Boney Fields passera par  Cléon (76) « La Traverse » ce soir, « L’Empreinte » de Savigny Le Temple (77) vendredi 22 mars et  « L’Atelier Des Moles » de Montbéliard (25) samedi 23.

Le 20 Mars @ Cléon (76) « La Traverse »
Le 22 Mars @ Savigny Le Temple (77) « L’Empreinte »
Le 23 Mars @ Montbéliard (25) « L’Atelier Des Moles »
 

« Bump City » est plus Rock ! Le nouveau répertoire du virtuose de Chicago reflète l’atmosphère électrique du moment. Boney sait mieux que personne sentir l’humeur du moment. Et pour se faire, le maestro s’est entouré de musiciens enjoués, capables d’imprimer cette tonalité positive dont la planète a besoin. Pas étonnant de déceler un écho néo-orléannais furieusement cuivre dans cette célébration du swing. Comme un clin d’œil à celui qui alluma la flamme du jeune Boney Fields au tournant des années 70… Un certain Louis Amstrong.

Mister Fields se fait un devoir d’honorer toutes les étoiles qui, autrefois, lui transmirent cette envie irrépressible d’insuffler de la joie de vivre dans un monde parfois terne et apathique. Révérer les anciens n’est jamais le signe de la nostalgie, c’est faire preuve de reconnaissance et de respect pour ceux qui montrent la voie. C’est ainsi que Boney Fields rend un hommage appuyé à son compagnon de route et mentor, le regretté James Cotton, sur le titre « Ying Yang », magnifié par la grâce d’un invité de marque, le chanteur et harmoniciste, Charles Pasi.

Live Report réalisé par Alicia FIORUCCI

C’est dans un forum Vauréal plein comme un œuf que Doro nous a donné rendez-vous le 10 mars dernier. En effet, quelques semaines avant le show, c’était sold out, c’est dire l’impatience et l’engouement des fans qui l’attendaient depuis de nombreuses années. De plus, cette date était unique en Île-de-France alors autant battre le fer quand il est chaud et ne pas laisser passer cette occasion.

La soirée commence avec les suédois de No Sleep For Lucy groupe pop rock à l’univers bien calibré radio et au visuel travaillé à grands renforts de tatouages et de biscoteaux.  Le power trio délivrent des compositions originales issus de leurs différents albums. Un show s’étalant sur trois quart d’heure avant de laisser la place à la Metal Queen. Bon, je ne vais pas vous mentir mais No Sleep For Lucy je les aurais plus vus ouvrir pour Maroon 5 que pour miss Pesch mais qu’importe, on est une bande de headbanguers et on va en avoir pour notre grade.

D’emblée, Doro entame l’hymne « Raise Your Fist In The Air » mais le traduit en français, on scande du coup, « Lève Ton Poing Dans le Ciel ». Quelle bonne idée d’avoir adapté le refrain dans la langue de Molière ce qui, davantage, fédère ! Puis c’est parti pour un florilège des meilleurs titres, tel un best of sur les planches. Doro pioche dans le répertoire de Warlock, son groupe légendaire des années 80. En effet, elle nous gratifie des hymnes « I Rule The Ruins », « Hellbound », « Burning The Witches » et autres « Für Immer » ou encore l’immanquable « All We Are » repris par toute l’assemblée. Elle n’en délaisse pas pour autant ses propres chansons issues de sa carrière solo comme « Fight For Rock », « Night of The Warlock » ainsi que quelques titres (« Bastardos », « Blood, Sweat And Rock ‘n’ Roll ») de son dernier double album « Forever Warriors, Forever United ». Eh oui, faut bien promotionner le nouveau bébé made in Germany sorti chez Nuclear Blast. Puis vient, sans surprise, le moment du solo de batterie assuré par Johnny Dee (qui officie avec Doro depuis 1993) démontrant toute sa technicité derrière les fûts. Il assène les coups tel un forçat du rythme le sourire aux lèvres. Toute son équipe de musiciens assure la soudure derrière ! C’est carré, franc et direct ! Doro est aussi toujours très reconnaissante des groupes qui l’ont toujours soutenue. Elle arbore un tshirt Motörhead et reprend « Breaking The Law » de la bande à Rob Halford.

