la plus pure tradition du blues rock et du boogie.
La vie de Walter Trout est un véritable manuel d’histoire du blues, cinq décennies plus tard, son étoile continue de briller en solo. Son dernier album en date, « We’re All In This Together » affiche une impressionnante liste d’invités : Kenny Wayne Shepherd, Sonny Landreth, Robben Ford, Warren Haynes, Eric Gales, Joe Louis Walker, John Mayall, Joe Bonamassa, Charlie Musselwhite, Mike Zito, Edgar Winter, Joe Louis Walker, John Nemeth, Jon Trout et Randy Bachman…
Ecoutez « We’re All In This Together » (feat. Joe Bonamassa) :
Si vous êtes un amateur de « Mixed Martial Arts » (MMA), ce sport, autrefois appelé « free-fight », qui mélange boxe, kickboxing, karaté, muay-Thaï, sambo, judo et jiu-jitsu, vous avez peut-être déjà entendu parler de Kris Barras. En effet, pendant près de 10 ans, entre Las Vegas et la Thailande, il a combattu en « catégorie pro » de cette discipline. Désormais « à la retraite », il continue tout de même entraîner des combattants dans son gymnase du Devon, d’enseigner la guitare et, surtout, de jouer avec son groupe : The Kris Barras Band.
Outre Kris au chant et à la guitare, cette formation de blues rock se compose de Josiah J Manning (claviers), Elliott Blackler (basse) et Will Beavis (batterie). Ensemble, depuis quelques années ils écument les scènes européennes et ont sorti un premier album « Lucky 13 » en 2016. Depuis Kris Barras a tout de même été élu 13ème des 17 « meilleurs » guitaristes de blues de l’année 2017, élus par les lecteurs du site Music Radar et du magazine Total Guitar, deux références incontournables en matière de six cordes.
Récemment signé sur Provogue , le Kris Barras Band a sorti « The Divine And Dirty », son nouvel album, le 23 mars dernier. A noter qu’au mois de novembre, Kris jouera en 1ère partie de la tournée française de Beth Hart, une bonne occasion de le découvrir avant son passage dans la capitale en mai 2019 pour le festival Rockin’ The Blues.
Un jazz « hybride » qui ne se rattache pas aux seules branches du jazz, les morceaux prennent racines dans la fusion, le rock ou encore la musique progressive
Le 1er album de Six-Ring Circus est disponible depuis le 28 Septembre 2018 via Inoui distribution
En concert:
Les disquaires / Paris le 13 Novembre 2018
Hot Club/ Lyon le 15 Novembre 2018
U.Percut / Marseille le 16 Novembre 2018
Lauréat Jeunes talents St Germain des Près
Lauréat Jazz en ville 2017
Sélection Rézzo Focal Jazz à Vienne 2017
Lauréat Emergence Jazz(s)Ra 2016-17
Après 3 ans de collaboration et de nombreux concerts, le groupe Six-Ring Circus sort son 1er album : Guidé par l’ambition de proposer une musique personnelle et libre de toute figures imposées, le quintet nous emmène à la découverte de son « Cirque à Six Pistes »
Un jazz « hybride » qui ne se rattache pas aux seules branches du jazz, les morceaux prennent racines dans la fusion, le rock ou encore la musique progressive.
Ainsi s’entremêlent au gré des écoutes, improvisations, mélodies acrobatiques, riffs rock et plages atmosphériques .
« Arrivés sur la scène de Romans bardés des lauriers de lauréats, Emergence Jazz(s)Ra et Un Doua de Jazz, les cinq « Maîtres ès-Jazz » du Six-Ring Circus nous embarquent dans un voyage musical hybride et mutant.
Quittant allègrement la culture jazz pour des contrées rock très progressives ouvertes aux influences variées, ce groupe est musicalement renversant. La cohésion du groupe est remarquable, les parties vocales (solistes ou rythmiques) bouleversent et le public voyage au gré des belles compositions. Ce projet musical est courageux et emballe littéralement le public conquis dès l’intro en lui réservant un accueil très chaleureux. Ce qui plaît surtout dans cette formation, outre les virtuosités en présence et la rythmique d’enfer, c’est la créativité et le « saute frontières musicales » et l’énergie qui s’en dégage. Réjouissant ! » Jazz Rhône-Alpes
Célia Forestier: Vocal
BaptisteFerrandi: Guitars
Elie Dufour: Keys
Alexandre Phalippon: Bass
Elvire Jouve: Drums
Thierry Beaucoup: Saxophone (Track7)
Baiju Bhatt: Violins (Track5)
BaptisteFerrandi
Baptiste Ferrandis commence son développement musical par la musique extrême et écume les salles et festivals de la région lyonnaise depuis l’âge de 16 ans. à 18 ans il intègre la MAI (Music Academy International) et affine ses goûts pour développer son sens de l’improvisation et du jeu collectif. Il rentre ensuite au conservatoire de Lyon dans la section Jazz et s’essaye à de nombreux styles dans différentes formations de la scène lyonnaise.
