Helloween revient à Paris après trois ans d’absence. Leur dernier passage remonte à l’année 2013, et exactement en mois d’avril en compagnie de Gamma Ray et les brésiliens de Shadowside pour la Hellish Rock Tour à l’Olympia. Avant d’investir la salle du Trianon, le trio sympathique de Rage ouvre le balle. Amené par le talentueux vocaliste et bassiste Peter « Peavy » Wagner, le combo allemand a donné une performance digne d’une figure emblématique du Heavy Metal. Rage est l’un des groupes, les plus créatifs et productifs musicalement.
Un setlist efficace et « transgénérationnel ». La bande à Peavy enchaîne avec Black in Mind et Sent by the Devil. Et de poursuivre : End of All Days/Back in Time/Down/ My Way/Until I Die/Don’t Fear the Winter/Higher Than the Sky (passage de Sweet Home Alabama et Holy Diver). Le leader et ses acolytes remercient le public. L’ambiance électrique et festive se poursuit avec l’autre combo allemand Helloween fort de ses trente de Heavy Metal.
Un public complètement acquis pour chanter les hymnes épiques des « citrouilles », enchanté d’être là, se donnent à fond comme ils l’ont toujours fait et très efficaces. Nous avons eu droit à Walls of Jericho sur bande et « here we go » lancé par Andy et droit au but jouant Eagle Fly Free/Dr. Stein; puis une version longue de My God-Given Right. Helloween enchaine les titres et nous offre un voyage dans le temps en annonçant chaque morceau Steel Tormentor et Mr. Torture.
Un retour en avant pour jouer deux morceaux de Straight Out Hell : Waiting for the Thunder et le titre de l’album éponyme. Nous somme tous des héros, ajoute le sympatique frontman avant d’entre les riffs lourds de Heroes. La place a été laissé au batteur Dani pour des prouesses sur son « Drum Solo ». L’album Master of the Rings a toujours une grande place sur scène une double bass du célèbre morceau Where the Rain grows. Le public chante et danse. Rare sont les groupes qui amènent les présent-e-s à chanter tout le répertoire. Avant de retentir le sublime Forver and One,
les Allemands jouent un autre tube du dernier album basé sur histoire vraie Lost in America. Et puis le traditionnel Power avant d’entamer le classique Halloween et joué « medly » Sole Survivor, le mangnifique I Can et l’efficace hymne du métal Are You Metal? chanter avec le public, on se régale avec l’incontournable Keeper of the Seven Keys.
Encore:
Before the War
Future World
(preceeded by a guitar solo)
I Want Out
A Tale That Wasn’t Right (Unarmed Version) sur bande