Malemort: Le 17 mars @ Eragny « Covent Garden » et à l’affiche des festivals d’été

Publié : 13 mars 2018 par Alain B. dans Musique, News
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Retrouvez Malemort en concert samedi 17 mars 2018 au « Covent Garden » d’Eragny (95).
3 festivals sont également confirmés, avec le Hellfest, le Kave Fest et le MetalDays.

 

Hiver 2013 : quatre musiciens obscurs viennent de sortir un disque qui n’a aucune chance de rentrer en résonnance avec les canons de l’époque.
Visez plutôt : Refus de choisir entre thrash, rock, heavy ou punk, chant en français. Comme un défi en forme de chant du cygne. Metal libre, qu’ils disent! C’est pourtant ce « French Romances » franc-tireur qui va recueillir tous les suffrages et aligner les critiques chaleureuses. Jusqu’à obtenir le soutien du plus gros mag national (« album du mois » Rockhard) ou faire causer de lui dans le prestigieux Metal Hammer allemand.

Prestation dans le show tv « Une Dose 2 Metal » et diffusions radio (y compris Oui FM !) font monter la rumeur.
A cet instant commence le vrai voyage : quatre années de confrontation aux lacérations et aux luminescences de la route, quatre années de coups d’éclat et de coups du sort. Malemort vit, se blesse, s’affute, se singularise encore. Date après date, c’est la preuve par le live. Comme de bonnes étoiles sur le chemin, les premières parties de Death Angel, UFO, Diamond Head, ADX, les affiches communes avec No One Is Innocent, Pro Pain, Bukowski, Headcharger.

Et puis enfin ce nouvel album, dont une bonne partie des titres a déjà voyagé. « Ball-Trap », donc, a été mis en son au Conkrete Studio par Mobo (Gorod, Loudblast, Otargos, Mercyless…).
Malemort s’y dévoile sans fard: une musique hybride et indépendante, des prises de son authentiques, charnelles, et enfin, une histoire. « Bball-trapalbumall-Trap », ou le parcours initiatique d’un jeune homme dans le chaos artistique avant-gardiste des années 20, les fameuses « années folles ». Et comme la sortie d’un disque se doit d’être une aventure artistique complète, l’image est confiée au talentueux dessinateur Nicolas Dubuisson.
Mais déjà, la route exige son tribut. Hérissée de riffs, toute de fureur au dehors, des clous dans la poitrine, la « mauvaise mort » arpente à nouveau les chemins de traverse.
Salut fraternel à vous, les dévoreurs de décibels, les idéalistes du son, les activistes au service de la cause. Notre musique à tous se nourrit de nos rêves et de nos luttes.