Le Download Festival France peut maintenant se considérer comme un grand festival français ! Certes il reste loin du Hellfest Open Air festival en terme d’entrées mais les têtes d’affiches qu’il est capable de ramener rivalise avec ce dernier et sont même parfois similaires. Et un festival de cette envergure en région parisienne n’est pas pour me déplaire.

C’est donc la troisième édition qui s’est tenue du 15 au 18 juin 2018, 4 jours de musique non-stop ; prise de risque encourue aussi par le Graspop Metal Meeting en Belgique pour pouvoir faire jouer les Gun’s And Roses.

Bref, commençons par le premier jour des hostilités qui devait se conclure par le très attendu prince des ténèbres. C’est donc tranquillement que le festival put commencer par les premiers concerts donnés pour les campeurs. Ce fut donc un réveil en douceur effectué tout d’abord par Merge devant des festivaliers un peu fatigué de la veille. Le quatuor français de Rock Alternatif ayant certainement bouffé du metalcore au petit dej’ pu nous régaler d’un Linkin Park actuel plus énergique et de quelques ballades sympas. D’ailleurs le groupe en a profité pour nous jouer quelques morceaux de leur nouvel EP sorti un mois plus tôt. Bien sûr si ce combo vous intrigue vous pourrez les « retrouver sur Facebook, Instagram, Brazzers » ! Comme quoi ils ont quand même de l’humour.

Le groupe suivant, Laura Cox Band, est comme vous l’avez compris un projet s’articulant autour de Laura Cox, la guitariste. Et pour le coup, une tout autre ambiance s’était installée… On sentait que des fans avaient le déplacement (ou s’était réveillés) pour elle. Le quatuor français a su mettre une belle énergie avec un show très Rock ‘N’Roll pour défendre leur futur album. Une chose remarquable fut un des soli de Laura sur les épaules d’un de ses roadies en plein milieu de la fosse. Un moment amusant pour elle, au vu de son sourire, et un moment passionné pour les fans. Malheureusement pour eux, le concert se finit peu de temps après, mais la guitariste ne manqua pas de nous souhaiter son retour ici sur une autre scène au sein du festival. Affaire à suivre !

Après une longue péripétie pour récupérer mon pass 4 jours ; j’ai enfin pu rentrer dans l’enceinte du festival. Le lieu avait considérablement changé et avait grandi. On peut noter l’ajout de plusieurs bars, points d’eau, toilettes et points de restauration, l’apparition de multiples coins d’ombre et d’endroits où s’assoir et l’agrandissement de la Mainstage 1. Comme quoi malgré les critiques, le Download sait les entendre et s’améliorer !

Après ma surprise passée il était temps pour moi de foncer vers la Spitfire car mon running order était assez chargé ! C’est donc là-bas que j’ai pu écouter, dans les premiers rangs, Cellar Darling, le nouveau projet de l’ancienne vieliste et chanteuse d’Eluveitie. Le groupe suisse de Folk nous joua donc un Metal envoutant au refrain lumineux. Malgré sa nationalité Ana Murphy tint ces premiers mots en français : « Mon français est mauvais car je n’ai pas écouté à l’école. Mais cela importe peu car je suis là pour vous raconter des histoires ! ». Ce n’est que plus tard que nous apprenions qu’elle travaillait déjà sur un nouvel album et que c’est pour cela qu’elle était un peu triste car elle était quelque peu dépaysée, et oui revenir à la ville n’est jamais facile. Mais la venue des fans a su la réconforter !

Bon en me dirigeant vers la Warbird je savais que l’ambiance allait subir quelques changements. Car Bury Tomorrow, groupe de Metalcore/Deathcore du Royaume-Uni n’est pas connu pour faire dans la dentelle. Ils eurent d’ailleurs un petite pensée pour Billy Talent qui passait en même temps : « Si vous n’êtes pas là-bas c’est que vous aimez les choses les plus lourdes dans la vie » avant d’enchaîner sur un petit circle pit. D’ailleurs malgré les indications du chanteur, le public avait l’air de n’en faire qu’à sa tête. Après un concert très énergique, où le groupe pu jouer plusieurs nouveaux morceaux de leur futur album Black Flame,  le chanteur ne put s’empêcher de ne pas comprendre pourquoi ils n’étaient pas venus plus tôt jouer ici…