Bien que le public se soit déplacé en masse, je regrette seulement qu’il était un peu statique sans se laisser à quelconques mouvements de liesse comme j’ai eu l’opportunité de voir dans son pays natal, l’Allemagne. Néanmoins, Doro est une pro de la scène et est généreuse avec ses aficionados puisqu’elle assure le spectacle durant 2h, ce qui est son timing de croisière. De plus, elle se prête avec aisance et dévotion au jeu des photos souvenir et autres signatures au pied de la scène avec les personnes venues avec leur collection de disques.  Notre reine du métal n’a pas volé son surnom.

En conclusion, we are the metalheads and proud of it !

Alicia FIORUCCI
Photos ©2019 Alain BOUCLY

Le festival du Blues Autour du Zinc a la particularité de proposer 2 soirées spéciales, sans dévoiler le moindre nom des artistes l’affiche. Le succès des « Secret Gigs » va se confirmer une nouvelle fois lors de ce premier round, qui se déroule dans l’ancienne chapelle Buzanval, devenue l’Auditorium Rostropovich.

Classé monument historique, ce lieu intimiste sera quasiment rempli au moment ou le groupe Rainbreakers fera son apparition. Ce n’état qu’une demi surprise, puisque le merchandising était bien visible dans l’entrée, et les cartes postales et autocollants promotionnels disposés sur les sièges ne laissaient aucun doute sur l’identité de la formation retenue pour ouvrir la soirée.

Déjà présent la veille au théâtre du Beauvaisis avec Deva Mahal, le quatuor anglais nominé aux British Blues Awards en 2016, va nous régaler avec son Blues teinté de Rock. Tout en nuances, les titres du premier album « Face To face », s’enchainent merveilleusement, pour nous faire découvrir 7 compositions particulièrement abouties, sur les 10 enregistrées en août 2018. L’alternance des morceaux calmes avec ceux plus en rythme, va séduire un public très réceptif à cette qualité d’interprétation, mélange de groove et de finesse.

L’heure du rappel a déjà sonné pour Rainbreakers, qui se lance à reprendre le superbe « When My Train Pulls In » de Gary Clark Jr. Le set se termine par la belle ovation d’une assemblée conquise par la seconde prestation beauvaisienne de ce jeune groupe prometteur, au potentiel indéniable.
 
 

La véritable surprise aura lieu avec l’arrivée sur scène de 3 musiciens tirés 4 épingles, suivi de la tornade Michelle David. Cette chanteuse américaine possède une voie d’une puissance inouïe, qui va mettre une sacrée ambiance dans ce lieu idéal pour valoriser ce chant inspiré du Gospel. « Un son qui nourrit le cœur et qui apaise l’âme », voilà comment Michelle Davis décrit sa musique. Composée de sons venus des tréfonds de la musique collective noire, l’intensité et la profondeur vocale de Michelle est impressionnante.

Le Groove est dévastateur, la générosité est de mise tout au long d’un show très rythmé. Le public ne se fait pas prier lorsqu’il est invité à danser, ou à exécuter une gestuelle ne parfaite synchronisation avec la maitresse de cérémonie. Cet enthousiasme communicatif ne faiblira pas, tout comme la voix, très à l’aise dans tous les registres, de la Soul au Rhythm & Blues. Les titres se succèdent sans temps morts, comme le dynamique « Give It To Him », extrait de l’album « The Godspel Sessions Vol.3 ».

L’ambiance est brûlante, et ne faibli pas un seul instant, notamment lors des rappels ou le groupe reviendra à 2 reprises avec toujours autant d’énergie !