Baptiste cultive un jeu sensible et virtuose, empreint de toutes les influences qui l’ont fait grandir. Mené par sa soif de voyages et de savoir Il passe du jazz moderne au hip-hop, du métal aux musiques orientales et balkaniques, du swing manouche au rock. Diplômé du conservatoire, il compose pour de nombreux projets jazz : Sarab, Mental Climbers, Spongefingers Band, Stamp, Six-Ring Circus, Gypsy Galaxy…
Elie Dufour
Elie Dufour se passionne, au fil de ses voyages, pour les musiques du monde. Il tombe amoureux des rythmes afro-cubains lors d’une tournée en Amérique latine ainsi que des claves flamencas et gnawa lors d’une tournée en Andalousie. Il se lance ensuite dans un apprentissage poussé des musiques d’Europe orientale dont il intègre les claves asymétriques, les fondements et les subtilités.
Très actif sur les scènes françaises et européennes depuis 2011, on a pu régulièrement le voir avec EYM Trio, Old Fox, Captain Stombolov, Six-Ring Circus, Voodoo Kasstou, le Grabben Orchestra ainsi qu’en collaboration avec des musiciens tels que Mohamed Abozekry, Mario Stantchev. Il s’est produit, entre autre, sur les scènes de Jazz à Vienne, La défense jazz festival, Jazzahead, Getxo Jazz festival …etc, sans oublier des tournées en Inde, Japon, Equateur/Colombie, et Europe.
Célia Forestier
Célia Forestier a grandi en musique grâce à un entourage de musiciens, notamment son père, François Forestier, guitariste de jazz. C’est à ses côtés qu’elle commence à se produire sur scène dès l’âge de 14 ans.
En 2014 elle intègre l’ENM de Villeurbanne, dont elle sort diplômée en 2017 (DEM jazz).
Aujourd’hui, elle s’adonne à la composition et à l’arrangement pour ses différents projets, gravitant autour du jazz et des musiques actuelles, tout en poursuivant des études au Centre des Musiques Didier Lockwood – CMDL.
Elle participe à différents projets en studio ou sur scène avec notamment Six-Ring Circus, Kaïros, Letter to Evans, CF3, Trinkle Jazz Ensemble, Franck Comtet, J. Andreo & les Flextribu, Totems Project …
Elvire jouve
A 28 ans, Elvire jouve et a joué avec de nombreuses formations rock, jazz, chanson, a participé à des spectacles de théâtre et musique avec plusieurs compagnies, a fait de nombreux concerts sur les scènes françaises et européennes, participé à plusieurs enregistrements en studio. Plusieurs personnes encore marquent son apprentissage musical : Richard Hery, Michel Chionchini, Hocine Meniri, Franck Agulchon.
Elvire vient d’obtenir son Prix à l’école Dante Agostini de Lyon, et poursuit actuellement ses études musicales de jazz à l’ENM de Villeurbanne.
Quelques références : La Milca (rock français), Kaïfa (chanson rock), Ogino (math-rock), Iray (trio jazz), Six-Ring Circus (jazz hybride), Le K.O d’Ali (spectacle de théâtre/Compagnie le Béotien)
Alexandre Phalippon
C’est à ses 13 ans qu’Alex se met profondément à la musique des graves sonorités! Il travaille avec son premier professeur sur Clermont-Ferrand qui l’initie aux grands maitres (tels que Marcus Miller, Jaco Pastorius, Richard Bona).Sous les conseils de sa famille il s’installe sur Lyon où il intègre l’Ecole Nationale de Musique de Villeurbanne en département Jazz dont il obtient son DEM.
Notre bassiste à plusieurs cordes à son arc puisque ses influences sont extrêmement diverses et variées, tels que le jazz, la funk, le hiphop, ou encore le métal.
Aujourd’hui il joue au sein de differents projets artistiques, Six-ring Circus (moderne jazz), Blade (hiphop instrumental), The Fat Bastard (festif balkan groove), DRH (jazz’n roll), Woco (tribute Stevie Wonder).