Après avoir profité des petites scènes il était temps pour moi d’assister à la messe d’Heavy Metal tenue par les loups allemands de Powerwolf ! Un concert que j’attendais tout particulièrement car j’avais hâte d’entendre quelques exclusivités autre que leur premier single Demons Are A Girl’s Best Friend, désir malheureusement non comblé. Ainsi le concert commença dans le vif du sujet avec Blessed And Possessed, les pogos et autres joyeusetés ne tardèrent donc pas ! Après plusieurs classiques le groupe nous joua en première mondiale le premier single de leur nouvel album et le public ne put se retenir de chanter avec Attila Dorn. Ce dernier ne put s’empêcher, comme à son accoutumé, de vanter les français : « [ils sont] des chanteurs fous et parfaits ». C’est d’ailleurs lors de la conclusion du set que le groupe nous dévoila en totale exclusivité et en toute tranquillité que leur tournée débutera par Paris au Bataclan (j’admets quand même quelques doutes sur la capacité de la salle ; mais ce sera toujours mieux qu’au Trabendo en 2015).

Une fois le concert fini, j’ai décidé de camper devant la Mainstage principale (M1) pour pouvoir admirer Opeth que j’avais raté lors de leur tournée de Sorceress. Je fus d’ailleurs loin d’être le seul à avoir eu cette idée loin d’être saugrenue. Malgré le désintérêt du chanteur Mickael Åkerfeldt pour le guttural, il ne put s’empêcher de jouer 80% du set avec leur répertoire Death, qui n’empêchèrent pas à quelques personnes de slammer. Mais bon comme il le dit si bien « On vous apporte les ténèbres en cette si belle journée, on est vraiment des trous du cul ». Après, conscient d’être devant pas mal de curieux, Mickael présenta son groupe : « On est un groupe de Metal la plupart du temps, enfin quelques fois ; mais on fait aussi quelques ballades ». Quelle meilleure façon d’introduire l’unique pause du set : In My Time of Need de l’album délicieux Damnation. Malgré un show très sobre avec peu de mouvement sur scène (mais bon on est habitué), les nouveaux et les curieux avaient l’air satisfaits.

Après un repérage des lieux où je pus entendre Ghost sur la Mainstage 2 (M2) et Vandenberg’s Moonkings, projet du guitariste de Whitesnake, sur la Spitfire ; je me suis dit que j’allais encore camper devant pour pouvoir admirer Ozzy Osbourne !

Après quelques dizaines de minutes, les écrans sur scène s’allumèrent pour nous dévoiler en photos la vie du frontman. Mais c’est un Ozzy fatigué, 69 ans le bougre, mais en pleine forme vocale et tout sourire qui monta sur scène ! Quant à Zakk Wilde, le guitariste avec ses soli interminables, dont un qui frôla sans doute les 20 minutes (où le chanteur put se reposer en backstage), était complétement ailleurs, dans une autre galaxie. Après plusieurs chansons, le prince des ténèbres rassura ses fans sur son avenir : « Ce n’est pas ma tournée d’adieu, ça c’était avec Black Sabbath. Moi je m’arrêterai quand je crèverai ! ». Après plus d’une heure de show, il décida de se rafraîchir le visage et eut la drôle d’idée de jeter le reste du seau sur le publique. Mais il n’en eut pas que pour Ozzy ou Zakk, le batteur Tommy Clufetos nous joua un excellent solo d’au moins 5 minutes. Et pour cela chapeau ! C’est donc les étoiles plein les yeux que le festival se finit et avec moi un médiator dans la poche.

Liens vers l’intégralité de la galerie photos: https://goo.gl/dzxBhg

 

Réalisation Report & Photos: © 2018 Gauvain GAGGINI

Suite à la sortie de son dernier album studio “Paranormal” en 2017, sa plus grande réussite en termes de ventes et d’entrées charts depuis des décennies, la légende du rock américain a tourné à travers le monde, accompagné « du meilleur groupe qu’il ait jamais eu ».

Après une année entière sur la route, le “Paranormal tour” prit fin à Paris le 7 décembre 2017, dans la salle emblématique de l’Olympia, mondialement reconnu comme une salle iconique au sens propre du terme.
Cet album capture un show rock and roll à son apogée, et se révèle être l’un des meilleurs live d’Alice Cooper, avec à ses côtés ses fidèles guitaristes Nita Strauss, Tommy Henriksen et Ryan Roxie, ainsi que le bassiste Chuck Garric et le batteur Glen Sobel, jouant devant un public conquis!
Découvrez sans plus attendre le premier extrait, et non des moindres, le tube d’Alice Cooper, « Poison » !

“A Paranormal Evening At The Olympia Paris” sortira le 31 août 2018 en versions 2CD digipak, 2LP Gatefold (vinyles blanc et rouge) et en Digital.

Bijou Dauga annonce la sortie de l’album « En Public Sans Pitié » le 31 août 2018 via Aztec Music / PIAS.