Le sourire au lèvres, Michelle, visiblement émue par un tel accueil, remerciera chaleureusement le public avec lequel elle aura instauré une complicité de tous les instants.

Voilà un concert qui restera dans les mémoires, et qui donne un vrai sens à ce que doit être la musique vivante, un échange permanent et complice entre un artiste et son public. Cerise sur le gâteau, Laurent Macimba a annoncé la présence de Michelle David accompagnée par une section de cuivres, pour le 25ème anniversaire du festival en 2020 ! A ne pas manquer !

Bravo à l’organisation et merci à Sophie Louvet pour nous avoir facilité les choses afin de réaliser le report et les images.
Alain et Marie-France BOUCLY
 
 Photos ©2019 Alain BOUCLY

Le nouvel album de Danko Jones, intitulé « A Rock Supreme », sortira le 26 avril 2019.

Track Listing:
  1. I’m In A Band
  2. I Love Love
  3. We’re Crazy
  4. Dance Dance Dance
  5. Lipstick City
  6. Fists Up High
  7. Party
  8. You Got Today
  9. That Girl
  10. Burn In Hell
  11. You Can’t Keep Us Down

Découvrez le titre Le titre « I’m In A Band » en écoute :

La soirée d’ouverture du Blues Autour du Zinc a tenu toutes ses promesses et même bien au delà, avec une affiche qui a su fédérer un large public dans cette belle salle de l’Ouvre Boite qui a quasiment fait le plein.

L’originalité est de mise guise d’apéritif, avec le one man show de Vurro, un espagnol bien illuminé qui va surprendre avec un show imprévisible. D’entrée de jeu, l’artiste espagnol, recouvert d’un masque, traverse la foule aux sons de rythmes tribaux,  avant de rejoindre ses instruments au centre de la scène.

Si ce mélange musical a de quoi surprendre au premier abord, la qualité est au rendez vous avec des influences aussi variées que le Blues, le Rock n roll, ou le Boogie Woggie, distillées de façon très énergique. Les cormes du monstre frappent les cymbales de gauche à droite, pendant que les sons de claviers nous entrainent dans les mélodies les plus envoutantes, accompagnées par un rythme basique mais toujours efficace.

C’est brut, vintage et l’audience se prend au jeu, dans une ambiance de plus en plus chaude. Voilà une découverte bien sympathique et très originale, qui a séduit en sortant des standards habituels.

Yarol Poupaud a choisi d’utiliser son prénom pour monter son nouveau projet musical et il faut bien reconnaitre que l’évolution de celui qui a fait partie du groupe fusion F.F.F (Fédération Française de Fonck) et de l’ancien guitariste de Johnny Hallyday a de quoi faire saliver.

Le ton est donné dès les premiers morceaux, dont l’énergique « Boogie With You » flirte avec le bon Hard Rock des seventies. C’est un set délibérément Rock qui va être envoyé à la face d’une foule chauffée à blanc. Yarol est un communiquant hors pair, qui va chercher le public en l’incitant à tonner de la voix lors de « What Am I Supposed To Do », et à participer de manière à vivre chaque titre de la manière la plus intense qui soit.

Les solos de guitare s’enchainent, gorgés de feeling comme sur « Caroline », tout en assurant le show  au cœur de la foule ou grimpé sur les retours de scène. La petite ballade « Scorpionnesque » « The End Of The World » permet de souffler un peu avant de mieux repartir pour un déluge final proche du Heavy Metal. L’enchainement « Voodo Love » / « Fils de Personne » inspiré du « Fortunate Son » de Creedence Clearwater Revival va mettre tout le monde d’accord, suivi d’un « Go To Hell » tout aussi énergique.  Et la présence de Philippe Manoeuvre aux choeurs, renforce le côté unique de ce concert, qui semble ne jamais vouloir s’arrêter, tant la communion entre Yarol et son public est parfaite .

Le temps d’une nouvelle escapade dans la fosse jusqu’à l’espace technique, afin de saluer ses ingés son et lights, le medley final verra Yarol se jeter dans le public !

Voilà u concert comme on les aime, ou il se passe toujours quelque chose, avec une part d’improvisation loin des stéréotypes trop encadrés. Nous avons assisté à un véritable évènement pendant plus de 2 heures d’un show à l’énergie communicative, prouvant qu’en France il y a de véritables artistes, et ce formidable frontman qu’est Yarol en est la preuve. On ne pouvait pas rêver mieux pour inaugurer cette 24ème édition du Blues Autour Du Zinc ! Bravo à l’organisation et merci à Sophie Louvet pour nous avoir facilité les choses afin de réaliser le report et les images.
Alain et Marie-France BOUCLY
 
 Photos © 2019 Alain BOUCLY

La guitariste et chanteuse Ana Popovic annonce la sortie de son 9ème album studio. Intitulé « Like It On Top », il est disponible via Socadisc.

Retrouvez la reine du Blues Rock en tournée française:
27/03/19 – Guyancourt 78) @ La Batterie (+ Dana Fuchs)
28/03/19 – Pagney (54) @ Chez Paulette
29/03/19 – Epinal (88) @ La Souris Verte

30/03/19 – Mainvilliers (28) @ Jazz En Mars
02/04/19 – Paris (75) @ New Morning

03/04/19 – Le Thor (84) @ Le Sonograf
04/04/19 – Marseille (13) @ Espace Julien
05/04/19 – Saint-Etienne (42) @ Le Clapier

Enregistré à Nashville et produit par le multi-Grammy Winner Keb’ Mo’, cet album propose de multiples facettes du blues.

Plusieurs invités de choix interviennent dont Kenny Wayne Shepherd, Robben Ford et Keb’ Mo’.

L’histoire de cet album est une histoire de femme : A la fois celle d’Ana ou comment une femme accomplie peut elle briser la glace et arriver au sommet. « Like It On Top » célèbre celles qui prennent des initiatives, inspirent et motivent. Cet album célèbre aussi les hommes motivés afin de soutenir ces femmes dans leur quête , et devenir la meilleure version d’elles mêmes. Le 1er single évoque d’ailleurs ces hommes qui soutiennent ces femmes et ont compris l’importance d’avoir des femmes au sommet de la société.Le dernier titre quant à lui parle de ces hommes qui abandonnent leur carrière pour consacrer leur temps à leur famille et ainsi soutenir leur femmes dans leur développement de vie.

«  La plupart des femmes ont besoin de travailler 2 fois plus pour s’accomplir,  pour réussir .au bureau , à la maison. Elles subissent une pression constante et n’ont souvent pas droit à l’erreur. Je souhaite que cet album leur donne un petit souffle d’énergie supplémentaire  et soutienne les homme dans leur éveil. »

Cet album a été écrit pour les leaders de demain, dans les bureaux, en politique et dans la guitare électrique !!!

Voilà qui est dit.

Découvrez le clip « Lasting Kind Of Love » feat. Keb’ Mo’

Line Up :
Ana Popovic (Guitare,Voix)
Michele Papadia (Orgue Hammond,Piano,Voix)
Cedric Goodman (Basse,Voix)
Buthel Burns (Batterie,Voix)
Claudio Giovagnoli (Saxophone)
Davide Ghidoni (Trompette)

« Watch Me Fly », le nouvel album de Shayna Steele sortira le 26 avril 2019 via Membran / Modulor

Voici incontestablement , l’une des grandes sensations vocales du moment.

Connue pour chanter avec Snarky Puppy, Moby et bien d’autres stars, Shayna Steele propose un 3ème album et prend véritablement son envol avec ce dernier.

Un pur joyau du genre : composé de 6 morceaux originaux et 4 reprises , voici une parfaite conjugaison de blues , gospel , soul et jazz ,  mettant en avant sa voix et son énergie incomparables.