Bijou, trio rock assimilé au mouvement « MOD » (The Who, The Jam)fait partie au même titre que Little Bob Story et les Dogs du patrimoine du rock français.
Après le départ de Vincent Palmer et plusieurs reformations, Philippe Dauga persiste et remonte Bijou en 2000 avec le batteur emblématique Dynamite Yann.
Après l’épisode Bijou SVP « Sans Vincent Palmer », Dynamite Yann quitte définitivement le navire.
Exit Bijou SVP, place à Bijou Dauga…!!!
Malgré les changements, Dauga continue d’entretenir la flamme contre vents et marées. Le titre est un emprunt à un morceau qui figurait sur son album solo « Pile Ou Face ».
La qualité de ce live prouve que Bijou brûle encore les planches.
Accompagné de Frantz Grimm (guitare), Fred Maizier (batterie), le « Godfather of Rock & Roll » clame haut et fort que Bijou aujourd’hui s’inscrit dans la lignée des légendaires Dr Feelgood et Pretty Things.

Voici le tout nouveau clip de Disconnected « White Colossus » avec des images tirées de leur dernier concert à la Boule Noire au mois de Mai et réalisé par Duke Tv.
Leur album du même nom a fait sensation lors de sa sortie en mars dernier!!!

L’album « White Colossus » est disponible ICI 
Bandcamp ICI

Le groupe de Metal Disconnected est le nouveau projet imaginé par Adrian Martinot, connu pour son travail avec Melted Space.

Les principales influences du groupe se situent quelque part entre Alter Bridge, Gojira, ou encore Deftones. Les ambiances se mélangent à la lourdeur des riffs, surplombées par un chant  partagé entre les lignes de voix claires et saturées.

En concert:

05 octobre Montpellier – Secret Place
06 octobre Marseille – Le poste à Galène

Pat McManus sera en concert dimanche 07 octobre 2018 au Pacific Rock dans le cadre de la saison hors les murs de l’Observatoire.

Le Pacific Rock fête ses 10 ans ! Et pour marquer cet anniversaire, une carte blanche est offerte à un guitariste habitué du lieu, Pat McManus, qui a concocté pour l’occasion une soirée pleine d’invités surprises.

Surnommé « The Professor », ce virtuose de la guitare s’est fait connaître au début des années 80 avec Mama’s Boys, composé de Pat et ses 2 frères, John à la basse et Tommy à la batterie. Ils partagent alors les scènes des plus grands festivals aux côtés d’Iron Maiden, Deep Purple ou Bon Jovi.

Une belle aventure qui s’achève suite au décès de Tommy en 1994. Pat évolue alors au sein de différentes formations et monte en 2007 un trio, The Pat McManus Band avec lequel il sort régulièrement des albums suivis de tournées dans toute l’Europe.

Réputé pour être une « bête de scène », Pat McManus laisse sans voix lorsqu’il s’exécute à la guitare, ou encore au violon.

12€ (tarif unique prévente) / 15€ (tarif unique sur place)
Billetterie ICI

Retrouvez les dates de la tournée d’été de Aziz Sahmaoui en attendant le nouvel album.

En attendant la sortie du nouvel album, Aziz Sahmaoui continue son chemin avec son groupe University Of Gnawa, un nom évocateur de rêves sonores  et de transes ensorcelantes. Celui qui fût la voix brûlante de l’Orchestre National de Barbès et ancien compagnon de Joe Zawinul a toujours eu le groove généreux.

Entre profane et sacré, acoustique et électrique, le chanteur poète marocain au n’goni hendrixien atteint un superbe équilibre entre chaâbi, rock, jazz et « palmas » vocales de l’Atlas. Il s’affirme comme un auteur- compositeur-interprète les plus en vue des fusions d’aujourd’hui. La transe est partout, puissante, incroyablement festive et intensément communicative.

En attendant ce nouvel opus , nous vous proposons de retrouver Aziz Sahmaoui sur de belles scènes et de partager avec lui le bonheur de retrouver son public

19 juillet – Malta Jazz festival
20 et 21 juillet – la Gare / Paris
7 aout  – Jazz à Marciac avec The Syndicate « File Under Zawinul »
17 aout  – Festival de Ramatuelle avec The Syndicate « File Under Zawinul »
D’autres très belles dates seront annoncées dès le mois d’octobre avec un 1er extrait de son album.

Shaârghot sera en ouverture de Ministry vendredi 13 juillet 2018 à Paris / Elysée Montmartre

Débarqué tout droit de son monde Cyber – punk, le monstre Shaârghot est apparu dans le paysage musical français avec la subtilité d’un rouleau compresseur! Aidé de ses “Shadows”, le Shaârghot cherche à organiser une immense fête et à dynamiter tout ce qui existe sur cette planète !