Shayna Steele est née en Californie , a grandi dans le Mississipi et mais c’est sur la scène newyorkaise qu’elle fait ses vraies premières armes . Son charisme indiscutable et sa voix ne son pas passés inaperçus auprès de multiples stars , auprès desquelles elle a exercé en tant que choriste . C’est derrière Rihanna, Kelly Clarckson, Bette Midler, Steely Dan que Shayna affute sa technique .

Ce n’est qu’assez récemment qu‘elle décide de passer au devant de la scène .

« Watch Me Fly » est produit par David Cook et Shayna en a co-écrit les titres . Ces 10 titres sont de la pure dynamite , du très soul « Be » , au très sensuel « Treat Me Goodé » , au gospel « Wash Me Over », à la reprise « Life Goes On » de Big Mamma.

« Thorton », la reprise de Michael Jackson « Baby Be Mine » et « Secret Love » de Doris Day , le titre « Home » étant la cerise sur le gâteau, une pépite autobiographique. « Je voyage depuis très jeune. Je ne me suis jamais vraiment senti chez moi, dans le Mississipi, en raison des problèmes raciaux assez  présents la bas Puis lorsque je suis retournée voir ma famille, bi raciale, ils m’ont accueilli avec tant de chaleur et de fierté que oui, à ce moment là  je me suis sentie chez moi « Home » ».

C’est son grand père qui l’initie au Jazz , son père qui sera son guide musical et son Michael Mc Elroy lui donnera son éducation Gospel . Elle comprend très vite que son destin est la musique et le chant. Elle va très vite développer son propre « son », s’inspirant de ses stars telles que Ledisi, Rachelle Farrell, sans parler des icones telles que Stevie Wonder, Aretha Franklin, Chaka Khan, The Temptations.

J’aimerai avec mon album , offrir au public le même frisson que j’ai eu en écoutant « Purple Rain », « Thriller » ou encore les 1er albums de Whitney Houston ..

La course du 20th Anniversary de Coverslave passera par Montlhéry / L’Intervalle le dimanche 21 Avril pour un full tribute show à Iron Maiden.

Cette soirée avec Coverslave s’annonce exceptionnelle, lors d’un set 100% Iron Maiden qui risque d’en surprendre plus d’un !

De nombreuses surprises sont également au programme, avec notamment des places à gagner pour le concert de Coverslave & Dennis Stratton, Syr Daria à Paris, grâce au jeu-concours « The Answer of the Beast ».
Le Lundi 22 Avril étant férié, vous aurez tout le loisir de profiter de vos cadeaux gagnés !

Rejoignez l’évènement ICI

À partir de 20h Coverslave, qui célèbre ses 20ans de carrière, vous interprètera les plus grands classics d’Iron Maiden.
Précurseur en matière de tribute d’Iron Maiden en France, Coverslave vous invite déjà à préparer vos voix pour chanter les plus grandes « classics songs »de votre groupe favori !

Naturellement, Ride The Sky, partenaire de Coverslave sera de la partie !

Winfield et Dirty Dogz sont au programme de la grande soirée hard-rock pour tous les amateurs du genre, et les autres ! Ne manquez pas cet évènement exceptionnel samedi 30 mars 2019 à Cauville (14770) / Soubock.

Dirty Dogz c’est le bon vieux Hard Rock Australien, du groove et des vieux Marshall poussés à bloc qui chauffent comme un V8 sur l’autoroute de l’enfer. Après des années à autopsier et décortiquer chaque organe du bon vieux Hard Rock Australien, Dirty Dogz en a extrait son ADN. Une base rythmique (Basse / Batterie) solide et qui ne faiblit jamais, une voix puissante et éraillée, des riffs et gimmicks bluesy d’une efficacité redoutable. Bilan de l’opération, des titres fédérateurs, un son chaud et vintage et surtout une énergie scénique tout en puissance. Un E.P 4 titres est déjà disponible depuis mars 2018. C’est en live que Dirty Dogz prend toute sa dimension. A découvrir d’urgence !

Winfield c’est du hard rock. Un hard rock fort, gras, énergique et provoquant! Fondé en 2009, le groupe pose directement les marques de son style avec un premier EP sortit en 2011 : « Dirty Rock’n’roll ». En 2012, avec la sortie de leur premier album auto-produit, « Rednecks Blood », les quatre normands imposent réellement ce qu’ils sont : une machine huilée comme un vieux hot rod, faite d’énergie pure, de bourbon et de prestations endiablées, et multiplient les dates dans l’ouest, à grande dose de leur dirty rock’n’roll, véritable cocktail explosif de rock’n’roll et de grivoiseries. Depuis mars 2015, avec la sortie de leur EP « BBQ Sausage Party », et un nouveau line up, ils multiplient les dates en France, font les premières parties de groupes tel que Nashville Pussy, headcharger, Mass Hysteria, Aqme, participent à divers festivals comme le Cubi de Rosé, le Pepper Rock festival et jouent dans des SMAC régionales comme le BBC ou le Normandy. Aujourd’hui, avec la sortie de son nouvel album « Rock’n’Roll Ist Krieg », début 2017, le groupe annonce un album ambitieux et mature, repoussant les limites du genre et de ce qu’il a proposé précédemment, mais qui conserve la ligne directrice du groupe : rock’n’roll, énergie et efficacité !

http://soubock-evenements.com/
Co-voiturage : https://www.facebook.com/groups/1655940604670409

6 groupes seront à l’affiche de la 8ème édition du Rock’N Festival qui se déroulera le samedi 11 mai 2019 à Chauny (02).

Sweet Scarlett
Aaron Buchanan & The Cult Classics
Ko Ko Mo
No One Is Innocent
Triggerfinger
Slade

Une nouvelle fois la diversité des styles et la qualité des formations promet une soirée inoubliable !

Réservations sur les réseaux habituels (Weezevent, France Billet, Tickenet) 30 euros, 25 euros pour les – de 25 ans.

Noddy Holder (chant, guitare), Jim Lea (basse, chant), Dave Hill (guitare, chant) et Don Powell (batterie) se rencontrent dans la régions de Wolverhampton (West Midlands). Ils nomment d’abord leur groupe N’Betweens en 1966, avant de devenir Ambrose Slade puis Slade sous l’inspiration de leur manager/producteur Chas Chandler, ancien de The Animals et ex-manager de Jimi Hendrix.

Slade se bâtit d’abord une solide réputation scénique, avec un rock brut et mélodique qui sacrifie à peine à la tendance psychédélique de l’époque. Slade affiche d’abord un look skinhead avant de se laisser pousser les cheveux et de se composer une garde robe glam non dépourvue d’humour. Marqué par la voix nasillarde (et les rouflaquettes) de Noddy Holder, Slade sort en 1970 Play It Loudqui ne connaît qu’un succès relatif. La machine est vraiment lancée en 1972 avec « Slade Alive! », qui entre n° 2 du top en mars et témoigne de l’incroyable communion de Slade avec son public, ainsi que des facéties scéniques du groupe.

En novembre, « Slayed » est n° 1 dans la foulée des tubes « Coz I Love You » et « Look Wot You Dun »Slade fait de l’écriture phonétique de ses titres une marque de fabrique, Noddy Holder excellant à surjouer un accent populaire qui rapproche le groupe de ses fans. Slade c’est un groupe de copains qui déconnent, loin de l’image sophistiquée des autres groupes du mouvement glam. Même leurs tenues frisent la dérision, Slade se moquant volontiers de lui-même. Là où le groupe est sérieux, c’est dans l’écriture de titres efficaces et à la mélodie souvent plus travaillée qu’il n’y paraît.