Le groupe d’Electro Metal Indus dévaste tout sur son passage, laissant derrière lui autant de traces de peinture noire que d’hématomes.

Ayant assuré ses premières scènes auprès de nombreuses têtes d’affiche, comme les déjantés Little Big, les incontournables Punish Yourself et les rois de la dark electro Hocico, Shaârghot continu de faire parler de lui avec ses shows extrêmement énergiques, ses performances incluant costumes post-apocalyptique et son métal martial aussi dansant que percutant.
Retrouvez Shaârghot en concert vendredi 13 juillet 2018 à Paris / Elysée Montmartre

Judas Priest sera à Paris le 27 janvier 2019 pour une date unique au Zénith !

Après avoir enflammé le Hellfest cette année, les légendes du heavy metal Judas Priest se préparent à faire leur retour à Paris, après plus de trois ans d’absence dans la capitale, au Zénith, le 27 janvier 2019 ! Il s’agira de la seule date française.

Rob Halford fera exploser le cristal tout en vous présentant le dernier album en date du groupe, « Firepower », qui montre que les Anglais n’ont rien perdu de leur superbe, avec des morceaux rentre-dedans comme « Lightning Strike » ou des perles épiques comme « Rising from Ruins ».

Les classiques intemporels comme « Breaking the Law » ou « Painkiller » seront évidemment de la partie, sans oublier quelques raretés de derrière les fagots que le groupe ne manquera pas de sortir.

Le nouvel album live d’Alice Cooper sortira le 31 août 2018

Suite à la sortie de son dernier album studio « Paranormal » en 2017, sa plus grande réussite en termes de ventes et d’entrées charts depuis des décennies, la légende du rock américain Alice Cooper a tourné à travers le monde, accompagné « du meilleur groupe qu’il ait jamais eu ».

Après une année entière sur la route, le « Paranormal tour » prit fin à Paris le 7 décembre 2017, dans la salle emblématique de l’Olympia, mondialement reconnu comme une salle iconique au sens propre du terme. Depuis son ouverture en 1893, l’Olympia a vu de nombreux changements dans la pop culture et l’entertainment, et a accueuilli en 130 ans des artistes allant d’Edith Piaf, Johnny Hallyday, les Beatles et désormais Alice Cooper (qui y a joué pour la première fois en 1972) !

Alice Cooper – Paris / Olympia 07 décembre 2017

Ce concert de 90 minutes est un voyage à travers les chefs d’oeuvre intemporels d’Alice Cooper, tels que « Poison », « School’s Out » et « No More Mr. Nice Guy », qui alternent avec des bijoux triés sur le volet que les connaisseurs du Coop connaissent bien comme « Pain », « Woman of Mass Destruction » et « Paranoiac Personality », premier extrait de l’album « Paranormal ».

Alice Cooper – Paris / Olympia 07 décembre 2017

Cet album capture un show rock and roll à son apogée, et se révèle être l’un des meilleurs live d’Alice Cooper, avec à ses côtés ses fidèles guitaristes Nita Strauss, Tommy Henriksen et Ryan Roxie, ainsi que le bassiste Chuck Garric et le batteur Glen Sobel, jouant devant un public conquis!

« A Paranormal Evening At The Olympia Paris » sortira le 31 août 2018 en versions 2CD digipak, 2LP Gatefold (vinyles blanc et rouge) et en Digital.

Le combo mixte Américain Nashville Pussy sortira son nouvel album studio le 07 septembre 2018.

Intitulé « Pleased To Eat You » il est produit par Daniel Rey (Ramones, The Misfits), et sera disponible via Verycords, label avec lequel le groupe vient de signer.

« Pleased To Eat You » Trasklisting:

1 – She Keeps Me Coming And I Keep Going Back
2 –  We Want A War
3 – Just Another White Boy
4 – Go Home And Die
5 – Low Down Dirty Pig
6 – Testify
7 – One Bad Mother
8 – Woke Up This Morning
9 – Drinking My Life Away
10 – Endless Ride
11 – Hang Tight
12 – CCKMP
13 – Trying To Pretend That I Give A Shit

Rappelons que Nashville Pussy sera en concert le 11 août 2018 à Charmes / Rock’n’roll Shop. Ce sera l’occasion de découvrir ces nouveaux morceaux en avant première ! L’affiche est complétée par la révélation Hard Rock de l’année Dirty Dogz et des nordistes de  Overdrivers.

Places en vente au Shop ( billeterie exclu pré vente 22,50 € .)
Préventes sur sites habituels 24 €

Samedi 11 août 2018 – Ouverture des portes 19 h – début à 20 h 30