Tour à tour, « Take Me Bak Home »« Mama Weer All Crazee Now »« Gudbuy T’ Jane »« Cum On Feel the Noize »« Skeeze Me, Pleeze Me »« My Friend Stan », et « Merry Xmas Everybody » affolent les charts et des cohortes d’adolescentes qui s’arrachent les cheveux en hurlant. Slade atteint son apogée avec « Slade in Flame » en 1974, album qui sert de support à un film à la gloire du groupe. Malgré « Far Far Away » qui se classe n° 2, l’album ne dépasse pas la sixième place des ventes, le public de Slade ne se reconnaissant pas dans des titres beaucoup plus pop qu’à l’accoutumée.

N’ayant jamais connu le succès aux Etats-Unis, Slade est dépendant de son succès anglais et dans une moindre mesure européen. « Nobody’s Fool » en 1976 est le pire album du groupe, dans une tentative désespérée de séduire le public américain avec une pop soul bien loin du glam. D’autant que le punk commence à frapper à la porte et vient ringardiser les groupes glam en mal de reconversion. « Whatever Happened to Slade » en 1977 marque un retour au rock, mais un éloignement des charts.

« We’ll Bring the House Down » (1981) et « The Amazing Kamikaze Syndrome » en 1983 sont le chant du cygne des rois du glam. Leur dernier tube, « My Oh My » est curieusement leur plus grand succès outre-Atlantique (n° 20 au Billboard). Slade perd son dernier éclat en 1991 avec le départ de Noddy Holder, qui réussit ensuite une brillante reconversion de présentateur à la télévision, aidé par sa gouaille et son franc-parler. Jim Lea cesse lui aussi d’être actif et Slade se rebaptise Slade II autour de Dave Hill et Don Powell.

Hormis une succession de tubes qui n’a d’égale que celle de The Beatles dans les années soixante, Slade laisse une empreinte réelle chez de nombreux groupes de Quiet Riot à Oasis, en passant par Kiss. Le plus incroyable c’est de voir « Merry Xmas Everybody » devenir au fil des ans une sorte de « Petit Papa Noël » anglais. Le titre se classe en effet chaque années dans les ventes anglaises en fin d’année, les rois du glam passent au final à la postérité avec une ballade à reprendre en choeur la nuit de Noël. Un clin d’oeil du destin qui n’est certainement pas pour déplaire à l’humour naturel de ce groupe plus dépourvu de prétention que d’intelligence.

Le trio belge d’Anvers Triggerfinger s’est bâti une solide réputation à travers l’Europe, les États-Unis et le Canada grâce à leur puissance et leur esthétique aiguisée. Depuis leurs débuts et cet album éponyme en 2004, suivi de « What Grabs Ya? » (2008), « All This Dancin’ Around » (disque de platine en Belgique et aux Pays-Bas 2010) et « By Absence Of The Sun » (disque d’or en Belgique et aux Pays-Bas, 2014), ils sont devenus l’une des figures de proue de la scène rock. Leur reprise impromptue de « I Follow Rivers » devient un hit majeur en Europe en 2012, si bien qu’ils sont invités à ouvrir pour les Rolling Stones en 2013 et 2014. Le 25 août dernier est sorti leur album « Colossus », qui a été composé au cours d’une tournée de 40 concerts à travers 15 pays européens pour asseoir une bonne fois pour toutes leur statut de groupe incontournable.

« On a tracé notre route, on s’est jeté dans l’arène. Creusé le même sillon pour exploser les scènes, de la sueur sur les planches et rien calculer en concert, comme si on jouait sa vie, comme si c’était la dernière » ce morceau de texte tiré du titre « 20 ans », résume parfaitement la carrière de No One Is Innocent, une carrière marquée par des succès, des tempêtes, des coups de gueules, et des combats jamais perdus d’avance.
En 2015, le groupe entame un nouveau tournant avec la sortie de « Propaganda ». Un album retour aux sources ancré plus que jamais dans l’actualité et les sonorités chères au groupe : riffs, groove, hymnes incarné et qui remet en première ligne Kemar, Shanka, Thunder B, Gaël et Popy en défendant corps et âmes leurs idéaux, et leur combat rock.

No One fait du bien en assumant pleinement un message et un discours humaniste, enragé, qui résonnera autant par un succès discographique que par des concerts d’anthologie sur la grande scène du Hellfest, en ouverture d’AC/DC et des Insus au Stade De France, en double affiche avec Tagada Jones pendant les présidentielles. Et bien sûr, après les attentats du Bataclan, à La Cigale, un moment de grâce live qui exorcise l’horreur en accueillant sur scène des survivants de l’attaque de Charlie Hebdo…

Fort d’une tournée marathon, c’est un groupe soudé et exalté qui reprend le chemin de la composition d’un nouvel album, baptisé Frankenstein.

Encore une fois, fidèle à ses engagements, à sa rage, No One is Innocent, reprend le chemin des barricades, humble mais fort, artiste avant tout, les riffs contre l’obscurantisme, instruments au poing comme Shanka guitare levée sur la scène de la Cigale. « Voici ma guitare. Il y a plein de guitares, mais celle-ci c’est la mienne. Ma guitare est ma meilleure amie. Elle est ma vie… Avec elle, je peux faire plus de bruit qu’un tank, qu’une mitrailleuse, qu’une grenade. Avec elle, je peux donner du bonheur, de l’espoir, de l’amour. »

No One Is Innocent est là, de retour avec un disque coup de poing et racé, telle une créature de l’aube. Frankenstein, lui, s’empare de la nuit avec ses mauvais rêves et ses espoirs. « On est chargé d’électricité. Aux portes de l’enfer on respire bien la liberté. Nous sommes la nuit ».

L’histoire de Sweet Scarlett est celle d’une aventure familiale : le père transmet sa passion de la musique à ses deux fils, l’un d’eux la partage avec sa compagne. Ensemble ils créent un projet dont les maîtres-mots sont complicité, joie, énergie.
C’est au détour d’un festival de Blues à Chedigny en 2011, que la famille décide d’orienter son travail musical vers le Rhythm’and Blues.
Ainsi prend forme le projet Sweet Scarlett et c’est en 2015, après avoir pris le temps de rechercher les sonorités correspondant à la démarche esthétique du groupe que la formation commence à se produire sur scène.

Le groupe Sweet Scarlett s’est révélé au grand jour grâce à son premier album de reprises de standards de Rhythm’and Blues. C’est avec un nouveau projet qu’ils reviennent fouler la scène pour cette fois-ci partager leurs compositions empreintes de funk et de blues avec une petite pointe d’énergie rock’n’roll. Sweet Scarlett, c’est toute une famille au service de la musique, celle qui se partage, qui rassemble, qui fait vibrer, celle qui diffuse l’enthousiasme « dans tout l’espace du corps ». Nouvel album sorti en octobre 2018.

Hydre à 2 têtes qui crache une musique puissante et folle, le duo KO KO MO donne une véritable joute guitare-voix/batterie résolument énergique et heureuse. Entre le jeu de batterie de K20, la guitare brute et la voix de Warren (sur laquelle plane le souvenir de Robert Plant), le son des années 70s connaît ici une mutation bien plus moderne. L’issue du duel ne sera pas la mort, mais une résurrection, celle d’un son, d’une musique. Et la vôtre, s’il en faut !

billets en vente :

Sur Internet :
www.fnac.com
www.carrefour.fr
www.francebillet.com
www.ticketnet.fr
www.corabilletterie.fr

Dans les magasins :
Fnac
Intermarché
E.leclerc
Cultura
Auchan
Cora

– chez Yves Gamba, coiffure, 13 place du marché couvert 02300 Chauny

– au bar le 421 rue de la république 02300 Chauny
– au café de la poste 13 rue victor hugo 02700 Tergnier
– et sur place au forum